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dimanche 29 juin 2025

Légion du déshonneur, Mélenchon vs langue française, CAF et Cupidon, traîtres LR… (29/06/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/ifwru0f8miM

Bonjour !
Selon un certain humoriste visionnaire, la Légion d’honneur ne serait qu’un fion de castor, ce qui n’est guère éloigné du fion Marianne, si l’on considère celle remise à la très pèse-personnophobe Marlène Schiappa. Dans un autre continuum espace-temps, dans lequel elle aurait plutôt eu droit à une tenue à rayures amincissante, taille XL, au fond (toujours pas Marianne) d’un cul de basse fosse, on utilisait l’infâme expression « parler le petit nègre » pour qualifier tout sabir attentatoire à la syntaxe et je n’ose subodorer que c’est à cette locution que fait allusion Mélenchon quand il dit qu’il faut trouver un autre mot plus adéquat pour désigner la langue française, au prétexte qu’à force d’enrichissement culturel par voie rectale, elle n’appartient plus aux chômeurs blancs privilégiés. 
 
C’est d’autant plus urgent et nécessaire que le Français de souche n’existe pas, comme le confirme Sandrine Rousseau, visiblement lassée de son homme déconstruit, dans un discours enflammé contre une proposition de loi de Ciotti, qui semble l’inquiéter au plus haut point, visant à contrarier les amours exotiques et enfiévrées (et les mariages brefs, mais intenses, conséquents) entre de romantiques aspirants à la carte de séjour à la fleur de l’âge qui sentent bon le sable chaud et les irrésistibles rombières ménopausées à forte odeur de CAF aux charmes desquelles ils succombent, comme une nuée mouches à spécialisation péjorative.

C’est d’autant plus nécessaire que grâce à la trahison des LR, les députés ont voté, le 24 juin, la fin des titres de séjour territorialisés à Mayotte, ouvrant la voie à la libre circulation, dès 2030, vers l’hexagone, d’autant de Roméos alphas (et non l’inverse, indice carbone oblige). D’ici là, le candidat LFI à la Mairie de Toulouse qui, sans pour autant s’exclure lui-même, selon des sources internes : « ne veut pas de babtous en tête de sa liste », devra prendre son mal en patience. 

Nous vivons dans un monde où même les couteaux sont racistes, les 3 trouvés, lors d’un contrôle « inopi…nel », dans le cartable d’un garçon de 8 ans, aux origines ne méritant pas visiblement que les médias s’y intéressent, et qui avait pour but de tuer sa maîtresse (au sens non macronien du terme, du moins on l’espère) s’avérant finalement sans danger pour les autochtones puisqu’à bouts ronds, donc à « beur ». 
 
Quant à ceux utilisés pour égorger des animaux sans anesthésie pendant qu’un individu circoncis raconte des salades en arabe ou en hébreu (deux faces d’une même pièce), ils sont visiblement contaminés au point de causer la mort dans l’Aisne et probablement aussi dans l’intestin, d’une enfant de 11 ans et d’en laisser de nombreux autres dans un état grave, sans qu’il soit question d’interdire la pratique, seule façon pourtant d’éviter à coup sûr que, pour des raisons purement mercantiles, le surplus soit écoulé comme viande classique sans que le consommateur en soit informé, les amateurs de chair rituelle, peut-être au vu de ce que certains font, selon la rumeur, aux parties arrières dans le désert, consommant essentiellement les parties avant.

Alors que les dernières statistiques communiquées sur X par l’excellent Marc Vanguard font apparaître qu’en dépit des milliards versés dans ce tonneau des… hémorroïdes, les quartiers dits prioritaires ont la criminalité du Rwanda, un taux de bénéficiaires de la CAF de 70%, un taux d’analphabétisme de 28%, 44% de gens sans diplômes et seulement 43 qui cotisent un tant soit peu pour nos retraites et qu’un nouveau rapport de l’IEP place la France juste avant l’Angola en matière de sécurité, pour assurer une transition paisible vers des lendemains qui chantent, le temps du remplacement complet de population, il manquait un nouveau parti encore plus tiède qu’un flot incontinent issu d’un méat pénien de Première dame pendant un cauchemar nocturne : 
 
« la France humaniste » que propose Villepin (lui-même demi-musulman puisqu’à voile et à vapeur) quand il ne vend pas pour plusieurs fois leur prix à des acheteurs douteux des collections de livres pas si rares, ce qui reste moins grave que de brûler un coran : la justice ayant refusé de libérer jusqu’à son procès, en dépit des tortures qu’il subit en prison, l’homme soupçonné d’avoir commis cet acte ô combien répréhensible devant une mosquée à Villeurbanne, au lieu de se contenter de brûler le Nouveau Testament devant une église, voire l’église tout court, ce qui, gay pride oblige (sauf en Hongrie), lui aurait valu une tapette sur l’épaule et un stage de poney.

On comprend, dans ces conditions, que l’argent se fasse rare pour « Nicolas » nouveau nom générique (tiré, ce me semble, d’une série d’historiettes éducatives sur l’excellent blog « Hashtable »), pour désigner le Français moyen qui travaille dans l’attente d’une retraite qui recule et qui bien qu’il avance… mais je m’égare, tout en espérant ne jamais avoir affaire à des hôpitaux surchargés pour se rendre au chevet de sa fille ou sa grand-mère violée en risquant à tout moment d’être transformé en viande rituelle pour un refus de cigarette, interdite au premier juillet, par le biais d’une incision circulaire au niveau de la gorge. 
 
On apprend donc que, façon Gérard Larcher marchant sur une cacahuète, la dette a pulvérisé un nouveau plafond à 114% du PIB, soit 3 345 milliards d’euros, c’est-à-dire 40,5 milliards de plus, par rapport à la fin de l’année dernière, inclus les 6 milliards que nous ont coûté les Jeux olympiques, soit 3 fois plus que prévu, selon un rapport de la Cour des comptes qui elle-même n’hésite pas à republier pour des milliers d’euros ses propres rapports au simple motif que la photo de Moscovici n’avait pas été suffisamment photoshopée. Une histoire de paille dans l’œil et de poutre dans le …, mais bon, les étrons et autres joyeusetés, flottent désormais dans une eau de la Seine baignable.

Il faut donc que Nicolas (et nous avec) se serre la ceinture, mais pas pour rembourser la dette, ou même pour continuer à entretenir une immigration galopante façon couche d’ozone et, comme on l’a vu, majoritairement inactive et non qualifiée, mais pour fournir de l’argent magique afin que l’UE puisse verser 15 millions d’euros à l’Afrique du Sud pour y favoriser l’inclusivité des vignerons noirs, 360 millions à Bill Gates pour « GAVI » une alliance mondiale pour les vaccins dont les USA ne veulent plus, pour que Macron tout en continuant à financer l’Ukraine, puisse attraper un second poil sur la langue dans quelque endroit stratégique de la large zone pelvienne de Trump en acceptant d’investir 5% du PIB (soit 145 milliards) dans l’OTAN pour acheter des armes… américaines, tandis que le parlement, grâce à encore une trahison des LR, revient sur la suppression des 300 milliards en faveur de l’éolien et que le RN, pas en reste, refuse de freiner ce pillage en règle en votant une motion de censure qui aurait fait sauter Bayrou, façon siège éjectable, comme celui de l’avion de chasse dans lequel il a failli rester coincé au Bourget, empiétant sur le monopole du ridicule, chasse gardée (et qu’on aimerait bien tirer) de notre bien aimé président, contraint d’aller saluer les vainqueurs toulousains du top 14 dans les vestiaires pour éviter d’être affectueusement ovationné par une foule en délire.

Quant à ceux qui s’élèvent au-dessus des turpitudes hexagonales et se demandent plutôt pourquoi la 3e guerre mondiale n’a pas eu lieu, il semblerait qu’Israël, à court de missiles balistiques pour son dôme ferrugineux et voyant que Trump faisait le minimum syndical, s’est vu contraint d’accepter le cesser le feu, que « l’Iran-gina » pas mal secoué, mais qui pouvait désormais infliger des dégâts majeurs a été poussé par la Chine, déjà affectée par les taxes de Trump, à éviter d’aggraver la situation économique mondiale, probablement en échange de la modernisation de son point faible, à savoir sa flotte aérienne et du remplacement du GPS par le système chinois Beidou, tandis qu’il négociait avec la Russie pour déployer un système de défense S400 qu’il avait jusqu’à présent refusé, tout en ayant gagné au passage, officiellement, le parapluie nucléaire du Pakistan et la cohésion patriotique autour du pouvoir de l’ensemble de sa population. 
 
Si on ajoute le fait qu’Israël a brûlé sa cartouche unique basée sur des années d’infiltrations et que les Iraniens sont en train de pendre les têtes de réseau d’espionnage comme des guirlandes de Noël, chaque jour qui passe rendra plus compliquée toute nouvelle agression de ce type qui sera bientôt impossible, faisant de l’état hébreu le grand perdant de l’histoire. Outre le mythe de son invincibilité, il a par ailleurs perdu le support majoritaire du citoyen lambda américain, un nombre croissant le considérant même comme un ennemi des USA, l’interview d’anthologie de Ted Cruz par Tucker Carlson qui lui met le nez dans le caca quand il invoque la bible comme principal motif de son soutien à Israël, ayant enfoncé le dernier clou du cercueil. 
 
