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dimanche 17 novembre 2024

Descente aux ENFERS (18/11/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/mKXzOo_mqKg

 
Bonjour !
Probablement soucieux de ne pas provoquer un nouvel incendie nicotiné, Macron n’a pas « mégoté » sur l’argent (… des autres) pour rebâtir Notre-Dame en s’inspirant, on l’espère, des mosquées et des synagogues qui, elles, semblent (en France en tout cas) beaucoup plus soigneusement ignifugées. Hélas pour lui, les cloches ayant retrouvé leur place dans le beffroi, sa présence surnuméraire à l’intérieur n’était plus ni souhaitée ni nécessaire et, après moult tergiversations, il a dû accepter, à contrecœur, de prononcer son discours suspicieusement enflammé depuis le parvis de l’édifice à l’occasion de la réouverture solennelle qui se déroulera début décembre. 
 
Pour ce qui est des causes du sinistre il faudra, au bout de 5 ans d’enquête feutrée et de mutisme médiatique, se contenter d’un sentiment d’accidentalité avec, possiblement, si l’on en juge par le nombre d’églises réduites en CO2 toxique en ce moment, l’ajout de la mention « brûle le catholicisme » directement sous « le tabac tue » au recto des paquets de cigarettes.

Les agriculteurs, eux aussi, s’enflamment et se préparent à une nouvelle jacquerie qui s’avérera aussi efficace qu’un stérilet dans le rectum de Stéphane Séjourné s’ils ne font pas tomber, non seulement le gouvernement, mais la république (sans quoi, il serait simplement remplacé par un autre tout aussi toxique). La fin de non-recevoir de Von der Leyen à la timide demande de rejet du Mercosur par Barnier suffit à prouver que nos dirigeants, même s’ils le voulaient, ont depuis longtemps recyclé les manettes qu’ils n’ont plus en plug Attal et que manifester à leur intention c’est comme défiler devant un pompiste pour réclamer une baisse du prix du baril de pétrole. 
 
Une demande qui fut d’autant plus timide, par ailleurs, que ledit Barnier s’est illustré lors des cérémonies du 11 novembre (jour férié, jugé - contrairement à son auguste personne - non-indispensable par Jean-François, Copé, au civil et « coupé » dans l’intime) en faisant une remontrance à un gamin pour n’avoir pas, l’impudent, secoué l’anus étoilé européen en même temps que le machin tricolore, symbole non pas de la France, mais de la république, qu’on nous fait vénérer, par intermittence, depuis deux siècles et des poussières. S’agissant de deux émanations de la même idéologie, sa remarque selon laquelle les deux, dixit : « vont ensemble » est tout à fait pertinente, même si elle a choqué beaucoup de patriotes en carton qui se sont bien gardés, en revanche, de relever, fait beaucoup plus inquiétant, que la nuée de gamins qui les agitait ferait passer, même l’équipe dite « de France » pour un poster publicitaire (aux relents nauséabonds) des années 30. Petite pensée pour nos poilus, dont, nouvelle mode, les tombes sont saccagées pour alimenter les collections de médaillons funéraires, et qui doivent, en voyant le paradis multiculturel pour lequel ils sont morts, se retourner d’allégresse dans leur tombe, générant une nouvelle source providentielle et inespérée d’électricité décarbonée, pour peu qu’on leur adjoigne un transformateur quantique voire cantique pour les plus pieux. 

Même si révolution il y avait, il n’y a personne de suffisamment radical dans le paysage politique pour prendre les mesures qui s’imposent à commencer par le RN lequel, dans sa tentative de dédiabolisation, a certes perdu la fourche et la queue, mais a gardé les cornes, cocufié par le même système auquel il fait allégeance rectale et qui menace à présent l’éleveuse de chats peroxydée (dénuée de toute doctrine politique, et qui n’a servi qu’à canaliser les mécontentements vers une voie de garage) d’inéligibilité … sauf, peut-être, si son parti s’abstient de voter la motion de censure à l’issue du 49-3 qui s’annonce pour le budget. Il est clair que le problème est moins le réquisitoire (quoi qu’on en dise d’autant plus justifié, à son encontre, que quand on monte au cocotier il vaut mieux avoir la culotte propre) que la clémence dont a bénéficié, parmi tant d’autres, François Bayrou pour des faits du même ordre, rendant l’emprise malsaine du politique sur le judiciaire aussi évidente qu’un testicule de première dame en bikini. Histoire de voir l’œil de verre à moitié plein, peut-être que la possible faillite de la PME Le Pen sera la douche froide qui réveillera le chaland et lui fera enfin comprendre que le changement ne se fera pas par les urnes.

On m’objectera Trump : c’est encore une illusion. Disons, en préambule, que l’Amérique est un bébé de 2 siècles et demi qui, tout naturellement, soutient des pays similaires absents sur les cartes du monde avant les années 20 ou 40, tels l’Ukraine et Israël et ce, contre des pays millénaires tels la Russie ou l’Iran qui lui rappellent trop ses pieds d’argile. La France n’a donc rien à en attendre. Faute d’uniformité ethnique et d’héritage culturel, les USA se sont construits autour d’un drapeau (il est vrai, fièrement agité par tous les camps) et de la promesse de la réussite : le fameux « rêve américain » dont feu Georges Carlin disait qu’on l’appelle ainsi, car il faut être endormi pour y croire. C’est peu, et si cela peut donner, un temps, l’illusion, dans un pays aux ressources immenses et qui a, qui plus est, l’habitude de piller celles de ses vassaux, que des gens de toutes races, religions et autres fractures (naturelles ou créées) vont faire fi de leurs différences au nom du droit inaliénable de se disputer, au mérite, les miettes du gâteau ; en cas de déclassement économique faisant que ledit gâteau s’assèche comme les pertes, autres que de bon sens, de Sandrine Rousseau, le mirage démocratique ne peut que s’effondrer, le naturel reprenant alors le dessus, un pays multiculturel et (ou) multiethnique étant par nature un pays multiconflictuel. 
 
Même en admettant que Trump soit sincère, hypothèse que les manœuvres de Macron et de son homologue britannique pour convaincre Biden d’autoriser les Ukrainiens à frapper les Russes en profondeur avant son entrée en fonction tendrait à conforter, les parlements américains étant constitués, républicains compris, de menteurs professionnels financés par des lobbies (à commencer par l’AIPAC) qui n’hésiteraient pas à le mettre en minorité s’il dépassait certaines bornes tacites, il doit d’ores et déjà donner des gages en distribuant des postes à des neocons bellicistes purs et durs à la Rubio, Noem et Hegseth pour pouvoir espérer saupoudrer des Kennedy et autres Tulsi Gabbard. Le système n’étant, de toute façon, tout comme chez nous, pas réformable de par sa nature même, il ne pourra pas prendre de mesures réellement radicales sans un changement de régime ce qui, vu son tour de taille, n’est pas dans sa nature et donc, le peu qu’il fera aura la même espérance de vie que son mandat, voire que lui-même qu’il soit assassiné, succombe à son grand-âge ou à ses habitudes alimentaires, la « démocratie » veillant à maintenir, à sa suite, le changement permanent qui la caractérise pour que, justement, rien ne change.

Contrairement aux USA, la France métropolitaine a derrière elle des millénaires de sédimentation (depuis les Gaulois, les Celtes et les Francs), de peuplades diverses qui avaient en commun, jusqu’à il y a peu, de ne pas présenter, sous peine de Saint-Barthélemy, de marqueurs raciaux, ethniques ou religieux indélébiles, susceptibles de pousser leurs descendants, en cas de trop grand nombre et de temps difficiles, à s’identifier à une autre communauté que la dominante, d’abord régionale, puis nationale. Le succès éventuel de l’intégration, pis-aller de l’assimilation, s’apprécie sur plusieurs générations et force est de constater que certains, notamment ceux, des deux bords, qui rejouent chez nous le conflit israélo-palestinien comme dans les tribunes, pourtant quasiment vides, de France-Israël, ne sont, selon cette définition, visiblement pas intégrés et donc pas intégrables ; pas plus que les nuées d’OQTF divers et a-variés, officiels ou en devenir, qui redoublent d’imagination pour repousser encore un peu plus, chaque semaine qui passe, les frontières de l’atrocité, telle la créature à pouces opposables qui s’est amusée, tant en France qu’aux Pays-Bas, à écraser des têtes de SDF avec des parpaings. J’avoue que faire craquer du plastique à bulles me délasse, mais là c’est pousser le bouchon un peu loin.

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dimanche 10 novembre 2024

HORREUR, la bête immonde a gagné😬 (11/11/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube :https://youtu.be/kQrcHsl29rw

Bonjour !

