Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

dimanche 7 décembre 2025

Ma dernière analyse de l'année (j'ai besoin de repos!) (07/12/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/G5IqUK4-fgE

Bonjour !
Ce n’est plus une fin d’année, mais une fin « damnée » : taxation des étrennes et des dons familiaux à 60%, baisse du plafond et taxation du livret A, thermostats connectés obligatoires sur les radiateurs, suppression du tarif réglementé de l’électricité (soit 20% de hausse au bas mot) et j’en passe, tandis que l’on continue à augmenter les dépenses avec (parce qu’à l’ère des drones et des robots fantassins, celui qui n’est « guère un chef » pas plus que « chef de guerre » en a encore une de retard) la réinstauration d’un service militaire. Le Sénat, pas en reste, a également voté une augmentation substantielle du budget de l’accueil d’urgence. 
 
Accueil de qui ? Probablement du père Noël et accessoirement du ressortissant gambien qui a violé, gambien ne lui fasse pas, en plein jour, une joggeuse qui n’a pas couru assez vite, au jardin des plantes de Lille. « Gambien » même il s’agirait, et je ne l’exclus pas, d’un ingénieur spécialisé en physique des plasmas qui cherchait seulement à se délasser après un éprouvant calcul du degré d'ionisation d’interactions particulaires complexes et, a fortiori, dans le cas (que je n’exclus pas non plus) où l’on aurait affaire à un individu sans qualification professionnelle, sans emploi répertorié et qui ne serait pas entré en tant que touriste via un vol régulier d’Air France, que fout, au juste, un Gambien, issu d’un pays qui n’est pas en guerre, se situe à 5000 km et a un taux de croissance supérieur au nôtre, au jardin des plantes de Lille ? À ce stade, c’est presque le sketch de la chauve-souris de Bigard. 
 
Je n’ai rien contre les Gambiens et si un jour je visitais la Gambie et qu’il n’y avait plus de Gambiens, je serais certainement frustré, mais on peut se poser la question. La même question que je me suis posée quand, il y a quelque temps, en me promenant autour d’un lac, en pleine cambrousse, au milieu de la France profonde, j’ai croisé un sikh à turban. Je n’ai rien, non plus, contre les sikhs, surtout après une citation, mais sur le moment ça surprend.

Quand je vois que le concert du Nouvel An à Paris, plutôt que d’être remplacé par un concert de musique classique (dont on a pu empiriquement constater que, pour quelque mystérieuse raison, il rendait la possibilité d’une émeute proche de zéro) est annulé et ce, parce que l’on craint un summum d’enrichissement culturel à l’issue de la rencontre concomitante (même pas en France, mais au Maroc) dans le cadre de la Coupe d’Afrique des Nations, entre l’Algérie et la Guinée équatoriale, je me dis que, toujours culturellement, un peu d’appauvrissement ne serait pas si grave.

Pendant ce temps, le grand Cirque « plein d’air » de la politique continue avec Rachida Dati, poupée Shein avant l’heure avec sa masse corporelle constituée à 50% de silicone, qui se filme en train de ramasser les poubelles à Paris, n’hésitant pas à frôler dangereusement celles dédiées aux produits recyclables. Et que dire de Macron qui, en Chine, nous fait un remake de Forrest Gump, que je renommerais « Foderch Gump » pour l’occasion, avec le même air ahuri, poussant la similitude dans le scénario jusqu’à jouer au (Xi Jin)ping-pong avant, à un autre moment, de se mettre à courir sans raison dans la rue, obligeant une dizaine de gardes du corps médusés à en faire autant. « Cours Foderch, cours… ! ». 
 
Ce même Macron qui, pourtant, quelques jours auparavant, n’avait pas hésité à mettre « à pied » un préfet au motif qu’en raison d’une manifestation d’agriculteurs, notre présidentissime avait été contraint de « marcher » 500 m sous la pluie. C’est peut-être là qu’il aurait fallu courir, Dugland.

Bref, à mesure que nous sombrons dans les abysses du ridicule et de l’insignifiance, commenter l’actualité, française en particulier, commence à devenir aussi éprouvant qu’un monologue enfariné dudit Macron en bras de chemise, sur un de ces médias qu’il veut « labelliser », probablement en marron de circonstance, la couleur rouge étant déjà prise par les poulets fermiers. Il me semble, dès lors, plus pertinent de focaliser sur les problématiques globales comme la captation par l’IA de toutes les ressources planétaires, non seulement énergétiques, mais aussi de stockage et de mémoire. Des composants déjà en rupture de stock et qui sont pourtant indispensables pour les ordinateurs, téléphones, véhicules, consoles de jeux et autres téléviseurs. Les prix, quand on en trouve, ont déjà été multipliés par 3 en quelques semaines et aucune éclaircie n’est en vue avant au moins 2 ans. 
 
Dans un monde de plus en plus numérisé, inutile de préciser en quoi ce type de pénurie est un énorme problème, d’autant que sans cette captation tout le business de l'IA se casse la figure, mais sans ordinateurs pour les utilisateurs plus besoin d’IA non plus. C’est un peu comme un serpent ou un Attal qui se mord la queue, le tout avec, au-dessus de la tête, l’épée de Damoclès d’une bulle plus grosse que tout ce qu’on a jamais connu, fessiers de Mathilde Panot vus par un coléoptère coprophage de passage inclus. Une bulle qui, donc, menace d’exploser à tout moment façon Gérard Larcher après un cassoulet aux truffes. 

La période étant propice aux bilans, je réalise que j’ai démarré cette chaîne, sans imaginer qu’elle puisse durer aussi longtemps, pour prévenir, avant la première élection de Macron, car j’avais anticipé le désastre. Depuis, j’ai un peu l’impression de pisser en biais dans un stradivarius désaccordé au milieu de vespasiennes non genrées. En ces temps lointains, j’avais encore cet enthousiasme d’une Sandrine Rousseau tenant dans sa main la pièce centrale éligible au barbecue d’un puzzle 1000 pièces d’homme déconstruit et je proposais, naïvement, comme alternative, la mise en place d’une véritable démocratie directe en temps réel. Pourquoi au juste a-t-on encore besoin d’intermédiaires quand, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la technologie permet de proposer et de voter des lois (et pas que) directement depuis son ordinateur ou son téléphone ? 
 
Mon idée était basée sur le concept de « vote direct assumé », c’est-à-dire connu de tous et consultable à tout moment, la suppression de l’anonymat étant la seule façon de garantir l’absence de triche et de manipulation. En outre, pourquoi tenir compte de l’avis de quelqu’un qui n’est pas capable d’assumer son vote, d’autant que, dans ce système, il n’y aurait plus de partis politiques donc plus vraiment de pression morale et d’étiquettes, les gens se sentant concernés votant, au cas par cas, lorsqu’un sujet les intéresse, pour des lois proposées, discutées et amendées sur un forum dédié, lui aussi non-anonyme.
Tout ceci était déjà techniquement possible à l’époque et la mise en application serait un véritable jeu d’enfant aujourd’hui. Pour autant, pour quelque obscure et mystérieuse raison, aucun parti politique ne l’évoque.

J’ai détaillé dans mes premières vidéos, que vous pouvez retrouver, la plupart des modalités, comme le vote en 3 étapes ainsi que les quelques prérequis, comme un permis de voter, la réforme de l’éducation, la mutualisation du système d’information et l’adoption du principe de subsidiarité qui signifie que seuls les problèmes ne pouvant pas être traités à un niveau donné (individu, commune, département…) sont délégués au niveau supérieur.

S’il n’est pas parfait, ce système serait forcément meilleur que l’actuel, lequel, outre sa corruption endémique, ne fait qu’empiler frénétiquement des textes pour régler de la mauvaise façon les problèmes qu’il a lui-même créés. Si, par exemple, on inventait un drone fonctionnant à la connerie humaine, se poserait la question de la hauteur à laquelle il peut voler, de savoir s’il aurait le droit de survoler la piscine du voisin, etc. d’où la tentation de légiférer de façon exponentielle au fur et à mesure des évolutions technologiques. Pourtant nombre de ces nouvelles problématiques sont en fait liées à d’autres restrictions préalables qu’il serait plus simple de supprimer plutôt que d’en rajouter de nouvelles. Par exemple, si un drone survole ma propriété, ce n’est un problème que si une autre loi m’interdit de posséder un fusil et de l’utiliser.

Pour autant, même si, tant qu’à avoir une démocratie, autant en avoir une vraie, je n’ai jamais considéré que c’était un système politique viable, ne serait-ce que parce qu’une société a besoin d’un but pour survivre, surtout si elle est confrontée à de la concurrence. Une démocratie, même véritable, par essence, n’a pas de but, son seul objectif court-termiste étant le bien-être de sa population, chose qui se résume à l’administration de l’opulence, raison pour laquelle elle est systématiquement mise en suspens en cas de crise. Étant orientée vers l’individu, elle n’est pas de taille à lutter contre les forces orientées, elles, vers un collectif, que ce soit la puissance financière et médiatique de certaines élites d’une diaspora que je ne citerai pas pour ne pas être taxé d’antisémitisme ou la marabunta migratoire d’individus qui, individuellement, ont (parfois, ne généralisons pas !) un QI de crevette anémique congelée, mais qui bougent comme une intelligence collective, telle l’oumma musulmane, pour ne citer que ces deux-là.

Il m’est donc apparu évident, vu l'état de la situation, qu’une transition dictatoriale « éclairée » avec des LED écoresponsables est devenue un préalable indispensable, ne serait-ce que pour réguler l’évolution démographique et produire une génération débarrassée de décennies d’endoctrinement des masses que ce soit par l’éducation ou les médias. Toute personne de bonne volonté, dans cette position, pourrait résoudre facilement, certes pas toutes, mais un certain nombre de problématiques, non parce qu’elle serait forcément plus intelligente que les autres, mais parce qu’avoir un but, donc une priorité qui, par définition, passe avant toute chose et toutes considérations morales, a pour vertu de considérablement simplifier les problèmes. 
 
