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jeudi 28 avril 2022

ON EST FOUTUS… mais c’est pas grave ! (28 avril 2022)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube :https://youtu.be/VQdnoUhi3V0

Bonjour ! 

Notre être collectif a choisi le suicide par intromission anale (voire, sous peu, vacci-anale les doses ayant déjà été commandées, avant les élections, pour le mois de mai). Avant on appelait ça le supplice du pal, aujourd’hui, de peur d’être taxé d’homophobie, on appelle ça l’ouverture à l’autre. 5 ans de Macron, cette fois en roue libre, sans les mains et sans selle, lâchant complètement les pédales, (sauf celle qu’on sait, mais qu’on n’a pas le droit de dire) et les perdant totalement au passage. 

En face on avait pourtant du lourd (même au figuré) : une éleveuse de chats, incollable sur Dalida et qui a pondu beaucoup de « euh ! » pendant le débat se faisant visiblement dessus d’où son surnom Le Pen des pisses. Bizarrement, cela n’a pas suffi à enthousiasmer les foules de boomers masqués, inquiets qu’on les prive de leur élixir de la vie éternelle et encore moins les dissonants cognitifs de gauche lesquels (trompés par un Mélenchon dont il suffit de faire pivoter les trois dernières lettres du prénom pour connaître la nature profonde, qui incapable d’ingurgiter assez de viagra pour se motiver à être sous-Marine, a préféré être sous-marin de Macron dans l’affaire) ont courageusement refusé le RIC et la retraite à 60 ans, joueront les castors comme un seul homme aux législatives et ressortiront avec enthousiasme de la partie intime dans laquelle le gérontophile les leur avait carrées, leurs pancartes « Macron salaud le peuple aura ta peau » pour les 5 ans qui viennent. 

5 ans pendant lesquels, la menace d’extrême droite peroxydée dont ils ont sauvé la France, tout en touchant sa petite rente, somnolera mollement histoire d’être en pleine forme pour remettre le couvert en 2027, 2032, 2037 et plus si la France existe encore. Elle n’a d’ailleurs même pas augmenté ses scores si l’on considère qu’elle termine au même niveau que celui annoncé avant son débat calamiteux de 2017. Compte tenu de la capacité du système à fabriquer des cons centrés et l’accroissement façon casquette du préfet Lallement du Grand Remplacement compensant largement le décès progressif des boomers quintuples dosés, on sait donc déjà parfaitement à quoi s’attendre à l’avenir. 

Nos compatriotes de gauche, qui sont ce qui reste après avoir retranché d’eux-mêmes « patriotes » au mot, ont cette particularité de ne jamais apprendre non plus. À chaque élection, un coup de Marx et ça repart. Un Marx que souvent ils n’ont pas lu et qui n’avait pas perçu que le capital n’est qu’un épiphénomène, le véritable poison étant d’accepter le pouvoir de l’illusion, certains diraient du Malin, sur la réalité. Certes, la matérialisation du concept d’argent sous forme de billets donnant l’illusion qu’il a une existence propre fait partie du problème, mais c’est aussi le cas de l’introduction du virtuel dans le réel qu’essaie de nous fourguer Zuckerberg avec son metaverse, de l’illusion de l’État providence, ouvert qui plus est au Monde entier, du sigle LGBTQQI2SAA fois le carré du cosinus de ma grand-mère discriminatoirement confiné dans un alphabet homophobe de 26 lettres seulement, des artifices vestimentaires mettant en exergue la féminité débordante de Brigitte Macron etc. etc. etc. 

