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mardi 23 février 2021

HITLER REVIENT??? MÊME PAS PEUR! (24 fév. 2021)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/K_ZDmixeIpk

 


Bonjour!

C’est à cause de l’épouvantail Hitler que nous sommes passés de la liberté d’expression à la liberté de dépression et s’y référer constamment n’est pas plus susceptible d’améliorer la situation que le spectre de la balance de faire maigrir notre révélation féminine aux victoires de la victimisation en musique (sans toutefois mettre toutes les Yseult dans le même panier). 

En France nous avons certes pas mal de bons à rien au gouvernement, mais le pourcentage d’aryens tout court est trop limité et nos morphotypes historiquement trop variés pour que, même sans nier le fait qu’aucune nation n’est viable sur la durée sans un minimum de cohérence ethnico-culturelle (et en dépit de l’angoisse que pourrait faire naitre la perspective d’un croisement entre Darmanin et Marlène Schiappa) un nouvel Hitler puisse jamais voir le jour chez nous. 

Le jovial moustachu à la mèche rebelle est indissociable, en effet, du concept de « pureté de la race » qui n’a aucun sens en France et rien à voir avec le fait de remarquer benoitement qu’il existe de subtiles différences morphologiques entre un Japonais et un Ivoirien (ce qu’à notre époque formidable on qualifie abusivement de racisme). Un concept de « pureté de la race » sans l’absolutisme duquel, justement, il ne peut y avoir de nouvel Hitler. 

Faute d’avoir compris ça, on pourrait s’imaginer que notre brave Adolphe a contracté un beau matin un variant antisémite du covid et que la bestiole est contagieuse, même sur internet, alors qu’en réalité ce phénomène, essentiellement vernaculaire et donc difficilement exportable, ne peut se produire qu’en cas de compétition eschatologique, mystique, religieuse, idéologique ou économique entre deux factions. Depuis la chaponisation de ce qui reste de la culture catholique, ce n’est plus le cas en France et il n’y a aucun risque que la sauce prenne tant que l’Islam ne sera pas devenu majoritaire. 

Dans sa petite tête de Führer, il s’agissait d’une lutte mystique pour la domination illusoire du Monde entre un peuple élu de droit divin et un autre qui, considérant que l’élection en question avait utilisé des machines dominion, opposait au concept la notion de « supériorité de la race ». A la décharge du peintre autrichien, on est obligés de reconnaître que, comme dans tous les groupes humains, il existe aussi chez les Juifs une minorité de fanatiques et que ces fanatiques (comme en attestent les nombreux écrits qu’ils ont commis et les vidéos (jamais censurées) avec des paraboles de petit poulet que certains produisent encore) ne considèrent pas ladite élection comme la lourde charge de montrer par l’exemple et l’humilité la voie au reste du monde, mais comme un dû de par leur naissance, faisant que c’est leur prérogative que de « pacifier » la planète par tous les moyens afin que se réalise leur lecture de l’ancien testament et qu’ils puissent régner sur elle. 

Du coup, les Allemands et les Juifs normaux qui sont, dans leur majorité, des peuples relativement urbains qui ne demandaient qu’à vivre en bonne intelligence, se sont retrouvés pris en otages, sachant que ce genre de combat occulte, s’il passe au-dessus de la tête de la majorité des gens, préoccupés par des choses beaucoup plus triviales, comme bouffer ou arriver à la fin du mois, comble le vide d’une existence dénuée de sens chez des gens très puissants qui, pour avoir tout, n’apprécient rien. Toujours-est-il que si l’on peut se réjouir que l’équipe 2 ait perdu, on peut s’interroger quant à savoir si cela implique ou non que l’équipe 1, pas plus recommandable, a gagné.