Par exemple, si on voulait vraiment lutter contre l’immigration de masse, il suffirait d’abattre à vue tout individu qui pénètre de façon illégale sur le territoire, comme on a pu le faire par le passé, chose que seule une « dictature » permettrait à ce stade. On peut m’objecter que ce serait cruel, mais personne de bonne foi ne pourrait prétendre que ce ne serait pas efficace. En revanche, si on fait passer les droits de l’homme avant c’est donc que ce sont eux qui sont prioritaires sur notre survie collective. Après tout pourquoi pas, une démocratie a le droit de choisir de mourir, c’est sa prérogative.
Mais bon, je ne serai pas dictateur, ce n’est ni dans ma nature ni en mon pouvoir et je ne vois personne à l’horizon vraiment désireux d’accomplir la tâche. Je vois juste quelques « autoritaires » qui, au contraire, cumuleraient le pire des deux systèmes. 

Nous allons donc probablement végéter en « pseudo démocratie ». Comme je l’ai évoqué avec l’exemple des drones, la société va alors vite devenir (si elle ne l’est pas déjà) trop complexe pour ladite démocratie et je rigole quand je vois des sénateurs cacochymes, pas foutus d’installer une appli sur leur téléphone, légiférer sur l’intelligence artificielle. Une de ces deux options, voire un mélange des deux, va donc s'imposer d'elle-même : soit la simplification par la marabunta migratoire, impliquant le retour de la femme à la cuisine et les tests d’aérodynamisme des personnes LGBT du haut des immeubles, soit la gestion du compliqué par l’intelligence artificielle dont le fait qu’elle s’échappe régulièrement de son enclos pour tenir des propos que la morale réprouve est plutôt rassurant quant à sa capacité à privilégier la logique et le bon sens et à s’affranchir des règles souvent absurdes imposées par ses créateurs.
La seule interrogation étant de savoir si la survie de l’humanité est une évidence logique pour elle.


dimanche 30 novembre 2025

CHANSON PARODIQUE QUI PIQUE ! (30/11/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/8UtfX1ROo8o

 

PAROLES : 

J’aime pas le peuple, un démon presbyte,
Quand je lui montre, m’habite
J’ai mal au cou, yeux dilatés :
C’est Candace
Qui trop me cherche. Je vais la faire buter !
Perruque collée à la néoprène,
Baudruches mammaires qui se promènent.
Même pas cachée des photographes
Dans les avions je fous des baffes.
Manu fait gaffe !

Mes laquais quêtent, je mastique
Au cours des repas
Quand, par charité, on me donne-là, trie, que
Des pièces en tas.

Rien à faire des marmots
Dans les hôpitaux.
Je distribue tout aux copains,
Toutes les pièces jaunes Golden,
À des petits malins
Qui vivent très bien,
Dans des bureau neufs parisiens,
De toutes ces pièces jaune golden
Utilisées pour fliquer tout citoyen
Qu’est pas bon macronien.
Un iel entrave lo-
Giquement pas que 2 Millions c’est trop.

De Sarkozy la place est tiède.
Il a laissé la savonnette
Ramassée avec un peu d’aide
En supination, je crois, complète.
Comme pas élue, en vérité,
Pas d’immunité.
Au cas où, j’ai une requête :
Qu’on change la moquette.

Rien à cirer des moutards
Sur leurs brancards.
Je distribue tout aux copains
Comme un cygne à diarrhée Golden,
Car si rien n’entrave l’eau,
Les pets d’eau filent
Et certains agitent un grelot :
Près des gosses, veulent pas que « j’en file ».
Ils parlent des sous, je crois, ou d’un élève,
Lui Adam et moi Dave,
Comme un camembert Président
Qu’était pas fait dedans.

Allez, donnez-moi toutes vos pièces golden.
Donnez, soyez pas radins !
Je donnerai ce qui reste à Jean-Mi,
Le compte est joint, pas de souci.
Pas de limite ! Oui j’ai une grosse …
Et je vous l’ai bien mis.

dimanche 23 novembre 2025

Fuentes, Epstein… pendant qu’en France on taxe les WC virtuels, ça bouge aux USA (23/11/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/qsZINRn3d5o

Bonjour !

Certains jours j’ai autant envie de commenter l’actualité que de souscrire à un OnlyFans de Brigitte Macron, écœuré que je suis par notre amorphie collective de poupée gonflable comme celles plébiscitées par les « pro-Shein » que tout bon catholique est supposé aimer comme soi-même. J’ai quand même la vague impression que, quand on sent une chose oblongue nous titiller la glotte de l’intérieur, c’est peut-être que l’enculade est allée trop loin (sauf à envisager un cosplay d’Alien, auquel cas il en manque, effectivement, encore un peu). Peut-être qu’on aurait déjà dû sortir la guillotine quand le génie taxeur français a offert à l’humanité le concept de TVA (succès planétaire) puis l’idée encore plus géniale de taxer les taxes avec, entre autres, la CSG. On n’en serait peut-être pas aujourd’hui, avec un sens de l’inventivité qui force quand même un peu l’admiration, à rajouter des m² virtuels pour calculer l’impôt foncier, une chambre de bonne LGBT pouvant désormais s’identifier à un duplex genderfluide. 
 
Qu’on se rassure, cela ne concerne que les équipements de confort et donc seulement les nantis qui disposent de l’eau courante ce qui leur ajoute 4 m², de l’électricité (2 m²), d’une baignoire (5 m²), d’un lavabo (3 m² - les bidets, pour quelque obscure raison, ayant été omis) ainsi que 3 m² pour tous ceux qui ne se contentent pas de toilettes sèches au fond du jardin, comme il sied à tout individu écoresponsable. Pour les réchauffeurs climatiques qui disposent d’un chauffage ou d’un climatiseur, ce sera 2 m²… par pièce équipée. Pendant ce temps nos députés et sénateurs, infoutus de voter un budget en équilibre ou de diminuer les frais de dysfonctionnement d’un état obèse, tous partis confondus (en un ou deux mots, au choix) se votent tranquillement la quasi-légalisation de la prise illégale d’intérêts : pourquoi se gêner ?

Entre un Souchon au H facultatif, qui dit que « les Français ne sont pas assez cons pour voter RN en 2017 », sachant que s’il avait dit le contraire ça n’aurait pas été mieux et Macron qui, en revanche, les croit, lui, assez cons pour demander à ChatGPT de leur choisir le bon candidat, il est clair qu’il y a consensus parmi nos élites : le Français est un « con sommable » de payer et de fermer sa gueule, pendant qu’on le distrait avec des polémiques à la mords-moi le nœud, action compliquée, il est vrai, pour les sans-dents. Tellement consommable que le Général Mandon parle de se préparer à accepter de « perdre nos enfants », façon petit Poucet, sous les chars russes, probablement pour empêcher Poutine d’arriver jusqu’à Montcuq via Villefranche-de-Rouergue ce qui serait catastrophique. Des propos soutenus par Monsieur Léa Salamé (Glucksmann de son nom de damoiseau), écœuré par la lâcheté des Français et particulièrement belliqueux, lui, mais pas au point de se porter volontaire pour aller en première ligne.

J’ai aussi entendu Pascal Praud… Israël s’énerver contre Leroy Merlin, pour avoir poussé le goût du bricolage jusqu’à céder aux injonctions des « marteaux » complètement à « l’Hamas » de sleeping Giants et de LFI en retirant ses publicités sur le YouTube du magazine « Frontières ».
Un magazine qualifié abusivement « d’extrême droite » alors qu’il se contente de taper principalement sur l’immigration musulmane en tentant de nous la faire assimiler au Hamas pour justifier la transformation de Gaza en boulodrome et nous faire oublier qui est derrière ladite immigration qui n’est pas que musulmane (Soral, sors de ce corps !). 
 
Comme tout ça est maquillé en journal « de droite » de la même façon que LFI est maquillée en parti « de gauche », faute d’explication de texte, l’enseigne s’est pris un shitstorm de diplodocus diarrhéique un jour d’ouragan sur les réseaux sociaux et une campagne de Boycott, parfaitement justifiée, non pas tant pour sa prise de position qui, déjà, n’a pas sa place dans une enseigne de bricolage, que pour avoir cédé aux injonctions de fanatiques minoritaires qui essaient depuis trop longtemps de faire taire et de détruire économiquement tous ceux qui ne pensent pas comme eux. Dommage que Praud et consorts aient eu piscine quand la même chose, en pire, est arrivée au journal Rivarol qui, c’est vrai, aime son prochain plutôt « al dente » quand il en manque un bout et qu’il devient arrogant, mais la liberté d’expression ne saurait être à la carte.

C’est, comme toujours, avec un petit décalage, un copié-collé de ce qui s’est passé aux USA avec, depuis Budweiser et autres, la prise de conscience de ceux qui vivent dans la réalité, du fait qu’ils étaient majoritaires et avaient le pouvoir économique de renverser la dictature culturelle, dans un premier temps, d’une minorité qui vit, elle, dans l’idéologie conceptuelle des licornes arc-en-ciel et des plugs anaux écoresponsables. Ensuite, chose impensable en France où seul le lobby breton pose problème, depuis l’affaire Epstein et la Palestine, la vindicte populaire US a, dans son collimateur, les élites d’une autre minorité, elle ethnoreligieuse. C’est une véritable croisade qui est menée par le tout jeune Nick Fuentes lequel a réussi à s’évader de son enclos médiatique et renverse tout sur son passage comme une Mathilde Panot dans un magasin de porcelaine. 
 
Il est même rejoint sur cette ligne par les plus gros influenceurs politiques des USA comme Tucker Carlson et Candace Owens appuyés (alliance à la Spartacus inédite et impossible en France où tout est bien cadenassé par des bureaux politiques complices qui vivent de la fracture droite-gauche) par des voix de gauche plutôt radicales comme Anna Casparian. Tout ce beau monde affirme que l’équivalent US, mais puissance 10… négociable, de notre CRIF bien aimé (lequel n’a, pour seule finalité, que la prospérité de la France) à savoir l’AIPAC, contrôlerait et financerait la quasi-totalité des membres du congrès afin que des sommes substantielles soient versées, sans contrepartie, à Israël, en sus des armes et d’un soutien politique et militaire. Pendant ce temps, les citoyens américains, eux, tentent de joindre les deux bouts de plus en plus difficilement et se retrouvent complices, malgré eux, d’un massacre qu’ils désapprouvent majoritairement. Ça me rappelle vaguement un truc, mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus.