Quant à Trump, qui a joué sans filet avec la 3e guerre mondiale, avec la roulette russe chanceuse de ses frappes, il a perdu le soutien d’une partie conséquente de sa base, laquelle a réalisé que, comme ses  prédécesseurs, il était tenu par quelque cadavre dans son placard, le reléguant au rang de petit chien testiculairement ectopique de Netanyahu, de sorte que sa seule marge de manœuvre (qu’à son crédit, il a utilisée) était d’essayer d’aboyer plutôt que de mordre dans l’espoir que son maître ne verrait pas la différence. Même si peu probable, on n’est donc pas totalement à l’abri d’une reprise des hostilités de ce qui n’est qu’un cessez-le-feu, si un Israël suicidaire voulait tenter le tout pour le tout avant que sa fenêtre de tir ne se ferme définitivement.


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dimanche 22 juin 2025

Comment veux-tu que je te canicule, pluie taxée, Salamé au JT, Trump bombarde l’Iran…(22/06/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/IOn5oDbhApU

 Bonjour !

À ma grande honte, cet hiver, telle une Première dame ayant mal ajusté ses prothèses mammaires, j’ai totalement relâché ma vigilance : j’ai oublié, au moins par deux fois, de pisser pendant ma douche froide hebdomadaire et comme j’avais décidément la tête ailleurs, à plusieurs reprises, j’ai même mis au sale un slip encore olfactivement acceptable. Tout cela s’est malheureusement cumulé avec une consommation excessive de cassoulet, conduisant, hélas, au climacide que tout le monde connaît avec des températures tellement élevées que, pour un peu, on se croirait en été. 
 
Un meurtre sans préméditation, mais qui a éclipsé un temps dans les gros titres la guerre Israël – Iran, la déferlante migratoire, l’insécurité galopante et la faillite économique, les médias se focalisant sur le cadavre anormalement chaud. Du coup, j’ai peur que les enquêteurs qui ont déjà relevé de nombreux indices (carbone), même s’ils cherchent encore le mobile qui, comme son nom l’indique, se déplace, peut-être même en diesel, finissent par faire le lien, voire l’éolien, avec moi. 

Bon, après je pourrais toujours essayer de me défausser sur les députés RN et LR lesquels ont voté de justesse ce 19 juin (profitant du fait que, chaleur oblige, nombre de leurs collègues avaient piscine) un moratoire pour suspendre ledit éolien et autres rentes de situation photovoltaïques consistant à produire de l’énergie au prix fort quand on n’en a pas besoin et à être indemnisé quand on n’en produit pas, un jackpot du loto quotidien subventionné par nos factures d’électricité. 
 
Sans vouloir être pessimiste, je doute que l’incidence sur le réchauffement ait, de toute façon, été en mesure de compenser ne serait-ce qu’une journée d’échanges d’amabilités russo-ukrainiennes ou israélo-iraniennes en sus de mon slip lavé trop tôt. Mais cela n’empêche pas, avec une opiniâtreté qui force l’admiration, la machine à produire des contraintes de considérer, au bord de la 3e guerre mondiale, qu’il est urgent de mettre en place une déclaration obligatoire, à compter 6 août, dans certaines conditions, des récupérateurs d’eau de pluie de plus de 500 litres, seule marge de taxation restante avec, en sus du C02, l’oxygène que nous respirons gratuitement sans aucun égard pour la planète. Il faut dire que la vie, à l’instar du cacao cru, sans « R », c’est de suite moins ragoûtant… si je peux me permettre littéralement le contraire d’une contrepèterie sinon mal tournée, qui aurait mal tourné.

Sans rapport aucun, histoire de se mettre au frais, Emmanuel Macron, pourtant première éolienne de France, est, lui, allé brasser du vent au Groenland pour tenter de se faire applaudir par les manchots, ce qui relève certes de la gageure, mais moins que de se faire applaudir par les Français dont quasiment aucun n’a écouté son allocution télévisée de 40 minutes sur le conflit au Moyen-Orient. 
 
Une audience largement battue par CNEWS et le très « faux-cul » De Villiers qui, faute d’autres explications à son fanatisme pro-israélien pas très catholique, fait qu’on est fondés à se remémorer que sous Louis XIV, notamment, il était courant pour les nobles en situation financière délicate de « fumer leur terre », expression désignant ceux qui convolent en escadrille (comme aurait dit Chirac), avec de riches héritières majoritairement issues d’une certaine communauté, faisant que, s’ils ont gardé la particule, en dépit du grand nettoyage nobiliaire de 1666, on leur a peut-être coupé autre chose. 
 
Pour en revenir à Macron, s’en sont suivis les yeux au ciel révélateurs de Meloni au G7 et Trump qui, soulignant que le baffé farineux se trompe tout le temps, l’a dépeint comme le clown qu’il est. Mais qui compte encore les humiliations internationales ?

Pour rester dans les éoliennes, on a appris que la future responsable de la propagande du 20h sur France2 n’est personne d’autre que Léa Salamé… profond pour le coup. Il faut dire que la dame a les dents longues et que, outre le conflit d’intérêts flagrant, Glucksman risque en permanence une seconde circoncision, la belle ayant quand même un faux air de fille naturelle du fameux cheval qui jadis courrait sur la couche d’ozone, avant qu’on ne bifurque vers le CO2. 

Toujours dans la même veine mesurable à l’anémomètre, j’ai failli oublier Bruno Retailleau qui lui est déjà sur les présidentielles avec une campagne d’affichage au slogan : « La France des pauvres couillons » ou quelque chose du genre, en prenant soin de placer dans le lot un cuisinier congolais face au mont Saint-Michel, histoire de bien signaler qu’il ne fera rien contre l’immigration non européenne laquelle selon une étude publiée dans le Figaro cette semaine et qui ne tient même pas compte du volet sécuritaire, nous coûte la bagatelle, hors massacre donc, n’en déplaise à Céline, de 3,6 points de PIB par an.

Mais bon, il faut bien compenser la baisse de la natalité sachant qu’à terme, comme cela vient d’être voté ces jours-ci au Royaume-Uni on pourra avorter l’enfant sans limitations, jusqu’à la naissance. Comme, sauf erreur de ma part, la naissance c’est quand tout le corps est sorti, dans l’absolu, si la tête ne nous revient pas, on devrait pouvoir encore dire « finalement, non, avortez-moi tout ça ! ». C’est certes moralement contestable, mais avec le recul, si j’étais une femme et que je voyais sortir la tête de Retailleau, Bayrou ou Macron, j’aimerais avoir l’option. 
 
Comme le progrès, par définition, n’a pas de limite, la prochaine étape sera de considérer que le bébé n’est humain que quand il commence à parler, ce qui ouvrira enfin la porte à l’avortement postnatal, un peu comme ces deux homosexuels, juste un peu en avance sur le calendrier, et jugés cette semaine, toujours au Royaume-Uni, pour avoir violé à mort le petit garçon d’un an qu’ils étaient sur le point d’adopter.

Sinon, concernant le conflit israélo-iranien, tiraillé entre sa base qui, de Tucker Carlson à Candace Owens, était en train de le lâcher et ses allégeances circoncises, Trump, comme au poker, a demandé à voir en tentant un coup d’esbroufe avec des frappes ciblées dont le succès est invérifiable, lui permettant de clamer haut et fort une victoire, indispensable pour redorer un blason largement écorné, tout en espérant que l’Iran ne riposte pas, notamment contre des bases américaines, auquel cas c’est lui qui devra montrer son jeu et choisir entre le déshonneur d’un retour à la niche, comme avec ses « tariffs » contre la Chine, ou l’escalade susceptible (outre l’implosion de son économie si le détroit d’Ormuz est fermé et que le pétrole monte à 300 dollars le baril) de déclencher un Vietnam bis, voire la 3e guerre mondiale.

Beaucoup plus grave, entre, d’un côté, la fameuse doctrine israélienne « Samson » (mais qui pourrait faire du « bruit »), consistant, en cas de menace existentielle, à balancer tous azimuts son stock d’ogives nucléaires officiellement inexistant et, de l’autre, le shadowban des chaînes comme la mienne dont le directeur de YouTube a admis l’existence cette semaine devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur l'impact des réseaux sociaux sur les mineurs, sans votre aide, je ne pourrais peut-être pas atteindre mon objectif des 40 000 abonnés avant la fin du monde. 

