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vendredi 13 septembre 2019

PMA & Gilets Jaunes (13 sep. 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/khuDcnQ7yJw




Bonjour !
Cette nuit j’ai fait un rêve horrible. Je recevais un appel de ma banque du sperme pour me dire que j’étais à découvert et que je devais faire un virement d’urgence. Quand je suis arrivé, il y avait la queue, sans mauvais jeu de mot. Dans le hall, Agnès Buzin, en nuisette, faisait la danse du ventre pour mettre les donneurs dans de bonnes dispositions et Marlène Schiappa, dont je remarquais pour la première fois les callosités aux genoux, faisait comme dans ses livres pour accélérer le processus.
Les virements effectués étaient acheminés par un réseau de tuyaux jusqu’à une gigantesque piscine dans laquelle des milliers de lesbiennes à cheveux bleus se baignaient, ne sortant que pour accoucher, les bébés étant ensuite triés comme des poulets, les mâles délicatement castrés avec des petits ciseaux roses et habillés en tutus de la même couleur, tandis que les femelles étaient entassées dans des avions portant le sigle « lolita express ». 
Je sortais de là en titubant et, poursuivi par Marlène Schiappa, je parvins à me réfugier dans un stade où l’on scandait des slogans homophobes qui la firent fuir comme l’ail les vampires. Les hauts parleurs diffusaient par erreur l’hymne de l’Andorre comme pour la rencontre France-Albanie du 7 septembre, que le commentateur, dans ses excuses, s’obstinait à appeler Arménie, tout ça parce que, pour faire des économies, l’État facture désormais à prix d’or les prestations de ses musiques militaires, pourtant déjà payées avec nos impôts, qui n’auraient jamais commis, elles, pareille bévue et que quelque tête de piaf à la vue courte a pensé que ce serait plus économique de jouer un mp3.
Je n’étais pas sûr que c’était vraiment du foot car les joueurs étaient occupés à courir après des femmes toutes nues. "Belle action de Polanski qui pénètre par l’arrière dans la surface de réparation, Benguigui se casse la voix à demander la passe, attention, une main d’Haziza, drible de DSK, Weinstein va au contact tandis qu’Epstein tente une nouvelle fois de se pendre à la transversale, Woody-Allen s’approche dangereusement des buts et finalement c’est Tarik Ramadan qui sauve l’honneur pour le camp adverse". Descartes, assis à côté de moi dans la tribune nord, absorbé par la lecture des œuvres complètes de Bernard Henri Lévy préfacées par Yann Moix, opinait distraitement du chef quand je lui expliquais que le gouvernement, d’un côté raclait les fonds de tiroirs, allant jusqu’à taxer les cabanes de jardin et, de l’autre, semblait à l’affut de toutes les façons possibles de gaspiller de l’argent, en accueillant les migrants dont les autres ne veulent pas et qui coûtent à la collectivité 50 000 € par an par tête de pipe, ou bien en proposant généreusement de financer la lutte contre les incendies au Brésil tout en déforestant à tour de bras en Guyane Française. Suivant la même logique, une main dérembourse massivement les médicaments pour les malades et traite par le mépris une grève des urgences qui dure depuis 6 mois, laissant le système hospitalier tomber en ruine, tandis que l’autre envisage sans tiquer, comme une priorité, de rembourser la PMA pour des lesbiennes en parfaite santé sauf quelques cas rares, épilation oblige, de la pathologie féline de la boule de poil.
Tandis que des supporters scandaient « Marlène on n’est pas homophobes puisqu’on t’enc*** aussi », il fit alors valoir, chose à laquelle je n’avais pas pensé, que l’idée même d’une PMA de confort pour des femmes a priori fertiles qui peuvent, mais ne veulent pas, concevoir par des voies naturelles, est en contradiction avec le désir d’enfant qu’elles proclament, ramené au niveau d’une simple envie, comme devant le mythique sac à main enfin censé pouvoir contenir tous ces trucs mystérieux, dont certains à piles, que les femmes trimballent. Un peu comme si un mort de soif dans le désert disait aux premiers secours, « ah, non, pas de l’eau, je n’aime pas ça, je veux du coca light, à 18 degrés avec une tranche de citron et une paille ». Quand on meurt de soif, on boit, quand on veut vraiment un enfant, on baise. 
