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dimanche 30 juillet 2023

Je vais encore fâcher du monde, mais l’union des souverainistes... (31/07/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/L7mvDnWcrN8

Bonjour ! 

Avec le recasage façon Oncle Tom de Pap en ambassadeur de rien du tout, mais grassement payé quand même, une proposition de loi pour interdire toute critique du réchauffement climatique lié aux vaches qui pètent, le coup d’État au Niger actant que la France est définitivement foutue dehors à coup de pied aux fesses du continent africain, les séances de tir au pigeon par les Russes sur les jolis chars tout neufs que nous avons fourni à l’Ukraine, un tweet de Sandrine Rousseau accusant la consommation de steak d’être à l’origine des incendies criminels en Grèce et la confirmation par Macron qu’il va continuer à dispatcher du migrant et du petit ange incompris dans chaque petit village parce que le problème c’est la concentration, les semaines se suivent et se ressemblent. Comme c’est l’été, je vais plutôt en profiter pour traiter un sujet un peu plus à fond. Des devoirs de vacances en quelque sorte. Face à la petite musique qui monte à l’approche des élections européennes l’an prochain, j’ai subitement réalisé qu’il y a deux choses que je n’ai jamais vues dans ma vie : un trèfle à 5 feuilles transgenre avec un pistil en érection et l’union des souverainistes. Comme je suis un éternel optimiste, je continue de temps en temps à scruter l’herbe en quête du premier. 

Veauter ou voter ? 

Certains me diront que de toute façon, les dés sont pipés et ils ont raison. La république qu’elle soit islamique, de Corée du Nord ou feu l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques et qui, chez nous, s’est construite en coupant les têtes de ceux qui n’étaient pas d’accord et même de ceux qui étaient d’accord au début, a beau essayer de se déguiser en démocratie ou de se faire passer pour la France, il est de plus en plus visible qu’elle n’a rien à voir ni avec l’une ni avec l’autre. Il s’agit juste d’une entreprise parasite qui a même un numéro SIRET : 100 000 017 00010. C’est donc une sorte de ténia qui bâfre tel un Gérard Larcher à la cantine du Sénat et n’est intéressé que par sa propre survie. Les élections, réservées aux seuls partis autocastrés qui lui font allégeance, sont un vaste Monopoly qu’elle arbitre, dont elle change les règles en cours de partie à sa convenance et dont, serviable, elle compte et proclame les résultats elle-même, sachant que, lorsque cela ne suffit pas (comme pour le traité établissant une constitution pour l’Europe rejeté en 2005) elle s’assied tranquillement dessus au nom de ses fameuses valeurs volontairement floues et à géométrie variable et qu’on peut résumer à : « si tu te défends, tu es un nazi cannibale ! ». 

Est-ce à dire qu’il serait plus efficace d’aller à la pêche écoresponsable en espérant que si on parvient à 99% d’abstention, les fiers héritiers de Mirabeau lequel annonçait déjà qu’il ne partirait que par la force des baïonnettes, vont gentiment rendre leur tablier (souvent maçonnique) ? Je ne crois pas ! Une puce ou une tique se fout de sa légitimité et même élue avec 1% des voix elle continuera à pomper du sang comme un Shadock vampirisé. 

Au moins en jouant le jeu et en votant contre, on peut les emmerder un peu, les obliger à mettre le réveil pour aller raconter des salades dans les matinales des médias ou leur pourrir leur week-end qu’ils passeront à faire semblant de gérer des situations. Chaque nouveau cheveu blanc dans la partie authentique de la chevelure macronienne est une petite victoire. Mais surtout, l’écart énorme entre la posture et la réalité quand ils sont obligés de montrer leur vrai visage comme en 2005 ou pendant les gilets jaunes, pourrait pousser (en théorie) certains à enfin à réagir autrement que par les urnes, chose toutefois improbable tant que, un peu comme le loto, subsistera cet espoir incapacitant, que par un concours exceptionnel de circonstances à la Trump ou à la Poutine, les chances de gagner quelque chose sont certes infinitésimales, mais non nulles. Lorsqu’on ne croit plus en Dieu, il faut bien le remplacer par autre chose. Toujours est-il que, quand on n’a pas la force pour renverser la table, il n’y a aucune raison de laisser le champ libre aux tricheurs et aucune honte non plus à tricher aussi, faire le contraire serait même totalement suicidaire. 

C’est malheureusement là que le bât blesse chez beaucoup de « souverainistes » : non seulement ils ne font pas semblant, pour essayer de biaiser le système avec ses propres règles, ce qui déjà est une gageure, mais ils ont, pour la plupart, complètement absorbé l’énorme suppositoire républicain fortement dosé en padamalgam. J’écoutais l’autre jour Louis de Dreslincourt qui fait un excellent travail de réinformation, mais si j’avais bu un coup à chaque fois qu’il a prononcé le mot république, je serais en coma éthylique, quant à Asselineau (qui abat aussi un travail remarquable) son parti s’appelle carrément l’Union Pour la République. Même Philippot tombe dans ce travers en raison de cette idolâtrie qu’ils partagent presque tous envers un De Gaulle qui bien qu’ayant été le moins pire de tous ceux qui l’ont suivi et ayant fait de son mieux compte tenu de l’environnement hostile avec lequel il a été obligé de composer, a semé toutes les graines qui nous ont conduits à la situation actuelle. Lire, à l’extrême, un peu de Ploncard d’Assac leur permettrait peut-être d’avoir sur le personnage, quelque part au centre, une opinion plus nuancée. 

Vous avez dit souveraineté ? 