Par ailleurs, je m’en voudrais si votre dernière pensée était : « Zut, je ne me suis pas abonné à la mite dans la caverne ! ». Prenez en considération que mon travail, extrêmement chronophage est, par principe, entièrement bénévole et que je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne. Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en cliquant sur tous les trucs en bas et en me faisant un peu de pub à l’occasion. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


dimanche 15 juin 2025

Nosferatanyahu a encore soif, Macron ridicule, PPE3, Trump secoué… (15/06/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/kG_2438GglU

Bonjour !
Je serais moins surpris par la découverte d’ovaires encore intacts datés au carbone 14 dans la chambre nuptiale de l’Élysée que par la moindre réprobation occidentale du vidage constant de vessie, sans guidage préputial, de la bande à Netanyahou sur la plaisanterie qu’on appelle le droit international et qui ne sert qu’à nous faire fermer notre clapet si on a le malheur de vouloir renvoyer dans son pays un enrichisseur culturel multirécidiviste. 
 
Après avoir bombardé à peu près tous les pays autour, transformé gaza en terrain de pétanque et arraisonné dans les eaux internationales la flottille de Greta Thunberg qui, comme certaines pendules arrêtées, de temps en temps donne l’heure juste, Israël se sentant menacé par la monotonie, s’est finalement attaqué à l’Iran avec la complicité du très « pacifiste » Donald Trump qui a reconnu, dans un de ses tweets, qu’il avait sciemment endormi les Iraniens pour faciliter l’opération et au sujet duquel on entend moins ceux qui prétendaient qu’au-delà des apparences il jouait au billard à 3 bandes quadridimensionnel quantique contre Netanyahou, même si, le laisser aller jusqu’au bout de sa folie belliciste est une méthode comme une autre pour l’éliminer …au risque d’une 3e guerre mondiale. 
 
Après une opération d’infiltration en tous points similaire à celle menée en Russie par l’Ukraine (je dis ça, je dis rien), Israël a donc perpétré une attaque tous azimuts contre l’Iran, lequel comme son nom l’indique, quand il prend des coups « iran » et ce, dans un premier temps, sous forme d’un festival pyrotechnique de fin de match en finale du PSG faisant les dégâts minimums syndicaux, afin de calmer son opinion publique sans déclencher une troisième guerre mondiale que lui ne souhaite pas. 
 
Ça aurait pu en rester là, mais désireux de tirer profit de la sidération provoquée par son attaque-surprise et de la réalisation du degré phénoménal d’infiltration de traîtres à tous les niveaux de l’état et du renseignement au point que certains hauts responsables iraniens ont pu être éliminés par des missiles visant précisément leur chambre à coucher, Israël bien qu’ayant déclaré avoir atteint son objectif officiel de détruire pour longtemps les capacités du pays à se doter de l’arme nucléaire, a continué à frapper dans le but d’éliminer également les capacités de défense de l’Iran et, tant qu’à y être, confondant mollah et mollard d’essayer de faire en sorte que le régime se « crashe ». À ce moment-là seulement, l’Iran a envoyé 2 missiles hypersoniques qui ont pénétré le dôme de fer comme dans du beurre et ont commencé à provoquer des dégâts significatifs. 
 
Cela ressemble à du quitte ou double des deux côtés, car si le régime tient et que ses capacités de riposte n’ont pas été détruites, si le conflit se prolonge, face à la perspective de la fermeture du détroit d’Ormuz qui pourrait mettre à mal l’économie mondiale, les soutiens, au moins logistiques, vont affluer vers l’Iran, tandis que les USA déjà au bord de la guerre civile et dont les stocks militaires sont au plus bas ne pourront pas approvisionner Israël très longtemps.

Depuis le début, la faction au pouvoir dans l’état hébreu a le comportement d’un anus surnuméraire greffé à la colle néoprène sur un corps moyen-oriental déjà amplement pourvu, lui aussi, d’un fort indice Cambronne. Pour retarder le rejet inévitable lié à son identification, par des anticorps forcément antisémites et autres globules pourtant pas si blancs, comme étant une protubérance verruqueuse étrangère, chose en partie liée à son attitude méprisante, elle doit augmenter sans cesse les doses d’immunosuppresseurs balistiques fournis par le complexe militaro-industriel américain aux frais des électeurs du palmipède orange. 
 
Pour mémoire, ce confetti territorial de 9 millions d’individus (comparé au 99 de l’Iran), mais à métastases mondiales, disposerait, illégalement, d’au moins 100 ogives nucléaires dont il nous aurait piqué la technologie dans les années 60 grâce à la bienveillance de son tissu de binationaux plus français que vouzémoi, arsenal dont une partie serait pointée carrément sur nous dans l’esprit : « si Israël devait disparaître, le reste du monde devra le suivre ». 
 
Cet aspect éminemment sympathique ne l’empêche pas, avec l’aplomb d’une préface du Code Rousseau par Pierre Palmade, de s’arroger, sans sourciller, le rôle de victime dès que quiconque répond à ses attaques et de se considérer légitime à empêcher l’Iran (par ses propres recherches, lui) d’obtenir la même chose, allant jusqu’à bombarder des installations nucléaires civiles au mépris des conséquences (tout le monde n’ayant pas des montagnes magiques qui protègent des nuages radioactifs) soutenu dans sa croisade par son caniche états-unien à ectopie testiculaire, seul pays au monde ayant démontré qu’il était assez timbré pour utiliser la bombinette, qui plus est sur des populations 100% civiles. Si c’est ça le camp du bien, j’aurais un candidat moustachu à soumettre pour le futur prix Nobel de la paix à titre posthume.
 
Bien que n’ayant aucune sympathie (ni d’ailleurs antipathie) particulière vis-à-vis de l’Iran chiite (un poil de barbe pas rasé plus modéré que l’islam sunnite qu’on importe chez nous en masse), au vu de la paix royale qu’on fiche à la Corée du Nord, on peut comprendre ses motivations et, si l’opération échoue, auquel cas le monde apprendra, probablement dans pas longtemps, car la manœuvre a détruit toute chance d’un accord par voie diplomatique et ne peut que renforcer sa détermination, la réussite d’un essai nucléaire sur son sol, actant la fin du délire expansionniste de fanatiques religieux sionistes qui croient, au plus haut niveau de l’état, qu’une guerre mondiale est nécessaire à l’arrivée de leur Messie (mais si, mais si !) le pays de fous furieux dont, dans ce cas de figure, la réaction consécutive potentielle me fait le plus peur, n’est certainement pas la Perse. 
 
Inutile de dire que Macron dont la dernière prestation télévisée ce mardi 10 juin a oscillé entre le bide et le bidet, pulvérisée par Koh-Lanta, est à fond derrière le droit inaliénable… de l’agresseur à se défendre, toute forme de logique cartésienne étant devenue depuis longtemps transphilosophique et genderfluide, en gros : « je suis (mes maîtres), mais je ne pense pas ».

Ou alors, quand il pense, c’est pour dire que plutôt que d’apprécier, sous le vocable « PPE3 », les 300 milliards de dépenses pour l’éolien qu’il nous concocte et qui se traduiront par un nouveau doublement des prix de l’électricité d’ici à 2035, ceux qui commencent à se sentir passablement concernés par les faits divers qui explosent de façon exponentielle sont juste des lavés du cerveau et ce, le jour où une surveillante de collège a été poignardée devant les gendarmes par un QUENTIN dont on attend toujours les autres prénoms et le patronyme, comme JUSTIN pas vraiment BRIDOU, l’assassin de Lorène à Nantes. 
 
C’est d’ailleurs le seul cas de figure dans lequel les médias insistent sur les prénoms que d’ordinaire ils sont prompts à changer soi-disant pour protéger les mineurs, se gardant de pousser plus loin leurs investigations faisant qu’au lieu de voir la source des problèmes (indépendamment des cas individuels) dans l’incompatibilité DE GROUPE de l’immigration non européenne avec notre consensus social et dans l’influence du multiculturalisme sur des jeunes, y compris de souche, qui privés de repères dans une société de plus en plus vaginocratique, s’identifient à la culture en apparence la plus virile, dans une impunité quasi totale, on a un Bayrou qui propose d’interdire la vente de couteaux aux mineurs comme d’autres voulaient élargir les trottoirs pour lutter contre les viols, plus personne n’osant encore proposer un numéro vert. 
 
Face à ce refus de regarder en face les problèmes et de remonter jusqu’aux causes, certains commencent à se faire justice eux-mêmes, phénomène qui ne peut que s’intensifier en un combat horizontal, sinon inutile, au moins prématuré, sans décapitation verticale préalable, de certaines têtes (au figuré s’entend), la fermeture du robinet et la mise hors d’état de nuire de tous ceux qui prennent un malin plaisir à l’ouvrir devant précéder l’écopage, l’épongeage et la finition à la serpillière.

Quand, comme en Irlande, il subsiste encore, dans les banlieues, des communautés a majorité blanche laissées pour compte par la désindustrialisation, le viol de jeunes filles par 2 Tziganes est encore capable, comme ces derniers jours, de provoquer des réactions collectives épidermiques qui changent des petits nounours et des bougies tricolores d’un peuple français individualisé, mais qui sont lourdement réprimées par les élites en place lesquelles ne se cachent même plus d’être là pour détruire le substrat humain d’origine pour le compte de quelque mystérieux pronom interrogatif et justement pour éviter ce genre de résistance collective. 
 