Autant de choses que Marx, à son époque ne pouvait anticiper, les lois de la nature conduisant inévitablement à un effondrement de tout système qui fait interagir l’illusoire illimité avec le réel limité. D’ordinaire, ces effondrements se résolvent par la guerre qui remet les compteurs à zéro. Depuis l’ère atomique, que Marx ne pouvait anticiper non plus, la guerre a changé de forme et s’est cantonnée aux bombardements réguliers de petits pays secondaires et au pillage continu des populations par le camp du bien. Mais, désormais, cela ne suffit plus. La seule dette publique mondiale (non incluses celle des entreprises, de certaines collectivités et des ménages) a dépassé les 300 000 milliards de dollars soit, convertie en billets de 1 dollar, une petite liasse de 33 millions de kilomètres de haut équivalent à la moitié de la distance moyenne jusqu’à Mars qui est aussi le dieu de la guerre. La guerre, même nucléaire, est donc inévitable si on laisse faire les entités qui nous gouvernent, car même le grand Reset qu’ils ont en tête, consistant à siphonner les comptes en banque de ceux (dont la majorité a voté pour Macron) qui en ont encore un, non seulement ne suffira pas, mais sera trop long à mettre en place face à l’imminence du prochain effondrement. Donc, un grand merci à tous ceux qui, avec Macron, ont choisi la guerre. 

Certains, se disant accélérationnistes s’en réjouissent, s’imaginant que l’effondrement généralisé marquera le début d’une renaissance « ordo ab chaos ». Il faut bien comprendre que nous ne sommes plus, malheureusement, dans la situation de l’Empire romain, qui s’est effondré laissant la planète intacte prête à voir l’éclosion de nouvelles civilisations. Rien ne repousse après un hiver nucléaire auquel s’ajouterait l’explosion d’un nombre indéterminé de centrales beaucoup plus dévastatrice que les frappes militaires, ne permettant au mieux que la survie de quelques fourmis et de Manuel Valls. Ne commettez pas l’erreur de croire que les mêmes qui n’hésitent pas à recourir au suicide économique par les sanctions contre la Russie et qui ont déjà à leur actif Hiroshima et Nagasaki, hésiteront à sauter le pas, encore moins avec un Biden, mix d’Al Capone et d’Al Zheimer à la tête du bloc occidental. 

Autant dire que les débats autour de l’ineptie que l’on appelle « pouvoir d’achat », maintenu à crédit, sont à des années lumières des enjeux véritables qui passent à des kilomètres au-dessus de la tête d’une majorité d’électeurs, effrayée y compris par le RIC qu’elle considère revenir à donner des allumettes à une classe de maternelle, et qui a préféré, dans sa grande sagesse, confier lesdites allumettes et le destin du pays directement à un pyromane, certes plus « nez long » que Néron (d’où sa propension à aspirer les poudres autant qu’à y mettre le feu). Il va en résulter un climat insurrectionnel à côté duquel le quinquennat précédent semblera aussi serein que les amygdales de Marlène Schiappa avant qu’elle n’ait expérimenté pour écrire ses livres, l’état finissant par atteindre le point critique où la violence croissante qu’il va déployer pour mater la contestation cessera d’avoir un effet dissuasif et où il ne pourra plus maintenir le moindre faux-semblant de démocratie. 

En admettant que, par je ne sais quel miracle, on puisse encore décorréler le sort de la France de celui du bloc occidental, ce qui n’aurait pu se faire qu’en envoyant Macron pratiquer son activité préférée chez les Grecs, on est en droit de se demander ce que l’on essaie de sauver au juste. Force est de constater, en effet, n’en déplaise à un Zemmour, que la majorité des suicidaires qui ont voté pour le McKinseyphile n’est pas issue de l’immigration et que les territoires d’outre-mer ont voté plus intelligemment que la métropole, preuve qu’avant d’être tués de l’extérieur, les Français l’ont été de l’intérieur victimes, depuis les lumières, d’une idéologie mortifère qui a achevé l’église en 1905, entériné le nationalisme comme étant un danger après 1945, terminé notre américanisation en mai 68 et toléré le camembert au lait pasteurisé dès les années 50. Le grand remplacement de notre essence profonde a donc précédé de plusieurs décennies celui de la population lequel, sinon, n’aurait jamais été possible. 