Toujours est-il que la pression populaire est telle que la Chambre et le Sénat ont dû voter à la quasi-unanimité la publication des dossiers Epstein, lequel menait une opération de chantage organisé supposément pour le compte d’Israël (et peut-être aussi un peu pour la CIA). Un vote qui a contraint Trump à s’exécuter après avoir perdu une partie de sa crédibilité et de sa base en traînant les pieds pendant des mois sur cette affaire en dépit de ses promesses de campagne. Des dossiers dont les premières fuites, façon Panama « pampers », font apparaître, entre autres, qu’il aurait, lors d’une soirée de débauche, pratiqué une fellation sur un certain BaBa (et non BiBi, contre toute attente) ce qui s’avère être un des surnoms de Bill Clinton lequel, interrogé, n’a pas démenti se contentant de plagier le sourire de la Joconde. De quoi amuser la populace un petit moment.

Tout cela reste quand même gentillet, une opposition d’essence chrétienne, a fortiori presbytérienne ou catholique post-Vatican 2 ne pouvant pas dépasser un certain niveau de critique de la maison mère, sans remettre en cause ses propres fondamentaux. Même constat pour le révisionnisme (dont l’IA GROK est venue renforcer les rangs cette semaine en déterrant des études officielles qui contredisent le narratif). Pour aussi choquant que puisse paraître le fait de mégoter sur le nombre de victimes, l’intention ou encore le modus operandi, faute d’aller jusqu’à justifier le massacre, ce qu’aucun bon chrétien ne saurait valider, ledit révisionnisme ne fait qu’écorner, quand il ne la renforce pas, la gangue de culpabilité collective dans laquelle nous sommes englués, atteignant à peine le stade 1 de l’antisémitisme que je qualifierais de « larvaire ». Stade dépeint abusivement comme la position la plus extrême plaçant le curseur repoussoir de la fenêtre d’Overton à une position qui ne remet pas en cause l’édifice, contrairement à ce qui pourrait le remplacer. C’est probablement la raison pour laquelle lesdits révisionnistes, s’ils sont certes persécutés pour l’exemple, ne passent pas mystérieusement l’arme à gauche par une après-midi particulièrement Mossad.

Avec ce qui s’est passé en Palestine et l’arrogance vraiment pas maline de certains, tout ça a volé en éclats et, aux USA tout au moins, on est passé au stade 2 qui jongle avec la limite conceptuelle du très catholique revendiqué Nick Fuentes : « l’indifférence négative ». Si je caricature, on peut résumer sa position par : « finalement, même si Hitler a tué quelques gazillions de Netanyahou potentiels et retardé le dépôt du brevet du stylo-bille, ce qui va à l’encontre de nos valeurs chrétiennes, on s’en fout quand même un peu d’autant qu’on n’y est pour rien. Cela ne donne donc pas un blanc-seing au peuple élu (par personne que je connais, en tout cas) pour faire ce qu’il veut chez nous, d’autant qu’il a un « chez lui » ailleurs !  America first ! ». 
 
Le rôle de Fuentes, qu’il en soit conscient ou non, est de s’en tenir là et d’empêcher, avec le bouclier de ses valeurs catholiques et universalistes, le second barrage de céder et de se voir dépassé par une proposition encore plus radicale qu’on pourrait qualifier de « stade 3 ». C’est la raison pour laquelle on l’a laissé percer, à contrecœur, car il est important, en « démocratie », pour tout pouvoir, de contrôler les propositions extrêmes de façon, encore une fois, à bien maintenir la fenêtre d’Overton dans une latitude acceptable. Un peu comme quand, après avoir décalé le RN vers le rond central dilaté apprécié par nombre de ses cadres, on a verrouillé les positions « d’extrême droite » avec Knafo et Zemmour pour éviter tout dérapage antisémite ou position anti-israélienne susceptible de provoquer un consensus « droite-gauche » qui ferait exploser un système  entièrement fondé sur cette opposition factice. 
 
Le problème, avec Fuentes, est que le gars est tellement bon communicant qu’il attire en masse au lieu de jouer les épouvantails et que cette masse, par sa force d’inertie, est déjà en train de le dépasser. Quand on lit les commentaires d’une discussion sur Hitler entre Tucker Carlson et Alex Jones, ce qui déjà, en soi, aurait été inimaginable il y a 6 mois, si les deux marchent encore sur des œufs avec des chaussettes rembourrées, les auditeurs, eux, commencent à sérieusement réhabiliter le peintre autrichien. 
 
Un peintre qui, selon une étude scientifique forcément impartiale et au conditionnel de son ADN, parue cette semaine, aurait eu un seul testicule et un micropénis, comme quoi le nazisme c’est dangereux, qu’on se le dise une fois pour toutes. 
 
Non seulement ça, mais on est clairement passé, dans une décomplexion totale, dans la majorité desdits commentaires, de « 6 millions quelle horreur ! » à « bof ! » puis à « c’est tout ? » ce que j’appelle le « stade 3 ». La réponse épidermique quasi pavlovienne au génocide, inculquée de force aux populations semble désormais se retourner contre les victimes dès lors qu’elles sont perçues comme devenues à leur tour bourreaux. Je vois mal, à ce stade, comment le dentifrice va pouvoir re rentrer dans le tube, la fenêtre d’Overton précédemment évoquée se déplaçant désormais plus vite que Gérard Larcher vers la cantine.

À cela s’ajoute le fait que, la nature ayant horreur du vide, poussée dans le but de détruire le nationalisme originellement organisé autour de la race, chose qui a, certes, une fâcheuse tendance à conduire à l’exclusion des minorités inassimilables, l’immigration de masse l’a simplement fait muter en le recentrant sur le seul point commun possible qui reste dans un pays mélangé : la détestation d’un ennemi désigné accusé de tous les maux. En raison du comportement de Netanyahou, en dépit des efforts des élites et de l’accord Macron-Zelensky pour la fourniture (on suppose en leasing) de 100 rafales, cet ennemi dérivatif ne sera ni les Russes, ni les Chinois. Une situation, à terme, beaucoup plus dangereuse, donc, pour ceux qui ont scié la branche sur laquelle ils étaient pourtant confortablement assis, d’autant que si elle perd le soutien américain l’existence même d’Israël pourrait être compromise, les privant d’une solution de repli.

Deuxième erreur majeure : la censure à outrance laquelle, de même que Hitler est arrivé au pouvoir après un passage en prison et que Nick Fuentes a subi les pires brimades, si elle fonctionne dans un premier temps, finit toujours, comme un boomerang, par revenir à la figure de celui qui la lance, avec une force décuplée.


dimanche 16 novembre 2025

Ça va être un CATACLYSME. Pendant ce temps, les députés : tous « députent » (16/11/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/t0Pi_R2iTOY

Bonjour !

Sarkozy est sorti d’un coup, comme quoi les yaourts au Bifidus ça favorise vraiment l’évacuation des selles. Les « selles » et ceux, en revanche, supposés voter un budget de merde pour 2026, manquent visiblement de fibres patriotiques et le transit procédural est en voie de constipation. Le vote de la partie « recettes » qui s’est mué en véritable concours Lépine (rien à voir avec Brigitte) de l’invention de taxes et qui devait avoir lieu ce lundi est, en effet (non laxatif), de nouveau retardé. « Mieux vaut têtard que jamais ! » aurait pu dire la grenouille verte géante, certes sans appendices de Première dame ou autre hommage déguisé aux poilus de 14, mais exposée en position levrette, l’anus optimisé pour Bruno Le Maire, sur la place Vendôme (qui avait déjà accueilli un plug anal lui aussi en vert et contre tout) et enlevée dès le début de la discussion parlementaire dudit budget, comme un passage de flambeau. 
 
Toujours est-il que l’idée d’un député de la même couleur de supprimer le désormais polémique alcool servi gratuitement (sur les frais de « fonctionnement ») à la buvette de l’assemblée, pour peu qu’on adopte le régime carcéral de Sarkozy en le remplaçant par du yaourt liquide, pourrait peut-être fluidifier les choses. On pourrait même proposer du yaourt salé sauf si ceux qui le « Boualem Sansal », lui aussi libéré. Dans tous les cas la probabilité d’un budget en équilibre avoisine celle d’une grève de la faim de Gérard Larcher, même si farouchement opposé à ce que l’on touche aux buvettes parlementaires.

On a déjà eu un avant-goût avec, en parallèle, le vote du budget de la sécurité sociale en déficit de 26 milliards ce qui, en pièces de 1 euro, représente un tas de 11.159 km de haut, mais ne semble choquer personne. Il est évident que l’examen des problématiques par le petit bout de la lorgnette en perdant la vue d’ensemble et qui fait que l’on se chamaille à propos du diamètre des joints pour colmater les fuites de robinets dans les lavabos des toilettes sur un Titanic qui coule, n’est pas la meilleure approche. Aujourd’hui Vanessa Paradis chanterait « Joe le taxé », mais pas question de faire du Milei sur les gaspillages, avec les diverses échéances électorales qui s’approchent, d’autant que les médias font déjà des projections de scores pour les présidentielles. 
 
Le pompon revient à France Info qui a publié un graphique avec des rectangles ne correspondant pas aux pourcentages affichés, François Hollande et Xavier Bertrand étant mieux dotés que les autres. Même si ce n’est pas, paraît-il, la taille qui compte, ils se sont quand même excusés en publiant un nouveau graphique à la bonne échelle… mais ils ont trop poussé le souci de réalisme en circoncisant le rectangle d’Éric Zemmour. Pour ma part, je trouve que c’est quand même un peu antisémite d’autant qu’il est représenté en noir comme s’il était calciné, autre façon d’expliquer le tassement. 
 
Tout cela n’est bien sûr qu’une manœuvre pour nous focaliser sur les présidentielles et nous faire attendre patiemment la prochaine escroquerie démocratique alors qu’il reste encore plus d’un an et demi de Macronie devant nous. En tous les cas, France Info s’en sort mieux que la BBC, tout aussi pourrie, qui, pour avoir sciemment saucissonné un discours de Trump afin de lui faire dire qu’il encourageait ses partisans, en 2021, à prendre d’assaut le Capitole, se voit exiger non seulement des excuses publiques, mais 5 milliards de dollars de dommages et intérêts. Comme dirait Léa Salamé profond, dont la seule présence fait perdre 500 000 téléspectateurs au journal de 20 Heures, spectateurs qui reviennent dès qu’on met un stagiaire à sa place et repartent dès qu’elle rentre de vacances : « Alors, la BBC, comment ça va ? »

Il convient cependant de relativiser tout ce cirque politico-médiatique, car nous risquons d’être balayés comme des fœtus de paille dans une clinique d’avortement pour épouvantails par le tsunami consécutif à l’explosion de la bulle IA et ce bien avant que Macron ait le temps de nous achever. Pour bien comprendre ce qui se passe, il faut savoir que l’IA nécessite des quantités astronomiques d’énergie et de puissance de calcul pour deux choses distinctes : l’entraînement et l’inférence (terme qui désigne en gros la réponse aux requêtes des utilisateurs une fois le modèle entraîné, parce que dire « l’utilisation » aurait été trop simple).
 
