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samedi 27 juin 2020

Humour: République et raie privée. (27 juin 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/OSDWu-e-C2s

Bonjour !
Ce pays a autant de chances d’échapper au suicide collectif que Macron d’être circoncis par la foudre dans un camp naturiste à l’instant précis où, à quelques mètres de lui, un éphèbe noir, la peau luisante sous la chaleur torride, se penche pour ramasser un coquillage. Les attaques au couteau, comme celles ayant eu lieu en plusieurs endroits de Toulouse récemment, ne dépassent même plus le stade de la presse régionale, reléguées au second plan par les tirs à l’arme de guerre un peu partout en France même si, sauf pour Dijon, les médias « mous, tardent » à en parler, préférant mettre en avant les manifestations des Black Lives Matter et d’Assa Traoré surnommée « mieux fait de se taire ».
Ce qui me désespère ce n’est pas les quelques matraquages estivaux d’infirmières lesquelles, en toute logique, après avoir été qualifiées d’héroïnes ne pouvaient que subir un traitement « stupéfiant » et se faire « fumer » par les CRS dès qu’elles allaient réclamer du pognon. Ce n’est pas non plus les émeutes dont on ne sait plus si elles sont contre le racisme ou pour pouvoir (à défaut de Nutella) acheter des PlayStation chez Lidl, alors même qu’il suffit de sortir dans la rue pour jouer gratuitement à Call of Duty version 3D dolby-surround sur fond de conflit Maghrebo-Tchétchène.
Je ne suis pas perturbé davantage par l’élévation stratosphérique de la courbe du chômage même sans François Hollande pour l’inverser, tandis que les faillites s’enchaînent et que nos élites (qui, contrairement à Georges Floyd, ne manquent pas d’air) nous expliquent que si les entreprises qu’on a soi-disant sauvées à coup de milliards ferment des sites et licencient à tour de bras en France tout en laissant leur production à l’étranger, ce n’est pas de l’argent gaspillé car, sans ça (et il faut le croire parce qu’ils le disent) ça aurait été bien pire ; tout cela alors que l’OCDE annonce que nous allons être le pays le plus touché au Monde par la récession et que, pour couronner le tout, les 150 bobos de la convention citoyenne créée en réponse au mouvement des gilets jaunes (dont un des facteurs déclencheurs avait été le passage à 80 à l’heure sur les routes départementales) proposent, avec une sagacité qui les honore, de limiter à 110 la vitesse sur autoroutes, au milieu, cela va sans dire, d’une foultitude de nouveaux règlements, taxes et contraintes diverses dont notre pays, qui en manque cruellement, a indubitablement besoin pour surmonter la crise, oubliant, en outre, que l’État, qui a bradé lesdites autoroutes, ne faisant jamais les conneries à moitié, a signé une clause l’obligeant à compenser, avec nos sous, auprès des sociétés qui les exploitent, toute baisse de revenus occasionnée par un changement de réglementation. Comme dirait quelqu’un, « ça va coûter un pognon de dingue ».
Une convention citoyenne tirée au sort de façon tellement aléatoire que, pour l’anecdote, Cohn-Bendit, lequel fréquente visiblement la même plage naturiste que Macron en matière de probabilités, plage idéalement peuplée, pour lui, de petites filles de 5 ans plutôt que d’éphèbes noirs (quoi que), était du nombre et que, probablement parce qu’il est déjà circoncis ou que le foutage de gueule se voyait trop, il a préféré se désister.
Non, ce qui me désespère, c’est qu’en dépit de tout cela, on a toujours ces mêmes canards (pour ne pas employer un mot qui rime) dont la priorité absolue est de détruire les couronnes de fleurs déposées par la danseuse postélectorale Marine Le Pen laquelle, en dépit de sa nullité crasse, n’a pas encore eu l’opportunité de nuire et n’est objectivement pour rien dans tout ça. Aucun doute que ces submersibles 3-1, en d’autre termes « sous mer 2 » lesquels (l’excuse de la naïveté et d’un QI de crevette ayant ses limites) comptent parmi les principaux responsables de la situation, vont s’empresser de revoter Macron dès qu’on leur agitera le spectre de l’extrême droite pour, ensuite, repasser 5 ans en mode vapeur, à manifester derrière des petites pancartes syndicales parce qu’ils auront mal aux hémorroïdes à force de se faire traiter comme Uncle Ben’s lequel pourrait bien devenir une tante blanche sur les nouveaux packagings. D’où ma désespérance. D’autant que la relève de la connerie est assurée quand on voit des Lycéens qui demandent et, le plus triste, obtiennent, que leur Lycée Colbert soit renommé en Rosa Parks.
La seule bonne nouvelle vient de la censure, par le Conseil Constitutionnel, de la loi Avia, non tant (au vu les membres qui y siègent) parce qu’elle menace la liberté d’expression, que parce qu’une fois la haine juridiquement définie, ladite loi aurait pu se retourner contre les communautés-mêmes qui la poussent, ce que n’avait pas perçu la taxiphage qui l’a pondue laquelle, en dépit de son sourire incandescent, n’est pas une lumière faute d’être allogène (car née en France) même si certains la trouvent très LED.

