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lundi 28 mars 2022

ZEMMOUR: Dégringolade ou grosse manip? +Mckinsey et autres broutilles (28 mars 2022)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/kSTPnWafF50

 

Bonjour ! 

À l’idée de devoir, encore une fois, commenter une campagne électorale aussi palpitante que le choix de la police de caractère utilisée pour lister les ingrédients d’une pommade anti-hémorroïdaire, j’éprouve ce sentiment d’infinie solitude du spermatozoïde coincé entre deux molaires de Marlène Schiappa, me demandant, moi aussi, comment j’en suis arrivé là. À ce stade de nullité, lequel ne fait que s’accélérer, jour après jour, de façon exponentielle, la vitrification nucléaire poutinienne relèverait presque de l’acte de compassion. 

Tout ce cirque ne sert à rien, car Macron, véritable péripatéticienne du système, pour ne pas dire « pute » ce qui serait grossier, avec son mac « McKinsey », un mac qui ne sait… pas payer ses impôts a déjà coulé le pays. Même si une fois qu’on a placé les charges explosives sur les fondations de l’immeuble et appuyé sur le bouton, il y a un petit moment de flottement durant lequel on a l’impression qu’il ne se passe rien, la conclusion n’en reste pas moins inéluctable. Il subsiste quand même un enjeu à cette élection, car le but du cosplayeur gérontophile, accessoirement président de la République, n’est pas seulement de détruire la France, mais de faire en sorte que le pays ne puisse plus se relever ensuite, ce a quoi il va s’employer pendant le prochain mandat si on n’en fait pas un SDF, compte tenu de son patrimoine misérable, en l’expulsant de l’Élysée et en le réduisant au camping, plus en accord avec son amour immodéré pour les vieilles tentes. 

Ce ne sera pas chose aisée, car le système maffieux en place est tellement corrompu (60% des membres du gouvernement ont eu affaire à la justice ou au fisc) que notre emmerdeur suprême n’a même plus à faire semblant de respecter la légalité que ce soit sur ses temps de logorrhée verbale ou sur le fait d’utiliser les moyens de l’État pour faire campagne ; d’autant que le Parquet National Financier, très réactif en 2017 pour une vague histoire de costumes, a visiblement piscine quand il s’agit d’un détournement de fonds publics d’un petit milliard (certes de rien du tout en comparaison des 650 jetés par la fenêtre par macron), dilapidé chaque année en conseils imbéciles, sans appel d’offres préalable et sans même évoquer le fait de confier des secrets d’État (même si c’est moins risqué qu’avec Alexis Corbière) à une entreprise étrangère impliquée dans le scandale des opioïdes aux États-Unis et dans laquelle, sans qu’on n’y voie le moindre conflit d’intérêts, travaille le fils de Laurent Fabius, un Laurent Fabius qui a validé sans sourciller toute la politique sanitaire conseillée par… McKinsey. On peut dire que, pour le coup, on en a eu pour notre argent. 

Pas de réaction, non plus, sur les histoires de financement de la précédente campagne d’Al Macrone par des oligarques algériens proches du FLN, sur la scabreuse affaire Alstom ou même sur l’argent fantôme versé par Rothschild pour ne citer qu’une partie de la batterie de cuisine, visiblement en Tefal antiadhésif, attachée à ses basques, comme Benalla jadis, dans un silence médiatique assourdissant qui, s’il n’est pas d’or, en rapporte. À ce stade, Macron abattrait en direct un gilet jaune à la télé voire l’étoufferait avec une prothèse mammaire de Brigitte qu’on n’y verrait qu’un moyen, certes un peu expéditif, mais efficace, de réduire la misère en France et qu’il se trouverait encore des gens pour l’applaudir parmi ce bon tiers de concom…bres toujours masqués qui ouvre des yeux ronds dès qu’on pénètre dans son périmètre de sécurité à la caisse du supermarché, sidéré de constater qu’il n’est pas majoritaire, mais qui, bien que conformiste par nature, est suffisamment traumatisé pour continuer à respirer ses miasmes derrière un doudou en papier qui le rassure comme quand il était bébé, dans le monde anxiogène créé à dessein par les médias et le gouvernement. 

