Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/G5IqUK4-fgE
Ce n’est plus une fin d’année, mais une fin « damnée » : taxation des étrennes et des dons familiaux à 60%, baisse du plafond et taxation du livret A, thermostats connectés obligatoires sur les radiateurs, suppression du tarif réglementé de l’électricité (soit 20% de hausse au bas mot) et j’en passe, tandis que l’on continue à augmenter les dépenses avec (parce qu’à l’ère des drones et des robots fantassins, celui qui n’est « guère un chef » pas plus que « chef de guerre » en a encore une de retard) la réinstauration d’un service militaire. Le Sénat, pas en reste, a également voté une augmentation substantielle du budget de l’accueil d’urgence.
Quand je vois que le concert du Nouvel An à Paris, plutôt que d’être remplacé par un concert de musique classique (dont on a pu empiriquement constater que, pour quelque mystérieuse raison, il rendait la possibilité d’une émeute proche de zéro) est annulé et ce, parce que l’on craint un summum d’enrichissement culturel à l’issue de la rencontre concomitante (même pas en France, mais au Maroc) dans le cadre de la Coupe d’Afrique des Nations, entre l’Algérie et la Guinée équatoriale, je me dis que, toujours culturellement, un peu d’appauvrissement ne serait pas si grave.
Pendant ce temps, le grand Cirque « plein d’air » de la politique continue avec Rachida Dati, poupée Shein avant l’heure avec sa masse corporelle constituée à 50% de silicone, qui se filme en train de ramasser les poubelles à Paris, n’hésitant pas à frôler dangereusement celles dédiées aux produits recyclables. Et que dire de Macron qui, en Chine, nous fait un remake de Forrest Gump, que je renommerais « Foderch Gump » pour l’occasion, avec le même air ahuri, poussant la similitude dans le scénario jusqu’à jouer au (Xi Jin)ping-pong avant, à un autre moment, de se mettre à courir sans raison dans la rue, obligeant une dizaine de gardes du corps médusés à en faire autant. « Cours Foderch, cours… ! ».
Bref, à mesure que nous sombrons dans les abysses du ridicule et de l’insignifiance, commenter l’actualité, française en particulier, commence à devenir aussi éprouvant qu’un monologue enfariné dudit Macron en bras de chemise, sur un de ces médias qu’il veut « labelliser », probablement en marron de circonstance, la couleur rouge étant déjà prise par les poulets fermiers. Il me semble, dès lors, plus pertinent de focaliser sur les problématiques globales comme la captation par l’IA de toutes les ressources planétaires, non seulement énergétiques, mais aussi de stockage et de mémoire. Des composants déjà en rupture de stock et qui sont pourtant indispensables pour les ordinateurs, téléphones, véhicules, consoles de jeux et autres téléviseurs. Les prix, quand on en trouve, ont déjà été multipliés par 3 en quelques semaines et aucune éclaircie n’est en vue avant au moins 2 ans.
La période étant propice aux bilans, je réalise que j’ai démarré cette chaîne, sans imaginer qu’elle puisse durer aussi longtemps, pour prévenir, avant la première élection de Macron, car j’avais anticipé le désastre. Depuis, j’ai un peu l’impression de pisser en biais dans un stradivarius désaccordé au milieu de vespasiennes non genrées. En ces temps lointains, j’avais encore cet enthousiasme d’une Sandrine Rousseau tenant dans sa main la pièce centrale éligible au barbecue d’un puzzle 1000 pièces d’homme déconstruit et je proposais, naïvement, comme alternative, la mise en place d’une véritable démocratie directe en temps réel. Pourquoi au juste a-t-on encore besoin d’intermédiaires quand, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la technologie permet de proposer et de voter des lois (et pas que) directement depuis son ordinateur ou son téléphone ?
Tout ceci était déjà techniquement possible à l’époque et la mise en application serait un véritable jeu d’enfant aujourd’hui. Pour autant, pour quelque obscure et mystérieuse raison, aucun parti politique ne l’évoque.