Pour comprendre la cause de l’entropie que nous connaissons, il faut prendre conscience du fait que la France charnelle et millénaire, laquelle n’a jamais été parfaite (même s’il y était plus facile de donner un sens à sa vie et si elle assurait, bon han, mal han, la préservation de l’ensemble) et qui n’a dès-lors des airs de Paradis perdu que par comparaison avec l’entité suicidaire qui lui a succédé, cette France a chopé un parasite, un peu comme si Marlène Schiappa attrapait un ver solitaire (ce qui expliquerait son nom) ou que, plus problématique encore, un ver solitaire attrapait Marlène Schiappa. Toujours est-il que le parasite qu’a attrapé notre pays l’a, certes, homogénéisée en l’obligeant à parler une même langue et en détruisant les cultures régionales, mais il n’est pas la France pour autant, même s’il se fait passer pour elle. Ce parasite, c’est la république, à ne pas confondre avec notre raie privée qui est son point de mire de prédilection.

La république est avant tout une idéologie, celle du progrès. C’est-à-dire que, comme l’avenir est forcément meilleur, le passé est forcément mauvais, d’où les déboulonnages de statues et les autodafés dont les flammes pourlèchent indifféremment « Autant en emporte le vent », les schtroumpfs, « Tintin au Congo » et Harry-Potter, personne n’ayant encore songé à y jeter les pages provocativement blanches de l’annuaire. Cela implique aussi que tout peut (et donc DOIT) être amélioré, y compris ce qui marche. Si je prends 2 prises électriques 

et même si j’ai l’impression que ça fonctionne très bien comme ça, pour être dans l’idéologie du progrès et ne pas tomber dans la prisophobie je dois dire que ça 
c’est OK et ça aussi,
et bien sûr, cette variante.
Pour aller plus loin dans le progrès, je peux enlever cette partie
et dire que ça c’est pareil que ça,
voire avec un peu de scotch faire un petit montage et dire que ça c’est pareil que ça,
car vous l’aurez compris, le progrès passe par l’égalité. D’ailleurs pourquoi se limiter à deux quand on peut multiplier les combinaisons ?
Et si vraiment je m’obstine à vouloir utiliser les prises à l’ancienne, le minimum syndical c’est de remplacer ça,
par ça.
Bref l’idéologie du progrès c’est (pour les occidentaux contaminés) de louer les feuilles qui s’élèvent vers le ciel tout en sciant le tronc au prétexte que les racines sont dans la boue et se nourrissent partiellement d’animaux en décomposition, ce qui est dégueulasse et pas végan.