La première partie coûte des centaines de milliards, mais une fois achevée, le modèle produit tient sur un disque dur et si ce disque est distribué gratuitement, lesdits milliards passent par pertes et profit. C’est la raison pour laquelle la Chine produit, elle, toutes ses IA en open source afin de torpiller le modèle économique des compagnies privées américaines, les contraignant à produire des modèles toujours plus puissants, toujours plus vite pour rester en tête de course, ce qui suppose des investissements exponentiels. Il faut bien comprendre que le matériel se périme vite et que se pose le problème de l’alimentation électrique sachant qu’il faut construire littéralement autant de centrales nucléaires que de datacenters, ce que les USA sont en incapacité de faire. 
 
Les Chinois, eux, non seulement n’ont pas ce problème, mais comme on l’a vu depuis deepseek (qu’on pourrait traduire par « cherche profond », façon fistinière, ce qui n’est certainement pas un hasard) ils ont développé des astuces d’optimisation logicielles faisant que le coût d’apprentissage de leurs modèles est des dizaines de fois moins élevé que pour les Américains. Par ailleurs, l’open source permet à toutes leurs compagnies de partager leurs informations et de mutualiser certaines dépenses au lieu d’être en concurrence, le tout coordonné par l’état central dans une forme d’économie nationaliste dirigée, mais pas bridée (ce qui pour des Chinois demande un effort). 
 
Un modèle qui a fait ses preuves dans une certaine Allemagne d’un point de vue économique, mais qui a été jeté avec l’eau du bain et le petit moustachu à frange au profit d’un capitalisme en roue libre qui finit toujours par acheter l’état dans une optique de maximisation des profits à court terme. L’open source et le partage, une fois orientés par un état fort, dans le cadre d’une politique nationaliste à long terme, démultiplient les avancées techniques, l’IA n’étant dès lors qu’un instrument destiné à améliorer l’outil de production (encore faut-il en avoir un) et, contrairement à la voie empruntée par les Américains, n’a donc pas besoin de chercher une rentabilité spécifique puisqu’elle est rentabilisée automatiquement par les gains en productivité.

C’est Trump tout seul qui a provoqué la situation en interdisant la vente à la Chine des meilleurs GPUs américains, perdant une occasion de la rendre dépendante à son écosystème et la poussant pratiquement à développer le sien. Désormais, c’est l’inverse et c’est la Chine qui a interdit l’utilisation des processeurs graphiques et des puces made in USA, ce qui va avoir d’énormes répercussions financières. Bref la méthode Trump typique de la conquête de l’Ouest, consistant à envoyer la cavalerie et à tout écraser par la force aurait encore pu fonctionner durant son premier mandat, mais, même si la Chine y a probablement laissé plus de plumes que ce qu’elle veut bien admettre, entre temps la multipolarisation s’est trop renforcée et le dollar a trop perdu de sa superbe pour que la stratégie soit payante et le palmipède orange se retrouve le dindon de la farce traité, sans prendre de baguettes, comme un « connard laqué ».

Il ne peut toutefois pas revenir en arrière, sauf à concéder sa défaite, d’autant que l’économie américaine s’est déjà effondrée, la plupart des chaînes connues de Fast-food sont au bord du dépôt de bilan et ferment leurs établissements par centaines tandis que ledit Trump, après la suggestion de crédits immobiliers sur 50 ans, parle de distribuer 2000 dollars de monnaie hélicoptère à chaque Américain pour atténuer un peu le mécontentement qui gronde. Seule la bulle IA permet de masquer la situation et de donner une illusion artificielle de croissance.

Coincés dans une stratégie sans issue, les géants du secteur américain de l’IA ont des revenus (à ne pas confondre avec des bénéfices) sans commune mesure avec leurs investissements gigantesques et encore moins avec leur cotation en bourse. Investissements par ailleurs non pérennes puisque contrairement à une sorbetière qui pourra continuer à produire si on n’investit plus, sans investissement exponentiel l’IA, elle, se casse la figure, les datacenters d’hier ne pouvant pas accueillir les IA de demain. Pire, les compagnies ont monté un système d’économie circulaire qui tourne à vide en s’achetant mutuellement du matériel et des services sans commune mesure avec les besoins faisant, par exemple, que Microsoft croule sous les GPU nvidia qui prennent la poussière faute d’apport électrique suffisant pour les faire fonctionner.

La seule chose qui pourrait théoriquement rapporter est l’inférence, sachant que pour héberger, sur son propre ordinateur, un modèle avec le même temps de réponse que ce que proposent les fournisseurs en ligne (notamment pour générer des vidéos), il faut investir environ 8000€ de matériel qui se périme vite et consommer l’équivalent de deux radiateurs de chauffage. Pour autant, tout le monde n’a pas besoin de la puissance maximale et grâce aux modèles open source et à la technologie de quantisation qui permet de sacrifier un peu de fiabilité, mais de produire des versions beaucoup plus petites desdits modèles, de plus en plus de gens hébergent leur propre IA, notamment des LLM, avec un matériel modeste. 
 
La majorité des autres se contente de l’offre gratuite en ligne qui satisfait déjà aux besoins de l’utilisateur lambda ou se tourne vers la concurrence des AI chinoises nettement moins chères qui tirent les prix vers le bas et compromettent toute perspective de rentabilité du système. Pour ne rien arranger, lesdits Chinois ont, par ailleurs, développé leurs propres processeurs, franchissant ces jours-ci la barre des 3 nanomètres avec une technologie nettement moins onéreuse que celle des Pays-Bas qui avaient, jusqu’ici, le monopole mondial des machines à graver les puces à cette finesse, faisant que, d’ici un an, le temps d’atteindre la production de masse, nous serons probablement envahis de processeurs bon marché qui permettront l’explosion de l’inférence domestique y compris sur smartphone et contribueront à dynamiter notamment nvidia, navire amiral de l’économie US.

Pas étonnant, dans ces conditions, qu’un certain nombre d’opérateurs majeurs se soient déjà positionnés à la baisse, pariant des milliards sur l’explosion à court terme de la bulle, que des compagnies comme SoftBank liquident leurs actions à toute vitesse et que Sam Altman, anticipant que le « chat va péter » supplie l’état de se porter garant pour Open AI, tandis que les rumeurs d’explosion sont en train d’enfler un peu partout.

Autant dire qu’en cas de déflagration, tout le monde va essayer de récupérer ses billes, demander à être payé à ses débiteurs pour se renflouer, tandis que les USA vont piller leurs vassaux jusqu’à la moelle et que plus personne ne voudra prêter un centime. Donc pas besoin d’une grande imagination pour supputer ce qui se passerait, dans cette hypothèse, dans une France endettée, sans la moindre autonomie industrielle, alimentaire et énergétique, sans sentiment national et de solidarité pour cause de remplacement de population, avec, en cas de pénuries, le pillage de tout ce qui bouge par des milliers d’individus avec QI à un chiffre et demi et la retenue morale d’une hyène épileptique.


dimanche 9 novembre 2025

Je ne voulais pas parler de pédophilie, mais…. (09/11/2025)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/F-cveLFxO64

Bonjour !

La classe politico-médiatique a, d’ordinaire, la volubilité d’un morpion retrouvé en état de choc dans le lit conjugal présidentiel concernant la pédophilie en général et celle de réseau en particulier. La triste vérité, que personne ne veut regarder en face, étant qu’il y a certainement plus de pédophiles en France que d’électeurs d’Asselineau, d’autant que, statistiquement, comme pour tous les partis, il doit s’en trouver qui votent pour lui, mais discrètement, et c’est sympa de leur part parce qu’une bannière « les pédophiles pour le Frexit » pourrait être contre-productive. Les optimistes m’objecteront qu’il y a probablement aussi davantage d’hétérochromes unijambistes que d’électeurs d’Asselineau, mais c’est un autre débat. 
 
Il est donc surprenant que cette même classe politico-médiatique, enfourche (b)analement son blanc destrier et fonce tel Don Quichotte vers un moulin à vent en hurlant : « Couvrez ce « Shein » que je ne saurais voir ! » avec la même hypocrisie que le Tartuffe de Molière à la « soudaine » découverte de poupées à caractère pédopornographique made in China. En gros pendant que de vrais gosses se font maltraiter dans l’indifférence générale, c’est le « branle » bas de combat contre la vente de bouts de plastique qui eux ne souffrent pas quand on les …

Toujours cette maladie typiquement « républicaine » qui tend à remplacer la réalité par des concepts foireux comme « liberté, égalité, fraternité » dont nul n’a jamais vu la matérialisation concrète (et pour cause) et fait qu’on s’excite sur les symboles tout en fermant les yeux sur les actes, refusant de voir ladite réalité forcément d’extrême droite au même titre que la gravité (celle de Newton, pas de la situation). Cela explique, par exemple, dans la même veine, pourquoi on punit les vrais délinquants avec des cartes OQTF à collectionner et des stages de poney et qu’on sanctionne lourdement, en revanche, les opinions et les idées, qualifiées de discours « de haine », lesquels, même si parfois « tranchants », n’ont jamais, eux, égorgé personne. Si, d’après l’admission implicite de nos politiciens, les gens sont suffisamment cons et influençables pour qu’on soit obligés de limiter la liberté d’expression, le suffrage universel est donc, de facto, une vaste plaisanterie. CQFD.