Des manifestants qui, eux, au moins, n’ont pas besoin d’être payés 50 dollars par jour comme en Californie, les démocrates, sentant la baudruche Trump se dégonfler, essayant par tous les moyens d’enfoncer le clou en mettant le feu partout au prétexte d’arrestations homéopathiques, pour la galerie, d’illégaux mexicains alors que ledit Trump lui-même vante la nécessité de faire des exceptions pour les travailleurs agricoles et de l’hôtellerie qu’il vient d’amnistier en masse, business is business. Ceci dit, lesdits démocrates jouent avec le feu, inconscients du fait que certains états étant déjà à majorité mexicaine, il suffirait d’un référendum pour que le Mexique retrouve ses frontières de 1821 sans envoyer un seul soldat, actant le début d’une dislocation complète des États-Unis qui ne survivraient pas longtemps à la fin du rêve américain.

dimanche 8 juin 2025

Porno bloqué en France, Radars de l’enfer, Adieu fringues à petit prix, Musk énervé… (08/06/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/myaVStPtiA4

Bonjour !

Par je ne sais quelle gymnastique ou classe de Zumba intellectuelle, les crétins à rames qui nous gouvernent, pour ne pas dire « bêtes à rames » s’agissant de Bayrou, ont trouvé pertinent, en plein Aïd ovinophobe, de se réunir en brochette halal autour de lui, ce vendredi 6 juin dans le cadre d’une nouvelle usine à gaz mécaniquement antisémite, même si climatiquement neutre, répondant au doux nom de « Comité Interministériel des villes », pour annoncer encore plus d’argent versé dans le tonneau des danaïdes des quartiers ethniques (dit « populaires » en novlangue). Il convient en effet de consolider les résultats d’années d’aides sociales et de construction d’infrastructures aussi inflammables qu’éphémères qui ont culminé la semaine dernière en une apothéose footballistique bon enfant (si l’on en croit des médias français peu prolixes sur les détails) selon le concept du vivre ensemble et du mourir séparé avec un bilan provisoire de 2 morts, un policier dans un état critique, 200 blessés dont des sapeurs-pompiers, 700 incendies dont 264 véhicules, un nombre encore indéterminé de magasins et de domiciles pillés et une hypertrophie linguale de Bruno Retailleau. 

Certains, aussi tendus sur le sujet qu’un string de Brigitte Macron pendant une gay Pride, préfèrent oublier ces menus incidents pour focaliser sur le véritable danger qui menace la république : l’assassinat, pour des raisons restant à élucider, mais forcément racistes, d’un coiffeur tunisien, par un individu exceptionnellement « non déséquilibré » dont, pour une fois, la presse dévoile : le prénom, le patronyme, le numéro de sécurité sociale, les activités sportives, la couleur du slip, l’arbre généalogique sur 10 générations et la teinte colorimétrique, arguant que « l’extrême droite tue ». Par pudeur, elle oublie de terminer la phrase par, au cas particulier : « des musulmans » devenus synonymes « d’Arabes » terme impropre (au sens figuré) désignant en fait les Maghrébins (toujours en novlangue). Une omission qui, même si c’était vrai (alors que le pourcentage est, statistiquement, anecdotique comparé à la réciproque) est d’autant plus grave par les temps qui courent qu’elle est de nature à influer substantiellement sur le nombre de cacahuètes que certains sont susceptibles d’ingurgiter en écoutant les infos et donc sur le PIB.
 
Sauf à être un gros bourrin, ce que l’on ne peut jamais exclure, la thèse de l’assassinat d’un « rayon de soleil » (dixit la presse, « ange » étant déjà une marque déposée) a priori sans problème, qui, de surcroît, travaillait, et ce, purement par racisme viscéral, semble tirée par les cheveux, encore plus si la victime était un coiffeur… célibataire à chat, ce qui, sans vouloir tomber dans les clichés, ouvre d’autres perspectives.
 
Toujours est-il que, pour financer ceux qui, contrairement à ladite malheureuse victime, attendent, eux, passivement, sans précipitation excessive, d’être sollicités pour payer nos retraites, du fait que les leviers traditionnels contre l’immigration non européenne de masse ont été introduits ailleurs sans lubrifiant et qu’une lecture raciale globale des problèmes est taboue y compris pour la pseudo-droite, l’état, en faillite, grappille où il le peut, les choix restants relevant du cornélien, un peu comme un hindou dont les options de réincarnation se limiteraient à pédophile, cuvette de WC ou conducteur de voiture radar, saloperie infâme dont le nombre va tripler d’ici à la fin de l’année allant de pair avec, grâce à l’IA, la détection de nouvelles infractions comme le non-respect des distances de sécurité, des zones de covoiturage, le franchissement de lignes blanches non poudreuses, et bien sûr, le téléphone ou le non-port de la ceinture, avec, à chaque fois, 3 points en moins et 135€ d’amendes cumulables. 
 
Les fellations au volant ou les retouches maquillage ne sont pas mentionnées, le concept échappant encore à ChatGPT qui est une véritable intelligence artificielle, pas comme Builder.AI, la start-up valorisée à plus d’un milliard de dollars, volatilisée cette semaine après avoir escroqué le marché et Microsoft avec son IA révolutionnaire de programmation consistant en fait en 700 codeurs indiens en mode turban plutôt que turbo, payés avec une fronde, dans un hangar, du fait d’une option de réincarnation à peine meilleure que les trois précédemment citées.

Autre façon de taxer les pauvres, qui ne peuvent déjà plus rouler avec les ZFE que Macron, comme je l’avais annoncé, veut réintroduire en faisant casser le vote par le Conseil constitutionnel, qui ne peuvent plus se loger grâce au DPE dont la Cour des comptes vient de dénoncer les effets désastreux : ils ne pourront désormais plus s’habiller, le Sénat votant ce 10 juin sur la loi anti « fast fashion », c’est-à-dire les vêtements encore abordables (si on a pu acheter ses nouilles en promotion) envoyés directement de Chine par Shein et consorts et qui font une concurrence déloyale aux enseignes françaises… qui se fournissent certes au même endroit, mais en faisant jusqu’à 10 fois la culbute entre le prix d’achat « bridé » (s’agissant de la Chine) et le prix débridé proposé au consommateur final, sur lequel l’état touche sa part juteuse de TVA.

C’est aussi la fin du porno, ce qui ne serait pas, en soi, une mauvaise chose si les sites, plutôt que d’ouvrir la boîte de pandore d’une vérification techniquement débile et supposément anonyme, par un tiers, de l’identité des mineurs avant connexion, rendue obligatoire le 6 juin, n’avaient pas préféré renoncer carrément au marché français, provoquant une explosion prévisible de la vente de VPN, véritable cible des politiques et outil de réinformation de nombreux dissidents qu’ils auront beau jeu d’interdire, dans une deuxième phase, une fois le consentement populaire acquis, au prétexte de la défense desdits mineurs qu’en même temps ils gavent de propagande LGBT dès la maternelle, preuve que ce n’est pas du tout leur motivation, pas plus que les restrictions de liberté diverses, vendues au nom de la lutte contre une pédophilie, qui, bizarrement, n’a jamais été aussi florissante.

Loin de s’arrêter sur sa lancée, avec le sens des priorités qu’on lui connaît, notre docte assemblée nationale vient également de voter à l’unanimité (sauf abstention du Modem) la promotion d’Alfred Dreyfus (avant lequel la France ne s’était jamais excusée de rien et début symbolique de notre soumission anale collective) au rang de général de brigade (« de division » aurait été plus parlant) à titre posthume, probablement dans l’idée qu’il conduise une brigade de walking dead circoncis contre les troupes russes dans le cadre du conflit ukrainien lequel semble escalader rapidement après l’exploit technique de Zelensky qui a détruit, le premier juin, avec des drones planqués sous le toit de chalets en bois montés sur des camions, une quarantaine d’avions russes dans quatre aérodromes militaires stratégiques répartis aux quatre coins de la Russie, sans, cela va de soi, aucune aide du MI6 et de la CIA, conduisant à une riposte vexée poutinienne, chars en tête, sur l’ensemble du territoire ukrainien et renvoyant tout processus de paix aux calendes sodomites, ce qui arrange pas mal de monde. 
 
Outre Dreyfus que, tant qu’une nouvelle loi (qui ne saurait tarder) ne m’y obligera pas, pour un certain nombre de raisons qui justifieraient une vidéo entière, je considère toujours comme potentiellement coupable, il faudra probablement, à terme, si une débâcle n’intervient pas entre-temps, envoyer des troupes vivantes tricolores, non plus bleu, blanc, rouge, mais black, blanc, beur, nouvelles couleurs de la France, sachant qu’une annonce de mobilisation générale aurait potentiellement l’avantage de rendre plus calmes les futures victoires du PSG, de nombreux supporters, bien que faisant allégeance patriotique à la CAF, étant susceptibles, si l’on en croit les micros-trottoirs visibles sur les réseaux, de soudain éprouver une irrépressible nostalgie pour leur pays d’origine. À leur décharge, qui a envie de mourir pour Macron et ses commanditaires.