Si j’en juge par la mine des cons frits déconfits dès qu’on fit l’annonce des résultats des élections US, les 12 millions d’électeurs démocrates supplémentaires (par rapport à Obama ou à Clinton) qui étaient sortis des cimetières pour voter par correspondance pour un Joe Biden souffreteux et cacochyme en 2020, semblent avoir disparu aussi mystérieusement que le trou, pourtant dilaté, de la couche d’ozone, devant le raz-de-marée trumpiste doublé d’une armée d’avocats et de volontaires chargés de surveiller les centres de vote et de dépouillement, faisant que Kamala Harris, mais jaune. Au bout du compte, la proposition minimaliste d’une femme vaguement mélaninée n’aura pas suffi à convaincre les Américains qui ont bien senti le manque d’inclusivité et d’audace : il aurait fallu oser, à la place, proposer à ce poste la première femme noire trans unijambiste, body et HIV -positive, portant fièrement un hijab arc-en-ciel agrémenté d’une étoile de David en pendentif, bijou écologique fait à la main par sa grand-mère mexicaine d’origine apache mariée à un pasteur presbytérien. Là, ça aurait eu de la gueule.

En attendant que les démocrates dénichent, au sens propre et figuré, l’oiseau rare capable de représenter un peuple multiracial, multicultuel et multiculturel (ce qui à mon sens, le condamne), Trump, faute d’identité à défendre, a préféré miser sur le seul point qui le rassemble : promettre des opportunités de gagner du pognon et leur corollaire, suffisamment de sécurité pour en profiter, ce que les amateurs de version poétique appellent « le rêve américain ». Contrairement aux castors français à queue plate, lesdits Américains, même si certains sont des Mexicains, ne sont pas forcément des mecs si cons et, énervés de voir que, plutôt que de s’attaquer aux gangs d’illégaux, leurs sous sont dépensés pour tuer un écureuil apprivoisé en pénétrant à 10 fonctionnaires armés chez le maître de la diabolique créature coupable d’avoir 500 000 abonnés sur les réseaux sociaux, ont, au moins, eu assez de noisettes pour voter en fonction leur intérêt immédiat… sous réserve que Trump ne se dégonfle pas, une fois encore, comme un testicule fripé de première dame. 
 
S’il ne gracie pas, dès le premier jour, les pigeons qui sont tombés dans le piège du Capitole et qu’il a abandonnés en rase campagne, inutile de se faire d’illusion sur le reste. Ce sera un premier test. Ceci dit, des années de procès, de coups bas et un second trou de balle au niveau de l’oreille ça peut vous changer un homme, d’autant plus s’il dispose du sénat et, probablement de la chambre, avec la possibilité de nommer encore deux juges de la Cour Suprême, soit le grand chelem absolu. Plus encore, il s’est entouré d’une dream team inédite de fortes personnalités qui ont mouillé leur chemise sans compter et se sont autoattribuées les points précis sur lesquels ils entendent faire le ménage : que ce soit Musk qui, contrairement à la femme de Rocco Sifredi, n’aime pas « les normes » et envisage, comme pour X (version non porno), de virer 80% de l’administration tout en la rendant plus efficace, Robert Kennedy junior qui veut éradiquer l’obésité, la crise des opioïdes et la vaccinolâtrie en mettant big Pharma à genoux en commençant par la FDA, l’OMS et le CDC, JD Vance qui veut traquer tous les acteurs de la censure de l’élection précédente incluant FBI, CIA, Facebook, google et consorts, Tulsi Gabbard partisane de la paix par la puissance qui veut remettre de l’ordre dans l’armée à commencer par les généraux à perruque et en jupette, sans oublier Charlie Kirk qui souhaite expulser le wokisme de l’éducation et des universités pour le remplacer par le mérite, tous le soutenant sur le point principal d’une déportation massive des illégaux, ce qui rend quand même un peu jaloux quand on n’a, en France, comme perspective, que le RN, qui joue, lui, la carte diamétralement opposée de la « dédiabolisation » et de l’ectopie testiculaire. 
 
Pour autant, si c’est bon pour les Américains, ça ne l’est pas forcément pour nous et nous n’avons aucun intérêt à avoir une Amérique forte, voire une Amérique tout court, laquelle finira par faire sécession un jour ou l’autre, processus que Kamala aurait considérablement accéléré. Cependant, il faut savoir voir le verre à moitié plein et, dans l’immédiat, les idéologies woke et climatique vont reculer, c’est toujours bon à prendre. Par ailleurs, l’avenir de X semble assuré, faisant que, de Facebook à YouTube, les autres vont faire dans leurs Pampers, lâchant, bon gré, mal gré, un peu la bride aux paroles dissidentes, dans la limite, probablement, faut pas pousser non plus, d’une démocratie non participative (pour ceux qui voient de quoi je parle).

Mais Trump va continuer à ponctionner l’UE et même (si on l’écoute bien) amplifier l’aspiration d’une façon que seul un 68 + pas grand-chose entre Attal et Séjourné est en mesure d’égaler, nous obligeant à payer l’addition une fois qu’il aura intimé à Zelensky de manger son chapeau, certes rond, mais, faute de bords, pas particulièrement breton. À l’inverse, être riche ne signifiant pas avoir des liquidités et encore moins vouloir les lâcher, compte tenu des 100 millions donnés à sa campagne par la veuve Adelson, partisane, comme feu son époux, de l’éradication de la Palestine, sauf à ce que Musk lui ait donné assez pour qu’il puisse se permettre de l’envoyer bouler, j’attends de voir ce qu’il va faire dans le conflit au Moyen-Orient. 
 
Un conflit qui s’exporte aux Pays-Bas où des supporters israéliens, aspirants macchabées, du Maccabi Tel-Aviv, après s’être bruyamment manifestés durant la minute de silence pour les victimes des inondations en Espagne (pays qui a reconnu la Palestine) et avoir arraché des signes propalestiniens en ville, pour avoir, telles des cigales chères à Lafontaine, entonné des chansons pas vraiment gentilles envers les autres sémites, se trouvèrent fort dépourvus lorsque l’Aziz fut venu… avec sa bande de copains, au point que Netanyahou a dû dépêcher deux avions pour les rapatrier d’urgence. Espérons que lors du prochain match de leur équipe, cette semaine, au Stade de France (connu pour ses supporters anglais), à défaut de pouvoir, techniquement, leur secouer les pré-puces, certains ne se rabattent pas sur les puces tout court. Heureusement, pas rancunier après l’arrestation à Jérusalem (ouvrant une boîte éponyme dangereuse) de deux « pandores » avec statut diplomatique par la police israélienne dans l'Église même du Pater Noster qui est un domaine français, notre ministre de l’intérieur … du trou de balle… de football a néanmoins promis d’assurer leur sécurité. 
 
À son actif, on ne peut nier sa focalisation sur les stades dans lesquels il condamne, avec la solennité qui s’impose, tant les propos homophobes que les banderoles et autres tifos « Free Palestine » ne lui laissant, hélas, que peu de temps et d’énergie (autre que verbale) pour traquer le type d’individu qui tabasse et viole en plein jour (digitalement, technologie oblige) sur un parking de supermarché, une femme poussant son bébé dans une poussette, même si, en toute impartialité, le non-viol magnanime dudit bébé mérite d’être souligné et pourra, à juste titre, lui valoir, selon le dicton japonais : «  o tempura, o Maures », la clémence des juges et un stage de poney.

Tandis que l’on apprend que, dans notre beau pays, 66 000 entreprises ont fait faillite au cours des trois premiers trimestres, avec, notamment, une augmentation de 20% constatée au mois de septembre et qu’Auchan et Michelin font la course aux plans sociaux et aux fermetures de sites, il ne reste guère du projet initial de budget de Barnier que la hausse de TVA sur les chaudières à gaz antisémites, tout le reste ayant été remplacé par les délires taxatoires des uns et des autres pour obtenir un agglomérat, aussi affriolant qu’Élisabeth Borne en bikini lequel ne recueillera pas suffisamment de votes faisant que c’est ledit projet initial, concocté par l’UE, qui ira au Sénat avant d’être renvoyé à l’assemblée où il sera vraisemblablement imposé par 49-3, vu « l’urgence » provoquée par des semaines de cirque blablatoire pour rien. 
 
Mission accomplie, donc, pour Macron, toujours-là grâce au RN et LFI, et occupé à éclairer les foules avec une leçon de choses sur les carnivores, les herbivores et les omnivores à laquelle personne n’a rien compris alors même qu’il n’a pas évoqué le cas d’école d’un lapin s’identifiant à une endive qu’il serait discriminatoire pour un végan de ne pas consommer. Soyez rassurés d'apprendre que rien de tout cela n’est de la faute de Bruno Le Maire, qui, né avant la honte, lors de son audition par le Sénat, a accusé l’actuel gouvernement d’être responsable du déficit qu’il a laissé avant de partir.

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dimanche 3 novembre 2024

Vols de PÉNIS en Afrique : la France impliquée ? (04/11/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/pmFSYOhX9wU

Bonjour !
 