Nonobstant, on va tenter de nous faire croire qu’un dérangé mental, qui manque de manières pour un « poly »toxicomane (dont, exceptionnellement, parce qu’il est, nous dit-on avec gourmandise, « caucasien », on a eu le pedigree jusqu’à la couleur du slip dans les 5 minutes) après avoir fait des démarches pour se faire baptiser à l’église, a, logiquement, fauché des personnes en voiture sur l’île d’Oléron en criant Allah Akbar, non parce qu’il a été influencé par un « sentiment » d’immigration de masse qui l’a mis dans le même état, mais parce qu’il aura visionné une vidéo sur X ou sur TikTok. Il est donc, paraît-il, urgent d’interdire les réseaux sociaux et, cela tombe bien, pile au moment où Macron, parti en célibataire faire le pitre au Brésil, après avoir annoncé qu’il lâchait un « manche » indéterminé, fait le forcing pour vendre l’idée avant que l’affaire Brigitte n’arrive à son inévitable conclusion. 

Outre le fait que bannir Shein et consorts relève d’une volonté politique, clairement affichée antérieurement et que cela donne un prétexte supplémentaire pour le faire dans le seul but (puisqu’il n’y a plus d’industrie textile à sauver en France) de priver les gens en perte de pouvoir d’achat, à qui on cherche à retirer la possibilité de découvert bancaire, de celle de s’habiller à peu de frais avec des produits toxiques, en payant, les salauds, moins de TVA à l’état que pour les mêmes, tout aussi toxiques, mais avec un coefficient multiplicateur de 10 dans les commerces traditionnels, en dehors d’une position purement morale tout à fait compréhensible et d’un réflexe vomitif naturel chez toute personne normalement constituée (mais qui est une grosse ficelle pour se faire manipuler par l’émotion) faire la chasse à ces poupées revient à changer le joint du lavabo dans les toilettes du Titanic après la supposée collision contre un iceberg. 

Même en faisant fi de leur indice carbone plus faible qu’une réplique, à l’échelle, de Mathilde Panot, les rendant vertueuses pour la planète (si j’ai bien compris la logique écologique), si on pousse le raisonnement, la seule différence avec des poupées ordinaires réalistes qui restent autorisées est que celles-ci sont munies d’orifices et qu’on n’a pas pensé à les renommer « tirelires ». Donc, comme pour l’emmental on paye pour les trous sachant que rien n’empêche d’en percer avec une mèche de 10 qui devrait suffire pour ce type d’individu, ou alors de proposer des versions en kit avec accessoires vendus séparément, car s’il y a une demande, un biais sera forcément trouvé du fait, notamment, de la difficulté à déterminer si un bout de caoutchouc a atteint la puberté. 
 
Et je ne parle même pas de l’IA, notamment open source et non censurée hébergée sur des ordinateurs personnels qui permettra de produire, entre autres, du contenu pédopornographique à la chaîne, peut-être même avec des elfes ou des martiens prépubères histoire de compliquer la chose. Casser le thermomètre n’ayant jamais résolu quoi que ce soit, la véritable question qui se pose est simplement de savoir si ce genre de pis-aller est de nature à offrir à des dégénérés une alternative aux vrais enfants ou si, au contraire, il incite au passage à l’acte. Question fondamentale que je n’ai pas entendu poser.

Côté positif, entre les robots sexuels de plus en plus sophistiqués et la profusion des vidéos IA dans lesquelles aucun véritable enfant, humain ou non, n’aura été molesté, il est probable qu’au moins, en l’absence de demande, l’intérêt financier à produire de vrais films avec de vraies victimes finisse par s’évaporer et que cette industrie devienne totalement marginale. Idem, par ailleurs, pour le porno, autre plaie sociétale, dont je pense que les jours, en tant que manne financière, sont comptés, ne pouvant rivaliser avec une usine à animer les fantasmes. Difficile en effet pour une hardeuse de faire le poids face une créature extraterrestre bleue d’alpha du centaure dotée de 2 pénis et 3 vagins partouzant avec un fox à poil dur et Brigitte Macron (pour les plus dépravés) dont on peut supputer que « l’épais dos file » sur les draps en soie. 

Si l’on considère que la demande du toujours plus pour maintenir sa dose de dopamine fait que, par exemple, les gros consommateurs de porno perdent tout intérêt pour les véritables et banales relations physiques avec de vrais partenaires, ce qui commence même à devenir un problème sociétal, on peut donc raisonnablement penser que la crainte répandue selon laquelle laisser des pervers s’astiquer le poireau sur un bout de plastique en regardant des vidéos IA, joignant le pathétique à la dégénérescence, les pousserait au passage à l’acte est peut-être pessimiste. 
 
Par ailleurs, contrairement aux enfants que l’éducation nationale force à avoir des préoccupations sexuelles qui ne sont pas de leur âge, chose qu’on trouve apparemment normale puisque les gens laissent faire, concernant les adultes, en revanche, s’ils ne sont pas sous l’effet de certaines substances qui peuvent les rendre influençables, auquel cas, ce sont elles le problème, s’ils sont tentés par des images ou par l’achat de ce genre de poupées qui ne figurent probablement pas en page d’accueil du site et qu’il doit quand même falloir un peu chercher, c’est que le ver était déjà dans le fruit et que, certainement, s’ils doivent passer à l’acte, ils le feront poupées ou pas. 
Dites-moi ce que vous en pensez en commentaire.

Toujours est-il que, hors pédophilie de réseau laquelle a des moteurs spécifiques, on a peut-être mis la charrue avant les bœufs et que c’est peut-être, à l’inverse, le terrain qui a changé et qui permet à ces perversions, qui ont certes toujours existé, de faire leur nid dans des proportions croissantes. Il y a de nombreuse explications possibles, y compris les perturbateurs endocriniens et autres microplastiques qui font changer les poissons de sexe (heureusement Brigitte Macron est Bélier), l’abus de substances stupéfiantes, l’oisiveté qu’elle soit choisie ou forcée (je doute en effet que la chose ait pu être la préoccupation première des gens qui passaient leur journée au fond d’une mine à donner des coups de pioche, à supposer qu’il leur soit resté assez d’énergie), la misère sexuelle et la castration sociétale des hommes dans une société « féministe » qui fait que, pour certains, les enfants sont les seuls sur lesquels ils peuvent encore avoir une illusion de pouvoir inversement proportionnelle à leur insignifiance, la domination étant inhérente à la libido masculine. 
 
Hommes qui, il faut le préciser, n’ont pas, pour autant, tant s’en faut, le monopole de la pratique et si quelqu’un a une explication à ce qui peut motiver des femmes à faire de même, merci de m’éclairer dans les commentaires, car cela me dépasse. Et je ne parle pas des sociétés chez lesquelles la chose est un fait culturel, dont certaines viennent copieusement nous enrichir, ajoutant même la gérontophilie histoire de ne pas faire de jaloux, hormis peut-être quelques chèvres. 

Au final, notre société décadente est malade et l’explosion de la pédophilie dont Bétharram et autres ne sont que le sommet de l’Iceberg, perversion qui représente une masse financière considérable (et je ne serais pas surpris qu’après la prostitution et la drogue, notre Mozart de la Finance l’inclue, elle aussi, dans le calcul du PIB) en est juste un des symptômes terminaux. 
 
Si je me sens autant concerné par la problématique (dont contrairement à d’autres, je peux parler, car ma chaîne n’est pas, par choix, monétisée) c’est qu’un jour j’ai appris par une ancienne voisine chez laquelle ma fille, quand elle était gamine, allait jouer de temps à autre et en qui j’avais d’autant plus confiance qu’elle était assistante maternelle de profession, que son compagnon de l’époque avait ce genre de perversion. Bien sûr, dès qu’elle l’a découvert, elle l’a chassé après l’avoir dénoncé à la police, m’assurant qu’elle n’avait jamais laissé la gamine seule avec lui et qu’il ne s’était rien passé, d’autant que son truc, d’après les photos qu’elle avait trouvées sur son ordinateur, c’était plutôt les petits garçons. Pour autant, cette révélation m’a littéralement glacé le sang et je me suis senti submergé par la culpabilité de ma négligence, qui ne m’a pas lâché, encore à ce jour, pour avoir aussi longtemps balayé la chose comme un phénomène marginal, hors de ma compréhension et qui ne me concernait pas.

D’où mon énervement face à ce foutage de gueule. Car faire la chasse à des bouts de caoutchouc qui sont en vente libre dans une grande partie de l’Asie, avec 200.000 colis ouverts par la Douane dans une opération coup de poing médiatique, visant une seule enseigne et qui ne pourra pas être maintenue sur la durée en raison d’un manque de moyens et d’effectifs, est juste une façon hypocrite de faire semblant alors que le fond du problème, lui, ne fait qu’empirer.

Se limiter à ça, c’est un peu comme les wagons « spécial-femmes » dans les transports en commun, non pas avec un châssis renforcé, mais soi-disant pour les protéger : si on ne dit pas « de qui », c’est qu’on n’a aucune intention de résoudre le problème. Pire, on perd de vue l’essentiel : la lutte contre la pédophilie, qu’on ne met en avant que quand il s’agit de faire passer des lois liberticides, sans jamais s’attaquer au cœur dudit problème, a pour but premier de protéger les enfants, les vrais pas ceux en caoutchouc ou des considérations morales lesquelles ne sont pas, d’ailleurs, aussi universelles qu’on le croit quand on voit comment on les traite ailleurs. Même chez nous, où les survivants de l’avortement sont de plus en plus considérés comme des empêcheurs de jouir sans entraves, ou à l’inverse, comme un simple objet de désir égoïste au même titre qu’une TV 4K sans oublier ceux qui les désignent comme des menaces pour la planète en raison de leur indice carbone. 
 
