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lundi 22 juillet 2024

Sus à l’abbé Pierre et rififi à l’assemblée…(22/07/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/aYprmkbefV8

Bonjour !
L’adage « jamais 2 sans 3 » ne marche pas pour les testicules, mais semble se vérifier chez ceux réputés au-dessus des partis, en tout cas si on en croit Philippe Ploncard d’Assac, ni contredit ni poursuivi pour répéter à l’envi qu’après Sarkozy et Hollande, descendant non seulement du singe, mais aussi, apparemment, de Moïse (laissant supposer que Noé a fait des trucs pas nets sur son arche), on aurait Macron, lui aussi juif (par sa mère). Un tiercé qui, si avéré, serait une improbabilité statistique majeure et me plongerait dans l’embarras pour avoir, sans en mesurer les implications aux relents nauséabonds, souvent critiqué la puissance d’aspiration, inégalée depuis Dyson, de l’organe olfactif du dernier de la liste ; d’autant qu’en toute objectivité les nez longs présentent moins de risque d’incendie que les Nérons, sauf à mettre le feu aux poudres (dont il est rempli) comme à Nice, devenue « crotte d’Azur » sous Estrosi, avec, là-aussi, une histoire de farine (ce qui est logique dans le quartier des Moulins) conduisant à un incendie et une famille comorienne carbonisée au point de voir la différence ; tragédie qui a ému la république. 
 
Un cran en dessous, au niveau Premier ministre, si après Borne et Attal on avait Tubiana, même en faisant appel à la physique quantique, on aurait du mal à expliquer statistiquement ce nouveau tiercé communautaire purement coïncident. Pour autant, la superstition a toutefois ses limites puisque, si on descend encore d’un cran, au niveau des présidents de l’Assemblée nationale, il y a quand même eu, sauf à ce que certains aient été pudiques quant à leurs origines, une période antisémite de disette entre Jean-Louis Debré et Yaël Braun-Poivrot réputée pour être à la buvette de l’Assemblée ce que Gérard Larcher est à la Cantine du Sénat et triomphalement réélue au perchoir grâce aux voix de 17 « ministres-députés », double casquette théoriquement interdite par la constitution sans que cela fasse tiquer le président du Conseil constitutionnel dont, autre improbabilité statistique, le crâne glabre a la forme du prépuce qui lui manque. En tous les cas, ça s’arrose. Merci les castors.
 
Mais ce n’est pas pour autant qu’il faut perdre foi en nos institutions. Certes, il y a eu bourrage d’urnes jusque dans l’élection des vice-présidents de l’Assemblée, faisant que le vote a dû être annulé une première fois, mais ce ne sont là que billevesées, des détails comme le S qui suffit à faire la distinction entre un gouvernement en vacance et un gouvernement en vacances, même si, par les temps qui courent, les deux ont tendance à se cumuler. En fin de compte, on a jeté quelques os bien juteux à LFI qui est rentrée sagement à la niche ainsi qu’aux LR canal historique, de sorte qu’on se retrouve exactement dans la même configuration qu’avant les élections à la différence près que, contrairement aux usages, le RN, premier parti en nombre de députés, est reparti bredouille pour ne pas avoir su porter ses …, mais bon, gardons-nous de toute rime désobligeante.
 
Dans la même optique, le changement promis si on votait bien aux européennes est pour le moins subtil lui aussi, si l’on considère que Von der Leyen a été largement réélue, à bulletins secrets, avec un nombre de voix supérieur au total de ses thuriféraires officiels. D’où les regards qui se tournent vers François Xavier Bellamy lequel, le coquin, la critiquait devant les caméras tout en plaidant pour sa réélection à huis clos entre 4 murs qui, hélas pour lui, avaient des oreilles. Et quid de Manon Aubry?
Opposante acharnée dès qu'un micro se tend, mais qui, aux anges, claque la bise à Ursula en la félicitant et dont la chevelure bizarre que j’imputais à un improbable croisement avec un cocker spaniel anglais lui viendrait en fait, selon un certain Gandalf, d’une maman qui aurait le même patronyme communautaire que l’épouse 1 de Zemmour, ce qui ne l’a pas empêchée d'être la championne des Palestiniens face à un Glucksmann pro Israéliens, menues querelles vite oubliées pour constituer le Nouveau Front Populaire.
 
Que vous soyez de droite, de gauche ou du centre, quoi que vous défendiez ou quoi que vous critiquiez, il est quand même rassurant de savoir que vous trouverez toujours un être doublement élu pour l’exprimer à votre place, moyennant quelques émoluments, bien mérités, aux frais des contribuables. Il y a beaucoup à apprendre de ces braves gens et si j’ai, un temps, naïvement trouvé abusive la traque par les époux Klarsfeld de nazis centenaires coupables d’avoir compté les trombones destinés à assembler les dossiers de déportés, leur immense sagesse m’apparaît à présent et j’envisage de créer l’association des fils et petits-fils des baisés de France pour traquer jusque sur leur lit de mort pendant les prochaines décennies tous les présidents, ministres et députés qui auront contribué à détruire la France, à l’exception de Bruno Le Maire, juste parmi les justes qui, après avoir modestement « sauvé le pays » selon ses propres dires et mis la Russie à genoux, est contraint de se carapater en Suisse pour éviter les étreintes enthousiastes des Français reconnaissants.
 
Aux Antipodes de Saint-Bruno, il y a le vil abbé Pierre, confronté à ses collègues l’abbé tise et l’abbé casse qui l’accuse de lui avoir frôlé le sein alors qu’il s’appuyait sur elle pour marcher du fait de son grand-âge. En outre, un prêtre attiré par les seins, c’est au pire une confusion orthographique. On ne peut, toutefois, que frémir rétrospectivement à la perspective d’un tel prédateur sexuel, un peu trop mort pour se défendre, rôdant dans nos rues en déambulateur et on comprend que Caroline de Haas, à l’origine de l’enquête, et à qui on doit le concept des trottoirs élargis pour lutter contre les agressions sexuelles, n’ait pas encore eu le temps de dénoncer ces enrichisseurs culturels de grand-mères, sous OQTF, qui tentent maladroitement, faute d’avoir les codes, d’apporter plus ou moins 20 cm de chaleur humaine à des personnes souvent isolées, et un peu trop fragiles pour toujours y survivre pour les en remercier. Mais la lutte contre le racisme ambiant est un noble combat qui vaut bien la vie de quelques octogénaires, gamines, femmes ou chèvres… 
 
Une position que partage certainement le Congrès international de botanique (ta mère) lequel vient d’approuver le changement de nom de plus de 200 plantes, champignons et algues jugés racistes. Il ne reste plus qu’à supprimer les bits en informatique parce que sexistes et la boucle sera bouclée. On n’est d’ailleurs pas passé très loin et, en tant qu’ancien informaticien, je ne peux pas passer sous silence la panne mondiale dont on nous a rebattu les oreilles. 
 
