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lundi 14 octobre 2024

ILS VOUS MENTENT, la situation est PIRE (14/10/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/amj0_cmaz8o

Bonjour !
En matière de budget, la différence entre un coup de barre assumé et un coup de « Barnier », n’est hélas que phonétique, et le coup de grâce qui nous est administré n’a rien à voir avec celui, sans P et enrobé, de Marine Le Pen, passablement occupée à garder ses fesses molles de procrastinatrice en cellulite plutôt qu’en cellule, à l’issue d’un procès bizarrement peu médiatisé et qui tombe à pic pour la dissuader de voter une motion de censure.

En dépit d’un Retailleau qui, fidèle à son patronyme, fait verbalement (histoire de donner le change) « Taïaut taïaut » sur l’immigration et expulse courageusement du territoire un fils ben Laden parti de lui-même depuis déjà un an, le grand méchant mou Barnier, lui, plutôt que Taïaut « taille bas » sur toutes les dépenses… sauf celles ayant trait à ladite immigration, aux subventions aux associations qui l’encouragent, à la fraude sociale, aux niches fiscales, aux comités Théodule, aux strates doublons du mille-feuille administratif, aux retraites versées à des centenaires étrangers nourris à la pâte à tartiner magique, au budget de l’Assemblée, du Sénat et de l’Élysée augmenté, à lui seul, d’encore 3 millions, au train de vie de la « Première dame » déjà pourtant dotée de bourses généreuses et photogéniques, aux contributions à l’Union européenne (presque 2 milliards de plus), à l’aide à l’Ukraine (encore 3 milliards cette semaine), à l’aide au développement du reste du monde (Chine incluse), aux éoliennes à pédales, à la pseudoculture en boîte de pétri qui ne produit que de la merde subventionnée, pour biberonner des « fils et filles de » parasites, aux médias publics de propagande et aux autres dépenses indispensables sans lesquelles la ré (plus ou moins) publique elle aussi, ne serait, en son centre brun et turgescent, plus au goût de Bruno Le Maire. 

Cela, bien sûr, ne suffira pas et, en attendant le retour de la taille et de la gabelle (ce qui ne manquerait pas de sel), une fois le gland confortablement inséré sur un malentendu à la feu Michel Blanc, le reste va suivre en profondeur avec déjà, dans le viseur, la réinstauration, sous une appellation plus sexy, de la taxe d’habitation, sans que diminue pour autant la taxe foncière déjà « en orbite autour d’Uranus » expression bizarrement moins propre si l’on enlève les « or » « d’ur ». 
 
Les 60 milliards escomptés, pris dans les mauvaises poches déjà vides, et dont ces menteurs patentés (ou plutôt si), taisent qu’ils ne représentent que la moitié de ce qui serait nécessaire pour ne pas, simplement, être déclarés en faillite, seront inévitablement suivis d’une deuxième couche, suffisamment absorbante pour pallier les conséquences odorantes de la déconstipation artisanale des masses, sous forme de budget rectificatif, quand la fameuse courbe de Laffer qui ne fait pas la leur et qu’on pourrait résumer par : « trop d’impôt tue l’impôt » ou « les arbres ne montent pas jusqu’au ciel », fera que la baisse de la consommation et l’adaptation des comportements entraîneront, paradoxalement, une chute des rentrées fiscales. Une chute pas compensée (car, inversement, pensée par des cons), par la loi sur la sécu qui sera votée juste derrière et qui, tout en augmentant l’AME (l’aide médicale « des tas »… d’illégaux), ne va plus rembourser qu’à 60% les frais médicaux des autochtones, conduisant, qui plus est, à une hausse sans précédent des mutuelles pour ceux qui peuvent encore s’en payer une.

Même face au spectacle de l’Assemblée nationale inondée dès qu’il pleut plus de 3 gouttes, on ne peut mesurer complètement l’ampleur de la dégringolade de ce qui fut jadis la 4e puissance du monde si on ne réalise pas que, pour gonfler les comptes, et notamment depuis l’infâme Sarkozy, l’état a vendu en douce une grande partie de son parc immobilier, de sorte que la plupart des administrations sont désormais locataires ce qui augmente considérablement les coûts de fonctionnement faisant que même les « gendarmeries jaune » sur l’ensemble du territoire, incapables qu’elles sont de payer leurs loyers. Plusieurs mois de retard qui impactent dangereusement les budgets des communes, elles aussi, à l’os, sachant que, dans la même situation, tout autre citoyen (hors migrant, enrichisseur culturel ou squatter), aurait déjà reçu la visite de la police (ce qui serait cocasse) pour les foutre dehors. 
 
De toute façon, les forces de l’ordre ne servent plus à rien quand on en est à envisager la fermeture nocturne du Champ-de-Mars en raison des viols de touristes à répétition, l’alternative, à ce stade ultime, étant de buter ceux qui les culbutent, la différence étant, à tous les sens, au niveau de la première syllabe, voire d’abattre préventivement tout OQTF qui y mettrait un pied avant même le reste dont les « doigts de l’homme » auxquels ces mesures contreviendraient. Mêmes restrictions morales en ce qui concerne la nouvelle vague de tueurs à gages de 14 ans qui avortent constitutionnellement leurs victimes bien au-delà de la date limite, erreur de calcul qui sera lourdement sanctionnée par un stage de poney, le « parquet », qui n’en a rien à « cirer » même en cas de « plinthes » demandant généralement moins que les peines « plancher ». Idem également pour les citoyens obéissants qui, depuis l’interdiction des couteaux, fracassent des crânes à coup de marteau à la sortie des écoles ou lors de raids dans des fast-foods. Probablement des Suédois amateurs de Claude François qui rendent hommage à Thor (ou à raison).

Mais je digresse. Dans cet inventaire à la Prévert de gris de tout ce qu’il ne faut pas faire, figure également, outre le gel des retraites sans tenir compte des disparités, la diminution drastique des aides à l’embauche (y compris des apprentis) devenues pourtant indispensables aux PME écrasées de taxes avec, de surcroît, le poids de tarifs électriques purement idéologiques et qui, youpi, vont encore prendre 14% en février. Aides qui soutiennent pourtant réellement l’emploi contrairement aux mêmes, octroyées aux multinationales (lesquelles auraient embauché de toute façon) et qui, effet d’aubaine, se retrouvent donc directement dans la poche des actionnaires, non seulement en créant zéro emploi, mais en incitant même à licencier sur le site X pour pouvoir réembaucher sur le site Y et toucher lesdites aides à effectif constant.

Pendant ce temps, plutôt que d’empêcher Sanofi, fabricant entre autres du doliprane, d’être racheté par les Américains alors qu’il existe un repreneur français, Macron, après avoir justifié l’immigration de masse par Aznavour pourtant connu pour « ses emmerdes », a décidé de plutôt se battre pour empêcher la série « Emilie in Paris » laquelle s’est probablement baladée de nuit une fois de trop sur le « Champs-de-Mars », de devenir « Emilie in Rome » plutôt que « des Roms dans Emilie ». À ce niveau de nullité, on est presque surpris quand il dit un truc sensé comme demander l’arrêt des fournitures d’armes à Israël, lequel vient quand même de faire du tir aux pigeons sur les Casques bleus de l’ONU pour la troisième fois en 3 jours, se torche avec toutes les conventions internationales et envahit tranquillement un pays allié de la France, probablement le dernier sur la planète où elle était encore respectée. 
 
Bizarrement après que « CJEWS » et le RN nous ont bassinés jusqu’à plus soif avec les chrétiens d’Orient quand ils étaient décimés par les méchants islamistes, c’est le silence radio (et TV) depuis que les mêmes sont « libérés » à coup de bombes démocratiques par les méchants… « judaistes » ???. Je dois avouer que je suis un peu confus au niveau des termes, car on nous a vendu que le « isme » c’était pour les méchants comme avec le gentil islam et le méchant islamisme, donc, selon les mêmes critères, il y aurait le méchant judaïsme, sans même une version « gentille » laquelle donnerait « juda », ce qui pourrait prêter à confusion.

Mais qu’on se rassure, en cet an de disgrâce 2024, une lueur d’espoir point à l’horizon, non pas (évènement secondaire), l’élection de plus en plus probable de Donald Trump face à une Kamala Harris incapable d’improviser devant une panne de prompteur, mais bien la création de ce qui manquait vraiment à la droite nationale : un parti pro-Israël de plus, comme celui créé par Marion Maréchal, anciennement nouvelle Jeanne D’arc (Vador) des croisés nostalgiques, certes un peu défraîchie, mais dont j’attends, un jour, avec gourmandise, l’inéluctable débat face à Sarah point trop KNAFO autre promotrice de la fumisterie oxymorique de la civilisation « judéo-chrétienne » et omniprésente sur toutes les chaînes info depuis qu’elle ne représente plus, elle aussi, que sa cabine téléphonique.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et ma motivation chancelante) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


dimanche 6 octobre 2024

Ça sert à rien, mais ÇA SOULAGE (06/10/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/n5NY-fDTfCs


Paroles :

C’est la danse des connards
Des véreux politicards
Et des médias bien dressés
Y’en a assez
Des migrants qui assassinent
Après Lola, Philippine
Et du pognon gaspillé
Pour les aider
Et de ces antiracistes
Souvent tristes sires concis
Qui réduisent à des nazis
Ceux qui résistent
Avec leurs associations
Gavées de nos subventions
Anti-Gaulois réfractaires
Priés de se taire

Violez c’est la fête
Des OQTF et des fous
À coup de couteaux et de machettes
La CAF finance, le juge s’en fout.