J’ignore si Sandrine Rousseau plante des aiguilles sur son homme déconstruit (et où), mais certains artefacts de magie noire sont terriblement puissants et j’ai ouï dire qu’une poupée vaudoue entièrement constituée de poils de testicules de première dame, pour peu que l’on abatte conjointement un ou deux poulets (ou CRS), lorsqu’introduite, une nuit de pleine lune, dans un anus dilaté, par Bruno Le Maire, à coups de prévisions budgétaires mystiques, serait réputée capable de faire disparaître des milliers de milliards de nos finances publiques. Je me garderai donc de me moquer des rumeurs qui courent dans la presse centre-africaine sur de mystérieuses disparitions de pénis suspectées être orchestrées par la DGSE pour alimenter des labos secrets, sous le château de Versailles, chargés d’en extraire génétiquement la virilité. 
 
Après tout, un peu comme pour les cornes de rhinocéros et, à défaut, d’épouse numéro 1 d’Éric Zemmour ou pour les sacrifices rituels d’enfants dans des réseaux pédophiles, la question n’a jamais été de savoir si la magie existe, mais si des gens y croient suffisamment pour commettre des actes répréhensibles d’autant que la plupart des religions sont d’essence surnaturelle et que j’ai déjà vu des gens intelligents se passionner pour la Kabbale. Le terrain, en ces temps de régression et de fin de civilisation, est donc plus que propice à la pensée magique délétère et si l’idée de la disparition spontanée d’organes érectiles, surtout depuis que Marlène Schiappa ferme sa grande bouche, me semble un peu tirée, sinon par les cheveux, au moins par les poils de c…, la possibilité, en revanche, d’un trafic de pénis africains pour lesquels une partie de nos élites ne cache pas son attirance, n’est pas, en soi, aussi ridicule qu’il y paraît et je n’aurais aucun mal à imaginer le couple Macronscescu en consommer, nature ou farcis, avec une sauce bolognaise. 
 
Dès lors, l’envoi au Maroc de deux A330 et d’un Falcon, ce qui n’a aucun sens en période de restriction budgétaire, pourrait au moins s’expliquer comme une couverture pour rapatrier un peu plus de « membres » que les 122, au demeurant un peu flasques, de la cour macronienne, conviés à la « sauterie ».
 
Pour rester dans les croyances superstitieuses, ledit Macron nous avait « méga-bassiné », en mars 2023 (de peur que, contrairement à son épouse, nous risquions de perdre les eaux) avec son plan éponyme pour anticiper la sécheresse prévue pour 2023 et 2024 selon un modèle climatologique infaillible multipliant la masse gazeuse flatulée par les vaches et Gérard Larcher par le carré de l’hypoténuse plutôt que le cubage de ce qu’elles pissent par « π π » ce qui, au vu de la pluviométrie record depuis ladite annonce, était au mieux une erreur d’appréciation. 
 
Il se peut aussi qu’à force de bouffer des insectes et de prendre des douches froides, nous ayons inversé le processus, auquel cas, Anne Hidalgo, en limitant la vitesse à 50km à l’heure sur le périphérique parisien a peut-être été, par son excès de zèle, la goutte d’eau qui a fait déborder… l’Espagne avec, à ce jour, 213 victimes à déplorer. N’ayant pas fait le rapprochement, les Espagnols préfèrent blâmer le roi, traité d’assassin et aspergé de boue lors de sa visite, ainsi que le gouvernement, aussi efficace que le nôtre, qui a mis à peine 10 heures à transmettre l’alerte à la population, pour ensuite envoyer des secours insuffisants, laminés par des coupes budgétaires pourtant très jolies sur des tableaux Excel. 
 
J’admets que, contrairement à l’amère (depuis les présidentielles) de Paris (que d’aucuns qualifient du contraire, surtout depuis qu’elle s’est baignée dans la Seine), je suis un vrai sceptique, notamment en matière de réchauffement climatique anthropique, davantage concerné que je suis par les choses dont l’homme est indiscutablement responsable comme le taux de mercure dans le thon, dont tout le monde se fout, probablement du fait que, fort heureusement, il n’y a pas de cannibales à l’Assemblée nationale et qu’Ersilia Soudais est sauve. Mais lorsqu’on apprend, cette semaine, qu’il atteint 13 fois le taux maximum autorisé, lui-même déjà outrageusement gonflé, à la base, pour ne pas ruiner la filière, cela donne à réfléchir, même quand on aime bien « petit navire »… tant qu’il n’emmène pas de migrants dans ses cales, migrants dont on aimerait qu’on nous dise à partir de combien de millions, ou de milliards, soyons fous, il y en aura trop. 
 
On ne pourra jamais savoir, car non contents, en interdisant les statistiques ethniques, d’avoir cassé le thermomètre une fois largement introduit (ce qui aggrave la pollution par le mercure) les idéologues qui nous dirigent vers l’abîme viennent d’étendre (ce qui est médicalement et financièrement absurde) les tests de drépanocytose à l’ensemble des bébés dès cette année, et ce, uniquement pour qu’on ne puisse plus mesurer le caractère exponentiel de l’invasion migratoire.
 
En dépit de tous leurs efforts, la situation est telle que cela finit par se voir comme un hétérosexuel au Rassemblement National, les obligeant à envoyer Retailleau avec ses paroles verbales et (à défaut de Kärcher), une poire à lavement, lorsque, faute de place sous le tapis de prière pour glisser la poussière, le vase de Soissons déborde de partout à l’occasion d’une nouvelle bataille de Poitiers, où, contrairement à 732, il n’y a plus aucun autochtone sur le champ de bataille qui voit s’affronter, désormais, à l’arme lourde (on imagine, au nom des valeurs de la république), des centaines (selon Retailleau lui-même), de Magrébins et Guadeloupéens. Ailleurs, des enfants de 5 ans prennent des balles perdues tandis que des femmes sont violées par un « patriarcat toxique » dépourvu de caractéristiques méritant de s’y attarder comme, parmi tant d’autres, cette gamine de 8 ans laissée se vider de son sang, après usage, en raison d’un vagin déchiré. « OQTF » semble désormais signifier à l’état : « Oh Que T’es Faible » … sauf avec les quelques Français qui se rebiffent sur les réseaux sociaux, dont 9 viennent d’être condamnés en relation avec le drame de Crépol, tandis que l’on apprend, par ailleurs, que le jeune Nicolas, membre du même club de rugby que feu Thomas, club qui n’avait pas forcément envisagé de jouer à XIII, a été tué à l’entrée d’une boîte de nuit, mais c’est déjà la routine. 
 
Plus fort encore, outre le fait que l’explosion du trafic de stupéfiants implique une explosion délétère et inquiétante du nombre de clients (y compris hors France Insoumise) et que l’état inclut la chose dans le calcul du PIB qu’il n’a aucun intérêt à voir baisser (même si l’augmentation du SMIC de 27€61 est un peu légère pour booster la demande), on a le culot de nous présenter cela sous l’angle du seul banditisme, comme si lesdits bandits n’avaient pas de spécificités certes amalgamantes, mais néanmoins incontestables s’agissant, par ailleurs, souvent, d’individus inadaptés à la vie dans leurs propres sociétés, lesquelles, plutôt que de composter écologiquement leurs déchets, vidangent allègrement chez nous leur Hid… fosse septique. 
 
Des individus qui, non seulement, ne veulent pas s’intégrer, mais dont beaucoup ne le pourraient pas de toute façon en raison (outre de spécificités ethniques, culturelles et religieuses qui n’aident pas vraiment) d’un QI de crevette trépanée anémique aux pinces hélas non isolantes après séjour dans un transformateur électrique directement alimenté par une pyramide égyptienne. Une mesure de l’intelligence certes contestable et contestée d’un point de vue universel, mais qui évalue néanmoins efficacement la forme cognitive spécifique nécessaire à faire société dans des pays occidentaux. Il en ressort qu’ils ne sont ni assimilables, ni intégrables, ni éducables, ni intimidables, ni expulsables, ni même emprisonnables (faute de place et en raison d’un laxisme judiciaire d’extrême gauche) de sorte que, comme pour toute invasion de parasites, en dernier recours, il ne resterait que le Baygon vert, (jaune pour ceux qui « volent »), chose impossible avec les oxymores que sont tant « l’ordre républicain » que « l’état de droit ». C’est en effet ladite république qui provoque elle-même le désordre par son idéologie absurde des « droits de l’autre » laquelle implique que tous les hommes sont égaux et donc ont le droit de venir chez nous, non invités, sans risquer d’être abattus.
 
 Ce fut pourtant la norme pendant des siècles et ça l’est encore ailleurs, comme en Israël qui lui a, apparemment, le droit (en tout cas, il prend le gauche) au nom de sa « survie », de tuer des gosses avec des frappes chirurgicales au bistouri pour le moins mal calibré, ce que certains de ses ressortissants binationaux médiatiques et associatifs (par peur d’être les suivants sur la liste en cas de résurgence d’un nationalisme qui se poserait un peu trop fort la question de savoir qui est français et qui ne l’est pas) nous interdisent de faire chez nous y compris pour des criminels. En parallèle, entre deux coups de marteau et autres règlements de comptes à la mexicaine, des « sombres héros » de la bien-pensance (bien français, eux, quelle que soit la définition) lesquels en redemandent et sont beaucoup plus nocifs que n’importe quel migrant, ont pour priorité de censurer la BD Spirou et Fantasio pour des dessins jugés trop caricaturaux.
 