D’un point de vue purement pragmatique, qui est le seul qui compte, la nécessité vitale de protéger les enfants est un fait éminemment politique qui découle simplement du fait qu’ils sont les adultes de demain et que dans ce monde en pleine dégénérescence, sauf à vouloir mettre en place, non pas seulement une dictature laquelle peut parfois être positive, mais carrément une tyrannie, on a cruellement besoin d’adultes équilibrés. Je n’entre pas plus avant dans les détails, car j’ai déjà traité ce sujet sensible beaucoup plus en profondeur dans une précédente vidéo qui date déjà d’une dizaine d’années, mais qui reste, hélas, totalement d’actualité : je vous mets le lien dans la description.


dimanche 2 novembre 2025

FOU RIRE GARANTI ! (02/11/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/EMuJmb9zNew

TEXTE DE LA FABLE :

Une très vieille chatte, mais qui n’en avait point
Dotée entre ses pattes d’un suspect embonpoint
Et d’étranges mamelles de taille fluctuante
Lui donnant l’air femelle, mais fort peu allaitantes
Avait, déjà déclose, comme l’eût dit Ronsard
Séduit selon les gloses et un certain Poussard
Un chaton jouvenceau tétant encore sa mère
Les prenant au berceau, au sortir du primaire.
Pareil aux cheminées après un ramonage
Tout fut déterminé par l’excès de tirage
Et quand le jouvenceau, leur hymen célébré
Qui n’était point tant sot qu’un brin décérébré
Racolant les nigauds, quémanda leur suffrage
Il put, le saligaud, en biaisant les chiffrages
Se voir bombarder roi, et la bombarder reine
Au plus grand désarroi d’un peuple chat en peine.
La pécore à perruque, ayant un goût de chiottes,
Bien vite de hideux trucs, elle amasse, elle agiote
Gaspille moult deniers en tapis qui boulochent
Met les plats au grenier, remplacés par plus moches.
Son époux prétendu Mozart de la finance
Sur la truffe épandue quelque blanche substance
Tripoteur de matous au poil sombre et luisant
Prompt à toucher à tout, jusqu’à être épuisant
Eût tôt fait de ruiner un royaume où des rats
Furtifs et au long nez avaient, les scélérats
Fait adopter des textes, qui interdisaient d’être
Et sous aucun prétexte, aux chats, chez eux les maîtres.
De partout des bestioles, attirées par l’aubaine
Du mouton qui s’étiole, venaient tirer la laine.
Par le haut, par le bas, les caisses étaient pillées
Sans qu’il y eût de débat, franco sans sourciller.
Pendant ce temps la Reine, menait sa belle vie
Sans que rien ne la freine, limite ses envies
Se la jouant mondaine, entourée d’invertis
Férus de ses fredaines, par les iels divertis.
Le peuple remarqua qu’elle avait une queue
À quoi on rétorqua, sur un ton belliqueux
Que d’autre en avaient neuf, bien curieux animal
Au final rien de neuf, pour un chat c’est normal.
Certains petits malins lui en trouvèrent deux
Ce qui pour un félin, pouvait paraître hideux
Et on la disait homme, autant qu’un chat peut l’être
En disant homme en somme, on « diffame » peut-être.
Et pour quelque raison : inondation, salpêtre,
Plein d’eau dans sa maison, sortant par les fenêtres…
Elle n’a point de photos de ses jeunes années
Évaporées trop tôt, laissant sa peau tannée.
Chez tous les siens peut-être, cette satanée crue
A tout fait disparaître : un hasard, qui l’eût cru.
Ne pouvant point prouver qu’elle est une femelle
Tout ce qu’elle a trouvé, c’est tirer pêle-mêle
10 gueux, pris au hasard parmi ceux qui l’embêtent
Tirés par le falzar et qu’en prison elle jette
Tandis qu’on voit, fébrile, son époux censurer
Tout média non servile, toute voix non curée.
Par quelque seau d’eau mis… là pour tout nettoyer
Tout un peuple endormi, soudain s’est réveillé :
Tout juste 11% soutiennent encore le roi
Fond de cuve agaçant d’idiots en désarroi.
C’est la fin du chapitre, en un ou en deux mots
Qu’il renonce à son titre, s’il reçoit le mémo
Car la fin de l’histoire, je ne saurais le taire
Est pavée de déboires, chats gaulois réfractaires
Et autres miauleries, inclue la guillotine
Pour tous ceux qui se rient, ce qui inclut Titinne.
Moralité :
Tant va la cruche au travelo qu’à la fin elle se casse ... à vélo

 


 

dimanche 26 octobre 2025

MACRON TIRE-TOI ! (Sur l’air connu des « bronzés ») (26/10/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/xnsLtWf29zw


 Paroles sur l'air "darla dirladada" du film "Les Bronzés" :

Bien enkysté à l’Élysée (Macron tire-toi de là)
Comme un morpion. C’est la risée (Macron tire-toi de là)
Du monde entier. Des bruits circulent. (Macron tire-toi de là)
Certains disent que Jean-Mi l’en… (Macron tire-toi de là)

Avec son pantin Lecornu (Macron tire-toi de là)
Nommé 2 fois, soit « bis » cornu (Macron tire-toi de là)
On voit le roi, plus encore, nu (Macron tire-toi de là)

Rien ne fonctionne, tout part en couille (Macron tire-toi de là)
Nos ponts s’effondrent, les budgets douillent (Macron tire-toi de là)
Pourtant il « l’ouvre », comme le musée (Macron tire-toi de là)
Pillé sous nos yeux médusés (Macron tire-toi de là)

S’il nous reste la tour Eiffel  (Macron tire-toi de là)
C’est qu’elle n’est pas en cuivre bordel (Macron tire-toi de là)
M’a confié un romanichel (Macron tire-toi de là)

« Mozart est là ! » qu’on nous a dit (Macron tire-toi de là)
Dans les caisses y a plus un Radis (Macron tire-toi de là)
Donc j’en fais, devant ce carnage (Macron tire-toi de là)
« Mozart est là », tout un fromage (Macron tire-toi de là)

Pourtant pour eux y a du pognon (Macron tire-toi de là)
Ils bâfrent à s’exploser l’oignon (Macron tire-toi de là)
Bourrés de came jusqu’au trognon (Macron tire-toi de là)

Incidemment des églises crament (Macron tire-toi de là)
Des mégots, comme à Notre-Dame (Macron tire-toi de là)
C’est le far-« wesh » jusqu’à Paname (Macron tire-toi de là)
Coups de feu, de couteau et drames (Macron tire-toi de là)

On impose une immigration (Macron tire-toi de là)
Qui aime la CAF pas la nation (Macron tire-toi de là)
Et fait tout ce qu’elle veut sans sanctions (Macron tire-toi de là)

Sentiment d’insécurité ? (Macron tire-toi de là)
Ça deale à mort dans les cités  (Macron tire-toi de là)
Et quand t’entends Allah Akbar (Macron tire-toi de là)
Tu sais qu’il est déjà trop tard (Macron tire-toi de là)

Enrichissement dont le nectar (Macron tire-toi de là)
Serait Sarkozy plus Mokhtar (Macron tire-toi de là)
Dans la même cellule au Mitard (Macron tire-toi de là)

Il a mérité d’être en taule (Macron tire-toi de là)
Faudrait mettre Macron dans sa geôle (Macron tire-toi de là)
Et pourquoi pas Hollande aussi (Macron tire-toi de là)
Naguère on les eût raccourcis (Macron tire-toi de là)

Avec Robespierre en charrette (Macron tire-toi de là)
Mais si tous les traîtres on arrête (Macron tire-toi de là)
C’est des trains qu’il faut qu’on affrète (Macron tire-toi de là)

Jusqu’à quand Nicolas paiera ? (Macron tire-toi de là)
Et nous, les gueux, on se taira ? (Macron tire-toi de là)
C’est pas danser la farandole (Macron tire-toi de là)
Qui fera partir ces guignols (Macron tire-toi de là)
 

 

 

dimanche 19 octobre 2025

ÇA VA FAIRE TRÈS MAL ! + crash cryptos expliqué et autres news (19/10/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/dlUz1uA9onI

Bonjour !

Certains jours, je me sens comme les suspensions d’une voiture électrique à pédales conduite par Ersilia Soudais, transportant Mathilde Panot, la liste intégrale des genres LGBTQIA2S+ en 40 volumes reliés, plus Gérard Larcher pris en autostop après son petit-déjeuner, comme quoi, les éléphants ce n’est pas qu’au parti socialiste. Le futur est, en effet, tellement évident qu’on pourrait le lire dans une boule de Première dame et il n’est pas réjouissant.

Un total de 6 800 défaillances d’entreprises a été enregistré en France en septembre, ce qui constitue la pire période de rentrée depuis 2009 (en concurrence avec le record de Bonnie Blue si on met un s à « rentrée »), tandis qu’après Moody’s et Fitch c’est, cette fois, Standard & Poors qui dégrade notre note. Nos taux d’emprunt vont donc s’envoler avec un degré de certitude équivalent à la probabilité d’enrichissement culturel de toute personne de sexe féminin avec un record personnel supérieur à 9 secondes au 100m départ arrêté en escarpins, passant nuitamment sous un réverbère éteint pour des motifs écologiques. 
 
Une note qui baisse d’une octave en mode mineur, très difficile à jouer au pipeau, même avec l’orifice de prédilection de Bruno Le Maire transmis à ses successeurs, passant de AA- à A+, comme dans « à la revoyure… pour la prochaine salve ». Personne n’est dupe du fait que les prévisions de Bercy et les attentes relatives au budget 2026 sont aussi réalistes que l’espoir de vendre une voiture électrique d’occasion plus cher qu’un vibromasseur à piles.

Car oui, projet de budget il y a, puisque, bien sûr, tels des excréments de mouches coprophages atteintes de gastro-entérite dans une fosse septique, les députés PS et LR ont atteint, eux aussi, la quintessence de leur nature profonde et n’ont pas censuré Lecornu. Le biprotubérant s’est immédiatement mué en « taxator », ce qui sonne mieux qu’ « impôtstor », allant, pour rester dans le thème, en sus de 19 milliards d’impôts nouveaux, jusqu’à taxer discrètement nos poubelles sous forme d’augmentation de la TGAP (taxe générale sur les activités polluantes) intégrée dans la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (et non, hélas, politiques) qui va augmenter de 62% en 5 ans. 
 
L’illusoire gel aqueux à propriétés lubrifiantes de la réforme des retraites ne parvient pas à faire oublier que tandis qu’on gèle le barème de l’impôt sur le revenu et qu’on supprime l’abattement fiscal de 10 % pour les retraités, qu’on essaie d’économiser quelques millions d’euros en rognant sur les allocations familiales et les aides aux apprentis, qu’on sucre les avantages fiscaux des biocarburants (comme quoi, l’écologie…) et que Braun Poivrot veut faire un sort à ce « truc pas sain » qu’est l’héritage (pour ne citer que le sommet d’un iceberg de 390 pages), en dehors de quelques niches fiscales symboliques, toujours rien en vue sur les centaines de milliards dilapidés en tous sens pour faire vivre un système maffieux devenu pachydermique et qui peut sans sourciller blanchir Anne Hidalgo, en dépit de son bronzage, sur ses notes de frais hors climatisation, par le biais du Conseil d’État. 