À la décharge, comme dirait Griveaux, de ce petit tiers de la population, même si momentanément éclipsée par la troisième guerre mondiale, la petite musique de fond covidiste est toujours-là et, à la seconde où les mougeons auront voté, le pass sanitaire, qui n’est que suspendu (et même pas en tous lieux), sera ressorti de sa boîte à la vitesse de l’appareil génital de certains ministres derrière des portes closes. 

J’ai à peu près autant confiance dans les sondages que dans un préservatif recyclé stocké dans une boîte d’épingles sachant qu’ils sont essentiellement là pour nous habituer à l’idée d’un Macron à 30% de sorte que, quelle que soit l’ampleur de la triche en sa faveur, cela ne paraisse pas disproportionné ensuite. L’oxymore d’une « campagne urbaine » ayant, hélas, été évité une fois de plus, après que de nouveaux champs d’exploration quantiques se sont fait jour en matière de connerie humaine, lesdits sondages, plus rectaux que rectilignes, en sont désormais réduits à nous revendre le scénario de départ « Macron-Le Pen » qui a toujours été celui souhaité par l’Élysée. Tout ça pour rien ! 

Zemmour, seul des deux candidats pseudonationalistes, en état d’espérer pouvoir constituer, au prix de concessions qui limiteront largement son action, une majorité à l’issue des législatives, se voit, lui, subitement, relégué, tel un vulgaire Manuel Valls, dans les limbes électoraux par ces mêmes sondages qui l’ont porté aux nues. Sondages qui peuvent être réduits à néant d’un claquement de doigts en fonction du taux d’abstention, un taux élevé pouvant favoriser Macron et Zemmour, un taux faible pouvant aller jusqu’à priver de second tour ledit Macron tout de même réduit à organiser une tombola pour essayer de remplir son unique meeting. Petit conseil : si au lieu d’un moment privilégié avec le candidat, vous mettiez comme premier prix « une baffe à Macron » vous refuseriez du monde. Je dis ça, je dis rien. 

Juste pour le besoin du raisonnement, supposons que lesdits sondages reflètent une réalité quelconque, oublions l’impressionnante démonstration de force du Trocadéro et ses 100 000 participants ramenés à 30 par des médias qui n’en ont retenu que la foule scandant spontanément pendant 10 secondes « Macron assassin ! » oubliant outrageusement « escroc et psychopathe » et voyons comment cette chute Zemmourienne pourrait, alors, s’expliquer. 

D’abord, Zemmour est une erreur de casting. « Un petit Juif berbère d’Algérie » comme il se définit lui-même serait parfait pour incarner la république, mais pour ce qui est de la France éternelle, dont il se revendique, il faut quand même faire un effort violent de conceptualisation et l’exercice, pour être crédible, requiert une absolue exemplarité. Au niveau du subconscient de beaucoup, cela laisse, en effet, planer une vague impression d’escroquerie qui remontera en surface à la moindre suspicion de mensonge, comme le fait d’avoir caché son voyage à Lourdes, seule explication rationnelle au fait que ses genoux lesquels lui ont valu, à son plus grand désespoir, d’être exempté de service militaire, lui permettent désormais, sans souci, de jouer au tennis comme un pro. Il a pu perdre du monde sur ce genre de détails triviaux qu’on pardonnerait à d’autres. 

Ensuite, Zemmour, peut-être pour économiser lesdits genoux, marche sur une jambe en feignant d’ignorer que la tenaille qui nous broie comporte deux branches : l’immigration certes, mais aussi les élites, notamment financières dont une partie, même en se gardant de tomber dans certains clichés faciles, est objectivement issue de sa communauté qui, comme toutes les communautés, comporte des brebis galeuses ayant vocation à devenir des boucs émissaires d’autant que, pour ne rien arranger en matière de stéréotype, la discrétion n’est pas leur qualité première. Nonobstant, en ne s’attaquant qu’à une des branches, il adhère, dès lors, mécaniquement au positionnement idéologique libéral le plus dur sur la dette ou les retraites, positionnement qui ne parle qu’à une infime fraction de son électorat, sa base étant constituée d’artisans, d’agriculteurs et autres entrepreneurs. Outre que la chose (notamment la retraite) l’empêche de ratisser l’électorat plus populaire de Le Pen, elle condamne son discours à ne se structurer qu’autour de l’immigration, le faisant passer, inutilement, pour un monomaniaque avec, pour résultat, que son matraquage devient lassant et répétitif dans le cadre d’une campagne qui dure. 