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dimanche 27 octobre 2024

Dire « ENCU1€ » dans les stades c’est fini… (28/10/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/Rj1ous2qohc

Bonjour !
Ne vous méprenez pas, je ne suis pas du tout contre les homosexuels, je préfère au contraire m’en éloigner, mais à l’instar d’un spermatozoïde de (ou dans ?) Gabriel Attal quand il réalise vers quoi il nage, j’ai la vague impression que nous sommes nous aussi, collectivement dans la m…., mais je m’égare. Tant que les homos restent dans leur petit univers parallèle ou « troufion » compte double au scrabble par un raisonnement « anal-logique », surtout si ledit troufion est chiant, ce qui est mieux que concupiscent, plus ambigu, que ce soit (pour les érudits) selon Saint-Augustin avec son concept de triple concupiscence ou phonétiquement (pour les autres), peu me chaut. Mais quand certains activistes tels le ministre des Sports Gil Avérous (marié avec un homme selon Wikipédia) font un caca nerveux qui atteste d’une ouverture qui n’est pas d’esprit et instrumentalisent le concept d’homophobie, dévoyé pour décréter, sans avoir consulté personne, qu’en cas de chants perçus comme homophobes dans les stades, les matchs seront désormais « arrêtés » et « perdus pour l'équipe qui reçoit », outre que cela va inciter les visiteurs à donner de la voix (ce qui démontre à quel point c’est con), j’ai le vague sentiment d’une dilatation à la Bruno Le Maire quelque peu imposée. 
 
Si je suis contre l’homophobie quand elle consiste, à la talibane, à tester, du haut du toit des immeubles, l’aérodynamisme des membres, actifs pour le coup, de la communauté de l’anus, quand ils y mettent l’Hobbit, il n’en demeure pas moins que, nonobstant, par ailleurs, les qualités et compétences qu’ils peuvent avoir dans différents domaines et qui, elles, sont utiles, j’ai du mal à percevoir la valeur ajoutée que les homosexuels, en tant que tels, apportent à une société qui serait incapable de se reproduire s’ils étaient trop nombreux. Il en ressort (surtout si c’était au préalable rentré), que s’ils doivent être traités humainement, la plupart n’aspirant par ailleurs qu’à l’indifférence, les valoriser, en revanche, comme l’a bien compris un Poutine, relève du suicide collectif. D’autres argumenteront qu’au contraire le problème est le patriarcat toxique qui contamine jusqu’à Sandrine Rousseau laquelle a fait un bras d’honneur au sein (nourricier) de l’hémicycle (non menstruel) quand le député RN Tanguy, dont l’homosexualité n’est pas la qualité principale, a réussi à faire passer, au moins provisoirement, un amendement réduisant de 5 milliards la contribution de la France à l’UE.
 
Pour en revenir au ministre des sports qui nous ferait presque regretter Oudéa « dja dja » Castéra, l’élément déclencheur dudit caca nerveux a été l’usage répandu, au sein des prolétaires qui paient pour voir des millionnaires souvent bien mieux lotis, y compris en mélanine, courir derrière un ballon, d’un terme rimant, de façon aussi riche (et évoquant la même odeur) que Musk, avec le mot « acculé », pourtant simple rappel des réalités anthropologiques. Un mot, certes, perçu comme une insulte, mais, sauf à misogynement occulter une partie du public concerné, pas spécialement homophobe : dans les faits il s’agit plus d’une description « suppositoire » à tous les sens du terme. 
 
On en arrive au stade (là aussi dans toutes les acceptions du terme) où des gens qui se discriminent tous seuls, en se revendiquant haut et fort de quelque minorité, interdisent aux autres de les désigner comme en faisant partie, sauf à les valoriser (et encore). Ce faisant, à l’encontre des principes mêmes de la liberté non seulement d’expression, mais de pensée, la simple neutralité n’étant, hélas, plus possible dans un monde manichéen, ils établissent le fait que, contrairement aux petit-pois, on est obligés de les aimer ou de fermer sa gueule. C’est ainsi, suivant la même logique, qu’un individu se baladant dans le métro avec un t-shirt floqué « ANTI-JUIF » ce qui est, à la base, une opinion qui n’engage que lui, comme l’aurait été un juridiquement plus sûr (mais physiquement plus risqué) « anti-musulman » ou un anodin « anti-chrétien », a défrayé la chronique, excité les politiciens toujours en quête d’un « pis à lait » pour faire croire aux veaux qu’ils servent à quelque chose et se retrouve derrière les barreaux car, pour ce genre de faits, force est de constater que, contrairement aux ovaires putatifs de notre first Lady, la justice fonctionne encore.
 
Pour les autres faits, il vaut mieux prévenir que guérir, comme cette jeune femme de Bayonne à l’organe olfactif développé (sans rapport aucun avec ce qui précède) réveillée en sursaut, selon ses dires « par l’odeur de transpiration » de deux migrants (dont un sous OQTF) à l’instant où ils ouvraient sa fenêtre, donnant raison à feu Jacques Chirac et lui évitant, par une prompte réaction, d’être amalgamement récupérée par une extrême droite surfant sur un sentiment d’insécurité, si d’aventure, fait exceptionnel en France, contrairement à l’Italie où, officiellement, 11 141 Italiennes ont été violées par des étrangers en 5 ans, un futur ingénieur en génie atomique lui avait réclamé, de bonne guerre, une petite avance en nature avant que de se mettre consciencieusement à cotiser pour lui payer sa retraite.
 
Et c’est vrai que le pauvre devra pas mal cotiser pour financer les plus de 150 000€ d’opérations qu’a subi un individu, qui s’en vante sur les réseaux sociaux, pour son changement de sexe remboursé à 100% par la sécu y compris pour les étrangers, tandis que nos braves députés s’écharpent (de députés…) pour trouver de nouvelles idées de taxes (avoisinant déjà les 40 milliards à ce jour à l’assemblée) plutôt que de rogner sur ce type de dépenses. La plus récente, on a du mal à suivre, porterait non pas sur les glucides en général, mais sur le seul sucre, drogue du pauvre et du sans-dents, les frais dentaires semblant moins vitaux que l’ablation du pénis en matière de prise en charge, la décharge n’étant, il est vrai, dans ce dernier cas, plus vraiment une option. Une substance qui sera simplement remplacée, profit oblige, par des édulcorants toxiques, sirops de maïs et autres céréales extrudées sans diminuer d’un iota les calories ou l’indice glycémique ni, au final, rapporter un centime de plus dans les poches trouées de l’état.
 
Sinon, tandis que le très isolé, multicancéreux, Poutine, mis à genoux par Bruno Le Maire, converse à Kazan avec les 2 tiers de la planète et le secrétaire général de l’ONU présent sur place ; en dépit des efforts louables d’Israël qui, après Gaza et le Liban, vient de bombarder l’Iran, la 3e guerre Mondiale devra encore attendre un peu le résultat des élections américaines. Pour résumer la semaine US : après avoir fait frire des frites dans un MacDo dont, depuis, les employés qui n’y sont pour rien, sont harcelés par des démocrates mécontents, « MacDonald » TRUMP se voit accusé par une ex-mannequin qui retrouve la mémoire à deux semaines des élections, d’une main aux fesses dans les années 1990, chose gravissime apparemment, puisque dans l’hexagone, le fils à papa donneur de leçons Nicolas Bedos, défendu, le monde est petit, par la femme de Benjamin Griveaux laquelle n’a pas songé à plaider que, n’étant pas une lumière, il n’avait pas les codes, argument qui, pourtant, fonctionne pour d’autres, a été condamné à un an de prison pour des faits similaires. 
 
Kamala HARRIS quant à elle, dont Michelle Obama, « au bas mot » un peu vache, a déclare qu’elle n’a pas besoin d’être intelligente pour être présidente, qualifie son adversaire de NAZI alors qu’il apparaît qu’elle-même, aurait scripturalement génocidé dans son livre autobiographique ses ancêtres irlandais juifs possesseurs d’esclaves pour s’en inventer, à la place, des plus mélaninés plus électoralement acceptables, en se faisant abusivement passer pour noire par la même occasion. Sentant le vent tourner, dans la foulée du Washington Post, possédé pas Jeff Bezos, plusieurs grands journaux « démocrates » optent pour la neutralité et n’appelleront pas à voter pour elle. Si on ajoute que Trump est passé dans la véritable institution que représente le podcast de Joe ROGAN, lequel, non seulement n’a pas été fichu de lui poser une question gênante, mais s’est fait piéger en se retrouvant souvent dans la position de l’interviewé, ce qui est plutôt une bonne opération pour le candidat, mais m’a fait perdre 3 heures de ma vie à écouter pour rien une banale conversation de comptoir, même si on n’est jamais à l’abri d’une surprise, il semblerait que la balance, et pas seulement la Terraillon, penche en faveur de Donald Trump.
 
Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


 

dimanche 20 octobre 2024

TAXE sur LES CHIENS & LES CHATS, ils y pensent (21/10/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/OtJX935tcIw

Bonjour !
Nous assistons à un véritable concours « Lépine » (rien à voir avec notre Première dame) de la taxation, dans le but non pas de nous fournir des services, un système de santé, une éducation et des routes décents, mais de continuer à dilapider n’importe comment 545 milliards par an sur le modèle de l’OMS qui dépense 42 millions en médicaments et équipement médicaux pour 53 en frais de voyage et 247 en salaires. Si l’on en croit la presse (chargée de nous tâter l’opinion et tout ce qui rime et fait pleurer) sont désormais dans le collimateur tous les animaux familiers, des punaises de lits aux chiens et chats (félidés, notamment femelles, là aussi sans rapport, mais vraiment aucun, avec notre première dame). Des bestioles qui, à l’instar des vaches (et contrairement aux migrants bienvenus en masse pour n’émettre, eux, que de l’oxygène parfumé à la rose), flatulent du méthane et du C02 toxique et contribuent, par leur soutien affectif carboné, à garder trop longtemps en vie des personnes âgées qui coûtent cher au système et pour lesquelles on a concocté une jolie loi euthanasie. 
 
En attendant que la chose soit votée, on a, d’ores et déjà, commencé par les dindons (de la farce) expatriés. Ces braves bêtes, pour s’être imaginées à l’abri des conséquences de leur vote, ont beau être en grande majorité macronophiles, elles vont désormais devoir payer la différence entre ce qu’elles donnent au fisc du pays où elles résident et ce qu’elles auraient payé si elles étaient restées en France… sauf à n’avoir pas remis les pieds dans l’hexagone pendant au moins la moitié de l’âge de leur idole quand elle a été pénétrée, sur les bancs de l’école, par la flèche de cupidon (là encore rien à voir avec notre Première dame), soit environ 7 ans consécutifs. De même que lorsqu’on n’a qu’un marteau tout ressemble à un clou, lorsqu’on n’a qu’un plug anal tout ressemble… à un fantasme de Bruno Le Maire.
 
Sachant que l’on taxe déjà l’eau, l’air avec le CO2, la nourriture, l’énergie, les transports, la mort, tout ce que l’on achète ou que l’on vend, chaque centime que l’on gagne et que l’on taxe même les taxes avec la CSG, les possibilités de racket commencent à se faire aussi rares que des statues de l’abbé Pierre depuis sa « metooisation » et la question se posera vite du choix cornélien entre ponctionner la retraite des castors, ou renoncer à l’accueil des sacro-saints migrants supposés la financer, l’enrichissement autre que culturel se faisant un petit peu attendre et provoquant, comme pour l’insécurité, un « sentiment » d’extrême droite : l’impression, accompagnée de fortes tensions hémorroïdaires, qu’on n’en a jamais eu autant et que pourtant on n’a jamais été aussi pauvres. 
 
Pour vous donner un indice quant à l’option qui sera choisie tant qu’on restera dans l’U.E. : la totalité des pitoyables 16 migrants illégaux envoyés en Albanie par Meloni, à grand renfort de publicité (et aussi par bateau), pour faire oublier les 500 000 légaux qu’elle a fait entrer, est déjà de retour, aux frais des con - (plus ou moins) - tribuables italiens, en territoire transalpin (sans rapport, là non plus, avec notre Première dame), les juges italiens ayant estimé que cette procédure contrevenait à un récent arrêt de la Cour européenne. Barnier clame haut et fort et, pour une fois à raison, que suivre l’exemple italien n’est pas possible, mais il oublie de rajouter qu’en revanche, il serait tout à fait envisageable de construire un centre de rétention en Guyane, au milieu de la forêt amazonienne, où ceux qui parviendraient à s’en échapper, plutôt que de violer des innocentes auraient tout loisir de tenter leur chance avec des mygales ou des caïmans réputés pour leurs fellations inoubliables, contribuant à entretenir le biotope de façon écologique, et ce sans que nous ayons besoin de demander la permission à personne puisque c’est un territoire français. Mais nul, y compris dans la pseudo-opposition, ne le propose. 
 
Et ce n’est pas « Le Pen » de compter sur Bardella pour faire mieux, trop occupé qu’il est à faire part sur les réseaux sociaux de sa fierté d’avoir serré l’organe de Zelensky qui ne lui sert pas à jouer du piano. Un Zelensky qui envisage rien moins que de bricoler une arme nucléaire avec les vieux modes d’emploi datant de l’ex-URSS qui traînent dans ses tiroirs si on ne lui donne pas quelques milliards de plus. Menace qui sera certainement reprise par Netanyahou (lequel a manqué de peu de se prendre une roquette antisémite sur son domicile) si on s’avisait de l’empêcher de bombarder tout ce qui bouge (ou non) à Gaza et au Liban et d’atomiser le chef du Hamas, remplacé environ 12 secondes après, et dont ces abrutis ont trouvé judicieux de diffuser, à l’attention de gens qui rêvent précisément de mourir en martyr, les images où on le voit, au milieu des cadavres de ses compagnons, se battre jusqu’à son dernier souffle en dépit d’un membre arraché, les narines déjà emplies des effluves piscicoles des 72 houris qui l’attendent les jambes écartées. 
 
En parlant d’abrutis et de jambes écartées, Kamala « à risque », incapable de répondre quoi que ce soit de cohérent à la moindre question sensée ; après avoir justifié l’interdiction de présenter une pièce d’identité pour voter, dans certains états démocrates, par la difficulté à trouver des photocopieuses à la campagne, a été calamiteuse lors de sa dernière interview sur Fox News, ses propres conseillers, hors champ, agitant les bras comme des désespérés pour lui demander de se taire. Pour couronner le tout, Candace Owens vient de démontrer que, contrairement à ses affirmations, si elle est bien « hindoue » par sa mère, son père, lui, est plutôt « un dur » faisant qu’elle n’est pas du tout noire, mais issue d’ancêtres écossais possesseurs d’esclaves et que toute la généalogie qu’elle présente dans son livre, à commencer par la photo de sa grand-mère, est totalement bidonnée. Le niveau de triche nécessaire à la faire gagner semble d’ores et déjà inatteignable, mais les records sont faits pour être battus comme la femme que, pour tout arranger, son mari a frappée au visage, en pleine rue, la faisant tourner sur place. Bref, c’est mal parti pour elle.
 
Pendant ce temps, dans une France à la pointe de l’innovation où, après les machettes et les couteaux, on est passés au massacre à la tronçonneuse pour de vrai, et où un individu (dont les ancêtres ont probablement beaucoup souffert) se croyant à Gaza, confond un cycliste avec un membre du Hamas en lui roulant tranquillement dessus, les agriculteurs, en dépit de douleurs récurrentes quand ils posent leurs fesses sur le siège, depuis leur dernière interaction (passée de « banale » à un peu plus court) avec la FNSEA et Gabriel Attal, expert reconnu dans le domaine, remontent peu à peu sur leurs tracteurs et promettent un mois de novembre agité. La question étant de savoir s’ils auront appris de leurs erreurs, iront jusqu’au bout de la démarche et afficheront des slogans du style « plus pour les paysans, moins pour les migrants », non que lesdits migrants soient leur principal souci, mais parce que c’est la seule façon de faire fuir, comme l’ail les vampires ou une calculette Bruno Le Maire, toute la lie gauchiste systématiquement utilisée par l’état pour pourrir tous les mouvements sociaux, façon gilets jaunes.
 
Pour rester dans le sujet agricole, Mbappé de vache, si l’on en juge par son indice carbone et les 25 tonnes de CO2 dépensées pour aller tirer non pas des buts, mais tout court, en Suède, se faisant par ailleurs porter pâle (ce qui confine à la white-face) pour le match France-Israël, a ramené dans ses bagages une accusation de viol, portée par une femme (ou assimilée), selon la presse locale. Force est de reconnaître qu’il se comportait mieux quand il était régulièrement caressé par Macron, que sans aucune forme de mimétisme, il sortait avec un mannequin transgenre et donnait des conseils électoraux absolument indispensables. Espérons que, quitte à briser l’homogénéité de notre belle équipe, il sera définitivement blanchi…
 
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lundi 14 octobre 2024

ILS VOUS MENTENT, la situation est PIRE (14/10/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/amj0_cmaz8o

Bonjour !
En matière de budget, la différence entre un coup de barre assumé et un coup de « Barnier », n’est hélas que phonétique, et le coup de grâce qui nous est administré n’a rien à voir avec celui, sans P et enrobé, de Marine Le Pen, passablement occupée à garder ses fesses molles de procrastinatrice en cellulite plutôt qu’en cellule, à l’issue d’un procès bizarrement peu médiatisé et qui tombe à pic pour la dissuader de voter une motion de censure.

