Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

dimanche 24 décembre 2023

Fable de LA FONTAINE avec MACRON dedans…😂 (25/12/2023)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/zU5z5kuUbTg

 

Il était une fois au royaume de France
Un monarque narquois aux narines en transe
Qui voulut une loi pour que ses sujets pensent
Qu’à leur grand désarroi on faisait déférence.
Des brigands étrangers en quête de pitance
Mettaient en grand danger, de par leur appétence
Ce qui portait jupon et ne courrait point vite
Et que ces vils fripons pénétraient de leur …
De nombreux malfaisants, dont certains nés céans
Saignaient, tels des faisans, les pâles mécréants
Qui ne vénéraient point leur dieu nourinophobe
Ou leur vendaient des joints et imposaient leurs robes.
D’imposants chandeliers, nos sapins remplaçaient,
Leurs conflits frontaliers d’autres, chez nous, poussaient.
Miss France mal lotie en attributs mammaires
Poil ras sans frisottis ne masquait plus l’affaire.
Détourner l’attention des gueux réputés cons
Voilà donc la mission qu’il confia à Gnafron.
« Il nous faut une loi traitant d’immigration »
Argua le Saint-Éloi, pris d’une inspiration.
« Bonne idée, dit le roi, mais en cette matière
Je ne fais point le droit, c’est Ursula qui gère ».
« Qu’importe, dit Moussa, il faut calmer la plèbe
Qui ne sait point tout ça, mais s’ébroue sur sa glèbe.
Si, mon Roi, elle a cru que Jean-Mi était femme
Elle gobera tout cru cette manœuvre infâme ».
« Il faut que cette loi soit « sur » et non point « contre »
Afin que les emplois non pourvus qu’on leur montre
Sans expliquer pourquoi, notamment les salaires
Et l’absence de toits pour Français prolétaires,
Justifient d’importer la moitié de l’Afrique
Afin de rapporter à nos maîtres du Fric
Et détruire en passant la cohérence ethnique
Seul rempart repoussant l’invasion climatique. »
Sitôt dit sitôt fait, le cirque fut lancé
Et l’on s’apostrophait, certains étant tancés
D’être des inhumains pour être peu enclins
À souhaiter que demain acte notre déclin.
Le Sénat exigea des réformes timides
LFI s’insurgea, poing levé, l’œil humide.
Et ne voilà-t-il pas, coup du sort, que d’emblée
D’autres suivant ses pas, ça bloque à l’assemblée.
« Ceux sous OQTF, onc ne reconduisons
En trains SNCF vers d’autres horizons
Ils resteront ici, aux fachos n’en déplaise ! »
« Mais quelle impéritie, dit le roi, ils nous baisent ! »
Il fit alors mander, des quarante-neuf trois
La rigide obsédée, balai dans quelque endroit.
« Rattrape les erreurs de ce pauvre homuncule,
Accepte sans pudeur, quand bien même on …
Toutes les conditions que l’on t’imposera.
Par cette opération, notre loi passera.
Le barrage a cédé, plus rien n’entrave l’eau
Et j’aurais l’air moins con avec mon …
Que si elle capotait et que mon pouvoir flanche
Déjà que nul ne tait que je suis une tanche.
Il n’y a plus rien dedans que l’on voulait y mettre
J’entrevois cependant un biais pour la leur mettre
Car au sein du conseil dit constitutionnel
Où comme dans Marseille, le droit est optionnel
Des gens de mes amis, bien logés, bien nourris
Prêts à toute infamie, en un mot : des pourris,
S’en vont nous retoquer tout cela sans finesse
En feignant d’invoquer nos valeurs de mes fesses. »
Et la loi fut votée, mais le parti du roi
De sa déculottée, sortait en désarroi,
La gauche dépitée d’avoir crié victoire
Prit sa stupidité en gros suppositoire.
Et sans l’extrême droite, la loi ne passait pas
Ce que, teint blanc, mains moites, le roi n’admettait pas.
Calcul alambiqué à l’appui de sa thèse
Bien qu’il fût fort niqué, il osa des foutaises
Passant pour un couillon et un escroc notoire
Se prenant un bouillon, car nul ne le put croire.
Il rétropédala, avouant que lui-même
Allait, dans ce cas-là, dire au conseil suprême
De censurer la loi, s’enfonçant plus encore
Au mépris des Gaulois qui, eux, étaient d’accord.
Les faux-fuyants pervers, les grands débats pompeux
Et les numéros verts, cette fois, feront peu.
Même avec McKinsey pour lui sauver la mise
Sa survie, il le sait, est plus que compromise.

Moralité :
On peut faire chier, à des fins politiques
On nous peut enculer sur ordre oligarchique
Les deux « en même temps » ce n’est point hygiénique
Toujours sent l’excrément quiconque ainsi pratique.


lundi 18 décembre 2023

Encore un 49-3, loi immigration, agression à Lyon, chats interdits… (18/12/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:  https://youtu.be/lVRvwXyCyKI

Bonjour ! 

Pour la 22e fois, j’ai encore fait ce rêve bizarre dans lequel, encouragée par un conseil d’État en rut, une Élisabeth Borne en nuisette enfilait à sec un plug anal de 49,3 cm dans quelque orifice d’un Éric Ciotti impassible, orifice qu’un crâne, aussi glabre que ses fesses, rendait difficile à situer géographiquement avec certitude. Détournant la tête à ce spectacle, j’apercevais alors, un instant dissimulés à mon regard par les formes graciles de Mathilde Panot, tous les autres, de LFI au RN, attendant patiemment leur tour en tenue d’Eve, d’Adam ou d’indéterminé. Un peu plus loin, un Darmanin occupé à faire subir les derniers outrages à une quémandeuse de logement social faisait mine de présenter sa démission à un Emmanuel Macron qui, à son tour, faisait mine de la refuser, lui-même activement déconstipé par un individu à perruque qui, visiblement perturbé par ce que dévoilent des restaurations récentes de photos par intelligence artificielle, le fouettait rageusement avec un ChatGPT à neuf queues. 

Des migrants de passage se torchaient allègrement avec la version Sénat du projet de loi « sur » et non « contre » l’immigration, ou alors « tout contre », qui aurait eu autant d’effet sur la problématique qu’un pet de lapin LGBT sur une toile ci(sgen)rée, mais avait permis à quelques députés de se décontracter les fesses entre deux enculades et de faire semblant d’exister tandis que, dans le lointain, de par-delà les Alpes, on distinguait vaguement le postérieur arrondi d’une Meloni bien nommée, en triple pénétration, ouvrant les vannes à 450.000 entrées légales… y compris, sur le territoire italien. 

Je fis un « saut d’homme » tandis qu’elle disait « go ! more ! », désireux de m’échapper de ce cauchemar, tout ça pour me retrouver subitement dans une cave, à Lyon, où quatre adolescentes aux prénoms classés secret défense, tels des soldats israéliens liquidant leurs propres otages pourtant munis d’un drapeau blanc, transformaient en serpillière une gamine de souche avec une violence à faire requalifier n’importe quel féminicide en légitime défense. Je ne sais pas pourquoi me revint alors à l’esprit la prestation de Sandrine Rousseau chantant l’hymne des femmes à l’assemblée, hymne qui rythmait parfaitement les coups de poing, coups de genou sur le visage et arrachage de cheveux auxquels j’étais en train d’assister. On reproche aux maghrébins de n’être pas romantiques, mais à leur décharge : « Mignonne, allons voir si la rose qui ce matin avait déclose, sa robe de pourpre au soleil… » est objectivement moins efficace qu’une paire de baffes pour amadouer des engins pareils ; et qui sommes-nous pour juger la culture des autres ? 

Un chat, un chien et un poisson rouge dans son bocal me passèrent alors subitement entre les jambes, pourchassés par un député européen à l’anus étoilé considérant que, contrairement aux supercargos qui nous amènent les produits qui massacrent notre agriculture, nos animaux de compagnie sont une menace pour l’environnement : le chat parce qu’il tue des oiseaux presque autant que les éoliennes, le chien parce qu’il bouffe trop, à l’inverse des migrants et de Gérard Larcher et le poisson rouge parce que, contrairement aux logements des Français, son bocal est chauffé et qu’il vide, de surcroît, les nappes phréatiques mises à mal par cette sécheresse que Macron nous avait annoncée cet été (parce que le réchauffement climatique) sans toutefois anticiper (et on ne saurait le lui reprocher) que Sandrine Rousseau allait chanter avec les résultats que l’on connaît. 

Finalement, le chat, le chien et le poisson rouge, lequel était un peu piranha par son arrière-grand-mère maternelle, décidèrent de se rebiffer et le député repartit, non point la queue entre les jambes, ce qui était désormais techniquement impossible, mais tout dépité auprès de Von Der Leyen, en tenue dominatrix qui le châtia à coups de fouet. Elle jeta la carcasse sur la montagne de drapeaux nationaux, désormais interdits au parlement, qu’elle avait confisqués aux députés, puis se retourna vers Zelenski qui tentait de la séduire en interprétant une sonate au piano les mains dans le dos. La belle accepta alors d’accueillir, en son sein fripé, une Ukraine ruinée qu’il faudra rebâtir à nos frais, qui englobera à elle seule un quart de la PAC tout en tirant encore les salaires à la baisse avec son SMIC à 150€, tout ça, bien sûr, sans consulter personne. Tel superman, je vis alors passer dans son col roulé rouge, très haut dans le ciel, super-dilatator qui fonçait mettre la Russie à genoux. Tout n’était peut-être pas perdu. 

Sur ce, profitant du fait qu’en rêve on peut encore voyager sans identité numérique, je fis un petit tour en Allemagne où les pères Noël se font attaquer dans les rues et en Italie où des crèches se font incendier, avant de revenir en France où, plus malins, on dit « joyeuses fêtes » au lieu de « joyeux Noël » et on plante des chandeliers à 7 branches jusque dans l’Élysée, au lieu de ces enfoirés de sapins antirépublicains. Il est vrai que c’est presque pareil niveau bougies, mais cela manque quand même un peu de guirlandes (si je peux me permettre une suggestion). 

Mais revenons à la réalité. Le fond du problème c’est moins l’immigration, terme qui ne veut rien dire, que la perte de cohérence à la fois ethnique, culturelle et cognitive sans laquelle il n’y a plus de peuple. Cela varie d’un pays à l’autre, ce qui fait la richesse de l’humanité, mais pour la France, ce qui lui a valu de se hisser et de rester au cours des millénaires et jusqu’à une date récente, parmi les premières puissances mondiales, c’est d’être un peuple de type européen, de culture helléno-chrétienne avec un QI moyen supérieur à 100. Cette cohérence devrait être ET inscrite dans la constitution ET le but de toute action publique, notamment par la réorientation des aides, sociales et liées à la natalité. 