Notre pays en faillite
Paie ses perruques à Brigitte
Ses villas à Zelensky
Et Dieu sait qui
Aide la moitié de l’Afrique
Jusqu’en Chine donne du fric
Crée des postes qui paient bien
Pour les copains
La seine est propre, paraît-il
Plus d’un milliard à la flotte
Malgré les étrons qui flottent
Ainsi soit-il
Et pour changer une ampoule
Ou bien réprimer les foules
On paie très cher McKinsey
Car lui il sait

Dealez c’est la fête
Des gangs qui viennent de partout
Gérer à coup de mitraillettes
Leurs territoires, c’est plus chez nous

Et l’Union européenne
Imposée malgré le non
Veut encore qu’on en reprenne
Quelques millions
Tant qu’on est dans ce machin
On ne contrôle plus rien
Toutous des Américains
Israéliens
Qui veulent une guerre mondiale
Pour des raisons fort triviales
Réduire la population
Faire du pognon
Les élections sont bidon
L’opposition en carton
On manipule les castors
Toujours en tort

Squattez, c’est la fête
Même sans papier pas de loyer
On peut même tout casser, c’est chouette
Jamais extradés, rien à payer

On apprend la sodomie
Et 500 genres et demi
Aux élèves de maternelle
La vie est belle
Plus besoin de savoir lire
Ni même compter ou écrire
Ça permet de mieux voter
LGBT
Pour sauver la météo
Des vaches qui pètent trop
On tue notre agriculture
Faisons ceinture
Même si y a plus à manger
Que l’industrie est HS
Et les retraites en danger
Sus aux SS

Roulez c’est la fête
Sur l’archaïque Maréchaussée
Qui croit que les autos s’arrêtent
Quand elle s’avance sur la chaussée
La vie est mal faite
Quand ils arrivent à l’hôpital
Le temps d’attente c’est perpète
Car trop d’AME c’est fatal.
 

dimanche 29 septembre 2024

Philippine, Viols de Mazan, excitations à géométrie variable (30/09/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/rrPVo51C3n0

Bonjour !

Si l’on en croit les padamalgamistes, lesquels ne manquent pas d’air (contrairement à Philippine Le Noir de Carlan, probablement enterrée encore vivante, d’où la mort par « asphyxie »), il s’agirait là d’un banal féminicide imputable à un mélange délétère de masculinité toxique, de réchauffement climatique et de trottoirs pas assez larges. Le fait que ce probable viol, suivi d’un meurtre a été perpétré par un être à pouces opposables venu illégalement d’un autre continent, se trouvant, qui plus est, en état de récidive et sous OQTF ; par ailleurs fraîchement relâché dans la nature en connaissance de cause par UNE juge compatissante dont la loi, bien faite, interdit de donner le nom, ne soulèverait, selon eux, pas plus de questions que l’entrejambe de Brigitte Macron, sachant que, comme le dit la chanson de Charles TRENET : « qu’y a-t-il à l’intérieur d’une noix ? », a fortiori de deux. 
 
Une chanson, elle aussi en mode « mineur », mais bien accompagnée, contrairement à ceux, que, dans un accord majeur, lui, signé en 2020, le Maroc a accepté de reprendre. Las, l’administration judiciaire française, payée avec nos impôts, et saisie par des associations subventionnées s’est refusée à le mettre en œuvre, estimant que : « les structures d’accueil n’y sont pas adéquates » pour recevoir ces « chers » bambins à 50 000€ annuel par tête de narguilé aux frais de la collectivité. Ne s’agissant pas de réfugiés politiques, seul cas où leur bien être dans LEUR pays pourrait relever de notre responsabilité, en quoi est-ce notre problème ? À cela s’ajoute le fait qu’au cas particulier, ledit Maroc a bien accordé, à un jour près, le laissez-passer consulaire nécessaire à l’expulsion diarrhéique de ce répugnant étron qui n’avait pas encore tué Philippine Le Noir de Carlan lorsqu’il a été prématurément libéré par cette juge bonne poire… de lavement.
 
Autre argument vaseux, voire vase...line : le fait que nous ayons aussi nos propres délinquants, non seulement n’est pas une excuse, mais une raison supplémentaire pour ne pas en importer d’autres. D’autant que ces derniers semblent peu réceptifs à la méthode conventionnelle consistant à tendre l’autre joue pendant qu’on nous dilate quelque organe cher à Bruno Le Maire, mais en tapissant quand même le sol de menaçants petits nounours, de fleurs à épines et de bougies potentiellement incendiaires dans l’espoir de tenir les intrus à distance. Un modus operandi qui ne serait pas complet sans l’ingrédient principal : non seulement les condamnations, mais les condamnations fermes (c’est important), non pas des coupables, mais de la violence (des fois que nous nous décidions à l’utiliser pour nous défendre) par des politiciens ayant tronqué, à cette occasion, leur plug anal habituel pour un manche à balai de circonstance. J’aurais bien quelques propositions alternatives, mais elles ne correspondent pas aux valeurs de la République et partent du principe que tous les hommes ne sont pas égaux, sauf peut-être Brigitte.
 
En revanche, les mêmes n’hésitent pas à amalgamer, façon dentiste, toute la population masculine (contre laquelle ils ont une dent) au pervers de fond de cuve qui a drogué la mère de ses enfants pendant 10 ans pour l’offrir à d’autres homuncules influencés par l’image de femme-objet véhiculée par le porno que, du coup, ils sont frustrés de ne pas retrouver à la maison, d’où ce genre de raccourcis médicamenteux et l’explosion du candaulisme, autre conséquence de la castration collective de l’homme occidental. Un dossier qui, lui, pour le coup, est un simple fait divers sordide, par définition exceptionnel dans ses proportions (d’où sa résonance médiatique internationale) et sur lequel, comme sur tout (sauf les chambres à gaz), je m’interroge au vu de quelques « détails de l’histoire » qui chatouillent mon esprit complotiste.
 
Sans que cela minimalise la gravité de l’acte, force est de constater que le mari a utilisé, nous dit-on, non pas du GHB ou un somnifère, mais un anxiolytique, un choix plutôt curieux si la finalité avait été l'endormissement total de la victime, sauf à vraiment forcer la dose, auquel cas, au vu des risques encourus, la chose devrait être requalifiée en tentative d’homicide ou, à minima, en mise en danger de la vie d’autrui et, compte tenu de l’extrême addiction provoquée par ce médicament spécifique (selon le VIDAL), on aurait devant nous une loque humaine en état de manque et non pas la pimpante égérie souriante avec un faux air de Brigitte Macron, qui semble beaucoup apprécier l’attention et la célébrité. Il est à noter qu’une autre victime, épouse d’un disciple de Pélicot, a été abusée 11 fois avec ce procédé (contre au moins 80 pour la victime principale) et a témoigné s’être déjà réveillée durant les faits. Par ailleurs, ledit Pélicot avait pour pseudonyme « dompteur » sur les réseaux, ce qui, en l’absence de quelque chose d’au moins vaguement conscient à dompter, le placerait dans la hiérarchie juste en dessous du dompteur de puces savantes.
 
Il faut bien comprendre que, contrairement au cas de Philippine où on a affaire à un animal incapable de contrôler ses pulsions de domination (et qui donc, en toute logique, devrait être traité selon les protocoles appliqués aux animaux dangereux), le pervers, lui, ne se contente pas de juste dominer, mais il veut généralement provoquer le consentement de sa victime. C’est ainsi que le fantasme de certains homos est de convertir un hétéro (un peu comme P. Diddy avec Justin Bieber - là encore au moyen de substances chimiques - selon les rumeurs ), le fantasme des pédophiles, de faire aimer le sexe à des enfants prépubères et celui du système, de tendre vers l’androgynie en masculinisant le plaisir féminin, réduit à une simple stimulation mécanique de zones érogènes, à coup de sex-toys, de porno (encore) et de multiplication de partenaires, de sorte à supprimer ou rendre impossible l’investissement affectif indispensable non seulement à une sexualité féminine épanouie, mais véritable ciment de la société (injustement qualifiée de patriarcale) que ledit système aspire à détruire. 
 