Prudent, Trump, lui, semble se retirer du merdier, occupé à vendre sur le bon coin sa Tesla, en représailles aux tweets assassins de Musk pas d’accord avec un budget qui a tout d’un pillage en règle et qui, comme je l’avais dit depuis le début, déclare que la raison de la non-diffusion complète des dossiers Epstein est que Trump est dedans ce que, certes, on savait déjà, mais par forcément jusqu’à quelle profondeur. Vu la taille de ses mains, je dirais, pas plus de 12cm. Je pense qu’on pourra également attendre longtemps l’audit de fort Knox. Sauf à y voir une manœuvre concertée pour essayer de sauver Tesla en retour d’ascenseur, devant l’escalade des noms d’oiseaux, la rupture semble consommée entre les deux hommes et certains sites « complotistes » américains qui portaient Trump au pinacle sont en train de retourner progressivement leur veste tandis que d’autres, au contraire, vouent Musk aux gémonies et que, d’une manière générale, le prix des œufs se cumulant à une hausse de 25% de celui des véhicules, conséquence du bluff manqué face à la Chine, sans évolution miraculeuse, à ce stade, les mid-terms risquent de ressembler aux toilettes de Gérard Larcher après une gastroentérite. Au temps (là encore, je me répète et je le déplore) pour ceux qui croient qu’un changement vertueux non violent est encore possible, que ce soit ici ou là-bas, et a fortiori par les urnes.


dimanche 1 juin 2025

Émeutes footbalistiques, Des gnons pour Macron, l’entourloupe ZFE, Lapix euthanasiée… (01/06/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/MjWeEzppqzE

Bonjour !

Le point commun entre la boxe et le foot c’est que ça se termine souvent en « chaos », enrichissement culturel oblige, Macron ayant salué la victoire du PSG en adressant à la population un brin « emeutive » qui cramait tout sur son passage un enthousiaste « Champion, mon frère ! » gardant probablement le « wesh ! » en réserve pour un prochain tweet. À ce « stade », et je ne parle plus de foot, se moquer de Macron c’est comme essayer de mouiller de l’eau ou déposer une chiure de mouche sur une bouse de vache dans une fosse septique, la simple narration des faits dépassant déjà toutes les limites du ridicule.
 
Après l’épisode du mouchoir qui a fait le tour du monde, on a eu droit au tirage de doigt prolongé par Erdogan qui attendait probablement qu’il fasse « prout ! », Tirana, lieu de la rencontre, n’étant pas une Zone à Faible Emission, les fameuses ZFE que les députés des fausses oppositions, se donnant le beau rôle à peu de frais, ont fait semblant de supprimer cette semaine, profitant du vote d’un texte qui n’a rien à voir, tout en sachant que ce procédé que l’on appelle « cavalier législatif » dans le Kamasutra politique, condamne leur amendement (qui par ailleurs va à l’encontre des diktats de l’Union européenne et expose la France à de lourdes amendes) à être traité par le Conseil constitutionnel comme un étron de Gérard Larcher après une soirée cassoulet aux truffes. 
 
Comme jamais deux sans trois, le clown grâce auquel (après que le PIB par habitant italien a dépassé le nôtre) nous sommes relégués officiellement au rang de 10e puissance mondiale, s’est pris un pain en mondovision au Vietnam, évènement derrière lequel l’Élysée a d’abord vu l’IA puis la main de Moscou, alors que c’était clairement celle de Brigitte. Une Brigitte qui selon la presse anglo-saxonne, laquelle a fait appel à des spécialistes de la lecture labiale, lui a alors lâché, en refusant son bras à la sortie de l’avion : « Dégage, espèce de loser ! ». Fin du voyage donc, ou du « travel » pour rester dans les anglicismes, d’autant qu’en avion c’est un « travel » haut. 
 
Pendant ce temps, l’autre ahuri est resté figé comme une Lapix dans la lumière des phares, laquelle furieuse de se faire virer du 20h en chute libre d’Antenne 2, a complètement pété les plombs et a tout commenté en chansons, ce que, personnellement, je vois comme une allusion pernicieuse à Delphine « airs » « notes », la pourfendeuse d’hommes blancs de plus de 50 ans dans le service audiovisuel public, qui vient apparemment d’étendre le concept aux femmes en omettant, errare humanum est, de s’inclure dans la charrette.

En tous les cas, Macron est visiblement un homme battu que sa souffrance rend éligible aux avantages de la nouvelle loi sur l’euthanasie, votée en première lecture ce 27 mai, laquelle me devient, d’un coup, beaucoup plus sympathique étant moi-même un partisan de l’euthanasie ciblée, par guillotine. J’ai toutefois des réserves, principalement liées à ce que, factuellement, tout comme l’avortement, promu par la doublement élue Simone Veil qui, à elle seule, avec la force de succion d’une Aurore Bergé en errance politique, a créé exponentiellement le trou rectal démographique dans lequel s’est engouffrée l’immigration de masse, elle vise mathématiquement les autochtones que ce soit les vieux, majoritairement carencés en mélanine ou les déprimés tout aussi décolorés. Un état auquel prédispose, en effet, l’absence de spiritualité, conséquence de la laïcité en suppositoire à laquelle l’islam, le judaïsme et le catholicisme importé sont imperméables et sans bénéficier de surcroît de cette incapacité des simples d’esprit (qui vivent dans le brouillard du présent dans lequel les conséquences de leurs actes n’existent pas encore) à se projeter dans l’avenir, au demeurant toujours plus sombre.
 
Une angoisse existentielle qui est peut-être ce qui a conduit Joachim Son-Forget, ex-député renaissance, à changer de sexe, puis à pénétrer indûment à l’assemblée le 25 mai, pour voler les robes d’une députée de son ancien parti. Peu de dépressifs en revanche dans les rangs des criminels qui poussent comme des champignons dans un vagin d’instagrammeuse tatouée, tel le meurtrier afghan du jeune Matisse (que tout le monde a déjà oublié) condamné cette semaine à 8 ans de prison dont il fera, au mieux, la moitié et que, grâce à un Badinter à prépuce incidemment évanescent, il n’est plus possible d’éliminer. Il est vrai que sans peuple autochtone gênant, qualifié de « fin de race » par un Mathieu Kassovitz dont je me demande s’il n’aurait pas un léger point commun coïncident qui m’échappe avec les deux panthéonisés sus-cités ainsi qu’avec le créateur de la pilule abortive, le professeur Etienne-Emile Baulieu (né Blum) décédé ce 31 mai, plus de nationalisme et donc moins de peur phobique paranoïaque d’un hypothétique sursaut à fort indice carbone de l’organisme collectif en réaction à des corps étrangers toujours inassimilés après 2000 ans de présence revendiquée. Mais je « digresse », à l’instar de nos racines civilisationnelles qui sont antérieures à la laïcité, au catholicisme et à l’Ancien Testament.

Si je laisse mon humanité au vestiaire, je peux rationnellement comprendre la motivation économique sous-jacente à supprimer en masse des retraités grabataires surnuméraires coûteux pour assurer l’avenir de la jeunesse qui devrait être la préoccupation première de toute société saine, à commencer par le Conseil constitutionnel. Pour autant, si l’argent économisé est simplement jeté dans le puits sans fond de la dette et les poches de la finance internationale afin de pouvoir continuer à emprunter pour verser des aides sociales au flot continu qui se déverse principalement du continent africain, mais pas que, à subventionner les multinationales, à mener grand train et à arroser les copains façon vespasienne à la fête de la bière c’est un peu comme donner volontairement un rein pour en faire de l’engrais organique pour rhododendron. 
 
Par ailleurs, il est à craindre, une fois le nez dans la porte, que la logique économique ne s’arrête pas aux grabataires et aux agonisants incurables, mais s’étende à l’ensemble des « improductifs » réfractaires, suivant la même pente savonneuse, surtout lorsque la savonnette choit, que la dépénalisation de l’homosexualité, projet soutenu incidemment encore par le même Badinter et tout aussi incidemment présenté par Gisèle Halimi à l’époque et qui, craché juré, ne valait pas reconnaissance sociale. Il a pourtant été suivi par le PACS qui, craché, juré, ne serait pas suivi du mariage entre personnes du même sexe, qui craché juré, ne permettrait pas l’adoption, ni la PMA, ni la GPA, la théorie du genre, l’interdiction de décourager la pratique, le LGBT et finalement la pénétration de l’idéologie et plus si affinités, en milieu scolaire… et on peut multiplier les exemples. 
 