En dépit d’un Retailleau qui, fidèle à son patronyme, fait verbalement (histoire de donner le change) « Taïaut taïaut » sur l’immigration et expulse courageusement du territoire un fils ben Laden parti de lui-même depuis déjà un an, le grand méchant mou Barnier, lui, plutôt que Taïaut « taille bas » sur toutes les dépenses… sauf celles ayant trait à ladite immigration, aux subventions aux associations qui l’encouragent, à la fraude sociale, aux niches fiscales, aux comités Théodule, aux strates doublons du mille-feuille administratif, aux retraites versées à des centenaires étrangers nourris à la pâte à tartiner magique, au budget de l’Assemblée, du Sénat et de l’Élysée augmenté, à lui seul, d’encore 3 millions, au train de vie de la « Première dame » déjà pourtant dotée de bourses généreuses et photogéniques, aux contributions à l’Union européenne (presque 2 milliards de plus), à l’aide à l’Ukraine (encore 3 milliards cette semaine), à l’aide au développement du reste du monde (Chine incluse), aux éoliennes à pédales, à la pseudoculture en boîte de pétri qui ne produit que de la merde subventionnée, pour biberonner des « fils et filles de » parasites, aux médias publics de propagande et aux autres dépenses indispensables sans lesquelles la ré (plus ou moins) publique elle aussi, ne serait, en son centre brun et turgescent, plus au goût de Bruno Le Maire. 

Cela, bien sûr, ne suffira pas et, en attendant le retour de la taille et de la gabelle (ce qui ne manquerait pas de sel), une fois le gland confortablement inséré sur un malentendu à la feu Michel Blanc, le reste va suivre en profondeur avec déjà, dans le viseur, la réinstauration, sous une appellation plus sexy, de la taxe d’habitation, sans que diminue pour autant la taxe foncière déjà « en orbite autour d’Uranus » expression bizarrement moins propre si l’on enlève les « or » « d’ur ». 
 
Les 60 milliards escomptés, pris dans les mauvaises poches déjà vides, et dont ces menteurs patentés (ou plutôt si), taisent qu’ils ne représentent que la moitié de ce qui serait nécessaire pour ne pas, simplement, être déclarés en faillite, seront inévitablement suivis d’une deuxième couche, suffisamment absorbante pour pallier les conséquences odorantes de la déconstipation artisanale des masses, sous forme de budget rectificatif, quand la fameuse courbe de Laffer qui ne fait pas la leur et qu’on pourrait résumer par : « trop d’impôt tue l’impôt » ou « les arbres ne montent pas jusqu’au ciel », fera que la baisse de la consommation et l’adaptation des comportements entraîneront, paradoxalement, une chute des rentrées fiscales. Une chute pas compensée (car, inversement, pensée par des cons), par la loi sur la sécu qui sera votée juste derrière et qui, tout en augmentant l’AME (l’aide médicale « des tas »… d’illégaux), ne va plus rembourser qu’à 60% les frais médicaux des autochtones, conduisant, qui plus est, à une hausse sans précédent des mutuelles pour ceux qui peuvent encore s’en payer une.

Même face au spectacle de l’Assemblée nationale inondée dès qu’il pleut plus de 3 gouttes, on ne peut mesurer complètement l’ampleur de la dégringolade de ce qui fut jadis la 4e puissance du monde si on ne réalise pas que, pour gonfler les comptes, et notamment depuis l’infâme Sarkozy, l’état a vendu en douce une grande partie de son parc immobilier, de sorte que la plupart des administrations sont désormais locataires ce qui augmente considérablement les coûts de fonctionnement faisant que même les « gendarmeries jaune » sur l’ensemble du territoire, incapables qu’elles sont de payer leurs loyers. Plusieurs mois de retard qui impactent dangereusement les budgets des communes, elles aussi, à l’os, sachant que, dans la même situation, tout autre citoyen (hors migrant, enrichisseur culturel ou squatter), aurait déjà reçu la visite de la police (ce qui serait cocasse) pour les foutre dehors. 
 
De toute façon, les forces de l’ordre ne servent plus à rien quand on en est à envisager la fermeture nocturne du Champ-de-Mars en raison des viols de touristes à répétition, l’alternative, à ce stade ultime, étant de buter ceux qui les culbutent, la différence étant, à tous les sens, au niveau de la première syllabe, voire d’abattre préventivement tout OQTF qui y mettrait un pied avant même le reste dont les « doigts de l’homme » auxquels ces mesures contreviendraient. Mêmes restrictions morales en ce qui concerne la nouvelle vague de tueurs à gages de 14 ans qui avortent constitutionnellement leurs victimes bien au-delà de la date limite, erreur de calcul qui sera lourdement sanctionnée par un stage de poney, le « parquet », qui n’en a rien à « cirer » même en cas de « plinthes » demandant généralement moins que les peines « plancher ». Idem également pour les citoyens obéissants qui, depuis l’interdiction des couteaux, fracassent des crânes à coup de marteau à la sortie des écoles ou lors de raids dans des fast-foods. Probablement des Suédois amateurs de Claude François qui rendent hommage à Thor (ou à raison).

Mais je digresse. Dans cet inventaire à la Prévert de gris de tout ce qu’il ne faut pas faire, figure également, outre le gel des retraites sans tenir compte des disparités, la diminution drastique des aides à l’embauche (y compris des apprentis) devenues pourtant indispensables aux PME écrasées de taxes avec, de surcroît, le poids de tarifs électriques purement idéologiques et qui, youpi, vont encore prendre 14% en février. Aides qui soutiennent pourtant réellement l’emploi contrairement aux mêmes, octroyées aux multinationales (lesquelles auraient embauché de toute façon) et qui, effet d’aubaine, se retrouvent donc directement dans la poche des actionnaires, non seulement en créant zéro emploi, mais en incitant même à licencier sur le site X pour pouvoir réembaucher sur le site Y et toucher lesdites aides à effectif constant.

Pendant ce temps, plutôt que d’empêcher Sanofi, fabricant entre autres du doliprane, d’être racheté par les Américains alors qu’il existe un repreneur français, Macron, après avoir justifié l’immigration de masse par Aznavour pourtant connu pour « ses emmerdes », a décidé de plutôt se battre pour empêcher la série « Emilie in Paris » laquelle s’est probablement baladée de nuit une fois de trop sur le « Champs-de-Mars », de devenir « Emilie in Rome » plutôt que « des Roms dans Emilie ». À ce niveau de nullité, on est presque surpris quand il dit un truc sensé comme demander l’arrêt des fournitures d’armes à Israël, lequel vient quand même de faire du tir aux pigeons sur les Casques bleus de l’ONU pour la troisième fois en 3 jours, se torche avec toutes les conventions internationales et envahit tranquillement un pays allié de la France, probablement le dernier sur la planète où elle était encore respectée. 
 
Bizarrement après que « CJEWS » et le RN nous ont bassinés jusqu’à plus soif avec les chrétiens d’Orient quand ils étaient décimés par les méchants islamistes, c’est le silence radio (et TV) depuis que les mêmes sont « libérés » à coup de bombes démocratiques par les méchants… « judaistes » ???. Je dois avouer que je suis un peu confus au niveau des termes, car on nous a vendu que le « isme » c’était pour les méchants comme avec le gentil islam et le méchant islamisme, donc, selon les mêmes critères, il y aurait le méchant judaïsme, sans même une version « gentille » laquelle donnerait « juda », ce qui pourrait prêter à confusion.

Mais qu’on se rassure, en cet an de disgrâce 2024, une lueur d’espoir point à l’horizon, non pas (évènement secondaire), l’élection de plus en plus probable de Donald Trump face à une Kamala Harris incapable d’improviser devant une panne de prompteur, mais bien la création de ce qui manquait vraiment à la droite nationale : un parti pro-Israël de plus, comme celui créé par Marion Maréchal, anciennement nouvelle Jeanne D’arc (Vador) des croisés nostalgiques, certes un peu défraîchie, mais dont j’attends, un jour, avec gourmandise, l’inéluctable débat face à Sarah point trop KNAFO autre promotrice de la fumisterie oxymorique de la civilisation « judéo-chrétienne » et omniprésente sur toutes les chaînes info depuis qu’elle ne représente plus, elle aussi, que sa cabine téléphonique.

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dimanche 6 octobre 2024

Ça sert à rien, mais ÇA SOULAGE (06/10/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/n5NY-fDTfCs


Paroles :

C’est la danse des connards
Des véreux politicards
Et des médias bien dressés
Y’en a assez
Des migrants qui assassinent
Après Lola, Philippine
Et du pognon gaspillé
Pour les aider
Et de ces antiracistes
Souvent tristes sires concis
Qui réduisent à des nazis
Ceux qui résistent
Avec leurs associations
Gavées de nos subventions
Anti-Gaulois réfractaires
Priés de se taire

Violez c’est la fête
Des OQTF et des fous
À coup de couteaux et de machettes
La CAF finance, le juge s’en fout.