Certes, idéalement, on ne devrait accueillir que des gens répondant à ces trois critères, mais il ne s’agit pas, bien sûr, de tomber dans un intégrisme aveugle et de se priver de ce que d’autres peuvent nous apporter, simplement, à minima, on ne devrait accepter, ou ne laisser se maintenir sur notre territoire, personne ne répondant à aucun des trois, ce qui est le cas de l’immense majorité des gens qui défrayent la chronique par des actes de plus en plus ignobles, le seul fait d’avoir des pouces opposables n’étant visiblement pas suffisant pour s’intégrer dans notre société spécifique. 

En réaction à la colère qui monte, on peut appliquer la méthode Darmanin lequel, faute de pouvoir expulser efficacement des terroristes ouzbeks, dissout à tour de bras toute association identitaire ou catholique qu’il arrive encore à trouver, comme, cette semaine, Academia Christiana, en attendant les petits chanteurs à la croix de bois. Une méthode qui a fait ses preuves et dont chacun peut constater à quel point elle améliore la situation. D’autres, moins inventifs, prônent le FREXIT partant du principe que le fait d’être pieds et poings liés, pantalon baissé et le cul à l’air par des traités signés dans le dos des peuples, n’est pas la position idoine pour affronter ce qui nous pend, entre autres, au nez. 

Mais le Frexit, pour le Frexit, ne sert à rien comme on l’a vu avec le BREXIT. Au-delà du mot « souveraineté » qui ne veut rien dire (sauf à préciser pour qui), il faut un but précis préalable audit Frexit quand on veut motiver les gens et faire plus de 1%. Dire : « on fait le Frexit et on discutera du reste après » ne marche pas. Son intérêt, c’est de pouvoir récupérer notre cohérence et le droit à notre spécificité en tant que peuple sur les critères ethniques, culturels et cognitifs évoqués dont tout le reste découle et qui nous ont permis de toujours nous relever en dépit des aléas de l’histoire. C’est ce qu’on a vendu, en filigrane, aux Anglais avant de les trahir en faisant exploser l’immigration, parce que, justement, les choses n’avaient pas été clairement dites. 

Le Frexit, c’est l’antithèse des fameuses « valeurs de la république » dont on nous rebat les oreilles et quelqu’un comme Asselineau, dont j’apprécie par ailleurs la pertinence des analyses, se tire une balle dans le pied à chaque fois qu’il conclut ses diatribes par « vive la république ! ». Le Frexit est donc un instrument, un préalable technique qui ne saurait se suffire à lui-même ou constituer à lui seul un socle politique, pas plus que parler anglais sur un CV, si c’est souvent indispensable ne suffit à avoir le poste. Ne pas comprendre ça, ou faire semblant, pour éviter comme la peste la seule chose qui a un sens et pourrait fédérer au-delà des 5%, à savoir la cohérence ethnico-culturelle, c’est, électoralement, mettre la charrue avant les bœufs, erreur que commettent tous les « frexiteurs » lesquels à un moment où l’UE est en train de préparer un véritable coup d’État oligarchique et où les peuples commencent à se réveiller, faute d’être en accord sur le fond, ne sont même pas fichus de s’unir en vue des européennes et de proposer une offre politique crédible. 

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dimanche 10 décembre 2023

Sur l’air du ZIZI de Pierre PERRET : « Vous saurez tout sur les pourris » (11/12/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:  https://youtu.be/8VskNkCE8TU


 Paroles :

On nous a vendu l’immigration
O gué, o gué
Et que Macron était un champion
Ou gay ou gay
Qu’on allait tous manquer d’eau
Que le nucléaire c’est crado
Que toutes les vaches pètent en cœur
Du CO2 tueur
Que c’est mal les bombes qu’envoie Poutine
Par contre c’est bien sur la Palestine
Les sapins ce n’est pas républicain
Au gui, au gui
Hanouka à l’Élysée c’est bien
O goy, o goy
Les vacances à Tahiti
Pour Hidalgo c’est permis
Pour DuPont-Maserati
La justice est mimi
Pendant que l’électricité augmente
Les tests PISA slaloment en descente
Tout tout tout
Vous saurez tout sur les pourris
Y a des dilatés
À Bercy
Des trop aidés
Qu’ont du sursis
Pour les frondeurs
Pas vaccinés
Un emmerdeur
À l’Élysée
C’est là qu’habite
D’après certains, une femme a…
L’insécurité « sentimentale »
Osé, osé
Impression de coups de couteau fatale
Ok, ok
Les crânes au marteau on fêle
On viole sous la tour Eiffel
On poignarde des Thomas
Découpe des Lola
Même les mamies qui ne courent pas vite
À quatre-vingts piges se prennent une…
C’est peut-être des supporters anglais
Au thé, au thé
Ou bien, Kévin, Matéo qui sait
Osez, osez
Pour Darmanin tout va bien
Il est responsable de rien
Peut venir à la télé
Sortir l’ukulélé
Pendant ce temps dans la France profonde
On dispatche des amateurs de blondes
Tout tout tout
Vous saurez tout sur les pourris
La fêlée
Des 49-3
Qui à l’assemblée
Fume de surcroît
Les gros lards
Et autres fêtards
Qui à la cantine
S’agglutinent
Et pondent des lois
Juste pour emmerder les Gaulois
Ils sont tous fan de Von der Leyen
Olé, olé
Ses contrats Pfizer himalayens
On tait, on tait
Des échanges commerciaux
À coup d’énormes rafiots
Qui tuent nos agriculteurs fournisseurs initiaux
De nouveaux accords veulent même qu’on paye
Si en Afrique le climat s’enraye
Ils veulent que nos gosses changent de sexe
O gay o gay
Et si on dit non, ces cons se vexent
Oh hé, oh hé
Même le Pape est progressiste
Aime les genres fantaisistes
Qui stérilisent des enfants
En coupant et greffant
Avec leur drapeau en anus étoilé
On est bien partis pour se faire …
Tout tout tout
Vous saurez tout sur les pourris
Qui comme des porcs
Bâfrent à Versailles
Terminators
De boustifaille
Voitures, chauffeurs
Jusqu’au coiffeur
Avec nos impôts
C’est cadeau
Et qui matraquent
Ceux qui dénoncent cette arnaque
Et puis ils ont leurs médias aux ordres
Au pied, au pied
Qui tentent de camoufler le désordre
C’est gai, c’est gai
Ils nous parlent de Depardieu
Disent Mélenchon odieux
Et alertent sur « l’ultradroite »
Quand d’autres nous éclatent
Qui nous vendent la voiture électrique
Qu’avec du charbon la Chine fabrique
Tous tous tous
Nous savons tous qu’ils sont pourris
Le périmètre
Est surveillé
Faudrait peut-être
Se réveiller
Ils ont partout
Des caméras
C’est surtout
Pour qu’on ne bouge pas
Ils camperont-là
Tant qu’on ne les délogera pas.

dimanche 3 décembre 2023

Pourquoi le massacre va continuer (04/12/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/Vow4gBjRFIM

Bonjour ! 

La justice est représentée les yeux bandés avec un glaive à la main, combinaison pour le moins hasardeuse, ledit glaive pouvant se retrouver planté à tâtons dans des endroits inappropriés, d’autant que Thémis, petit nom de la statue (« Thémis profond » pour les intimes) est une tante (celle de Zeus dans la mythologie grecque). Ces violations accidentelles de raies privées sont dilatées en sphincters de raies toriques et autres verbiages par le fait qu’il s’agit de la justice de la république, comme la police est la police de la république et le gouvernement, le gouvernement de la république, ce qui signifie que, contrairement aux idées reçues, sa fonction première est de défendre… la république. 

Et qu’est-ce qui met en danger la république ? L’atteinte à ses valeurs. Quelles sont ses valeurs ? L’universalisme. Qu’est-ce que l’universalisme ? C’est de considérer que tous les hommes se valent (même si certains élus politiques ou bibliques sont un peu plus égaux que les autres). Donc, à chaque fois que l’on revendique une forme de priorité, chez lui, pour le Français (et à fortiori le Français dit « de souche »), raison d’être à la base de sa constitution en pays pour défendre ses intérêts, on attaque les valeurs de la république qui est donc à la France ce qu’un hypothétique travelo à perruque pourrait-être à une première dame. 

De même, à chaque fois que l’on remet en cause l’immigration et le fait qu’un migrant multirécidiviste, sous OQTF, ne doit pas être moins considéré que celui qu’il poignarde ou viole, dans un désir innocent de créer du lien, mais provoquant un « sentiment » d’insécurité chez les racistes réfractaires à l’enrichissement culturel, on attaque les valeurs de la république. Donc tous ceux qui disent : « j’ai confiance en la justice de mon pays » évoquent quelque chose qui n’existe pas puisqu’ils ont l’insigne honneur d’être jugés, à la place, par la justice de la république. Si on n’a pas compris ça, on pourrait croire, à tort, que ladite justice dysfonctionne. 

Par exemple est-ce que le fait, pour une victime de racisme systémique, de rouler sans permis, de refuser d’obtempérer puis de percuter en voiture et de traîner sur 20 mètres un policier qui en gardera des séquelles cérébrales met en danger les valeurs de la république ? Assurément non, donc 35 jours de travaux d’intérêt général (on suppose consacrés à essuyer les traces de sang à la serpillère) c’est amplement suffisant. Petit coquin, va! 

À l’opposé, quand 6 jeunes blancs dégoulinants d’heures les plus sombres agissent comme s’ils étaient chez eux en France, attitude d’extrême droite, que dis-je : « de giga, méga, ultradroite », et ont l’impudence de pénétrer sans visa en terre étrangère, à Romans-sur-Isèrabad, avec une banderole « Justice pour Thomas » qui plus est, ils sont chargés et tabassés, comme il se doit, par la police de la république qui, taquine, plutôt que de simplement leur interdire pacifiquement l’entrée, les a patiemment attendus et nassés à l’intérieur. Des forces de l’ordre républicain qui, en revanche, avaient piscine durant les émeutes estivales en ce même lieu, émeutes festives qui elles, ne remettaient pas en cause les valeurs de la république. 

Une police (mais râpeuse) venue en soutien aux jeunes incompris (mais rappeurs) du quartier qui, incrédules, prenaient des selfies et, reconnaissants, ont tranquillement fini le travail en enrichissant culturellement à une vingtaine, un indigène qui avait quitté la manifestation et se trouvait pourtant hors de l’enclave, brûlant son véhicule pas assez écologique et, afin, on suppose, de faire un don à Emmaüs, le laissant pour mort dans le plus simple appareil (au grand satisfecit twittesque de Mélenchon) tandis que ladite police se plaçait en embuscade pour interpeller… ceux qui venaient prendre de ses nouvelles à l’hôpital. 