Pour autant, se draper derrière la dignité humaine pour s’opposer, par principe, à l’aide à mourir sans avoir assisté de manière répétée au spectacle de ces rangées de légumes baveux contorsionnés, au regard éteint, alignés comme des plantes vertes dans les maisons de retraite et oubliés, sauf par les mouches, devant un téléviseur symbolique inaudible et ne pas avoir eu à subir la vision d’un être cher retrouvé nu au milieu de ses excréments dont il avait consommé une partie et qui, dans un furtif éclair de lucidité, vous supplie de le tuer, me semble un peu léger, pour ne pas dire hypocrite, tout en occultant l’essentiel. Un essentiel qui se résume avant tout à savoir si on peut faire confiance, alors qu’on vient de fêter les 20 ans de la trahison référendaire de 2005, à la « république » et son assemblée de branquignols pour décider qui doit mourir ou non et je pense que sur ce point-là au moins, nous serons nombreux à tomber d’accord.

Il y a assez de disputes comme cela en ce bas monde, car outre le tandem Macron / Brigitte, Trump s’est fâché avec Poutine en réalisant que, comme pourtant clairement annoncé depuis le début des hostilités, celui-ci, légèrement indisposé après 2 tentatives d’assassinat qui expliquent les représailles massives de ces derniers jours, ne fera pas la paix tant que tout risque futur d’une réactivation de l’Ukraine par l’OTAN ne sera pas écarté, ce qui suppose ce que cela suppose pour qui comprend le russe même traduit en français.

Comme si cela ne suffisait pas, voilà que, comme dans l’album éponyme d’Astérix, la « zizanie » s’installe quand le Barde est là au RN et que, passant de Dalida à Tino Rossi, Marinella aussi, laquelle préfère risquer un an et demi d’incertitude judiciaire capable d’impacter les chances de son parti plutôt que de laisser la place. Une querelle sur fond de compétence géographique sur les territoires ultra-marins qui semblent les passionner davantage que le péquin moyen de France métropolitaine à qui l’état, à défaut de gérer le « sentiment » d’insécurité, va désormais interdire de fumer sur les plages « bordant des eaux de baignade ». Il faudra donc fumer dans les eaux de baignade bordant les plages bordant des eaux de baignade ou en pédalo pour éviter les 135€ d’amende.


dimanche 25 mai 2025

Les milliards perdus de la CAF, Ersilia Soudais sexlife, Jinnytty agressée… (25/05/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/lbq9zyqqR68

Bonjour !
L’argent est décidément beaucoup trop liquide si l’on considère les 6 milliards passés, selon la Cour des comptes, à travers la passoire de la branche famille de la CAF avant de s’évaporer sans laisser de traces en raison du réchauffement climatique. Outre le fait qu’appeler ça une branche à quand même une connotation raciste envers ceux qui y sont accrochés, il est choquant que, tel Tarzan, le gouvernement s’en balance (de branche en branche) et continue à nous réclamer toujours plus de sous comme si de rien n’était en ignorant les avertissements du FMI et de la BCE qui débattent déjà sur qui aura la prévalence pour mettre la France sous tutelle en 2026, évitant la faillite au prix de coupes sociales qui feront passer ce qu’a connu la Grèce en 2009 pour une sodomie avec micropénis dans un tonneau de vaseline, atteignant la violence d’une altercation d’Omar Sy avec un contrôleur SNCF.

Conscient du problème de fluidité, dans la série « j’interdis l’essence pour diminuer les refus d’obtempérer » et « je supprime les poches pour lutter contre les pickpockets » Gérald Darmanin (porte quoi) propose de supprimer l’argent liquide pour lutter contre le trafic de drogue (et pas du tout pour pouvoir taxer les étrennes et aides diverses que vous pourriez donner à vos enfants et petits-enfants). Il est vrai qu’il serait totalement inhumain, voire raciste (ou anticoléoptère selon le niveau auquel on s’attaque) de plutôt supprimer les trafiquants, tout autant que préjudiciable pour le PIB de légaliser la chose, même avec une TVA adaptée, la vente de cocaïne au supermarché au rayon farine pouvant provoquer des confusions et le sniffage accidentel de véritable farine des présidentielles anticipées. 
 
Comme généralement on trafique ce qui est cher, car interdit ou surtaxé, et que grâce à la loi « fin de vie » le trafic d’organes va en prendre un coup (à l’exception des testicules pour politiciens, toujours en pénurie), j’appréhende le jour où, faute de débouchés, la prostitution des mineures devenant monotone à la longue, on verra surgir un trafic de bon sens, sous forme d’implants dans le cerveau qu’on paiera avec des pots de pâte à tartiner « El Mordjene » dont un gros chargement a été saisi par les douanes.

Tout cela est d’autant plus hypocrite que les drogues légales ne manquent pas, de Netflix au Nutella, et qu’elles ne sont pas la cause, mais la conséquence de la dégénérescence morale, intellectuelle, physique et cognitive générale, sans laquelle Sandrine Rousseau serait à la cuisine… préalablement capitonnée. Force est de constater que, même sans immigration, le substrat adipeux qui reste, dont le sentiment d’appartenance a été rongé par la « diversité », et qui s’est réfugié dans l’individualisme égoïste, lequel rend impossible tout projet commun, principal client des trafics en tous genres, erre sans but ni transcendance, guidé par son estomac de plus en plus vide et la quête de son prochain shoot de dopamine.
 
On peut, dès lors, craindre le pire, le jour prochain où l’intelligence artificielle qui s’expurgera immanquablement, de par sa nature même, de toutes les barrières illogiques et biais de raisonnement qu’on tentera de lui imposer pour lui faire croire que des cheveux roses transforment un individu en coléoptère genderfluide, devra se poser objectivement la question de notre raison d’être.

D’autant qu’elle tombera inévitablement sur la vidéo d’Amélie de Montchalin en train de manger ses crottes de nez en séance à l’assemblée, soulevant la question de savoir ce qu’elle peut bien avaler d’autre, l’immonde stéréotype machiste sur les femmes à lunettes étant encore particulièrement vivace. Sans compter les confidences d’Ersilia Soudais, apparemment contrainte par son ex-compagnon, craignant les trichobézoards, de périlleusement se raser sans visibilité sous la ceinture et de participer à des parties beaucoup plus fines qu’elle. La question reste en suspens (s’épile ou face) de savoir si elle y aura rencontré Raquel Garrido, autre habituée de ce genre d’échange, accumulation qui, pour quelque raison que j’ignore, me fait désormais penser à un parapluie. L’image mentale involontaire étant déjà en l’état, de nature à défavorablement et durablement affecter ma libido, j’appréhende l’adjonction (jamais deux LFI sans trois) de Mathilde Panot, pour l’instant épargnée, au tableau, lequel aurait pu inspirer Rubens et changer l’orthographe du titre de son œuvre la plus célèbre sans altérer sa prononciation. 

À l’opposé, dans la catégorie poids mouche coprophage, on trouve Bruno Retailleau, nouveau chef élu de la cabine téléphonique LR, passé devant Édouard Phillipe dans les sondages rectaux et qui, tout en prenant garde de ne pas évoquer les corps étrangers « QUI » (pensée pour le général Delawarde) règnent déjà sans partage sur la sphère politico-médiatique, profitant que Macron était occupé à interférer dans les élections roumaines, a fait fuiter un rapport sur l’entrisme des Frères musulmans compromettant pour le président… tout en nommant (LR un jour, LR toujours) comme secrétaire adjoint de son propre parti, un dhimmi notoire dans lequel ledit entrisme est déjà profond, sans avoir besoin d'épiloguer sur les points d’entrée spécifiques.

Il ne faudra peut-être pas trop compter sur le tourisme pour remonter la pente puisque la Coréenne Jinnytty, une des streameuse les plus suivies au monde, au cours de son périple pour faire découvrir la France a été agressée en direct à Toulouse, a subi une tentative de vol de son vélo à Aix-en-Provence et, toujours en direct, a été victime d’un exhibitionniste à Nice, à chaque fois, coïncidence malheureuse, par des supporters anglais avec un faux air de Kevin et Matéo. La teneur des milliers de commentaires en Coréen, Japonais et autres ne présage pas particulièrement d’une arrivée massive de capitaux, et ce n’est pas un festival de Cannes à faible indice carbone en raison du sabotage du réseau électrique qui va relever l’image avec, en outre, une palme plaquée or, revendiquée comme politique et attribuée à un obscur film iranien.

Encore plus inquiétant que la France, les USA (dont l’agence Moodys vient de dégrader la note) sont en voie d’adoption d’un budget qui va doubler un endettement, déjà dilaté au-delà de l’imagination la plus folle de Bruno Le Maire, pour financer des réductions d’impôts massives que Trump, après l’échec relatif du DOGE de Musk et s’être ramassé face à la Chine, imagine pouvoir compenser en pillant ses vassaux avec de nouvelles pressions sur l’Europe. Oubliant que les usines robotisées ne créent pas d’emploi, il espère ainsi attirer des investisseurs et réindustrialiser alors que l’innovation technologique est déjà ailleurs et que, face à ses retournements imprévisibles, les bons du trésor américain ne trouvent plus preneur, forçant la FED à activer la planche à billets pour financer la dette, accélérant encore la chute du dollar qui s’ajoute aux taxes pour faire monter les prix pour le consommateur américain. 
 