Pour autant, cette idolâtrie s’arrête bizarrement tout d’un coup quand il s’agit de définir de quelle souveraineté il est question. Je vous épargne, par charité humaine, l’extrait de Rougeron, subitement à court de citations, se pliant à l’exercice chez Bercoff. Leur grand homme (je parle de De Gaulle) avait dit : « Un pays c'est un peuple, des frontières et une monnaie. » S’ils focalisent volontiers sur les frontières et la monnaie, on sent comme un léger flottement subreptice quant à la partie essentielle du triptyque : le peuple. Un peuple que De Gaulle pouvait encore définir en 1959, même si certains le contestent, comme « Européen, de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne », chose qui, toujours selon le même, ne l’empêchait pas d’être constitué de « veaux », comme en ont témoigné, même si les dés sont pipés, autant ses choix électoraux que sa soumission apathique. Il est clair qu’aucun souverainiste ne parle de donner (redonner impliquant qu’il l’ait déjà eue) ladite souveraineté au peuple vernaculaire d’une France métropolitaine surannée empreinte d’une colorimétrie mesquine à vous faire vomir un Mélenchon, ou alors j’ai loupé le passage dans lequel il est question de la remigration, en douceur plus ou moins relative, d’au moins 15 millions de personnes, en prenant le risque insensé de renoncer au paradis multiculturel pluriethnique qui nous attend au bout du chemin. 

On peut donc supposer que le peuple auquel on veut rendre sa souveraineté est le peuple 2.0, construit autour d’un bout de carton plastifié qui transforme magiquement n’importe qui et sa descendance en fiers Ardéchois, c’est-à-dire qu’on prend les veaux de De Gaulle (soumis entre-temps, en prime, à des décennies de lavage de cerveau médiatique et à ce que Brighelli, parlant de l’école, qualifie de « fabrique du crétin ») auxquels on ajoute des millions d’allogènes (et leur descendance) affligés d’une appétence modérée pour Montaigne, non qu’il manque de gens intelligents dans leurs pays, mais parce que, lassés de se faire piller leur matière grise comme c’était parfois le cas avec l’immigration de travail, les pays d’origine se vantent en rigolant de nous refourguer sciemment leur fond de cuve et leurs aliénés mentaux que d’ailleurs, pas fous, ils refusent de reprendre quand on les leur renvoie emballés sous OQTF. Un peuple 2.0 aux buts et attentes différents et multiples qu’il convient de touiller en permanence de plus en plus vite, en priant pour une émulsion qui ne vient jamais, sous peine d’avoir, comme pendant les émeutes, un aperçu de sa cohésion réelle, et dont les choix avisés, à 50% plus une voix, nous garantiront, c’est sûr, des jours heureux, dans la paix universelle. 

Par ailleurs, indépendamment de ladite immigration, comme démontré magistralement au début du film « Idiocratie », une fois débarrassés des préceptes religieux, les cons ayant tendance à faire plus d’enfants que ceux qui réfléchissent, la démocratie, sans un minimum d’eugénisme, finit toujours par être le moteur de sa propre destruction. Ce sera probablement toujours mieux qu’un Macron qui non seulement, même s’il le voulait, est trop nul pour être efficace dans le positif, mais qui, en plus, s’efforce délibérément de détruire ce qui reste du pays. Pour autant, allez savoir pourquoi, mon enthousiasme ne déborde que modérément. 

Troisième possibilité, la souveraineté est rendue aux représentants du peuple, parce que contrairement à ceux qui les ont précédés, les souverainistes sont incorruptibles et ne succomberont jamais aux tentations de la chair, quelle que soit sa forme. Point de chien de feu, de lettres enflammées, et autres coïts non reproductifs qui pourraient constituer une faiblesse au sein de cette horde virile et déterminée. Mais soyons fous, la plupart a une bonne bouille, alors, on va dire banco. 

Beaucoup de divisions, mais pas beaucoup de divisions 

Comme dirait Devos, trois fois rien c’est déjà quelque chose. Un optimiste pourrait se dire : Dupont-Aignan, + Asselineau, + Philippot +++++… ça commencerait à faire du monde. Un petit tour de piste sur Internet, permet de constater qu’en fait tous les souverainistes et leur nébuleuse, style « j’suis pas content », « juste milieu » ou le « monde moderne » se partagent essentiellement une même part de marché qui s’élève en gros au nombre d’abonnés le plus élevé + 20% soit environ 700.000 visiteurs réguliers, peut-être le double en occasionnel. C’est moins que les vidéos de chat, mais cela représente quand même une certaine force de frappe… sur les réseaux sociaux. Dans la vraie vie, c’est autre chose. 

Déjà parce qu’une partie des gens qu’ils agglomèrent entre dans la catégorie de ces « souverainistes oxymoriques » qui croient qu’on est tous frères en humanité, quand on n’a pas affaire à des communistes qui s’ignorent, pensant, et c’est dommage que personne n’y ait songé avant, qu’il suffit de prendre aux riches pour donner aux pauvres, sans distinguer entre celui qui produit et celui qui spolie, ou à des gauchistes dans l’âme qui attendent de l’argent magique de l’état lequel n’en fait jamais assez ; tous tombant en extase dès qu’une personne à taux de mélanine élevé brandit un drapeau tricolore et chante la Marseillaise. Il en découle, comme l’a dit Asselineau, que s’il s’alliait avec Philippot, il perdrait immédiatement toute la partie de ses adhérents croisés avec des castors (ça, c’est moi qui le dis) qui le considèrent d’extrême droite. Et c’est valable pour la plupart des composantes de la nébuleuse faisant qu’ils ne peuvent pas définir une ligne politique claire sans perdre la moitié de leurs soutiens, ne leur laissant plus, et même là-dessus ils ne sont pas forcément d’accord, que ce qui ne mange pas de pain : les méchants Allemands et le Frexit. 