Donc les porteurs de banderoles au casier judiciaire honteusement immaculé (même s’ils n’ont rien cassé et pas brûlé la moindre poubelle) en plus de s’être fait « bastonner » se sont vus condamnés, en comparution immédiate, en raison non de ce qu’ils ont fait, mais de ce qu’ils auraient pu faire ou auraient pu avoir l’intention de penser à envisager de faire, à des peines de six à dix mois de prison ferme avec mandat de dépôt alors que, d'ordinaire, on ne va pas en prison pour des peines inférieures à deux ans et que 3 des incriminés pour le meurtre de Thomas sont eux en liberté sous contrôle judiciaire, tout comme six individus qui avaient attaqué une police municipale et brûlé ses locaux, autant d’actes débonnaires et innocents qui n’ont pas l’impudence de remettre en cause les valeurs de la république. 

Si quelqu’un a la définition de « prisonnier politique », je suis preneur, car j’ai un trou et que le majeur du pays des « doigts de l’homme » ne sentant pas déjà très bon sur ce coup-là, je n’ai pas envie qu’il s’y insère. Une fois que l’on a compris comment les choses s'articulent, on ne peut qu’applaudir au non-lieu, parce que… (faute de mieux, je vais tenter le réchauffement climatique), d’Éric Dupont-Maserati cabriolet à 100 000€, jugé pour conflit d’intérêts par un conglomérat pas très catholique de 12 parlementaires non apostoliques qui n’ont pas forcément envie que la même chose leur arrive et une trinité pas spécialement divine de 3 juges qui pensent retraite et avancement. Le non-lieu n’est pas un acquittement, juste la conclusion : « circulez, il n’y a rien à voir » ce qui, avec le recul, s’avère vexant pour l’érection de Darmanin traitée de la même façon et qui, alors qu’il se levait pour ranger un dossier est entrée accidentellement, à l’insu de son plein gré, dans quelque orifice féminin d’une personne qui avait laissé choir quelque chose par terre, une demande de logement social, si je ne m’abuse, ce qui est toujours mieux que d’abuser des autres. 

Un Darmanin à qui il faut reconnaître, selon une logique que seul un républicain ceinture noire, maîtrisant les techniques de casse, « à termes, haut maître » donc, peut suivre, d’avoir toujours la réponse idoine en cas de drame. Après Paty, dissolution de génération identitaire, après Lola, de Civitas et après Thomas, d’une obscure association nommée Charles Martel, nom qui, effectivement, évoque la francophobie la plus crasse. 

Mais qu’on se rassure, parfois la justice s’énerve et fait des exemples qui frisent l’inhumanité. Un an de prison (avec sursis, faut pas pousser non plus) requis pour Sarkozy qui a fait sodomiser Kadhafi à la baïonnette pour une sombre histoire de valises de billets, causant la mort de centaines de milliers de personnes au passage, le chaos perpétuel et le retour de l’esclavage en Libye et déclenchant le début de la vague migratoire qui nous frappe, vague impossible à arrêter en raison des traités européens refusés par référendum, mais imposés par la bande par… un quidam à talonnettes dont j’ai oublié le nom, quand il n’était pas occupé à brader nos réserves d’or et à réintégrer l’OTAN. Mais il n’a pas contrevenu aux valeurs de la république. 

Du sursis également requis contre Olivier Dussopt d’obstacle de la réforme des retraites, notre bon ministre du travail, pour favoritisme. Je vous épargne la liste des 18 condamnations, 7 mises en examen et 13 enquêtes en cours en 6 ans et demi de macronie et ce n’est pas fini, car à l'instar des 20 49-3, d’Élisabeth particulièrement Borne à rien, quand il n’y en a plus, il y en a encore. Mais pourquoi s’arrêteraient-ils ? Depuis que Sarkozy, encore lui, le premier, a dit en substance « allez vous faire foutre » à des manifestations de plus de 3 millions d’individus en 2009 et en 2010 et qu’il n’y a pas eu de révolution derrière, c’est devenu open-bar pour les réformes et le foutage de gueule. 

Nous avons déjà intégré qu’un politicien est pourri, et que, le pauvre ayant des besoins, c’est normal qu’il fraude, viole, drogue ses collègues, oublie de déclarer ses revenus, mente, triche, prenne l’avion pour un oui pour un non tout en nous imposant des restrictions et, de même, quoi de plus banal que de se faire assassiner dans la rue comme, encore ce samedi, à Paris, au cri de : « Allah Akbar », par un fiché S muni d’un couteau (presque une faucille) dans une main et d’un marteau dans l’autre, faisant qu’on n’est plus très loin de la synthèse islamogauchiste qui fait tant fantasmer certains israélo-droitistes. Mais bon, la victime était juste un touriste allemand, donc tout le monde s’en fout et, tels les gnous après une attaque de hyènes, nous retournons déjà tranquillement brouter notre herbe médiatique ou la fumer selon les cas. 

Si l’assassinat de Thomas a fait quelques remous, c'est juste parce ce qu'un nouveau palier a été franchi et qu’il n’y a plus nulle part où se réfugier si même les campagnes ne sont plus sûres. Une réaction aussitôt qualifiée d’ultradroite et qui sera vite oubliée. Encore deux ou trois évènements de ce type et ce sera le nouveau normal : on vendra des portes d’entrée et des volets roulants en acier blindé, Netflix prendra encore 20% et, quand on sera obligés de sortir, on n’oubliera pas son QR code comme celui qu’Hidalgo, toute bronzée, idée qu’elle a probablement eue à Tahiti (comme quoi elle a bien travaillé sur place), imposera pour circuler dans Paris durant les JO pour aller acheter un ticket de métro à 4€.

 Tandis que ceux qui n’ont déjà plus rien le 10 du mois n’ont plus ni l’énergie, ni les moyens de se déplacer pour aller botter des fesses, ceux qui les ont encore, moins sages que le loup de la fable de La Fontaine « le loup et le chien » s’accrochent désespérément à un reliquat de confort toujours plus réduit qu’ils ont la trouille de perdre, mais qu’ils perdront quand même, en échange d’un collier qui se resserre chaque jour davantage. C’est peut-être ce que l’on appelle la sélection naturelle. 

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lundi 27 novembre 2023

CREPOL, DUBLIN… la pression monte dans la cocotte-minute, et autres actualités (27/11/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/2U_oZN6ZIXg

Bonjour ! 

Certains plantent des tomates, d’autres plantent des Thomas. La différence est subtile, certes, mais suffisante pour que des racistes fachos d’extrême droite, toujours à chipoter sur des détails, osent la relever dans le sillage de feu Gérard, décédé ce samedi d’un cancer non pas du Collomb, ce qui eût été cocasse, mais de l’estomac, et qui, déjà, avait lancé en 2018, en quittant le ministère de l’Intérieur : « Aujourd'hui, nous vivons côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face ». Personnellement, je déteste tous les racistes… surtout les noirs et les arabes… Il y a peu, cette boutade n’aurait pas fait sourire les quelques rescapés qui ont encore accès au second degré, car le racisme antiblanc, tels les fonds occultes de campagne de Macron en 2017, officiellement ça n’existait pas. 

Il en va différemment à présent qu’une salle des fêtes de campagne a été assaillie (ce qui devait arriver « couteau » ou tard) par des cons qui, au lieu de gueuler « Allah Akbar » comme tout le monde, ce qui aurait simplifié les choses, n’ont rien trouvé de mieux que de revendiquer, selon leurs propres termes (rapportés par 9 témoins) vouloir « planter du blanc », rendant l’hypothèse d’une animosité d’une partie de la population envers l’autre aussi débattable que le nombre de chromosomes X au sein du couple présidentiel. Donc ça y est (et même si, face à tous ces actes d’amour qui embellissent chaque jour davantage notre paradis multiculturel, je comprends que cela puisse choquer certains) c’est pourtant officiel : ceux que d’aucuns appellent affectueusement « sales blancs », n’ont plus le monopole du racisme. 

Une notion de « blanc » elle aussi « éclaircie » (ce qui fait un peu « thon sur thon » façon Braun-Pivet sur Elisabeth Borne). En effet, avant ces évènements, certains puristes qui fantasment, à leurs heures perdues, sur un moyen (non LGBT) de croiser Boris Le Lay et Hervé Ryssen pour sauver la civilisation, pouvaient encore argumenter sur la colorimétrie, ce qui faisait le jeu des « antiracistes » pour décrédibiliser le concept. Depuis la visite de gens qui, décrits crépus, ont crépi Crépol d’hémoglobine, faute d’avoir tranché nous-mêmes, ça a été tranché pour nous… dans le vif … qui, hélas, ne l’est pas resté très longtemps : être blanc, c’est juste être considéré comme tel par ceux qui se considèrent non « blanco-compatibles ». 

Thomas n’aurait probablement pas été choisi en premier par le 3e Reich pour une affiche publicitaire, ni en second, ni en troisième, ni… mais de par sa francitude assumée, son comportement normal de Français ordinaire et du fait qu’il n’avait pas un second passeport en poche, il est quand même devenu une cible. Du coup, cela fait beaucoup de cibles potentielles et libre à chacun de se voiler la face, mais, sauf à le faire au propre, quand son tour viendra, les coups de couteau futurs ne seront pas plus déviés par les considérations philosophiques et une carte d’adhésion à la France Insoumise qu’un coït d’éléphants sauvages par un troupeau de 49-3 un soir de pleine lune.

Exit donc les chipotages stériles et autres finasseries avec un nuancier Dulux Valentine à la main : instinctivement, chacun sait parfaitement à quel camp il appartient et, même s’il existe encore quelques confusions chez certains patriotes auxquels les réactions médiatiques au conflit israélo-palestinien n’ont pas ouvert les yeux sur la véritable nature des uns et des autres, la réciproque n’est pas vraie. Les conditions sont donc réunies, sinon pour une guerre civile, en tout cas pour des affrontements de plus en plus sanglants comme à chaque fois que, partout dans le monde, deux communautés non solubles (et a fortiori 3) se sont retrouvées sur un même territoire, faisant fondre tous les pseudos modérés qui ne pourront plus se mentir à eux-mêmes sous peine de finir en hachis parmentier. 

Les infâmes complotistes que je désapprouve, par principe, depuis que Julien Pain m’est apparu à la grotte de Lourdes (à moins que ce ne soit un essaim de mouches coprophages sublimé par un rai lumineux - je ne suis plus vraiment sûr, car il faisait relativement sombre) feront certainement valoir qu’après le flop de la manifestation pro-Israël camouflée en marche contre l’antisémitisme, ce raid raciste a remis (simple coïncidence) le Gaulois réfractaire entre le marteau et l’enclume mettant à mal toute velléité de sa part d’observer sereinement pro et anti-Israël en découdre, en reprenant tranquillement des frites, tout en rappelant, par la même occasion, à la racaille de base, parfois distraite, de ne pas se concentrer exclusivement sur ses cousins prépuçodéficients (sans lesquels la république, on ne le répétera jamais assez, ne serait plus ce qu’elle est) car, comme un « ON » non identifiable, sauf par Elon Musk, le leur rappelle depuis au moins « SOS racisme », leur vrai ennemi, c’est le méchant colonisateur blanc, à coups de terribles marches de la même couleur, d’attaques aériennes massives au ballon en baudruche et de lancers dévastateurs de nounours en peluche enflammés aux petites bougies, elles aussi, très pauvres en mélanine. 