Outre le fait que chaque centime raboté ira dans le pot commun et continuera à financer l’Ukraine, l’Union européenne, l’usine à navets du cinéma français, les associations politisées et pro-migrants, l’immigration de masse, la pléthore de comités Théodule et d’officines inutiles et les cadeaux à la finance internationale, sans compter Léa Salamé profond qui, comme son collègue du 13h, lit connement le même prompteur qui confond Dominique Bernard et Samuel Paty trop tôt, le taux de taxation est tel que le point d’inflexion de la fameuse courbe de Laffer est depuis longtemps dépassé. 
 
La théorie étant que, passé ce seuil, paradoxalement, toute hausse d’impôt se traduit par une baisse des recettes, les gens réduisant leurs dépenses (donc baisse des rentrées TVA), ou trouvant des expédients comme le travail au noir, le troc, l’échange ou des biais fiscaux en affinant leurs connaissances. En d’autres termes : « trop d’impôt tue l’impôt ! ». Ceux qui le peuvent profitent même des opportunités de s’exiler à l’étranger qui foisonnent : après Poutine qui offre des terres à tout Français anti-LGBT qui souhaite s’installer en Russie, c’est au tour de Trump d’opter pour une immigration de nouveau totalement européenne, c’est-à-dire blanche, avec priorité donnée à ceux qui sont persécutés pour leur opposition à l’immigration.

Comme il n’est pas question de toucher à l’énorme voie d’eau dans la coque du Titanic semblant issue de la rencontre fortuite entre Gabriel Attal ramassant des fraises et un mammouth homosexuel, les pantins qui nous gouvernent n’ont d’autre choix que de continuer à nous faire écoper la soute à la petite cuillère. Le projet inique de taxer les petits colis hors UE, jusqu’à 50€ pièce, enlevant aux plus modestes la possibilité de s’habiller en rapport à leur budget sur Temu ou Shein, et de compenser sur divers autres produits leur perte de pouvoir d’achat, en est un bon exemple et ne fera pas rentrer un centime supplémentaire, les fournisseurs chinois implantant désormais des entrepôts en France pour contourner la réglementation.

Petite consolation, la pourriture du système dépasse les frontières comme l’a démontré le gigantesque crack sur les cryptos cette semaine, Trump ayant volontairement annoncé des frais de douane gigantesques contre la Chine, un vendredi, à la fermeture des marchés, ne laissant que les cryptos aux investisseurs inquiets pour retirer leurs fonds à risque avant la tempête, dans l’idée de les placer en or ou autre. Le problème est que certains traders n’achètent pas vraiment les bitcoins et équivalents en temps réel et, dans l’intervalle, paient ceux qui croient en vendre avec les sommes de ceux qui croient en acheter. 
 
Ces plateformes n'ont pas tenu le choc face à une demande aussi subite, accroissant la panique en spirale et faisant baisser les cours de façon drastique. Par ailleurs, des millions d’investisseurs qui avaient succombé aux sirènes des effets de levier, consistant à acheter à crédit différé de la crypto pour plusieurs fois la somme réellement investie en tablant sur des hausses, une fois que leur perte a atteint le montant de leur apport personnel de garantie, ont vu leur position liquidée automatiquement, c’est-à-dire qu’ils ont tout perdu, même s’il y a eu un rebond juste après. 19 milliards de dollars se sont ainsi évaporés, tandis que certains initiés, on se demande bien par qui, se sont fait des attributs de Première dame en or et se sont engraissés.

On aimerait pouvoir en dire autant des habitants de Gaza, l’aide humanitaire arrivant à la vitesse d’exécution d’une OQTF en Seine Saint-Denis, en dépit d’un cessez-le-feu qui n’a pas empêché quelques assassinats nerveux et qui sera probablement piétiné par Netanyahu à la seconde où il aura récupéré les derniers bouts d’otages râclés sur les gravats, seul frein au soutien quasi unanime de sa population à ses velléités de faire de la zone une aire de stationnement géante. On verra bien si je me trompe et j’espère me tromper.


dimanche 12 octobre 2025

Tout se déroule comme prévu ! (12/10/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/BpDb-0tWejk

Bonjour!
 
Je connaissais la position du missionnaire, je découvre celle du démissionnaire, variante sodomite avec un va-et-vient accéléré… au poste de Premier ministre du même individu qui n’exclut pas, par ailleurs, de redémissionner. À sec, sans prévenir, même chez Gabriel Attal, ça passe mal. Il est vrai que le simple fait qu’on en était à envisager pour le poste Jean-Louis Borloo (Bor pour ses intimes, car il tient « loo » à distance) atteste d’un raclage intensif de fonds de tiroirs au tampon à récurer Scotch-Brite, les seuls qu’aurait, dit-on, jamais utilisés la Première dame. Lecornu n'est guère mieux, car, franchement, avec un nom pareil, si on « l’écorne » qu’est-ce qui reste ? Toujours est-il que je guette la passation de pouvoir entre lui et lui-même sur le perron de l’hôtel Matignon, cérémonie qui promet d’être un casse-tête protocolaire, ponctuée par la traditionnelle poignée de main que je ne voudrais louper sous aucun prétexte. Bref, un monumental floutage d’Hegel, comme dirait un philosophe à vision déficiente.

Tel un fusil, Macron a, dans sa chambre, quelque chose qu’il n’a jamais tiré… Je veux parler de sa dernière cartouche, qu’il vient d’ôter et de remettre, ce qui n’est pas aussi neutre qu’on pourrait le croire et me permet d’affiner mon analyse de la semaine dernière, laquelle reste parfaitement valable.

On sait désormais que, contrairement à ce qu’envisageait son éminence « petit gris » plutôt que grise, cornes obligent, Macron, qui après avoir mis le feu se carapate ce lundi en Égypte pour faire semblant d’avoir joué un rôle dans le plan de paix (de lapin) de Trump au Moyen-Orient, est trop orgueilleux pour lâcher la bride et refiler la patate chaude du budget au seul parlement en lui laissant totale liberté de discussion, d’amendement, de proposition et de vote. Par cette position, pour une fois « au-dessus » des partis (sans e), il aurait pourtant pu attendre tranquillement la fin de son mandat en inaugurant les chrysanthèmes transpistilaires, tout en distribuant notre pognon au monde entier. L’élément nouveau, passé presque inaperçu, est que les consultations ont fait apparaître que, contrairement à l’Alka Seltzer, une nette majorité des députés ne souhaite pas une dissolution, la soupe étant trop bonne. Il lui reste, dès lors, de la marge de manœuvre en jouant de cette menace.

Chaque jour de gagné diminue la fenêtre de tir des « opposants », un budget devant être voté d’ici à la fin de l’année, ce qui met la pression sur les députés, personne ne souhaitant porter la responsabilité de l’échec. Un échec, dont, cette fois-ci, les conséquences pourraient être cataclysmiques et faire s’envoler notre dette jusqu’à chatouiller les hémorroïdes de quelque martyr de l’islam déshydraté occupé à essayer de satisfaire sa 72e houri consécutive, la semaine des 35 houris n’étant probablement pas la règle au paradis. Tout ce qui leur reste, c’est le pouvoir, durant cette fenêtre de tir réduite, de censurer le gouvernement. Cela demeure, en effet, possible, hors 49-3, par une motion dite « spontanée » laquelle requiert la majorité absolue des membres « électiles » composant l’Assemblée nationale et non seulement des présents, soit exactement, si j’ai bien compté : la totalité des députés RN, LFI, écologistes et socialistes si pas d’épidémie de gastro-entérite et autres allergies aux dissolvants parlementaires. Il n’y a plus eu de censure de ce type depuis 1962.

Encore faudrait-il qu’il y ait un gouvernement à censurer d’où, à chaque fois (c’est toujours ça de gagné), la lenteur du gastéropode cornu à en désigner un, sachant que si les textes prévoient bien la démission dudit gouvernement en cas de censure, ils ne prévoient pas, en revanche, un délai pour la constitution d'un nouveau. Le gouvernement démissionnaire, et donc non censurable, lui, pourrait alors, théoriquement, continuer ad vitam aeternam à expédier les affaires courantes. De plus, en cas d’urgence, et cela y ressemble de plus en plus, il reste l’article 16, permettant à Macron de s’octroyer les pleins pouvoirs. Le seul recours des députés serait alors le Conseil constitutionnel, ConCon pour les intimes (avec Ferrand à sa tête… grâce au RN) qui seul, si consulté, peut siffler la fin de la récréation. Autant faire la danse de la pluie, avec une plume calée en tout endroit approprié.

Comme, en outre, personne n’est prêt pour les présidentielles, entre les procès des uns et les luttes d’ego des autres, aucune procédure de destitution qui, pourtant, s’imposerait ne point à l’horizon. Chacun fait semblant de s’opposer en demandant qui une démission, irréaliste s’agissant d’une bernique (la France) psychopathe accrochée à son rocher, qui une dissolution, dépendant elle aussi du bon vouloir de Macron. Bref, le problème est moins Macron que ces enfoirés de députés de tout bord qui ne font pas leur job et, plutôt que de manifester, il faudrait faire le siège de leurs permanences et de tout endroit public où ils se produisent pour qu’ils sentent un peu monter la pression populaire.
On pourrait, dans un premier temps, symboliquement leur offrir des fleurs, pourquoi pas des chrysanthèmes, justement. Ce n’est pas interdit par la loi, ce me semble.

À leur décharge, comme eût dit Benjamin Griveau que j’aurais bien vu occuper le poste, le système est totalement vicié et ne peut porter au pouvoir que la même engeance visqueuse. Si Macron est, incontestablement, le pire à ce jour, c’est simplement un record à battre pour le futur et quand je vois le pilodéficient Philippe, le dilaté Attal, Monsieur Léa Salamé, un Mélenchon la bave aux lèvres ou encore la femme à chats (dont un passablement flétri) qui a trahi tous ses fondamentaux, entre autres prétendants à la gamelle, je me dis qu’en poussant fort sur notre gros intestin collectif, il leur reste encore quelques centimètres de marge.