De plus, la classe la plus aisée qu’il essaie de caresser par ce positionnement ultralibéral (qu’il tente de tempérer par quelques allègements fiscaux et un peu d’interventionnisme plus porteurs) n’a aucune colonne vertébrale idéologique, le tout couplé à un côté girouette que même le vent n’arrive plus à suivre. Le bourgeois veut bien taper sur l’immigré tant que cela reste dans les limites des valeurs chrétiennes de l’accueil de l’autre (aux frais de la collectivité, cela va sans dire) et que les contreparties n’impactent pas trop son portefeuille. Ces gens, qui sont l’incarnation du « en même temps » hypocrite macronien, au moindre souffle de vent, comme la guerre en Ukraine qui ne pouvait pas plus mal tomber, s’abritent derrière le pouvoir en place, ce qui explique que la baisse de Zemmour, dans un premier temps, n’a pas profité à Le Pen, mais bien à Macron. Idem pour la baisse de Pécresse qui n’a pas profité à Zemmour. 

En outre, ledit Zemmour, coincé, comme tous les autres candidats, par le souci de ménager le grand capital sans l’aval duquel aucune visibilité médiatique n’est possible, n’envisage pas de protéger, par un Glass-Steagall Act, les comptes bancaires de la classe moyenne que le système, tel Attila et ses Huns (ou Attali et ses autres), compte bien piller alors que cela aurait été un argument de campagne majeur vis-à-vis d’un électorat de droite et pas que.

Par ailleurs, même s’il existe, sinon une intelligence collective, en tous les cas un bon sens collectif, cela ne fonctionne que si le peuple est correctement éduqué et informé. Dans le monde actuel, ce n’est plus le cas et les appels à l’intelligence, comme ont pu l’expérimenter des Asselineau, créent certes une chambre d’écho qui peut faire illusion, mais ne fonctionnent pas sur les masses. La montée en puissance du vote du gros bataillon des zombies, lequel commence, entre deux vidéos de chats, à s’intéresser aux élections en fin de campagne et de façon tout à fait superficielle, se traduit donc, mécaniquement, par une baisse de l’unijambiste Zemmour au profit, ce coup-ci, de la cul-de-jatte Marine Le Pen (ce qui ne les change pas beaucoup niveau chats) et qui, même si elle a renoncé à tout, a eu la bonne idée de se taire et de se faire discrète, luxe qu’elle ne pourra plus se permettre entre les deux tours. 

Enfin, la force de Zemmour est son côté anticonformiste, mais plus le temps passe, plus il se comporte comme un candidat ordinaire. Entre ses reculades, notamment sur l’Ukraine (alors même que des courriers dans l’ordinateur du fils Biden viennent de confirmer les allégations russes sur les labos bactériologiques américains à ses frontières) et le fait de se plier à toutes les excentricités du cirque médiatique en s’abaissant à des débats qui le tirent vers la médiocrité, comme celui avec Pécresse, seule à pouvoir se vanter que ses électeurs remuent la queue quand ils la voient, il finit par être perçu comme un clown comme les autres. C’est dommage. 

Il n’en demeure pas moins qu’en face c’est le néant et que c’est le seul candidat qui a une vision, une cohérence et une véritable dynamique et que, même si les sondages disaient vrai, comme il est devenu le nouveau méchant loup du système, il y a, mécaniquement, un vote caché en sa faveur, vote dont l’ampleur reste à déterminer avec le bémol que l’appétence pour la nullité des Français (lesquels, après les seringues, affichent en masse des drapeaux ukrainiens un peu partout) est apparemment sans limites. Dans tous les cas, même si je ne crois pas que sauver la France soit possible par les urnes (tous les candidats, lui compris, étant républicains et donc des candidats du système) et que j’ai du mal à m’impliquer dans cette comédie électorale, il reste celui qui me parle le plus, car j’ai connu la France qu’il décrit. Par ailleurs, je me dis qu’on n’acquiert pas une connaissance quasi encyclopédique sur quelque chose qu’on n’aime pas, dès lors, contrairement aux autres pantins, je pense qu’il aime sincèrement notre pays, en tout cas, l’idée qu’il s’en fait. 

