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samedi 2 janvier 2021

2020 est morte, le covid a encore frappé! (02 jan. 2021)


 Transcription de ma vidéo YouTube :https://youtu.be/KJ4wPhveARA

 

Bonjour!

Quand on a sauté du toit d’un immeuble, envie qui me taraude après chaque allocution présidentielle, rien n’empêche de rester optimiste et de se dire, en passant devant chaque étage : « pour l’instant ça va ! ». On vient de passer devant l’étage 2020 et même si je décidais subitement que j’étais un oiseau « gender fluide », que mon pronom était « cuicui », et que je battais des bras façon colibri en me mettant tout nu avec une plume dans un truc qui rime, je ne pense pas que ça ralentirait le passage devant l’étage 2021 que je vous souhaite, à défaut d’une bonne année, d’être le plus loin du sol possible.

Sans tomber dans l’apophénie consistant à faire des liens absurdes entre des choses qui (contrairement à Castex et une brosse à cabinets non ministériels) n’ont rien à voir, ce que la novlangue rebaptise à tort « complotisme » (tentant de véhiculer l’idée, tout aussi absurde, que les complots n’existent pas) il est évident que ce que l’on appelle « le système » existe et que, sans pour autant voir partout des reptiliens qui rampent sur une terre rendue plate par l’onde de choc provoquée par une collision frontale entre Laeticia Avia et un astéroïde, on peut observer que (parfois pour des raisons différentes qui peuvent même être contradictoires, façon « Islam - LGBT ») des réseaux fluctuants et imbriqués d’intérêts financiers, religieux, politiques, idéologiques et ésotériques convergent vers un même nihilisme en s’appuyant sur la vénalité, la lâcheté, l’égoïsme et la folie inhérente à l’espèce humaine, mais aussi sur son empathie et ses mécanismes collectifs, de sorte qu’à force de se faire mettre, il y a de l’écho quand on flatule. 

Une espèce humaine qui, par manque de conscience d’être un virus, au lieu de focaliser sur la nécessité d’aller infecter d’autres mondes pour survivre, détruit irrémédiablement son hôte tout en fantasmant paradoxalement un retour impossible à la nature lequel, dans les faits, se limite à repeindre en vert la façade du Crédit Agricole et qui, de toutes façons, aurait pour conséquence notre extinction quand, même sans notre aide, notre planète, loin d’être éternelle, qui n’est pas à l’abri d’un astéroïde facétieux ou d’une éructation solaire et qui, comble de l’ironie, finira par manquer de ce CO2 qu’on vilipende aujourd’hui, ne sera plus habitable pour nous. Une perspective d’extinction qui n’est même plus relativisée par la croyance, qui a perdu sa substance mais conservé ses mécanismes délétères, que cette vie n’est qu’une étape secondaire destinée à filtrer les miasmes et autres LREM avant l’accession à un monde meilleur et éternel. 

Conjugué au fait que, pour la première fois de notre histoire, avec l’avènement du nucléaire et de la pétrochimie, nous sommes en capacité de rendre le Monde invivable, il en découle la grande peur du changement climatique (soi-disant anthropique) utilisée par le système pour survivre en justifiant son utilité par des fausses luttes contre de faux problèmes qu’il a lui-même créés afin de détourner l’attention des vrais, quitte à accélérer notre suicide collectif. Greta Thunberg ne parvenant pas à être aussi effrayante qu’Agnès Buzin surgissant dans un rêve érotique en nuisette une seringue à la main, on en a rajouté une couche dans la stratégie de la peur avec le premier virus capable, a défaut d’être plus grave qu’une mauvaise grippe saisonnière, de tuer des entreprises et l’économie avec.

Faute de vision et de but pour l’humanité, tant à moyen qu’à très long terme, ledit système accélère la focalisation de cellules à qui on a fait croire qu’elles sont des individus (d’où une peur irraisonnée, jusqu’à l’ériger en tabou, d’une mort pourtant inéluctable) sur leur nombril et autres orifices pour mieux manipuler notre être collectif et le rendre cinglé. C’est d’autant plus facile que, quand on y réfléchit, nous sommes essentiellement un tube avec de la chair autour, une usine à fabriquer de la substance chocolatesque, d’où l’importance des deux orifices d’entrée et de sortie et l’obsession symboliquement profonde pour certains de remplir l’un et de boucher l’autre.