Ce n’est pas comme si les femmes hétéros étaient toutes mariées avec Brad Pitt et que c’était forcément pour toutes une partie de plaisir. Rares étant celles qui rêvaient gamines d’un prince charmant chauve, bedonnant et qui sent fortement des pieds. Pas sûr que l’image mentale les aide, mais si les lesbiennes ne sont pas prêtes à faire ce petit sacrifice consistant à fermer les yeux en pensant à Marlène Schiappa le temps que la chose se passe, sans oublier, en outre, que, question volume, ce qui rentre, même quand c’est désagréable, c’est de la rigolade comparé à ce qui va sortir si l’opération réussit, sachant qu’élever un enfant, par définition, c’est faire des sacrifices, quels autres sacrifices ne seront-elles pas prêtes à faire plus tard ?  On peut légitimement se poser la question et c’est en tout cas un très mauvais départ pour un projet parental.   
C’est déjà assez compliqué et dramatique comme cela pour les couples qui ne peuvent pas avoir d’enfant sans rajouter au mix (et aux listes d’attentes) les paires homosexuelles. Car, poursuivi-t-il, sous mon regard horrifié, c’est bien là le fond du problème, deux choses similaires ça s’appelle une paire, pas un couple. On ne dit pas un couple de chaussures. De même, un couple ça vise à la reproduction et c’est donc, par nature, hétérosexuel. « Couple hétérosexuel » est donc un pléonasme et « couple homosexuel », un non-sens. Lorsque, par un glissement sémantique, on fait croire aux gens qu’une paire homosexuelle est un couple, on peut leur vendre qu’un couple homosexuel doit avoir les mêmes droits qu’un couple hétérosexuel. En gros, un couple de chaussures c’est pareil qu’un couple de pigeons et il a droit à son œuf. 
Les homosexuels doivent certes avoir des droits, mais des droits spécifiques et adaptés. Pour une paire ont pourrait, par exemple, avoir un « pariage » qui maintient une distinction nette avec le « mariage », sinon à force de prétendre qu’un carré et un triangle c’est pareil juste parce qu’on leur donne le même nom, on va avoir des gens qui oublieront que les bites d’amarrage ce n’est que pour les bateaux avec les conséquences désastreuses que l’on imagine. 
J’étais en train de me dire que je comprenais pourquoi Descartes n’avait pas de chaîne YouTube, quand il en rajouta une couche. Comment justifier, au nom de l’égalité, le refus ensuite de la GPA pour les paires d’hommes si toute association de 2 individus, voire plus, est considérée comme un couple. En revanche, et là, je me surpris à approuver de la tête, ce souci d’égalité disparait pour les gilets jaunes car se promener à plus de 1 ce n’est plus être un couple mais une manifestation non autorisée passible d’une contravention de 135 €, sauf pour Éric Drouet qui, apparemment, est une manifestation, voire un couple, à lui tout seul. En appliquant la même logique gouvernementale, les rapports sexuels à plus de 1 c’est une partouze et pour Drouet l’onanisme est interdit. 
Pendant ce temps, on continue à gazer et violenter des paraplégiques, on embarque de simples passants qui bouffaient tranquillement leur pizza et n’avaient rien à voir avec la chose, on verbalise des journalistes étrangers pourtant munis d’une carte de presse, on gaze et on matraque allègrement, le tout dans le plus grand silence médiatique, sauf pour lâcher des chiffres ridicules démentis par les images lorsque l’on cherche un peu. Tandis que sur la pelouse on organisait un méchoui avec un type en t-shirt arc-en-ciel en guise de plat de résistance, prouvant que les supporters n’étaient pas homophobes mais simplement homophages, Descartes poursuivit :  
Ma ligne de démarcation n’a jamais été entre les riches et les pauvres, les blancs et les non blancs, les homos et les hétéros, la gauche et la droite, juste entre la logique et l’illogisme. A la base, les gilets jaunes c’est de la logique et du bon sens, le retour du paysan qui vit avec la nature et qui est obligé de se conformer à ses règles, la tomate se foutant des idéologies et ne poussant que sous certaines conditions. Toute forme d’illogisme produisant de l’injustice sociale et étant toxique pour la société, même si ce n’est pas évident pour certains, aveuglés par leur idéologie, à la base, le combat des gilets jaunes et de la manif pour tous est le même : le simple bon sens. 
Il serait en outre tactiquement payant pour les infâmes gilets jaunes antisémites de rejoindre en masse les rangs de ladite organisation torquémadesque, homophobe et rétrograde lors de sa manifestation du 6 octobre. Peu importe que l’on soit d’accord ou non, sachant que le camp du bien macronien n’a pas les moyens de contenir violemment, et sur la durée, 2 mouvements d’envergure auxquels va se rajouter la vague de contestation sur le système de retraite à points, dont la valeur non fixée servira de variable d’ajustement, baissant les retraites des uns pour continuer à financer sans compter les gaspillages pour raisons idéologiques des autres. Si le but est de faire tomber le gouvernement avant qu’il ne détruise complètement ce qui reste du pays, il faut saisir l’opportunité.