Il est vrai qu’avec un peu de chance, bien que dépourvus des flotteurs que sont le Commonwealth et la City de Londres, on pourra au moins comme au Royaume-Uni, devenir un paradis Woke, gouverné par un Indien, qui accueille plus d’immigrés que nous et saccage tous les acquis sociaux au point que les Britanniques, qui n’ont toujours pas compris que la vraie cause du problème était leur monarchie constitutionnelle, version édulcorée de notre république et parasitée par les mêmes, sont lamentablement majoritaires à vouloir retourner dans L’UE. Quant au second point, même si, effectivement, l’Allemagne, parce qu’elle n’est plus l’Allemagne, a rejoint le mauvais camp et se sert contre nous de la notion absurde de couple franco-allemand qui est une invention et un mirage franco-français, depuis la guerre de Cent Ans, c’est la perfide Albion et sa descendance maritime incluant les États-Unis, qui ont toujours été et restent les ennemis naturels des puissances continentales, particulièrement de la France. Sachant que sans les manigances de leurs élites qui ont eu le culot de se présenter en sauveurs (je n’ai rien contre les peuples pas plus consultés que nous) les deux dernières guerres mondiales auraient pu être évitées et qu’ils font déjà tout pour provoquer la troisième. 

Il en découle que même si, paradoxalement, certains de leurs thèmes de prédilection sont majoritaires dans l’opinion, les souverainistes sont donc, en l’état, trop « divisés » pour avoir suffisamment de « divisions ». Dès lors, se lancer sans Asselineau, ce qui, vu la réticence de ce dernier à servir de plat de résistance, semble la direction inéluctable dans laquelle on se dirige, fera que, comme d’habitude, malgré un résultat cumulé qui leur permettrait d’obtenir des sièges aux européennes, ils resteront tous sur le palier à compter, pour les plus chanceux, leur 4,99%. 

Tout n’est pas perdu 

Il est un thème qui, même si susceptible de fédérer beaucoup de monde, n’est jamais trop mis en avant, et pour cause, car c’est le contraire de l’état jacobin : le principe de subsidiarité. C’est-à-dire que ne sont accordées à la strate supérieure que les prérogatives qui ne peuvent pas être déférées à l’inférieure. C’est ça la véritable souveraineté. En gros, chacun est maître chez lui à son niveau moyennant d’assumer la responsabilité des conséquences et de ne pas empiéter sur les autres. Par exemple, on a le droit de faire un trou dans son jardin sans être emmerdé, on peut y construire une cabane sans permis, mais si on s’électrocute pour n’avoir pas respecté les normes c’est pour sa pomme ; on a moins de police, mais le droit d’abattre un cambrioleur et de simplement le déposer dans le container à ordures avec l’étiquette autocollante idoine, l’entreprise, elle, a le droit d’embaucher qui elle veut puisque c’est elle qui paye, la ville est maître de réserver ses logements sociaux à ses habitants et ainsi de suite jusqu’à l’état qui ne s’occupe plus que des fonctions régaliennes. 

Heureusement pour les souverainistes, une idéologie forte et clivante n’est nécessaire que si l’on veut pouvoir attirer des gens déterminés afin de constituer un noyau fort capable d’agréger les moutons dans l’optique de prendre le pouvoir par la rue. Pour prendre des sièges par les urnes, sans pour autant tomber dans le reniement total du RN, il est malheureusement nécessaire d’éviter de trop parler d’amputation au malade atteint de la gangrène et de continuer à lui vendre de la pommade aromatisée à la menthe. Il faut donc trouver un baril de lessive attrayant, mais pas effrayant qui donne l’impression de changer, mais pas trop quand même. Il faut, hélas, déplorer qu’indépendamment des qualités intellectuelles indéniables de certains ténors, le packaging, dans cette optique, ne soit pas toujours très sexy. 

À mon sens, la perle rare, et ce n’est pas pour rien qu’on a voulu à tout prix casser son image par de la détention préventive, c’est Alexandre Juving-Brunet qui lui, au moins, a le physique de l’emploi - sous réserve d’améliorer sa diction (oui, je sais c’est moi qui dis ça) et de tempérer son côté chevalier blanc. Je m’explique : beaucoup de souverainistes ont des racines religieuses et se voient comme des Jeanne d’Arc en puissance, réceptacles prêts à accueillir la manifestation d’une volonté divine qui les emplira de sorte que la sainteté de leur mission s’imposera aux masses en attente désespérée de l’homme providentiel. Aujourd’hui Jeanne d’Arc serait jetée dans un asile et si Dieu était sur YouTube (et il y est peut-être) la meilleure façon de le repérer serait de chercher quelqu’un avec 0 vue et zéro abonné. 

Si les gens élisent des pourritures, c’est moins par bêtise que parce qu’ils ont compris que dans un monde tordu et compliqué quelqu’un de trop droit irait au casse-pipe, simplement ils confondent le joueur d’échecs dont ils auraient besoin avec un joueur de bonneteau. Dans tous les cas, trop de droiture morale, d’autant plus si elle paraît rigide, est désormais perçu comme une faiblesse, il lui faut donc un peu tempérer ce côté-là. Moyennant ces détails, pour peu qu’on arrive à agglomérer quelques personnalités réputées de gauche, quitte à se rabattre sur du Ségolène Royal si on ne trouve pas mieux, histoire de contrebalancer l’effet Philippot, on aurait un attelage assez divers, hétéroclite et suffisamment inclassable dans le spectre politique pour ne rebuter personne et permettre à tous, Asselineau compris, de se ranger derrière. Sous réserve bien sûr que la foule des ascètes désintéressés qui compose la nébuleuse arrive à ne pas s’entredéchirer quant à savoir qui occupe telle place en position éligible. 

Si le miracle s’accomplit, à mon modeste niveau, juste pour le fun, je les soutiendrai. 