C’est normalement à l’état, entité par définition inhumaine supposément immune au pathos (et qui ne remplit plus son rôle si elle cesse de l’être) qu’il incombe de gérer impitoyablement les flux en amont en tenant compte, non seulement des qualités propres des individus qui souhaitent entrer sur le territoire Français, mais également des caractéristiques collectives des groupes auxquels ils appartiennent et de leur compatibilité, en tant que groupes, avec le substrat national auquel ils sont supposés s’intégrer. Si ce tri n’est pas fait en amont de peur de faire mourir d’indigestion quelques poissons en méditerranée, c’est le citoyen français (lequel, ayant perdu ses mécanismes naturels de défense, n’est dans l’âme ni xénophobe ni raciste) qui se voit contraint, s’il veut survivre, d’avoir des a priori ethniques et culturels au niveau individuel alors qu’il n’aspire qu’à apprécier objectivement les personnes qu’il côtoie (dans l’espace supposément protégé que constitue la France) en fonction de leurs qualités personnelles et intrinsèques. Il en découle un profond malaise renforcé par le fait que toute tentative individuelle de pallier, sur ce point, les carences de l’état est impitoyablement sanctionnée par ce dernier, ce qui rend la situation encore plus ubuesque et ne peut que culminer, à terme, là aussi, dans une explosion de violence. 

Un pays c’est avant tout un peuple, ce peuple n’est plus que l’ombre de lui-même, on peut donc considérer que la France est morte, même si le cadavre bouge encore. Seule subsiste une petite étincelle qu’on retrouve dans cet esprit français, souvent identifié par cette impertinence caractéristique qui ramène l’humain, quel que soit son statut, à sa qualité de chiure de mouche, mais d’essence divine quand même et qui aspire donc à être autre chose. Une impertinence, traquée par des lois liberticides, des tribunaux plus dénués d’humour que les monarques les plus absolus de jadis et mise à mal par la limitation du vocabulaire général à quelques centaines de mots, vidés de tout sens et de toute nuance. L’excellence française, directement impactée par le changement de substrat de population et l’absence d’un environnement serein et apaisé, a en effet, malheureusement pour elle, pour caractéristique première de rendre encore plus visible la médiocrité des élites lesquelles, dès lors, la combattent d’autant plus férocement, en commençant par l’école qui au lieu de détecter, former et favoriser les locomotives concentre ses efforts sur les wagons au nom de l’égalité. Les médiocres ayant tendance à s’entourer de plus médiocres qu’eux, le mouvement ne fait que s’accélérer jusqu’à l’idiocratie et au suicide collectif auquel nous assistons, impuissants. 

On a pu noter une petite résurgence de cet esprit français sous forme de mèmes, les images tentant de pallier les carences lexicales, mais ils sont impitoyablement traqués sur les réseaux sociaux, façon femen dans une mosquée ou une synagogue, chose qui pourrait changer, seule lueur d’espoir dans cet avenir glauque, avec le rachat de Twitter par Elon Musk. 

Certains essaient de nous vendre que si la démocratie n’a pas marché, c’est qu’il n’y a pas assez de démocratie et attendent vos dons pour continuer le combat par les urnes. Personnellement, il y a déjà quelques années, j’ai démarré cette chaîne en mettant en évidence que la démocratie n’était envisageable qu’avec des électeurs correctement formés et informés, titulaires d’un certificat d’aptitude obtenu après des tests basiques de logique et de compréhension de texte, qu’elle était, de toute façon, inadaptée aux périodes de crise, car trop lente à la détente, que la seule manière de contourner ce problème était une démocratie directe par vote électronique en temps réel et que la seule façon d’éviter toute triche était de supprimer le secret du vote lequel doit être assumé et traçable, ce système permettant, dès lors, de se passer de l’ensemble des parasites et partis politiques, raison pour laquelle, même si techniquement réalisable, ce qui pourrait être le plus grand changement de paradigme de l’histoire ne verra probablement jamais le jour. 