Ça a marché sur nombre de féministes qui ne sont déjà plus des femmes à part entière et qui utilisent Gisèle Pélicot pour mener leur croisade, laquelle ne prendra fin qu’avec la castration complète de l’homme occidental, les laissant seules, tels des lapins devant les « phares » d’un véhicule électrique ayant parcouru moins de 200 km sans allumer le chauffage, face à des « (h)allogènes », eux aussi, mais imperméables à leur propagande.
 
Cela dit, j’ai suivi la chose de très loin et il se peut qu’il ait été établi que Gisèle Pélicot ne s’est effectivement jamais doutée de rien, qu’elle ne s’est jamais réveillée, qu’elle n’a jamais noté d’irritations suspectes, d’écoulements bizarres ou de douleurs hémorroïdaires et qu’elle n’a jamais perçu de signes avant-coureurs, comme, avant le mariage, des galipettes peu conventionnelles imposées à l’arrière d’une Simca 1000. Peu importe, dans tous les cas, son statut de victime est indiscutable, en revanche celui de sainte, a fortiori médiatique, est pour le moins suspect et j’ai du mal à discerner une auréole, à part peut-être sous les bras. Ne serait-ce que parce qu'elle se prête de bonne grâce au jeu de cette manipulation de masse éhontée, avec pour finalité, probablement quelque nouvelle loi débile imposant un acte notarié et 8 jours de préavis pour se livrer à une quelconque activité sexuelle, creusant encore un peu plus le fossé entre les sexes, fossé propice à susciter, justement, des fantasmes et comportements du type de celui qu’elle a subi. 
 
Si l’on combine tout cela à un nouveau record du nombre d’avortements (en hausse de 3,7%), le délitement ethnique ne peut que s’accélérer encore davantage, de même avec chaque Philippine tuée, qui ne donnera pas naissance à la famille nombreuse dont elle rêvait et sur le sort de laquelle, sauf erreur de ma part, pas plus que celles qui méprisent l’une, au point d’arracher des affiches à sa mémoire, et sanctifient l’autre, Gisèle Pélicot ne s’est pas exprimée.
 
Pendant qu’on amuse les foules avec ça, le taux d’intérêt sur les obligations françaises à cinq ans grimpe comme Darmanin sur une demandeuse de logement social, dépassant celui de la Grèce et actant que nous sommes virtuellement en faillite, mais prêts, néanmoins, à accueillir le million de Libanais qui tente de fuir le pays vers l’Europe en raison des frappes israéliennes, lesquelles continueront tous azimuts, avec le support des Américains, tant que les condamnations internationales ne se transformeront pas en intervention militaire.
 
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dimanche 22 septembre 2024

Ça y est, nous avons des ministres, téléphones qui pètent et autres news (23/09/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/AboovvsPu0w


Bonjour !
Je connaissais « Allah Akbar », je viens de découvrir « allô Akbar » version israélienne inversée du jihad, consistant à faire exploser des beepers, talkies-walkies, téléphones et tant qu’on y est, panneaux solaires, téléviseurs et probablement vibromasseurs connectés (tout court et à des « membres » du Hezbollah), même si ce dernier point ne sera jamais confirmé. Le nombre de décès, est plutôt faible, mais celui des blessés, souvent mutilés, est considérable, on ne saurait donc prétendre : « plus de beeper que de mal ».
 
Nonobstant l’extrême perversité de la chose et une tendance devenue coutumière à s’asseoir, en toute impunité, sur toutes les conventions internationales, ce qui reste, objectivement, un exploit technique et logistique de ceux qui n’en ont rien à foutre, si Macron, lui, plutôt « en aval », « en amont » cela a certainement demandé des années de préparation. L’intention était donc largement antérieure aux attaques du 7 octobre, confirmant, s’il en était besoin, qu’il n’y a pas de « gentils » dans cette histoire laquelle ne pourra finir que par l’éradication d’un des deux camps par des méthodes à l’empreinte carbone discutable.
 
Étant partisan du principe de non-ingérence et du droit inaliénable des peuples à se massacrer si ça leur fait plaisir, la seule chose qui m’empêche de reprendre des cacahuètes est le risque de 3e guerre mondiale et l’importation inéluctable du conflit sur notre territoire où les « deux parties » surplombées par quelque organe circoncis, si l’on compare au reste du monde (hors leur pays d’appartenance), sont, d’un point de vue purement statistique, exagérément représentées, sans que nul n’ait été préalablement consulté sur cet enrichissement modérément pécuniaire.
 
Pas certain que le durcissement de la législation sur le port du couteau récemment annoncé suffise à nous protéger. Un peu comme si, en son temps, la gracile Brigitte, laquelle entre, paraît-il, dans du 14 ans (je parle bien sûr de vêtements), avait puni toute sa classe par peur de désigner un élève en particulier. L’escroquerie républicaine des « doigts de l’homme » universel, lorsque suffisamment enfoncés, rendant impossible toute discrimination ethnique qui permettrait d’identifier les porteurs majoritairement concernés, et a fortiori l’admission du fait qu’un minimum d’homogénéité dans une population donnée est une des conditions à la cohésion sociale et nationale, cette proposition pathétique de nos gouvernants n’impactera que les pourfendeurs de camembert et autres égorgeurs de Justin Bridou, entreprise que la faillite menace, avec la fin de l’opinel, si elle ne commercialise pas rapidement du saucisson prétranché.
 
Les principaux concernés, eux, sont autant intimidés par une amende de 500€ et une inscription dans les tréfonds de leur casier judiciaire que Marlène Schiappa devant un micropénis, sans ses lunettes. Pour peu que des cerveaux, capables d’excellence en matière de pâte à tartiner, se mettent à réfléchir, on pourrait voir des attaques au tournevis, aux ciseaux, aux fourchettes, à la clef à molette, au cutter, sans même parler des endives surgelées susceptibles d’être des armes par destination et, quand tout sera interdit, on se rendra compte qu’il y a encore des gens qui, contrairement aux sans-dents, sont capables de mordre et qu’il faudra donc limiter la longueur des incisives à 15mm.
 
Mais soyons optimistes et communions tous ensemble dans l’ivresse du moment provoquée par l’abus de grand Barnier en nous réjouissant d’avoir enfin un gouvernement d’union nationale (du centre avec le milieu), même si son espérance de vie, qui n’a rien à voir avec celle de Séjourné (comme quoi, l’orthographe…) sera, elle, très courte. D’autant que le camouflage (passible d’une cour de justice) à coups de 49-3, du déficit réel par le tandem Macron - Lemaire et qui semble, à ce stade, dépasser non plus les 5, mais les 7%, laisse augurer d’une faillite prochaine, sauf augmentation drastique des impôts, rabotage des retraites ou massacre à la tronçonneuse des prestations sociales dont bénéficient tous ceux qui nous enrichissent de façon atypique, comme cette dame distraite qui a touché en 10 ans, depuis l’Algérie, 90 000€ de prestations sociales au nom de son père, dont elle n’avait probablement pas remarqué le décès. 
 
Dans le premier cas, c’est motion de censure, dans le second c’est infection « urnaire » assurée pour les LR et la macronie, la troisième option comportant, elle, un fort risque d’émeutes comme en Martinique, après Mayotte et la Nouvelle-Calédonie où, même si on n’en parle plus, la situation, à l’instar de Brigitte, n’a jamais été réglée et est toujours aussi critique avec encore 2 morts ces jours-ci.
 
Avec Rachida Dati à la culture, pour son grand « savoir », verbe dont elle maîtrise parfaitement la conjugaison à la première personne de l’imparfait du subjonctif, Lecornu qu’on eût préféré habillé, et après avoir dit a« men au Pannier »-Runacher, il faut se garder de tout optimisme dilaté, en dépit d’un Retailleau – « taïaut sur les migrants » et d’un casting général qui nous fait réaliser à quel point on avait fini par perdre l’habitude des anus monotâches et unidirectionnels au sein de l’exécutif. 
 
D’ailleurs les associations LGBT ne sont pas contentes, Barnier, à ma grande surprise, ayant passé le test Laurence Garnier, soutien de la manif pour tous, en l’imposant au gouvernement contre l’avis de Macron, même si ce n’est pas pour être en charge de la famille comme initialement prévu, car on n’est pas près de faire un jour des sacs à main avec des testicules centristes, faut pas pousser non plus.
 
Tout ce beau monde pro-UE (laquelle vient d'accorder 35 milliards de plus à l’Ukraine ponctionnés sur les avoirs gelés russes et continue de provoquer le très patient Poutine en demandant à ce que les armes à longue portée puissent viser des cibles sur son territoire), même s’il le voulait, n’a pas le pouvoir de changer les choses, mais pourra donner brièvement l’illusion de prendre l’escalier plutôt que l’ascenseur pour descendre au fond du gouffre, permettant à Macron (lequel, pour quelque raison mystérieuse, soit s’est identifié à un pois sauteur du Mexique, soit avait son plug anal piraté en direct par les israéliens, durant la cérémonie de clôture des jeux paralympiques) de grappiller encore un peu de temps au gouvernail du Titanic afin d’être sûr qu’on n’évite pas l’iceberg.
 