Par ailleurs, pour copier le style du sketch de la chauvesouris de Bigard, même si un Hitler mutant revenait pendant une nuit de pleine lune, après avoir été griffé par un loup-garou, mordu par un vampire, une horde de zombies et une araignée radioactive, on oublie un peu vite que tuer c’est fatiguant (parce qu’il faut nettoyer après) et que le premier réflexe des nazis a été de faciliter l’émigration des Juifs, mais qu’ils se sont heurtés aux limitations imposées par l’Europe et les États-Unis qui, n’étant pas spécialement philo-sémites non-plus (c’était une autre époque) ne leur ont pas particulièrement ouvert les bras. Ce n’est bien sûr pas une excuse. 

Toujours est-il que, du fait même de l’existence, à présent, de l’état d’Israël ainsi que, accessoirement, de la mécanisation et de la robotisation tant de l’industrie que de l’agriculture qui rendent nul l’intérêt économique des camps de travail (lesquels, au début, n’étaient que ça) et dont le taux de remplissage serait de toutes façons diminué par la distanciation sociale, il est fort probable, que pour des raisons purement pratiques, la solution finale FINALE consisterait certainement pour ce nouvel Hitler (après éventuellement, on ne se refait pas, avoir testé sur eux les vaccins anti-covid) à mettre ces malheureux dans des bateaux direction Tel-Aviv plutôt que dans des trains. Pour aussi condamnable que resterait la pratique, il n’en demeure pas moins qu’on a plus de chance de voir Marlène Schiappa enfiler un jean taille 34 ou d’apprendre que Macron a une aventure extra conjugale avec une femme que d’être confronté, un jour, à l’horreur d’un nouvel Holocauste.

En outre, le concept même d’antisémitisme, ne serait-ce déjà que parce que tous les juifs ne sont pas des sémites et que beaucoup de sémites ne sont pas juifs, est une absurdité sémantique sans nom. C’est supposé englober quoi ? Entre les croyants et toutes leurs nuances (jusqu’aux orthodoxes) et les non croyants, les convertis, les sionistes et les non sionistes, ceux qui parlent yiddish, ceux qui parlent hébreu ou aucun des deux, leurs différentes ethnies avec une sorte de hiérarchie tacite entre elles, ceux qui sont de gauche, ceux qui sont de droite, les pro-Palestiniens, les anti-Palestiniens et ceux qui s’en foutent, ceux qui sont Israéliens et ceux qui ne le sont pas, ceux qui ont oublié qu’ils sont Juifs et ceux qui en sont fiers, sans oublier les mêmes distinctions sociales en Israël que chez nous (avec des élites parasitaires  qui se goinfrent au détriment de leurs compatriotes) et les croisements multi-ethniques de la diaspora de par le Monde, ce qu’on appelle « les Juifs » est certainement un des peuples les plus diversifié de la planète, au point que, quand on compare Cyril Hanouna et Gal Gadot, on finit par se demander s’ils en sont vraiment un et si un Moïse subitement réincarné (pas spécialement réputé pour son ouverture d’esprit) n’aurait pas la tentation de faire un tri avant d’ouvrir la mer rouge.

Même si, à ma connaissance, le législateur n’a jamais été capable, et pour cause, de définir ce qu’est l’antisémitisme ; histoire de maintenir la peur d’Hitler et d’éviter que la Shoah ne tombe naturellement au niveau de la Saint-Barthélemy question résonance émotionnelle, ça ne l’empêche pas de le sanctionner, amplifiant la problématique contre laquelle il pense lutter en en faisant un bouclier, monopolisé par des gens qui n’ont aucun autre point commun avec leurs coreligionnaires. Coreligionnaires qu’ils contribuent à mettre en péril en associant, aux yeux du public, une conduite inqualifiable et leur impunité, avec leur supposée « judéité ». 

C’est ainsi que, par un tour de passe-passe, montrer du doigt un pédophile hollywoodien revient à piétiner 6 millions de morts et à tuer une seconde fois Anne Frank à coups de stylo à bille 4 couleurs. Étant donné que, ces temps-ci, le robinet à substance chocolatesque commence à s’ouvrir et qu’il sort à peu près un scandale d’inceste et de pédophilie par semaine dont, certes, ces élites n’ont pas le triste monopole, mais auxquels elles contribuent d’une façon statistiquement démesurée eu égard à leur nombre, ça commence à se voir et, tout comme ces musulmans qui sèment le doute sur toute leur communauté en ne dénonçant pas l’islamisme, ce ne serait pas du luxe que quelques descendants de Moïse se lèvent pour faire aussi le ménage dans la leur.