Pour autant, le fait d’avoir mon vote, même par défaut, est malheureusement loin d’être de bon augure pour lui, car, depuis 1981, j’ai toujours voté aux présidentielles, toujours pour le moins pire (sauf entre Hollande et Sarkozy où, incapable de départager le flan et les talonnettes, j’ai voté blanc) et du coup, dans un pays suicidaire, jamais un candidat que j’ai soutenu n’a été élu. Dans tous les cas, au second tour, en ce qui me concerne, ce sera : « tout sauf l’éborgneur confineur maffieux » et, même s’il fallait voter Mélenchon, hypothèse qui n’est, hélas, pas à exclure, je le ferais sans hésiter. 

Sur ce, je vais récurer les chiottes avant que Sandrine Rousseau ne m’envoie la police pour non-partage des tâches ménagères. Si vous avez apprécié le contenu vous pouvez cliquer sur tous les trucs en bas, si vous n’avez pas apprécié c’est sympa d’avoir écouté jusqu’au bout. Merci à tous pour votre soutien et à bientôt … j’espère.

dimanche 20 mars 2022

Patrimoine : MACRON QUASI SDF. Mais non, on ne nous prend pas pour des cons😂 (20 mars 2022)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/PE52xlYbxck

 


Bonjour ! 

On n’a plus le choix : il faut trucider Mac…, euh ! Poutine. Ouf ! Je viens de passer à ça de la suppression de la chaîne. En vrai, je ne veux tuer personne, mais comme il paraît que pour Poutine en particulier et pour les Russes en général, exceptionnellement, on a le droit, je voulais juste voir ce que ça faisait, une fois dans ma vie, d’appeler vraiment à la haine sur YouTube. Bon maintenant que l’algorithme est content, passons aux choses sérieuses. 

Ce n’est un secret pour personne que Macron est PD (Président Détestable) comme un faux cul (et non comme un phoque, ce qui prêterait à confusion), ce que l’on sait moins c’est que ce misérable individu est aussi un individu misérable. Je ne sais pas s’il aura sa Rolex à 50 ans, mais quand d’autres exhibent une femme potiche, le pauvre doit se contenter d’une femme postiche et ces derniers temps, à le voir déambuler dans les allées de l’Élysée en survêtement et pas rasé, on finit par croire que financièrement, selon sa déclaration de patrimoine, il est bien, effectivement, en passe de se faire doubler par Nathalie Arthaud, candidate de Lutte Ouvrière, et Philippe Poutou, du Nouveau Parti Anticapitaliste. Vous me direz, atteindre ce niveau de pauvreté extrême, c’est surprenant pour un banquier. 

En fait, l’individu n’est pas plus banquier que les choses entre les jambes de l’introuvable Jean-Michel Trogneux ne sont des ovaires. Pour vous la faire courte, on l’a mis chez Rothschild, poussé par Minc et Attali, alors qu’il n’y connaissait rien. Il a passé son temps à emmerder (déjà) ses collègues pour se faire expliquer comment utiliser Excel, puis, par la grâce du saint es(pas vu, pas)pris, il a été bombardé associé, le plus jeune de l’histoire de la banque. Comme quoi, comme dirait quelqu’un dans son entourage, aux âmes damnées le violeur n’attend point le nombre des années. 

Dans la foulée, on a inscrit son nom en bas de la page lors de l’accord de la cession d’une unité de « Pfizer le piquouzeur » à Nestlé pour 11,8 milliards de dollars, chose pour laquelle notre banquier d’opérette a touché mécaniquement une commission d’un peu moins de 3 millions d’euros (alors que le tarif habituel tourne entre 15 et 40) sachant que, peu importe la somme réelle, elle s’est perdue dans les limbes du système financier luxembourgeois et, faute de GPS, n’a, hélas, pas retrouvé le chemin de sa déclaration fiscale. Je vous mets quelques liens en description histoire que certains ne s’imaginent pas que tout cela serait le fruit de mon imagination féconde contrairement à Brigitte qui ne l’est plus (ou pas, c’est toute la question). Désormais auréolé du titre de banquier par cette transaction qui sera la seule, on l’a introduit, entre autres, dans la politique où, à peine un pied dedans, il a commencé à découper et brader Alstom histoire de s’occuper en attendant d’être Président de la République. 