La cause est trivialement une mise à jour effectuée à distance par une société de sécurité, qui a installé un driver défectueux répondant au doux nom de « C-00000291*.sys » dans le dossier « C:\windows\system32 » ce qui a fait planter en boucle les PC Windows concernés au démarrage, et ce, sans lien direct aucun avec Microsoft, si ce n’est que Windows est un système de m…. Pour avoir administré de grosses infrastructures régionales, le problème majeur (et donc peu susceptible de plaire à notre première dame) qui me saute aux yeux, est que de grosses sociétés, trouvant certainement judicieux et plus économique de se séparer d'informaticiens locaux et de décentraliser en Inde, dans le cloud ou ailleurs, autorisent les mises à jour automatiques faute d'avoir les ressources humaines pour les tester au préalable (et systématiquement) sur des machines isolées avant de les déployer ce qui est le BA-BA. 
 
Un peu comme si un hypothétique président homosexuel se faisait régulièrement mettre… (à jour) sans préservatif au bois de Boulogne. La conséquence est qu’une fois plantées, les machines ne sont plus accessibles à distance et que, sans personnel sur place pour les redémarrer en mode sans échec, ou accéder directement au disque pour effacer ledit fichier, les fausses économies risquent de leur coûter horriblement cher en taxis depuis New Delhi. Pour autant, la nécessité de profits à court terme pour satisfaire les actionnaires fera que la leçon ne sera pas apprise et que, compte tenu de la foultitude de sources de mises à jour automatiques, à commencer par Microsoft elle-même, une panne globale à grande échelle est relativement aisée à mettre en œuvre, donnant raison aux craintes des complotistes, a fortiori dans un système imbriqué qui fait que même les sociétés vertueuses seront impactées par le crash d’autres dont elles sont dépendantes dans un véritable jeu de dominos qui devient de plus en plus fragile à mesure qu’il se complexifie.
 
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lundi 15 juillet 2024

Tir au Donald, bordel en France et autres actus délirantes…(15/07/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/azljPq6eOz8


Bonjour !
La satire DE Trump, on était habitués, mais là ça tire SUR Trump (qui s’est fait littéralement tirer l’oreille) et sa réaction, le visage ensanglanté, le poing levé, à la Che Guevara, sous un ciel bleu avec le drapeau américain qui flotte derrière, est une image qui restera dans les annales (au sens non LGBT du terme, c’est-à-dire avec plus de « N ») tout comme cette autre photo inouïe où l’on distingue aussi clairement que des testicules de première dame la traînée du projectile qui le frôle. En fait, s’il n’avait pas tourné la tête une fraction de seconde avant l’impact, il avait un second trou de balle, mais dans son crâne.
 
Totalement impossible qu’il s’agisse d’une mise en scène, comme l’ont suggéré certains humanistes, parfois déçus que le tireur ait loupé sa cible, ce qui, à 150 m et sans lunette, est compréhensible, d’autant que les balles, bien réelles, ont terminé leur course dans au moins trois spectateurs, dont un décédé et deux dans un état grave. On apprend d’ailleurs la mort de Shannen Doherty l’actrice de Beverly Hills… (aucun rapport, mais il fallait que je le place). Autant dire que Trump (qui ferait bien de surveiller son épouse) a déjà gagné l’élection, beaucoup voyant une intervention divine derrière cette chance de cocu. 
 
Toute autre option se traduirait désormais par une guerre civile parce qu’aucun de ses supporters chauffés à blanc, n’accepterait une seconde fois le narratif d’une victoire « démocratique » d’un Joe Biden dont l’aptitude à sucrer les fraises et la maîtrise dialectique à la Séjourné, auraient magiquement enthousiasmé les foules et les algorithmes des machines à voter. Le fait que plusieurs personnes aient aperçu et signalé le tireur sur le toit plusieurs minutes avant les tirs et la lenteur de la réaction de la sécurité, n’ont pas fini de soulever des polémiques, des mal pensants complotistes pouvant imaginer que faute de pouvoir gagner par les urnes… 

Toujours est-il que Macron, qui a tendance à la grosse tête (cible donc plus visible, mais, subséquemment, défi mineur qui ne semble tenter personne) et qui, lui, va parvenir à sécuriser un énorme périmètre à ciel ouvert pour la cérémonie d’inauguration de ses jeux, visiblement déçu que son 14 juillet passe, du coup, à la trappe médiatique, a tardivement envoyé ses souhaits de bon rétablissement à celui qui conserve précieusement un mystérieux gros dossier avec son nom dessus.

Dès lors, les actualités hexagonales semblent bien dérisoires à l’instar du bain dans la Seine de la ministre des Sports laquelle glisse sur de la substance molle (qu’on espère être de la vase) ayant mystérieusement échappé au grand récurage à 1,4 milliard d’euros et se casse la figure dans les eaux noires, couleur qu’apprécie Rokaya qui telle Nabilla « dit allô », laquelle s’insurge du cruel manque de mélanine sur la photo de famille du Nouveau Front populaire. À sa décharge publique, il est vrai que « créolisation » bien ordonnée commençant par soi-même, Mélenchon, par exemple, fait « pâle » figure à tous les sens du terme contrairement à notre exemplaire équipe de France, en danger, la nuit, sans catadioptre, qui, elle, n’a jamais essuyé la moindre critique de Rokaya. 
 
On pourrait donc éventuellement panacher les deux, d’autant que les joueurs se sont activement mis à la politique, au point d’avoir eu soudainement 2 pieds gauches (probablement par détestation de la droite) face à une équipe d’Espagne qui, pour l’anecdote, compte plus de Français dits « de souche » dans ses rangs que l’équipe tricolore ! En tous les cas, twitter ou jouer, il faut choisir quand on n’a, visiblement, pas les neurones pour faire les deux choses à la fois. Kylian Mbappé, à la place de Mélenchon ce serait donc un bon début, d’autant que remplacer un millionnaire par un autre garantirait que les classes populaires continuent à être bien représentées et si, en sus, on intervertit Thuram et Bompard on commencera à chatouiller un quota intéressant qui plaira sûrement à Médiapart lequel innove en se lançant dans les statistiques ethniques et en classant les députés par teinte, un peu comme les peintures Dulux-Valentine. La sodomie ayant tendance à rendre pâle, autant dire que le RN est mal placé. 
 
Tandis que tout le monde se bouffe le foie pour avoir sa part de gamelle, Mélenchon, encore lui, s’associe aux communistes pour proposer une femme « racisée » comme Premier ministre, deux qualités absolument indispensables à la bonne gestion du pays et qu’il n’a, hélas, pas lui-même, de sorte à faire oublier aux gogos qui le suivent cette carence impardonnable faisant que, selon ses propres critères, il est illégitime à ouvrir sa gueule. Après, comme on dit, les goûts et les couleurs… Pour tout vous dire, j’ai un copain raciste (parce que je ne suis pas sectaire) et il fait sans arrêt l’amalgame entre diversité et criminalité, au point que ça en devient ridicule. Impossible de lui faire admettre, par exemple, que le fait qu’on a volé pour 150 000€ de vélos sur le tour de France, n’a strictement rien à voir avec la présence, pour la première fois, d’un noir, lequel accomplit par ailleurs de belles choses, mais le gars est têtu. 
 