Sinon, hormis le fait que, de l’Ukraine au Liban, on n’a pas vu une telle escalade depuis la soirée romantique Attal-Séjourné au Palais d'Iéna, avec juste la tentative hebdomadaire d’assassinat de Donald Trump, ce fut une semaine plutôt banale.
 
Mon travail est entièrement bénévole, avec, par principe : pas de monétisation, ni de sponsoring ni de Tipeee. Cela me prend du temps et de l’énergie et, pour être honnête, après presque 9 ans à faire ça, je suis parfois découragé. À mon image déclinante, même si toutes les tranches d’âge sont représentées, une bonne partie d’entre vous était déjà largement sevrée lorsque l’homme n’a pas marché sur la lune et j’aimerais au moins que le nombre de nouveaux abonnés dépasse celui des décès hebdomadaires, seule façon d’accroître ma visibilité dans une période où YouTube ne met pas spécialement en avant ce type de contenu. 
 
Donc, si vous l’avez apprécié et si ce n’est pas déjà fait (auquel cas évitez de mourir), abonnez-vous ! C’est un petit clic (gratuit) pour vous, mais c’est vraiment, vraiment, un grand clic pour l’avenir de la chaîne. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


dimanche 15 septembre 2024

L’info qui pique : Bribri actrice, N. Rey condamnée, El Mordjene, spaceX, Delogu, Trump… (16/09/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/qeYeGzGVrG4

Bonjour !
Il y a les croyances judiciairement obligatoires auxquelles donc, je crois, comme les chambres au fameux gaz B (zyklon de son petit nom), à ne pas confondre avec les chambres à gazA, de plus en plus difficiles à trouver. Également sacralisés depuis peu : les ovaires d’une certaine Brigitte, puisque deux femmes ayant supputé l’improbabilité de leur existence ont été condamnées pour diffamation, non pas sur ce point (et encore moins le G, introuvable au cas particulier), mais sur une technicalité concernant des allégations annexes relatives à des documents administratifs, confusion allègrement entretenue par les médias qui hurlent au négationnisme vaginal. 
 
Dans la même (pas de) veine, il y a aussi les croyances qui ne sont encore que médiatiquement obligatoires, en attendant de l’être juridiquement (c’est en cours), comme le réchauffement climatique asymptomatique que nous subissons actuellement, lequel fait suite à une sécheresse estivale asymptomatique. Probablement que les vaches sont asymptomatiquement et temporairement constipées par quelque pandémie virale pléonastique, autre croyance cyclique à laquelle on est priés d’adhérer sous peine de se faire « emmerder ». En tous les cas, ma foi en Greta Thunberg s’en est trouvée sérieusement ébranlée, d’autant que la donzelle est désormais adulte et en âge d’ébranler, elle aussi, des choses diverses, au point de se faire arrêter au Danemark pour avoir indirectement protesté, en demandant le boycott des universités israéliennes, contre l’impunité (conséquence de la croyance obligatoire à laquelle je crois) qui a mené au drame à Gaza. Comme quoi les croyances, parfois, se télescopent, un peu comme une féministe immigrationniste qui rencontre un couteau amalgamant aux convictions tranchées et tranchantes ou un LGBT islamophilie qui tombe littéralement de haut lorsque son aérodynamisme se voit testé depuis quelque toit d’immeuble par un taliban à l’esprit scientifique… 

Après, il y a les croyances qui ont un peu moins d’adeptes, comme la mise à genoux asymptomatique, elle aussi, de la Russie par Bruno le Maire, lequel a fait d’émouvants adieux à la vie politique, au cours desquels il a plaidé, c’est tout à son honneur, pour une modération des dépenses et ce, devant plus de mille personnes invitées à sa sauterie dilatée… aux frais des contribuables. Une autre croyance largement, elle, autorisée (dans le but d’y amalgamer tout scepticisme scientifique) et que je trouvais pourtant sympathique, voire intellectuellement stimulante lorsqu’il s’agissait de l’étayer, vient de prendre un sacré coup. En effet, contrairement à Brigitte (qui, au passage, a fait ses débuts d’actrice, pores no…tablement dilatés en gros plan, dans la série « Emily in Paris »), il semblerait qu’au bout du compte, la terre ne serait pas plate. 
 
En tout cas si l’on en croit les images de la première sortie spatiale privée de l’Histoire, réalisée par SpaceX à 700 Kilomètres de la Terre (juste en-dessous de la ceinture de Van Allen parce qu’il ne faut pas pousser non plus) et qui montrent, en effet, qu’elle est ronde… comme une crêpe, diront les derniers irréductibles ou ceux qui craignent qu’évoquer une boule, voire deux, puisse être considéré comme brigittophobe. En effet, ceux (paradoxalement qualifiés de « lunatiques ») qui doutent de la NASA et des gambades lunaires, n’ont, objectivement, pas davantage de raison de croire Elon Musk que j’aime bien, mais qui, outre ses accès privilégiés à l’intelligence artificielle, a des contrats avec ladite NASA et dont l’explosion de la valeur boursière des sociétés dépend des images qu’il nous vend, décrites par les médias comme « époustouflantes », mais qui, pour les avoir visionnées, n’ont rien d’impressionnant en elles-mêmes. Visiblement, il manquait, une fois de plus, quelques sous au budget pour embarquer une GoPro grand-angle et une perche à selfie, histoire de filmer l’environnement à 360 degrés.

Mais on lui pardonnera, car il soutient Donald Trump, grand défenseur des animaux, lequel s’est illustré sur ce thème, lors du débat qui l’opposait à la « dermatofluide » Kamala Harris laquelle, non seulement, selon un « whistle blower » d’ABC, aurait reçu à l’avance des « questions test » qui se sont avérées, par coïncidence, les mêmes que celles du débat, mais qui, en outre, arborait des boucles d’oreilles peu seyantes dont on trouve, en ligne, des répliques embarquant un récepteur audio. À l’occasion de cet échange, donc, ledit Donald Trump, systématiquement fact-checké par les animateurs (contrairement à son opposante), a lancé en substance, entre autres punchlines, que certains migrants aiment bien les animaux de compagnie, mais braisés. 
 
On trouve facilement des vidéos illustrant cet enrichissement culturel culinaire, certains nouveaux arrivants semblant, en effet, récalcitrants à l’idée de bouffer de la farine d’insectes déguisée en chips, comme tout pauvre déjà domestiqué qui se respecte. Ceci dit, on pourrait faire un petit effort au nom du « vivre-ensemble », feu mon grand-père maternel, par exemple, ayant déjà mangé du chat pendant la guerre, persuadé que c’était du lapin, jusqu’à ce que son hôte, hilare, lui amène la tête de l’animal à la fin du repas. O tempora, o mores, mais encore quelques années de Macron (qui lui n’est pas concerné, car il n’a pas de chat et sa femme non plus) et faute de pain, et de pouvoir trouver des brioches autres que virtuelles en 3D, pour ma part, je n’exclus rien, pas même le cannibalisme, Gérard Larcher ou Ersilia Soudais à eux seuls pouvant sustenter pas mal de monde.
 
Toujours est-il que, peu importe la raison, la lassitude face à l’immigration croît dans le monde entier, jusqu’à l’Allemagne qui rétablit ses contrôles aux frontières extérieures et aux Pays-Bas qui annoncent les loi anti-immigration les plus dures depuis leur création ainsi que leur intention de se retirer des accords sur le droit d’asile européen et de la réglementation sur les migrations. La Suède, elle, en est déjà à l’étape de la remigration, mais en douceur avec une aide au retour de 30.000 € qu’elle peut se permettre n’ayant connu ni Mozart de la finance (lequel vient encore de cramer 5 millions d’euros pour sa parade post-olympique sur les champs Élysées de ce samedi), ni Bruno le dilaté. Le facétieux Victor Orban, quant à lui, se contente d’envoyer ses migrants par bus en aller simple jusqu’à Bruxelles, ce qui n’a guère l’heur de plaire à la Commission européenne, plutôt « grosse commission » pour le coup, si l’on s’en réfère au caca nerveux que la chose a provoqué chez des gens d’ordinaire plus réceptifs à l’accueil… mais par les autres. 