Certes, avec quasiment 600 milliards de dettes supplémentaires sous son quinquennat plus autant d’engagements européens pas comptabilisés, mais dont la facture sera présentée plus tard, on avait remarqué que les économies ce n’était pas son truc, surtout avec l’argent des autres. Mais, même avec le sien : son patrimoine, de 300 000 € en 2017, a augmenté de seulement 250.000 € en 5 ans alors qu’avec son seul salaire, sans compter la retraite de son épouse et les menus arrangements éventuels sur l’enveloppe généreuse allouée à cette dernière, il a gagné pas loin d’un million d’euros et que, du PQ aux croquettes du chien, absolument toutes ses dépenses sont payées par l’État, c’est-à-dire nous. Cela fait donc entre 700 et 800 000 euros (et encore une fois, je ne parle que du seul salaire) qui se sont évaporés en autre chose que ce que nous lui payons, c’est-à-dire : quasiment tout. 

Certains prétendent qu’il aime beaucoup la neige, mais je l’ai rarement vu avec des skis, ce doit donc être autre chose. Ma théorie c’est que c’est un homme généreux et qu’en cachette, il indemnise les gilets jaunes qu’il a mutilés, éborgnés ou tués. Sinon, on peut chercher des pistes du côté des « Panama papers » (pour les poissons rouges qui ont déjà oublié) à mettre en corrélation avec le refus de Macron d’accorder l’asile politique à Julian Assange ou des rumeurs (forcément complotistes) de biens immobiliers à Marrakech. Mais tout cela impliquerait qu’il mente comme un arracheur de dents, ce que je me refuse à croire. 

En tout cas, plutôt que de s’attaquer à la banque comme le voudrait un Mélenchon qui ne voit qu’un côté des choses ou au fait que notre système social est ouvert au Monde entier comme le dénonce un Zemmour qui ne voit qu’un côté des choses, Macron, soucieux d’épargner et les immigrés et la haute finance, va faire des économies en faisant bosser pour des clopinettes les bénéficiaires du RSA à la place de fonctionnaires qualifiés, selon la même logique qui a fait qu’il était envisagé d’autoriser les buralistes à vacciner contre le covid en cas de besoin. Plutôt que d’embaucher des profs pour inculquer la théorie du genre aux élèves, le boulot sera fait par des gens au RSA, supervisés par un prof diplômé, une infirmière surveillera 10 RSA qui seront supposés faire le même travail et pourquoi pas, un surveillant de centrale nucléaire supervisera lui aussi des gens payés, pour le coup, bien en dessous du SMIC, pour éviter d’avoir à en embaucher d’autres à un salaire décent. 

On voit immédiatement les limites et la dangerosité du système lequel, par ailleurs, fera mécaniquement baisser le coût du travail sachant que les emplois créés sous l’ère Macron sont déjà, en majorité, des emplois précaires (dont le pourcentage obtenu en traversant la rue reste à déterminer). Des travailleurs pauvres avec le litre de diésel au prix de l’huile de colza bio, tout cela suite aux sanctions débiles contre un Poutine qui lui, certainement moins occupé, trouve le temps de se raser, ça ne peut que bien se passer.

 Avant que vous ne vous ruiez avec enthousiasme sur les boutons « like » et « abonnement », je vous rappelle que, suite aux censures et restrictions diverses, seulement 50% de mes vidéos sont hébergées sur YouTube et que les amateurs de spéléologie peuvent consulter l’intégralité de mes publications sur les autres plateformes figurant en description auxquelles, à la demande générale de certains, je viens d’ajouter une chaîne Rumble sur laquelle j’ai également migré l’ensemble de mes vidéos ce qui a été assez chronophage et explique que celle-ci soit plus courte que d’habitude. 

Merci à tous pour votre soutien et à bientôt… j’espère. 

https://chevallier.biz/macron-rothschild-pfizer-et-des-millions/
https://www.francetvinfo.fr/elections/presidentielle/quand-emmanuel-macron-etait-banquier-d-affaires-un-element-prometteur-mais-sans-plus_2171646.html
 

mardi 8 mars 2022

Pour changer de BFM : revue d'actualité qui chatouille. (8 mars 2022)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/fGAwdBGhzXo

 

Bonjour ! 