C’est pour cela qu’il faut lutter contre les préjugés racistes, comme celui qui dit que les Juifs sont plus intelligents que les autres, un préjugé tellement bien ancré, qu’il a semblé suffisamment incroyable à Nicole Beloubet qu’une quinzaine d’élèves de cette confession ait eu de mauvaises notes au Grand Oral du Bac, pour qu’elle s’empresse de diligenter une enquête laquelle a, finalement, conclu que les Juifs peuvent être aussi cons que les autres, un grand pas vers le vivre-ensemble ayant ainsi été franchi. Il reste toutefois encore du travail, si l’on considère qu’une bande de gamins de 8 ans, d’origine médiatiquement inconnue, a été interceptée alors qu’elle s’en allait gaiement faire un remake de la guerre des boutons sur un groupe d’enfants d’une école israélite qu’on avait emmené en sortie dans un parc parisien sans couverture aérienne, rien ne semblant pouvoir arrêter la vague d’antisémitisme qui frappe l’occident tout entier, jusqu’à l’éviction récente de Meyer Habib, selon l’adage, « c’est toujours les Meyer qui s’en vont »…

Mais on se consolera, en se disant qu’au moins l’antisémitisme est absent de la nouvelle salve de distribution de Légions d’honneur (plus « en promotion » que promotion tout court) ; liste publiée à la hâte entre les deux tours (on ne sait jamais). Un insigne insigne que Dieudonné qualifiait à tort de fion de hamster, alors qu’il s’agit plutôt du fion des castors qui ont fait élire, par exemple, Elisabeth Borne, apocope de Bornstein, élevée au grade de commandeur, tout comme Michel Drucker. Le président du CRIF, Yonathan Arfi, n’étant lui que chevalier ce qui est certes mieux que rien, mais un petit effort aurait pu être fait. Également de la partie, une flopée de bienfaiteurs de la France à l’instar de Caroline Fourest pour son action pour le saphisme et contre le saLAphisme, Virginie Efira pour… son 95 bonnet G ou encore Michel « Cymes » qui, comme son nom, atteint sur ce coup les sommets, bien que plutôt au ras des pâquerettes sur le COVID. 

« C'est avec ces hochets qu'on fait marcher les hommes » avait lancé Napoléon, fondateur de la breloque que Coluche avait envisagé de recevoir en slip si elle lui avait été proposée, évoquant sans le vouloir le funeste Pinochet, vu le peu d’options pour l’accrocher.
Une qui ne l’a pas eue, c’est Arielle Dombasle, en dépit de sa prestation remarquée à l’occasion de l’arrivée de la flamme olympique. Une Arielle, ma foi fort bien conservée, et qui peut encore émoustiller du monde si on en juge par la statue en érection, à l’arrière-plan d’un clip éminemment politique, puisqu’après une minute d’écoute j’enviais le sort des Gazaouis et l’infirmité de Beethoven à qui on avait emprunté la musique.

Pendant ce temps, le RN traque ses brebis galeuses et cherche comment il pourrait encore plus se dédiaboliser, mais, sauf à louer un char à la prochaine GayPride et twerker dessus en string en se faisant fouetter par un transsexuel racisé ou un rabbin progressiste, je ne vois guère à quoi il pourrait encore renoncer.

À l’opposé, Sarah KNAFO, elle, pense qu’il faut revenir aux fondamentaux, ce en quoi elle a raison et focaliser sur l’islam, ce en quoi elle a tort. Le problème de la France et qui explique que toute la politique française semble axée autour du racisme et de l’antisémitisme est que, contrairement au Japonais qui, à 2 ans, sait ce qu’est un Japonais et donc, par extension, qui n’est pas Japonais, le Français, qui a su qui il était pendant plus d’un millénaire, a perdu sa boussole lorsque que le premier clou du cercueil, à savoir l’octroi de la citoyenneté aux israélites, a été enfoncé, ouvrant la porte à tout le reste et générant la confusion que nous connaissons laquelle a abouti à ce récent débat surréel sur l’aberration que constitue, pour toute personne avec deux sous de logique, le concept absurde de double nationalité. 
 
KNAFO est donc bien gentille, mais réduire l’immigration à l’islam en occultant notamment l’Afrique subsaharienne, souvent catholique, animiste ou autre, est juste un moyen de détourner l’attention de l’origine du problème afin d’éviter de faire partie de la charrette, tout en procédant (de façon à la neutraliser) à la confiscation communautaire de toute velléité identitaire tentant de combler le vide béant laissé par le RN. C’est d’autant plus nécessaire que le Français de base a perdu tout sens du collectif, devenant un jouisseur matérialiste accro au confort : un consommateur individualiste, au même titre par ailleurs (et ironiquement) que les racailles de banlieue, dont à peine une feuille de papier à joint le sépare, prétendument musulmanes, mais qui se comportent comme des sous-rappeurs qui ne pourraient même pas vivre dans leur pays d’origine qu’ils fantasment tant ils sont « américanisés ». 
 
S’ils devaient choisir entre la France et un abonnement Netflix ou un forfait 5G, combien de Français choisiraient sans hésiter la première, sachant, à leur décharge, qu’en l’état, faute d’être un rempart pour eux (sa finalité originelle) quand elle n’est pas une prison, elle ne leur est plus indispensable dans leur lente agonie ? Contrairement aux USA qui sont, à terme, condamnés pour cette raison, mais qui n’ont d’autre choix que de tenter de s’unir artificiellement autour d’un pays et d’un drapeau (d’où leur patriotisme exacerbé), la France n’est pas, à la base, un pays multiracial. C’est pour cela qu’elle a survécu aussi longtemps. Mais sans un vent de nationalisme et un retour aux fondamentaux (lequel passe par le droit de revendiquer un minimum de cohérence ethnique et culturelle sans laquelle il ne saurait y avoir d’unité durable), le pays, déjà ruiné et ingouvernable, a les chances de survie d’une chèvre transgenre en bas résille avec un éclairage LED sur la vulve, déambulant, la nuit tombée, aux abords du stade olympique.

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lundi 8 juillet 2024

Législatives, les perdants ont gagné… (08/07/2024)

Transcription de ma vidéo sur YouTube :  https://youtu.be/3FCVTKG1AWw


Bonjour !
Macron est le lamineur de la France, c’est d’ailleurs ce qui a plu à Brigitte, car dans LA mineur, on a LA DO, ce qui est logique puisque l’ado est encore mineur, d’ailleurs, dans l’intimité, elle l’appelle mon ami parce que LA MI est ce qui reste quand en paix DO file, mais je m’égare.
 