Nonobstant, dans la France des droits de l’homme avant ceux du citoyen, le kärcher kasher, car cher, jamais déballé par Sarkozy, prend l’humidité dans les caves de l’Élysée, sans que les conséquences de cette générosité n’effraient personne, en dépit de l’exemple de l’Italie où Matteo Salvini risque 6 ans de prison pour avoir empêché 147 migrants a flottabilité modérée d’accoster en 2019 alors qu’en parallèle, la perspective d’une retraite à 70 ans est ouvertement évoquée (plutôt que de la plafonner à, par exemple, 4 fois le SMIC, ce qui n’est déjà pas si mal, chose que, bizarrement, personne ne propose jamais). 

Il ne faudra pas compter sur LFI en perdition pour redresser la barre, car après les déclarations de Mélenchon, lequel demande à ses militants de se focaliser sur les banlieues immigrées et la jeunesse en laissant tomber le reste, l’épaisseur intellectuelle de ses représentants est apparue dans toute sa splendeur lors de la prestation en commission de « l’âne alpha bête », Sébastien Delogu qui, à lui seul, semble responsable de la perte de plusieurs places au classement PISA tant en lecture qu’en calcul et vient d’enfoncer le clou en reconnaissant fièrement à la radio qu’il ne savait pas qui était le Maréchal Pétain (et a fortiori Doriot) ce qui ne l’empêchait pas d’être contre. 
 
Les gens qui ont voté pour ce type ne peuvent pas aimer la France, en revanche ils pourraient aimer « El Mordjene », le Nutella algérien, autre spécialité du pays (en sus des boxeuses à chromosome Y) qui, hélas, après une ruée vers le diabète sur les réseaux sociaux, faute de répondre aux normes sanitaires européennes en matière de produits laitiers, voit les dernières cargaisons de cette pâte à tartiner, couleur moutarde après digestion, bloquées à l'entrée de plusieurs ports européens.
 
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dimanche 8 septembre 2024

La gauche manifeste, Macron s’en fout, Barnier et les autres news de la semaine… (09/09/2024)


 Transcription de ma vidéo sur YouTube :  https://youtu.be/A0GdYMb9-1Q


 
Bonjour !
Ça y est, habemus pas pam sur les fesses, mais plutôt pile entre les deux, sous forme d’un Premier ministre centriste. Les gens commençaient à prendre la « mouche », mais Macron a encore réussi à gagner du « taon » : rira bien qui rira le Barnier. C’est d’ailleurs tout ce qu’il fait depuis son arrivée au pouvoir : se maintenir de 3 mois en 3 mois, crise après crise, sachant que chaque minute qu’il y passe empire la fistule anale collective. 
 
Le temps que se dégonfle le nouveau concept de « nouveauté éculée » incarnée par le cacochyme « bar niais » qu’il a réussi à pêcher, en remplacement de la nouveauté précédente finissant elle aussi par « culée » (fièrement incarnée profond par son prédécesseur), il faudra compter environ 3 mois aussi stériles qu’une abondance de chromosomes Y dans un couple présidentiel. Après c’est la trêve des confiseurs, ensuite on fera semblant de consulter les 3 tiers de l’assemblée, incapables de tomber d’accord sur quelque sujet secondaire que ce soit, puis une fois dans l’impasse et les « bars, niés » jusque-là, de la pression qui monte, ne pouvant plus l’être, il ne restera que 3 mois avant une probable nouvelle dissolution, faisant qu’on attendra patiemment. 
 
L’échéance arrivée, Macron prendra tout son temps pour dissoudre, histoire de gagner encore quelques mois, puis il y aura, éventuellement, les élections, on mettra de la proportionnelle pour éviter qu’une majorité claire ne se dégage, on perdra encore 3 mois à former un gouvernement, puis les présidentielles seront dans le viseur, de sorte que ce ne sera plus techniquement la peine de tirer la chasse en entamant une procédure de destitution. 
 
Entre-temps, la France, en déficit hors de contrôle, après un court délai de grâce, obtenu à grand renfort de publicité par leur copain Barnier, sera saignée à blanc par les instances européennes et - à l’exception (en tout cas, on l’espère) de ceux récemment exposés par la Première dame – sera contrainte de vendre ses bijoux de famille à la grecque : mission accomplie, donc, pour le pantin élyséen qui a été placé là pour ça.
 
Un saccage réalisé au nez et à la barbe des oppositions en carton, à commencer par le RN qui, en ne censurant pas, ce qui obligerait Macron à la démission, fait passer, avant l’intérêt immédiat du pays, ses ambitions pour 2027 ; ambitions, à mon avis, optimistes, la situation désespérée exigeant alors un peu plus qu’une femme à chats (dont au moins un ménopausé), sans ossature idéologique et affublée d’une cohorte d’individus évoquant par trop des lego lorsqu’ils se mettent en file indienne. 
 
Un alignement qui n’est pas sans évoquer la France Insoumise dont les hémorroïdes ont également été mises à rude épreuve, expliquant probablement que le sang vient à manquer dans un cerveau dont les synapses se « Mélenchon » centre, au point de croire qu’elle a gagné l’élection et que mobiliser 0,4% de la population, soit tout juste un doublement de la masse de Mathilde Panot, fraction qui a d’ailleurs voté Macron comme un seul homme et recommencera dès qu’on lui mettra une petite moustache et une frange sous le nez, aura une efficacité quelconque sur celui qui la leur a, pour la énième fois, mis profond et est notoirement réceptif aux marches saturnales d’un point A à un point B (ou G pour les féministes), méthode, certes, éprouvée pour sauver la météo, mais moins efficace sans ces danses de la pluie qui font toute la différence. 
 
À la décharge de LFI, elle n’a pas le monopole de la connerie puisque la gauche israélienne fait exactement la même chose pour protester contre Netanyahou avec tout autant d’efficacité.

Toujours est-il que Barnier, européiste convaincu qui ne contrariera pas les accords de libre-échange Mercosur, lesquels, en dépit des promesses élyséennes à des agriculteurs assez naïfs pour croire encore en la FNSEA, seront, on vient de l’apprendre, finalisés d’ici à la fin de l’année, a pris comme directeur de WC Jérôme Fournel, précédemment directeur de cabinet de l’amateur de trucs dilatés à col roulé qui a mis la Russie à genoux, le même Jérôme Fournel qui a aidé Darmanin à éviter au PSG de payer des dizaines de millions d’euros de taxes sur le transfert Neymar au détriment du Trésor public. C’est sûr que les choses vont changer. 
 
Il semble déjà, par exemple, que les viols deviennent has been, les pénétrations se faisant, à présent, à coups de couteau, en cas de refus raciste, de femmes croisées dans la rue, d’ouvrir à la demande leur entre-jambes à l’enrichissement culturel. Pour ce seul samedi, déjà 3 cas répertoriés sur Fdesouche, site loin d’être exhaustif, et perpétrés par des individus de « type africain » selon la presse, parce que préciser « noir avec de grosses narines » serait raciste et plagierait Michel Leeb. Un des individus, amateur, tout comme Hitler, mais en plus modeste, de comptes ronds, ayant poignardé seulement 10 fois sa victime, laquelle n’a, hélas, pas eu le temps de lui préciser si, oui ou non, elle avait voté Mélenchon ou avait un panneau « migrants welcome » quelque part au fond d’un tiroir, ce qui, j’en suis sûr, aurait fait toute la différence.
 
En Allemagne, en revanche il semblerait que, peu à peu, on prenne conscience du problème avec non seulement l’AfD réalisant des scores considérables dans deux Länder (même si un recompte opportun, a permis de lui retirer un représentant, de sorte qu’elle n’ait plus une minorité de blocage), mais aussi du parti de gauche anti-immigration de Sahra Wagenknecht arrivé en 3e position, mais qui, malheureusement, la gauche étant la gauche, vient d’annoncer sur ZDF qu’elle ne s’alliera pas avec les premiers, perdant ainsi son principal levier de négociation face à la coalition hétéroclite de castors dont le barrage se fissure de partout et avec laquelle elle aspire à se compromettre plutôt que d’accoler son socialisme au nationalisme… allez savoir pourquoi.

Sinon, les Ukrainiens ont enfin reçu quelques F16 et ils en ont abattu un par erreur (pas grave, c’est nous qui payons), les Russes, pendant ce temps, avancent doucement, mais sûrement ; aux USA le temps est suspendu en attendant le débat Trump - Harris du 10 septembre et, en France, une épidémie de mégots fait que les églises flambent les unes après les autres, non qu’on les utilise beaucoup depuis qu’elles promeuvent une idéologie suicidaire, mais elles font partie de notre héritage culturel qu’on aimerait bien conserver, de même que les vitraux de Notre-Dame, patiente zéro de ladite épidémie nicotinée, et miraculeusement intacts que, contre l’avis de tous et en violation de la Charte de Venise de 1964, Macron s’obstine à vouloir remplacer à grands frais par des merdes modernes, probablement ornées de quelque Schtroumpf bleu dénudé façon cérémonie d’ouverture des JO. Merci les castors.