Autre élément de manipulation qui sert à voir d’infâmes nazis là où il n’y en a pas (et défi à la logique la plus élémentaire) : dans « National Socialisme », on peut s’interroger sur le fait de savoir pourquoi on a diabolisé le côté « national » au lieu du côté « socialisme ». Un « socialisme » qui, outre rendre incompréhensible le fait que les nazis soient classés à l’extrême « droite », est quand même à la source (comme en témoigne l’histoire du Monde, depuis l’union des républiques SOCIALISTES soviétiques en passant par la Chine, le Viêt-Nam et autre Corée-du-Nord) de l’engouement de ces amateurs d’ail (plutôt d’ail Hitler que d’ail blanc) pour les camps dits « de travail » et le génocidage allègre qui va avec. Là encore, dans cet autre combat, non plus mystique mais idéologique, attestant de la complexité du Monde, au lieu de focaliser sur qui a perdu, on pourrait se demander qui a gagné.

Ce qui gène dans le nationalisme et qui fait que l’on voit fleurir, comme des hémorroïdes après abus de sauce piquante, des mouvements hypocrites qui, pour éviter d’appeler un chat un chat et essayer de s’affranchir du caractère organique de la Nation se disent « souverainistes », c’est qu’il pose justement la question de ce qu’est une nation. La question qui vient après est : « qui en fait partie ? » et, juste derrière, fatalement, « qui n’en fait pas partie ? ». 

Il est clair que, au contraire de la république et de ses pseudos valeurs suicidaires, le but même de la nation étant de discriminer entre ses membres (auxquels elle est supposée offrir protection et un maximum d’avantages) et le reste du monde, tous ceux qui ont un pied dans un autre pays, des croyances ou modes de vie qui poussent à la dissolution de ladite nation ou adhèrent à des religions ou philosophies qui lui sont hostiles, commencent, dès-lors, à avoir très vite chaud aux fesses (le nationalisme étant moins une idéologie qu’un réflexe de survie élémentaire qu’on peut oublier en période d’abondance, mais qui se rappelle à notre bon souvenir en période de vaches maigres).

Il est compréhensible que certains, dans la minorité un peu allumée de l’équipe 1, riches d’une expérience millénaire (les mêmes causes ayant tendance à produire les mêmes effets) puissent se sentir particulièrement concernés. Chez nous ils ont trouvé intelligent de détourner l’attention en prenant leur part, par l’intermédiaire d’associations diverses largement phagocytées (il suffit de regarder les organigrammes), à l’importation massive d’autres éléments allogènes plus bruyants qu’eux, pour, au final, se rendre compte que les nouveaux arrivants (lesquels remplissent certaines des conditions de compétition que j’évoquais au début) les détestent cordialement ; d’où panique générale et tentative de récupération de tous les mouvements souverainistes pour, nonobstant la tactique classique consistant à avoir un pied dans tous les camps, faire chasser par d’autres la menace qu’ils ont eux-mêmes contribué à introduire (en espérant compter les points si la chose tournait au vinaigre).

Le problème n’est pas qu’on ait des Zemmour, Goldnadel et autres Bercoff qui défendent une certaine idée du nationalisme au strabisme sélectif, c’est toujours mieux que rien, mais bien que, sur 67 millions d’habitants, on n’ait quasiment QUE des Zemmour, Goldnadel et autres Bercoff pour en parler médiatiquement. Un Goldnadel qui, c’est tout à son honneur, s’est proposé pour défendre génération identitaire tandis qu’aux USA Gina CARANO (ancienne championne de MMA), probablement la seule actrice connue qui a osé ouvrir sa gueule face à la cancel culture hollywoodienne et qui a été virée pour ça de la série the Mandalorian, provoquant un raz de marée de protestations et de désabonnements qui a fait trembler l’édifice Disney et devenant instantanément une icône dangereuse dans le chaos post Trump ambiant, sur 350 millions d’Américains a été immédiatement défendue et s’est vue proposer un film par … Ben Shapiro lequel, hasard aléatoire coïncidental, fait ses chroniques avec une Kippa sur la tête.