Le désastre électoral, lui, est majeur puisque tout le ban et l’arrière-ban de ce que la France compte de cônes glacé(e)s (à l’idée du RN au pouvoir) et leur pendant masculin, qu’on pourrait qualifier de « cônes hard » s’ils n’étaient pas déconstruits, plus mi-cons en tout cas que MIKO, trouvent visiblement qu’il n’y a pas assez d’immigration en France. C’était en fait la véritable question qui sous-tendait ce référendum déguisé, dans un pays où (et cela n’a bien sûr aucun rapport) selon les derniers chiffres du ministère de l’Intérieur, minorés par un infortuné problème informatique qui perdure depuis le 20 mai, et sans tenir compte, par ailleurs, de tout ce qui n’est pas déclaré, on recense chaque jour un millier d’agressions, 1500 actes de vandalisme, 600 cambriolages et 24 attaques avec arme, Kevin et Matéo étant particulièrement actifs. 
 
Non que le RN (auquel son autocastration avec les dents n’a pas épargné une rediabolisation express) aurait pu faire quelque chose d’efficace, mais au moins, il n’aurait pas ouvert les vannes en grand, avec, pour conséquence, que la part immigrée extraeuropéenne et sa descendance, associées à des castors indécrottables à neurones transtrisomiques, rendront définitivement impossible toute majorité en faveur de l’inversion de la tendance. 
 
Malheureusement, le RN n’ayant pas obtenu la majorité et passant à côté du cadeau empoisonné de gouverner avec les mains attachées dans le dos (le majeur occupé à des choses inavouables) ce qui probablement l’arrange, il conservera sa « virginité politique » tandis que l’illusion d’une solution « démocratique », qu’il sera supposé incarner, perdurera jusqu’en 2027, faisant encore gagner 3 ans au système. Imperturbable, la femme à chats, dont on ignore si elle a, ou non, fini la soirée au Macumba, a pu chanter sa chanson préférée après les tubes de Dalida : « Zut, encore manqué ! La prochaine fois sera la bonne ! ». 
 
C’est dramatique parce que, plus on attend, plus il faudra un niveau de violence élevé, dont notre population vieillissante ne sera probablement plus capable, pour rétablir un semblant de cohérence ethnique sans laquelle, faute de possibilités de ségrégation, comme en Russie où les peuplades diverses vivent majoritairement chacune sur leur territoire respectif, il n’y a pas de destin commun possible autre que l’exacerbation des incompatibilités, en attendant de finir broyés, telle une cacahuète égarée sur le siège de Mathilde Panot, par le véritable ennemi : la machine oligarchique. Une masse informe d’individus isolés, dilués dans un état européen hors-sol et à la merci d’un clic de clavier qui coupera leurs maigres moyens subventionnés de subsistance, en monnaie électronique, s’ils refusent d’aller se battre en Ukraine ou de mettre leurs enfants qui apprendront l’alphabet en commençant par « LGBT... » sous bloqueurs de puberté. 
 
En attendant que le castor remplace officiellement le coq sur le maillot de l’équipe de « France » laquelle a pesé de tout son poids dans la balance, on ne peut que s’incliner devant une ingénierie sociale qui fait qu’il a suffi d’une semaine d’agitation d’épouvantails que même les corbeaux ne craignent plus, pour que les mêmes qui hurlent ACAB toute l’année fassent élire Darmanin, que ceux-là mêmes qui manifestaient contre la réforme des retraites votent pour Élisabeth Borne et que des poissons rouges trépanés (ou très panés, c’est selon), plébiscitent François Hollande. Même l’antifa Raphaël Arnault est de la partie, parce que fiché S, c’est mieux que fiché SS. 
 
Je veux bien croire qu’il y a eu de la triche à tous les étages (à titre personnel, après avoir reçu le bulletin RN discrètement troué au premier tour, il n’y en avait même pas dans l’enveloppe au second), mais dans ces proportions, l’appétence collective d’une partie de nos compatriotes (ou plutôt pas patriotes) pour la sodomie à sec est difficilement contestable, même si olivier Véran a quand-même été battu, preuve qu’il subsiste encore, quelque part, dans les tréfonds du cerveau reptilien collectif, un atome de bons sens. Les plus sentimentaux auront également une pensée émue pour Meyer Habib qui ne nous gratifiera plus de son attachant petit tic de langage qui le faisait fustiger le Hamas, même si le débat tournait autour de la culture de la patate en Papouasie occidentale.
 
La seule option viable, désormais, est une alliance macronie-gauche, qui serait majoritaire, même en écartant LFI, sachant que, sinon, il faudrait que ladite macronie tout entière, y compris ses alliés, permette à Mélenchon de sauver la face, pour faire avaler cette énième trahison, en annulant la loi immigration, la loi anti-squat et autres joyeusetés symboliques, ce qui n’est pas gagné. Dans le premier cas, ça va continuer comme avant, dans le second, on aura une gouvernance technique qui administrera, au moins pendant un an, les affaires courantes et sera obligée de poursuivre la casse sociale dès qu’elle se heurtera à la dette et qu’on menacera de lui couper les vivres, tandis que les cons de la CGT manifesteront dans la rue, en fonction de la météo, contre ceux qu’ils auront, encore, contribué à faire élire. C’est ce qu’on appelle une victoire à la Pyrrhus.
 
Je ne vois pas d’autres scénarii possibles, mais je raisonne sur une base logique, or, après l’avalanche d’alliances contre nature à laquelle on vient d’assister, faisant passer la romance pangolin/chauve-souris du covid pour un documentaire animalier ordinaire, qui sait ce qui pourrait sortir du chapeau (ou d’autres parties de l’anatomie) Macronienne, sachant que si aucun accord n’est trouvé, il reste la mise sous-tutelle par l’UE au prétexte de la dette.
 
Dans tous les cas, sauf écroulement prématuré du château de cartes par une victoire, non plus à la Pyrrhus, mais à la russe tout court en Ukraine, suivie de l’élection de Trump (et sur ce point, on pourrait avoir des surprises) le processus de désagrégation, déjà largement entamé, va s’accélérer à une vitesse vertigineuse. Profitez bien de vos vacances, car rien ne dit que vous en aurez l’année prochaine.
 
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lundi 1 juillet 2024

Un premier tour et puis s’en vont🎶… (01/07/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/oKjf0eMCpnc

Bonjour !

L’air des confits de canards, quand ça fait pschitt c’est du botulisme, l’air déconfit des conards quand ça fait pschitt, c’est du pur plaisir que je ne vais pas bouder, même s’il faudra attendre le second tour pour que ça soit vraiment jouissif. Au vu de l’affluence inédite dans mon bureau de vote, où feu mon père n’eut pas manqué de placer sa vanne éculée « pour qui votait-on ? » en direction de la première connaissance féminine à forte poitrine qu’il y aurait croisée, il était évident que la mobilisation allait être importante, restait à savoir si les triches multiples comme le bulletin RN que j’ai reçu, discrètement perforé, parce que les micropénis apparemment ça existe, les procurations d’EHPAD aux signatures tremblantes et autres machines à voter à algorithmes fluctuants suffiraient à sauver la démocratie de l’infâme vote populaire.
 
