Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/ifwru0f8miM
Bonjour !
Selon un certain humoriste visionnaire, la Légion d’honneur ne serait qu’un fion de castor, ce qui n’est guère éloigné du fion Marianne, si l’on considère celle remise à la très pèse-personnophobe Marlène Schiappa. Dans un autre continuum espace-temps, dans lequel elle aurait plutôt eu droit à une tenue à rayures amincissante, taille XL, au fond (toujours pas Marianne) d’un cul de basse fosse, on utilisait l’infâme expression « parler le petit nègre » pour qualifier tout sabir attentatoire à la syntaxe et je n’ose subodorer que c’est à cette locution que fait allusion Mélenchon quand il dit qu’il faut trouver un autre mot plus adéquat pour désigner la langue française, au prétexte qu’à force d’enrichissement culturel par voie rectale, elle n’appartient plus aux chômeurs blancs privilégiés.
C’est d’autant plus urgent et nécessaire que le Français de souche n’existe pas, comme le confirme Sandrine Rousseau, visiblement lassée de son homme déconstruit, dans un discours enflammé contre une proposition de loi de Ciotti, qui semble l’inquiéter au plus haut point, visant à contrarier les amours exotiques et enfiévrées (et les mariages brefs, mais intenses, conséquents) entre de romantiques aspirants à la carte de séjour à la fleur de l’âge qui sentent bon le sable chaud et les irrésistibles rombières ménopausées à forte odeur de CAF aux charmes desquelles ils succombent, comme une nuée mouches à spécialisation péjorative.
C’est d’autant plus nécessaire que grâce à la trahison des LR, les députés ont voté, le 24 juin, la fin des titres de séjour territorialisés à Mayotte, ouvrant la voie à la libre circulation, dès 2030, vers l’hexagone, d’autant de Roméos alphas (et non l’inverse, indice carbone oblige). D’ici là, le candidat LFI à la Mairie de Toulouse qui, sans pour autant s’exclure lui-même, selon des sources internes : « ne veut pas de babtous en tête de sa liste », devra prendre son mal en patience.
Nous vivons dans un monde où même les couteaux sont racistes, les 3 trouvés, lors d’un contrôle « inopi…nel », dans le cartable d’un garçon de 8 ans, aux origines ne méritant pas visiblement que les médias s’y intéressent, et qui avait pour but de tuer sa maîtresse (au sens non macronien du terme, du moins on l’espère) s’avérant finalement sans danger pour les autochtones puisqu’à bouts ronds, donc à « beur ».
Quant à ceux utilisés pour égorger des animaux sans anesthésie pendant qu’un individu circoncis raconte des salades en arabe ou en hébreu (deux faces d’une même pièce), ils sont visiblement contaminés au point de causer la mort dans l’Aisne et probablement aussi dans l’intestin, d’une enfant de 11 ans et d’en laisser de nombreux autres dans un état grave, sans qu’il soit question d’interdire la pratique, seule façon pourtant d’éviter à coup sûr que, pour des raisons purement mercantiles, le surplus soit écoulé comme viande classique sans que le consommateur en soit informé, les amateurs de chair rituelle, peut-être au vu de ce que certains font, selon la rumeur, aux parties arrières dans le désert, consommant essentiellement les parties avant.
Alors que les dernières statistiques communiquées sur X par l’excellent Marc Vanguard font apparaître qu’en dépit des milliards versés dans ce tonneau des… hémorroïdes, les quartiers dits prioritaires ont la criminalité du Rwanda, un taux de bénéficiaires de la CAF de 70%, un taux d’analphabétisme de 28%, 44% de gens sans diplômes et seulement 43 qui cotisent un tant soit peu pour nos retraites et qu’un nouveau rapport de l’IEP place la France juste avant l’Angola en matière de sécurité, pour assurer une transition paisible vers des lendemains qui chantent, le temps du remplacement complet de population, il manquait un nouveau parti encore plus tiède qu’un flot incontinent issu d’un méat pénien de Première dame pendant un cauchemar nocturne :
« la France humaniste » que propose Villepin (lui-même demi-musulman puisqu’à voile et à vapeur) quand il ne vend pas pour plusieurs fois leur prix à des acheteurs douteux des collections de livres pas si rares, ce qui reste moins grave que de brûler un coran : la justice ayant refusé de libérer jusqu’à son procès, en dépit des tortures qu’il subit en prison, l’homme soupçonné d’avoir commis cet acte ô combien répréhensible devant une mosquée à Villeurbanne, au lieu de se contenter de brûler le Nouveau Testament devant une église, voire l’église tout court, ce qui, gay pride oblige (sauf en Hongrie), lui aurait valu une tapette sur l’épaule et un stage de poney.
On comprend, dans ces conditions, que l’argent se fasse rare pour « Nicolas » nouveau nom générique (tiré, ce me semble, d’une série d’historiettes éducatives sur l’excellent blog « Hashtable »), pour désigner le Français moyen qui travaille dans l’attente d’une retraite qui recule et qui bien qu’il avance… mais je m’égare, tout en espérant ne jamais avoir affaire à des hôpitaux surchargés pour se rendre au chevet de sa fille ou sa grand-mère violée en risquant à tout moment d’être transformé en viande rituelle pour un refus de cigarette, interdite au premier juillet, par le biais d’une incision circulaire au niveau de la gorge.