Certains pourraient penser que je prends ça à la légère, mais c’est juste parce que, tel que je vois les choses, les enjeux sont moindres. En gros, la coque du bateau France a été badigeonnée d’une peinture toxique, bleue à étoiles jaunes, qui fait pourrir le bois de l’intérieur. Si on continue on va couler, c’est certain, mais d’un autre côté, pour avoir trop attendu, ladite coque est déjà tellement pourrie après, en sus, plus de 6 ans de termites macroniens, qu’on en arrive au paradoxe que ce qui lui permet encore de flotter et d’obtenir des liquidités malgré 3200 milliards de dettes connues, c’est justement la couche de peinture toxique qui est la seule chose qui, tout en continuant à le détruire, empêche le bateau de se désagréger immédiatement. Dans les deux cas, on coule. 

Comme, dans les situations difficiles, à l’instar de ce qui se passe en prison, les hommes passent en mode survie et en reviennent immanquablement aux solidarités ethnico-culturelles les plus primales, compte tenu du fait que rien n’est fait, bien au contraire, pour garantir un minimum de cohérence sur ce plan, au vu des dernières émeutes, je suis simplement plus préoccupé par ce qui se passera après. 

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dimanche 23 juillet 2023

Parodie - CHANSON D’ADIEU à PAP NDIAYE… sur un air d’Hughes Aufray (24/07/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/pxQTBnh2X_k


Les enfants font une farandole 
Pour leur ministre tout frais déchu 
Demain, un peu moins de woke à l’école 
Croient les enseignants encore pêchus. 
 
Adieu, monsieur le professeur. 
On vous a déjà oublié 
Et tout au fond de notre cœur, 
Sur la chasse on a appuyé 
Gageons que votre successeur 
Fier homo et LGBT 
Malgré son regard hébété 
Saura défendre nos valeurs 
 
Une larme est tombée sur sa main 
Dire que Schiappa s’en va aussi 
Mais ces cons ils ont gardé Darmanin 
Et même Le Maire pour broyer la Russie. 
 
Adieu, monsieur le professeur. 
On vous a déjà oublié 
Et tout au fond de notre cœur, 
Sur la chasse on a appuyé 
Merci, monsieur le professeur. 
Je n’ai pas appris à compter 
Ma facture d’électricité 
Du coup me fait un peu moins peur. 
 
Des hommes barbus en jupe se lèvent 
Dans les écoles pas brûlées 
Fiers d’avoir éduqué tes jeunes élèves 
Qui seront prêts si on veut les acculer.
 
Adieu, monsieur le professeur. 
On vous a déjà oublié 
Et tout au fond de notre cœur, 
Sur la chasse on a appuyé 
J’ai jeté le vibromasseur 
Qu’on m’a offert pour mes 3 ans 
Changer de sexe j’ai le temps 
Moi, je retourne à mes classeurs 
 
Adieu, monsieur le professeur 
On vous a déjà oublié 
Et tout au fond de notre cœur, 
Sur la chasse on a appuyé.

lundi 17 juillet 2023

Darmanin est content, Rousseau à chaud aux fesses, Sound of Freedom et autres joyeusetés (17/07/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/HdZFj_vlVh4

Bonjour! 

Macron, qui connaît bien le sujet, a envoyé à l’Ukraine des missiles que je nommerai « moumoute », « scalp » fleurant un peu trop l’appropriation culturelle. Il est vrai qu’il lui faut absolument sa troisième guéguerre mondiale pour pouvoir se la jouer « petite paire » du peuple, faute de quoi, compte tenu de son bilan dans tous les domaines qui fait qu’il ne peut aborder aucun sujet d’actualité sans se tirer un obus dans le pied en passant par le rectum, en dehors de nécrologies tel son hommage à Jane Birkin aussi plat que feu sa récipiendaire, il serait condamné à fermer définitivement son sphincter à parole comme ce fut le cas ce 14 juillet où nous avons été privés, allez savoir pourquoi, de tout bilan, même carbone, sur les 100 jours d’apaisement promis. 

Après un 8 mai plébiscité par les corbeaux et une commémoration de la prise d’une pastille de plus en plus difficile à avaler, ponctuée de « bouh ! » et de « Macron démission » enthousiastes émanant d’ingrats pas satisfaits à l’idée de recevoir une aide de 6 à 25 euros s’ils reprisent leurs chaussettes ; après, en outre, des annulations de festivités et de spectacles pyrotechniques un peu partout en France, la providence à eu la mansuétude de nous dépêcher Gérald Darmanin pour nous faire voir le bon côté des choses afin que , comme lui, nous puissions nous réjouir que, sans lien avec les 130 000 policiers et gendarmes mobilisés (plus un péquin pour compter les 2 313 mortiers saisis et ceux tirés) ainsi que l’interdiction de commercialisation desdits feux d’artifice, Kevin et Mathéo n’auraient brûlé que 218 véhicules et une école tout en ne blessant que 3 policiers soit, même si le bilan était encore provisoire, moins que l’an dernier. 

Ne laissons donc pas notre plaisir être gâché par cette dernière étude d’extrême droite d'Eurostat, l'organisme officiel de l'Union européenne, selon lequel, même en trichant sur les chiffres des homicides de la même façon que pour le chômage, en ne comptant que les morts immédiates et avec intention, la France est quand même devenue, cocorico, le pays le plus dangereux d’Europe. Bien sûr, c’était avant que la RATP n’inaugure ses trous à RATP sans le P, qualifiés de « Safe Space », où les femmes pourront jouer à chat perché en attendant que leur violeur putatif que, pour éviter tout amalgame répugnant, je nommerai Jean-Édouard, forcément respectueux d’une pancarte, attende gentiment la fin de son érection pour pouvoir repartir la queue entre les jambes. Peut-être même que, dépité, il achètera une perruque, changera de pays et deviendra Miss Hollande, endroit où des femmes « habitent » qui deviennent des Miss. 