À ce stade, sauf à ce que Macron n’ait pas la majorité aux législatives ce qui (compte tenu des illusions des gauchistes abusés par l’escroc Mélenchon et de l’intention du RN de tuer reconquête pour maintenir sa rente) relèverait du miracle, le seul espoir, à défaut d’un missile hypersonique sur l’Élysée, sera de canoniser Ravaillac et de lui adresser une fervente prière. Comme il ne sert à rien de se rendre malade pour des choses sur lesquelles on n’a aucun impact, c’est le moment de vous aérer, de vous changer les idées et de profiter de votre famille et de vos proches. Pour ma part, j’ai démarré une nouvelle chaîne « la caverne de la mite » dont je vous ai mis le lien en description et où je posterai tout ce qui me passe par la tête et qui ne parle pas de politique. Pour l’instant, afin de tester le concept, j’y ai mis un conte pour enfants que j’avais écrit pour ma fille, suivront des choses aussi variées qu’éclectiques touchant de nombreux domaines. Cela n’intéressera pas forcément la plupart d’entre vous, mais si vous souhaitez m’encourager, n’hésitez pas à vous y abonner.

Tant que vous y êtes, n’oubliez pas de cliquer sur tous les machins en bas et à bientôt… j’espère.

lundi 18 avril 2022

Second tour. Analyse express. (18 avril 2022)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube :https://youtu.be/9owCmpfSZl0

 


Malheureusement, la France est comme une Schiappa sans tête qui continue à courir. Macron l’a déjà tuée, mais elle ne le sait pas encore. Comme pire que mort, même Marine Le Pen, dans sa nullité crasse, ne sait pas faire, cela rend tragi-comique l’hystérie de second tour des quelques castors à queue plate plus ou moins mutilée qui, tout en l’ayant épargnée au premier, appellent (désormais que Macron a l’adversaire qu’il voulait) à faire barrage à la bébête immonde qui monte, qui monte tel un Darmanin sous viagra. 

Les cloches sonnent dès le lundi de Pâques nous vendant, une nouvelle fois, les bruits de bottes résonnant sur le pavé (à défaut de raisonner dans le pois chiche qui leur tient lieu de cerveau) l’air constipé par la peur non que Marine gagne, mais qu’elle puisse faire quelque chose de bien qui fasse exploser l’épouvantail qui leur tient lieu de doctrine politique. On imagine déjà ces hordes de chats-bottés, élevés à cette fin par la trémousseuse peroxydée, déferler sur la France et imposer le fascisme à coup de RIC, de référendum et d’abandon du Pass sanitaire. On sent déjà le retour du machisme triomphant incarné par la première femme présidente de la République, l’exploitation des masses par la baisse de la TVA et la retraite à 60 ans avec, en ligne de mire, la guerre inévitable provoquée par des rapports pacifiés avec la Russie. 

En face, à l’inverse, il y a aussi de grands esprits pour s’imaginer qu’elle va nous sauver. Au mieux, peut-on espérer prendre l’escalier plutôt que l’ascenseur pour aller au fond de l’abîme façon Valérie détresse, sachant que le tsunami qui arrive, à l’instar d’un nu de Jean-Michel Trogneux, va être absolument terrifiant et qu’au lieu de profiter de l’opportunité passagère des absurdes intérêts négatifs pour alléger la dette et améliorer les infrastructures, Macron n’a fait qu’exploser la première et accélérer la décrépitude des secondes, nous laissant complètement à poil en rase campagne. 

Un mandat de plus lui permettrait certes, outre d’éviter temporairement d’aller se faire déconstiper en prison, de dépecer le cadavre et d’empêcher que rien, jamais, ne puisse repousser sur la terre brûlée qu’il va laisser, mais même en cas de victoire de la tortureuse de pèse-personne tabagique, ça reste tout bénef pour le système, car c’est alors elle qui va se prendre le Tsunami en pleine poire ; dès lors on vendra aux poissons rouges amnésiques que ce qui leur arrive est de la faute de « l’extrême droite » et c’est sa tête à elle qui finira sur une pique. Face c’est nous qui perdons, pile c’est eux qui gagnent. 