Si Macron venait à perdre, on pourrait sortir non point le Moussah (quoiqu’on sortirait Darmanin par la même occasion), mais le mousseux et, faute de champagne, devenu presque aussi cher qu’un litre d’essence, un bon crémant d’Alsace ferait parfaitement l’affaire d’autant que nous pourrions ainsi avoir une dernière pensée pour notre président en contemplant la bouteille vide devenue ex-crémant. Il ne resterait plus, tels les chasseurs, qu’à tirer à la chasse, mais sans la préposition. En tous les cas, ça y est, notre Nabotléon « bon à tartes » face auquel Vladimir Poutine se pisse un peu dessus (mais pas forcément de peur), juste après avoir déclaré que le pire est à venir le prouve en annonçant sa candidature à sa propre succession et ce, tout en sauvant l’univers de la main droite et, magnanimement, en lâchant, provisoirement, un peu la bride sur le covid de la main gauche, certes juste avant les élections, mais c’est juste une coïncidence. 

Faute de main libre, il ne lui reste plus, pour faire campagne, que la technique du clown Zelensky lorsqu’il jouait du piano debout, pantalon baissé et mains levées, renouvelant le concept du piano à queue, Brigitte pouvant alors faire la tierce. J’étais perturbé par ce mystère, aussi insondable qu’un discours de Valérie Pécresse, entourant son inamovibilité à 25% dans les sondages, quoi qu’il dise ou fasse. Il s’avère que c’était juste mon côté complotiste puisque désormais… il est à 30, en tout cas dans ceux, au contraire de celui de RTL, que l’on n’a pas effacés, à la vitesse d’une accusation de viol contre un ministre de l’intérieur, pour ne pas assez refléter la réalité médiatique. La panthéonisation du cercueil vide de Joséphine Baker, à comparer avec le mutisme silencieux sans bruit quant au décès du prix Nobel Luc Montagnier, préfigurait donc bien l’instauration d’une république bananière. 

Non content de faire campagne avec les moyens et dans les locaux de l’état (pourquoi se priver) celui qui trouve judicieux de traiter comme un Gilet Jaune un type qui, selon Wikipédia (loin d’être à jour), aligne 45 000 ogives nucléaires, se voit déjà réélu par tous les poissons rouges qui, après avoir été Charlie, soutenu Black Lives Matter et affiché deux ou trois seringues sur leur profil, arborent désormais le drapeau ukrainien en attendant le prochain truc que la machine de propagande médiatique leur dira de penser. Comme un godemiché géant serait un peu gros à avaler, en tout cas pour la frange non encore LGBT de la population, peut-être une paire de coucougnettes rétractées dont la signification serait : « par respect pour l’environnement, je ne chauffe plus mon logement ». Ce n’est peut-être pas un hasard si Greta Thunberg, laquelle semble avoir stocké pas mal de calories depuis la dernière fois qu’elle est venue polluer l’écran de mon PC, s’est prise en photo (certainement, je suppose, avec un téléphone à manivelle écoresponsable), arborant les couleurs ukrainiennes, devant une ambassade russe. 

Grâce à l’argent économisé en chauffage, le Français pourra continuer à payer Netflix et à guetter les promotions chez Leader-Price ; bref, Macron, qui a quand même fait passer, en un mandat, 400 000 Français de plus sous le seuil de pauvreté, en bon énarque, en déduira que, grâce à lui, lesdits Français auront gagné en pouvoir d’achat. Comme disait Coluche : écrivez-nous de quoi vous avez besoin, on vous expliquera comment vous en passer ! Dans tous les cas, la multiplication par 4 des prix qu’on nous vendra comme « bonne pour la planète » et qui n’impactera pas les plus aisés dont la fortune ne cesse de croître sera, bien sûr, imputée à Poutine, façon péripatéticienne accusant son 3500e client d’avoir porté atteinte à sa vertu pour s’être plaint de l’écho pendant un cunnilingus. En fait, le système est déjà ruiné depuis longtemps du fait qu’il n’est simplement pas viable, la chose étant précipitée par le racket généralisé au profit d’une certaine oligarchie avec la complicité des gouvernants, par ailleurs incompétents en plus d’être malhonnêtes. Faillite que la planche à billets d’abord, puis le covid ensuite, avaient réussi temporairement à masquer, comme on a symboliquement masqué nos bouches pleines de dents. 