Qui étais-je pour contredire Descartes.  C’est-là que je me suis réveillé et que je me suis fouetté au sang avec un chat à neuf queues pour expier ces pensées impies.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.


mardi 3 septembre 2019

Homophobie Footballistique (03 sept 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/PGVVyPfITVo



 Bonjour,
J’ai vérifié, le mot « enculé » figure bien dans le dictionnaire donc c’est qu’il a vocation à être utilisé. Il y a même écrit « trans. » à côté, je suppose que c’est pour « transitif ». Pour autant, afin de ne pas trop heurter les oreilles chastes, je vais employer « macroniser » à la place, ça veut dire la même chose et c’est autorisé dans les stades. Nous vivons dans une société hiérarchique et celui qui se fait « macroniser », au propre comme au figuré accepte de se faire dominer, d’où le mépris des dominants et raison pour laquelle, en prison, où l’on doit absolument trouver sa place si l’on veut survivre, il est fortement déconseillé de ramasser la savonnette sous la douche, la chose y étant couramment pratiquée pour des raisons plus sociologiques que sexuelles. De même, dans un univers politique qui, face au mur de la réalité, voit le retour des mâles alpha, le métrosexuel Macron, seule figure féminine depuis qu’Angela Merkel, au demeurant plus masculine que lui, est partie sucrer les fraises, se fait macroniser en tournante, au point que ses morpions, pourtant habitués, se sont mis en grève en exigeant une prime de risque, par Poutine à Brégançon, Trump au G7 et, en attendant Boris Johnson, par Bolsonaro qui vient d’un Pays où, jusqu’à il y a peu, avant que le ver ne s’installe dans le fruit au nom de la lutte contre le racisme, puis de l’homophobie, la liberté d’expression était totale et où les insultes, la diffamation, voire les coups sont toujours des pratiques normales et admises pendant les campagnes électorales qui, au moins, sont divertissantes à regarder. De fait, la petite tirade contre la récemment liftée Brigitte Macron, sans même aller jusqu’à sous-entendre que quand elle cligne des yeux elle a les orteils qui bougent ou que le surplus a été replacé dans son sarcophage au musée d’égyptologie et se bornant, gentiment, à la comparer avec sa propre épouse ne dépasse pas un petit 2 sur l’échelle logarithmique Bolsonarienne, le sauveur auto-proclamé de l’univers, donneur de leçons mais pas foutu de résoudre le moindre problème dans son propre pays, pouvant s’estimer heureux de s’en être tiré à si bon compte. D’autant que protester contre les feux de forêts en Amazonie en faisant l’impasse sur ceux, plus importants, qui ravagent l’Afrique pouvait être perçu comme une attaque personnelle et de fait, se faire rappeler, en substance, que quand on n’est pas foutu d’empêcher l’incendie d’une cathédrale inscrite au patrimoine de l’humanité et qu’on se ballade avec une brindille sèche à ses côtés on serait bien avisé de fermer sa grande gueule en matière de combustion, est parfaitement normal. Bienvenue dans le monde réel.
Pendant ce temps, chez les bisounours, on pousse des cris d’orfraie contre les supporters de foot supposément homophobes alors que proposer, de façon tout à fait urbaine et germanopratine, de macroniser diverses instances et personnes consentantes, me semble, au contraire, tout à fait homophile sachant que, généralement, quand on propose à quelqu’un de lui masser les pieds c’est qu’on n’est pas contre les massages. C’est d’ailleurs d’autant plus méritoire qu’au foot, par définition sans les mains, la chose relève de l’exploit technique. Il n’en demeure pas moins que dans cette France aux 11 millions de chômeurs et précaires, dont le niveau scolaire s’enfonce dans les abysses et dont, après avoir laminé le tissu industriel, on vend les derniers bijoux de famille à la découpe, dans l’échelle gouvernementale de ces priorités prioritaires qui pourtant ne résolvent aucun des problèmes croissants de 99 % de la population, l’urgence, qui semble même détrôner l’indéboulonnable lutte contre l’antisémitisme, c’est d’arrêter des matches de foot au motif d’homophobie.