Pour ceux qui douteraient que la république n’est pas la France, notre Pangolin en chef ne manque jamais de nous le rappeler à la fin de ses discours aussi longs que la version non abrégée de LGBTQ+ que, sauf à avoir une très bonne vue, il faudrait être sacrément prétentieux pour tatouer sur un endroit érectile : « Vive la république et vive la Finance, pardon, la France », le tout dans cet ordre qui, ne vous y trompez pas, est un ordre d’importance. Notre drapeau est celui de la république, notre hymne est celui de la république, notre système électoral sur mesure exclut tout ce qui n’est pas républicain, notre éducation vise à faire de nous de bons citoyens imprégnés de l’idéologie du progrès et, pour les réfractaires, il y a l’ordre républicain lequel, comme son nom l’indique, sert à protéger la république, ce qui explique pourquoi, quand elle est menacée par ceux qui s’insurgent contre son parasitage, elle frappe, alors que, quand on se contente de menacer la cohésion de la nation, on laisse filer car, au pire, une république islamique c’est toujours une république. Telle le furet, elle est passée par ici, elle repassera par Allah.

Le chaos de basse intensité ainsi produit engendre un désir de maintien de l’ordre dans la population à laquelle on a fait croire que la chose reposait sur la police, vendue comme indispensable, et dont on accepte alors, avec résignation, le racket et la coercition qu’elle impose aux citoyens ordinaires, tout en étant d’une efficacité dépendant davantage du niveau de soumission desdits citoyens et du contexte socio-économique que de l’institution elle-même. Certains m’objecteront que le maillage renforcé de la gendarmerie sur le territoire, notamment sous Napoléon, coïncide avec une baisse significative du taux de criminalité dans les campagnes, mais la chose coïncide également avec le dépeuplement des dites campagnes par la conscription de millions de personnes dont plus d’un million a péri (5 selon Chateaubriand). Ce n’est donc pas probant. Imaginez l’hécatombe si la seule chose qui nous empêchait de nous entretuer était, non pas un niveau élevé de civilisation, mais la crainte de la police laquelle arrive, par ailleurs, généralement après la bataille pour, en plus, rajouter une couche de paperasserie et des attentes interminables au traumatisme.

On pourrait certes augmenter son efficacité en lui permettant de neutraliser les racailles et autres antifas que ses services de renseignement connaissent parfaitement, mais la façon la plus efficace d’augmenter la sécurité générale serait plutôt d’élever le niveau de la société (on fait le contraire) notamment par une véritable instruction publique plutôt qu’une éducation nationale et non pas en interdisant la violence (qui fait partie de notre nature) et encore moins en en laissant le monopole à l’état, mais en réduisant ses causes. D’abord en ouvrant les soupapes de la liberté d’expression puis, en l’absence de compas religieux, en se donnant un but collectif pour éviter pertes de repères et désespoir, ensuite, en permettant aux individus sans casier judiciaire d’être armés afin d’assurer collectivement l’élimination des nuisances tels les cambrioleurs, les pickpockets, les amateurs de coutellerie artisanale et les politiciens corrompus et, enfin, sans quoi tout cela ne servirait à rien, en limitant strictement l’accès à cette société aux seuls individus ayant un code de conduite, sinon similaire, tout au moins compatible.

A moment donné on a bien essayé de remplacer la république par l’État Français. Sur le papier c’était très bien : « travail, famille, patrie ». Que des choses qui, bien comprises, favorisaient la majorité. D’ailleurs, il y a eu un boom de natalité. À contrario, les minorités, elles, ont pris cher (pour ne pas dire casher) avec des stages de vélo gratuits. Comme on est humanistes et que, du coup, la préoccupation dans un pays de souris doit être, non le sort des souris, mais celui des cochons d’Inde, on est donc revenus fissa à la république, grâce à un homme dont les statues sont aujourd’hui artistiquement redécorées par les lointaines conséquences du système qu’il a rétabli,

remplaçant « travail, famille, patrie » par « chômage de masse, LGBT, Migrants » choses qui, certes, ne favorisaient pas spécialement la majorité mais, au moins, n’étaient pas antisémites. De là à faire un lien entre la république et une certaine communauté il n’y a qu’un pas que certains ont allègrement franchi, mais apparemment ça fait tomber les cheveux
et, tenant à ceux qui me restent, je vais donc lâchement abandonner le champ de mines.