Mais peu importe, car, sauf en Australie où les gens se les gèlent et en Afrique du Sud où il neige, nous allons tous mourir. C’est Sandrine Rousseau, laquelle a effectivement chaud aux fesses pour être, incidemment, poursuivie par la Brigade de répression de la délinquance pour inscription indue sur une liste électorale par déclaration frauduleuse ou faux certificat, qui l’annonce sur Twitter. Selon son thermomètre déconstruit, il fait rien moins que 60° en Espagne. C’est plus que le pastis, mais moins que l’absinthe bio dont visiblement elle abuse. 

Pour autant, c’est peut-être une piste pour expliquer l’évaporation du petit Émile que, faute de refus d’obtempérer, on ne saurait qualifier de petit ange sans faire de l’appropriation culturelle et qui a fait la une de Charlie Hebdo. Convaincu qu’on peut rire de tout y compris de ce qui nous choque, choc utilisé, sinon, pour faire entrer dans le fruit le vers de la censure, je ne critique pas leur dessin sur le principe, mais sur le fait qu’il n’est pas drôle ni « singulier » en ce qu’il tape gratuitement sur « l’Émile » plutôt que dans « le mille ». S’ils étaient vraiment subversifs, dans leur style d’humour, ils auraient pu écrire : « soupçonné d’avoir brûlé sa crèche pendant les émeutes, le petit Émile est introuvable ». Ou, fidèle à leur tradition : « Prophète nationale, sans feu d’artifice », illustré d’un dessin de Mahomet avec une fusée dans un endroit laissé à leur convenance : chiche ! 

Comme tous les parents, j’ai connu cet instant d’angoisse durant lequel, pour avoir détourné le regard pendant deux putains de secondes, distrait par quelque bikini rouge bonnet D avec un liseré bleu sur les côtés et une couture un peu lâche sur la gauche que j’ai à peine regardé (raison pour laquelle il est dangereux de confier de jeunes enfants à des hommes) on réalise que sa progéniture n’est plus à l’endroit où elle est supposée être, ni même dans son champ de vision, parce qu’un papillon est passé dans le sien, ce qui a eu un effet du même nom. Je ne peux donc que, rétroactivement, compatir à la douleur de la famille même s’il m’est impossible d’imaginer l’impact de ce type d’angoisse non pas durant quelques secondes, ou minutes, mais sur des journées entières. 

De toutes les hypothèses évoquées, lesquelles incluent une attaque de rapace ou de loup, celle qui est à la fois la plus horrible, mais, probablement, une des rares qui pourrait faire qu’il soit encore en vie est l’enlèvement par un animal humain, peut-être quelqu’un qui s’identifie à un rapace sans arriver pour autant à voler en dépit d’une plume judicieusement placée pour l’aérodynamisme, même en remuant les bras très très vite. Une réalité trop inconfortable pour la regarder en face, bien que le film « Sound of Freedom », en mettant en lumière une partie d’un iceberg peu sensible au réchauffement climatique, commence à affoler certaines élites devant son succès considérable. Rien que pour cela, ce film mérite d’être plébiscité, tout en gardant à l’esprit que le registre émotionnel débouche rarement sur des choses intelligentes et encore moins efficaces, la loi du marché faisant que d’autres enfants qui, sans ça ne l’auraient pas été, seront simplement kidnappés en remplacement de ceux libérés. 

De même que l’action de l’Abbé Pierre n’a pas diminué d’un iota la pauvreté dans le Monde, écumer l’océan avec une cuillère est non seulement inefficace, mais le sentimentalisme indifférencié qui sous-tend ce réflexe délétère explique exactement pourquoi nous en sommes où nous en sommes, notamment en regard de l’immigration. Au bout du compte, pour avoir écouté son interview par Candice Owen, le résultat net est que l’agent fédéral sur lequel est basé cette histoire vraie, a fini par adopter deux des enfants sauvés, ce qui fait objectivement 2 allogènes de plus sur le sol américain lesquels, n’en doutons pas, avec le traumatisme subi, deviendront des citoyens équilibrés. 

Le fait qu’il a d’abord été payé pour ce travail par le gouvernement US, lequel, par la suite, ne lui a pas mis de bâtons dans les roues, permet de mesurer le danger qu’il représente pour le système. La vraie chose à faire, tout comme il faudrait s’occuper de nos SDF avant d’accueillir des migrants, serait de traquer ici les réseaux pédophiles occidentaux, j’ai bien dit « réseaux », mais le risque est grand de plutôt finir en prison ou en compost écologique que sur les écrans de cinéma. 

Je vais me répéter, mais peu importe sous quel angle on regarde la chose, la seule façon de s’assurer loyauté et entraide au sein d’une élite corrompue est de jouer à « je te tiens, tu me tiens par la barbichette », voire par ailleurs si affinités. Cela n’élimine pas pour autant le risque d’être trahi par quelque vieillard désireux de se racheter une conscience avant de bouffer des pissenlits bios par la racine. Compte tenu de la chute globale de la moralité, on peut pardonner à un escroc ou un voleur repenti, on peut même pardonner à un assassin repenti voire à un ministre repenti. Dès lors, corrigez-moi si je me trompe, mais, tant que cela n’a pas été normalisé dans la continuation de la logique actuelle, la seule chose qui puisse encore garantir le silence éternel des perpétrateurs jusqu’à la tombe, c’est le viol d’enfant (avec sacrifice rituel en option, histoire de vraiment bétonner le truc) ; et je ne connais pas d’exemple, dans l’histoire de l’humanité, de chose dégueulasse humainement faisable qui n’a pas été faite. 