Peut-être que 1,4 milliard littéralement jeté à l’eau pour rendre la Seine baignable, aura été la goutte qui aura fait déborder « la » vase, pleine, selon les dernières analyses, de coliformes fécaux d’origines diverses, un peu comme le sphincter de Ga… mais je m’égare. Toujours est-il qu’en dépit d’un tiers de gauchistes qui font « Front » mais « s’entêtent » (ce qui est morphologiquement compliqué), des bobos des villes grand-remplacées et de la part de l’électorat âgé qui regarde encore la télé et survote, même si le raz de Marine n’est pas garanti pour autant, les castors eux aussi semblent avoir cruellement besoin de fixodent. 
 
Indépendamment des résultats éventuels du RN au second tour, c’est la libération de la parole, devenue aussi inarrêtable qu’un homosexuel afghan qui ne bat pas des bras assez vite, qui est la véritable révolution, de sorte que même les menaces de plaintes, au demeurant infondées, des pisse-vinaigres habituels, ne parviennent plus à endiguer des musiques telles que « Ausländer raus » ou « je partira pas » chantées un peu partout de façon décomplexée et plébiscitées sur TikTok ou sur X.  
 
Bien sûr qu’en quête de toujours plus de respectabilité ledit RN, qui vient encore d’exclure un candidat sur déterrage de post par les taupes coprophages de Libération, pourra continuer à faire du zèle et tenter de refermer le couvercle de la cocotte-minute, un peu comme c’est toujours la Gauche qui privatise et la Droite qui ouvre les vannes de l’immigration, mais ce serait suicidaire de se priver de virtuellement la seule réforme symbolique qu’il aurait encore la latitude de prendre sans demander l’autorisation de Bruxelles, à savoir la suppression de toutes les lois liberticides : Pleven, Gayssot et autres, d’autant que la déception et la réaction pourraient-être proportionnelles à l’espérance déçue, si absolument tout n’est pas fait pour redresser la situation.
 
Encore faudrait-il qu’il ait la majorité absolue, faute de quoi on se retrouvera sans véritable gouvernement pendant un an ou, pire, avec un attelage bâtard : gauche, Macronie plus quelques girouettes LR, les mamours ayant déjà commencé en ce sens avec les pantalons déjà sur les chevilles. Et même dans le premier cas, si Macron ne démissionne pas, ledit RN ne pourra rien démarrer s’il n’a pas les cojones pour l’y contraindre par le biais d’une destitution. Il faut donc se garder de tout optimisme, d’autant que, de même que manifester contre le CO2 améliore la pluviométrie (si on jette du sel par-dessus son épaule), brûler démocratiquement des poubelles et casser des abribus va certainement faire baisser les scores du RN dont le côté fascisant ne peut que sauter aux yeux en comparaison.
 
Je pense que Macron devait quand même s’attendre à sa déconfiture et qu’au-delà des calculs machiavéliques qu’on lui prête, cette dissolution avait peut-être aussi pour but de lui donner une excuse pour démissionner du jour au lendemain si nécessaire avant que le Brigitte-gate (qu’un procès bidon en diffamation, non point sur la transidentité, mais sur une allégation de falsification de documents, n’a pas réussi à enrayer), lui explose à la figure comme une prothèse mammaire surchauffée. 
 
Une épée de Damoclès qui, à l’instar d’appendices divers de son épouse, pend d’autant plus au-dessus de sa tête, que Trump pourrait balancer ses dossiers dans l’optique de court-circuiter une éventuelle candidature de Michelle « Mikaël » Obama, si Biden renonçait à la sienne, conséquence de sa liquéfaction diarrhéique lors du débat présidentiel US en dépit du godemichet relié au 110 volts qu’on avait dû lui enfiler dans le rectum pour le tenir éveillé. Pour autant Donald Trump, entre un appel à laisser Israël exterminer les Palestiniens en paix et un échange surréel sur les performances respectives des deux candidats au golf, n’a été bon que par comparaison, la mièvrerie des questions et la teneur des réponses faisant passer une interview de Sandrine Rousseau (élue au premier tour) en ASMR, façon dernier clip des gnafrons populaires, pour de la haute politique.
 
Derrière ce théâtre d’ombres, pour les choses vraiment importantes, comme le prix de la vaseline ou la préparation d’une troisième guerre mondiale, l’élection des russophobes limite russovores : Von der Leyen qui, sitôt intronisée, réclame 500 milliards de rien du tout pour mettre en place une armée européenne, Mark Rutte à l’OTAN ou l’Estonienne Kaja Kallas, comme cheffe de la diplomatie européenne, on ne s’embête pas à consulter la plèbe. Une plèbe à laquelle on permet gentiment de voter pour un parlement qui ne décide rien tandis que c’est la « grosse commission » non élue qui décide de tout. 
 
Les promesses des candidats aux européennes de tout changer de l’intérieur sont donc déjà oubliées et on peut continuer tranquillement sur la lancée avec, par exemple, au nom de la concurrence, la suppression de la ligne du train des primeurs Perpignan-Rungis, qui sera remplacée par des camions qu’on suppose écologiques, ou encore le Danemark qui va taxer les pets de vache à hauteur de 100€ par vache et 240€ d’ici 2035. Bizarre que nul n’ait songé à solutionner le problème à moins cher avec des bouchons de liège de gros diamètre, à moins que le risque d’apercevoir au bout d’un moment des vaches volantes qui pourraient être aspirées par le trou de la couche d’ozone n’ait été rédhibitoire. Heureusement que les migrants, eux, c’est bien connu, ne flatulent jamais, raison pour laquelle on va en importer toujours davantage.
 
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dimanche 23 juin 2024

Législatives : le retour des castors (24/06/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/emEz3VqEJ68

Bonjour !
Si Mbappé se fût appelé Didier on eût pu abréger en « Mbappé D. » tant le castor multimillionnaire à queue plate (et désormais nez assorti) semble apprécier les câlins dans les vestiaires, au point qu’il en redemande en appelant à voter indirectement pour le palpeur élyséen en préconisant le barrage aux extrêmes. Certains schtroumpfs (seule raison, sauf à être daltonien, de les appeler encore « les bleus »), sont même plus restrictifs, ciblant spécifiquement le RN à l’instar de celui à qui on a envie de dire : « Thuram à contre-courant Marcus ».
 
Idem pour le monde de la culture qui craint de ne plus pouvoir se goinfrer de subventions pour faire, entre autres choses indispensables, des films que personne ne regarde sur un gentil migrant au grand cœur qui finit par partager plusieurs décimètres d’amour turgescent avec une héroïne préménopausée qui lutte contre le patriarcat et le réchauffement climatique en se colorant les cheveux en bleu et en jetant de la soupe bio en emballage recyclable sur quelque tableau de maître à fort indice carbone. On ne compte plus les tribunes anti-RN dont la dernière a été publiée à l’occasion d’une fête de la musique particulièrement animée (certains étant plus à l’aise avec les staccatos de kalachnikov que de violons, violons dont d’autres étaient sortis pour jouer du couteau). Une tribune signée par 500 artistes plus ou moins inconnus à l’exception de Clara Luciani pourtant potentielle inspiratrice de la grenade dégoupillée dissolutive macronienne.
 