On apprend donc que, façon Gérard Larcher marchant sur une cacahuète, la dette a pulvérisé un nouveau plafond à 114% du PIB, soit 3 345 milliards d’euros, c’est-à-dire 40,5 milliards de plus, par rapport à la fin de l’année dernière, inclus les 6 milliards que nous ont coûté les Jeux olympiques, soit 3 fois plus que prévu, selon un rapport de la Cour des comptes qui elle-même n’hésite pas à republier pour des milliers d’euros ses propres rapports au simple motif que la photo de Moscovici n’avait pas été suffisamment photoshopée. Une histoire de paille dans l’œil et de poutre dans le …, mais bon, les étrons et autres joyeusetés, flottent désormais dans une eau de la Seine baignable.
Il faut donc que Nicolas (et nous avec) se serre la ceinture, mais pas pour rembourser la dette, ou même pour continuer à entretenir une immigration galopante façon couche d’ozone et, comme on l’a vu, majoritairement inactive et non qualifiée, mais pour fournir de l’argent magique afin que l’UE puisse verser 15 millions d’euros à l’Afrique du Sud pour y favoriser l’inclusivité des vignerons noirs, 360 millions à Bill Gates pour « GAVI » une alliance mondiale pour les vaccins dont les USA ne veulent plus, pour que Macron tout en continuant à financer l’Ukraine, puisse attraper un second poil sur la langue dans quelque endroit stratégique de la large zone pelvienne de Trump en acceptant d’investir 5% du PIB (soit 145 milliards) dans l’OTAN pour acheter des armes… américaines, tandis que le parlement, grâce à encore une trahison des LR, revient sur la suppression des 300 milliards en faveur de l’éolien et que le RN, pas en reste, refuse de freiner ce pillage en règle en votant une motion de censure qui aurait fait sauter Bayrou, façon siège éjectable, comme celui de l’avion de chasse dans lequel il a failli rester coincé au Bourget, empiétant sur le monopole du ridicule, chasse gardée (et qu’on aimerait bien tirer) de notre bien aimé président, contraint d’aller saluer les vainqueurs toulousains du top 14 dans les vestiaires pour éviter d’être affectueusement ovationné par une foule en délire.
Quant à ceux qui s’élèvent au-dessus des turpitudes hexagonales et se demandent plutôt pourquoi la 3e guerre mondiale n’a pas eu lieu, il semblerait qu’Israël, à court de missiles balistiques pour son dôme ferrugineux et voyant que Trump faisait le minimum syndical, s’est vu contraint d’accepter le cesser le feu, que « l’Iran-gina » pas mal secoué, mais qui pouvait désormais infliger des dégâts majeurs a été poussé par la Chine, déjà affectée par les taxes de Trump, à éviter d’aggraver la situation économique mondiale, probablement en échange de la modernisation de son point faible, à savoir sa flotte aérienne et du remplacement du GPS par le système chinois Beidou, tandis qu’il négociait avec la Russie pour déployer un système de défense S400 qu’il avait jusqu’à présent refusé, tout en ayant gagné au passage, officiellement, le parapluie nucléaire du Pakistan et la cohésion patriotique autour du pouvoir de l’ensemble de sa population.
Si on ajoute le fait qu’Israël a brûlé sa cartouche unique basée sur des années d’infiltrations et que les Iraniens sont en train de pendre les têtes de réseau d’espionnage comme des guirlandes de Noël, chaque jour qui passe rendra plus compliquée toute nouvelle agression de ce type qui sera bientôt impossible, faisant de l’état hébreu le grand perdant de l’histoire. Outre le mythe de son invincibilité, il a par ailleurs perdu le support majoritaire du citoyen lambda américain, un nombre croissant le considérant même comme un ennemi des USA, l’interview d’anthologie de Ted Cruz par Tucker Carlson qui lui met le nez dans le caca quand il invoque la bible comme principal motif de son soutien à Israël, ayant enfoncé le dernier clou du cercueil.
Quant à Trump, qui a joué sans filet avec la 3e guerre mondiale, avec la roulette russe chanceuse de ses frappes, il a perdu le soutien d’une partie conséquente de sa base, laquelle a réalisé que, comme ses prédécesseurs, il était tenu par quelque cadavre dans son placard, le reléguant au rang de petit chien testiculairement ectopique de Netanyahu, de sorte que sa seule marge de manœuvre (qu’à son crédit, il a utilisée) était d’essayer d’aboyer plutôt que de mordre dans l’espoir que son maître ne verrait pas la différence. Même si peu probable, on n’est donc pas totalement à l’abri d’une reprise des hostilités de ce qui n’est qu’un cessez-le-feu, si un Israël suicidaire voulait tenter le tout pour le tout avant que sa fenêtre de tir ne se ferme définitivement.