Cerise non genrée sur le gâteau, par ce rite initiatique on se « libère » de son humanité et, une fois franchi le point de non-retour, ces individus qui sont avant tout des jouisseurs, peuvent désormais jouir de tout sans entraves puisqu’ils ne culpabilisent plus de rien. Pour cela, il faut beaucoup d’argent et beaucoup de pouvoir sans qu’on sache vraiment si la quête du pouvoir est la véritable finalité ou simplement une nécessité pour assouvir ses perversions. Dans tous les cas, si ces réseaux existent (et avec des milliards de chiffre d’affaires autour de la petite enfance, au risque d’être taxé de « complotiste », il serait naïf de penser le contraire) ils sont forcément concentrés là où est ledit pouvoir, parmi ceux qui dirigent, financent, constatent, enquêtent, jugent et ceux supposés informer et qui vont plutôt étouffer la chose. 

Il y a longtemps que j’ai compris que, hélas, les peuples ne se révolteront pas par la raison, alors autant canaliser l’émotion vers les bonnes cibles, d’autant que j’aime à croire que, dans cette hypothèse, peu nombreux seraient les CRS disposés à protéger des gens qui découpent des bébés vivants au couteau électrique (modernité oblige… en attendant l’IA) comme en témoignait déjà, dans un reportage d’Elise Lucet, sur France 3, il y a une vingtaine d’années, une petite fille, à l’imagination sans doute aussi féconde que les enfants d’Outreau, confondus par le brillant ministre-justicier Dupont-Moretti. 

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lundi 10 juillet 2023

Le WOKE c’est FINI, Mathéo & Kevin, autres actualités de la semaine (10/07/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/coaYzacwa-c

Bonjour ! 

Selon Gérald Darmanin, les légers débordements festifs que nous avons connus, conséquence de la colère légitime d’individus sans caractéristiques particulières (si ce n’est d’être éprouvés par le réchauffement climatique) sont largement imputables à des Mathéo et des Kevin dont on ignore encore s’ils supportent plutôt Liverpool ou Manchester United. 

Certains esprits retors avancent que le calme ne serait revenu que parce que 

1) on a mis un mouchoir pudique sur les morts et le comateux conséquences de tirs de Flash Balls un peu trop « RAID », 

2) les dealers ont sifflé la fin de la récréation et 

3) il faut bien retourner au bled pour les vacances avec les cadeaux qu’on s’est procurés en « soldes » ; alors que tout le monde sait bien que tout le crédit est à porter au compte d’un gouvernement que le Monde entier nous envie, lequel a su réprimer avec une sévérité exemplaire les hordes… de racistes d’extrême, ultra droite hyperbolique qui commençaient à arpenter les rues pour défendre les commerces.

Un gouvernement qu’on ne saurait d’autant moins blâmer que, comme l’a déclaré Emmanuel Macron avec une expression de vendeur de lotion capillaire à Éric Ciotti : « qui aurait pu prévoir ce qui allait se passer ? ». Incapable de renoncer sans se suicider à son principe fondateur aussi absurde qu’hypocrite « d’égalité », la république, dans tout son arc pas constitué de flèches qui va de la NUPES jusqu’au RN, se contorsionne comme un pervers de terre dans une GayPride pour ne pas parler du troupeau de Mammouths dans la pièce. 

Elle continuera donc à déverser des milliards, qui plus est grâce à un plan d’urgence, pour reconstruire de quoi brûler pour la prochaine fois, à importer en masse (sous peine d’amende européenne de 20 000€ par tête en cas de refus) des individus de type non européen et à vénérer le pouvoir de transmutation d’un bout de carton plastifié qui transforme n’importe qui (et toute sa descendance) en Gaulois pur porc, mais halal quand même, on n’est pas des sauvages ; populations supposées payer nos retraites, mais pas assez pour empêcher la réforme et dont il convient, c’est la moindre des choses, de subventionner la natalité de type cuniculture, chose qui, bizarrement, n’a rien à voir avec les lesbiennes, mais plutôt avec les lapins. 

En parlant de LGBT, une info majeure est passée totalement inaperçue pendant que de futurs Voltaires brûlaient leurs écoles avec ataraxie et accessoirement des allumettes. Pour comprendre sa portée, il faut d’abord prendre conscience que le mouvement LGBTQI2+√4, outre d’être le prolongement logique, jusqu’à l’absurde, dudit principe d’égalité, doit en partie sa montée en puissance à quelques bienfaiteurs de l’humanité qui le promeuvent tels : Georges SOROS, Klaus SCHWAB et le patron de BlackRock, Larry FINK, homme le plus puissant de la planète. Trois individus dont, coïncidence purement coïncidentale (et cela me glace le sang rien que d’y penser), nous aurions pu avoir le grand malheur d’être privés si l’indicible horreur de la Shoah s’était poursuivie ne serait-ce que quelques minutes supplémentaires. 

Toujours est-il que si les entreprises ont adhéré en masse au concept façon poil pubien de Benjamin Griveaux avant la douche, c’est avant tout à cause des critères ESG (pour : Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance). Des critères imposés, notamment par BlackRock, et en fonction desquels des points sont attribués, selon un barème, aux entreprises ; points qui conditionnent les investissements ou financements de BlackRock et consorts dans lesdites sociétés. Comme tout est mis dans le même panier et qu’il est moins onéreux pour gagner lesdits points (et les sous qui vont avec) de mettre de l’arc-en-ciel partout que de produire écologique, le choix des entreprises a été vite fait. 

