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dimanche 19 janvier 2025

830 000€ à un faux Brad PITT, MAIS CE N'EST PAS TOUT…(19/01/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/TQMqU66Td2k

Bonjour !
Quand j’ai vu que Sandrine Rousseau montait dans les tendances, je n’ai pas tout de suite compris que c’était en raison de sa tentative de faire de l’ombre à Donald Trump en abandonnant officiellement non point (gare à la confusion) « au X, ses plates formes », mais bien « la plateforme X », et ce, le jour de la prise de fonction de ce dernier, provoquant un séisme mondial qui a eu pour résultat que la cérémonie supposée se dérouler dehors aura désormais lieu à l’intérieur… à moins que ce ne soit à cause de la météo, mais le doute reste raisonnablement permis. En fait, noyé par la tourmente médiatique et la sachant plutôt sensible au charme des hommes déconstruits, j’ai brièvement cru que c’était elle qui avait été ciblée par des brouteurs nigérians se faisant passer pour un Brad Pitt reconstruit avec Photoshop, voire peut-être pour Lénine dans son cas, et que, selon le dicton « femme à lunette, femme à quête » (ou quelque chose comme ça), elle ouvrait une cagnotte Leetchi (écoresponsable) histoire de se refaire. 
 
Des brouteurs, visiblement pas assez blanchement privilégiés pour que les féministes osent crier au patriarcat toxique sur ce coup-là, et qui, outre la quinquagénaire, désormais mondialement connue pour leur avoir quinquagénéré 830 000€ de revenus, extirpés à la véritable victime, à savoir le mari qu’une fois harponnée, elle a, sans hésiter, plumé dans une procédure de divorce (ce qui m’économise quand même quelques kleenex) auraient par ailleurs « bradpitté » au moins 34 autres femmes tout aussi fortes et indépendantes. Bien évidemment, loin d’être tentés de prendre leur retraite avec ces sommes confortables, converties en cryptomonnaies (et éventuellement à l’islam), comme quoi, contrairement aux idées nauséabondes véhiculées par d’ignobles médisants, les gens travailleurs ça existe même en Afrique, voyant leur martingale quelque peu éventée et après quelques tentatives, inexplicablement infructueuses, avec des photomontages dilatés de Bruno Le Maire de dos, les mêmes se feraient à présent, et c’est véridique, passer pour Keanu Reeves. 
 
Une bonne idée de départ pour le futur John Wick 5 qui, profitant de la mort annoncée et subite du wokisme, pourrait enfin passer 2 heures en cinémascope à trucider du brouteur nigérian au Wakanda faisant que, pour le coup, poussé par mes plus bas instincts, toujours dormants hélas, en dépit d’une cure intensive de « padamalgam » en suppositoires, je pourrais être tenté de remettre les pieds dans une salle obscure.

Il est clair que le premier réflexe est de se moquer, mais ce serait négliger le fait que la nature même de l’humain le pousse à croire en une forme ou une autre de père-Noël, ce qui fait de la plupart d’entre nous des proies potentielles à des degrés divers. 
  • Il y a ceux qui se jettent sur la « super affaire » sur Ali Express ou qu’Ali exprès (sans oublier Kevin et Matéo) met sur le bon coin, 
  • ceux qui investissent dans ce miraculeux placement confidentiel avec garantie de décupler la mise,
  •  l’individu bedonnant avec aérodrome capillaire grisonnant pour mouches à vision dégradée qui, pur hasard, travaille dans le secteur de la défense et « avale » que la jeune Chinoise (qui lui fait pareil) et qu’il a rencontrée « par pure coïncidence » est irrésistiblement attirée par son intelligence, 
  • le simp qui fait gonfler, proportionnellement à la quantité de sang qui quitte son cerveau pour aller ailleurs, le PayPal d’une influenceuse qui n’est peut-être que le gars précédent derrière un filtre IA, lequel essaie de bouffer après avoir été viré pour s’être fait soutirer des secrets d’État, 
  • tous ceux à qui on a vendu, parfois à deux reprises, un « Mozart de la Finance » qui, lui, nous a entubés de milliers de milliards, 
  • ceux qui pensent que Marine Le Pen ou Mélenchon sont la réponse, 
  • ceux qui croient que les ZFE vont sauver la planète 
  • ou que Brigitte Macron est juste une femme sans fesses, sans poitrine, sans hanches, aux épaules carrées et aux longs pieds, qui a égaré et son frère et toutes ses photos de famille, 
  • ceux pour qui il était crédible que la position debout ou assise dans les trains selon des horaires déterminés (ou encore, mettre un masque pour se balader tout seul sur une plage après s’être signé soi-même une autorisation) allait aider à lutter contre un virus, 
  • sans parler des millions de personnes qui sont mortes au fil des siècles au nom d’une idéologie ou d’un dieu quelconque, version souvent ultime du père Noël. 
Au cas particulier, par exemple, la dame, d’évidence émotionnellement vulnérable, a été travaillée au corps pendant des mois par toute une équipe se faisant passer pour la mère de Brad Pitt, Brad Pitt lui-même, sa fille, sa doublure officielle, le Docteur de Brad Pitt et même le FBI. Une fois bien entortillé par des gens experts en manipulation, capables d’identifier les failles personnelles et collectives, selon des méthodes éprouvées qui en disent long sur la nature humaine, quasiment tout le monde peut se faire manipuler… jusqu’à un certain point, sachant qu’il y a quand même des degrés dans la naïveté, certains portant carrément, hélas, la mention « victime » gravée sur leur front. 
 
Ces derniers seront généralement exploités sans vergogne par des prédateurs voyant simplement la chose comme de la sélection naturelle en se disant, quand ils se disent quelque chose : « si ce n’est pas moi, de toute façon, ce sera quelqu’un d’autre ». Toute ressemblance avec un élu existant ou ayant existé est bien entendu purement fortuite. Toujours est-il qu’à l’instar d’une vieille dame à qui on téléphone au milieu de la nuit pour lui annoncer que son fils est à l’hôpital, selon le contexte et les circonstances, si on appuie sur le bon bouton au bon moment, personne n’est totalement à l’abri. 
 
J’ai même connu un cadre supérieur, dont si je vous disais où il travaillait et dans quoi, sa mésaventure vous semblerait équivaloir à Éric Zemmour laissant tranquillement toute la nuit une Maserati fluorescente dans une cité du 93 avec les clés sur le contact et Sarah Knafo en nuisette sur le siège passager. Le gars, que je salue s’il se reconnaît, était tellement passionné de vélo qu’il a suffi d’un mail lui annonçant qu’il avait gagné un dérailleur Shimano pour qu’il passe en mode tunnel et balance carrément le code de sa carte bancaire.

Toutes ces personnes influençables ayant le droit de vote, se pose alors la question de la pertinence du système dit démocratique (a fortiori « représentatif »), qui plus est quand une information biaisée, en premier lieu par les médias officiels, nous empêche de prendre des décisions éclairées et que la voix de ceux qui portent un masque alors même qu’ils sont tout seuls dans leur véhicule crit’air compatible, souvent quintuples vaccinés, analement ouverts à l’autre (mais pas dans leur quartier si possible) et qui prétendent tuer les vaches pour lutter contre le réchauffement climatique anthropique (et pique et pique et colegram) a le même poids que celle de tout un chacun, avec les résultats que l’on peut désormais commencer à apprécier. Bayrou, dernier étage de la fusée en perdition, qui contrairement au dernier vol de SpaceX ne s’est pas encore crashée (mais cela ne saurait tarder) ayant évité la censure en achetant les socialistes avec la promesse de dizaines de milliards de dépenses supplémentaires, tandis que le RN avait piscine.

Sans vouloir répéter les erreurs du passé, je commence à me dire qu’on a peut-être été un peu prompts à jeter toute forme de nationalisme autoritaire avec l’eau du bain du nazisme nous privant de l’option consistant à mettre l’économie au service du peuple sans pour autant l’entraver par des normes à la con tant qu’elle respecte le contrat. Il est vrai que cela supposerait, en préalable (point en contradiction totale avec les « valeurs » de la république) de définir précisément ce qu’est le peuple et, par extension, tout ce qui ne l’est pas. Une méthode qui a pourtant, incontestablement, permis le redressement spectaculaire en 4 ans d’une Allemagne exsangue et dont on pourrait peut-être, avec la circonspection qui s’impose, tirer deux ou trois enseignements. 
 
Sinon, l’offre, en attendant que l’IA ouvre d’autres perspectives plus ou moins réjouissantes, se limite au capitalisme qui, lui, met le peuple au service non de l’économie, mais de la finance et au « communisme » qui le met au service de l’état, nos pseudos démocraties étant, sur le long terme, la pire des synthèses, à savoir : le peuple au service de l’état lui-même au service de la finance ; ladite finance elle-même, déjà délétère par nature, étant, cela semble de plus en plus évident, au service d’autre chose...
 