Donc même en cas d’arrivée au pouvoir d’un nationaliste rabique (espèce qui a disparu de notre paysage politique) on serait très loin des années 30.

Mais bon, imaginons que nous soyons dans un cauchemar de Jean-Luc Mélenchon et que cet enfoiré d’Hitler, faisant fi de toutes ces considérations, profitant d’un trémoussement de danse sur un air de Dalida post-électoral, pénètre par l’orifice anal le corps de Marine Le Pen pour en prendre possession. Encore lui faudrait-il convaincre, car contrairement à ce que s’imaginent les gens, il n’était pas un si bon orateur, en revanche il était sincère et croyait à ce qu’il disait. C’est pour cela qu’il parvenait à convaincre, ce qui élimine déjà 100% de notre classe politique.

Une fois qu’on a des partisans fervents et convaincus, Hitler avait compris qu’avant de gagner la bataille des urnes, si on voulait le véritable pouvoir et ne pas être une simple potiche, il fallait prendre la rue. Il faut lui reconnaître un certain courage physique (ce qui là encore élimine 99% de notre classe politique), d’avoir été blessé et décoré pendant la guerre de 14, d’avoir respiré du gaz moutarde au point que nos masques anti-covid le feraient doucement rigoler et de ne pas avoir hésité à faire le coup de poing contre ses détracteurs à ses tout débuts. Bref ce n’était pas le genre à « penser printemps ».

Il s’est très vite entouré d’anciens combattants et de jeunes motivés et il a réussi à prendre ladite rue aux communistes qui étaient aussi des durs à cuire et n’avaient rien à voir avec nos quelques centaines d’antifa faméliques qui ne tiennent que parce qu’ils sont protégés par le gouvernement. Là encore, au vu de la conclusion de l’épisode Gilets Jaunes, je vois mal comment cela pourrait arriver, d’autant que la récente participation de Jérôme Rodrigues à une contre-manifestation pour exiger la dissolution de Génération Identitaire montre à quel point le mouvement était infiltré depuis longtemps.

Donc, il faut arrêter de faire peur aux gens avec Hitler lequel, contrairement à Macron, avait au moins comme but la grandeur de son pays et, quoi qu’on en dise, avant que tout ne parte en cacahouète, avait réussi un redressement économique spectaculaire, preuve que ses orientations, qui, comme le nationalisme, ont depuis été jetées avec l’eau du bain, n’étaient peut-être pas forcément toutes mauvaises. En revanche, comme la nature a plus horreur du vide que du co-vid, on n’est pas à l’abri d’une autre forme de dictature laquelle a, pour finalité, notre destruction et qui s’imposera d’autant plus facilement qu’au lieu de se battre contre les vrais ennemis on sera occupés à fantasmer sur un 4eme Reich que, même en scrutant à la loupe le double menton de l’éleveuse de félidés Marine Le Pen (que sa pasteurisation ne sauvera pas de la défaite) j’ai du mal à distinguer.

Merci à tous pour vos soutiens et vos encouragements, pensez à cliquer sur la cloche des fois que YouTube se décide, dans un moment d’égarement, à vous notifier de prochaines vidéos et à bientôt j’espère, sinon vu le contexte et le sujet traité, adieu...

mardi 9 février 2021

Connerie ambiante : on a touché le fond, sortons la dynamite. (10 fév. 2021)


 Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/1la8NmIS3ew 

Bonjour !