On nous dit que l’Union Européenne est la cause de tous nos maux. Ce n’est pas faux. Mais là encore, qui en est l’un des principaux instigateurs, sinon la république dite « française » qui a ainsi contaminé tout un continent ? L’UE n’étant rien d’autre que ladite république avec les mêmes valeurs, le vernis de démocratie en moins. La France y a beaucoup perdu, mais la république y a gagné, comme une grosse tique sur un chien famélique, ce qui me laisse dubitatif quant aux capacités à nous sauver, de tout parti républicain, c’est-à-dire tous, ce qui inclut l’Union Populaire « Républicaine » qui ne voit pas qu’elle fait partie du problème (même si le challenger déclaré d’Asselineau semble, au moins, avoir pris la mesure d’une partie des erreurs tactiques et de positionnement que, comme d’autres, j’ai relevé depuis des années). Mais, physiquement, c’est le même avec des lunettes et, sachant qu’un politicien est avant tout un baril de lessive dont l’emballage compte plus que le contenu (s’il veut les votes d’une majorité qui ne lit rien et n’écoute rien) et que, même Hollande, avait dû perdre 20 kilos et se teindre les cheveux, il faudra quand même qu’on m’explique la libido d’une partie de l’UPR qui (variante de la sapiophilie revendiquée un temps par Marlène Schiappa et même si c’est mieux que le fétichisme des pieds, sauf pour les poètes) ne semble s’activer qu’à la vision d’un chauve bedonnant qui cite des articles.

Tels les derniers combattants d’Alamo, pour l’honneur, je vous invite à télécharger, dans la description, le pangolin qui vous correspond le mieux ou à l’adapter en conséquence ; Pangolin symbole du foutage de gueule que nous subissons et d’une volonté (au-delà des clivages politiques et idéologiques) de se débarrasser de Macron AVANT la fin de son mandat. Je ne vois que cette solution (tapisser la France réelle et virtuelle de pangolins) pour faire monter suffisamment la pression dans la cocotte-minute (non pas horizontalement, mais verticalement) afin d’éviter 1) la guerre civile et 2) d’atteindre un point de non-retour (à mon sens avant 2022 si ce n’est pas déjà trop tard) au-delà duquel, ce bout de terre avec des gens dessus, qui n’est déjà presque plus un pays, ne se relèvera plus.

Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, une bonne quinzaine à ce jour, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires également en description. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

 

mardi 16 juin 2020

Réponse à Omar SY : violences policières, racisme et tout le tintouin (16 juin 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/GH6F2V6auDc

Bonjour !

J’ai toujours eu une forme d’aversion pour le requin marteau (lequel, pour je ne sais quelle raison, m’évoque Marlène Schiappa) et encore plus pour le poisson scie que j’associe à Benjamin Griveau, alors, quand on me dit que le Omar Sy est le crustacé préféré des Français, je tique (même si en pincer pour le Omar pourrait sembler logique). D’autant que, probablement effrayé à la perspective de croiser un jour François de Rugy un tube de mayonnaise à la main, on ne le trouve pas dans nos eaux à forte population de prédateurs parasites nourris aux taxes diverses et (a)variées. Le Omar Sy, comme les oies sauvages, émigre vers des cieux fiscalement plus cléments d’où il donne des leçons à ces Français racistes qui lui ont permis de devenir une star internationale.

Comme beaucoup de victimes du racisme systémique, il démontre que lui ne l’est pas en épousant sa version d’Adriana Karembeu, nous laissant avec, sur les bras, toutes ces Rokaya Diallo (mais allo quoi, comme dirait Nabila) pourtant objectivement pas dégueulasses si elles arrivaient à se taire 5 minutes. Cette absence d’attention de leurs frères de couleur « riches » finit par les rendre agressives et ce serait bien que quelque rappeur-charmant délaisse un peu les blondes pour emmener Assa Traoré au Wakanda afin qu’on puisse terminer le conte de fée par : « ils se marièrent, vécurent heureux et eurent un nombre modéré d’enfants (faut pas pousser non plus) tout ça, loin, mais alors très loin, d’ici ».