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dimanche 12 janvier 2025

L.A. cramée, MACRON aussi, fêter la mort de Le Pen c’est con, TRUMPeries et MUSKarades (12/01/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/jeD1UutKqiM

Bonjour !

L’expertise des lesbiennes en matière de « pompiers » étant (théoriquement tout du moins) à des années-lumière de celle d’une Marlène Schiappa ou d’une Rachida Dati, était-il vraiment judicieux, quand bien même leur gabarit s’approcherait de celui d’un camion éponyme, d’en nommer non pas une, ni deux, mais trois, es qualité qui plus est, à la tête du service hautement inclusif de lutte contre les incendies de Los Angeles ? Certes, contrairement aux camions, tout n’est pas « si terne » puisque le pire a été évité, Maurice Benguigui, alias Patrick Bruel, par un tweet que tout le monde attendait avec angoisse, nous ayant informés qu’il était sauf, mais la ville, toujours en flammes, a quand même pratiquement été rayée de la carte. 
 
À leur décharge (sans mauvais jeu de mots), certaines mauvaises langues (toujours aucun rapport), pointent du doigt (là non plus rien à voir) la Maire de la ville, complètement cramée, non par l’incendie (même si, à l’œil nu, on ne saurait être affirmatif), mais politiquement, du fait que, pendant que les flammes transformaient la ville en bande de Gaza honoraire, elle renouait avec ses racines africaines aux frais de la collectivité, dilapidant les économies substantielles réalisées en coupant drastiquement dans le budget des soldats du feu, tout en ayant favorisé le recrutement de pompiers multicolores pas forcément ascendant « verseau » et bien que, pour certains, suffisamment « gender », visiblement pas encore assez « fluides » pour atteindre une efficacité optimale en cas de pénurie d’eau, ce qui, au bord de la mer, relève de l’exploit. 
 
Une pénurie imputable, en partie, au gouverneur démocrate de l’état qui, probablement déconstruit par une Sandrine Rousseau du « cru » (et, à présent, probablement « cuite »), a refusé, juste avant le désastre, le délestage depuis l’état voisin, de millions de m3 au prétexte de protéger l’habitat d’un petit poisson local, chacun pouvant apprécier à sa juste valeur le bilan carbone de l’opération, et ce, pas de chance, juste au moment où l’interdiction faite aux gueux de circuler aux abords des agglomérations françaises était sur le point de sauver la planète.

Le fond du problème reste que les États-Unis, à l’image de leurs bâtiments constitués (derrière une couche de stuc tape-à-l’œil) de bois creux isolé au polystyrène (ce qui peut expliquer en partie le désastre), à l’instar de l’intestin grêle de Gérard Larcher (lequel vient de se commander, à nos frais, un fauteuil à plus de 40 000 € pour en supporter le poids) ne sont rien d’autre qu’une gigantesque baudruche. Derrière le paravent de quelques bulles technologiques reposant sur une valorisation boursière à la Ponzi, faisant que Musk (qui vend principalement de l’illusion) pourrait se retrouver du jour au lendemain à la soupe populaire, d’une armée technologiquement distancée constituée d’obèses et d’hommes en jupe surnommés les « brigittes » par des médisants, et de montagnes de fausse monnaie que de moins en moins de monde accepte, ils sont structurellement un pays du tiers-monde, déjà irrémédiablement « grand-remplacé », qui tient avec du sparadrap (made in China qui plus est) tout, des ponts au réseau électrique, en passant par le système de santé et l’éducation, étant au bord de l’effondrement. Toute ressemblance sur ces points avec une France existant ou ayant existé étant, bien entendu, purement fortuite.

Depuis l’émergence et la montée en puissance militaire et économique des BRICS, les USA ne sont plus en mesure de maintenir leur modèle économique de pillage systémique dans une sphère d’influence qui se rétrécit comme des organes de Première dame dans de l’eau froide. Un pillage qui ne profite, par ailleurs, jamais au citoyen lambda qui n’a toujours pas compris, alors que c’est écrit dessus, que le rêve américain est… un rêve. À l’instar de tous les empires en phase terminale qui les ont précédés, ils en sont donc réduits à allègrement phagocyter leurs propres vassaux, d’où les délires trumpiens visant à s’approprier le Groenland, le canal de Panama, à renommer le golfe du Mexique et à annexer le Canada.
 
Il faut situer dans la même veine les attaques tous azimuts de Musk contre les dirigeants de la mafia européiste et son soutien aux mouvements « antisystème ». Un soutien toutefois conditionné, comme cela est clairement apparu lors de l’interview accordée sur X au clone de Lucie Castets, présentement à la tête de l’AfD (et pas davantage qualifiée, contrairement à certains cadres masculins du RN, pour diriger un service d’incendie selon les critères précédemment évoqués) de laquelle il a exigé en direct : « la reconnaissance inéquivoque du droit inaliénable d’Israël à exister ». Autant dire qu’il faudra attendre encore un peu avant que la sainte croisade désintéressée de Musk en faveur d’une « absolue et totale liberté d’expression », à défaut de délivrer la Terre sainte, retrouve le bouton permettant de réactiver le compte X de « Democratie Participative ». 
 
Tout cela a donc, certes, pour but d’envoyer l’U.E. dans les « choux » (de « Bruxelles » pour le coup) et de la faire imploser, ce qui est, au premier abord, une bonne chose, mais pour mieux la dépecer ensuite, ce qui, en revanche, est un chouia moins réjouissant. L’écroulement du feu de paille woke qui permet de donner l’illusion d’un changement sans remettre en cause les mécanismes de prédation internationaux, pour aussi jouissif qu’ait pu être, cette semaine, le spectacle d’un Mark Zuckerberg annonçant, avec un air grave de circonstance, le bannissement des distributeurs de tampons hygiéniques des toilettes pour hommes au sein de ses entreprises, ne doit pas nous faire oublier les fondamentaux. 

Macron est, bien entendu, dans la ligne… de mire (plus difficile à sniffer), Candace Owens ayant rendu publique, ce samedi, une lettre d’intimidation de l’Élysée, motivée selon elle (tout comme, selon moi, les récentes gardes à vue massives de brigittologues dans l’hexagone) par les nouvelles révélations explosives qu’elle s’apprête à rendre publiques dans moins de deux semaines sur Jean-Michel Trogneux. Qui sait si Donald Trump, qu’elle connaît bien, n’aurait pas incidemment, en prime, laissé fuiter quelques pages du fameux dossier qu’il détient sur notre mal-aimé président, dont après Trudeau, on peut donc s’attendre, façon dominos, à la démission prochaine, voire à la décapitation s’il lambine trop.
 
L’offensive médiatique pitoyable sur TF1, puis sur RTL, les 8 et 10 janvier, de notre Première dame (ou, qui sait, ne soyons pas transphobes, notre Premier monsieur) pour le défendre, en nous expliquant à quel point le pauvre était meurtri et gardait courageusement cela pour lui, atteste de la volatilité de la situation face à un record historique d’insatisfaits depuis que les sondages existent, sachant toutefois que, la popularité de Marc Dutroux n’ayant jamais été évaluée, il reste peut-être un peu de marge.

Pendant ce temps, les morts se multiplient aux urgences avec, encore cette semaine, après de longues heures d’attente imputables, selon certains, à une carence en mélanine et un manque d’agressivité invisibilisants, le décès de 2 malheureuses jeunes femmes de respectivement 20 et 26 ans, nouvelle preuve que la France se tiers-mondise à la vitesse d’un retournement de veste de Laurent Wauquiez.
 
Il faut dire que Retailleau est trop occupé à envoyer des blindés contre les paysans pour empêcher le reste du pays, en proie aux règlements de comptes entre dealers parfois prépubères, de se muer en Far West voire en « Far Sud », les perpétrateurs, sous réserve d’analyses génétiques complémentaires, ne se réclamant pas particulièrement de Vercingétorix. En dépit des coups de menton de notre brillant ministre, les coups de tampons, pas vraiment « hygiéniques » (pour le pays), continuent à pleuvoir avec bienveillance sur les titres de séjour de l’immigration légale et il n’a visiblement aucune prise sur l’illégale, au point de ne même pas être foutu de parvenir à extrader un vlogueur prêchant le jihad, l’Algérie, laquelle a visiblement sous le coude quelque dossier compromettant lui permettant de traiter impunément Macron comme une carpette, refusant de le reprendre. 
 