Depuis cette attaque, qui n’est pas un cas isolé, exactement la même chose s’étant produite à Saint-Martin-Petit dans le Lot au mois d’octobre, pour ne citer que celui-là, les Français des champs qui craignaient de ne pas pourvoir bénéficier des bienfaits du vivre ensemble, à l’instar de leurs collègues citadins, un temps inquiets, à tort, que leur digicode dissuade des migrants de venir les remercier en personne pour leurs panneaux « welcome », sont désormais totalement rassurés puisque que grâce, notamment, au « dispatchage » macronien pré JO 2024 et antérieur, plus personne ne risque d’être privé d’une expérience totale d’enrichissement culturel, jusque dans le confort de son domicile : stages de revitalisation sexuelle pour 4e âge, séances gratuites d’acupuncture profonde, massages faciaux phalangés, cours de feng shui par délestage d’objets divers, garde de domicile bénévole d’octobre à mars, animations nocturnes variées, distribution de substances récréatives, bulletin quotidien sur la taille d’Allah (laquelle n’évolue pas beaucoup, mais demeure intéressante à observer) et, à défaut de spa, chauffage organique et coloration des eaux des piscines municipales avec assistance au déshabillage dans les vestiaires… même le club Med n’en offre pas autant. 

Au lieu de se réjouir, il se trouve des pisse-vinaigres, hélas de plus en plus nombreux, pour en arriver, par je ne sais quel raisonnement antirépublicain, à la conclusion que si l’on veut conserver une société viable, rance et rétrograde où l’on peut organiser des bals dépourvus d’enrichissements culturels en faisant peu de cas du soutien à l’industrie de la coutellerie, le point de saturation et de non-retour est désormais atteint concernant les personnes, avec ou sans carte d’identité, qui se considèrent « non blanco-compatibles » et s’en servent comme prétexte pour refuser de faire corps avec le reste de la société qu’elles méprisent ouvertement. 

J’ai même ouï des gens penser très fort que l’état qui ne tient que grâce à un monopole de la violence (devenu illégitime depuis qu’il ne remplit plus ses missions régaliennes et qu’il a peur de perdre, en même temps que quelques têtes) ne s’en sert que contre les seuls moutons sur le dos desquels repose tout le système parasitaire, tant du haut que du bas. Moutons interdits de seulement lever la tête, au point qu’une simple marche blanche (qui est au peuple ce que le numéro vert est au gouvernement) s’est vue interdite à Lyon, probablement parce que, bizarrement, personne n’a pensé à qualifier Thomas de « petit ange » (n’est pas Nahel qui veut) et quand, pour réclamer justice pour le même, des jeunes au taux de mélanine racistement bas ont eu l’impudence de défiler, comme s’ils étaient chez eux, dans le quartier d’où est issue partie des malfaiteurs et dans lequel on n’avait pas vu l’ombre d’un képi pendant les émeutes, c’est tout juste si, là, en revanche, on n’a pas envoyé les blindés et l’aviation. 

Il faut dire que le calendrier de cette prise de conscience, n’est pas optimal pour le gouvernement lequel (en dépit de la transformation de Macron en rotor d’hélice d’éolienne quant à ses positions géopolitiques) tout à sa ferveur pro-israélienne, a laissé complaisamment les langues médiatiques se délier pour conspuer ouvertement de l’Arabe et du musulman faisant que, dans la foulée, le Français de base, un peu naïf, s’est cru, lui aussi, autorisé à faire ce qu’on lui interdit depuis des années : nommer les choses par leur nom, chose dont, cette fois, on n’a pu l’empêcher, car il est difficile d’expliquer à des esprits simples, qui ne comprennent bizarrement pas pourquoi certains ont le droit de tenir des propos racistes et pas les autres que, de même que si on est tous égaux, certains le sont plus que les autres, si on est tous humains certains… bref, vous comprenez le principe. 

C’est ainsi qu’encore meurtri dans mon antiracisme, j’ai entendu concernant les apprentis bouchers de Crépol « afro-maghrébins » par exemple (ou « affreux », je ne sais plus), plutôt que les traditionnels « musulmans », « racailles », « jeunes » et autres pis-aller qui tournent républicainement autour du pot comme un morpion autour d’une protubérance quelconque de première dame. Un cap est donc franchi et il va être difficile de remettre le dentifrice dans le tube après ça. 

Heureusement, le déferlement de haine a pu être évité, car, finalement, les leucophobes en question, incroyable coïncidence, s’avèrent être, au bout du compte, des Français, comme vous et moi, peut-être même davantage. Ils ont jusqu’à la carte plastifiée qui le prouve. D’ailleurs, quand on se décidera à communiquer les patronymes, toutes les mauvaises langues en seront pour leurs frais et les craintes de ratonnades d’une Sandrine Rousseau totalement angoissée, la pauvre, à cette éventualité, seront dissipées comme la rosée matinale par les premiers rayons du soleil. Personnellement, au vu des photos qui ont fuité sur le net et dont j’impute la colorimétrie désastreuse à du matériel bas de gamme, je table sur du Corentin voire du Kévin ou Matéo. 

Tout cela s’inscrit dans un contexte général avec une prise de conscience de plus en plus brutale face au « sentiment » d’insécurité de l’ensemble des populations européennes, mécontentement canalisé pour l’instant dans des partis verbalement anti-immigrationnistes façon RN ou PVV aux Pays-Bas, tolérés par le système sous réserve de ne critiquer que la branche basse de la tenaille (en gros : « c’est la faute à l’islam »). Parfois, cependant, la chose n’a pas le temps d’être phagocytée et prend un côté beaucoup plus organique comme en Irlande. Suite à une attaque au couteau, parce que bon, sans vouloir discriminer, on est obligés de remarquer que, question inventivité, tout le monde n’est pas égal, attaque ayant visé notamment des enfants, il s’est avéré que l’individu présenté par les autorités comme un autochtone pur jus, s’est vu reprocher par quelques puristes soupçonneux, d’être arrivé d’Algérie 20 ans plus tôt, coïncidence malheureuse ayant déclenché des émeutes, un peu comme chez nous cet été, mais à l’envers, pour demander une remigration massive. 

Il y a eu également des pillages qu’on a tenté de mettre sur le dos des émeutiers, forcément des hooligans, avant que de nombreuses vidéos montrent qu’ils étaient, au moins pour partie, le fait d’allogènes opportunistes souvent mis en fuite par les émeutiers eux-mêmes. 

Une course contre la montre est donc désormais engagée, car il faut à tout prix éviter que ceux qui se sentent héritiers de la terre qu’ils habitent et qui semblent se réveiller plus tôt que prévu soient en mesure de la revendiquer alors qu’ils sont encore majoritaires, ce qui serait la catastrophe pour ceux qui rêvent d’un paradis mondialisé. Acculée, l’Union européenne, envisage, si elle suit les propositions que le parlement européen vient de voter ces jours-ci, de supprimer les décisions à l’unanimité, lesquelles ralentissaient sa marche folle, de sanctuariser l’immigration de masse et « l’inclusivité », de rendre impossible toute forme d’indépendance politique des états membres, d’obliger à la solidarité en cas de guerre, de s’octroyer une armée propre, des prérogatives militaires, de se doter d’un président (pourquoi pas Macron ?) et autres joyeusetés dont l’élargissement à 34 membres. 

Il leur faut juste éviter que tout cela ne tombe à l’eau en raison d’un soulèvement des peuples et d’une reprise en main seulement viable sur des bases ethnico-culturelles. Passé ce cap, toute velléité de révolte pourra ensuite être matée par ladite armée européenne, le temps que la bascule démographique se fasse, sachant que même en stoppant net l’immigration (et elle va, au contraire être amplifiée dans des proportions considérables), en France par exemple, juste par le fait des naissances de « non poignardables dans des bals » bien supérieures à celles des « poignardables dans les bals » et ailleurs (comme encore hier, ces deux septuagénaires dans un centre commercial) ladite bascule est déjà garantie à court terme. 

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dimanche 19 novembre 2023

L’euro numérique arrive (VOUS AVIEZ RAISON D’AVOIR PEUR), Hidalgo, Gilets jaunes etc. (20/11/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/NVHyAamxSiQ

Bonjour !

Selon d’infâmes médisants, l’argent, c’est un peu comme Véran dans Gabriel Attal ou vice-versa (voire vice tout court) : ça va, ça vient. Sauf, pour les gilets jaunes : il y a exactement 5 ans, ils n’avaient rien et depuis, ils ont découvert le concept de « moins que rien », de sorte qu’il ne leur reste que leur œil pour pleurer, sans aucun mouvement social à qui passer la main (quand ils en ont encore une). Contrairement au véritable soldat inconnu, ce brave qui, quelque part, un jour, a pris la virginité d’Élisabeth Borne, leur sacrifice n’aura pas été inutile pour autant, car ils auront démontré, à l’instar de celles contre la réforme des retraites, que les manifestations qui ne se terminent pas avec une tête (ou autre organe ovoïde, façon corrida) sur une pique, c’est un peu comme essayer de faire honte à un violeur multirécidiviste sous OQTF et que l’union sacrée, sur des bases sociales, tout comme la théorie du ruissellement (certes liquide, mais chaud et ambré) est une vue de l’esprit.

Il en va autrement, de l’union, sur des bases forcément ethniques, de tous ceux qui n’ont pas un ailleurs où aller si le bateau coule, ce qui, avec un Macron qui, faute de mise au « poing », fait mumuse avec le gouvernail, les narines poudrées au vent, ne devrait plus tarder bien longtemps. Car lorsqu’on visionne les premières manifestations, c’était cela, à la base, l’essence (trop chère) du mouvement, factuellement et à 99%. Un miroir qu’il n’a pas voulu regarder, tant qu’il avait encore deux yeux, faisant qu’il a fini par perdre le NORD avant d’être complètement à l’OUEST et, alea jacta EST, ouvrir plein SUD ses flancs à une gauchiassisation progressive. Il s’en est suivi, dans un dernier soubresaut, la résignation épuisée et exsangue de ce qui restait de la France face au glorieux Frankistan des cosmopolites, tant du haut que du bas, ceux qui ont un autre passeport dans la poche, dans l’éventualité d’une collision frontale, contre l’iceberg de la réalité, d’un pays qui leur importe autant qu’un pèse-personne à Mathilde Panot. « Nos ancêtres les gaulois » et même les poilus de 14 (encore piétinés, cette année - au prétexte de n’avoir même pas lutté contre l’antisémitisme - quand Darmanin a honoré les seuls soldats circonscrits et circoncis de la Grande Guerre… à la grande mosquée de Paris) sont, pour eux, des concepts aussi flous que celui de chasteté pour Marlène Schiappa et du même registre que la petite sirène de Disney, version 2.0 tant qu’à faire.