L’élection de 2017, dans laquelle la girouette supersonique a été lamentable, était celle qu’il ne fallait pas louper, car c’est elle qui a permis à Macron de casser la dynamique qui s’amorçait après Trump et le Brexit et qui aurait pu orienter le Monde dans une autre direction quand il était encore temps. En 2022, une nouvelle dynamique se redessine au plan international, mais les choses vont trop vite pour que, tel le smartphone de benjamin Griveaux qui n’a pu éviter sa destinée pégueuse, même si Marine avait une colonne vertébrale, des velléités de changement et les moyens de sa politique, ce qui fait beaucoup de si, elle ait le temps d’accomplir quoi que se soit, contre vents et marées qui plus est, pour peser suffisamment au moment précis où le basculement va s’opérer. 

Il faut bien comprendre que, chez nous, tout au moins, les pantins politiques n’ont aucun pouvoir, sauf un pouvoir de nuisance s’ils vont dans la direction voulue par le système et que Macron, accro à cette illusion de puissance, fait du zèle en soufflant dans le sens du vent plus que ce qu’on lui demande quitte à nous plonger dans un totalitarisme totalement innovant en ce sens que même le nazisme n’avait pas pour finalité la destruction de son propre peuple et de son pays. 

Au mieux, avec Marine, pourra-t-on espérer, et ce n'est déjà pas si mal, éviter de se prendre un missile hypersonique dans les gencives et renouer des rapports privilégiés avec la Russie qui pourront atténuer les pénuries sans précédent qui s’annoncent et qui vont frapper ce qui jadis fut la France et qui n’est plus, hélas, immigration incontrôlée et lavage de cerveau médiatique obligent, qu’un bout de Terre avec des gens dessus. 

Donc, personnellement, et sans illusions aucune, entre deux incapables, je vais choisir celle qui n’a pas pour projet la dilution du pays et qui, au moins, propose le RIC et l’arrêt de la folie sanitaire, ne serait-ce que pour effacer le sourire suffisant insupportable de la tête à claques hallucinée qui squatte l’Élysée avec sa moitié photophobe et qui, cette fois, n’aurait plus de limites dans son délirium s’il était réélu.

mercredi 13 avril 2022

L’algorithme YouTube peut-il avoir un orgasme? Première tentative. (13 avril 2022)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube :https://youtu.be/K7RrKjJZclU

 

Bonjour !

Ce qui suit n’a strictement rien à voir avec le blocage temporaire de ma chaîne par YouTube et leur dernier avertissement qui me place, une nouvelle fois et jusqu’au 7 juillet, sur un siège éjectable. C’est simplement que j’étais aveuglé par la haine, mais que j’ai enfin vu la lumière. 

Emmanuel Macron est le plus grand président de la cinquième république, une des sept merveilles du Monde dont l’éclat ne pâlit que devant la beauté de sa délicieuse épouse qui est une femme et exsude la féminité par tous les pores de sa peau. Grâce à lui et aux conseils avisés de McKinsey, notre pays connaît une prospérité sans précédent. Il nous a sauvés d’un virus terrible et mortel grâce à un vaccin particulièrement efficace. Vivement la cinquième dose et que les foudres d’Allah (parce que oui, Allah c’est bien !) s’abattent sur les inconscients antisémites qui refusent de protéger nos anciens et de faire porter un masque à leurs enfants, bref sur tous ces obscurantistes d’extrême droite qui refusent la science.

Et non, il n’y a pas de conflits d’intérêts en médecine et tous les médecins qui sont en première ligne sur les plateaux télé, souvent bénévolement et au prix de durs sacrifices, méritent plus nos applaudissements à 20 heures tous les soirs que certains soignants indignes qui ont refusé de se faire vacciner, mettant en danger la survie de l’humanité. Par ailleurs, il n’y a pas assez de personnes de confession israélite dans les médias, il y a trop de mâles blancs de plus de 50 ans et le pays souffre d’un manque de diversité chronique. Il n’y a pas assez de migrants issus d’autres cultures et d’autres continents et si possible (sachant que, non, les races n’existent pas !) avec des caractéristiques physiques qui rompent la monotonie de ces masses à la peau claire qui s’entassent dans le métro aux heures de pointe. 