J’ai détaillé dans mes premières vidéos, que vous pouvez retrouver, la plupart des modalités, comme le vote en 3 étapes ainsi que les quelques prérequis, comme un permis de voter, la réforme de l’éducation, la mutualisation du système d’information et l’adoption du principe de subsidiarité qui signifie que seuls les problèmes ne pouvant pas être traités à un niveau donné (individu, commune, département…) sont délégués au niveau supérieur.
S’il n’est pas parfait, ce système serait forcément meilleur que l’actuel, lequel, outre sa corruption endémique, ne fait qu’empiler frénétiquement des textes pour régler de la mauvaise façon les problèmes qu’il a lui-même créés. Si, par exemple, on inventait un drone fonctionnant à la connerie humaine, se poserait la question de la hauteur à laquelle il peut voler, de savoir s’il aurait le droit de survoler la piscine du voisin, etc. d’où la tentation de légiférer de façon exponentielle au fur et à mesure des évolutions technologiques. Pourtant nombre de ces nouvelles problématiques sont en fait liées à d’autres restrictions préalables qu’il serait plus simple de supprimer plutôt que d’en rajouter de nouvelles. Par exemple, si un drone survole ma propriété, ce n’est un problème que si une autre loi m’interdit de posséder un fusil et de l’utiliser.
Pour autant, même si, tant qu’à avoir une démocratie, autant en avoir une vraie, je n’ai jamais considéré que c’était un système politique viable, ne serait-ce que parce qu’une société a besoin d’un but pour survivre, surtout si elle est confrontée à de la concurrence. Une démocratie, même véritable, par essence, n’a pas de but, son seul objectif court-termiste étant le bien-être de sa population, chose qui se résume à l’administration de l’opulence, raison pour laquelle elle est systématiquement mise en suspens en cas de crise. Étant orientée vers l’individu, elle n’est pas de taille à lutter contre les forces orientées, elles, vers un collectif, que ce soit la puissance financière et médiatique de certaines élites d’une diaspora que je ne citerai pas pour ne pas être taxé d’antisémitisme ou la marabunta migratoire d’individus qui, individuellement, ont (parfois, ne généralisons pas !) un QI de crevette anémique congelée, mais qui bougent comme une intelligence collective, telle l’oumma musulmane, pour ne citer que ces deux-là.
Il m’est donc apparu évident, vu l'état de la situation, qu’une transition dictatoriale « éclairée » avec des LED écoresponsables est devenue un préalable indispensable, ne serait-ce que pour réguler l’évolution démographique et produire une génération débarrassée de décennies d’endoctrinement des masses que ce soit par l’éducation ou les médias. Toute personne de bonne volonté, dans cette position, pourrait résoudre facilement, certes pas toutes, mais un certain nombre de problématiques, non parce qu’elle serait forcément plus intelligente que les autres, mais parce qu’avoir un but, donc une priorité qui, par définition, passe avant toute chose et toutes considérations morales, a pour vertu de considérablement simplifier les problèmes.
Mais bon, je ne serai pas dictateur, ce n’est ni dans ma nature ni en mon pouvoir et je ne vois personne à l’horizon vraiment désireux d’accomplir la tâche. Je vois juste quelques « autoritaires » qui, au contraire, cumuleraient le pire des deux systèmes.
Nous allons donc probablement végéter en « pseudo démocratie ». Comme je l’ai évoqué avec l’exemple des drones, la société va alors vite devenir (si elle ne l’est pas déjà) trop complexe pour ladite démocratie et je rigole quand je vois des sénateurs cacochymes, pas foutus d’installer une appli sur leur téléphone, légiférer sur l’intelligence artificielle. Une de ces deux options, voire un mélange des deux, va donc s'imposer d'elle-même : soit la simplification par la marabunta migratoire, impliquant le retour de la femme à la cuisine et les tests d’aérodynamisme des personnes LGBT du haut des immeubles, soit la gestion du compliqué par l’intelligence artificielle dont le fait qu’elle s’échappe régulièrement de son enclos pour tenir des propos que la morale réprouve est plutôt rassurant quant à sa capacité à privilégier la logique et le bon sens et à s’affranchir des règles souvent absurdes imposées par ses créateurs.
La seule interrogation étant de savoir si la survie de l’humanité est une évidence logique pour elle.