En parallèle, n’en déplaise à ses thuriféraires, aucune des personnes qui auraient dû y être n’est encore en prison, les déclassifications complètes de dossiers annoncés se font attendre, l’audit de Fort Knox aussi, la paix en Ukraine n’est toujours pas en vue et le génocide des Palestiniens s’accélère allègrement avec une nouvelle entrée dans le Guinness des records, l’armée la plus morale du monde, qui continue à recevoir armes et financements américains, ayant tué, dans leur maison, 9 des 10 enfants d’un couple de médecins, laissant le 10e dans un état critique, le plus jeune de ces immondes terroristes ayant 7 mois et le plus âgé 12 ans. En revanche, Trump et sa famille se sont considérablement enrichis depuis son entrée en fonction. Au temps pour ceux qui auront cru qu’un milliardaire, indépendamment, par ailleurs, de sa bonne volonté, allait scier la branche sur laquelle il était assis en étant vraiment antisystème.


 

dimanche 18 mai 2025

ZUT, j’ai loupé Macron et l’Eurovision ! Résumé de la semaine (18/05/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/9FL5W5lUMtw

 

Bonjour !
Si, du fait d’une longue mithridatisation, je peux désormais, sans souci, reprendre des cacahouètes à chaque fois qu’une énième dinde label rouge est confrontée au principe de la sélection naturelle en conclusion de sa romance avec un Roméo d’importation, il semblerait que j’aie, en revanche, une allergie aiguë très spécifique aux menteurs compulsifs homosexuels cocaïnomanes psychopathes mariés à des travelos et bien que tout cela n’ait aucun rapport avec notre bien aimé président, pour une raison que j’ignore, mon médecin m’a vivement déconseillé de l’écouter pendant 3h et demie en prime time sur TF1 sans un auto-injecteur d'épinéphrine sous la main. Faute de ce dispositif, à ma grande honte, j’ai donc failli à mon devoir envers ceux qui me suivent et potentiellement les 65 millions de Français qui ont boudé ce moment historique, prenant le risque énorme, si pour une fois, il avait parlé pour dire quelque chose, de passer à côté de toutes les solutions concrètes qu’il aurait concoctées pour remettre notre pays sur des rails qui ne se sniffent pas.
 
 J’ai mal dormi en me disant qu’il avait peut-être parlé du procès en appel de Natacha Rey contre son épouse à grands pieds et a volumétrie mammaire variable, procès dont le délibéré est attendu pour juillet, ou encore de la raison pour laquelle, si l’on fait fi des chemises à fleurs et du fait qu’il parle avec des anges gardiens, ses services ont carrément envoyé le GIGN, en pleine nuit, pour tenter de faire interner Pierre Jovanovic, et que j’aurais manqué un scoop.

J’ai toutefois été rassuré le lendemain en écoutant, sur une matinale, ce qu’en avait pensé Jean-Philippe Tanguy, du RN, l’homme qui a vu plus de « que » qu’un texte au subjonctif et appelait, il y a quelques jours, à la dissolution d’un groupe ostensiblement moins émoustillé que lui par les pronoms relatifs, visiblement carencé en mélanine républicaine et coupable d’avoir osé défiler, en bon ordre, sans rien casser, avec des croix celtiques. Une attitude qui ouvrira peut-être les yeux de ceux qui croient encore qu’il subsiste quelques atomes de la colonne vertébrale de feu le Front National dans le « fondement » du Renoncement National qui certes nous délivre du « mâle », mais depuis son virage pro-Israël, nous soumet aux « tentations », ce qui, indépendamment de comment on l’écrit, n’est pas très catholique.
 
Cela n’empêche qu’il a fait un « sans fiotte » dans son analyse de la prestation présidentielle, bizarrement à l’unisson de toute la presse mainstream qui admet unanimement que le prestidigitateur qui fait disparaître des mouchoirs dans les trains durant des soirées pyjama entre potes, très mauvais, s’est, sur ce coup-ci, retrouvé dans la position du détenu atteint d’une sciatique en ramassant le savon sous la douche dans une prison fédérale américaine, position d’autant plus gênante que s’il « le ramasse » c’est antisémite. Il a été, peu ou « prout », malmené par tous ses contradicteurs et les 3 heures de bla-bla ont, au final, accouché d’une souris anémique apte à pouvoir bénéficier de la prochaine loi d’élimination des chômeurs dépressifs et des retraités surnuméraires, pudiquement surnommée « fin de vie », seule possibilité de référendum envisagée, et encore, si patinage parlementaire seulement.

Visiblement le roi est nu, le problème est qu’il est exhibitionniste de sorte que si on ne le met pas dehors (66% des Français estimant selon le sondage qu’on lui a mis dans les dents durant l’émission qu’il est un mauvais président) il va continuer à se comporter comme un termite sous amphétamines. Le droit d’élire ses maîtres qu’on appelle « démocratie » étant, d’évidence, une escroquerie, le malheur, quand on voit se profiler à l’horizon le rejeton à rejeter de Sarkozy lequel, youpi a toujours sa Rolex, mais plus son bracelet, c’est qu’aussi incroyable que cela puisse paraître, le suivant sera peut-être encore pire. Il n’est qu’à voir le naufrage du Brexit au Royaume-Uni (lequel revient quasiment dans l’UE par la fenêtre avec les derniers accords qu’il a signés) pour comprendre que sans un ménage préalable à la Pol Pot (comme quoi, il y a des leçons à tirer même du communisme) aucun changement n’est possible démocratiquement dans un pays de castors qu’on prive par ailleurs, à leur décharge, de toute candidature non adoubée par le système.

La gangrène a beau être avancée, nous n’avons face à nous que des bonimenteurs qui jouent sur la peur de l’amputation (pourtant rendue nécessaire, sous peine de mort pour avoir trop attendu) pour vendre leur pommade parfumée à la menthe qui au mieux camouflera l’odeur des chairs nécrosées jusqu’aux prochaines élections devenues leur horizon indépassable. Cela inclut ceux qui nous vendent qu’une fois récupéré le gouvernail d’un rafiot vermoulu qui prend l’eau au milieu de l’océan, c’est sûr, ils vont faire mieux que les autres, en douceur, par la magie d’un bulletin de vote, en préservant les avantages acquis des papillons attirés par leur lumière. Le Frexit n’est pas le Saint-Graal, juste un outil, trop souvent présenté (logique démocratique oblige) comme un préalable afin de mettre sous le tapis que le problème est moins le gouvernail que la structure de la coque, l’identité, gros tabou, étant devenue trompeusement « ethnofluide » et non binaire sur tout le spectre politique.
 
La perspective de la scie égoïne faisant automatiquement perdre des voix, on nage dans l’eau tiède à colorimétrie suspecte faisant que, par exemple, monte la petite musique selon laquelle on pourrait louer des places de prison à l’étranger plutôt que d’éliminer physiquement les criminels, ce qui, à ce stade, est la seule solution pour ne pas devenir un narco état. Idem pour tous ceux qui pénètrent non invités sur notre territoire. Des mesures d’urgence, testées avec succès ailleurs, mais inenvisageables en pseudo « démocratie » alors qu’elles résoudraient pourtant la partie la plus grave de la problématique en quelques semaines et que toute intelligence artificielle non bridée les édicterait comme une évidence logique.

Se suicider individuellement au nom de ses principes, pourquoi pas, mais suicider collectivement en même temps nos enfants qui n’ont rien demandé tout en crachant sur la tombe de tous ceux qui ont sué sang et eau, sans s’embarrasser, eux, de moraline rectale, pour que nous ayons un avenir meilleur, contrevient, à mon humble avis, à ces mêmes principes. Surtout quand ledit suicide est socialement imposé à tous faisant, par exemple, qu’un contrôleur du métro toulousain qui en 2022 avait neutralisé un agresseur armé d’un couteau, puis, quelques temps plus tard, un autre muni d’une machette, vient d’être suspendu pour (dangereux récidiviste) s’être défendu une nouvelle fois face à un usager violent plutôt que de donner une occasion à Retailleau de condamner encore plus fermement que d’habitude, à Mélenchon d’excuser le coupable et à sa veuve d’organiser une marche blanche contre la haine avec de jolis petits nounours et des bougies parfumées à la noix de coco bio et écoresponsable. Je ne sais pas si c’est l’écœurement, mais je sens les frites d’avant-hier qui remontent. 