Les féministes ont parfois raison : la langue française peut être sexiste. Un faux sceptique est moins ambigu qu’une fosse septique, sauf si c’est Marlène « Schia-ppa » qui, du coup, n’a pas besoin de cet équipement (ce qui n’empêche pas la confusion). Pour ma part, je suis un vrai sceptique et, à ce titre, je me heurte souvent à des anti-sceptiques (pas ceux qui désinfectent les plaies, mais ceux qui en sont une) et qui défendent farouchement la doxa officielle en dépit de toute logique. C’est le cas pour la coronafolie.

Je ne suis pas spécialement fan de l’homo (pas que) sapiens Philippot qui fait semblant de croire à la possibilité d’un changement par l’élection et confond prendre les places avec prendre le pouvoir. Macron, s’il a un pouvoir de nuisance (dont il use et abuse certainement plus que de Brigitte) prenant des décisions au doigt mouillé dont on ignore dans quoi il l’a trempé, n’a pas le véritable pouvoir et personne issu du processus électoral spécifique à la France ne peut l’avoir. Après les émois champêtres Asseliniens et les histoires d’envolées lyriques à base de « chien de feu » colportées sur Nicolas Dupont-Aignan, il semble, par ailleurs acté, que le terrain est occupé par les amateurs d’homo-erectus et que la voie de garage du souverainisme non violent (par les urnes plutôt que par les burnes) ne fascine plus guère les rares spécimens auxquels la féminisation de la société n’a pas encore réussi à faire gagner quelques octaves dans les aigus.

Pour autant, même si l’on peut déplorer que sur 67 millions d’individus on se retrouve avec cette improbabilité statistique pour nous représenter et qu’un nombre impressionnant de nos élites appartient à des communautés, minorités et sectes diverses et avariées, il est contre-productif de cracher dans la soupe et il faut quand-même reconnaître à Philippot, relativement isolé sur ce créneau, d’avoir fait ses devoirs, d’avoir vraiment creusé le sujet en ce qui concerne le coronavirus et de se démener comme un beau diable, allant même jusqu’à courageusement affronter une brochette, pour ne pas dire une meute, de ces anti-septiques que j’évoquais, dans l’émission de Cyril Valéry Isaac Hanouna, entrant sacrificiellement dans, pour le coup, une vraie-fosse septique (mais aussi aux lions). Je vous mets le lien en description, pour ceux qui n’ont pas peur de vomir un peu.

Tout cela paraît cependant bien vain (même si pas complètement inutile) et comme je l’ai dit dans ma dernière vidéo et raison pour laquelle je ne poste plus qu’épisodiquement, fatigué de pisser dans un violon, surtout qu’il n’y a pas beaucoup d’espace entre le sol et le ré, je dépense mon énergie à d’autres choses plus égoïstes, d’autant que si, normalement, j’arrive à faire de l’humour dans n’importe quelles circonstances et qu’il est dangereux de m’inviter à un enterrement, la situation est telle que j’ai fini par atteindre mes limites. 

C’est un peu comme quand vous voyez un bonhomme, trop occupé à regarder son smartphone, qui se prend un mur en marchant : la première fois c’est drôle, mais si ledit individu continue à se prendre le mur encore et encore jusqu’à ce que l’on voie du sang, puis des bouts de cervelle (preuve que la 5G est dangereuse) ça devient de plus en plus dur de rigoler (sauf s’il a un pin’s LREM). Or, c’est ce qui est en train d’arriver à ce pays, lequel, avec ces vaccins qui font « Führer » glisse, « Hitler de rien », vers la dictature et la tiers-mondisation à la vitesse d’un aller-retour de poignet benjamingrivesque juste avant production artisanale de spermatozoïdes forts dépités, au demeurant, en s’écrasant sur l’écran d’un smartphone, devant l’absence de l’ovule tant espéré.