Bon, c’est vrai que la vie d’Omar Sy n’a pas toujours été facile et que son film « Knock» (qui est-là ?) a fait un bide, compromettant (même s’il ne faut jamais désespérer) l’espoir d’interpréter un jour Vercingétorix ou, pourquoi pas, en ces temps bénis où se brise enfin le carcan imposé par des siècles de patriarcat, de racisme, de sexisme et de lois de la nature, ce qui aurait pu être le rôle de sa vie : Blanche de Castille.

On doit lui reconnaître qu’il ne tombe pas dans la facilité comme doubler Castan…, pardon, Rantanplan dans le dessin animé Lucky-Luke, même s’il est bien connu chez les bûcherons que les Sy aboient. Pour couronner le tout, voilà qu’après avoir banni des ondes « autant en emporte le vent » (un vent visiblement nauséabond imputable à une surconsommation de haricots au lard) et déboulonné des statues de Christophe Colomb, les fêlés du casque US touchent à son film pourtant « intouchable » lui aussi taxé de raciste par des gens qui eux ne peuvent pas l’être car ils sont noirs (ou les défendent histoire de se sentir supérieurs à eux) comme si la catégorie « noir » représentait quelque chose de pertinent (hors chocolaterie) et qu’il y avait un rapport quelconque entre Omar Sy et l’éboueur noir (qui par chez moi, privilège idoine oblige, est blanc) grâce auquel on n’a pas fini ce confinement imbécile sous les immondices, même si on est toujours sous Macron ce qui revient un peu au même. Une bonne bouteille mettrait tout le monde d’accord les blancs se mettant complètement noirs et Omar « Sy, rose » (s’il abuse).

Ça fait au moins 10 fois qu’on m’explique ce concept du racisme antiblanc qui n’existe pas, mais je dois être particulièrement con car quand je vois, comme récemment, aux États-Unis, de braves émeutiers noirs agresser à 10 un enfoiré de blanc en fauteuil roulant (forcément nazi et cannibale), je n’arrive pas à me défaire d’un tout petit doute. Quand je vois les magasins pillés, je me demande s’il faut croire sur parole ceux qui se disent noirs de colère (affirmation visuellement difficile à vérifier) et si ce n’est pas un simple prétexte. De même que, quand je vois tous ces ectoplasmes (tellement culpabilisés d’être blancs qu’ils en deviennent translucides) se mettre à genoux, je ne peux m’empêcher de me demander ce qui se passerait si le gars en face ouvrait sa braguette. En toute logique, c’est l’étape suivante, d’autant que certains en sont déjà au stade où ils font la queue pour embrasser les chaussures pleines de covid des noirs dans la rue et se faire insulter. Rendus-là, c’est du darwinisme élémentaire, de la sélection naturelle et, blancs ou pas, peu me chaut que ces gens crèvent la gueule ouverte (du moment qu’ils portent sagement leur masque), d’autant que, si je peux comprendre ceux qui entrent chez nous parce qu’ils ont vu de la lumière, je n’ai aucune considération pour ceux qui leur ouvrent la porte et encore moins pour ceux qui les encouragent à nous cracher dessus en s’agenouillant comme si, par je ne sais quelle tribalisation shoahtique de notre société, on était devenus responsables des actes commis par d’autres, avant notre naissance, un peu comme nos enfants (quelle que soit leur couleur de peau) qui vont devoir payer une dette abyssale qu’ils n’ont pas contractée.

Quand on voit le monde en noir et blanc on ne le voit plus sous le prisme « profiteurs-exploités » à ne surtout pas confondre avec « riches-pauvres » car même s’il y a peu d’exploités vraiment riches, il y a, en revanche, pléthore de profiteurs pauvres qu’on achète avec des miettes (d’où l’intérêt du système de nous appauvrir) et si, sortant du silence, Omar « Sy lance » des diatribes, outre le fait que, contrairement à l’alternative consistant à filer tout ou partie de son pognon à l’Afrique, c’est gratuit, c’est, comme tous les artistes dans son cas, pour faire oublier qu’il est du mauvais côté de la barrière.