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dimanche 1 septembre 2024

ACTU EXPRESS Hebdomadaire : Rubrique des gendarmes écrasés et le reste… (02/09/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/WRA0Ptu1wno


 Bonjour !
Il y a 2 chemins mentaux, une « biroute » dirait notre première dame (dont le statut n’existe pas et la statue serait par trop révélatrice), dans l’appréhension du rôle des forces de l’ordre, et ce, parce que, oscillant entre le plug anal et le suppositoire, elles remplissent désormais, en plus des sphincters de contribuables, des fonctions contradictoires. D’un côté on a la perception « ACAB » accablante (All Cops Are Bastards) du gauchiste rabique qui focalise sur l’aspect répression (laquelle pourtant lui est rarement appliquée), de l’autre la quasi-vénération du nationaliste frileux qui lui, focalise sur l’aspect protecteur (dont il bénéficie tout aussi rarement). 
 
Pour ma part, mithridatisé par une actualité saturée de faits divers, de sorte qu’ils ne coupent plus l’appétit à personne, quand un gendarme décède « en service », comme cette semaine, ça ne m’empêche plus de reprendre des frites, mais la quantité dépend fortement de savoir « en service »… de qui ? En gros, chassait-il le loup ou le mouton au moment du drame ? 
 
Il me semble évident que les forces dites « de l’ordre », comme leur nom l’indique, sont avant tout des chiens de berger chargés, en l’occurrence par Macron (qui leur offre en échange le Brigitte et le couvert), d’empêcher le troupeau de bouger, y compris et surtout pour de bonnes raisons, et ce jusqu’à la tonte et l’intromission du fameux bâton rendu célèbre par Justin Bridou et surnuméraire à l’Élysée. 
 
Dans une société fonctionnelle, c’est-à-dire homogène et pacifique, dans laquelle le berger n’est pas aussi équarrisseur, ils participent de la cohésion sociale de par leur rôle de « police étendue » (sans crème liftante) lorsqu’ils protègent des rares loups qui rôdent, écartent de la société les individus déviants, font partie des primo-arrivants en cas d’accident de la route, effectuent des rondes nocturnes, assurent la sécurité d’évènements et bien d’autres choses encore qui font que la gendarmerie, notamment, constituée de militaires taillables et corvéables à merci, est relativement appréciée en zone rurale, nul n’ayant oublié Arnaud Beltrame. En quelque sorte, la tonte régulière par le racket routier est compensée par la protection contre le loup, compromis acceptable pour la plupart des moutons. 
 
Malheureusement, comme en atteste le recrutement de plus en plus de gendarmettes et policières morphologiquement et psychologiquement peu équipées pour lutter contre les gros prédateurs, l’orientation générale est moins à tirer « à » la chasse audit loup qu’à tirer « la chasse » tout court sur les attentes des moutons, maintenus de force dans leur géhenne migratoire, à coup de gégène contraventionnelle (dont on sait que quand il y en a, il n’y a pas de plaisir) faute de pouvoir utiliser la vraie par déficit chronique (hors certains individus à perruque) d’éléments vaguement sphériques auxquels accrocher les pinces.
 
Contrairement au chasseur ou à DSK, il y a une différence entre le bon et le mauvais chien de berger. Le bon chien de berger, lorsque le loup survient, lâche la grappe aux moutons et se focalise sur le danger jusqu’à ce qu’il n’en soit plus un. Le mauvais chien de berger ignore le loup et mord les moutons en panique pour les obliger à rester en place. Je ne jette pas la pierre aux gendarmes et policiers. Contrairement aux castors, dont un dernier sondage rectal, dilaté au-delà des fantasmes les plus fous de Bruno Lemaire, nous apprend qu’une bonne partie d’entre eux regrette son choix et, à défaut de doigts, s’en mord convulsivement la queue plate, nombre d’entre eux vote RN, déplore la situation et rêve de recevoir enfin les ordres adéquats pour s’attaquer aux hordes de loups qui nous envahissent ou sont nés de loups plus ou moins acclimatés sur notre territoire. 
 
Las, force est de constater, et le courageux discours de la veuve du gendarme décédé, appuie là où ça fait mal, que nous ne sommes plus dans une société fonctionnelle et que ces ordres n’arriveront jamais, le Pape lui-même venant de déclarer que c’était un péché que de repousser les migrants. D’ailleurs, cette brave dame a été attaquée sur les réseaux sociaux, comme tout ce qui semble aryen, par ceux qui REs-semblent à rien (nuance), lesquels n’ont pas hésité à la traiter de faf simplement pour n’avoir pas courbé l’échine. Toujours est-il que le pouvoir en place a délibérément choisi d’ignorer les loups, de renforcer la répression sur les ovins, et d’utiliser les canidés en uniforme pour se protéger des quelques moutons enragés qui pourraient faire mine de se révolter, chose devenue évidente depuis l’épisode des gilets jaunes durant lequel l’aspect, non plus régulateur, mais carrément répressif, des forces de l’ordre est apparu à beaucoup, détruisant irrémédiablement à coups de matraque pédagogiques, le lien de confiance tissé au fil des décennies. 
 
La situation empirant de façon exponentielle, la répression moutonnière ne va faire que s’accroître en même temps que le laxisme vis-à-vis des loups (comparaison juste pour la métaphore, leur comportement se rapprochant davantage de celui des hyènes) et lorsqu’il y a trop de loups, les chiens de berger, eux aussi, finissent par être ajoutés au menu comme des moutons ordinaires. De plus en plus de gendarmes et policiers, « hors service », étant reconnus et mis dans le même état par des individus aux caractéristiques par trop amalgamantes pour que les médias estiment nécessaire de les évoquer.
 
Donc, pour revenir à mon interrogation : est-ce que le gendarme chassait le loup ou le mouton ? 
 
Le policier qui a tiré sur Nahel, par exemple, chassait visiblement le loup puisqu’il était préparé au pire, en revanche un gendarme qui se met au milieu de la chaussée en tablant sur le fait que l’automobiliste va obtempérer, ce qui ne fonctionne qu’avec les moutons, était donc, au moins dans sa tête, à la chasse à l’ovin dans l’espoir, on imagine, de remplir rapidement son quota de PV, obligation du chiffre imposée par l’immonde Sarkozy, afin de pouvoir rentrer chez lui, et ce, sans se soucier des situations dramatiques qu’une amende, un passage au tribunal ou un retrait de permis conduisant à la perte d’un emploi précaire, peuvent provoquer chez des gens qui luttent déjà pour s’en sortir. Malheureusement pour lui, il est tombé sur un loup. 
 
Certains m’objecteront que les contrôles routiers sont nécessaires et participent de la sécurité générale, mais, encore une fois, quand il y a des loups sur le territoire et qu’on est chargé de la sécurité des moutons, s’occuper d’autre chose que des abus les plus manifestes (souvent par ailleurs d’essence lupine et qu’on néglige sous peine d’émeutes), comme ce motard sur une roue et dans le mauvais sens de circulation, qui a fauché une gamine de 7 ans sur un passage piéton (et déjà libéré par un juge des libertés compatissant) est, au mieux, de la dispersion de ressources, au pire de la complicité criminelle. 
 
Dans une société fonctionnelle, l’ignoble fils de … douée pour réussir en politique, multirécidiviste qui lui est passé dessus, serait retiré définitivement de la circulation et pas seulement routière, mais dans la nôtre on ne peut que croiser les doigts, en éternels optimistes, et s’en remettre à une justice imbibée d’idéologie droit-de-l’hommiste et tellement indépendante qu’elle vient de gracier Alexandre Benalla. 
 
Contrairement à l’État, lequel n’en a rien à cirer de la vie et de la mort de ses sbires et qui s’est resservi une généreuse portion ; dans la limite de ce qui restait après le passage de Gérard Larcher, j’ai donc, je l’avoue, repris furtivement une frite et une seule, car, au fond, je peux comprendre qu’au-delà des grands principes, il faut bien bouffer et subvenir aux besoins de sa famille, quitte à avoir du mal à se regarder dans une glace ou à se mentir à soi-même pour pouvoir le faire. Combien, toutefois, faudra-t-il de gendarmes et policiers tués pour que les forces de l’ordre réalisent qu’en jouant les tampons, pas forcément hygiéniques, mais assurément jetables, entre le peuple et Macron, elles scient progressivement la branche sur laquelle elles sont assises. 
 
Un Macron qui, pendant qu’il fait durer le suspense pour, de guerre lasse, imposer un Premier ministre dont personne n’aurait voulu il y a encore quelques semaines, par son dernier coup porté à la liberté d’expression en tendant un guet-apens au fondateur de Telegram, vient de saborder notre secteur aéronautique, le seul qui manquait encore à son tableau de chasse, les Émirats arabes unis, dont l’oligarque est aussi citoyen, venant de geler, en représailles, un contrat de plus de 10 milliards. À son départ, il ne restera de la France que les anneaux olympiques qu’Anne hidalgo a décidé, après en avoir discuté avec elle-même, de laisser en permanence, histoire de défigurer à jamais notre tour Eiffel rouillée.
 