Pour autant, même s’ils en ont de plus en plus ras le culte, mais pas encore assez pour retrouver la fierté d’embrasser ce qu’ils sont, les sédentaires seraient encore assez nombreux, comme le montrent tous les sondages, pour voter à contre-courant lors d’un référendum sur l’immigration si on leur posait la question gentiment. Macron les a entendus et a organisé les rencontres de Saint-Denis, appelées à trouver leur place dans les futurs livres « d’histoires » et où seuls étaient présents Bardella, les écolos et les communistes supposés, interdit de rire, trouver un compromis sur le sujet. On se demande ce qui a bien pu foirer, mais bon, il aura essayé, passons vite à autre chose.

Tandis que Lampedusa subit un tsunami migratoire encore plus important que celui qui avait fait toutes les unes, mais dont, cette fois-ci, nos médias « moyen-orient…és » ne nous parlent pas, et que des milliers d’enrichisseurs culturels prennent d’assaut les grilles de l’enclave espagnole de Ceuta, des femmes continueront donc à se faire violer, dans le hall de leur immeuble, en plein jour, par des gens qui considèrent nos rues comme des self-services parce que, les pauvres, n’ont pas les codes. C’est donc logique qu’ils attendent que leurs victimes aient composé le leur avant de les pousser et de les jeter à terre. Deux en une seule journée, par un même individu sous OQTF lequel, l’étant visiblement lui-même, ferait à n’en pas douter, une bonne recrue pour les métiers « en tension ».

La réponse cartésienne et rationnelle c’est, bien sûr, d’organiser des manifestations solennelles contre l’antisémitisme, au succès tristement relatif, au prétexte mesquin que ceux qui défilent devant, telle par exemple, Élisabeth Borne, qui annonce, imperturbable, entre deux 49-3, que la France a besoin d’immigration, continuent allègrement d’importer, par bateaux entiers, des gens plus sémitovores que philosémites.

Dans la même veine, la timide retouche orthographique de l’AME en AMU, proposée par le Sénat, ayant reçu une fin de non-recevoir macronienne, c’est donc encore 1 milliard (et des cacahuètes) qui n’ira pas auxdits gilets jaunes, déjà affectés par la réforme des retraites, une inflation à deux chiffres, une électricité hors de prix (sans raison valable), la diminution de l’assurance chômage et désormais le RSA sous conditions dans le contexte d’un déficit du commerce extérieur à chatouiller les fesses des kangourous australiens, tandis que, pour la première fois, les restaus du cœur annoncent qu’ils ne pourront pas servir tout le monde… en produits halal et sans viande de porc s’entend.

Mais, qu’on se rassure, pour d’autres, de l’argent il y en a, comme pour la maire de « Surmulot-City », Anne Hidalgo, partie trois semaines aux frais des contribuables ne pas visiter le site des compétitions de surf à Tahiti, une non-activité de laquelle elle a profité pour, incidemment, visiter sa fille Elsa, issue d’une rencontre « ino-pinée » avec un spermatozoïde que des malveillants attribuent à François Hollande, et qui, grâce à ses seuls mérites, s’acquitte, à 35 ans, de la lourde tâche de « chargée de mission sur les financements politiques en milieux marins », le tout dans un endroit paradisiaque et avec un salaire probablement, un chouia, supérieur au SMIC.

On apprend également que Macron, conscient des priorités, a mis un milliard sur la table pour rénover, entre autres, la station scientifique franco-italienne Concordia en antarctique et, en véritable négationniste du réchauffement climatique, pour construire un brise-glace au nom de Michel Rocard, probablement pour utiliser les avoirs de certains Russes, déjà gelés de toute façon.

Pendant ce temps, la Commission européenne avance à grands pas, sans consulter le Parlement, dans le processus de validation de l’identité électronique, couplée à un portefeuille digital qui fonctionnera grâce à la monnaie numérique, les trois aspects étant indissociables. Comment ça marche, me direz-vous ?

Grâce à une carte, portant un identifiant unique européen, vous suivront partout : vos documents d’identité, le permis de conduire (qui devra être validé périodiquement), votre passeport sanitaire, vos informations médicales, fiscales et j’en passe. Quoi que vous fassiez, vous pourrez être identifié de manière fiable, ce qui est supposé faciliter vos démarches dans toute l’Europe, ledit identifiant ne délivrant, à chaque administration, que les informations qui lui seront nécessaires, idem pour les prestataires privés. Un identifiant qui pourra donc être réclamé pour pouvoir s’inscrire, par exemple, sur les réseaux sociaux.

Il sera, par ailleurs, indispensable au fonctionnement du deuxième pan de la réforme : le wallet (ou portefeuille numérique) sur lequel l’état versera directement ses diverses prestations sans plus passer par la banque, votre carte identifiant pouvant alors servir de moyen de paiement. Mais, afin d’éviter les abus, elles seront versées en monnaie numérique, troisième pan de l’usine à gaz, dont la particularité est d’être programmable, de sorte que vous seul pourrez l’utiliser, seulement pour ce à quoi elle est destinée et uniquement pendant une durée définie, après quoi elle se dissoudra toute seule, façon fonds Marianne, et ce sera autant que l’état n’aura pas à payer.

Par exemple, connectée au terminal du supermarché qui liste déjà les produits par catégorie, votre carte ne permettra d’utiliser la prime de rentrée scolaire que pour l’achat d’articles en relation et tout ce qui ne sera pas dépensé dans le mois de ladite rentrée sera perdu, idem pour les allocations familiales qui ne pourront pas servir à acheter une télé grand écran ou un nouveau smartphone. De même, on pourrait, théoriquement, faire en sorte (on peut toujours rêver) que le RSA ou le minimum vieillesse soient uniquement dépensables sur le territoire Français, tout cela pouvant être dilaté à l’infini selon l’imagination de Bruno Le Maire.

En gros, si vous touchez quoi que ce soit de l’état, pour en bénéficier, il faudra consentir à ce qu’il sache absolument tout ce que vous en faites et combien de rouleaux de PQ vous utilisez, sachant, cerise sur raspberry « pie » numérique, qu’un discours de haine sur les réseaux sociaux pourrait, par exemple, être sanctionné par le blocage ou la désactivation de votre wallet. En ce qui concerne vos revenus traditionnels et ce que vous avez en banque, rien ne justifie que cela soit concerné par la monnaie numérique et ce n’est pas, POUR L’INSTANT à l’ordre du jour, d’autant que ça ne plairait pas à Bernard Arnaud et autre Bolloré, même si, la question pourrait vite se poser pour les salaires des fonctionnaires. C’est quand même l’état qui fait les chèques et, compte tenu de la facilité à créer de la monnaie numérique, laquelle, encore une fois, ne passe pas par les banques (lesquelles sont simplement habilitées à créer de la dette), la tentation pourrait être forte, d’autant que, en faisant miroiter une petite prime (en monnaie numérique), peu s’y opposeraient. En outre, le recours au wallet, moyennant une totale soumission, deviendrait incontournable si les banques se mettaient, allez savoir pourquoi, à faire faillite.

Donc, en résumé, nos élites se font dessus dans leur course effrénée contre un écroulement inéluctable et nettoient leur culotte au protocole des taches de fion avec toujours plus de contrôle, notamment des contrôles C et des contrôles V en matière d’information autorisée, ainsi qu’un contrôle « X » (pour ceux qui connaissent) concernant l’ex « Twitter », même si seul un contrôle Z (rien à voir avec Zorro, ni avec Zemmour) pourrait nous ramener à un peu de raison.

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lundi 13 novembre 2023

Êtes-vous atteint d’antisémitisme intermittent ? (13/11/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/yUjGmuspRzs

Bonjour ! 

Cette nuit j’ai rêvé que j’étais au lit avec Gal Gadot et Nathalie Portman. C’est ma façon à moi de lutter contre l’antisémitisme. J’étais tellement motivé à démarrer la phase active de ladite lutte que quand l’une des deux me fit remarquer que mon prépuce la mettait quelque peu mal à l’aise, sans hésiter une seconde, j’entrepris séance tenante de me circoncire avec les dents : l’antisémitisme ne passerait pas par moi. Mais patatras, telle la croissance calculée par l’INSEE face à la réalité, le temps d’un reflux gastrique consécutif à mon abus de cassoulet premier prix et les belles s’étaient métamorphosées en Yaël Braun-Pivet et Elisabeth Borne, l’une avec une bouteille d’un cru classé que j’eusse préférée dans sa main, l’autre avec une fumette que j’eusse préférée dans sa bouche et me proposant un 69-3. Comme je n’avais point d’ail sur moi, je plaçai mes doigts en croix… gammée qui plus est, ce qui est encore plus compliqué que l’autocirconcision, avant que de m’enfuir, en courant, par la fenêtre du septième étage, sans prendre la peine de l’ouvrir. 

Désemparé par cette rechute, autant que par la chute, me voilà qui déambulais dans la rue, remarquant à peine une publicité vantant le timbre-poste à l’effigie de la nouvelle Marianne à cocarde britannique choisie par Emmanuel Macron à l’issue d’une réflexion qu’on imagine aussi mûre que (dans mon rêve) Monsieur son épouse. Tout au plus fus-je vaguement interpellé quand l’allégorie de la république, aux traits déjà éloignés des idéaux de la Grèce antique, prit soudainement ceux de la graisse contemporaine sous la forme du visage de Raquel Garrido (tombée, à l’instar de Mathilde, dans le « Panot », d’une interprétation trop littérale du concept de « femme forte » à la France Insoumise), vision qui, toutefois, restait moins pire que la suggestion d’une femme un peu trans émise par Marlène Schiappa souhaitant visiblement que, comme elle, Marianne touche le fond à défaut du fonds à son nom. Une Raquel Garrido, suspendue pour 4 mois à quelque chose qu’on espère solide pour, en « gros », crime de lèse-mélenchonicité et manque de sensibilité aux petits gazaouis, non pas des oiseaux, mais tout court. 

Conscient, à ce niveau de delirium (très mince, lui) qu’il me fallait d’urgence consulter un médecin, j’avisai de chaque côté de la chaussée deux plaques qui se faisaient face : docteur Lévy et docteur l’amor. Comme après une chute de 7 étages, il était logique d’être entre Levy et l’amor, j’optai pour Levy. Après m’avoir ausculté, il me diagnostiqua, outre une grossophobie pathologique, ce qu’il appelait de « l’antisémitisme intermittent ». Je réalisai enfin pourquoi, chose qui m’avait toujours taraudé, j’aimais bien les films de Stanley Kubrick et pas ceux de Bernard-Henri Lévy. Devant mon angoisse palpable, il m’assura qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter et qu’il s’agissait probablement d’un effet secondaire, au demeurant bien répertorié, de la non-vaccination. 

