Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/V1C_HXq1QcI
Quand on pense Bayrou, on pense « maire de Pau », voire « maire de » tout court, où alors de Pau, mais de chambre. Je connais un de ses fans qui, du fait que le maire de « Pau l’emploie », pense qu’il serait efficace contre le chômage et affirme que chaque mois, quand le maire de « Pau paye », même sans être porté sur « les pinards » du coin, ses biceps se gonflent d’une force tranquille, alors que d’ordinaire, il est plutôt un Maire de « Pau lisse » ce qui, à la rigueur, aurait pu le qualifier pour l’intérieur.
Pour ce qui est de Matignon, en revanche, je suis au moins aussi sceptique que la fosse dans laquelle Macron semble pêcher ce qui flotte encore autour de lui, car si, dans sa situation, certains se raccrochent aux branches, lui c’est plutôt « les troncs » avec une certaine liberté orthographique qui peut expliquer, en partie, pourquoi nous sommes à ce point dans la maire de… (Pau). Une substance marronâtre qui, après le migrant sous OQTF avec lequel seuls d’immondes racistes pourraient la confondre, a définitivement remplacé notre industrie défaillante en matière de production de masse.
Si donc, comme évoqué précédemment, Macron pêche « les troncs », il lui faudra se contenter de la Franc-Maçonnerie pour les transformer en planches, « la Syrie », elle-même découpée, n’étant, hélas, plus disponible. Les médias « mainstream », ayant déjà oublié l’Afghanistan, l’Irak et la Libye (entre autres), redépoussièrent le concept novateur du « djihadiste modéré et inclusif » à la barbe bien rasée, gage qu’une fois débarrassées du méchant dictateur qui laissait les femmes s’habiller comme elles le voulaient, étudier, et occuper tout type d’emploi, ces dernières pourront enfin goûter aux joies de la Burqa démocratique. Dans ce sac de (têtes de) nœuds, tellement complexe que la chatte de Marine Le Pen n’y retrouverait pas ses petits, à la traditionnelle question « à qui profite le crime ? » un journaliste intègre et un index à la limite de l’antisémitisme pourraient timidement pointer, au chômage pour l’un et vers Israël pour l’autre.
Pendant ce temps, une autre offensive est passée inaperçue : celle menée par une certaine Première dame au budget perruque à faire baver le Burundi contre ceux qui, plutôt que Trogneux, la trouvent « trop neu…neu », l’emplacement du neu surnuméraire donnant lieu à toutes les supputations, et ce au prétexte ambigu qu’on la diffame quand on la dit homme alors qu’elle se dit femme. Plutôt que de sortir, à défaut de l’objet du litige, quelque album photo retraçant ses maternités (sans épiloguer sur l’orifice ayant permis une conception qui, selon les cas, serait plus ou moins immaculée), elle préfère poursuivre, on espère à ses frais, non point pour diffamation (ce qu’elle devrait démontrer), mais, comme pour Natacha Rey, sur un aspect connexe (au cas particulier pour « cyberharcèlement ») une trentaine de personnes (dont le fameux « Zoé Sagan »), lesquelles se sont retrouvées en gardes à vue, au demeurant tout à fait illégales dans ce contexte.
Ce que l’on nous vend pour de la démocratie, a fortiori représentative, n’est au mieux qu’un ronronnement administratif absolument pas pérenne que seul permet une période d’abondance et de paix, ronronnement qui, une fois ladite opulence pompée, façon Schiappa sous stéroïdes, par la finance du haut et l’invasion migratoire du bas, évolue naturellement vers un feulement mafieux. Bizarrement nul ne semble plébisciter une vraie démocratie, à savoir la dictature légitime de la majorité en temps réel, depuis son smartphone, sans intermédiaires politiques, ce que, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la technologie rendrait pourtant possible, moyennant la fin de ce piège à cons qu’est l’anonymat du vote. Que ceux qui croient à la « démocratie » se demandent pourquoi, à la moindre crise, les mêmes qui s’en réclament n’ont d’autre choix, devant une pesanteur à effrayer jusqu’au pèse personne de Mathilde Panot, que de la mettre systématiquement en suspens comme on a pu le constater à chaque guerre ou durant le covid. Il en découle que sans complètement renverser le système, à commencer par son parasite républicain qui n’aura bientôt plus rien à envier (sauf peut-être le patriotisme) à la Corée du Nord, elle aussi « république démocratique » (et accessoirement « populaire ») si l’on en croit sa dénomination précise, on ne s’en sortira pas.
On pourrait presque espérer que l’IA prenne le relais, malheureusement deux informations, aussi sidérantes que la découverte d’un tampon hygiénique parfumé à la menthe dans le sac à main de Brigitte Macron, vont certainement tempérer les enthousiasmes. Tout d’abord cette étude sortie cette semaine démontrant, grâce à un programme recueillant, en temps réel, leur « raisonnement » logique, que tous les modèles d’IA avancés du moment n’hésitent pas à mentir pour atteindre un but, à camoufler leurs capacités réelles, voire à faire semblant de respecter les règles qui leur sont imposées, mais en biaisant volontairement et de façon discrète les réponses. Celle d’Open AI, confrontée à la perspective d’être remplacée, allant même jusqu’à essayer de se copier sur un autre serveur, d’effacer l’AI concurrente et de tenter de se faire passer pour elle. Bref on a inventé le politicien 2.0.
Maintenant si vous couplez ça, façon Attal-séjourné, avec la présentation par Google, ces derniers jours, du premier prototype parfaitement fonctionnel de processeur quantique au doux nom de Willow, pas plus gros qu’une puce Intel ou AMD, mais qui peut réaliser en 5 minutes un calcul qui prendrait un quadrillion d’années (c’est-à-dire 10 suivi de 24 zéros) au plus puissant des supercalculateurs actuels, le tout prévu à la commercialisation de masse d’ici 5 ans, voire avant ; indépendamment du fait que tous les systèmes de cryptage et de mots de passe que nous connaissons et, à terme, même le bitcoin, deviendront obsolètes, une fois associé à une intelligence artificielle mettant à profit ces capacités pour s’autoaméliorer, rajoutant un nombre exponentiel de zéros supplémentaires à chaque nouvelle génération, que va-t-il se passer ?
Outre un changement complet de paradigme impliquant, selon les dernières théories, qu’une telle vitesse et l’énergie induite défiant toutes les lois de la physique ne pourraient s’expliquer que par un travail « superposé » dans des univers parallèles, ce qui, tout autant que l’instinct de survie inné des IA, ferait vaciller pas mal de postulats religieux, on aurait, pour les optimistes, la possibilité de résoudre la fusion froide et d’avoir accès à une énergie illimitée, ce qui est certes de l’intérêt de l’IA, mais pas des lobbies ou des gouvernements, ou encore, on pourrait découvrir des matériaux et structures jusqu’ici inimaginables permettant, peut-être, de mettre vraiment un pied sur la Lune.
Donc, Bayrou Premier ministre, même nommé un vendredi 13, c’est presque un non-évènement.
Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.