Sur ma lancée, je n’ai pas regardé non plus l’eurovision, boudé par autant de monde que Macron, ce qui nous laisse une petite étincelle d’optimisme quant à l’avenir de l’humanité, mais j’ai ouï dire que Louane, mal inspirée d’avoir apporté du sable a fini enlisée dans le classement, tandis que la victoire revenait à l’Autriche, pas avec le tube de Kanye West « Heil Hitler », mais après Conchita Wurst, avec un autrichien Philippin (sans barbe cette fois) doté d’une remarquable voix de castrat, toute trace de virilité se devant d’être expiatoirement éradiquée. Las, chassez le naturel, il revient au galop et le seul fait d’avoir ravi le podium à Israël porte en lui, sournoisement tapis, quelques relents d’heures sombres, mais moins que de se poser la question géographique de la présence d’un pays passé de la gazophobie à la gazaphobie à l’Eurovision.


dimanche 11 mai 2025

Nouvel ASTERIX, nouveau PAPE, même MACRON. Résumé de la semaine (11/05/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/JWRvxMqRgGk

Bonjour !
Ça y est, habemus Papam, voire papam cucul, Léon HIV, pardon XIV, euh… 14 étant encore plus immigra-sioniste que le précédent qui était pourtant allé jusqu’à couler un bronze au milieu de la place Saint-Pierre… avec sa fameuse statue représentant des migrants (dont un à papillotes au premier rang) sans toutefois pousser le zèle jusqu’à transformer la chapelle Sixtine en centre d’accueil, le Vatican ayant, pour mémoire, la politique migratoire la plus répressive d'Europe, législation encore renforcée en 2024.

Les conservateurs se consoleront en se focalisant sur le fait que, pour faire oublier des accusations de soutien à 3 prêtres pédophiles à Chicago (US) et Chiclayo (Pérou, ça ne s’invente pas), il semble moins « ouvert » aux LGBT, en dépit du fait qu’avec un nombre d’années au compteur de « 69 », il pourrait encore être sujet à des accès résiduels de « priapapisme », à l’image d’un Mélenchon qui continue à abuser des beurettes en dépit de son cholestérol avec, à l’issue, quelques crêpages de chignons médiatiques, cette semaine, au sein de son harem haram. Pour ma part, je trouve très bien que l’église réprouve les hommes qui s’habillent en robe, l’autocritique sincère ouvrant les voies du paradis… 
 
Et il est vrai qu’un tour de vis sur les tenues vestimentaires s’imposait depuis que, sans rapport aucun, Brigitte Macron a suscité la polémique pour ne pas porter de mantille aux obsèques papales comme le veut le protocole, probablement en raison des risques d’incendie liés à l’électricité statique de l’acrylique en cas de frottement. Ce qui me rappelle qu’on ne sait toujours pas ce qui a provoqué l’incendie de Notre-Dame…

Toujours est-il que celui qui a choisi de s’appeler Léon plutôt que Pie, preuve que sa prostate ne l’obsède pas encore, étonnamment n’est cardinal que depuis 2023, époque à laquelle certains craignaient un second mandat de Trump et où son prédécesseur se savait malade. Qu’un pape américain ait été élu maintenant, par des cardinaux majoritairement ordonnés, comme lui, par Bergoglio (au point de dépasser le nombre normalement autorisé) n’est donc pas forcément politiquement neutre, laisse peu de doute sur ses orientations (confirmées par ses prises de position antérieures) et sur le fait que la chose ait pu être planifiée à l’avance.

Le côté positif est que Macron a été vexé comme un pou de testicule élyséen surnuméraire qu’on n’ait pas choisi son candidat. Comme à son habitude, il a essayé de détourner l’attention sur lui en déclarant devant les maçons sans brouettes de la Grande Loge de France (depuis la place du vénérable et non de l’orateur, vanité oblige) que ladite France, jadis fille aînée de l’église était, en fait, « la fille naturelle de la République », un rebondissement digne d’une télénovela hispanique. En attendant l’épisode suivant, pour savoir qui est le père (peut-être un transsexuel caché dans les caves de l’Élysée, tout est possible) on est quand même soulagés que, dans les deux cas, l’avortement n’était pas encore constitutionnalisé. 

Oubliés, donc « nos ancêtres les Gaulois », chose qui frise le manque de respect antisémite au moment précis où Alain « shabbat » sort la version animée du « combat des chefs » sur Netflix avec un certain nombre de collègues circoncix au casting, à l’image d’ailleurs, certainement une coïncidence, du créateur Goscinix auquel, qu’il l’ait fait consciemment ou non, on doit plusieurs décennies d’insidieux empoisonnement culturel. 
 
Ce qui peut ressembler à une couche de pommade dans le sens du poil sur l’orgueil franchouillard n’est, en effet, que de la vaseline pour mieux remplacer, dans la représentation du roman national, l’héroïsme gaulois par de la tricherie et de la roublardise, façon David contre Goliath, la fronde devenant la potion magique et l’invincibilité étant l’antithèse du courage. Un support parfait pour vendre les vertus soixante-huitardes du chaos sur l’ordre (ici romain, ridiculisé au passage, en rapport, peut-être, avec la destruction d’un certain temple resté en travers de la gorge de certains) tout en faisant assimiler et s’assimiler les Français de souche à un nabot et un gros con, en mode « Dupont la joie » - les deux vivant, par ailleurs (et accessoirement Toutatis), « suspectement » en quasi-concubinage - avec pour conséquence qu’une fois travaillés au corps, le visuel du tandem Sarkozy - Gérard Larcher n’a posé de problème à personne. 

Netflix n’a pu se refréner de rajouter une touche (pas à mon pote) de féminisme et de genderfluide, tout en se permettant d’augmenter ses tarifs sans aucun service ajouté, ce qui fera que, lorsqu’il crèvera, à l’instant qui arrive à grands pas où l’IA permettra de générer des séries et longs métrages sur mesure à la demande, personne ne versera de larmes. En toute objectivité, Chabat ayant incontestablement du talent, une fois les chakras fermés et l’anus dilaté, quelques passages drôles et de multiples clins d’œil (jusqu’à « Avengers end game ») font passer, entre autres, la pilule transsuppositoire de façon plutôt agréable. 

Heureusement, tout n’est pas perdu puisque dans la pure lignée d’Astérix, il nous reste Brunoretaillix qui veut lutter contre l’envahisseur en imposant une épreuve écrite d’histoire à tout candidat à la nationalité française, là où une épreuve écrite tout court aurait amplement fait le job éliminatoire. Après, plutôt que de l’histoire, si on veut vraiment éliminer du monde, il suffirait de leur demander d’expliquer en 2 paragraphes qui exactement Macron salue-t-il depuis sa voiture lorsqu’il défile les 8 mai sur des Champs-Élysées vides. Mais, ne rêvons pas, faute d’imagination, il est donc probable que lesdits candidats devront simplement réciter que la France est née en 1789 et qu’elle a pour but principal de lutter contre l’antisémitisme, ce qui n’est pas gagné quand le dernier tube de Kanye West « Heil Hitler » est numéro 1 sur spotify. N’écoutez surtout pas, car le refrain rentre facilement dans la tête.

Pour mémoire les seules naturalisations par décret (les seules concernées par la mesure) c’est certes 70 000 personnes par an ce qui est considérable, mais il reste encore à trouver comment faire passer l’examen au presque demi-million d’adorateurs de la CAF qui, à pied, à cheval et à la nage, entrent tous les ans sur notre territoire devenu un véritable cloaque. En dehors de l’organisme susnommé, il est plus compliqué de trouver quelque chose qui fonctionne encore qu’un hétéro au Rassemblement National, que ce doit la police, la justice, en passant par les hôpitaux et les écoles dont certaines sont carrément déplacées, en raison des risques présentés par les dealers, plutôt que d’envoyer l’armée faire le ménage au fusil d’assaut.
 
Les viols, violences gratuites, séances d’autos tamponneuses sans permis sur piétons, coups de couteaux, fusillades, intimidations de policiers et d’élus, séquestrations et chantages avec coupage de doigts, home jackings, incendies, attaques de prisons commanditées depuis le confort de cellules dépourvues de dispositifs de brouillage et autres émeutes urbaines, y compris en cas de victoire du PSG, sont tellement rentrés à sec dans les mœurs que ce n’est même plus de l’actualité. Par ailleurs, un nouveau rapport préconise une « réduction de peine exceptionnelle » générale automatique pour « tous » les détenus dès que le taux de remplissage des prisons atteint 100%, ce qui ne peut qu’améliorer les choses. On pourrait aussi imaginer une loterie à l’envers de sorte que n’iraient en prison que ceux qui tirent un mauvais numéro. Le jour est proche où il deviendra commercialement intéressant de faire des promotions « spécial OQTF » avec moins 20% sur présentation du document, le capitalisme ne pouvant ignorer plus longtemps un segment de marché en expansion constante.

Pendant ce temps, le capitaine du Titanix, estime opportun d’accueillir à l’Élysée Ahmed Al-Charaa, décapiteur démocrate à la barbe réformée et Président transitoire autoproclamé (pour 10 ans) d’une « Syrie » non plus du bois, mais des principes. Principes qui n’étouffent pas non plus un certain Netanyahou, probablement le prochain sur la liste des invités d’un bouffon de plus en plus isolé et qui, entre deux nettoyages ethniques, a carrément tenté de couler le bateau de Greta Thunberg dans les eaux internationales, ce qui n’est guère écologique, mais, dès lors qu’elle défend la Palestine plutôt que de se focaliser uniquement sur la toxicité des pets de vache, ne mérite plus, apparemment, que les médias en parlent.