Libération enchaîne les titres apocalyptiques avertissant que le RN va détruire la planète en supprimant les éoliennes, tandis que la gauche défend la démocratie dans les rues en cassant des vitrines et en protestant contre le résultat d’élections. Jusqu’à Squeezie qui s’est fait squeezer perdant son statut de Youtubeur N°1 au profit de « Tibo in Shape » après sa diatribe anti-RN.  Et bien qu’elle soit plutôt mignonne, en voyant l’air renfrogné de Sophie Binet, Jacques Hélian aurait plutôt chanté : « Ah CGT resté célibataire… », le syndicat d’extrême gauche (mais apolitique sans quoi il perdrait son statut) ayant pour la première fois, donné des consignes de vote en faveur du nouveau Front Populaire. 
 
Seule voix discordante, Macron lui-même, que probablement induit en erreur par de mauvaises langues complotistes, je soupçonnais naïvement d’être un homosexuel marié à un pédophile à perruque, fortement hué, au passage, par des perruquophobes, lors de son apparition subreptice aux funérailles de feu Françoise Hardi, Macron qui, donc, serait, au contraire, si j’en crois la gauche unanime, un ignoble transphobe, pour avoir mentionné que l’usine à gaz immigrationniste investisseuse de fichés S susnommée promet rien moins que le changement de sexe en mairie comme on demande une fiche d’état civil. Il a toutefois évité le qualificatif de misogyne en omettant d’évoquer la proposition par Louis Boyard d’un congé menstruel mensuel, dont Sandrine Rousseau, bien que moyennement concernée, ne tardera pas à demander si les transgenres pourront bénéficier.
 
Un affront populaire qui pourrait toutefois perdre une partie indéterminée de ses électeurs pas déjà déroutés par ces mesures si l’on considère qu’Allah ( lequel, à en croire la phrase favorite de ses thuriféraires, est akbar, chatouillant probablement les deux mètres, et dont les desseins, contrairement au bientôt chômeur Attal, sont impénétrables) a décidé de rappeler à lui au moins mille pèlerins déshydratés de la Mecque, terme qui dans le Sud-Ouest, évoque un autre flux continu, mais qui se mouche. Sachant que si le tarif pour la mort en martyr, sans tenir compte de l’inflation, c’est 72 vierges taille 54, en cas de mort pour simple oubli d’un chapeau et d’une bouteille de Cristalline le mystère reste entier quant à la récompense éventuelle : peut-être quelques écologistes recyclées, ou un clone de Mathilde Panot. L’éternité promet donc d’être longue pour eux, paix à leur âme.
 
Il ne faut toutefois pas sous-estimer l’instinct du castor ( jamais déshydraté, lui, puisque « aqueux » plate), qui reste persuadé que même avec un bureau politique constitué de gens, certes potentiellement utiles en cas d’épidémie de constipation, mais sur qui on ne pourrait guère compter pour repeupler la planète en cas de chute de météorite, agglutinés, de surcroît, autour d’une femme à chats noceuse, les bruits, sinon de bottes, au moins de talons aiguilles, résonneraient sur le pavé froid le lendemain de l’élection et que les fours, un peu partout, entreraient en mode préchauffage (dans les limites des pénuries énergétiques) sauf pour Serge Klarsfeld ou Alain Finkielkraut, antisémites notoires, disposés à voter RN au grand dam de Mélenchon lequel, selon ses dernières déclarations, se verrait bien à Matignon.
 
Blague à part, même si, pour avoir abandonné en rase campagne leur colonne vertébrale idéologique, je ne me fais aucune illusion sur les capacités de réforme d’un RN tenu de surcroît par Black-Rock et les testicules avec 3200 milliards de dettes, tout en ayant contre eux, l’état profond, une partie de la haute administration, les réseaux maçonniques, le Conseil constitutionnel, le coiffeur de Brigitte et j’en passe, ce qui ne leur laisse comme option qu’une mélonisation modérée, le contexte particulier fait que, même s’ils peuvent peu, ils vont faire l’intégralité de ce peu pour améliorer la situation et, à minima, ne pas faire encore plus que ce que l’U.E. exige comme l’enthousiaste Emmanuel Macron, et ce, sous peine de se faire complètement griller et de perdre toute chance de remporter les prochaines présidentielles.
 
Les seuls qui ont vraiment à craindre ce sont les gens qui pensent comme moi, car, comme le démontre leur promptitude à exclure un de leur candidat faussement accusé d’antisémitisme, ils seront tellement obsédés par vouloir démontrer à une gauche qui, pour avoir basé dessus son identité même, ne changera jamais d'avis, qu’ils ne sont pas d’extrême droite qu’ils vont encore renforcer la répression contre tout ce qui est identitaire ou se fout comme de sa première gastro-entérite du sort d’un peuple élu pour lequel il n’a pas voté.
 
Cela ne m’empêchera pas de voter pour eux, car, avec tous leurs défauts, il leur reste, dans quelque recoin de sphincter anal quelques atomes patriotiques encore épargnés par les douches rectales à répétition. Même s’ils ne considèrent pas que la priorité des priorités est la préservation de l’équilibre ethnique spécifique, fruit de millénaires de conflits et de croisements entre peuples compatibles, sans lequel il n’y a plus de peuple français ni de continuité du projet collectif qu’on appelle France et seul capable du génie éponyme jadis célébré de par le monde, que cette préservation, compte tenu de la situation, nécessite une remigration massive et qu’ils n’admettront jamais, a fortiori, que la première porte à cette immigration de masse qui a ouvert et justifié toutes les autres (au nom de l’égalité) a été l’acceptation d’un certain communautarisme spécifique qu’il convient de réévaluer, je dormirais quand même mieux en les sachant aux manettes, qu’avec, à la tête de l’exécutif, un maniaque persuadé que la France est déjà du passé et qui n’a de cesse que de la détruire pour être certain qu’elle ne puisse jamais plus renaître de ses cendres et menacer ses fantasmes européistes sur fond de troisième guerre mondiale ou pire, car c’est toujours possible, des tarés qui veulent ouvrir encore plus grand les vannes migratoires et instituer un statut de réfugié climatique.
 
Le pire qui puisse arriver c’est qu’ils se plantent lamentablement en essayant de dévier le Titanic de sa course funeste sans avoir accès au gouvernail et que, privée de débouché politique, une partie suffisante de la masse se décide enfin à sortir les fourches. À moins que, résignés, nous acceptions collectivement de nous noyer dans l’eau tiède et de crever d’une mort qui, alors, serait méritée, mettant fin à une épopée de plusieurs millénaires réduite à un simple concept administratif qu’on appellerait peut-être toujours la France : une étendue de terre sans âme, transformée en coupe-gorge maffieux avec des gens indifférenciés dessus et en voie de tiers-mondisation, mais où, héritage macrono-hidalguesque, on pourrait se baigner dans la Seine comme dans le Gange, à ses risques et périls. 
 