Il n’y a pas de problème d’immigration ! Plus on accueille de migrants, plus le pays s’enrichit, car ils rapportent plus que ce qu’ils nous coûtent. Le sentiment d’insécurité, n’est que ça : un sentiment et plus la diversité augmente dans un quartier, plus la paix, la quiétude et l’harmonie s’installent entre personnes de bonne volonté qui tous bénéficient de l’enrichissement culturel réciproque. Et s’il y a quelques personnes issues de l’immigration dans les prisons, c’est en raison des contrôles d’identité au faciès, encore trop nombreux, tandis que, comme nous le montrent les affiches des campagnes d’information du gouvernement, les skinheads à la peau diaphane peuvent agresser les femmes issues de la diversité en toute impunité. À cause de ces enfoirés de skinheads les violences faites aux femmes ont augmenté au point de devoir inventer le mot féminicide. Il faut que ça cesse. 

La France, rance et rabougrie, repliée sur elle-même est un modèle dépassé. Elle doit se dissoudre dans l’Europe dont tous les pays ont des intérêts communs et vont aller harmonieusement dans la même direction. Et non, Bill Gates et une poignée de milliardaires ne sont pas en train de piller les richesses et de mettre en place un nouvel ordre mondial basé sur leurs délires mégalomaniaques, l’ennemi c’est Poutine, dictateur fou et avide de sang qui a envahi, juste parce qu’il avait mal digéré son petit déjeuner, un pays peuplé de Bisounours et de gentils nazis qui n’avait rien à se reprocher. 

Les Américains sont nos amis et font tout ce qui est en leur pouvoir pour garantir la sécurité et la prospérité de l’Europe. Grâce aux sanctions, nous allons faire plier Poutine, privé de camembert, tandis que l’arrêt du robinet du gaz et du pétrole n’aura sur nous que de faibles répercussions, car nous avons le meilleur président du Monde et un ministre de l’économie hors du commun. 

Enfin, je me considère dorénavant comme politiquement fluide et mon pronom est : ØĘ¥Ѿ∑ꙮꚄ 

Si vous voulez noyer sous un torrent d’injures méritées toutes les vidéos dont YouTube, dans sa grande clairvoyance, a protégé les personnes influençables des idées toxiques qu’elles véhiculaient, et je m’en excuse profondément, vous pouvez les visionner, à vos risques et périls, sur mes chaînes secondaires figurant en description. Afin d’encourager ma réhabilitation, vous pouvez également faire votre devoir citoyen en cliquant sur tous les machins en bas. 

À bientôt… j’espère.

lundi 4 avril 2022

La véritable histoire de Brigitte Trognon et Emmanuel Macreux, LA SUITE (derniers rebondissements) (4 avril 2022)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/ai2HmYpnexk

Oyez, oyez ! Gentes Dames et Gentilshommes, Damoiselles et Damoiseaux et, s’il s’en trouve, Damoi-IELs. Je m’en vais, céans, vous conter la suite des onéreuses aventures de Brizitte Trognon et Emmanuel Macreux qui régnaient, non point en poussant, mais carrément en tyrans, sur un de ces anciens pays du continent européen effacés, depuis, à la gomme arabique en raison de leur côté pompe Afrique. 

Dans l’opus précédent, dont le lien figure en description, je vous avais narré en détail les déboires de la reine Brizitte, atteinte de photophobie sélective contrainte de jeter en pâture à la plèbe de rares représentations peu convaincantes de sa personne, retouchées de surcroît par quelque stagiaire muni d’une version pirate érythréenne de Photoshop pour MS-Dos. 

