L’eurovision est depuis longtemps un vaste gag, mais une nouvelle étape a été franchie avec la victoire de Conchita Saucisse (Wurtz en allemand). Une espèce de truc transgenre, un peu comme un chat auquel on aurait attaché des cornes avec une ficelle pour en faire une vache.
Le problème n’est pas en soi qu’il-elle ait gagné, mais qu’il-elle ait gagné à cause de ça. Notre société n’est même plus malade, elle est agonisante ayant dépassé le point de non-retour.
Si on résume : on va bientôt avoir des enfants dont le papa 2 a changé de sexe avant d’épouser le papa 1 qui aime s’habiller en femme et qui a donné son sperme à la maman 1 qui est devenue un homme juste après l’accouchement avant de divorcer de la maman 2 qui du coup maintenant s’est remariée et partage la garde avec la maman 3 qui est juste une lesbienne ordinaire et donc presque réactionnaire.
Ces mêmes enfants débarrassés des stéréotypes de genre pourront choisir dès la maternelle s’ils se sentent plutôt fille ou garçon, ce qui n’aura de toute façon aucune importance car ils seront stériles comme un nombre croissant d’individus victimes des effets retours des contraceptifs, des antibiotiques et tranquillisants présents en cocktails dans toutes les viandes industrielles avec des additifs alimentaires divers et variés, des pollutions, de la radioactivité, des slips trop serrés, du stress et de la castration morale.
Ceux qui ne seront pas encore stériles n’auront pas le temps de procréer car ils devront cotiser 95 ans pour toucher leur retraite et ne se sentiront d’ailleurs même plus attirés par le sexe opposé, pour autant qu’ils veuillent quitter les mondes virtuels en 3D sur leur ordinateur.
Les bébés devront alors être achetés sur catalogue dans les usines à bébés qui déjà fleurissent en Inde et en Afrique. Un gros business aussi prometteur que tout ce qui tourne autour du changement de sexe et qui permettra, en outre, de réduire enfin drastiquement la population mondiale tout en supprimant les pays et les civilisations qui résistent encore un peu à la loi du marché.
C’est vrai que si, en 1789, les sans-culottes avaient eu des talons aiguilles et des implants mammaires, ça aurait été plus facile à gérer.
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