Mais, même si l’on n’est pas dupe de la manipulation et si l’on a compris que le pouvoir et ses médias cherchent à occuper l’espace médiatique jusqu’au vacances avec un faux combat (qui n’est pas dangereux pour ledit système) afin d’éviter la reprise d’un vrai mouvement social qui irait plus loin que les gilets jaunes; même si l’on a compris que l’immigration de masse n’a pour but que de casser la cohérence de notre population afin d’éviter qu’elle ne fasse corps contre ceux qui travaillent contre l’intérêt collectif du peuple de France et qu’avec son « camp des saints » feu Jean Raspail ne parlait pas d’un camping naturiste; même si l’on a compris que la république, qui se décline sans souci en « Populaire de Chine » ou « Démocratique de Corée du Nord », est une entité parasitaire qui suce la France jusqu’à la moelle (se faisant abusivement passer pour elle) et qui joue sur les divisions, quitte à en importer, il n’en demeure pas moins qu’on est dans une course contre la montre et que, si on laisse l’initiative à l’état profond, il viendra un moment où l’on n’aura pas d’autre choix que d’affronter les adversaires qu’il nous aura choisis, ne serait-ce que pour survivre.

La plus grosse des manipulations est de regarder à travers le prisme d’une morale, tout sauf universelle, un racisme qui n’est qu’un mécanisme naturel de défense, au même titre que la défiance envers ce qui est différent, sans laquelle notre espèce, à force de vouloir faire des câlins aux tigres à dents de sabre, aurait totalement disparu. Un mécanisme dont la méconnaissance aboutit à cette seconde escroquerie de l’explication du Monde par la seule lutte des classes, d’où l’antiracisme forcené des gens d’extrême gauche qui en arrivent même à oublier la lutte des classes en question. Certes on peut considérer que ledit racisme est une réponse simple voire simpliste à un problème compliqué, mais, au moins, c’est une réponse et elle ne pourra être invalidée qu’en en apportant une meilleure, or, pour l’instant, on interdit et diabolise la réponse naturelle sans apporter de solution qui marche à un problème qui s’amplifie en dépit des milliards qu’on jette dessus, un peu comme si on s’attaquait aux globules blancs (encore un terme raciste) à cause de la fièvre qu’ils provoquent en combattant les virus.

Cette attitude nous laisse aussi désemparés que Sibeth Ndiaye devant un masque, face à un chantage à la culpabilisation qu’on ne trouve que dans les pays riches (parce qu’il y a du pognon à gratter) et qui, les autres n’ayant strictement rien à foutre des valeurs morales, ne fonctionne que dans les pays de culture chrétienne sur socle de philosophie antique, laquelle a développé des concepts compréhensibles, par définition, des seuls philosophes (ainsi qu’à l’époque, d’une véritable élite) mais qui, avec l’avènement de nos fausses démocraties servent à conditionner des populations qui ont trempé dedans mais n’ont pas (ou plus) le niveau collectif pour les nuancer ni les informations honnêtes pour le faire. Quand le bien et le mal, le beau et le laid ont été dévoyés, la seule chose qui nous reste c’est le rare, plus conforme à la logique marchande, laquelle détruit à tour de bras pour en créer de plus en plus et finira par nous faire payer l’air qu’on respire si elle ne réalise pas avant que, pouvant générer de l’argent à partir de rien, elle n’a plus besoin de nous. À part, peut-être, un neurone dans le cerveau de Castaner, quoi de plus rare qu’un pays avec plus de mille ans d’histoire, dans cette continuité de population et de culture qui fait de lui autre chose qu’un simple bout de terre avec des gens dessus ? Et si je dois choisir entre défendre cette rareté irremplaçable et accueillir le surplus de populations de pays en surnatalité endémique...

En tous les cas, une fois que la guerre de tous contre tous pendant que les élites regardent sera lancée, on sera tous perdants, y compris ceux qui croient tirer les ficelles car mettre le feu et le maîtriser sont deux choses différentes et pas sûr que les uns et les autres auront le temps de se carapater en dehors du Titanic. Une fois les gens vraiment en colère, compter sur la protection d’un vernis de civilisation qui se craquelle à la vitesse de la peau des fesses de Brigitte Macron sans application de lotion hydratante toutes les deux heures, car elle n’a pas, elle, la police aux fesses, me semble un pari pour le moins risqué.