Mais, allez savoir pourquoi, quand on a commencé à sexualiser les gamins, à leur distribuer des bloqueurs de puberté comme des Smarties, à effectuer des mastectomies et des mutilations génitales sur des mineurs (sans parler de laisser des hommes en jupe concourir dans les compétitions féminines et pouvoir aller se rincer les mains - et non les yeux - dans les toilettes des dames) quelques individus rétrogrades se sont dit que, peut-être, la chose était allée un poil (non genré) trop loin. Mesquins, les consommateurs ont commencé par boycotter la bière Budweiser aux États-Unis pour une pub mettant en scène un travesti transsexuel qui se déguise en petite fille, lui faisant perdre des milliards et la mettant au bord de la faillite. Passablement énervés, d’être identifiés à ça, des hommes un peu trop poilus pour voter à gauche allaient jusqu’à poster des vidéos en se mettant en scène en train de tirer au fusil automatique sur des packs de canettes de la marque. 

Dans la foulée, les supermarchés Target qui avaient eu la bonne idée de mettre en avant des articles et livres de contes LGBT pour bébés coquins à forte libido, ont subi un appel au boycott similaire, assorti de pertes considérables. Inutile de parler de Disney, incapable d’accepter que le concept même de « Blanche Neige » est plus proche, niveau colorimétrie, du Ku Klux Klan après lessive que de Black Lives Matter et dont l’engagement woke lui vaut de faire flop sur flop au box-office. 

Parallèlement, le documentaire « what is a woman » qui aborde ces questions sous un angle critique a dépassé les 180 millions de vues en quelques jours sur Twitter et la Cour suprême des États-Unis vient de valider le droit à la discrimination, dans le cas d’un designer Web spécialisé dans les sites de mariages, refusant, pour raison religieuse, de créer de tels sites pour les couples de même sexe. 

Je passerai sur la croissance du mouvement « LGB sans T » regroupant des homosexuels « classiques » qui, ne s’identifiant pas à des libellules les jours pairs des années bissextiles, ne souhaitent plus être embarqués dans un bateau qui coule, ou encore la guerre Russie-OTAN (sachant qu’aux dernières nouvelles OTAN en emporte le vent, qui plus est en marche arrière) dont un des enjeux est justement la revendication du droit à la plurifonctionnalité obligatoire du sphincter anal auprès de la petite enfance.

Bref, sans même évoquer la dangerosité, proportionnelle à la hauteur des immeubles, des vues pas particulièrement souples sur le sujet des nouvelles populations que nous importons en masse, le vent est en train de tourner à la vitesse d’une opinion de Robert Maynard et, comme derrière les bons sentiments, tout n’est au fond qu’une affaire de pognon, lassé de se prendre des remontées de bretelles par ses actionnaires, information passée complètement inaperçue, Larry Fink, le PDG de BlackRock, lors du festival des idées d’Aspen, a sifflé la fin de la récréation en disant qu’il ne parlerait plus désormais d’ESG.

Ça tombe bien, les peuples mécontents, un peu partout sur la planète, ayant besoin d’un bouc émissaire pour se défouler, plutôt que la finance internationale, il semblerait donc qu’on ait décidé de leur jeter en pâture, dans un retour de bâton pas forcément lubrifié qui risque d’être violent, tout ce qui ressemble à une première dame d’un pays que je ne nommerai pas. Mais qu’on se rassure, fidèle à sa tradition d’avoir quelques décennies de retard sur son modèle américain, la France sous la férule de Pap Ndiaye, en dépit d’un manque à recruter cette année de 3.163 enseignants pour les matières secondaires comme le Français ou les maths, met, elle, les bouchées doubles en ce qui concerne l’éducation à la sexualité des élèves prépubères. 

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lundi 3 juillet 2023

Émeutes : la faute aux jeux vidéos… Si, si, il a osé ! (03/07/2023)

    Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/HK4iKZoIdJU

Bonjour! 

Dès le jour 1 après Nahel, soit, pour les rétrogrades, 2023 ans 4 mois et 27 jours après Jésus-Christ, la grande famille LGBT s’est enrichie d’une nouvelle variante : le trans"ange". Il n’en demeure pas moins qu’une mauvaise « vie d’ange », surtout en voiture, c’est toujours dangereux. D’ordinaire, quand un ange passe, il ne se passe rien, c’est différent quand un ange trépasse. Probablement induits en erreur par les ailes, des poulets qui ne sont pas tous des faucons l’ont donc tiré comme un perdreau. Le pauvre chou, multirécidiviste du refus d’obtempérer, roulait juste sans permis dans une grosse cylindrée immatriculée en Pologne, en excès de vitesse et sur des voies de bus, en grillant des feux rouges et en frôlant piétons et cyclistes ; on est donc fondé à se demander ce qui a bien pu alerter la police, si ce n’est son racisme systémique. 

Personnellement, qu’on abatte ce genre d’individu avant qu’il ne fauche un groupe de gamins devant un abribus, et ce qu’il soit circoncis, mélaniné ou non, me renvoie simplement à cette dysmorphie testiculaire épisodique qui m’afflige devant les larmes de crocodile, faisant que ça m’en touche une sans particulièrement faire bouger l’autre. Il paraît que Palmade expie ses fautes en boîte de nuit. 

Ceci dit, après tous les kebabs, mosquées et centres d’hébergement pour migrants brûlés après les meurtres de Lola et de Samuel Paty, afin d’éviter le deux poids deux mesures, il semble équitable (ce Nahel ayant décidément beaucoup d’amis) que le camp d’en face se défoule un peu, sans récupération politique, cela va de soi, et surtout sans amalgame, hors ceux, spontanés et bon enfant, autour des lieux de pillage et des barbecues improvisés dans l’esprit des « voleurs » de la république. 