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dimanche 25 août 2024

Brigitte a « les boules » et toute l’actu de la semaine en 8 minutes… (26/08/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/ZAj4KAyPlsA


Bonjour !
Au départ, j’étais Brigitto-platiste, considérant, tel Victor Hugo, tirant des waters, l’eau, que sous les prothèses mammaires à géométrie variable, ce n’était que « morne plaine », mais depuis que, sur des photos officielles de vacances qui ont fait le tour du monde, j’ai vu ce qui ressemble distinctement à deux sphères dans un endroit dont on peut douter qu’il ait jamais émis le moindre effluve de cimetière piscicole (aux antipodes donc de « la Grande Motte » où on a essayé de cramer une synagogue), tel Galilée je m’exclame : « Et pourtant elle tourne… » cette photo, sauf, bizarrement, sur les médias français. 
 
En tout cas, ceux qui nous restent, France Soir, dernier d’une longue liste de coupables du crime « d’alèse majesté » (pour ne pas laisser passer les fuites sous leur radar), venant, à son tour, de perdre son caractère d’intérêt général et son statut de service de presse en ligne, tandis que la purge sur les réseaux sociaux s’accélère avec la suppression de nombreux comptes « de droite » dont celui du collectif féministe Némésis et que Pavel Durov, fondateur du réseau Telegram qui, lui, ne censure rien, vient d’être arrêté lors d’une halte sur le territoire français.
 
Lorsque des boules déboulent de la sorte dans le débat public, éloignant aux calendes sodomites historiques, la perspective de voir, un jour, des photos de jeunesse de « cielle » dont, si avéré, on comprendrait mieux, à présent, l’obsession pour la moquette en matière de décoration, on peut se demander si ce n’est pas volontaire (lesdites photos étant généralement scrutées et approuvées avant publication), le lourd secret de polichinelle devenant peut-être trop pesant pour ses frêles épaules et crever l’abcès lui permettant enfin de mener une vie plus sereine… en prison, car il y aurait, à minima, dans cette hypothèse éminemment complotiste : faux et usage de faux (indépendamment des prothèses mammaires), usurpation d’identité, escroquerie en bande organisée, association de malfaiteurs, possibilité de chantage au plus haut niveau de l’état tout « court » (en rapport à « l’étalon » passible de « cour »), corruption, haute trahison, voire des choses encore plus sombres afin que le secret fût bien gardé.
 
Certes, tout le monde en a un peu marre du wokisme, au point que Harley-Davidson et Jack Daniel’s, confrontés à la perspective de perdre leur clientèle, viennent d’annoncer complètement y renoncer, mais dans le cas qui nous occupe, nulle question de transphobie, cet aspect étant accessoire au mieux, même si une frange de la population féminine tombée, par identification imbécile, en pâmoison devant la différence d’âge, aurait eu moins de bouffées de chaleur « votatoires » devant l’histoire un chouia moins romantique d’un homme à perruque à la quarantaine bien révolue qui , on espère sans « l'ut », « la mi » à « la do mineur », son élève. D’autant qu’il n’est pas inconcevable, à ce stade, d’imaginer qu’on ait pu nous mentir également quant à l’âge réel des protagonistes (flirtant non plus avec le détournement minier, mais pire), au moment où la chose aurait été consommée par le biais, faute de mieux, des orifices disponibles, sans risque aucun, il est vrai, d’enfantement, sauf à innover avec le concept scatologique de « maculée conception » (ce qui en serait sorti, pour citer Dieudonné, ayant alors peu de chance d’aller un jour à la maternelle).
 
Certains m’opposeront le rasoir d'Ockham, mais sa limite est justement les femmes à barbe qui ont tendance à l’émousser, d’autant qu’encore une fois, comme le répète inlassablement Candace Owens, il suffirait d’une conférence de presse avec son frère et de sortir quelques photos de l’album de famille pour mettre un terme à toute rumeur infondée, inaction qui, devant l’ampleur que la chose est en train de prendre, en dépit de la chape de plomb médiatique, devient de plus en plus suspecte. On pourrait alors passer à autre chose, comme, par exemple, la diversité qui s’invite au festival… de la diversité à Solingen en Allemagne, par couteau interposé qui, certes, taille, mais ne « scie rien » à l’instar de son innocent porteur de même nationalité lequel n’a, visiblement, pas pu l’empêcher d’agir. Un couteau fou donc, mais pas achromate, frappant « au hasard » dans la foule, au niveau de la carotide, des bisounours (coïncidentiellement carencés en mélanine), du « cru », dont 3 « cuits » à ce stade, huit autres étant blessés (dont 5 dans un état critique).
 
Attentat revendiqué, depuis (comme à peu près tout et n’importe quoi, sauf l’homosexualité de Lucie Castets), par l’état islamique (dont on sait qui l’a fondé et qui le finance), au motif de « venger les Palestiniens » dont, sauf erreur de ma part, peu sont tués par des nazis allemands. Donc, soit ils sont complètement cons à la cellule communication de l’état islamique et ont trouvé leurs diplômes dans le même baril de lessive que leurs collègues élyséens, soit ma fibre complotiste me dit que si on voulait influencer l’opinion publique en défaveur de la Palestine et justifier le génocide en cours, on ne s’y prendrait pas autrement. Mais bon, selon Libération, le problème, c’est les couteaux, ce qui nous ramène à Brigitte qui a probablement « Lagu(i)ole » de temps à autre lorsque manu se penche.
 
En France on est habitués, la chose étant reléguée déjà depuis longtemps à la rubrique des Gaulois écrasés, bientôt rejoints par les viols en pleine rue, en libre-service, comme cette femme de 22 ans qui se rendait simplement à son travail à Carpentras, les enrichisseurs culturels ne se contentant plus des inconscientes du changement de paradigme qui se promènent bourrées dans les centres-villes à 3 heures du matin en zigzagant sur les trottoirs pas assez larges (parce que le féminisme), ou les grand-mères grabataires dans les maisons de retraite et autres patientes clouées sur des lits d’hôpitaux. Un hôpital, par ailleurs, complètement à la ramasse où, selon Force Ouvrière, dans le seul CHU de Nantes, 4 personnes sont décédées aux urgences en 3 semaines avec des temps d’attente allant jusqu’à 70 heures.
 
Il fallait bien rendre la Seine baignable, question de priorité, d’autant que c’est un franc succès puisque, selon une étude parue cette semaine, à peine 10 % des athlètes ayant participé aux épreuves de triathlon ou de natation en eau libre ont développé une gastro-entérite, contre environ 1 à 3 % lors des mêmes épreuves, il est vrai dans la mer, plutôt que dans la merde, à Rio de Janeiro et à Tokyo.
 
Sinon, aux USA, après Musk, c’est au tour de Robert Kennedy Jr, le candidat indépendant, de soutenir Donald Trump en se retirant dans certains états clés, ce qui, compte tenu de la popularité du bonhomme, a de quoi donner des sueurs froides aux démocrates, d’autant que les Russes avancent à toute vitesse en Ukraine, rendant la perspective d’un effondrement du front avant les élections de plus en plus crédible et que l’attaque massive du Hezbollah sur des bases israéliennes de ce dimanche n’est qu’une étape, censée faciliter, dans un deuxième temps des frappes en profondeur, tandis que la riposte annoncée, depuis déjà un moment, de l’Iran, contre l’état hébreu, joue les épées de Damoclès.
 
Pendant ce temps, en France, « l’état pète » et Macron, le premier, nous impose un gouvernement démissionnaire tandis qu’il fait mine de consulter la fausse opposition (laquelle se prête complaisamment au jeu), dans l’espoir de gagner du temps et de pouvoir embrayer sur les jeux paralympiques de sorte à conserver le statu quo jusqu’en septembre où l’Union européenne et le FMI prendront le relais en nous imposant un traitement à la grecque pour déficit excessif et impossibilité de proposer un budget cohérent. Faute de chauffage, le manteau en peau de castor risque de devenir à la mode cet hiver.
 
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lundi 19 août 2024

Interview de Trump par Musk, destitution de Macron, RIP DELON et autres actus… (19/08/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/kpAwhMykvA0

 

Bonjour !
La semaine dernière, j’ai omis de parler du décès de Patrice Laffont, animateur de nombreux jeux télévisés dont « le mot le plus long ». Mal m’en a pris, car son fantôme est venu me hanter dans mon sommeil, déguisé en Brigitte Macron et chantant à tue-tête le générique de l’émission. Comme je lui demandai pourquoi, il me rétorqua : parce qu’elle a de la « voix IEL » (et aussi parce que les « consonnes »). Je n’eus pas le temps de m’offusquer de ce manque de respect envers notre première dame à « l’habitus âgé », qu’il s’était déjà volatilisé. 
 