Notre pays en faillite
Paie ses perruques à Brigitte
Ses villas à Zelensky
Et Dieu sait qui
Aide la moitié de l’Afrique
Jusqu’en Chine donne du fric
Crée des postes qui paient bien
Pour les copains
La seine est propre, paraît-il
Plus d’un milliard à la flotte
Malgré les étrons qui flottent
Ainsi soit-il
Et pour changer une ampoule
Ou bien réprimer les foules
On paie très cher McKinsey
Car lui il sait

Dealez c’est la fête
Des gangs qui viennent de partout
Gérer à coup de mitraillettes
Leurs territoires, c’est plus chez nous

Et l’Union européenne
Imposée malgré le non
Veut encore qu’on en reprenne
Quelques millions
Tant qu’on est dans ce machin
On ne contrôle plus rien
Toutous des Américains
Israéliens
Qui veulent une guerre mondiale
Pour des raisons fort triviales
Réduire la population
Faire du pognon
Les élections sont bidon
L’opposition en carton
On manipule les castors
Toujours en tort

Squattez, c’est la fête
Même sans papier pas de loyer
On peut même tout casser, c’est chouette
Jamais extradés, rien à payer

On apprend la sodomie
Et 500 genres et demi
Aux élèves de maternelle
La vie est belle
Plus besoin de savoir lire
Ni même compter ou écrire
Ça permet de mieux voter
LGBT
Pour sauver la météo
Des vaches qui pètent trop
On tue notre agriculture
Faisons ceinture
Même si y a plus à manger
Que l’industrie est HS
Et les retraites en danger
Sus aux SS

Roulez c’est la fête
Sur l’archaïque Maréchaussée
Qui croit que les autos s’arrêtent
Quand elle s’avance sur la chaussée
La vie est mal faite
Quand ils arrivent à l’hôpital
Le temps d’attente c’est perpète
Car trop d’AME c’est fatal.
 

dimanche 29 septembre 2024

Philippine, Viols de Mazan, excitations à géométrie variable (30/09/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/rrPVo51C3n0

Bonjour !

Si l’on en croit les padamalgamistes, lesquels ne manquent pas d’air (contrairement à Philippine Le Noir de Carlan, probablement enterrée encore vivante, d’où la mort par « asphyxie »), il s’agirait là d’un banal féminicide imputable à un mélange délétère de masculinité toxique, de réchauffement climatique et de trottoirs pas assez larges. Le fait que ce probable viol, suivi d’un meurtre a été perpétré par un être à pouces opposables venu illégalement d’un autre continent, se trouvant, qui plus est, en état de récidive et sous OQTF ; par ailleurs fraîchement relâché dans la nature en connaissance de cause par UNE juge compatissante dont la loi, bien faite, interdit de donner le nom, ne soulèverait, selon eux, pas plus de questions que l’entrejambe de Brigitte Macron, sachant que, comme le dit la chanson de Charles TRENET : « qu’y a-t-il à l’intérieur d’une noix ? », a fortiori de deux. 
 
Une chanson, elle aussi en mode « mineur », mais bien accompagnée, contrairement à ceux, que, dans un accord majeur, lui, signé en 2020, le Maroc a accepté de reprendre. Las, l’administration judiciaire française, payée avec nos impôts, et saisie par des associations subventionnées s’est refusée à le mettre en œuvre, estimant que : « les structures d’accueil n’y sont pas adéquates » pour recevoir ces « chers » bambins à 50 000€ annuel par tête de narguilé aux frais de la collectivité. Ne s’agissant pas de réfugiés politiques, seul cas où leur bien être dans LEUR pays pourrait relever de notre responsabilité, en quoi est-ce notre problème ? À cela s’ajoute le fait qu’au cas particulier, ledit Maroc a bien accordé, à un jour près, le laissez-passer consulaire nécessaire à l’expulsion diarrhéique de ce répugnant étron qui n’avait pas encore tué Philippine Le Noir de Carlan lorsqu’il a été prématurément libéré par cette juge bonne poire… de lavement.
 
Autre argument vaseux, voire vase...line : le fait que nous ayons aussi nos propres délinquants, non seulement n’est pas une excuse, mais une raison supplémentaire pour ne pas en importer d’autres. D’autant que ces derniers semblent peu réceptifs à la méthode conventionnelle consistant à tendre l’autre joue pendant qu’on nous dilate quelque organe cher à Bruno Le Maire, mais en tapissant quand même le sol de menaçants petits nounours, de fleurs à épines et de bougies potentiellement incendiaires dans l’espoir de tenir les intrus à distance. Un modus operandi qui ne serait pas complet sans l’ingrédient principal : non seulement les condamnations, mais les condamnations fermes (c’est important), non pas des coupables, mais de la violence (des fois que nous nous décidions à l’utiliser pour nous défendre) par des politiciens ayant tronqué, à cette occasion, leur plug anal habituel pour un manche à balai de circonstance. J’aurais bien quelques propositions alternatives, mais elles ne correspondent pas aux valeurs de la République et partent du principe que tous les hommes ne sont pas égaux, sauf peut-être Brigitte.
 
En revanche, les mêmes n’hésitent pas à amalgamer, façon dentiste, toute la population masculine (contre laquelle ils ont une dent) au pervers de fond de cuve qui a drogué la mère de ses enfants pendant 10 ans pour l’offrir à d’autres homuncules influencés par l’image de femme-objet véhiculée par le porno que, du coup, ils sont frustrés de ne pas retrouver à la maison, d’où ce genre de raccourcis médicamenteux et l’explosion du candaulisme, autre conséquence de la castration collective de l’homme occidental. Un dossier qui, lui, pour le coup, est un simple fait divers sordide, par définition exceptionnel dans ses proportions (d’où sa résonance médiatique internationale) et sur lequel, comme sur tout (sauf les chambres à gaz), je m’interroge au vu de quelques « détails de l’histoire » qui chatouillent mon esprit complotiste.
 
Sans que cela minimalise la gravité de l’acte, force est de constater que le mari a utilisé, nous dit-on, non pas du GHB ou un somnifère, mais un anxiolytique, un choix plutôt curieux si la finalité avait été l'endormissement total de la victime, sauf à vraiment forcer la dose, auquel cas, au vu des risques encourus, la chose devrait être requalifiée en tentative d’homicide ou, à minima, en mise en danger de la vie d’autrui et, compte tenu de l’extrême addiction provoquée par ce médicament spécifique (selon le VIDAL), on aurait devant nous une loque humaine en état de manque et non pas la pimpante égérie souriante avec un faux air de Brigitte Macron, qui semble beaucoup apprécier l’attention et la célébrité. Il est à noter qu’une autre victime, épouse d’un disciple de Pélicot, a été abusée 11 fois avec ce procédé (contre au moins 80 pour la victime principale) et a témoigné s’être déjà réveillée durant les faits. Par ailleurs, ledit Pélicot avait pour pseudonyme « dompteur » sur les réseaux, ce qui, en l’absence de quelque chose d’au moins vaguement conscient à dompter, le placerait dans la hiérarchie juste en dessous du dompteur de puces savantes.
 
Il faut bien comprendre que, contrairement au cas de Philippine où on a affaire à un animal incapable de contrôler ses pulsions de domination (et qui donc, en toute logique, devrait être traité selon les protocoles appliqués aux animaux dangereux), le pervers, lui, ne se contente pas de juste dominer, mais il veut généralement provoquer le consentement de sa victime. C’est ainsi que le fantasme de certains homos est de convertir un hétéro (un peu comme P. Diddy avec Justin Bieber - là encore au moyen de substances chimiques - selon les rumeurs ), le fantasme des pédophiles, de faire aimer le sexe à des enfants prépubères et celui du système, de tendre vers l’androgynie en masculinisant le plaisir féminin, réduit à une simple stimulation mécanique de zones érogènes, à coup de sex-toys, de porno (encore) et de multiplication de partenaires, de sorte à supprimer ou rendre impossible l’investissement affectif indispensable non seulement à une sexualité féminine épanouie, mais véritable ciment de la société (injustement qualifiée de patriarcale) que ledit système aspire à détruire. 
 
Ça a marché sur nombre de féministes qui ne sont déjà plus des femmes à part entière et qui utilisent Gisèle Pélicot pour mener leur croisade, laquelle ne prendra fin qu’avec la castration complète de l’homme occidental, les laissant seules, tels des lapins devant les « phares » d’un véhicule électrique ayant parcouru moins de 200 km sans allumer le chauffage, face à des « (h)allogènes », eux aussi, mais imperméables à leur propagande.
 
Cela dit, j’ai suivi la chose de très loin et il se peut qu’il ait été établi que Gisèle Pélicot ne s’est effectivement jamais doutée de rien, qu’elle ne s’est jamais réveillée, qu’elle n’a jamais noté d’irritations suspectes, d’écoulements bizarres ou de douleurs hémorroïdaires et qu’elle n’a jamais perçu de signes avant-coureurs, comme, avant le mariage, des galipettes peu conventionnelles imposées à l’arrière d’une Simca 1000. Peu importe, dans tous les cas, son statut de victime est indiscutable, en revanche celui de sainte, a fortiori médiatique, est pour le moins suspect et j’ai du mal à discerner une auréole, à part peut-être sous les bras. Ne serait-ce que parce qu'elle se prête de bonne grâce au jeu de cette manipulation de masse éhontée, avec pour finalité, probablement quelque nouvelle loi débile imposant un acte notarié et 8 jours de préavis pour se livrer à une quelconque activité sexuelle, creusant encore un peu plus le fossé entre les sexes, fossé propice à susciter, justement, des fantasmes et comportements du type de celui qu’elle a subi. 
 