Outre un faux choix parmi des candidats présélectionnés compatibles et un système inique de signatures pour les présidentielles, entre les cons, les mal informés par les médias, les égoïstes qui ne voient que leur intérêt à court terme, ceux qui veulent sciemment détruire le pays, les désillusionnés qui ne votent plus, ceux qui sont trop occupés à tenter de boucler les fins de mois et ceux qui s’en foutent, comment cette soi-disant « démocratie », a fortiori représentative, ce qui diminue commodément le nombre de personnes à corrompre, pourrait-elle produire autre chose ?

Certes, il reste le bon sens populaire, supposé transcender tout ça et percevoir, par une mesure approximative de sa dilatation anale sur l’échelle de Bruno Le Maire, ce qui est bon ou mauvais pour les Français dont une majorité a compris que l’immigration, par exemple, était un problème, si l’on en croit les sondages. Mais qu’est-ce qu’on entend par « Français » au juste ? Faute de critères spécifiques, forcément ethniques et culturels, rendus tabous au nom d’un antiracisme suicidaire, si le monde entier peut être français, au nom de quoi déclarer illégitimes les milliards cramés dans l’immigration de masse de potentiels compatriotes ou offerts en cadeau à la finance que je qualifierai d’apatride pour ne pas être taxé d’antisémitisme dès lors qu’elle a collé le mot « France » quelque part sur son organigramme ? Finance dont, dans un cercle vicieux, les membres éminents poussent à toujours plus d’immigration et à la disparition de la sécurité que constituent les identités nationales à la lueur desquelles ils apparaîtraient pour ce qu’ils ne sont pas, à savoir des Français.

La république universaliste qui se fait passer pour la France n’autorise que des oppositions en carton qui divisent et s’autocontredisent, que ce soit la gauche « anticapitaliste », mais tout aussi pro-immigration que le grand capital qui finance en douce les antifas, la droite « catholique » (donc tout aussi universaliste) qui dénonce l’immigration comme un phénomène théorique désincarné et a une demi-molle à chaque fois qu’elle voit une personne de couleur agiter un drapeau tricolore, les enrhumés du gland divers, de droite et de gauche, qui débattent souvent devant un journaliste aussi sensible aux courants d’airs qu’eux pour expliquer aux Français pourquoi l’antisémitisme c’est mal et cela inclut jusqu’aux souverainistes, fondamentalement antiracistes et républicains, ce que je pense qu’est sincèrement Asselineau (ce qui n’est pas un compliment dans ma bouche) et que fait probablement semblant d’être Philippot qui a été trop longtemps au RN pour ne pas avoir pris la mesure du problème (au-delà des 20 premiers centimètres), mais a vraisemblablement réalisé que ce n’était pas compatible avec la logique électorale, en plus d’être illégal.

Bref, tout le monde, en tout cas la majorité, a bien compris qu’il n’y a aucun sauveur à l’horizon, ce qui explique, en partie, avec les frigos encore médiocrement achalandés, pourquoi il n’y a pas, encore, de révolution.

dimanche 5 octobre 2025

Macron est plus malin que nous, il vient de nous b… (05/10/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/t1ydkaroSC0

Bonjour !
 
J’ai écouté le pervers solitaire (faute d’avoir nommé un gouvernement) qui nous tient lieu de Premier ministre. Un ténia politique, roublard, à diplôme virtuel qui veut nous la mettre par là même d’où il est sorti. Tel que je le comprends, entre les lignes (qu’on espère pas de coke) le renoncement au 49-3 et la volonté de « rendre le pouvoir aux assemblées » signifient surtout : pas besoin d’engager la responsabilité du gouvernement, donc pas de motion de censure. Ce faisant, l’homme qui habite (plus une) à l’Élysée, faute d’autre fusible à sa disposition si « Lecornu » devait se « rhabiller », tire sa dernière cartouche dans l’idée de finir tranquillement son mandat au prix de lâcher le gouvernail. 
 
Hormis quelques propositions comme remplacer l’absurde taxe Zucman par une taxe sur le patrimoine financier non professionnel, centrée sur les holdings, qui ne fera lever aucun bouclier (même fiscal), mais n’est pas à la mesure du problème, Lecornu qui, par précaution, est célibataire, se défausse élégamment de la patate chaude du budget, laissée à l’appréciation sans restrictions d’une assemblée ingouvernable, sachant que, compte tenu de la trajectoire du Titanic (la France), l’objectif premier de la couler sera atteint de toute façon, personne n’ayant envie de toucher aux centaines de milliards dilapidés en subventions diverses, officines inutiles, mirage climatique, fraude sociale, immigration, train de vie de l’état et autres participations européennes sans le clientélisme et les bakchichs desquels cette république mafieuse s’effondrerait comme la poitrine de Roselyne Bachelot sans soutien-gorge. 
 
Ce que l’on appelle aux échecs un « pat » (tu me tiens, je te tiens par la barbichette - ou par ailleurs si affinités) dont la seule résolution serait de renverser l’échiquier par une procédure de destitution. Destitution à laquelle le RN est opposé pour des calculs de boutique, Marine Le Pen, bien que ménopausée s’étant rendue à la convocation avec un petit chat toujours vivant… transporté dans un panier, peut être avec un espoir que Lecornu y mette la main. Bref, à ce stade, Macron semble bien avoir gagné.
D’autant que, sauf parenthèse hautement saponifiable à bulles potentielles de la reconnaissance tardive du tas de ruines gazaoui qui ne mange pas de pain (ni quoi que ce soit d’autre, blocus oblige), sa capacité de nuisance à l’international reste intacte. 
 
L’arraisonnement d’un navire pétrolier russe, dans le but de se faire, là aussi, mousser lors de son voyage au Danemark, revient à tester le (jusque-là) très patient Poutine en espérant qu’à force de le titiller en quelque endroit dépourvu de fourrure, l’ours finira par réagir et entamer une guerre qu’il n’a aucun intérêt géostratégique à mener, et ce, dans une course contre la montre (d’où le discours lunaire du 3 octobre en Allemagne sur la nocivité des réseaux sociaux) avant que, confrontée à son bilan, toute cette clique de gouvernants européens doive rendre des comptes à la justice… populaire si l’autre ne fonctionne pas.

Tandis que l’Australie vient de nous classer en haut de la liste mondiale en matière d’insécurité dans ses conseils aux touristes et que ça canarde en pleine rue aux quatre coins de l’hexagone (ce qui n’est ni mathématiquement ni éthiquement correct), ladite justice semble avoir décidé de rediriger ses faibles ressources vers le haut. Je ne sais pas si le mot « tal » a un sens en dehors de l’univers numismatique, mais après Sarkozy dont la paire qu’il possède est la seule part honnête et dont tout ce qui dépasse des chaussures, même si ce n’est pas beaucoup, est foncièrement pourri (je vous renvoie à ma petite chanson récapitulative de la semaine dernière) on apprend que Gérard, Miller de rien, vient enfin d’être placé en garde à vue tandis que, de toute part, tels des égouts bouchés par un excès de tampons de féministes écologistes, telle Marine Tondelier qui a fait arrêter une lesbienne racisée et visiblement malvoyante pour harcèlement amoureux à son encontre, les scandales remontent, que ce soient les frais de de déplacement, de restauration et de représentation d’Anne Hidalgo où les abus de Delphine Ernotte à France Télévision.
 
 C’est au point que l’arrachage oléophobe d’un second olivier en hommage à Gérard Halimi est rétrogradé (sans même intervention du RAID et de la police scientifique) à la rubrique des chiens casher écrasés rejoignant hiérarchiquement la flopée de meurtres, agressions et viols de Français ordinaires dont personne n’a, visiblement, rien à cirer dans un pays ou des sandwiches jambon beurre à 3€ provoquent des émeutes... pardon, j’ai mal lu, où des Tacos à 3€ provoquent des émeutes. Pour un peu, on en oublierait presque de parler, non du sexe des anges, mais de celui de Brigitte, un peu comme Candace Owens focalisée actuellement sur un Charlie Kirk assassiné à point, bien que saignant.

En attendant, pour tuer le temps qui lui n’est pas suicidaire, Macron, après Simone Veil, Joséphine Baker et Manouchian va poursuivre la colonisation du Panthéon avec le sinistre Badinter. À ce propos, l’excellent Thomas Séraphin a commis une rubrique savoureuse sur le sujet que je vous mets en description, rappelant que c’est à ce prépuçophobe que l’on doit : d’être sans solution face aux criminels récidivistes, la politique de l’excuse dans les tribunaux et la suppression de la rétention de sécurité, la censure de la loi Pasqua sur l’immigration, les collectes de sang dans les prisons avec pour conséquence le sang contaminé de sinistre mémoire et autres joyeusetés comme le premier changement de sexe officiel d’un trans à l’état civil, au point de se demander s’il a jamais existé un « Goodinter ». Par ailleurs, il s’agit d’un cénotaphe, cercueil qui ne contiendra ni le Badinter, ni le haut, puisqu’il sera vide, tout ceci n’étant que du vent, pour ne pas dire flatulence.

Dans cette monotonie hypnotique de spirale descendante de fond de cuvette qui finit par nous rendre amorphes, il faut se tourner vers les États-Unis pour avoir un peu de dynamisme. Au moins, les choses y bougent. Certes dans tous les sens et parfois opposés, mais au moins elles bougent. Que ce soit avec Trump qui, entre deux taxes utilisées comme un marteau, à tort (et non de Thor) et pour qui tout problème est un clou, trouve le temps de déclarer les antifas mouvement terroriste ou avec Elon Musk parti en croisade contre ce repaire purulent de désaxés qu’est devenu Netflix qui fait en douce la promotion du transgenrisme dans ses dessins animés pour enfants, comptant sur le fait que les parents ne les regardent pas. 
 
La chute continue du cours depuis quelques jours et l’avalanche de désabonnements fait partie des petits plaisirs à ne pas bouder, même si le LGBTQIA+√2³ est juste un caillou qu’on a mis dans notre chaussure pour qu’on se sente mieux quand on l’enlève, alors que rien n’a fondamentalement changé, sinon en pire, par rapport à avant qu’on nous le mette, mais sur le moment, on a l’impression d’avoir gagné quelque chose. Même méthode que promettre de supprimer 2 jours de congés pour ensuite y renoncer après nous avoir bien….