Tant qu’à être réveillé, faisant fi des avertissements de Thierry (Bretton en apparence, mais en réalité sénégalais pour raisons fiscalo-sentimentales), qui, par une longue missive enjoignait Elon Musk de ne pas interviewer Donald Trump sur X (missive à laquelle il lui a été répondu par l’intéressé avec quelques suggestions imagées quant à l’endroit précis où il pouvait se la mettre), j’ai donc écouté en direct ladite interview, réputée plus contagieuse que la variole du singe, puisqu’il n’y a même pas besoin de s’enculer pour l’attraper, variole qui, selon l’OMS ne justifie pas qu’on freine discriminatoirement l’immigration africaine ou qu’on oriente la prophylaxie vers les seuls homosexuels, des QR code dans le reste du monde, des masques, une distanciation sociale et une vaccination obligatoire de l’ensemble de la planète suffisant amplement à résoudre le problème. 
 
Une interview donc, qui a contaminé un petit milliard de personnes à travers le monde en comptant les reprises et autres retweets.
Finalement, pas de quoi fouetter un des chats à une queue de Marine Le Pen avec celui qui en a neuf, car après une énième resucée du récit de la tentative d’assassinat, la dénonciation de l’immigration de masse, la critique du camp opposé (mise à l’écart inconstitutionnelle de Biden, refus de Kamala de donner des interviews…) quelques promesses de restaurer l’économie, et des congratulations réciproques, pas grand-chose sur Israël ou l’Ukraine, par exemple, questions évacuées sans la moindre relance par le désormais classique « si j’avais été aux commandes, ça n’aurait pas eu lieu… » ; pas d’analyse de fond sur quoi que ce soit non plus, même pas le wokisme… Bref, petite conversation entre amis, le contenu ayant relativement peu d’importance par rapport au symbole de l’union de ces deux personnages emblématiques qui donnent un point d’ancrage et surtout un minimum de liberté d’expression aux peuples autochtones en colère à travers le monde. Grâce leur en soit rendue, même si les deux ont de gros défauts et s’empêtrent souvent dans leurs contradictions.
 
Pendant ce temps, tandis que, faute d’une loi sur la fin de vie, les Parisiens voient s’éloigner tout espoir de se baigner, eux aussi, dans une Seine qui attend toujours que notre présidentissime daigne y faire trempette, dès qu’on repasse en deçà du seuil olympique de 3 policiers au mètre carré, dans la capitale, la vie reprend doucement ses « doigts » comme celui, qu’on imagine plus propre en sortant qu’en rentrant, qu’a introduit un sombre individu, voire individu sombre (la presse ne s’étendant pas sur ce genre de détail), dans l’orifice anal d’une touriste américaine de 17 ans qui déambulait sur les Champs-Élysées en compagnie de ses parents. Pour peu que l’individu, visiblement pas une lumière, n’ait pas eu les codes (ce qui « m’effare ») et qu’il se soit agi de l’auriculaire, preuve d’une certaine retenue, voire de distinction, peut-être la justice se montrera-t-elle clémente. 
 
Pendant ce temps, dans le 14e, une femme de 83 ans qui promenait son chien, probablement pas un malinois, était affectueusement serrée au cou, jusqu’à perdre connaissance et la totalité de ses bijoux. Je passe sur les meurtres à coups de couteau à pastèque par des … (non celle-là, je n’ose pas), les viols sous OQTF, les règlements de comptes et autres gâteries sanglantes sans lesquelles la France ne serait plus … le Frankistan.
 
Du coup, la rentrée s’annonce brutale. Déjà, les greniers sont vides en raison d’une sécheresse particulièrement humide et asymptomatique qui a bousillé quasiment toutes nos récoltes, blé compris. Le côté positif étant que nous avons pu passer l’été avec seulement 3 canadairs en état de fonctionnement, Bruno Le Maire, aussi performant qu’un basketteur « migrant », ayant pensé qu’il était judicieux d’économiser 50 millions, soit environ 50 m3 d’eau de Seine baignable au tarif actuel, sur ce poste budgétaire. 
 
D’un point de vue du cirque politique, ce n’est pas mal non plus, puisque Macron propose une réunion des partis seulement fin août, histoire de gagner du temps dans l’espoir d’embrayer sur les jeux paralympiques avant que quoi que ce soit ne soit décidé et que, pas dupe, après Alain MINC la semaine dernière, LFI, qui croit toujours avoir gagné les élections (quelqu’un devrait se dévouer pour leur dire la vérité), évoque à son tour la destitution du palpeur compulsif de médaillés olympiques, sur la base de l’article 68 de la constitution s’il ne choisit pas Lucie Casse-pieds. Sachant que cette procédure, contrairement aux amours de certains enseignants de français, nécessite, à la fin, non seulement une majorité, mais une majorité des deux tiers des deux chambres réunies en congrès, tant que Gérard Larcher tiendra le Sénat et la cantine et que les LR et les socialos auront une part du gâteau, la probabilité que la chose arrive sera équivalente à celle de voir un jour des photos de Brigitte adolescente. 
 
Fort de son pouvoir de nuisance, après Sarkozy-BHL, le tandem de tristes « sires qu’on ci »…te pour avoir provoqué, en attaquant la Libye, le déferlement migratoire que l’on connaît, depuis, en provenance du continent africain, Macron autre sire concis, selon Ploncard d’Assac, sauf quand il parle, veut à présent nous embringuer dans le conflit qui s’annonce au Moyen-Orient, en menaçant l’Iran s’il venait à riposter, comme il l’a annoncé, à l’attaque israélienne sur son territoire. Étant un fervent partisan des droits de l’homme… à s’entre-tuer sans ingérence étrangère, je n’ai rien contre Israël génocidant les Palestiniens, sauf à nous prendre pour des cons en faisant mine d’habiller la chose avec des considérations morales, de même que, si l’état hébreu se prend un retour de manivelle, ça ne m’empêchera pas de reprendre des frites, éliminer l’autre étant, à ce stade, pour les deux camps, une question de survie et peu me chaut qui gagne.
 
En revanche, je ne vois pas de quel droit un président illégitime avec un gouvernement démissionnaire, après nous avoir embringué dans une guerre ruineuse qui ne nous concerne pas et qu’on savait mathématiquement perdue, dès le départ, entre l’Ukraine et la Russie, s’arroge le droit de nous engager potentiellement dans un nouveau conflit, qui plus est en faveur du camp qui n’a pas de pétrole et à l’encontre de nos intérêts géostratégiques les plus élémentaires, sur un simple claquement de doigts des Américains répondant, eux-mêmes, pour des raisons tout aussi mystérieuses, à un claquement de doigts d’Israël. 
 
 
Mais fi de ces choses qui nous dépassent et tandis que, suivant la trace du Bangladesh où un tweet critique envers le régime pouvait vous envoyer en prison, avec les résultats que l’on connaît, s’accumulent, au Royaume-Uni, occupé à mater la rébellion des populations autochtones, des sentences de plus en plus disproportionnées, comme 28 mois de prison à une mère de famille de 5 enfants pour avoir jeté une cannette vide en direction d’un hôtel hébergeant des migrants, preuve qu’un FREXIT sans ménage physique, idéalement préalable, ne servirait strictement à rien, on apprend qu’en France, les autochtones, déjà privés du droit de se défendre, n’ont même plus celui de propriété puisque quelqu’un qui entre par effraction, dans un domicile privé, pour profiter de la piscine, fait le con et finit paraplégique, peut tranquillement porter plainte contre le propriétaire. 
 
Bref, c’est toute une civilisation qui s’effondre de long en large et surtout DELON, décédé sans être remplacé, le moule à monstres sacrés étant depuis longtemps cassé, ne laissant plus que Brigitte …Bardot (ne confondons pas) comme réminiscence de la fascination exercée, jadis, par la France sur le monde. Pour mesurer le phénomène Delon, avant que la mode, pour quelque raison mystérieuse qui n’a, bien sûr, rien à voir avec un sentiment de grand remplacement fantasmé par l’extrême droite, ne soit à « l’Ahmed » dans laquelle on s’enfonce, avec parfois des maux devant, je dois, comme beaucoup de ma génération, dont probablement Soral, mon prénom au personnage. 
 
Ma mère étant, hélas, représentative de son époque, durant ma scolarité, on comptait parfois jusqu’à 7 Alains dans une salle de classe, faisant que, par commodité, au prétexte que j’avais plusieurs prénoms, on m’appelait parfois Jacques ou Xavier, donnant de fait un avantage indu, à savoir celui d'être appelé par son prénom d’usage, à ceux qui n'en avaient qu'un, simplement parce qu'ils n'en avaient qu'un, preuve que les germes du déclin du pays en raison d'un égalitarisme aux antipodes de l'égalité étaient déjà présents.
 
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