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dimanche 16 juin 2024

Chanson Parodique « Pas la Joie » en réponse aux Goguettes (en trio mais à quatre). (17/06/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/lgxnZ5m-od4


La version des goguettes vue de gauche : https://www.youtube.com/watch?v=NW7aHPIfmMM

 Paroles :

Pas la joie
Ça crisse chez les frères la truelle
Pas la joie
Ils ont tous peur de Bardella
Pas la joie
Ya des manifs dans les ruelles
Pas la joie
Chez les antifas
Chaque jour des coups d’couteau qui s’amoncellent
C’est d’l’amour, mais les fachos ne comprennent pas
Qu’il faut plus de migrants pour les demoiselles
Et toutes celles qui vite ne courent pas

Ça y est LFI crache sur le Hamas
Et les socialistes s’allient au NPA
Oublié Gaza, ya plus rien qui s’y passe
Qu’a fumé Glucksmann pour avoir l’air béat ?
Ils ont quand même fait la photo de famille
Pour sceller l’accord des carpes et des Ruffin
Ya juste un p’tit truc qui un peu me titille
On voit que des blancs sur l’cliché, c’est pas fin

Pas la joie
Au CRIF ils en sont tous malades
Ils peuvent pas
Choisir ou peste, ou choléra
Contre ça
Ya aussi pénurie d’pommade
Pas le choix
Faut faire son Alya
 
Pas la joie
Ils veulent freiner l’immigration
Aux médias, ils veulent sucrer les subventions
Ainsi qu’à la foultitude d’associations
Dont l'trafic nourrit les poissons

Et comme dit Ciotti aux LR : « chauve qui peut ! »
Leur cabine téléphonique coupée en deux
Tandis que Zemmour dit que point trop Knafo
Malgré son papa, Marion n’a pas ce qu’il faut
Et puisqu’ils soutiennent l’abattage rituel
Qu’elle les ait trahis, c’est beaucoup moins cruel
Entre élus du peuple et gens du peuple élu
Scission consommée d’après ce que j’ai lu

Pas la joie,
La gauche veut la guerre en Ukraine
C’était ça
Ou perdre des sous, des places, tout ça
Pas la joie
Si trop de gens votaient RN
Plus d’Attal,
Le Maire, ou Moussah
Pas la joie, ce n’est même plus une élection
Même si joie, ça permet de virer Macron
Mais c’est notre (même si Fabius nous a dit non)
Référendum immigration

mardi 11 juin 2024

Analyse enrhumée (désolé) de la dissolution (11/06/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube :https://youtu.be/AmZGCnpnDIo

Bonjour !

D’ordinaire, les élections, c’est un peu comme s’asseoir sur une bite d’amarrage quand on est assez dilaté pour plaire à Bruno Le Maire : on sait d’avance comment ça va finir pour ceux qui votent. La notion foireuse de démocratie vire à la catastrophe à partir de 50% de cons et (ou) d’égoïstes et (ou) de mal informés au sein de ceux qui se déplacent pour voter et croient encore que choisir parmi des candidats autorisés, présélectionnés pour être compatibles avec le système, peut changer quoi que ce soit. 
 
Le score du « Renoncement National (à toutes ses convictions) » était prévu, de même que le petit chat, probablement castré, du parti animaliste, dépassant à lui tout seul les scores cumulés de ses compagnons d’infortune « fr.exités », démontrant une fois de plus l’ineptie de la méthode Coué de ceux qui confondent vues sur YouTube et électeurs potentiels et qui pensent que (à l’exception de 3, selon Raymond Devos) plusieurs fois rien c’est déjà quelque chose. Cela ne les empêchera pas de continuer les querelles intestines et intestinales sur le thème : « si ma tante en avait eu, elle eût pu être première dame », car ça ne saurait être de leur faute. 
 
Je le répète, le Frexit, pour aussi nécessaire qu’il soit, n’est pas un programme politique, c’est un moyen d’action, comme la dévaluation ou un suppositoire. Il ne vaut qu’en appui d’une vision et  d’un programme audacieux qui répondent clairement à la question : « le Frexit pour quoi faire ? ».
Or, ce qui est supposé rétablir la France d’un coup de « braguette » magique avec l’incantation « article 50 », n’est que du gaullisme béat, réchauffé à la sauce républicaine, dans les limites conceptuelles propres à des énarques formatés, empreints, de surcroît, de la frilosité consensuelle inclusive, consubstantielle à la démocratie suicidaire, de sorte à n’effrayer et n’exclure personne et à proposer de tout changer sans toucher aux avantages acquis, contradictoires et incompatibles des uns et des autres. 
 
Pas vraiment de quoi galvaniser les foules lesquelles ont déjà pléthore de marchands d’eau tiède pour leur vendre qu’un onguent parfumé à la menthe leur évitera l’amputation. Par ailleurs, à une époque où les politiciens sont marketés comme des barils de lessive et sélectionnés sur leur capacité à se faire élire plutôt qu’à gouverner (d’où leur médiocrité croissante), pour toutes les idées qui ne lui plaisent pas, mais qu’il doit faire semblant de tolérer afin de donner une impression de pluralité, le système s’ingénie à ne laisser subsister, à coup de pressions souvent judiciaires ou de dossiers de mœurs, que des erreurs manifestes de casting pour incarner lesdites idées. 
 
Qui dit nationalisme, par exemple, dit virilité, les deux étant quasiment synonymes, ne serait-ce que parce que les nations se sont forgées par la guerre et les rapports de force jusqu’à ce qu’un équilibre soit trouvé et parce que la force et la violence, ou en tout cas leur potentialité, sont nécessaires pour préserver et garantir la continuité du peuple historique fruit de cet équilibre, sans reconnaissance duquel, y compris sur des bases ethniques, il n’y a plus de nation et tous les sacrifices passés auront été vains. 
 
Comment se fait-il, que sur 68 millions d’habitants, les partis dits nationalistes ou souverainistes se retrouvent toujours avec, à leur tête, des leaders qui sont à l’opposé de ladite virilité soit qu’ils se fassent artisanalement déconstiper ou fantasment de l’être (quand ce ne sont pas des femmes) ou sinon, qui sont, jusqu’au gag zemmourien, aux antipodes du peuple historique de par leurs origines. Non que cela soit forcément rédhibitoire, à titre exceptionnel (les qualités « propres » des individus ne se résumant pas à leur élasticité anale, leur taux de mélanine, leur absence de prépuce ou leurs ovaires), mais le caractère quasi systématique (quand on creuse un peu) ainsi que l’improbabilité statistique ont de quoi interroger. 
 