Il ajouta que si je n’envisageais pas une carrière dans la politique ou dans les médias, tout ce que j’avais à faire était de patienter encore un peu, le temps qu’on importât 12 millions de musulmans supplémentaires. Je lui demandai en quoi cela allait guérir mon antisémitisme et il me répondit, tout en enfournant quatre passeports dans une grosse valise avant de me raccompagner vers la sortie, que ça ne le guérirait pas, mais que comme il n’y aurait plus de juifs en France, ça ne dérangerait plus personne. Comme je le suppliais de faire quelque chose, il finit par me conseiller, à travers la porte qu’il me claqua au nez avec une telle précipitation qu’il manqua d’y coincer le sien, de faire beaucoup de marche, arguant que c’était efficace contre l’antisémitisme. 

C’est en tout cas, me suis-je dit, en me réveillant (le pyjama rayé, acheté en soldes, trempé de sueur) ce que semblent penser Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher, même si d’aucuns verront dans leur marche un coup politique avec un petit p (sauf si Gérard a mangé épicé), un gros P étant, de toute façon, particulièrement malvenu compte tenu des circonstances et selon qui défilera derrière. Sauf à considérer que l’antisémitisme (lequel semble davantage préoccuper nos gouvernants que les inondations dans le Pas-de-Calais ou le fait que l’on interdit désormais les boîtes de camembert en bois) est un virus hybride organo-numérique qui s’attrape en regardant des vidéos non stérilisées sur Internet, ou en touchant un antisémite, il doit forcément avoir des causes, qu’elles soient fondées ou non, auxquelles il convient de s’attaquer si on veut le combattre. 

Comment se fait-il, par exemple, qu’on aime Einstein et pas Epstein ou Weinstein ? Est-ce seulement de l’antisémitisme intermittent, comme dans mon rêve, ou aurait-ce quelque chose à voir avec le comportement des uns et des autres ? L’esprit Spiderman (Stan Lee était juif) qui considère « qu’un grand pouvoir implique de grandes responsabilités » est en fait une denrée rare et certaines niches, comme la politique, le show-biz ou les médias, où se concentrent pouvoir, argent, notoriété et sexe facile, sans corrélation aucune avec un minimum syndical de transpiration non orgiaque, ont tendance à attirer les enfoirés, médiocres et fainéants de toutes races et de toutes religions aussi sûrement qu’un étron de végan bio dans des toilettes sèches, les insectes coprophages soucieux de l’environnement. 

Une des causes principales, en démocratie et sous leur forme actuelle, non seulement de l’antisémitisme, mais aussi de l’homophobie et, dans une moindre mesure, du racisme, c’est que, confrontés à leur « enfoiritude », certains ont pris l’habitude, quand ils commencent à être à court de mensonges, de sortir une carte magique de quelque endroit sordide de leur anatomie, en traitant leurs détracteurs qui d’antisémites, qui d’homophobes, qui de racistes, alors qu’ils sont simplement des anti-enfoirés lesquels, au départ, n’en ont rien à cirer de savoir si le pénis de celui qu’ils apostrophent est circoncis, d’une couleur assortie à son slip et encore moins dans quel orifice il aime à l’enfourner (même si, au passage, cela peut avoir une incidence momentanée sur ladite couleur). 

En période d’inflation, d’effondrement général et d’insécurité galopante, cela finit par énerver, d’autant que certains n’ont pas une, mais des cartes (rien à voir avec le philosophe), d’où un ressentiment qui finit par se déporter vers les gens ordinaires. C’est certes injuste, mais compréhensible quand les autres encartés, dans la vie civile, lesquels ne sont pas majoritairement des enfoirés et sont pourtant les premiers impactés par les conséquences de ces détournements, soit par apathie, par manque de conscience ou par solidarité mal placée, ne se distancient pas, ou très mollement de ces personnages, voire parfois les soutiennent, reproduisant le schéma des musulmans qui, pour ne pas avoir dénoncé en masse ce qu’on appelle à tort « l’islamisme » et ne pas s’être désolidarisés de certains, sont désormais tous assimilés par beaucoup, y compris par les médias (et surtout ces temps-ci), à une nuisance globale. Une nuisance à laquelle on tente d’amalgamer les Palestiniens, oubliant, comme en attestent les églises bombardées, que certains sont chrétiens, de la même façon que d’autres tentent d’amalgamer tous les Juifs à Netanyahu et son projet messianique. 

Comme il est compliqué de devenir juif, mais un « poil » plus simple (même si rasé c’est plus hygiénique) de se faire déconstiper de manière artisanale, il y a désormais pléthore de coming-out chez les enfoirés et autres ministres en recherche de jokers, notamment ceux qui, comme Véran (sentant monter les ennuis judiciaires post effets secondaires - qui n’existent pas - de la vaccination), ont désespérément besoin d’un statut de victime, d’où la fameuse romance avec Gabriel Attal qui n’est probablement que de l’enfumage. 

Dans un contexte d’affrontement des communautés, la raison voudrait que l’on marche contre les communautarismes et non qu’on en soutienne un, qui plus est en détournant la chose en approbation inconditionnelle d’une politique un brin génocidaire. D’autant qu’à force de récuser, avec des pincettes sur le nez, les gens considérés comme pas casher, à commencer par le RN, prêt à s’humilier pour participer à cette mascarade (sans par ailleurs consulter sa base, prouvant que ses dirigeants ne valent pas mieux que les autres) et réduit, à force de renoncements, à n’être plus qu’un parti antimusulman (comme si l’arrivée, par exemple, de 20 millions de catholiques du Congo, où l’on massacre allégrement sans que ça n’émeuve personne, ne poserait aucun problème), d’une démonstration se voulant d’unité, on est passé à une démonstration d’entre-soi et d’intolérance, ponctuée de heurts divers et destinée non pas à diminuer un antisémitisme à géométrie variable (d’autant plus que certains des marcheurs en vivent), mais à serrer un peu plus le couvercle de la cocotte-minute (avec tous les risques d’explosion afférents) pour éviter qu’il ne s’exprime et ne se voie. 

Un piège auquel même Macron a eu l’intelligence de ne pas se laisser prendre et, en dépit d’un itinéraire raccourci pour éviter une trop faible densité ainsi que d’un intense matraquage médiatique, une fois déduits les 3000 policiers et gendarmes, les politiques, les journalistes et les membres de la communauté, l’immense majorité des Français non plus. 

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dimanche 5 novembre 2023

ISRAËL mal barré, LINKY coquin, INSEE à la ramasse, HOLD-UPS Olympiques et autres catastrophes (06/11/2023)

Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/nhV7IhxhinQ

Bonjour ! 
À peine remis des 40 bébés décapités atteints, post-mortem, de la même photophobie infantile et adolescente que Brigitte Macron, voilà qu’on nous annonce de nouveau l’indicible : après des décennies de compte rond, un 6 000 001e Juif aurait été jeté dans un four ; un bébé qui plus est, non décapité, mais cuit vivant, thermostat 7 (on suppose sans préchauffage), un bout dudit four étant même (selon le témoin) resté collé au corps calciné, d’où l’intérêt des systèmes à pyrolyse si vous prévoyez un génocide. Je ne doute pas une seule seconde qu’il existe des individus capables de faire non seulement ça, mais pire. J’ai même entendu parler d’un pays où l’on avorte 230 000 bébés par an, qui est passé de la 3e à la 20e place européenne en matière de mortalité infantile et où on a injecté aux gamins survivants un produit expérimental, tout en les traumatisant avec des masques, au prétexte qu’ils pourraient tuer leurs grands-parents, tandis que des hommes en jupe venaient leur expliquer, dès la maternelle, que c’est bien de se stériliser en changeant de sexe, d’autant que faire des enfants qui émettent du CO2 et qui pètent, c’est mauvais pour la planète. 
 
Cette mithridatisation fait que je suis un peu moins sensible qu’Éric « Nolleau qui coule », lequel, confronté en direct à cette annonce, avec une pudeur qui l’honore, a presque réussi à retenir ses larmes. En outre (vide), mon empathie est « empathie » tempérée par le fait que, contrairement aux 6 000 000 de personnes qui ont précédé ledit bébé dans cette odieuse contribution au réchauffement climatique, si l’on en croit des responsables locaux, une partie de la presse et le fait qu’Einthoven a subrepticement supprimé ses tweets sur le sujet, il est possible qu’il ait plutôt été au moulin qu’au four, même si la chose impliquerait l’improbable existence, à la marge, de membres du peuple élu capables de mentir (peut-être les fameux nazis sans prépuce qui, selon Guillaume Meurice, auraient infiltré leurs rangs). 
 
Conditionné par son vieux réflexe, Israël a commis l’erreur de jouer, une fois de plus, la carte de la concurrence victimaire. Nonobstant l’apparition, sur les réseaux, de photos d’enfants martyrs palestiniens avec des mains à 6 doigts (rappelant qu’à l’ère des IA et de Bruno Le Maire, on ne peut absolument plus faire confiance à personne) même en grattant les fonds de tiroirs… de fours, devant la disproportion criante des morts et des souffrances du camp d’en face, c’est un jeu que, cette fois, il ne peut pas gagner. En tant qu’envahisseur qui sera contesté tant qu’il restera un primo-occupant en vie, ce qui exclut toute solution à deux états, sa seule option tactique (et son moment de vérité) aurait été de sidérer tout le monde, avant que le furoncle de la colère internationale n’ait eu le temps de mûrir, en effectuant immédiatement une frappe nucléaire sur Gaza, rejoignant la Corée du Nord dans la liste des pays aussi intouchables que Caroline Fourest par le membre d’un membre du patriarcat toxique, parce que prêts à se couper un bras et à crever avec leurs adversaires plutôt que de renoncer à ce qu’ils sont. Netanyahou y a probablement pensé, mais il a loupé sa fenêtre de tir. 
 