Macron, qui n’y est absolument pour rien, le pauvre, occupé qu’il était à danser avec sa femme en « trans(es) » au concert d’Elton John, avait promis 100 jours de paix et on a effectivement eu cent jours de pets et d’explosions avec probablement, derrière, 100 jours de paie (à minima) pour rembourser les dégâts qui coûteront plus cher que les économies, qu’on sait, depuis, avoir été largement surévaluées, de la réforme des retraites. Sa promesse est donc phonétiquement tenue. Quant à la « dilatation » - l’économique s’entend - promise, elle, par Bruno Le Maire, force est de constater que les soldes commencent fort cette année : -100% partout en France. Profitez-en, c’est « open-Akbar ». 

On n’ose imaginer ce qui aurait pu se produire si on n’avait pas, préalablement, interdit les ustensiles de cuisine sur la voie publique : la cocotte-minute aurait pu exploser. En tout les cas, grâce à de courageux castors, notamment de la NUPES, dont le débilongo s’est fait taper en essayant de tirer des « marrons » du feu, nous avons évité le chaos qui n’aurait pas manqué si nous avions élu la bête immonde félinophile.

Selon Macron, tout est de la faute des jeux vidéo et probablement qu’en interdisant Grand Theft Auto (version conduite sans permis) et en censurant l’extrême droite sur les réseaux sociaux, l’anomie devrait cesser. Il vaudrait mieux, en effet, pour celui qui s’accroche à son poste sur le croupion républicain tel un morpion hémorroïdaire habitué au fait que ce soit toujours littéralement la merde autour de lui, que tout rentre dans l’ordre avant que, faute de magasins, de mairies, d’écoles, de bibliothèques, de restos du cœur, de bars LGBT et de commissariats à brûler, il ne reste plus debout que les C.A.F. (visiblement ignifugées). Le sentiment d’insécurité pourrait bien alors se mettre à calciner les résidences privées, y compris des bobos et autres boomers migrantophiles qui constituent son électorat et seraient certainement choqués de se retrouver dans la ligne « d’émir ». 

Pas la peine, pour autant, de sortir les CRS, les grenades SLI, les SBD et la BRAV-M réservés, privilège blanc, aux autochtones, ces cons qui paient, qui n’ont pas le droit d’avoir un communautarisme à eux et d’être ethniquement solidaires, c’est-à-dire de pouvoir se défendre, au prétexte que les races n’existent pas, dixit les « racisés », et sur le dos desquels, les parasites du haut et les parasites du bas, qui ne subsistent et se goinfrent que sur leurs divisions, finissent toujours par se mettre d’accord. 

En censurant les vidéos et en cassant le thermomètre, ce qui va pousser ceux qui cherchent le buzz à monter encore d’un cran pour qu’on en parle quand même, on veut maintenant taire, qu’au prétexte d’un hère qu’on enterre à Nanterre, en ahanant errent des gens délétères. Darmanin, qui se croit encore au stade de France, a annoncé que la république allait « gagner » (on subodore aux tirs au but), face aux supporters anglais angéliques et que, grâce, on suppose, à l’inaction du gouvernement, les choses s’étaient calmées dans la nuit de jeudi à vendredi. Je suis donc allé voir les chiffres officiels donnés par le ministère de l’Intérieur et, en effet, il n’y a eu, cette nuit-là, que : 2 560 incendies sur la voie publique, 1 350 incendies de véhicules, 234 feux ou dégradations de bâtiments, 31 attaques de commissariats, 16 attaques de postes de police municipale et 11 de casernes de gendarmerie seulement. 

Concomitamment, le maire écolo de Lyon lequel a passé son temps à subventionner des toilettes inclusives et des séances de jardinage d’hommes nus à l’intention des plus jeunes, « quand la bise fut venue », accompagnée, de toute évidence, d’une forme d’incontinence précoce, réclame subitement plus de policier.e.s. Il n’y a plus guère que Sandrine Rousseau, oubliant que tous ces incendies aggravent le réchauffement climatique, pour mettre les émeutes des gens en Nike et survêtement Adidas sur le compte de la pauvreté et du racisme systémique. Si je n’avais pas peur de la plonger en état de coma cérébral, je lui suggérerais, comme grille d’explication, qu’un un vase trop plein, ça déborde, que l’huile et l’eau ne se mélangent pas et qu’un âne, ça fait hi-han. 

En tous les cas, il s’agit moins, comme d’immondes suppôts du moustachu à frange voudraient nous le faire croire, d’un « grand remplacement » que d’un grand recouvrement du pays tout entier, transformé par la ventilation macronienne en gigantesque tartine, d’une couche de Nutella digéré, de sorte que ces émeutiers non identifiés, sans caractéristiques particulières susceptibles de sauter aux yeux des médias, lesquels s’interrogent sur ce phénomène ô combien mystérieux, contrairement à 2005, sévissent également jusque dans les petites villes et villages. 

C’eût peut-être été le moment, profitant du fait que la police est déjà débordée et à bout de force, d’aller manifester en masse avec des panneaux « Macron dégage », mais quand c’est vraiment dangereux pour le gouvernement, bizarrement l’opposition en carton et les syndicats ont piscine, sauf les mercredis parce que c’est burkini. En tous les cas, même s’il faut savoir rester assez humains et intelligents pour reconnaître et apprécier les exceptions, si nous ne revendiquons pas le retour d’un droit à la discrimination et n’obtenons pas (certainement pas de la nullité élyséenne) que nos politiques soient réorientées à long terme avec, pour finalité première, sans tomber dans la caricature, de redevenir le plus ethniquement cohérents possible, la prochaine secousse pourrait fort bien être la dernière avant la libanisation définitive. 

Le seul côté positif est que chaque minute supplémentaire qui s’écoule dans cette situation est cent fois plus efficace que tout ce que je pourrais dire. Je vous souhaite à tous, nouvelle fête nationale, un très joyeux Nahel. 

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