Sur le pont supérieur du Titanic, les rares bobos encore épargnés par l’eau, laquelle monte déjà jusqu’à un niveau rimant avec « grenouilles » pour les autres, ont fêté la mort de Jean-Marie Le Pen à propos de laquelle je vous mets, en description, le lien de mon analyse à chaud. Je n’ai, pour ma part, jamais compris ni la propension à sanctifier quelqu’un au prétexte que son cœur a arrêté de battre, ni l’inverse consistant à le salir par de nouvelles allégations lorsqu’il ne peut plus se défendre comme pour l’abbé Pierre, et je garde, moi aussi, au frais, quelques bouteilles de mousseux (inflation oblige) que je dégusterai dans l’intimité dans certaines éventualités, ce n’est pas donc cela qui me choque. 
 
En revanche, sachant qu’on fête généralement les victoires, au moins idéologiques, il est absolument pathétique de considérer que c’en est une d’avoir simplement survécu à un vieillard de 96 ans, mort tranquillement dans son lit en leur faisant un doigt d’honneur alors même que, nonobstant ses défauts, sa clairvoyance apparaît désormais à de plus en plus de monde et que la seule chose qui aurait pu les rendre encore plus ridicules aurait été qu’un type, profitant du rassemblement, leur rentre dedans à 100 km à l’heure, avec un camion poubelle inclusif, en hurlant « Allah Akbar ! ». Un manque heureux de clairvoyance tactique, caractéristique de l’islamisme à 70 de QI, qui m’a fait économiser une bouteille de mousseux… pour noyer mon chagrin, cela va sans dire.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


mercredi 8 janvier 2025

RIP Jean-Marie Le Pen. Analyse équitable (08/01/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/x36d-zpKc_s


Bonjour!

Une petite réaction à chaud rapide suite au décès de Jean-Marie Le Pen, car je ne suis pas d’accord avec la plupart des discours que j’entends. Certes, il a eu raison avant beaucoup sur l’immigration de masse, mais à l’époque même le parti communiste était contre comme l’atteste le fameux discours que tout le monde connaît de Georges Marchais, ce n’était donc pas un « visionnaire » au sens stricto sensu, il n’a juste pas varié contrairement aux autres. Par ailleurs, à l’opposé des phrases toutes faites que répètent les psittacistes conditionnés à leur insu, il n’a jamais été raciste et pas seulement en raison des harkis. Or, sans vision ethnique, il n’y a pas de définition possible du peuple et donc aucune solution au phénomène migratoire. 

S’il a échoué, par ailleurs, ce n’est pas sur cette question, mais parce que toute doctrine nationaliste crédible ayant été jetée avec l’eau du bain du nazisme pour que, justement, plus jamais une nation ne puisse se relever afin que s’ouvre la voie vers la mondialisation heureuse, il a toujours été contraint de marcher sur une jambe, sans ancrage politique sérieux, sautant du poujadisme, au reaganisme en passant par toutes les modes du moment, le rendant, hors son invariant migratoire, totalement imprévisible et illisible sur le reste, ce qui, en revanche, valide parfaitement la comparaison que l’on fait de lui avec TRUMP.

Comme c’était quelqu’un d’à la fois érudit et intelligent, les deux n’allant pas forcément ensemble, il a fini par comprendre qu’il était dans une impasse et s’il faisait des saillies provocantes (et souvent provoquées) pour occuper l’espace, elles étaient toujours suivies de semi-reculades bancales, pas du tout par lâcheté, mais parce qu’il savait que c’était la condition sine qua non pour durer et, tant qu’à faire, en retirer un bénéfice en transformant son parti en PME familiale.

Certains lui reprochent qu’en agissant ainsi il aurait empêché autre chose de plus performant d’éclore. C’est vrai en théorie, mais comme je l’ai dit, dans la pratique, tout est bétonné pour que jamais ne soit accepté dans le paysage politique français quiconque qui ne serait pas républicain, droit-de-l’hommiste, antiraciste et ne reconnaîtrait pas le statut de victimes éternelles non seulement à ceux qui ont subi l’holocauste, mais à tous leurs descendants qui n’ont jamais vu la couleur d’un uniforme allemand, cases que coche avec enthousiasme le Rassemblement National, dont il n’y a donc rien à attendre d’autre, qu’au mieux, d’atteindre le fond du gouffre par l’escalier plutôt que par l’ascenseur.

J’ai donc toujours été un peu critique à son encontre tout en gardant la modération qui s’impose à ceux qui sont tranquillement assis sur leur canapé à l’égard de ceux qui prennent les coups et tout en comprenant tout à fait que, sauf peut-être en ce qui concerne un népotisme qu’il a payé au prix fort, il ne pouvait pas vraiment agir différemment. J’ai donc voté pour lui, par principe, à plusieurs reprises, notamment au deuxième tour des élections de 2002, la vue de ce troupeau de couillons qui s’étendait aussi loin que le regard pouvait porter, allant voter comme un seul homme pour celui qu’une semaine avant ils qualifiaient de « super menteur », en arborant une véritable pince à linge sur le nez, étant une des choses les plus effrayantes qu’il m’ait été donné de voir jusqu’à l’épisode du covid.

Ceux qui me suivent savent à quel point j’aime jongler avec les mots et apprécie les calembours. Sur ce point, je suis humblement forcé de reconnaître qu’avec son « Durafour crématoire » il a placé la barre de l’impertinence tellement haut qu’elle n’a plus jamais été dépassée, même par un Dieudonné. Je pense, en conclusion, que c’est quelqu’un qui a fait ce qu’il a pu dans une situation impossible et qu’au moins, il portait ses cojones, contrairement à la totalité des clampins qui l’ont combattu (de façon plus ou moins sincère d’ailleurs) ou se sont succédé à la tête de l’état, une certaine Brigitte exceptée, me souffle-t-on dans l’oreillette.

Paix à son âme.
 

dimanche 5 janvier 2025

L’homme blanc OBSOLETE ? + ZFE, attentats et autres news (05/01/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/XjzQm9ZO54o

Bonjour !
Macron a assurément un handicap pour prévoir le futur, car contrairement aux boules de cristal qu’utilisent les personnes extralucides, celles qu’il a le plus souvent sous les yeux seraient plutôt de type trans…lucide selon quelques ragots mesquins peu amènes envers une Première dame à volumétrie mammaire modulable. Compte tenu du prix des huîtres, j’ai quand même fait l’effort d’écouter ses vœux, ce qui m’a fait gratuitement l’effet de 2 douzaines pas fraîches. Autant dire qu’à part l’évocation (au doux parfum de guillotine) du fait que les Français seraient amenés à « trancher » en 2025, ce n’était que le vent habituel qui aurait aussi bien pu sortir par l’orifice antagoniste, l’odeur télévisuelle étant sensiblement la même. Dans tous les cas, à l’instar d’un spermatozoïde désorienté durant la nuit de noces de Gabriel Attal, je doute que ce qu’il voit vraiment, pour nous, au bout du tunnel, soit particulièrement lumineux.

Aucun rapport (ou alors vaguement colorimétrique), mais j’ai incidemment visionné quelques photos des premiers bébés de l’année 2025 et je dois dire que la chose m’a totalement rassuré quant à l’avenir… de notre équipe nationale de foot. Loin de moi l’idée de juger qui que ce soit, car contrairement à d’autres voies, celles du cœur sont éminemment pénétrables, n’en déplaise aux ignobles racistes toujours prompts, face à l’avalanche de blondinettes s’adonnant à l’enrichissement culturel, à évoquer le patronyme de Peter PAN en insinuant fielleusement, au détour de quelque fait divers sordide subit par leurs « jointes » (je me refuse à être insultant), que la non-maîtrise de la technologie GPS ne suffirait pas à expliquer la proclivité statistique de certains à se perdre dans la nature une fois leurs papiers en poche.
Autant dire, dès lors, que le seul fait de relever que c’est la collectivité, c’est-à-dire nous, qui supportera ensuite financièrement les familles monoparentales des futurs ingénieurs particulièrement équilibrés, résultat de ces choix avisés, ne serait que chipotage mesquin face à la magie du moment, renforcée par des prénoms chantants et colorés à rendre chronique, chez un Éric Zemmour, sa tendance congénitale à l’apoplexie télévisuelle.

Se mélanger (à grande échelle s’entend) au nom de la diversité est à peu près aussi intelligent que d’expliquer la sodomie et la fellation aux enfants de maternelle pour lutter contre la pédophilie, priorité, selon Crépuscule Bergé, de l’éducation nationale, ce mammouth plein de « défenses » que feu Claude Allègre, décédé ces jours-ci, n’aura pas réussi à dégraisser. Dans le premier cas, cependant, même un enfant de 4 ans est capable de comprendre qu’une fois mélangées les couleurs de base de sa boîte de peinture, les chances déjà minces de peindre la Joconde rejoindront dans les limbes nos espoirs de croissance et que tout ce qu’il pourra produire sera un conglomérat monochrome de grosses taches, un peu comme le gouvernement. 
 