Le statu quo n’est plus possible non plus, car il n’était viable que grâce à l’épouvantail de l’appui indéfectible des États-Unis, appui à sens unique, aussi incompréhensible, pour le reste du monde, que le « en même temps » macronien et qu’on nous vend, outre le fait d’être aussi un pays d’envahisseurs mais qui a définitivement génocidé son problème, comme résultant de la fascination pour Israël des presbytériens et autres protestants américains dont, par ailleurs, le nombre s’amenuise avec l’arrivée massive d’hispaniques catholiques. En fait, il faut plutôt chercher l’explication du côté de l’arnaque mise en place par le puissant lobby sioniste qu’on appelle l’AIPAC, sans l’approbation duquel il est difficile d’être élu aux USA et qui, rien qu’en 2022, a appuyé, en échange du soutien à l’état hébreu, rien moins que 365 candidats, soit la majorité des républicains et des démocrates de la Chambre, troquant ainsi quelques millions pour les frais de campagne contre des milliards d’aide militaire, aux frais du contribuable américain. Mais ledit contribuable, de moins en moins dupe, commence massivement à tourner casaque, faisant que des politiciens, comme récemment Ocasio-Cortez, ne craignent plus de s’opposer ouvertement à l’AIPAC et, avec une armée US devenue « inclusive », technologiquement surclassée par la Russie, la Chine (et même l’Iran dans certains domaines), dirigée de surcroît par quelqu’un qui n’a plus l’électricité à tous les étages, l’épouvantail n’effraie plus grand monde. 
 
Il n’y a plus guère qu’en France où on fait encore le ratio, à coup de règle de trois et de loi Gayssot, en divisant la somme des mensonges par les 6 000 000 de fois où des descendants de Moïse ont dit la vérité sur les horreurs perpétrées par les nazis avec prépuce, leur laissant encore un peu de marge avant d’être décrédibilisés en tant qu’entité la plus mathématiquement digne de confiance de la planète. D’autant que, peu excités par la 15e rediffusion du film érotique mettant en scène Élisabeth Borne et un escargot, intitulé « 49-3 nuances de petit-gris », des parlementaires LR, plutôt que de se consacrer à des trucs inutiles comme faire tomber le gouvernement en votant une motion de censure, ont cerné les véritables enjeux et, dans la lignée de Kevin Bossuet qui propose que tout le monde porte la Kippa, ont déposé un projet de loi contre l’antisionisme, parce que sinon, dixit : « ça pourrait importer le conflit chez nous », ce qui revient à interdire de ne pas aimer Israël tout en continuant à importer en masse des gens qui ne l’aiment pas. Citoyen respectueux de la loi, je continuerai donc d’écouter religieusement Meyer Habib et BHL même s’il existe une poignée de gens encore plus mathématiquement crédibles… dans les bureaux de l’INSEE par exemple. 
 
Cet organisme, chargé de nous faire considérer, avec optimisme, que la bouteille est passée d’à moitié vide à 3,72% pleine, a subitement réalisé qu’en météorologie, le froid ressenti était supérieur au froid réel et en a donc conclu, au moment de publier les chiffres pour le troisième trimestre (ce n’est pas une blague), que le PIB ressenti pouvait-être plus élevé que le PIB réel lequel s’effondre, façon chaise Ikea sous Gérard Larcher, et ce bien qu’on y ait inclus le chiffre d’affaires de la drogue et de la prostitution, cette dernière étant durement affectée par la concurrence déloyale de toutes ces grand-mères qui se font violer gratuitement quasiment tous les jours. C’est ainsi que grâce à des concepts novateurs tel le « bien-être monétaire », mesuré en interrogeant des gens choisis au hasard avec la plus haute rigueur scientifique et un doigt mouillé avec juste ce qu’il faut d’eau distillée chimiquement pure, ce nouvel indicateur fait de la France le leader mondial en PIB ressenti, et il est vrai qu’en comparaison avec l’antérieur, mon ressenti « postérieur » est relativement profond. Un PIB ressenti d’autant plus élevé qu’on n’a pas reçu sa facture d’électricité. 
 
Mais le gouvernement a pensé à tout puisqu’il expérimente la possibilité, grâce au compteur Linky, tant décrié par d’infâmes complotistes, de diminuer la consommation en baissant la puissance dudit compteur à distance, au cas peu probable où l’électricité viendrait à manquer cet hiver au prétexte fallacieux que ledit gouvernement aurait mis la Russie à genoux (chose dont l’Ukraine nous remercie en refusant de renouveler l'accord de transit de gaz russe vers l'Europe), se serait fâché avec les pays producteurs de gaz et de pétrole du Golfe pour, entre autres macronneries, avoir soutenu inconditionnellement Israël (qui nous remercie en bombardant l’antenne de l’AFP et l’institut français à Gaza), aurait ruiné EDF, refusé de sortir de l’ARENH et sabordé notre production nucléaire. Reste la chaleur animale, raison probable pour laquelle Macron, qui pense loin, veut inscrire le droit à l’avortement dans la constitution. En d’autres termes, si vous êtes parti manifester pour le climat en laissant 2 radiateurs allumés et que le cumulus et le frigo s’enclenchent en même temps, même si vous payez un abonnement de 9 kWh, le compteur va disjoncter et, à votre retour, vos poissons rouges seront aussi morts que Matthew Perry, et votre grand-mère, sous respirateur artificiel, aussi. Merci qui, merci Linky. 
 
Pendant ce temps, n’en déplaise aux poutinolâtres, comme nous l’annoncent les médias depuis le début, l’Ukraine continue sa tactique consistant à faire semblant de perdre pour prendre la Russie par surprise lorsqu’elle s’y attendra le moins : idéalement une fois que ses chars seront à dix kilomètres de la frontière polonaise. Afin de maximiser ledit effet de surprise, une partie des armes, payées avec nos impôts, a même été confiée au Hamas pour laisser croire à une pénurie. Ledit Poutine, avec ses douze cancers médiatiques, son Alzheimer et ses problèmes cardiaques n’aura plus alors d’autre choix que de se réfugier en rampant dans son bunker. 
 
Un bunker qui fait, hélas, défaut autour du stade de France où, même si tout se passe très bien et qu’il n’y a aucune raison de s’inquiéter, après la délégation olympique et paralympique japonaise victime d’une attaque « à la diligence » à Saint-Denis, cette semaine, c’est au tour de la délégation olympique mongole de se faire détrousser et délester de 600 000€, ce qui fait que, pour l’instant, elle est médaille d’or dans cette nouvelle discipline. 
 
Les complotistes se sont également trompés sur le vaccin, tellement efficace que plus personne ne voit l’intérêt d’une dose supplémentaire, de sorte que Pfizer se retrouve dans le rouge et ce d’autant plus, qu’après évaporation, liée, on suppose, au réchauffement climatique, seulement 8,6 milliards étaient rentrés officiellement dans ses caisses. Confronté, depuis, à une chute vertigineuse de ses ventes, une faillite ne serait pas exclue. Heureusement que, contrairement aux produits pour déboucher le nez, les fameux vasoconstricteurs qui, comme les boas éponymes, après des décennies de délivrance sans ordonnance, sont subitement responsables de l’envolée des crises cardiaques et des embolies pulmonaires, les vaccins expérimentaux, eux, n’y sont strictement pour rien, car, sinon, en cas justement de faillite, ceux qui auraient pu être victimes des effets secondaires qui n’existent pas, voire, pour les plus subversifs, des effets secondaires de leurs effets secondaires, n’auraient alors plus d’interlocuteurs à qui demander de dédommagement. 
 
Toutefois, que lesdits complotistes se rassurent, sauf à ce que le bâtiment s’effondre suite à l’encastrement de deux avions dans deux autres immeubles quelques centaines de mètres plus loin, comme pour Enron, aucun risque que les mails avec Ursula et autres échanges avec nos dirigeants ne s’égarent durant le désordre consécutif à la liquidation éventuelle. 
 
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dimanche 29 octobre 2023

La France Insoumise, OK, mais à quoi ? 🤔 (30/10/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/uC-HmZgasKI

Bonjour ! 
Après le serpent, c’est désormais au tour du castor de se mordre la queue (commodément plate) alors que l’univers intergalactique, effaré, réalise en suivant nos médias impartiaux, que la bête immonde se terrait en fait au sein fécond de ceux-là mêmes qui prétendaient lui faire barrage, confirmant qu’une partie de la gauche, Hitler de rien, est à « l’Hamas ». Comme c’est les vacances de Toussaint, je vais prendre la « crise en thème » (celle du Moyen-Orient s’entend) pour répondre, dans ce nouveau devoir de vacances, à la question que tous ceux qui ont 5€ par jour pour vivre à compter du 10 du mois se posent : « Mélenchon est-il antisémite ? » ainsi, tant qu’on y est, qu’à celle qui turlupine les privilégiés qui disposent, eux, de 6€ : « la France insoumise, certes, mais à quoi au juste ? ». 

LES SÉMITES 

Les Sémites sont supposément les fils de SEM si l’on veut faire un peu de « SEM antique », étant donné que ça ne date pas d’hier. SEM était un des trois fils de Noé, le gars qui a construit une arche et probablement découvert l’Amérique et l’Australie, histoire de récupérer un couple de bisons et de kangourous. Afin de ne pas attiser la haine, en ces temps troublés, je n’évoquerai ni les pangolins ni les chauves-souris de sinistre mémoire, pas plus que les punaises de lit qu’il était particulièrement mesquin de sauver du déluge juste pour saboter les Jeux olympiques de 2024. Les Hébreux étaient donc des sémites, dont une partie, restée sur place, s’est convertie au catholicisme, puis à l’islam pour devenir des Palestiniens, tandis que l’autre a essaimé de par le monde et a converti massivement, notamment du côté du Caucase, des gens qui, eux, n’étaient pas spécialement sémites (mais suffisamment espiègles pour chasser de chez eux ceux qui le sont) avec, au bout du compte, différentes ethnies qui ne s’apprécient pas toujours beaucoup entre elles, quelques rares cas ayant même été répertoriés d’ashké (un peu) nazes ayant laissé des sépha (en) rade. Pour être exhaustif, il convient de mentionner que les ismaélites, c’est-à-dire une partie conséquente du monde arabe, descendent également de SEM, au même titre que les israélites, et sont donc aussi des Sémites. 

L’ANTISÉMITISME 

Il découle de ce qui précède qu’utiliser le terme « antisémite » pour qualifier la seule « détestation des Juifs » c’est un peu comme prétendre que les raticides ne concernent que les souris blanches albinos à strabisme convergent unilatéral. Une absurdité sémantique sans nom qui vient encore ajouter à la confusion générale liée au fait que de nombreux Juifs ne sont pas des Sémites, ni des Israéliens, ni des sionistes, ni même des juifs au sens religieux, puisqu’athées, tandis que d’autres sont, eux, orthodoxes et parfois antisionistes et que tous les Israéliens (lesquels, par ailleurs, ont des idées qui vont de l’extrême gauche à l’ultra-extrême mégadroite au cube) ne sont pas juifs ; sans mentionner les couples mixtes, les personnes dont seule la mère n’est pas juive, celles qui ne le sont pas, mais s’inventent un grand-père au destin tragique pour faire partie du club, celles qui regrettent de ne pas l’être et sont sionistes sans être juives et celles, au sein de la communauté, conceptuellement sœur, LGBT (tout aussi cruelle envers les esprits cartésiens) qui pourraient se sentir prépuço-fluide les soirs de pleine lune et qu’il serait malvenu de contrarier. 
 