Même si l’on en trouve des germes dans le catholicisme mal compris, dans l’idéologie des lumières et qu'elle est constitutive de la démocratie élective, la moraline n’a vraiment remplacé le bon sens dans les processus de décision politique qu’à compter de la sacralisation d’un certain génocide (de par la loi, génocide certain), du « plus jamais ça ! » ainsi que de l’invention concomitante des notions ridicules de « crimes imprescriptibles » et de « crimes contre l’humanité » avec, pour corollaire, le remplacement de toute réflexion stratégique par de l’hystérie et des lamentations, lesquelles nous mènent droit au mur, pas forcément éponyme. Cela n’empêche pas ceux qui en vivent, plus ou moins directement, de jouer les va-t-en-guerre du haut de leur statut de victimes éternelles. À commencer par Einthoven, véritable Lucky Luke du clavier, au point que, selon ses dires, il serait plus efficace avec qu’avec une mitraillette. Dès lors, son souci d’efficacité l’empêche, à regret, de suivre l’exemple de plumitifs de seconde zone tels Hemingway et autres Malraux pendant la guerre d’Espagne et de rejoindre la brigade internationale en Ukraine. En plus, les mercredis, il a piscine. Mais ça ne l’empêche pas d’exhorter les autres à aller se faire tuer. Pareil pour BHL, tout auréolé des carnages passés qu’il a provoqués. 

Cette moraline, qu’on nous impose, mais dont Israël, par exemple, s’encombre rarement, a d’autant moins sa place en politique (sauf comme outil de consentement des peuples à la guerre) qu’elle est à géométrie variable. On n’a pas beaucoup protesté, ce me semble, à chaque fois que l’OTAN a « darmanisé » les frontières d’un état souverain, à commencer, sans même parler du Moyen-Orient, par la Yougoslavie, noyée sous un tapis de bombes sans mandat de l’ONU, avant d’être redécoupée selon le bon vouloir de l’État profond américain avec la création du minuscule Kosovo, histoire d’installer une base de l’OTAN au milieu, tandis que d’autres, au rire suave, s’adonnaient à un lucratif trafic d’organes. Certes, l’OTAN presse, mais, encore une fois, le bien et le mal ne signifient rien en matière de géopolitique (d’autant qu’ils sont déterminés par celui qui contrôle le narratif). 

Toujours est-il que la pieuvre otanesque encercle la Russie et que, si j’imagine que cela pourrait conduire Macron à hurler à Poutine de l’autre bout de la table : « l’OTAN t’accule ! » (d’où l’importance d’un bon interprète), ledit Poutine ne fait rien qui n’a déjà été fait, plus mal, par le camp du bien ; sauf à considérer que cela fasse une différence quelconque pour celui qui est mort d’avoir été tué au nom des droits de l’homme et de la démocratie. Peut-être que quand le corps se déchiquette, il y a un effet doliprane et que cela atténue la douleur. La différence est que Poutine essaye, lui, confronté à la perspective de devoir cohabiter, à terme, en bonne intelligence avec l’Ukraine, de limiter les pertes civiles et matérielles sinon, ayant acquis d’entrée de jeu la maîtrise complète de l’espace aérien, l’affaire serait déjà pliée depuis longtemps. D’ailleurs, sitôt un territoire sous contrôle russe, les populations sont ravitaillées et la vie reprend son cours tranquillement. 

L’Ukraine, aussi plate que Brizitte sans prothèses, est peu propice à la guérilla. Largement surclassés, les opposants, pour continuer à combattre, n’ont donc d’autre choix tactique que de se planquer au milieu des habitations, de tirer depuis des écoles et des hôpitaux pour ralentir l’avance russe et augmenter le nombre de victimes civiles afin de faire passer Poutine, même s’il n’est certes pas un saint, pour un maniaque sanguinaire, la guerre étant désormais médiatique. Jadis les bolchéviques enfermaient dans des hôpitaux psychiatriques ceux qui ne pensaient pas comme eux. Il faut croire que cette idéologie délétère n’est pas morte puisqu’à présent, ce sont nos médias qui, plutôt que de fustiger l’imbécillité de nos dirigeants (incapables d’accepter de renoncer à leur fantasme d’instauration d’un gouvernement mondial), traitent Poutine de fou, agitant l’épouvantail selon lequel il serait assez con pour bombarder une centrale nucléaire aux portes de la Russie. On nous prend vraiment pour des tanches. 