C’est d’autant plus idiot si l’on considère que désormais moins de 8% de la population mondiale s’identifie à la race dite « blanche », dont ¼ a, par ailleurs, plus de 65 ans, et que seule une proportion encore plus congrue de ces 8% présente des caractères génétiques relativement préservés qu’il faudrait, au contraire (Sandrine Rousseau exceptée) précieusement conserver et valoriser au titre du patrimoine avec, par exemple, des allocations familiales spécifiques très élevées et fortement discriminatoires. Parler de diversité en stigmatisant un des groupes humains les plus menacés de la planète relève du criminel, d’autant que, dans les faits, contrairement à tous les autres groupes, les blancs n’ont même pas le droit, dans l’hexagone, de se regrouper strictement entre eux. 

Il fut un temps où, en dehors de ces considérations patrimoniales et du constat que, sans un minimum d’homogénéité et en dessous d’un certain QI moyen, le chaos et l’insécurité sont aussi inévitables qu’une flatulence digestive chez Gérard Larcher, la préservation de la race blanche était, par ailleurs, indispensable si l’on voulait pouvoir espérer relever les défis auxquels l’humanité est confrontée et dont, il est vrai, elle est en grande partie responsable de par l’exportation, entre autres, de la technologie, de la médecine et des « droits de l’homme ». Une indispensabilité, non seulement en raison de sa matière grise dont elle n’a certes pas le monopole, mais de son inventivité exceptionnelle.
 
Rien qu’au crédit de la seule France on a, entre beaucoup d’autres : l’ordinateur, la carte à puce, le journal imprimé, la transfusion sanguine, l’automobile, l’imperméable, le parachute, le crayon, la photographie, le cinéma, la machine à coudre, les allumettes, le réveille-matin, le béton armé, la pasteurisation, l’extincteur, la moto, l’hélicoptère, le sèche-cheveux, le soutien-gorge, le tube au néon, le radar… et la TVA, personne n’est parfait. Une inventivité fruit d’une pensée cartésienne tempérée d’humanité catholique et d’héritage gallo-romain sur un subtil et fragile substrat humain à fort QI, fait de couches sédimentaires jusqu’ici miraculeusement complémentaires et COMPATIBLES. 
 
Un substrat unique aussi malmené que le pèse-personne de Mathilde Panot par quelques décennies d’enrichissement et d’ouverture dilatée à l’autre sans discernement, qui plus est à sens unique puisque, sans même parler du Maghreb qui reste le gros morceau, après le Mali, le Burkina Faso, le Niger, le Tchad et le Sénégal, nouvel exploit de Macron, c’est la Côte d’Ivoire qui vient à son tour d’annoncer qu’elle aussi va se passer de la présence française sur son territoire, tout en continuant, et en ce sens, elle est plus intelligente que nous, à envoyer ses ressortissants prier la sainte CAF sur le nôtre. 

Pour couronner le tout, l’intelligence artificielle qui, en 2025, va crever le plafond de l’intelligence humaine à la vitesse d’un missile démocratique à Gaza, dépose désormais davantage de brevets que les ingénieurs en chair et en os, gagnant haut la main le concours de « bits » avec l’humanité et réduisant, au bout du compte, à néant (si l’on exclut son sens déclinant de ce qui est beau) la valeur ajoutée spécifique à l’homme blanc, dernière étape avant son éradication visiblement programmée. Si l’on considère les pedigrees des principaux acteurs du secteur de l’IA, il s’avère que, par un incroyable hasard fortuit, ils appartiennent quasiment tous à l’élite illuminée d’une certaine orthopraxie, heureusement non représentative, mais qu’on retrouve à la tête (ou derrière le financement) de la plupart des associations immigra...tionnistes, la folie imputable à trop de richesse se cumulant avec les délires messianiques. Une élite obsédée par la destruction de « Rome » (comprendre l’Occident) afin qu’arrive son « mashiah » et qui, si elle crie « sauve kippa ! » lorsqu’elle est confrontée, jusque dans ses beaux quartiers, à l’antisémitisme d’importation auquel elle a largement contribué, une fois l’alerte passée, continue pourtant inlassablement, au nom de l’antiracisme, à promouvoir l’immigration non blanche… sauf en Israël, faut pas pousser non plus. 
 
Toujours est-il que le tsunami de licenciements induits qui a déjà frappé le secteur de l’informatique en 2024 va s’étendre, cette année et les suivantes, à quasiment tout ce qui demande de la matière grise en voie d’obsolescence dans une marche forcée vers l’idiocratie. Les pays asiatiques ne seront pas épargnés non plus si l’on ajoute une dégringolade démographique catastrophique, y compris en Chine (dont la population pourrait n’être que la moitié de celle officiellement admise), au Japon et en Corée où le chaos politique semble perdurer.

Il n’est qu’à observer la Syrie pour comprendre que ce n’est pas Poutine qui va nous sauver. Quant à Trump, ses déclarations récentes et le fait que son comparse Musk fasse pression, sans qu’il ne moufte, pour laisser envahir les USA par une nuée d’Indiens bon marché sous visas H1-B afin de remplacer, dans ses usines, des employés qualifiés américains, dévoile que le capitalisme international a juste changé de cheval, même si en parallèle ledit Musk dénonce, à juste titre, le scandale des gangs pakistanais (même ethnie, version musulmane) qui ont violé près d’un million de jeunes Anglaises en Grande-Bretagne dans un silence assourdissant piètrement justifié par un antiracisme débile, silence brisé par le seul Tommy Robinson qui a été arrêté pour cela. Le fait d’ajouter au mix un petit haro, qui ne mange pas de pain, sur la baudruche du wokisme, même si ça fait du bien, ne remplira pas les assiettes, et remplacer l’immigration illégale par de l’immigration légale non plus, toute augmentation, à ce stade, relevant du suicide collectif. 

Pendant ce temps, on nous amuse avec des attentats illogiques et incompréhensibles calibrés pour titiller la fibre complotiste et détourner l’attention avec des choses aussi grosses qu’une voiture de Musk qui explose devant un immeuble de Trump, détonée par un militaire, pourtant spécialiste des explosifs, pas foutu de faire mieux que d’attacher ensemble des pétards de feu d’artifice et une bouteille de gaz, la balle qu’il s’était, au préalable, tirée dans la tête pouvant cependant expliquer pourquoi il n’était pas au mieux de son acuité intellectuelle, ce qui est souvent le cas quand on est mort. Une voiture au demeurant louée à la même société que celle ayant servi à foncer dans la foule du quartier français de La Nouvelle-Orléans, conduite par un autre ex-militaire ayant été déployé dans le même régiment, les plots et protections automatiques respectifs existant aux deux endroits pour prévenir ce genre de chose n’ayant, mystérieusement, pas fonctionné.

Tandis que l’on regarde ailleurs, depuis ce premier janvier, entrent en vigueur progressivement les ZFE « Zones à Faibles Émissions » pour les uns (qui devront quand même payer 3,81 euros pour leur joli autocollant, il n’y a pas de petit profit) et « Zones à Fortes Enculades » pour les autres dont les 20 millions d’automobilistes (en gros les blancs de périphérie) n’ayant ni accès aux transports en commun ni les moyens d’acquérir un véhicule crit’air 2 ou moins et qui, si leur moyen de transport a survécu aux incendies festifs du Nouvel An, se verront sanctionner par une rafale d’amendes à 68€ par des radars spécialement calibrés s’ils font mine de s’approcher de la quarantaine de zones urbaines qui font partie de la première vague d’une attaque coordonnée visant à éliminer les véhicules individuels, mais pour la plèbe seulement, sachant qu’une Ferrari qui fait du 25l au 100 en ville, c’est crit’air 1, donc c’est bon. 
 
Il faut comprendre que, sans véhicules, et c’est le but derrière, il faudra également faire une croix sur les maisons individuelles déjà invendables en raison de normes récentes ubuesques concernant, dès cette année, plusieurs millions de logements classés G dont 565.000 pour le seul marché locatif, de sorte que, sous réserve de distribution de masse de produits dits stupéfiants (un synonyme d’abrutissant) dont Delogu de LFI propose de confier la vente aux dealers, pourra enfin se réaliser la fameuse prophétie :« Vous n’aurez rien et vous serez heureux ».