À ce niveau de confusion, on ne sait plus si c’est de l’art ou du cochon et il est compliqué de séparer le sanhédrin de l’ivraie au point que les Juifs eux-mêmes ont parfois du mal à s’y retrouver, écrivent des tonnes de livres dessus et qu’il vaut mieux ne pas avoir un avion à prendre si l’envie vous prenait d’en interroger un sur le sujet. Mais, au moins, on peut comprendre pourquoi des dirigeants israéliens (qui ne sont pas forcément des Sémites) ont autant de considération pour leurs coreligionnaires que pour une promesse électorale, au point de les traiter (enfants compris) comme des rats circoncis de laboratoire. C’est ainsi qu’on apprend, ces jours-ci, que le gamin utilisé (façon Covid contre Goliath) dans les publicités télévisées vantant les bénéfices de la vaccination pour les tout jeunes Israéliens, est décédé d’une mystérieuse crise cardiaque (probablement un coup du Hamas) ; sans oublier le scandale qui a éclaté, il y a quelques années, quand il s’est avéré qu’en dépit des sommes substantielles reçues sous forme de réparations par Israël en raison de la Shoah, les principaux intéressés, rescapés des camps, probablement daltoniens, n’en avaient jamais vu la couleur et que certains d’entre eux connaissaient un état de pauvreté difficile à concevoir pour qui n’a pas subi deux mandats d’Emmanuel Macron, preuve que les politiciens israéliens sont aussi pourris que les nôtres, constat qui devrait, à minima, contribuer au rapprochement entre les peuples. 
 
Outre donc, le fait que l’antisémitisme littéral (qu’il vise des Palestiniens ou des Israéliens) n’est pas l’apanage des non-juifs, l’ambiguïté du terme permet d’interdire la critique de n’importe quel aspect de la « judéité » pourtant parfaitement critiquable s’il était encore possible de l’adresser séparément, tel l’aspect religieux, idéologique ou politique. Il sert également de bouclier à certains malfaisants et permet de diaboliser tout et son contraire, jusqu’à la vérité et au bon sens (notoirement antisémites), pour aboutir au paradoxe qu’après avoir désigné des gens qui n’aimaient pas LES juifs (généralisation moralement condamnable), le concept a été étendu aux gens qui n’aimaient pas DES Juifs (même s’ils avaient commis des epsteineries) pour finir par englober toute personne, y compris issue de leur communauté, que DES juifs puis, finalement, Netanyahou tout seul, n’aiment pas (ou avec laquelle ils ne sont pas d’accord). 

MELENCHON DANS TOUT ÇA 

La question n’est donc plus de savoir si Mélenchon est antisémite, mais si, à ce niveau de dévoiement, cela veut encore dire quelque chose. Le fait de critiquer Braun-Poivrot pour (au risque de mettre en difficulté temporaire les fabricants de spiritueux de l’hexagone) se rendre en Israël soutenir un des deux camps dans une guerre « Kippa » ne nous concerne, qui plus est au nom des Français que personne n’a daigné consulter, me semble plutôt une position raisonnable, même s’il est, en revanche, ridicule d’imaginer que son appartenance communautaire dont tout le monde se fout, mais qu’elle nous rappelle constamment lorsque lui sont adressées (à chaque fois qu’elle est en difficulté) des lettres de menaces que des esprits retors (honte à eux) ont l’audace de prétendre qu’elle s’envoie à elle-même, puisse induire, même à la marge, une quelconque préférence pour un des deux belligérants, préférence qui serait, de surcroît, motivée par autre chose que l’intérêt et l’amour de la nation. Quelle engeance, ces complotistes ! 
 
Cela dit, Mélenchon a, lui aussi, une indignation à dilatation variable sur l'échelle de Bruno Le Maire, et on ne l’entend guère quand deux vieilles dames de, respectivement, 93 et 95 ans, succombent après avoir été violées et qu’une autre de 67 ans (ce qui, en comparaison, relève presque du détournement de mineure) a été retrouvée égorgée à son domicile, dénudée et lardée de coups de couteau (dont 18 au niveau des parties génitales) ; pour ne citer que ces trois enrichissements culturels parmi une multitude d’autres, perpétrés par des personnes à fort potentiel amalgamant, multirécidivistes et collectionnant les OQTF comme des vignettes panini, tandis que le reliquat de policiers qui ne campe pas devant les synagogues et, depuis peu, les lycées, s’occupe des alertes à la bombe et, conscient de ses priorités, organise un raid dans un commerce nommé « Chamas » dont le C de l’enseigne lumineuse était en panne depuis des mois et n’avait, antisémitiquement, pas été réparé. La France est sauvée ! 

LA FRANCE INSOUMISE À QUOI ? 

Il existe un conglomérat hétéroclite de forces « mondialistes » prétendument « humanistes » et « universalistes » qui, pour des raisons diverses et parfois contradictoires, « converge » (non bisexuellement s’entend) vers la destruction des nations, lesquelles ne sont rien d’autre, à l’origine, que des blocs ethnico-culturels homogènes, qu’on appelle « peuples », liés par des intérêts primordiaux communs et un souci intrinsèque de transcendance collective impossible sans notion d’identité. Toutes ces forces prônent, avec vigueur, l’immigration et le métissage de masse, que ce soit pour produire du consommateur isolé auquel on peut vendre n’importe quoi, qu’on peut réduire en esclavage et QRcoder comme un mouton ; pour faire pression à la baisse sur les salaires ; par fanatisme religieux, en espérant hâter la venue d’un messie supposé n’arriver qu’après la destruction de l’Occident ou, au contraire, pour convertir ledit Occident à l’Islam, quand ce n’est pas dans l’espoir de remplacer des paroissiens autochtones vieillissants ; par crainte, pour d’autres, que la résurgence des nations ne conduise à une nouvelle Shoah ou encore, face à la réalisation que les liens organiques sont plus forts que les solidarités de classes, par désir de les détruire pour créer les conditions d’une fantasmagorique internationale socialiste, concept ébranlé par la chute de l’URSS, mais qui, cette fois, va marcher, c’est sûr ; voire afin de profiter du bordel ambiant pour détourner des milliards vers des paradis fiscaux et, accessoirement, kidnapper discrètement des gosses pour alimenter les réseaux pédophiles et le trafic d’organes : la liste est loin d’être exhaustive. 
 
LFI se retrouve donc sur les mêmes positions que le grand patronat contre lequel elle prétend lutter et qui (tel Darmanin devant une demande de logement social d’une personne à bonnet E) salive, lui aussi, à la perspective de la régularisation des sans-papiers. Ligne immigrationniste qu’elle partage avec maintes associations communautaires, à la nuance près que certaines (réalisant que, faute momentanée de possibilité de repli en Israël si les choses venaient à se gâter, elles ont peut-être eu la main un peu lourde dans leur soutien à l’immigration musulmane) souhaitent désormais la diaboliser et pousser plutôt une immigration subsaharienne statistiquement un peu plus catholique et moins anti-israélo-rabique ; direction que Mélenchon, trop dépendant de son électorat, ne peut pas suivre sans se suicider politiquement, d’où l’intégration médiatique inattendue du RN dans l’arc flexible républicain et la diabolisation « en flèche » de l’extrême gauche. Donc, si la France Insoumise est insoumise à quelque chose, à part au bon sens et au CRIF, je ne vois pas, et encore, seulement sur la technicalité de savoir quels peuples utiliser pour finir de détruire ce qui reste encore aux autochtones de cohérence ethnico-culturelle. Pas de quoi exalter les foules. 
 

CONCLUSION 

Le problème est surtout qu’il y a davantage de substance dans la culotte de notre première dame que dans les programmes de la supposée opposition, incapable d’admettre que, sauf ségrégation ethnique, soupe brésilienne ou pouvoir dictatorial parvenant à faire coexister, pour un temps et par la force, des populations antinomiques sur un même territoire, il n’y a aucun exemple d’hétérogénéité ethnico-culturelle réussie de par le monde. Il n’y a donc aucune offre politique prônant ouvertement un retour à un minimum de cohérence sur ce plan, les pantins tolérés dans le cadre des valeurs de la république faisant déjà dans leur couche en parlant timidement de souverainisme sans préciser pour qui, de FREXIT, certes souhaitable, mais qui ne changera rien à la dynamique (comme le Royaume-Uni l’a démontré) et de lutte contre « l’islam » faute d’oser évoquer les populations qui le pratiquent et qui ne représentent qu’une partie de l’immigration subie. 
 
Le minimum syndical, que personne ne propose, serait de supprimer la double nationalité, ce qui aurait pour effet de défranciser des millions de personnes, lesquelles se verraient remettre, sauf comportement délictueux, un titre de séjour permanent. Couplé à la suppression du droit du sol et à l’arrêt de toute naturalisation d’individus de type non-européen, cela aurait pour effet de stopper leur expansion et de leur ôter toute capacité d’influence communautariste puisqu’elles perdraient le droit de vote et d’être élues. Du coup, les prestations sociales type APL pourraient être réservées aux Français, de même que la sécurité sociale sauf, bien évidemment, pour ceux qui travaillent et cotisent, ainsi que les allocations familiales, lesquelles pourraient alors être fortement réévaluées, rendant de nouveau viable le concept de femme au foyer pour celles qui le souhaitent, chose qui enclencherait un cercle vertueux, le reliquat éventuel pouvant être utilisé pour racheter progressivement leur titre de séjour permanent à ceux qui, faute d’avantages spécifiques à rester en France, désireraient profiter de ce pécule pour retourner dans leur autre pays. Par ailleurs, le souci d’intégration n’étant plus à l’ordre du jour, plus de nécessité d’école gratuite et encore moins obligatoire pour des populations ayant vocation à partir à plus ou moins longue échéance, ce qui permettrait également de résoudre les soucis décapitatoires et abayesques de l’éducation nationale, le principe de laïcité pouvant être, lui aussi, réévalué. 
 
Tout pourrait se faire en douceur et sans même contrevenir au droit international, même s’il serait préférable de sortir de la CEDH pour faire un peu le ménage dans les rues, de revoir le statut des DOM-TOM et de modifier deux-trois choses dans la constitution, cela n’affectant nullement la « libre circulation », mais empêchant la libre installation qui, elle, n’a jamais été un droit, même pour les demandeurs d’asile, l’asile étant, par définition, provisoire et supposé être demandé dans le pays le plus proche. Encore une fois, il s’agit du minimum syndical et donc : « plus si affinités », pour ceux qui m’objecteraient que ce ne serait pas suffisant. Est-ce que, pour autant, au vu de la zombification ambiante, le retour à un minimum d’homogénéité (option qui, bientôt, en raison des équilibres démographiques, ne sera plus envisageable par la voie des urnes) résoudrait nos problèmes ? Rien n’est moins sûr, mais au moins, nous ne pourrions nous en prendre qu’à nous-mêmes. 
 
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