Pour autant, comme je l’ai déjà dit souvent, le pouvoir de ces Soros et de leur laquais, basé sur l’acceptation collective manipulée de l’idée que l’argent a une valeur intrinsèque, n’est rien d’autre qu’une illusion rassurante : l’illusion que cette fosse à purin ploutocratique est à l’origine des problèmes et qu’il suffirait de l'éliminer pour tout régler alors que l’effrayante réalité est qu’il n’y a pas de pilote dans l’avion et que ces gens, pour toxiques qu’ils soient, s’ils accélèrent une chute qu’ils appellent de leurs vœux, ne font que pousser dans le sens du vent, tels des mouches perchées sur une enclume qui tombe, en se remplissant les poches au passage. 

Si l’on prend un homme préhistorique et qu’on l’introduit dans notre société moderne, où même les enfants ont perdu leur capacité à s’émerveiller et où un président, pourtant amateur de boules, s’étouffe à l’idée de souhaiter un joyeux Noël, s’il ne sombre pas dans la folie collective à force de subir la dissonance cognitive du « en même temps » macronien, au début il sera époustouflé par l’eau chaude et le fait de pouvoir allumer la lumière en appuyant sur un interrupteur, mais au bout d’un mois il se plaindra que le WIFI ne va pas assez vite. De même, la plupart des pauvres ne sont que des riches qui s’ignorent et qui se comporteront exactement comme tels si le sort les favorise et, sauf délicate alchimie ethnico-culturelle qui seule permet l’abnégation, tout impuissant qui se verra attribuer un peu de pouvoir tombera dans le même népotisme (et autres abus personnels) que ceux qui l’ont précédé.

Conformément à l’adage « heureux les simples d’esprit » la quête futile du bonheur (ramené à la satisfaction de désirs artificiels et au culte de la jouissance) qu’on nous a vendu comme horizon indépassable et qui nous tient désormais lieu de spiritualité, fait de nous des imbéciles par définition. L’intelligence, en effet, se caractérise par la capacité à se projeter dans le futur, à différer la gratification immédiate et à contrôler ses pulsions, alors que l’illusion du bonheur (qui n’existe pour la plupart que par rétrospection sélective, les malheurs du présent donnant un prix à ce qu’on avait dans le passé sans alors y attacher d’importance) imposerait de vivre dans ledit présent, lui aussi une illusion et qui, sauf euphorie amoureuse passagère, très haut niveau de conscience ou usage d’artifices et de drogues, n’étant pas Diogène qui veut, ne peut perdurer que dans un état d’imbécilité chronique. 

Une imbécilité aggravée par la baisse inexorable de l’intelligence du fait de la suppression de la sélection naturelle, du tabou de l’eugénisme qui pourrait la compenser et de la subvention de la reproduction des moins intelligents. Il en découle que le combat dénué de sens « fausse gauche contre fausse droite » a été remplacé, du fait qu’un imbécile ne manque jamais une opportunité de se sentir supérieur à peu de frais, par un clivage entre les moutons qui se conforment au diktat du gouvernement, persuadés que ne pas tomber dans les théories dites « complotistes » est un signe d’intelligence, et ceux qui, se sentant éclairés après avoir vu 3 vidéos sur YouTube, partent en croisade monomaniaque sur tel ou tel sujet secondaire en décrédibilisant, faute d’avoir creusé la chose, ce qu’ils prétendent défendre, persuadés qu’internet est encore le champ de bataille et que la révolution va se faire en cliquant.

Comme nous sommes coincés dans une immédiateté déjà passée quand on la réalise (constat qui peut rendre fou) la plupart d’entre nous, faute de recul suffisant, n’a pas conscience de phénomènes mécaniques qui s’étalent sur des périodes beaucoup plus longues et qui, sauf changement violent de paradigme, ne peuvent qu’arriver à leur conclusion naturelle. Les entités économiques que nous avons créées ont une conscience et une logique propre qui font, indépendamment des souhaits des uns et des autres, que le double constat : que les intelligences artificielles et la robotique rendent une partie de l’humanité économiquement obsolète et que les ressources ne permettent pas de fabriquer ni d’alimenter énergétiquement suffisamment de robots pour biberonner neuf milliards d’habitants, ne peut que conduire à un génocide et, la science aidant, à accélérer de façon exponentielle un processus de fin de civilisation qui, au lieu de s’étaler sur plusieurs siècles comme par le passé, pourrait être réduit à quelques décennies voire à quelques années. 