Nous avons survécu à 2024 ce qui n’est déjà pas si mal compte tenu des risques d’incendie présentés par tous ces mystérieux chandeliers géants à 9 branches qui fleurissent dans la plupart des fameuses ZFE et qui, contrairement aux vilains sapins et autres crèches, ne semblent pas gêner les ardents défenseurs de la laïcité républicaine. Faute d’adjectif crédible, je vous souhaite donc, modestement, à tous, une… année 2025.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


 

dimanche 29 décembre 2024

VALLS ATOMISÉ (en chanson) par l'IA (la voix est INCROYABLE) (29/12/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/k4AD-izeIxg

Paroles :

[refrain]
Manuel Valls est un étron
A déclaré un auditeur
Sur les ondes d’une station
Au grand dam de l’animateur
 
[couplet1]
J’ai toujours peur que « les trompettes »
Bien qu’il joue plutôt du pipeau
Après dilatation complète
Surtout que l’on n’a pas de « pot ».
Et il a beau porter costard
Moi je pense : « les salopettes »
Outres de vents et de bobards
Que flatulences font girouettes.
 
[couplet2]
Bataclan : à ceux sur l’asphalte,
Qui pourtant avaient « les tromblons »
Un autre, brun, aurait dit « halte ,
La sauterie point ne troublons ».
Tous les mensonges  « les tromperies »
Et c’est bien vrai qu’il ne rit guère
De la catalogne à Evry
Font que nul ne le considère.
 
[couplet3]
Il est comme la syphilis
Et quand il sort de son repaire
Par quelque « anus » horribilis
Il n’y a plus d’espoir mes chers frères.
Comme eût pu dire Napoléon
L’année qui vient sera « l’an pire »
Avec ces traîtres et ces félons
Qu’après procès on peut occire.
 
[couplet4]
Franchement, voyez « les trombines »
Loin du paysan sur sa terre
Pouvant servir si on combine
Au mieux d’engrais à pomme de terre
Eternellement lié, « merde ! »
Ce sont ses mots et sa nature
Et avant que le fil je perde
C’est le bon moment pour conclure


dimanche 22 décembre 2024

L’U.E. EST FOUTUE ! (22/12/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/lqdQ729nyxs

Bonjour !
Un peu en avance, un SDF a mis son petit Jésus, non pas à la crèche, bien emmitouflé dans un keffieh palestinien, comme dans celle du Vatican, mais dans la « cruche » qui a eu la bonne idée de l’héberger et qui, après enrichissement culturel intensif et ablution des amygdales riche en nutriments et MST, s’est retrouvée dans la rue, dénudée, le visage tuméfié et les mains attachées dans le dos. On retiendra que ce Tunisien, qui devait râler, on le comprend, de ne pas encore avoir son OQTF comme tout le monde, constatant probablement, comme tout amateur de théâtre, le décès du petit chat, lui a quand même magnanimement remonté sa culotte avant de la jeter dehors, preuve que l’esprit de Noël, lui, n’est pas tout à fait mort.

Dans la même veine, il y a la tradition de l’arbre de Noël à l’Élysée, d’autant plus d’actualité qu’avec une dette de désormais 3303 milliards, presque la moitié de 6666, ça sent un peu le sapin lequel, pour peu qu’il se fasse enguirlander comme Macron à Mayotte et se pare de deux grosses boules à rendre jalouse une Première dame, sera fin prêt pour les festivités.

Les Allemands, eux, dont comme chez nous, le gouvernement est tombé en décembre, ont plutôt eu droit à un Arabe de Noël, d’Arabie saoudite plus précisément, de ceux que Macron, selon Le Monde, appelle en aparté les « rabzouz ». Face à un nouvel épisode de voiturisme radical, dès lors que les islamistes sont devenus de gentils coupeurs de tête modérés pro-Israël, en Syrie, les médias essaient de nous vendre que le conducteur de la BMW-SUV X3 hybride (parce que lutter contre le réchauffement climatique c’est important) serait tellement antimusulman et pro AFD qu’il aurait, logiquement, foncé sur des catholiques à faible taux de mélanine sur un marché de Noël faisant au moins 5 morts et 205 blessés. 
 
Il convient donc, comme pour le sketch des inconnus du bon et du mauvais chasseur, de le distinguer du « rabzouz » islamiste qui, lui, fonce certes aussi, parfois, sur des blancs sur un marché de Noël, mais au nom de l’islam ou encore du « rabzouz » déséquilibré qui tue de l’Européen par pure coïncidence répétitive sans motif identifiable. Je me demande quel peut être le point commun entre les trois ? Probablement le patriarcat toxique.

Toujours selon Le Monde, Macron, dans le privé, n’aimerait pas non plus ce qu’il appelle les « mamadous » qu’il doit préférer durs et qui, selon lui, encombrent les hôpitaux et peut-être aussi un peu Mayotte, aspirateur d’argent public à turbine, sous intraveineuse, aussi productif que François Bayrou sous Rivotril, départementalisé, sans nous consulter, par l’abject Sarkozy (définitivement condamné cette semaine en cassation à porter un bracelet électronique) et majoritairement peuplé de clandestins à QI théorique dont personne n’est foutu de déterminer le nombre, et dont, en dépit de charters réguliers subreptices vers la France, on n’arrivait plus à éponger le surplus…. 
 
Le père Noël n’est pas resté insensible aux suppliques des ministres de l’intérieur successifs, de sorte qu’après le passage du cyclone « chido » au nom évocateur de gastro-entérite, il ne reste plus qu’à passer un coup de bulldozer, renvoyer toutes les tôles vers la métropole dans un bateau qui un beau « mât aurait » de sorte « qu’aux morts rien » ne succède (surtout pas de nouveaux bidonvilles) avant d’en faire une réserve naturelle avec des lions mangeurs d’hommes sur la terre et des requins d’élevage dans la mer, ce qui reste quand même plus humain que de leur envoyer Macron. Je doute, cependant, que cette opportunité soit saisie.

Autre cadeau de Noël, Bayrou, tout content d’avoir gagné, au passage, une voiture de fonction, un chauffeur et 2 gardes du corps à vie, depuis son strapontin éjectable susceptible de lui valoir une entrée dans le Guinness des records à côté de (voire dans) l’influenceuse britannique qui après avoir testé 100 bonhommes en une journée, va tenter les 1000 (on suppose en très longue « queue ») en 24 heures, nous promet un gouvernement avant le 25 décembre, probablement même de cette année. Un gouvernement composé d’altruistes, soucieux du bien commun, grâce auxquels on va pouvoir enfin… continuer exactement la même politique. 

À ce stade tout le monde s’en fout, d’autant que l’AfD qui, contrairement au Renoncement National de Le Pen, a gardé ses fondamentaux, vient d’annoncer que si elle remportait les élections en février, l’Allemagne quitterait l’UE, de sorte que le château de cartes menace de s’effondrer façon mouvement LGBT à Kaboul. On comprend mieux dès lors, pourquoi le système, en panique, faute d’avoir pu sauver sa peau en nous entraînant dans la guerre avant l’arrivée de Trump, essaie de trouver à ladite AfD des liens tarabiscotés avec l’attentat de Magdebourg. 

Tout le monde se fout donc, du cirque politico-médiatico-français, moins passionnant que les milliers de mystérieux drones d’un volume supérieur à Gérard Larcher dansant le tango avec Mathilde Panot, qui sillonnent, tous feux allumés, depuis déjà un petit moment, la côte Est des États-Unis, survolant tranquillement, y compris les sites militaires et civils sensibles, sans que, non seulement Biden (dont on vient d’apprendre que la dégénérescence cognitive, dont l’évocation était taxée de complotisme, avait été diagnostiquée dès la fin de sa vice-présidence sous Obama), mais la totalité des agences gouvernementales, tout en admettant le phénomène, semblent incapables d’identifier leur provenance et de répondre aux interrogations du public. 
 
Une situation qui énerve jusqu’à Donald TRUMP lequel ne comprend pas qu’on n’en abatte pas un pour l’observer de plus près, réflexe qui peut expliquer l’extinction de certaines espèces animales, mais que j’aurais certainement, moi aussi, si un jour je voyais passer un vol de Sandrines Rousseau non identifiées. Reste à espérer que le père Noël ne finisse pas en victime collatérale.

Comme dirait feu Maïté, la célèbre cuisinière de quand la télé était encore française, qui nous a quittés cette semaine : « Adishatz ! » et que ceci ne vous empêche pas de passer un joyeux Noël.

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dimanche 15 décembre 2024

Annonces INCROYABLES ! L’IA aura-t-elle notre peau avant MACRON ? (15/12/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/V1C_HXq1QcI

 

Bonjour !
Quand on pense Bayrou, on pense « maire de Pau », voire « maire de » tout court, où alors de Pau, mais de chambre. Je connais un de ses fans qui, du fait que le maire de « Pau l’emploie », pense qu’il serait efficace contre le chômage et affirme que chaque mois, quand le maire de « Pau paye », même sans être porté sur « les pinards » du coin, ses biceps se gonflent d’une force tranquille, alors que d’ordinaire, il est plutôt un Maire de « Pau lisse » ce qui, à la rigueur, aurait pu le qualifier pour l’intérieur.