En matière de covid, la réalité dépasse « l’affliction » et comme dirait à véran-douille et autres castex-ticules le directeur de publication d’un humoriste connu : « allez tous vous faire … inoculer ». Tandis que Blanquer, après avoir sauvé notre civilisation en augmentant la distanciation asociale de 50 cm entre les élèves, danse la Zumba, que Véran se fait vacciner devant les caméras en ouvrant sa chemise au lieu de relever sa manche, ce qui me fait amèrement regretter que ledit vaccin, par ailleurs notoirement inefficace contre les nouveaux variants, n’existe pas en suppositoire, que Gérard Larcher (certains diraient « Larcher-type » de l’hypocondriaque) avec ses 46 tests PCR aux frais des contribuables « vise » le Guinness des records, que Darmanin (de jardin) est occupé à dissoudre à l’acétone et à l’acide sulfurique génération identitaire, laquelle a commis le crime de démontrer, encore une fois, que nos frontières sont des passoires à migrants plus ou moins covidés, on emmerde toujours davantage ceux qui respectent les règles au point que, en attendant le passeport sanitaire déjà introduit rectalement au Danemark, la seule façon de pouvoir prendre l’avion rapidement c’est d’acheter en ligne un faux test PCR négatif (à mesure débile, réponse adaptée).

Alors que Black Lives Matter, Greta Thunberg et l’OMS sont proposés pour le prix Nobel de la paix laquelle, pour le coup, serait plus pertinente au masculin (le prix Nobel « du » pet étant plus en adéquation avec la merde qui s’annonce) les réseaux sociaux procèdent, dans la résignation générale, à des purges (sans précédent depuis l’arrêt des dragées Fuca) de tout ce qui est contestataire ; des sommités médicales sont traitées en parias et poursuivies pour charlatanisme pour ne pas s’agenouiller en position fellatoire devant ce qui est devenu un dogme et aucune information honnête ne filtre concernant les pays encore sains d’esprit qui procèdent différemment, sans tuer leur économie ou leur population. L’espoir trumpien que certains voyaient poindre aux États-Unis a été étouffé, tel une accusation d’inceste et de pédophilie à l’encontre de certaines élites intouchables (mais qui aiment bien toucher les autres) et qui, quand elles ne se préoccupent pas de la constipation infantile préviennent chez leur progéniture tout risque de béribéri résultant d’une carence en vitamines par le Berry tout court dont les fluides sont, paraît-il, très riches en nutriments. Mais je m’égare. Un espoir Trumpien, donc, qui a fini en pétard mouillé avec la farce tragi-comique du capitole.

Certains m’ont reproché mes réserves prudentes tant sur ledit Trump (dont tout en reconnaissant les points positifs, j’ai toujours dit que seul l’avenir révèlerait la véritable nature) que sur les analyses, au demeurant intéressantes, d’un Alexis Cossette lequel doit quand-même avoir un peul mal au cul (Anon). Même si, comme beaucoup, pour me consoler de mon impuissance face à la folie ambiante et du fait que rien d’autre ne se profilait à l’horizon, je me suis fait plaisir en l’écoutant (comme j’écoute cette petite voix qui me convainc, 2 fois par an, de donner 2€ 50 à la Française des jeux) il y a longtemps que je me disais, en voyant s’accumuler les occasions manquées, que Trump, plus bluffeur que faiseur, n’avait pas les cojones et, en dépit de son âge avancé, tenait encore un peu trop à la vie pour être efficace. 

Alors qu’il avait suffisamment de cartes en main jusqu’au dernier moment (sur ce point Alexis Cossette avait, à mon sens, raison) courageux, mais pas téméraire, au lieu de gracier des Snowden et autres Assanges, dans l’espoir naïf de s’attirer les bonnes grâces du puissant lobby juif américain, non content (comme Biden qui a fait pareil avec ses 3 enfants) d’avoir marié sa fille dans la communauté, il a préféré gracier une longue liste d’escrocs dont les ancêtres de certains ont probablement beaucoup souffert. Dans tous les cas, faute d’avoir voulu (ou pu) être aussi impitoyable que ses adversaires et atteindre le point de non-retour sans lequel rien de grand n’est jamais accompli, non seulement il a perdu la main face à des pantins, mais il va se voir appliquer puissance mille, ainsi que, plus grave, ses partisans qu’il a laissés en rase campagne, ce qu’il aurait dû faire aux autres.