La chose avait piqué, tels des poils de barbe dont on pouvait décerner les pores, la curiosité d’une petite lapine qui, après avoir enquêté, eût tôt fait de réaliser que la reine Brizitte n’était que mystère : certes, Miss Univers n’était point à sa portée, mais tout de même. Ladite lapine, était parvenue, fournissant foison d’éléments pour étayer sa thèse, à la conclusion que la Reine n’était point Dame Brizitte (laquelle n’aurait nullement existé), mais bien son frère Jean-Michel, mystérieusement évaporé, sans qu’un rapport eût pu être établi avec le réchauffement climatique, moins prégnant à l’époque. 

La petite lapine se dit alors qu’après tout l'algarade latente la tente, et elle attente à la tante (et non à la tente) sans attente. C’est ainsi que l’on apprend que Jean-MiMi (pour les intimes), aurait eu une première vie et 3 loupiots dans une contrée lointaine, avant que de refaire surface en tant que Dame Brizitte et de s’inventer un faux époux de même patronyme que le nouveau conjoint de la mère de ses enfants (conjoint dont ces derniers auraient pris le nom). Par cet artifice, Jean-Michel/Brizitte pouvait, dès lors, se faire passer, non plus pour le père, mais pour la mère de sa propre marmaille. 

C’est là qu’il aurait séduit le futur roi (mineur dont il chatouilla le bassin houiller) moins pubère, en ces temps, que ne le racontait l’officiel narratif. En outre, Jean-Michel étant plus âgé que son alter ego Brizitte, la différence d’âge entre le futur roi et sa maîtresse (dans toutes les acceptions non capillaires du terme) eût été alors de 32 printemps selon cette hypothèse, lorsqu’elle croqua le petit-écolier et fourra le petit prince au chocolat. Quoi qu’il en fût, IEL montra certainement ses fesses à l’enfant qui, visiblement, « l’aima ce cul-là », un doute subsistant, dès lors, quant à savoir lequel des deux était, selon l’expression consacrée, passé sous la verge de l’autre. Sieur Macao, l’homme au 55 fillette ou Maistre Bénalla détenaient peut-être la réponse. 

Toujours est-il que celui qui, bien plus tard, devait donner tout son sens à l’expression « conseil en or » était alors dans une tranche d’âge qui, compte tenu de la prolongation récente du délai de prescription sur les actes pédophiles, exposait la reine, jusqu’aux 48 printemps de son époux, à plusieurs années de prison. En tout cas, si l’on en croit Dame Isabelle Ferreira, retrouvée suicidée à 100 lieues (ou 400 kilomètres) de chez elle (le prix du carburant l’ayant visiblement empêchée d’aller plus loin) avant, destinée cruelle, d’avoir pu fournir aux journalistes qu’elle avait contactés et qui l’attendaient dans la direction opposée, les éléments en sa possession pour étayer ses allégations. 

On aurait pu croire que ces divers concours de circonstances auraient suffi à éviter, non point les tapettes, mais « Que » l’État pète, tout n’étant souvent qu’une histoire de « QUE ». La populace ayant gobé tant les vaccins qui ne vaccinent point que le récit des gentils nazis ukrainiens, Brizitte la pensait suffisamment crédule pour aller jusqu’à lui envoyer des fleurs en cas d’opération de la prostate ; d’autant qu’elle était parvenue, par le biais d’intimidations diverses sur ses proches, à faire taire la petite lapine avant les présidentielles, évitant qu’elle passe en mode « Lapine en élection ». Mais c’était mal connaître le Gaulois réfractaire. 

En effet, la reine, un jour qu’elle accompagnait son époux en visite officielle sur le continent africain afin de rencontrer les futurs habitants du royaume, avait sottement laissé échapper qu’en ces temps reculés où coulait encore dans ses veines la sève de la jeunesse et où, dans le lointain, on entendait les râles des derniers dinosaures, elle aurait traversé les dunes du Sahara, les bourses vides, d’où l’expression « transsaharien », ou presque, puisqu’elle avait eu suffisamment pour estudier à Alger, ville connue pour sa bonne humeur, tel que le scandaient régulièrement les thuriféraires de balle-au-pied hurlant « Alger rit » sur les Champs-Élysées ; thuriféraires empreints d’une chaleur fervente qui, las, se propageait parfois aux calèches en stationnement. 