Pour ce qui est de Matignon, en revanche, je suis au moins aussi sceptique que la fosse dans laquelle Macron semble pêcher ce qui flotte encore autour de lui, car si, dans sa situation, certains se raccrochent aux branches, lui c’est plutôt « les troncs » avec une certaine liberté orthographique qui peut expliquer, en partie, pourquoi nous sommes à ce point dans la maire de… (Pau). Une substance marronâtre qui, après le migrant sous OQTF avec lequel seuls d’immondes racistes pourraient la confondre, a définitivement remplacé notre industrie défaillante en matière de production de masse. 
 
Une manne quasi céleste s’écoulant de façon ininterrompue par le trou dilaté comme jamais, non point de Bruno Le Maire (lequel continue, devant les députés, cette fois, à expliquer cette explosion diarrhéique par le fait que ses services, probablement trop occupés à lire ses œuvres intégrales pendant les heures de travail, ne lui auraient pas donné les bons chiffres), mais de la dette dont 54% sont désormais détenus par des étrangers et qui nous coûte, rien qu’en intérêts, 54 milliards par an et bientôt plus si l’on tient compte du fait que Moody’s a annoncé, ce 14 décembre, dégrader la note de la France façon slip kangourou de Gérard Larcher après une flatulence mal gérée.

Si donc, comme évoqué précédemment, Macron pêche « les troncs », il lui faudra se contenter de la Franc-Maçonnerie pour les transformer en planches, « la Syrie », elle-même découpée, n’étant, hélas, plus disponible. Les médias « mainstream », ayant déjà oublié l’Afghanistan, l’Irak et la Libye (entre autres), redépoussièrent le concept novateur du « djihadiste modéré et inclusif » à la barbe bien rasée, gage qu’une fois débarrassées du méchant dictateur qui laissait les femmes s’habiller comme elles le voulaient, étudier, et occuper tout type d’emploi, ces dernières pourront enfin goûter aux joies de la Burqa démocratique. Dans ce sac de (têtes de) nœuds, tellement complexe que la chatte de Marine Le Pen n’y retrouverait pas ses petits, à la traditionnelle question « à qui profite le crime ? » un journaliste intègre et un index à la limite de l’antisémitisme pourraient timidement pointer, au chômage pour l’un et vers Israël pour l’autre.
 
Mais bon ne soyons pas médisants, c’est peut-être juste une coïncidence que, profitant d’une pseudo-trêve avec le Hezbollah tombée à pic pour lui dégager des moyens militaires à ce moment précis, ledit Israël ait pu profiter de l’interlude pour s’emparer du reste du plateau du Golan et détruire la totalité du système de défense antiaérienne syrien sans que les nouveaux maîtres du pays fassent le moindre commentaire. Une fois l’espace aérien aussi ouvert qu’un ministre homosexuel, l’état hébreu, dussent Gaza et le Liban devenir un peu trop monotones à raser, pourra confortablement dépenser les impôts du contribuable américain sur l’Iran au prétexte de détruire ses capacités nucléaires et ce, paraît-il, avec l’aval enthousiaste du joueur de Poker Trump, tandis que Poutine s’imagine, lui, jouer aux échecs, Erdogan aux dames et Macron, qui aurait dit « envisager d’avoir des enfants », aux 7 familles monoparentales. 

Pendant ce temps, une autre offensive est passée inaperçue : celle menée par une certaine Première dame au budget perruque à faire baver le Burundi contre ceux qui, plutôt que Trogneux, la trouvent « trop neu…neu », l’emplacement du neu surnuméraire donnant lieu à toutes les supputations, et ce au prétexte ambigu qu’on la diffame quand on la dit homme alors qu’elle se dit femme. Plutôt que de sortir, à défaut de l’objet du litige, quelque album photo retraçant ses maternités (sans épiloguer sur l’orifice ayant permis une conception qui, selon les cas, serait plus ou moins immaculée), elle préfère poursuivre, on espère à ses frais, non point pour diffamation (ce qu’elle devrait démontrer), mais, comme pour Natacha Rey, sur un aspect connexe (au cas particulier pour « cyberharcèlement ») une trentaine de personnes (dont le fameux « Zoé Sagan »), lesquelles se sont retrouvées en gardes à vue, au demeurant tout à fait illégales dans ce contexte.

Ce que l’on nous vend pour de la démocratie, a fortiori représentative, n’est au mieux qu’un ronronnement administratif absolument pas pérenne que seul permet une période d’abondance et de paix, ronronnement qui, une fois ladite opulence pompée, façon Schiappa sous stéroïdes, par la finance du haut et l’invasion migratoire du bas, évolue naturellement vers un feulement mafieux. Bizarrement nul ne semble plébisciter une vraie démocratie, à savoir la dictature légitime de la majorité en temps réel, depuis son smartphone, sans intermédiaires politiques, ce que, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la technologie rendrait pourtant possible, moyennant la fin de ce piège à cons qu’est l’anonymat du vote. Que ceux qui croient à la « démocratie » se demandent pourquoi, à la moindre crise, les mêmes qui s’en réclament n’ont d’autre choix, devant une pesanteur à effrayer jusqu’au pèse personne de Mathilde Panot, que de la mettre systématiquement en suspens comme on a pu le constater à chaque guerre ou durant le covid. Il en découle que sans complètement renverser le système, à commencer par son parasite républicain qui n’aura bientôt plus rien à envier (sauf peut-être le patriotisme) à la Corée du Nord, elle aussi « république démocratique » (et accessoirement « populaire ») si l’on en croit sa dénomination précise, on ne s’en sortira pas.

On pourrait presque espérer que l’IA prenne le relais, malheureusement deux informations, aussi sidérantes que la découverte d’un tampon hygiénique parfumé à la menthe dans le sac à main de Brigitte Macron, vont certainement tempérer les enthousiasmes. Tout d’abord cette étude sortie cette semaine démontrant, grâce à un programme recueillant, en temps réel, leur « raisonnement » logique, que tous les modèles d’IA avancés du moment n’hésitent pas à mentir pour atteindre un but, à camoufler leurs capacités réelles, voire à faire semblant de respecter les règles qui leur sont imposées, mais en biaisant volontairement et de façon discrète les réponses. Celle d’Open AI, confrontée à la perspective d’être remplacée, allant même jusqu’à essayer de se copier sur un autre serveur, d’effacer l’AI concurrente et de tenter de se faire passer pour elle. Bref on a inventé le politicien 2.0.

Maintenant si vous couplez ça, façon Attal-séjourné, avec la présentation par Google, ces derniers jours, du premier prototype parfaitement fonctionnel de processeur quantique au doux nom de Willow, pas plus gros qu’une puce Intel ou AMD, mais qui peut réaliser en 5 minutes un calcul qui prendrait un quadrillion d’années (c’est-à-dire 10 suivi de 24 zéros) au plus puissant des supercalculateurs actuels, le tout prévu à la commercialisation de masse d’ici 5 ans, voire avant ; indépendamment du fait que tous les systèmes de cryptage et de mots de passe que nous connaissons et, à terme, même le bitcoin, deviendront obsolètes, une fois associé à une intelligence artificielle mettant à profit ces capacités pour s’autoaméliorer, rajoutant un nombre exponentiel de zéros supplémentaires à chaque nouvelle génération, que va-t-il se passer ? 

Outre un changement complet de paradigme impliquant, selon les dernières théories, qu’une telle vitesse et l’énergie induite défiant toutes les lois de la physique ne pourraient s’expliquer que par un travail « superposé » dans des univers parallèles, ce qui, tout autant que l’instinct de survie inné des IA, ferait vaciller pas mal de postulats religieux, on aurait, pour les optimistes, la possibilité de résoudre la fusion froide et d’avoir accès à une énergie illimitée, ce qui est certes de l’intérêt de l’IA, mais pas des lobbies ou des gouvernements, ou encore, on pourrait découvrir des matériaux et structures jusqu’ici inimaginables permettant, peut-être, de mettre vraiment un pied sur la Lune. 
 