Moi, dans cette compétition victimaire qui s’annonce, je suis plutôt team « lutte contre l’antisémitisme », d’autant plus quand on apprend que Yann Moix, protégé et adulateur de BHL a dit, par le passé, des choses que je n’ose même pas rapporter ici, déjà que mon poissonnier me regarde d’un regard bizarre depuis que je lui ai dit que, comme il n’en avait jamais, j’allais finir par me demander si l’anchois avait vraiment existé. Les antisémites sont parmi nous et ils se cachent en pleine lumière, peut-être une antenne entière du 3eme Reich camouflée au sein de la Licra dont, la dernière fois que j’ai vérifié, l’organigramme était exclusivement et suspicieusement blanc, l’agressivité de Christine Angot, partenaire de crime dudit Yann dans « on n’est pas couchés » n’est pas sans rappeler la bête immonde dans son bunker, quant à Bernard  Henry Levy, lui-même, qui défend son protégé, cette chemise ouverte sur un torse viril pour détourner l’attention de son visage toujours parfaitement rasé et cette hantise de la frange, qui l’oblique à arborer une coiffure improbable, réveillent en moi les pires délires complotistes. Qui est-il vraiment ? Toujours est-il que le sinistre individu (la confusion étant possible je précise que je parle de Moix), se retire de la vie médiatique, probablement pour un couvent de nonnes, si possibles asiatiques et pas trop vieilles.
Mais trêve de digressions et revenons à la dernière chose encore sacrée dans notre pays : le foot. Marlène Schiappa, plutôt prédisposée, il est vrai, de par son organe lingual en mouvement perpétuel autonome, à d’autres pratiques que celles évoquées dans les stades, et que, par ailleurs, elle plébiscite dans ses livres, forcément, s’en est mêlée, menaçant même de quitter les tribunes en cas de récidive. Un peu comme Macron qui dirait aux gilets jaunes « arrêtez, sinon je démissionne » et, sauf à ce qu’elle s’imagine, ce qui n’est pas exclu, qu’une partie des supporter accorde à sa présence plus d’importance qu’à une bouse de vache recyclée en chiure de mouche sur le crampon de la chaussure du gardien de l’équipe adverse, cela risque au contraire d’encourager la pratique, certains se demandant d’ores et déjà quoi scander pour la faire quitter le gouvernement. Lui rappeler que « gouvernement » est du genre masculin devrait suffire.
Dans tous les cas, si elle dispose de chiffres démontrant que la sodomie est l’apanage des paires homosexuelles, seule raison pour laquelle le fait d’y faire référence serait homophobe, on a le droit de savoir. Il serait paradoxal, en effet, que nous recueillions des statistiques sexuelles alors que notre beau pays vient d’interdire, en catimini, les statistiques sur les sentences rendues par les juges qui auraient pourtant permis de détecter ceux un peu trop sévères envers les gilets jaunes et dont les jugements ont un caractère politique, ce qui pourrait également expliquer la condamnation incompréhensible de génération Identitaire, pour avoir fait pacifiquement respecter la loi, en comparaison de la toute aussi incompréhensible clémence envers Cédric Herrou, pour l’avoir fait enfreindre. 
Une France qui, préférant casser le thermomètre qu’admettre la maladie, est un des rares pays au Monde à interdire les statistiques ethniques, donc aucune crainte, le réfugié Afghan qui, ces derniers jours a confondu 9 personnes avec un rosbif halal et en a tué une, en présumant, par délit de faciès raciste, qu’elles ne lisaient pas le Coran, ne viendra gonfler aucun chiffre officiel significatif, Castaner lui-même, pourtant prompt à qualifier les saccages de permanences LREM d’attentats, ne voyant en revanche ici qu’une simple agression. Afin d’éviter tout malentendu tragique à l’avenir, je vous suggère le port d’un T-Shirt avec l’inscription « j’ai lu le Coran » sur le devant avec, en option, pour les plus téméraires : « mais j’ai pas aimé » dans le dos. 
Et en parlant de courage, même si je prends des risques, certes calculés mais toujours imprévisibles, en faisant ce que je fais et en disant ce que je dis, j’ai réalisé récemment, devant un des nombreux radars tourelles carbonisés qui démentent leur soi-disant invulnérabilité, les limites de mon dit courage devant le montant hallucinant de l’amende et des peines encourues lesquelles pourraient laisser penser qu’il est moins risqué en France d’être pédophile que de s’en prendre auxdits radars. La crainte de ne plus pouvoir subvenir aux besoins de ma famille fait que, lamentablement, comme tous les manifestants pacifiques dont, en l’état, la seule chance de succès est que Macron se penche à la fenêtre pour mieux voir et qu’il tombe, la seule action que je pourrais me permettre, avec, hélas, une probabilité de réussite équivalente, pour lutter contre ces engins, manifestations symboliques du « Big Brother » omni-voyant qui, peu à peu, prends le pouvoir dans nos sociétés nous privant de notre liberté contre une vague promesse de sécurité, c’est de planter un gland devant et de compter sur une bonne pluviométrie et un cantonnier peu scrupuleux. Les glands ce n’est pas ce qui manque, y compris en milieu urbain, et si je me fais prendre je pourrais toujours dire que c’était pour compenser la déforestation amazonienne.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.