Or, ne voilà-t-il pas qu’il s’était trouvé des personnes indélicates pour prétendre que Reine Brizitte eût également travesti la vérité, et pour arguer que, s’ils n’avaient point trouvé de trace d’une Brizitte dans les registres de l’Université locale, y figurait en bonne place un Jean-Michel doté du même nom propre, tellement propre par ailleurs que l’adage « si ça nettoie, c’est donc ton frère » ne tarda point à gazouiller de plus belle. Un Jean-Michel dont la domiciliation à Alger, à l’époque, selon le politologue Morad EL HATTAB, eût été confirmée par quelque parchemin en sa possession, afférent au recensement militaire.

 En tous les cas, et c’est cela le plus troublant, toujours point de photographies de Brizitte jeune ou avec ses enfants en bas-âge qui eussent pu pourtant facilement invalider une thèse devenant chaque jour de moins en moins complotiste. 

- Ô, ma mie, ma Jean-Mie, se lamenta le Roi, dans quelle situation vous êtes-vous mis ou mise ? 

- Ce n’est point moi, mon doux ami...be , qui ai 50 affaires aux fesses, entre le McKinseyGate, l’AlgérieGate, le PfizerGate, le PatrimoineGate, l’AlstomGate, l’ArenaGate, le BénallaGate… (sans même parler du BillGate). Vous aussi, à ce rythme, c’est le cachot qui vous gate. 

- C’est justement pour surseoir à ce funeste destin, ô ma mie, ma jean-Mie, que McKinsey m’a conseillé de solliciter un second mandat. 

- Et il fut gratuit, ce conseil ? 

- Que nenni, 10 millions d’écus. Une broutille, sachant qu’au préalable ils m’avaient conseillé de leur demander conseil et que ce conseil-là, lui, fût gratuit. Il est heureux que les gueux ignorent que McKinsey ne représente réellement que 1 % des dépenses de conseil entre 2018 et 2020, loin derrière Eurogroup et Capgemini. 

- Mon cher Ami...be, vous allez me faire regretter de n’avoir point cédé à vos caprices et de vous avoir refusé l’iPhone que vous m’aviez réclamé pour Noël en même temps que le marteau piqueur à piston, vous eussiez demandé à Siri, cela eût quand même été moins onéreux. Reprendrez-vous du thé ? 

- Attendez, je demande à McKinsey. 

- Vous voyez, mon Ami, que vous abusez ! Tout cela va fort mal se terminer. 

- Mais ne vous affolez point ô ma mie, ma Jean-Mie ! Mon Fidel Castré, comme dirait le Sieur Trudeau. Si d’aventure je n’étais point réélu, il me suffira d’agresser Poutine avec votre âge deux fois canonique, une bonne guerre nucléaire réglant promptement nos affaires. 

- « Cat Power! », cria le chat botté qui passait par-là. Moi, je vote Marine, car elle aime les chats et ça me botte même si elle est à 7 lieues de comprendre quoi que ce soit à quoi que ce soit. 

- Cela me va très bien, sourit le roi. Je salive à l’idée du prochain débat. Tant que vous ne me mettez pas Zemmour, tout me va. 

- Je ne saurais voter Zemmour, dit le chat. 

- Vous m’en voyez fort aise, mais pourquoi donc, questionna le roi ? 

- Parce qu’il ne s’appelle point Le Pen. C’est comme vous avec Omo, même si ça ne lave pas bien, vous n’aimez point changer de marque. 

Le roi sera-t-il réélu ? La guerre nucléaire aura-t-elle lieu ? Le chat botté a-t-il eu une relation homosexuelle avec un des chats de Marine Le Pen ? C’est ce que vous saurez dans le prochain épisode.