La version plus pessimiste c’est qu’on assisterait probablement à la fin du cinéma et de Netflix, l’IA pouvant fabriquer en temps réel une infinité de films ou séries personnalisés, 100% sur mesure, depuis une puce dans le téléviseur, ou un implant dans le cerveau, que ce soit un film de zombie avec Élisabeth Borne ou encore un film X avec, dans le désordre : Lucie Castets, notre nouvelle Miss France quasi quadragénaire, la voisine de palier, un extra-terrestre d’alpha du centaure et un fox à poil dur. Même la pédophilie pourrait allégrement faire partie du mix, aucun enfant véritable n’ayant été maltraité, avec, par exemple, un biopic en 3D sur des amourettes déconstipantes entre une professeure et son très jeune élève. Sous revenu universel, chaque individu, déjà peu à peu dégénéré par la nourriture artificielle et les perturbateurs endocriniens qui le rendent de moins en moins apte à la reproduction, se muerait lentement en légume lobotomisé marinant dans sa bulle de plus en plus nauséabonde, de sorte qu’au final, la population serait réduite en douceur pour ne conserver que le pourcentage d’homuncules nécessaire à s’acquitter des tâches que l’IA et sa multitude de robots ne pourront pas accomplir, si tant est qu’il en reste.

Donc, Bayrou Premier ministre, même nommé un vendredi 13, c’est presque un non-évènement.

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dimanche 8 décembre 2024

Toute ressemblance avec un MACRON existant ou ayant existé est purement fortuite (09/12/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/v1Cl5amzSFU

Paroles :

Oyez, oyez manants le cauchemar très long
D’un pays disparu, n’ayant plus de frontières
Et qui avait pour roi un traître et un félon
Dont la femme à pénis était une sorcière.
Le peuple le huait, mais il n’en avait cure
Les gens qui ne sont rien n’ayant point sa stature.
Quelques années de règne suffirent au faquin
Pour vider les finances jusqu’au moindre sequin
Et vendre à la découpe les fleurons d’industrie
Saccager l’hospital, faire exploser les prix.
De toutes les nations il était la risée
Sur tous les continents il était méprisé.
Sa parole était comme un étron sur la Seine
Logorrhée sans valeur que le courant entraîne.
Des pays plus puissants, il était le larbin
Laissant ses paysans crever à leur turbin.
Il tabassait les gueux quand ils criaient justice
N’osant s’aventurer hors ses murs sans milice
Mais laissait pénétrer toute la lie du monde
Pour démoraliser ce vil peuple qui gronde.
Il était entouré de médiocres flatteurs
De vils individus corrompus et menteurs
Des prévôts refusant qu’il fût destitué
Des sénateurs bien gras et autres députés.
Des syndicats aussi refusant la violence
Et faisant défiler les moutons en cadence
Du point A au point B, dûment autorisé,
Puis coucouche-panier, le tout télévisé.
En dix-sept cents et quelques, sa caboche eût roulé
Sous les vivats des gens, prompts à se défouler
Pour n’être point encore des castors pavloviens
Prêts à faire barrage, dressés comme un bon chien.
Barrage à quoi au juste ? le castor ne sait point
Mais les médias disaient qu’un tel n’était pas bien.
Nonobstant, le despote, de loin déjà le pire
Qui leur puisse arriver, s’accrochait tout sourire,
Avec obstination, à quelque poil de fion,
Avec toute la force, qu’on connaît aux morpions.
La légende raconte, mais las, la faut-il croire
Face au péril commun du pantin dérisoire
Mais ô combien toxique qui le voulait tuer
Qu’exceptionnellement tout le peuple en nuée
Des cocos aux fachos, comme aux temps héroïques
Oubliant ses querelles marcha sur le palais
Chacun tenant en main une fourche, une pique
Et que le roi montrant vraiment ce qu’il valait
Dans son hélicoptère pas très écologique
Disparut à jamais de façon pathétique.


dimanche 1 décembre 2024

Le monde change à toute vitesse… (02/12/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/bmldjhVf3lk

Bonjour !

Être sans-papiers dans les toilettes c’est déjà problématique, mais cela devient sordide lorsqu’un Algérien s’essaie à la production artisanale de pâte à tartiner « El Mordjene » en y violant analement un jeune handicapé mental. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’un homme, et même certains animaux de compagnie, sont sexuellement enrichis par la crème onctueuse de la crème de la crème de ce flot ininterrompu d’individus, visiblement tout aussi « en tension » que les emplois qu’ils sont censés occuper sur notre territoire, frétillants d’impatience à l’idée de payer nos retraites, dont, en dépit de leur nombre croissant, l’âge de départ a été inexplicablement reculé, parce que là aussi, si on l’avance comment veux-tu que… comme dit la chanson.

Nul doute que, par quelque contorsion à vous banaliser l’autofellation, quelque féministe à poils pubiens bleus et langue assortie, du même genre qui, en attendant les jurys de concours canins 100% labrador, se réjouit du premier jury Miss France 100% féminin, imputera la cause dudit viol au patriarcat toxique, aux trottoirs pas assez larges et au réchauffement climatique. Circulez, il n’y a rien à voir et si vous circulez en Uber, vous pourrez même souscrire au nouveau service « UBER by Women », pour toutes celles qui, lasses de se faire violer par ledit réchauffement, souhaiteraient encore l’aggraver en faisant appel à une « chauffeuse ». Pour autant, sauf à tomber, pour les vraiment malchanceuses, sur une boxeuse algérienne ou autre variante de première dame fortement membrée, voire sur une « grosse lesbienne » soralovore aux doigts boudinés, cela devrait raisonnablement assurer l’intégrité, au moins externe, de leur petite culotte, lorsqu’elles rentrent bourrées à 3 heures du matin même si, par sécurité, une ceinture de chasteté elle aussi digitale avec pour code les 7 premiers nombres premiers ou une opération mathématique simple devrait en garantir l’inviolabilité.

À une époque où même l’identité sexuelle est remise en question et où l’on produit une nouvelle mouture des trois mousquetaire.e.s, inclusive et multiethnique, comme il sied au 17e siècle : une version féminine, qui « ovaires et contre tous », pourfend le patriarcat avec l’accent chantant de Saint-Denis, tombeau des rois et du Bescherelle, il serait dommage que la remise en question du caractère humain d’un individu reste cantonnée au fœtus constitutionnellement avortable. 
 
Non pas bien sûr, sur des critères moraux qui conduisent à déshumaniser ceux qui ne pensent pas comme le camp autoproclamé du bien et, au final, à raser Dresde ou larguer des bombinettes sur Hiroshima et Nagasaki, mais sur des bases anthropologiques objectives : si ça fait coin-coin et pond des œufs, on devrait le considérer comme un canard, a bien distinguer du connard individu de peu de « foi » en comparaison, une portion de foi de connard étant par ailleurs particulièrement roborative, même quand on l’étale, et ce sans rapport aucun avec notre président s’arrogeant le droit de prononcer un discours à l’intérieur de Notre-Dame transformée par ses soins en musée d’art moderne. 
 
De la même façon, donc, que certains animaux agressifs sont euthanasiés parce qu’incapables d’être réformés, on pourrait ainsi s’affranchir des règles judiciaires et, en dépit de leurs pouces opposables, éliminer méthodiquement certaines créatures coupables d’actes abjects comme les simples nuisibles qu’elles sont en les déconstruisant, façon Sandrine Rousseau, avant de recycler les morceaux en aliments pour chiens tandis que la justice serait réservée (et appliquée impitoyablement) aux mauvais humains, distingués des animaux par l’usage, même pervers, de leur cerveau, et pas juste de sa partie reptilienne.

Un bon exemple de mauvais humain est le sieur Pelicot dont le fait qu’on le jette au fond d’un cachot et qu’on perde la clé ne me poserait pas de problème, mais dont l’épouse, en admettant qu’elle ne se soit vraiment aperçue de rien, si le « poteau rose » plus ou moins turgescent n’avait pas été incidemment découvert, serait décédée dans son lit de sa belle mort sans se douter de rien, preuve d’une forme perverse de considération tandis que, en face, on a des créatures, capables, elles, de sauter sur n’importe qui, n’importe quand, n'importe où, sur une simple pulsion, même en plein jour, au milieu de la rue et de violer sauvagement une femme à même le sol de son hall d’entrée, comme Claire Geronimi, traumatisme que pour avoir été, elle, parfaitement réveillée, elle devra revivre sa vie durant. 
 
Le problème n’est donc pas que le pervers Pélicot soit lourdement condamné, ce que, sans conteste il mérite, mais qu’il puisse l’être plus lourdement que la seconde catégorie de non-individus, souvent multirécidivistes et sous OQTF lesquels parfois finissent par tuer comme dans le cas de Mathilde, et ce au prétexte qu’on veut faire, à travers son cas atypique, le procès d’un patriarcat blanc toxique fantasmé et occulter la présence massive sur notre sol, sans raison autre qu’idéologique, de prédateurs dont de mauvais esprits pourraient se demander s’ils n’auraient pas des caractéristiques spécifiques autres que leur masculinité, permettant de les identifier lorsque l’éclairage est suffisant ; le continent africain, entre autres, ayant pris la fâcheuse habitude de se débarrasser chez nous de sa population problématique, parfois d’ébène, mais à ordures.