La peur de la violence qui, pour le coup, aurait été nécessaire est, paradoxalement, le plus gros générateur de violence. Il faut bien comprendre que ladite violence (pas forcément que physique) omniprésente et qui fait partie inhérente de notre nature profonde est le liant qui assure la cohésion hiérarchique de nos sociétés. Quand un patron ou un chef nous donne un ordre, c’est de la violence, quand on paie ses impôts, c’est de la violence, quand on met le réveil le matin pour aller travailler, c’est de la violence, si l’on engueule sa femme ou ses gosses, c’est de la violence et si, à l’inverse, une épouse critique et rabaisse gratuitement son mari, c’est aussi de la violence. 

Cette violence de basse intensité que l’on reçoit et dont on se décharge sur d’autres afin d’éviter les accumulations (lesquelles peuvent se terminer en éruptions aux conséquences potentiellement dramatiques) est un phénomène naturel et plus on protège certaines catégories de la population en la diabolisant, plus elle s’accumule chez les autres produisant des déséquilibres de répartition qui sont le véritable danger. Par ailleurs, les personnes protégées, faute de se voir imposer des repères par coercition comme les autres, finissent par se sentir négligées et exclues de la société, ce qu’elles perçoivent à leur tour comme une forme de violence, faisant que plus on va les protéger, plus elles vont devenir agressives.

La violence étatique se devant d’épargner les catégories de plus en plus nombreuses qui - signe de la fin prochaine de la civilisation - bénéficient du statut devenu enviable et envié de « victime », se déverse alors sur la portion restante de la population, avec toujours plus de force. Or, selon le même principe que la tectonique des plaques, la violence accumulée finira par se manifester avec une intensité exponentiellement proportionnelle à la durée pendant laquelle elle aura été contenue.

Le pouvoir en place, pour éviter d’en faire les frais, n’a que deux options. La première est de canaliser cette violence de façon horizontale plutôt que verticale par l’immigration et le conflit de civilisation. La deuxième, beaucoup plus perverse, est de plonger les individus dans un tel état de désespoir et d’apathie que ladite violence sera internalisée et dirigée contre soi, se traduisant par des pathologies diverses, des dépressions et des suicides.

Le fait que l’on ne soit pas dans la rue en train de couper des têtes et que même les Etats-Uniens, pourtant armés jusqu’aux prémolaires, se soient laissés voler une élection sans bain de sang, tend à démontrer que si l’immigration continue à marche forcée, c’est plutôt la deuxième option qui a été privilégiée et que, malheureusement, covid aidant, ça marche.

Pour que cette violence accumulée se retourne contre ceux qui en sont à l’origine, la seule solution serait de redonner aux gens de l’espoir, synonyme de combativité, mais encore faudrait-il que ce fut un espoir véritable sachant que, là-encore, le système a un coup d’avance et fabrique sa propre opposition contrôlée (souvent par des histoires scabreuses) ainsi que pléthore d’espoirs baudruches qui, en se dégonflant, ne font que renforcer le désespoir de ceux qui y ont cru.

Histoire de finir sur une note d’optimisme, il semblerait que cette année notre candidate au concours de l’eurovision soit une vraie femme, blanche, mais vaguement Iranienne (donc on va l’excuser) et qui, chose inouïe, va chanter en français. Certes, il ne faut pas pousser non plus, les paroles, ode à la victimisation, se résument à « regardez-moi, je souffre », sans que (contrairement aux étudiants qui, comme beaucoup d’autres sont en train de crever la dalle) on ne sache trop pourquoi, mais du coup, elles pourraient bien, involontairement, devenir un nouvel hymne révolutionnaire : Ah, ça va pas, ça va pas, ça va pas….

Merci à tous pour vos soutiens et vos encouragements, pensez à cliquer sur la cloche des fois que YouTube se décide, dans un moment d’égarement, à vous notifier de prochaines vidéos et à bientôt…j’espère.