Tout ce que fait le président russe n’est que la conséquence du franchissement d’une ligne rouge par l’OTAN. Il a annoncé depuis longtemps ce qui se passerait, l’a politiquement justifié et s’y est préparé depuis le Kosovo, justement, époque où on lui a fait comprendre que c’était la force qui primait et qu’il n’avait pas les moyens d’ouvrir sa gueule et de venir en aide aux russophones sur place. Résultat, aujourd’hui, tandis que Macron fantasme de refiler notre siège à l’ONU et les 3 bombinettes qui nous restent dans les cales d’un Charles de Gaulle un brin cacochyme, à l’Allemagne, Poutine, avec ses missiles hypersoniques que n’ont pas les USA, peut exploser l’Elysée en quelques secondes, façon Fistinière, sans que nul ne puisse l’en empêcher, ni que les Américains, courageux, mais pas téméraires, ne mouftent ; ces derniers n’ayant que « le droit » à la bouche, mais ne respectant que la force. 

S’imaginer qu’il bluffe serait donc une lourde erreur. Enfin, objectivement, l’Ukraine a déjà mathématiquement perdu sans que nul ne puisse y faire quoi que ce soit à part de prolonger, pour rien, le carnage, en envoyant des armes dont une partie se retrouvera bientôt dans les caves de nos cités. En outre, même si toutes les strates de son gouvernement fantoche étaient sous la coupe de puissances étrangères, officiellement elle ne fait partie ni de l’UE, ni même de l’OTAN. Au cours des dernières années, plus d’un million et demi d’Ukrainiens ont fui la misère pour émigrer en Russie, 60% des Ukrainiens ont de la famille en Russie et une partie de la population est par ailleurs pro-Russe. Pourquoi devrait-on prendre parti pour l’autre dans un conflit qui ne nous concerne pas et dont notre implication inutile ne peut avoir pour effet, outre l’accroissement des pertes humaines, qu’une explosion de la facture énergétique ? 

La seule façon de détruire l’économie russe c’est de leur envoyer Bruno Lemaire, autrement c’est nous qui sommes dépendants de la Russie et pas le contraire, notamment pour ladite énergie et pour le blé dont l’augmentation des prix ne va pas tarder à provoquer des émeutes de la faim en Égypte et des soucis, notamment dans les pays du Maghreb, lesquels auront des impacts sur les flux migratoires. Contrairement à nous, la Russie, elle, n’a pas de dettes et dispose de matières premières à foison à échanger avec le reste du Monde. Avec les retombées indirectes des sanctions économiques, les incapables qui nous gouvernent sont en train de faire tomber un ensemble de dominos qui pourraient finir d’anéantir les économies européennes, déjà mal en point, en quelques mois, voire en quelques semaines ; 2008, à côté, étant de la roupie de sansonnet. 

Toujours est-il que si Macron ne parvient pas, d’ici là, malgré tous ses efforts, à déclencher un conflit nucléaire, faisant qu’en plus de tout le reste, je dois désormais vivre avec l’angoisse de ne jamais connaître la vérité sur Jean-Michel Trogneux, sauf à être suicidaire, il faudra voter contre lui et une chèvre (la meilleure option) n’étant plus sur la table avec la non-qualification du parti animalier, l’assortiment que le système nous a concocté pour tout changer dans la continuité, fait peine à voir. Nous sommes descendus tellement bas que, après Philippot, même un Asselineau, en faisant (j’espère) semblant de croire que les traités prévalent sur les rapports de force et qui adhère pourtant totalement à l’escroquerie républicaine, est jugé trop subversif pour avoir ses 500 signatures. 

Quant à Zemmour, dont l’argument de vente par rapport à Marine « pas la peine » était de tenir le cap contre vents et marées, de plus en plus politicien, il rétropédale sur l’Ukraine, portant aux nues son coreligionnaire Zelensky, comme il a rétropédalé sur la loi Gayssot. Le soutien de Marion Maréchal qui sait choisir ses combats, mais aussi ses silences (comme sur l’Ukraine en ce moment) va encore renforcer les calculs stratégiques au détriment de la clarification des positions sur tout ce qui n’est pas haro sur l’immigration (essentiellement musulmane, les autres ayant un bon prénom). Même si l’immigration est un problème majeur, c’est un peu court pour expliquer ce qui se passe actuellement, d’autant qu’ils ne vont même pas jusqu’au bout de la logique en demandant par quel tour de passe-passe, au lieu de jolies Ukrainiennes ignominieusement caucasiennes et catholiques, les premiers réfugiés qui, soi-disant, arrivent d’Ukraine en France, sont des Congolais et autres Afghans ukrainiens ? Moraline, quand tu nous tiens ! 

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