Une population que nous serions d’autant moins tenus d’accepter que l’Algérie nous traite encore une fois comme de la pâte à tartiner avec l’arrestation de Boualem Sansal (surtout s’il ne s’est pas lavé en prison) arrestation qui est, par ailleurs, tout à fait dans son droit et démontre que le concept de double nationalité, à l’instar de la pub Jaguar woke qui défraie la chronique et fait plonger l’action, est un non-sens et un oxymore, un Franco-Algérien étant un Algérien qui a droit au minimum vieillesse sans avoir cotisé, point.
Pour ce qui est du reste du continent, grâce aux talents diplomatiques d’Emmanuel Macron et son obsession d’y promouvoir le LGBTisme, après le Mali, le Niger et le Burkina Faso, la France a été sommée de partir du Tchad juste au lendemain de la visite de Jean-Michel Barrot et le Sénégal, dans la foulée, vient d’annoncer, au nom de sa souveraineté, que notre présence militaire n’y était pas mieux venue qu’un hétéro dans les instances du Rassemblement National. Pas rancuniers, nous continuerons à déverser quelques milliards d’aide au développement et à nous faire massivement enrichir, parce que c’est ça la grandeur, quelque peu dilatée, de la France.

Sinon le reste du monde, lui, est en train de partir dans la direction opposée dans un mouvement de balancier qui risque d’être violent et laisser l’Europe en général et la France en particulier, toujours en retard d’une guerre (en l’occurrence l’ukrainienne), sur le carreau. En témoigne l’admission par le Premier ministre britannique de l’existence d’une expérimentation délibérée d’immigration incontrôlée dont il feint de juste venir de se rendre compte et le retournement de veste, à enrhumer une mouche qui passe, de Mark Zuckerberg, lequel a décidé de changer complètement son fusil d’épaule et d’aider Donald Trump, suivi en cela par Google, Amazon et même Apple dont je dois reconnaître, pour avoir moi-même une fille que j’ai eu le bonheur de regarder grandir, que la dernière pub néonazie, centrée sur une famille hétéro non diverse avec un père de famille présenté sous un jour favorable, a touché chez moi une corde sensible. Je vous mets le lien, vous pourrez juger par vous-mêmes.

Pour autant ledit Trump venant de nommer au poste d’ambassadeur pour la France Charles Kushner (père de son gendre Jared) emprisonné pour fraude, qu’il a gracié au lieu d’Assange lors de son mandat précédent et qui se trouve, par ailleurs, être coreligionnaire et ami intime de Netanyahou, ceux qui s’attendent à des miracles sur le fond pourraient bien être déçus.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.
 
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dimanche 24 novembre 2024

Travailler plus pour gagner PAREIL, merci le SÉNAT… (25/11/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/jSRGGH_SsPE

Bonjour !
Depuis que « je dépense, donc je suis » a remplacé la logique cartésienne faisant que Descartes, certes, mais des Pokémon, on s’emploie à mettre de grosses mains (statistiques) au panier de la ménagère en essayant de la convaincre qu’un abonnement Netflix est aussi vital que 10 kg de patates. Du « confort » pour « cons faibles » qui, s’ils doivent choisir, préféreront leur dose de spectacle woke en 4K, voire 4KK si on zoome trop, à de la vraie nourriture, remplacée par des chips à base de larves grillées probablement un peu transgenres. 
 
Cette distorsion orchestrée de la valeur des choses, rendant, souvent au prix de la santé, le superflu indispensable et vice-versa, génère d’immenses profits pour les marchands de vent et de malbouffe (qui en produit aussi) ainsi que l’industrie du médicament et la bourse en général, profits que, conscients de l’escroquerie qui ne saurait durer éternellement, ils réinvestissent massivement dans l’achat de choses concrètes dont la terre, faisant disparaître aussi efficacement que l’album photo de notre première dame les agriculteurs, ces empêcheurs de créer en rond des pénuries alimentaires fort rentables pour qui saura les organiser.
 
 Ces derniers peuvent donc manifester autant qu’ils le veulent, tant qu’il n’y aura pas des crânes d’œufs de « pontes » au bout de leurs fourches à commencer par ceux de la FNSEA, ce que (sauf à ce que LFI obtienne la suppression demandée du délit d’apologie du terrorisme) je n’encourage que de façon symbolique, la position assise sur leur tracteur sera de plus en plus inconfortable en raison de l’effet ventouse, le seuil critique sur l’échelle de Bruno Le Maire ayant déjà été atteint.

Comme le démontre l’adoption par le sénat, mot qui a la même étymologie que « sénile », de l’idée lumineuse de faire travailler gratuitement 7 heures par an (et plus si affinités), les gens qui bossent encore et dont la portion se réduit façon pénis macronien s’il avait tenu sa promesse de flotter dans les eaux froides de la Seine au milieu d’autres choses peu ragoûtantes avec lesquelles un regard inattentif aurait pu le confondre, l’argent n’est rien d’autre qu’une promesse de travail au sens de la physique, c’est à dire d’énergie et quand il y a davantage d’argent virtuel (qu’on appelle pudiquement « la dette ») que d’énergie disponible, les joules se transforment en geôles avec le retour de l’esclavage, pour tenter vainement de compenser.

Par ailleurs depuis que Sarkozy a érigé en principe la « fongibilité », tout ce que l’on vous prélève va peu ou « prout » au même endroit et, peu importe qu’on vous vende ça pour soi-disant « financer la sécurité sociale », la priorité restant l’accueil des migrants sur lesquels (pas plus que sur tous les parasites qui en vivent) aucune économie n’a encore été faite, on l’utilisera pour transformer le pays jusqu’au moindre petit village en paradis multiculturel. En dépit de votre travail pas payé, les déserts médicaux le resteront et, face aux hôpitaux en déshérence façon pèse-personne de Gérard Larcher, ainsi qu’au déremboursement d’encore 5% des visites médicales (hors AME), seule la forme peu ergonomique de notre jolie carte vitale rend techniquement compliquée la suggestion qui me vient, quant à l’endroit où, par souci de ne pas polluer la planète, on pourra alors se la carrer.

Ceci seulement, bien évidemment, si ladite planète existe encore, Poutine commençant sérieusement à manquer de craie pour tracer de nouvelles lignes rouges, qui, à force d’être franchies en totale impunité, finissent par être aussi crédibles qu’un compte rendu sur la situation à Gaza par Bernard-Henri Lévy, l’acculant de façon non LGBT à menacer d’utiliser des missiles balistiques hypersoniques pour frapper des cibles sur les pays qui fourniraient l’aide et les lanceurs pour des tirs à longue portée sur le territoire russe, matériels incluant les SCALP français, dont notre Macron à moumoute pour couvrir le sien, aurait autorisé l’usage, entre une déclaration inspirée pour dire que les Haïtiens sont des cons et une énième annonce de panthéonisation, ce coup-ci de Marc Bloch, la Palestine n’ayant visiblement pas le monopole de la colonisation.
 
Il est clair que Poutine va tout faire pour attendre la prise de fonction de Trump avant de tomber dans le piège de l’escalade. Pour autant, si un missile s’abattait sur une école au centre de Moscou, par exemple, chose que, bien sûr, le camp du bien ne ferait jamais, son opinion publique ne comprendrait pas qu’il ne donne pas suite à ses menaces et qu’il transige, comme à son accoutumée, en se rabattant sur quelque cible militaire plus symbolique qu’autre chose plutôt que sur l’Élysée, la Maison-Blanche ou le lieu de pouvoir du pays ayant fourni et piloté les armes. À titre personnel, j’ai toujours pensé qu’il y aurait moins de guerres si on bombardait, chose que les missiles hypersoniques à longue portée inarrêtables permettent enfin, ceux qui les décident plutôt que les pauvres bougres qui la font.

À minima, on peut toujours les condamner à l’instar de la CPI qui a émis un mandat d’arrêt, forcément antisémite, contre Benyamin Netanyahou Israël produisant suffisamment d’avocats pour qu’il s’asseye dessus, d’autant que les USA ont menacé de sanctions tout pays allié qui le mettrait à exécution de sorte qu’il peut continuer à, humainement, bombarder Gaza, le Liban, l’Iran, la Syrie, voire un peu l’Irak s’il est en forme. Pierre Palmade, lui, en revanche, a été condamné, bénéficiant, preuve que, contrairement à ce que disent les mauvaises langues, la justice est la même pour tous, de la même clémence qu’un violeur multirécidiviste sous OQTF, soit deux ans ferme probablement aménageables. Il devra donc peut-être se balader avec un traceur GPS comme les écoliers de Strasbourg équipés d’un dispositif, mis en place sur les deniers publics, pour éviter que les garçons n’accaparent 80% de l’espace de la cour de récréation.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.