La seule façon d’éviter le piège et la guerre civile c’est, comme je l’explique dans mes vidéos précédentes, de désigner par un symbole qui dépasse toutes les chapelles politiques et idéologiques le véritable coupable, incarné par le pantin Macron. Je propose le pangolin,

symbole du foutage de gueule sans précédent que nous subissons et que vous pourrez télécharger dans la description. En tapissant la France physique et virtuelle de pangolins on pourra faire monter la pression dans la cocotte-minute afin que, rapidement, un déferlement, en une seule fois, de millions de personnes, d’accord sur le minimum syndical de la nécessité de virer Macron AVANT la fin de son mandat, balaye la fange qui nous gouverne et, a minima, crée un précédent qui fera réfléchir les autres. Toute autre tactique ne peut qu’échouer et se heurter aux « forces de l’ordre » qui, comme leur nom l’indique, ne sont pas là pour protéger la population.

Peut-être qu’on parviendra à éviter l’hystérie d’outre-Atlantique où ils en sont (ce n’est pas une blague) à déprogrammer et annuler toutes les séries policières, dont « Cops » qui en était à sa 32eme saison. Toutefois, il serait plus aisé de soutenir nos éborgneurs en uniforme s’ils ne s’étaient pas comportés comme des chiens obéissants pendant les gilets jaunes, ce qui fait qu’il est logique que leur ministre de tutelle, qui n’a pas inventé cette poudre que d’autres sniffent, les traite comme tels. À cette occasion, ils ont fait la preuve de leur capacité à taper sur tout ce qui leur tombe sous la matraque et les taxer de racisme est, pour le moins, réducteur et une insulte à leur enthousiasme, d’autant que, quand d’aventure ils ont tabassé, au milieu du lot, quelque noir qui avait eu la mauvaise idée d’enfiler un gilet jaune, la mouvance antiraciste a pudiquement regardé ailleurs et ne l’ouvre que quand sont concernés des délinquants multirécidivistes.

J’accorde donc à Omar Sy, même si je réfute qu’elles soient particulièrement racistes, que les violences policières existent (sachant que la violence est, elle aussi, naturelle et, pas plus que le racisme, bonne ou mauvaise, mais justifiée ou non) et que, tant que lesdits policiers ne seront pas filmés et enregistrés en permanence (y compris et surtout pendant qu’ils reçoivent leurs ordres) et que les plaintes ne donneront pas lieu à des enquêtes par un organisme indépendant, nos forces de l’ordre qui ont perdu le soutien de la population qui ne les voit plus que pour prendre des coups ou se faire racketter d’une façon ou d’une autre et qui sont tombés dans le ridicule absolu en fondant sur des mamies isolées avec des hélicoptères pendant le confinement, sauf basculement dans une dictature dure, ne retrouveront jamais la légitimité nécessaire à empêcher que ce pays ne sombre dans le chaos souhaité par nos élites.

Il n’en reste pas moins que beaucoup de « victimaires » sont les idiots utiles idéaux d’autant que, comme tous les timbrés, ils n’ont pas de limites, ne s’arrêteront jamais et ne seront jamais satisfaits car ils justifient leurs échecs par l’existence même de ce qu’ils haïssent et dont ils visent la destruction totale : l’homme pour certaines féministes, le blanc pour certains racisés, la femme pour certains membres de la communauté de l’alphabet et la France pour tous. Toutes ces revendications sont, par ailleurs, des revendications de pays riches et, au fur et à mesure que le nôtre qui, selon les prévisions de l’OCDE, va être (cocorico, merci Macron) le pays le plus touché au Monde par la récession, va s’enfoncer dans les abysses, c’est un luxe qu’on ne pourra plus se permettre car, quand on n’a plus à bouffer, les chiottes unisexes et le racisme systémique matérialisé par la couleur des pansements ça a tendance, allez savoir pourquoi, à ne plus être prioritaire et, une fois que lesdits victimaires auront joué leur rôle, ce même système qui les a promus les regardera se faire bouffer tout crus sans lever le petit doigt.

Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, une bonne quinzaine à ce jour, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires également en description. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.