En outre, la sélection de ceux qui resteront se faisant sur des bases sociales et népotiques et non sur le mérite, la viabilité à court terme de ce nouvel ordre mondial qu’on nous prépare est compromise à la base. A partir du moment où le niveau des masses s’effondre et où la majorité, au cerveau lavé par des médias de propagande, n’a pas conscience individuellement de ces macro-phénomènes, l’idée même de démocratie devient aussi absurde que conduire une voiture avec un bandeau sur les yeux, d’où, certainement, l’acceptation inconsciente collective de la dictature qui s’installe, annonçant probablement la fin du leurre des démocraties électives en occident et qui fait de nous des concombres masqués en route vers un troisième confinement. Une dictature qui ne serait pas forcément une mauvaise chose si elle n’était pas laissée entre les mains des pires engeances que notre système inadapté est en mesure de produire. 

Pour autant, faute de but collectif pour servir de boussole en lieu et place de la moraline hypocrite et de la bien-pensance, même si le chikungunya, au lieu de Rika Zaraï (que ses bains de siège n’ont pas sauvée) était venu à bout d’un Macron qui (si l’on adhère au discours gouvernemental, et que l’on croit que péter dans son coude a une efficacité quelconque) n’a visiblement n’a pas respecté les gestes barrières qu’il impose aux autres et se retrouve avec un prétexte en or pour ne pas se faire vacciner, il serait naïf de penser qu’on n’est pas capables de lui choisir un successeur qui montera encore de quelques crans dans la connerie humaine. Ça n’aurait qu’une importance relative car, comme je l’avais annoncé avant son élection, la France, en tant que force vive, ne survivra pas à 5 ans de macronisme. Pour avoir connu ce qui restait de cette France vive dans ma prime jeunesse, je dirais même qu’elle est déjà morte.

Tant que nous ne serons pas envahis par des êtres verts avec 8 tentacules et 10 yeux, lesquels, sans raison particulière, m’évoquent Marlène Schiappa, la notion d’humanité restera un concept abstrait et le projet mondialiste une dystopie intenable. A l’inverse, la véritable souveraineté, seul moyen de réorienter la science dans le sens, non plus du profit, mais de l’intérêt commun et de renverser les phénomènes migratoires, n’est pas non plus possible tant que subsisteront des superpuissances (sachant que les USA pourraient bien connaître à court terme le sort de l’ex URSS, la Chine imploser sous le poids des dettes qu’elle camoufle et l’Inde s’autodétruire dans une guerre avec le Pakistan), sauf à rêver soit d’une source d’énergie gratuite et illimitée, soit d’une arme de destruction massive écologique et imparable qui permettrait de juguler par la menace les attaques, non plus seulement militaires, mais migratoires, économiques et cybernétiques des pays concurrents et des parasites et entités qui en ont pris le contrôle. 

Si aucun de ces critères n’est rempli (je n’ai pas la naïveté d’y ajouter un réveil éclairé des peuples) quoi que nous fassions, même si on pourra gagner un petit sursis éventuel (en fonction de ce qui se passera aux États-Unis à court terme), nous ne pourrons renverser la dynamique actuelle et éviter la fin de notre civilisation entrée dans sa phase vespérale.

Cette chaine totalement bénévole n’est pas, par principe, monétisée et ne fait pas appel aux dons, je n’ai donc aucun intérêt financier à produire des vidéos. Je n’ai pas non plus un égo démesuré ni la prétention de détenir la vérité. Ma seule motivation égoïste est que grâce à vos likes et à vos commentaires, dans ce monde de plus en plus fou, le rappel constant qu’il existe des personnes soucieuses du bien commun et capables de réfléchir m’évite de sombrer dans une misanthropie délétère et je vous en remercie vraiment. Youtube bloque mon nombre d’abonnés depuis déjà longtemps et j’ai déjà dit à peu-près tout ce que j’avais à dire. Ma résolution pour 2021 est donc, en regard du ratio effort-résultat, de me libérer de la pression constante d’avoir à produire du contenu afin d’éviter que la chose ne devienne une corvée et de davantage me concentrer sur d’autres projets personnels. Je continuerai probablement à faire des vidéos épisodiquement en fonction de mes inspirations, mais sans plus m’astreindre à un calendrier ou un format quelconque. Merci encore à tous, bonne année et à bientôt… j’espère.