Je ne fonde donc pas de grands espoirs dans le RN, qui, s’il avait un peu plus de bouteille, serait un peu la cage aux fioles, et si certains pourront se réjouir que les gesticulations hystériques de Macron qui a lui-même fait de ces élections un enjeu national, sautant de chrysanthèmes mémoriels en « crises en thèmes » internationaux, de même que son braquage télévisuel de dernière minute, n’auront pas empêché la débâcle face au RN, on peut se demander si ce n’était pas calculé. Je dois admettre, en toute humilité, ne pas avoir vu venir le coup de la dissolution. 
 
On peut tout de suite éliminer l’hypothèse du dilemme moral, du respect des institutions ou du souci de l’intérêt général, on parle quand même d’Emmanuel Macron. D’ailleurs, dans ce cas, il aurait carrément démissionné, chose qu’il ne fera pas, car notre Manu « militari » a encore une guerre contre la Russie à déclencher, la Nouvelle-Calédonie à brader avec un 8e mort dans le silence médiatique et encore plein de nouvelles taxes à inventer comme les cartes Pokémon désormais exclues des exemptions en tant qu’objets de collection pour la revente, au cas où les smicards, dont le nombre a presque doublé depuis 2017, passant de 10,5 % à 17,3, voudraient revendre les leurs pour payer leur essence à 2€ le litre en attendant l’explosion du prix du gaz dès le premier juillet.
 
Son calcul est donc simple. Option 1 : par une onde de choc, il arrive à faire peur à ceux qui ont voté RN, mais sans vraiment vouloir aller jusqu’à le porter au pouvoir. Cela risque d’être compliqué, car après 7 ans de lui, la menace du pire, c’est un peu comme si la peste essayait d’effrayer avec la gastro-entérite, même si cela pourrait suffire à mobiliser massivement un électorat allogène peu consommateur de papier toilette et jusqu’ici peu concerné, s’il pense que la manne de la CAF, seul édifice qui ne brûle jamais durant les émeutes, pourrait se tarir. Il pourrait ainsi rassembler une coalition hétéroclite, incapable, par idéologie, de gouverner avec le RN et qui, sans Macron pour les lier, n’aurait d’autre choix qu’une nouvelle dissolution interdite avant encore un an. Il aurait alors tout loisir de continuer à faire du 49.3 jusqu’à la fin de son mandat sans qu’on puisse lui opposer son manque de légitimité ou alors, en cas de difficultés, de se poser en fédérateur face au chaos ambiant ingouvernable.
 
Option 2 : l’option 1 échoue et il pourra tranquillement laisser d’autres se dépatouiller des situations inextricables dans lesquelles il nous a fourrés, et, dans l’hypothèse peu probable où le RN serait majoritaire, compter sur les engeances du pouvoir profond que sont le conseil Constitutionnel et autres instances malfaisantes, pour empêcher toute action significative, de sorte que les gars de la Marine, tant à voile qu’à vapeur, se brûlent les ailes et soient totalement décrédibilisés pour 2027.
 
Pour autant, les étoiles semblent s’aligner puisque, sentant confusément que c’est leur survie qui est en jeu, les peuples européens sont en train de bouger modérément (un quart seulement du nouveau parlement est constitué de nationalistes), mais suffisamment pour, dans un contexte international favorable et devant la perspective inquiétante d’une troisième guerre mondiale, donner une légitimité audit RN qui sera moins vulnérable aux blocages et manifestations des bébés castors, à queue et encéphalogramme plats, lesquelles ont déjà commencé, de peur que si, d’aventure, le parti à la flamme (ou à la flemme selon les points de vue) réussissait à améliorer la situation ou même simplement ne faisait pas résonner les bottes sur le pavé comme annoncé, tout leur fonds de commerce « antifasciste » s’effondre de sorte qu’il ne leur resterait plus que le wokisme comme argument de vente.
 
Par ailleurs, autre aspect positif, pour la plèbe que nous sommes, ledit RN est condamné à des résultats rapides en dépit d’une situation inextricable, s’il ne veut pas, non seulement obérer ses chances pour 2027, mais carrément se faire lyncher, car, le dernier espoir électoral une fois décrédibilisé, les gens se décideront peut-être à enfin sortir les fourches, réalisant que l’élection, moyen frileux de protester, entre un plat de frites et Hanouna, sans verser le sang et se mettre directement en danger, a pour conséquence, au bout du compte, l’invasion migratoire par des gens qui, eux, ne respectent que la force et donc, l’explosion de la violence puisque, face à des moutons, c’est open-bar. Ainsi le sang oligarchique épargné d’un côté est simplement versé de l’autre en sang gaulois (et pas que), y compris par la république elle-même, ce qu’on appelle la démocratie (par nature lente et inefficace) n’étant qu’un système provisoire d’administration de l’opulence jeté aux orties, par ceux-là mêmes qui la promeuvent, dès que le moindre problème sérieux (réel ou imaginaire) se fait jour : guerre, pandémie, crise économique, urticaire météorologique…
 
Je ne donc suis pas certain que Marine le Pen, dont l’agenda et l'horloge biologique entrent mécaniquement en conflit avec ceux de Bardella qui, lui, a intérêt à être Premier ministre rapidement, veuille dudit pouvoir. En tout cas pas pour si peu de temps et dans de telles conditions. Mais Macron, tordu et conscient du bluff, a demandé à voir, sa paire de... deux, tout en sachant que son électorat ne comprendrait pas qu’elle refuse. Comme il est déjà peu probable que le RN devienne majoritaire, un premier sondage lui accordant au maximum 265 sièges, ne serait-ce qu’à cause des villes grand-remplacées où, visiblement, les bobos n’ont pas encore pris assez de coups de couteau pour prendre la mesure de la situation, elle a juste à laisser faire et à effaroucher, par sécurité, quelques chalands par une alliance avec les thuriféraires d’abattage rituel de reconquête (sauf alliance improbable avec les LR pour équilibrer) de sorte à rester de justesse (ah, mince alors !) dans l’opposition, ce qui serait pour elle la situation la plus confortable. L’avenir nous le dira, car parfois les dynamiques sont dures à arrêter.
 
De son côté, la France Insoumise, misant intelligemment, autant que cyniquement, sur la démographie de remplacement, a fait mieux que prévu et n’a aucun intérêt à s’allier avec le feu de paille belliciste et pro sioniste Gluksmannien ou les écologistes wokes en perdition qui, après avoir failli ne pas avoir de représentants dans l’hémicycle européen, sont incapables d’avoir des députés sous leurs seules couleurs, ce qui pourrait se traduire par une hécatombe, le départ de Sandrine Rousseau privant, hélas, les humoristes de 50% de leur matériel.
 
Reste les traîtres LR, encore accrochés à leur maillage local qui s’effrite et qui, de par leurs compromissions et pour avoir loupé plusieurs occasions de provoquer eux-mêmes une dissolution en soutenant une motion de censure, ont manqué le coche et essaient désespérément de faire croire qu’ils ne s’allieront pas au meilleur offrant en postes juteux, sitôt les élections passées.
 
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