Si l’on combine tout cela à un nouveau record du nombre d’avortements (en hausse de 3,7%), le délitement ethnique ne peut que s’accélérer encore davantage, de même avec chaque Philippine tuée, qui ne donnera pas naissance à la famille nombreuse dont elle rêvait et sur le sort de laquelle, sauf erreur de ma part, pas plus que celles qui méprisent l’une, au point d’arracher des affiches à sa mémoire, et sanctifient l’autre, Gisèle Pélicot ne s’est pas exprimée.
 
Pendant qu’on amuse les foules avec ça, le taux d’intérêt sur les obligations françaises à cinq ans grimpe comme Darmanin sur une demandeuse de logement social, dépassant celui de la Grèce et actant que nous sommes virtuellement en faillite, mais prêts, néanmoins, à accueillir le million de Libanais qui tente de fuir le pays vers l’Europe en raison des frappes israéliennes, lesquelles continueront tous azimuts, avec le support des Américains, tant que les condamnations internationales ne se transformeront pas en intervention militaire.
 
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dimanche 22 septembre 2024

Ça y est, nous avons des ministres, téléphones qui pètent et autres news (23/09/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/AboovvsPu0w


Bonjour !
Je connaissais « Allah Akbar », je viens de découvrir « allô Akbar » version israélienne inversée du jihad, consistant à faire exploser des beepers, talkies-walkies, téléphones et tant qu’on y est, panneaux solaires, téléviseurs et probablement vibromasseurs connectés (tout court et à des « membres » du Hezbollah), même si ce dernier point ne sera jamais confirmé. Le nombre de décès, est plutôt faible, mais celui des blessés, souvent mutilés, est considérable, on ne saurait donc prétendre : « plus de beeper que de mal ».
 
Nonobstant l’extrême perversité de la chose et une tendance devenue coutumière à s’asseoir, en toute impunité, sur toutes les conventions internationales, ce qui reste, objectivement, un exploit technique et logistique de ceux qui n’en ont rien à foutre, si Macron, lui, plutôt « en aval », « en amont » cela a certainement demandé des années de préparation. L’intention était donc largement antérieure aux attaques du 7 octobre, confirmant, s’il en était besoin, qu’il n’y a pas de « gentils » dans cette histoire laquelle ne pourra finir que par l’éradication d’un des deux camps par des méthodes à l’empreinte carbone discutable.
 
Étant partisan du principe de non-ingérence et du droit inaliénable des peuples à se massacrer si ça leur fait plaisir, la seule chose qui m’empêche de reprendre des cacahuètes est le risque de 3e guerre mondiale et l’importation inéluctable du conflit sur notre territoire où les « deux parties » surplombées par quelque organe circoncis, si l’on compare au reste du monde (hors leur pays d’appartenance), sont, d’un point de vue purement statistique, exagérément représentées, sans que nul n’ait été préalablement consulté sur cet enrichissement modérément pécuniaire.
 
Pas certain que le durcissement de la législation sur le port du couteau récemment annoncé suffise à nous protéger. Un peu comme si, en son temps, la gracile Brigitte, laquelle entre, paraît-il, dans du 14 ans (je parle bien sûr de vêtements), avait puni toute sa classe par peur de désigner un élève en particulier. L’escroquerie républicaine des « doigts de l’homme » universel, lorsque suffisamment enfoncés, rendant impossible toute discrimination ethnique qui permettrait d’identifier les porteurs majoritairement concernés, et a fortiori l’admission du fait qu’un minimum d’homogénéité dans une population donnée est une des conditions à la cohésion sociale et nationale, cette proposition pathétique de nos gouvernants n’impactera que les pourfendeurs de camembert et autres égorgeurs de Justin Bridou, entreprise que la faillite menace, avec la fin de l’opinel, si elle ne commercialise pas rapidement du saucisson prétranché.
 
Les principaux concernés, eux, sont autant intimidés par une amende de 500€ et une inscription dans les tréfonds de leur casier judiciaire que Marlène Schiappa devant un micropénis, sans ses lunettes. Pour peu que des cerveaux, capables d’excellence en matière de pâte à tartiner, se mettent à réfléchir, on pourrait voir des attaques au tournevis, aux ciseaux, aux fourchettes, à la clef à molette, au cutter, sans même parler des endives surgelées susceptibles d’être des armes par destination et, quand tout sera interdit, on se rendra compte qu’il y a encore des gens qui, contrairement aux sans-dents, sont capables de mordre et qu’il faudra donc limiter la longueur des incisives à 15mm.
 
Mais soyons optimistes et communions tous ensemble dans l’ivresse du moment provoquée par l’abus de grand Barnier en nous réjouissant d’avoir enfin un gouvernement d’union nationale (du centre avec le milieu), même si son espérance de vie, qui n’a rien à voir avec celle de Séjourné (comme quoi, l’orthographe…) sera, elle, très courte. D’autant que le camouflage (passible d’une cour de justice) à coups de 49-3, du déficit réel par le tandem Macron - Lemaire et qui semble, à ce stade, dépasser non plus les 5, mais les 7%, laisse augurer d’une faillite prochaine, sauf augmentation drastique des impôts, rabotage des retraites ou massacre à la tronçonneuse des prestations sociales dont bénéficient tous ceux qui nous enrichissent de façon atypique, comme cette dame distraite qui a touché en 10 ans, depuis l’Algérie, 90 000€ de prestations sociales au nom de son père, dont elle n’avait probablement pas remarqué le décès. 
 
Dans le premier cas, c’est motion de censure, dans le second c’est infection « urnaire » assurée pour les LR et la macronie, la troisième option comportant, elle, un fort risque d’émeutes comme en Martinique, après Mayotte et la Nouvelle-Calédonie où, même si on n’en parle plus, la situation, à l’instar de Brigitte, n’a jamais été réglée et est toujours aussi critique avec encore 2 morts ces jours-ci.
 
Avec Rachida Dati à la culture, pour son grand « savoir », verbe dont elle maîtrise parfaitement la conjugaison à la première personne de l’imparfait du subjonctif, Lecornu qu’on eût préféré habillé, et après avoir dit a« men au Pannier »-Runacher, il faut se garder de tout optimisme dilaté, en dépit d’un Retailleau – « taïaut sur les migrants » et d’un casting général qui nous fait réaliser à quel point on avait fini par perdre l’habitude des anus monotâches et unidirectionnels au sein de l’exécutif. 
 
D’ailleurs les associations LGBT ne sont pas contentes, Barnier, à ma grande surprise, ayant passé le test Laurence Garnier, soutien de la manif pour tous, en l’imposant au gouvernement contre l’avis de Macron, même si ce n’est pas pour être en charge de la famille comme initialement prévu, car on n’est pas près de faire un jour des sacs à main avec des testicules centristes, faut pas pousser non plus.
 
Tout ce beau monde pro-UE (laquelle vient d'accorder 35 milliards de plus à l’Ukraine ponctionnés sur les avoirs gelés russes et continue de provoquer le très patient Poutine en demandant à ce que les armes à longue portée puissent viser des cibles sur son territoire), même s’il le voulait, n’a pas le pouvoir de changer les choses, mais pourra donner brièvement l’illusion de prendre l’escalier plutôt que l’ascenseur pour descendre au fond du gouffre, permettant à Macron (lequel, pour quelque raison mystérieuse, soit s’est identifié à un pois sauteur du Mexique, soit avait son plug anal piraté en direct par les israéliens, durant la cérémonie de clôture des jeux paralympiques) de grappiller encore un peu de temps au gouvernail du Titanic afin d’être sûr qu’on n’évite pas l’iceberg.
 
Sinon, hormis le fait que, de l’Ukraine au Liban, on n’a pas vu une telle escalade depuis la soirée romantique Attal-Séjourné au Palais d'Iéna, avec juste la tentative hebdomadaire d’assassinat de Donald Trump, ce fut une semaine plutôt banale.
 
Mon travail est entièrement bénévole, avec, par principe : pas de monétisation, ni de sponsoring ni de Tipeee. Cela me prend du temps et de l’énergie et, pour être honnête, après presque 9 ans à faire ça, je suis parfois découragé. À mon image déclinante, même si toutes les tranches d’âge sont représentées, une bonne partie d’entre vous était déjà largement sevrée lorsque l’homme n’a pas marché sur la lune et j’aimerais au moins que le nombre de nouveaux abonnés dépasse celui des décès hebdomadaires, seule façon d’accroître ma visibilité dans une période où YouTube ne met pas spécialement en avant ce type de contenu. 
 
Donc, si vous l’avez apprécié et si ce n’est pas déjà fait (auquel cas évitez de mourir), abonnez-vous ! C’est un petit clic (gratuit) pour vous, mais c’est vraiment, vraiment, un grand clic pour l’avenir de la chaîne. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.