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dimanche 24 mars 2024

Attentats en Russie, macron boxeur, loi sur les cheveux et autres news (25/03/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/iuF0nnU6ofA

Bonjour ! 

Nul doute, si l’on en croit une pluie d’éloges à faire déborder les nappes phréatiques que, pour n’avoir point commis le péché capital de contester la vérité révélée par ceux qui nous gouvernement, ce brave Frédéric Mitterrand (dont l’arrêt du cœur fut concomitant à « l’arrêt » du c… mais je m’égare) coule désormais une éternité heureuse au paradis des pédophiles méritants où, l’esprit embrumé par une somnolence postprandiale, je l’imaginai, à défaut de petit ange à la Nahel, recalé pour « mauvaise conduite », troussant allégrement séraphins et autres chérubins en quête de quelque orifice indépendant du mystère qui occupait certains durant le siège de Constantinople, avant, après usage, que de se rassasier de wings façon KFC, parce qu’au paradis globaliste républicain, le gaspillage ne saurait être conforme au crédo écologiste. 

Pour Pascal Praud, « chantre mou », sur ce coup, de CNEWS, tel un ongle d’orteil laissé à l’abandon, « il INCARNAIT ce que longtemps la France a conservé de plus précieux » (allusion probable au contenu des glandes sudoripares du défunt, effectivement peu sollicitées au cours de sa carrière professionnelle), tandis que Jack Lang faisait part de sa profonde tristesse et qu’Emmanuel Macron, toujours friand de nécrologies, entre 2 photos de cosplay en « Roquet » Balboa, le biceps gonflé (sans qu’on sache avec certitude où se situe la valve), nous gratifiait de quelques réminiscences émues, pendant que Brigitte, toujours en quête de son album photo, se faisait particulièrement discrèt(e). 

Un, en tout cas, qui n’ira pas au paradis républicain, c’est Vladimir Poutine, LGBTvore de son état, réélu avec quasiment 88% des voix, plébiscite qui, dans un pays en perdition où les services publics fonctionnent, où l’on peut se promener dans la rue en sécurité, où le niveau de vie augmente et où le PIB s’envole en dépit de sanctions économiques supposées le mettre à genoux, le tout sur fond de victoire plus que probable dans un conflit visant, au départ, à protéger des populations russophones, ne saurait s’expliquer que par une fraude massive. L’insolent a donc été châtié, comme il se doit, de toutes ces ignominies, par un remake du Bataclan et, pour avoir visionné la vidéo mise en ligne par l’État islamique qui a revendiqué le carnage, la formule consacrée nous informant qu’Allah pourrait, sans problème, jouer au basket à haut niveau, a bien été prononcée. 

Toutefois, des éléments aC.I.A pour que l’attentat-SION soit grande d’y voir la patte des habitués de ce genre d’opération consistant à manipuler des abrutis d’ISIS (organisation dont Trump attribuait la paternité à Obama et qui n’a jamais ni critiqué ni attaqué Israël, ce qui en fait quand même de drôles « d’islamistes ») pour, en pleine éradication (humaine et pondérée) des Palestiniens, aller frapper… la Russie (en transitant par la Turquie et l’Ukraine) parce que… les voies d’Allah sont visiblement plus impénétrables que celles de Gabriel Attal. Cela sent quand même un peu le bobard tel CANCER, depuis un petit moment, la famille royale d’Angleterre pour cacher le fait que la triple vaccinée Kate Middleton aura du mal à renégocier son assurance vie à un tarif préférentiel. 

Les élections étant passées et la guerre étant désormais un moteur incontournable de son économie (tout en affaiblissant ses adversaires), Poutine n’avait aucun intérêt objectif à précipiter les choses en Ukraine, ce qu’il va être obligé de faire a minima, son peuple ayant besoin d’un bouc émissaire (pas forcément innocent par ailleurs, un des terroristes affirmant avoir été recruté par l’intermédiaire de l’ambassade d’Ukraine au Tadjikistan) d’autant qu’il n’a aucune intention d’aller sur le terrain du Moyen-Orient où « certains » cherchent à l’entraîner en mêlant l’État islamique à l’histoire. 

En tous les cas, les théories de la première heure qui voyaient la main du FSB derrière me semblent pour le moins assez capillotractées pour rendre jaloux Éric Ciotti, lequel, et ça n’a rien a voir, affolé par les sondages des européennes, supplie les électeurs LR de « revenir » façon E.T., tandis que, pour rester dans la digression, côté socialiste, après le très communautaire et belliciste Raphaël Glücksmann (déjà assassiné par Valérie Hayer faisant sournoisement remarquer qu’il vote à 90% comme renaissance au parlement), la liste s’est enrichie de rien moins que la nièce d’Olivier Rafowicz, le porte-parole de Tsahal en France, alors qu’à l’opposé du ring, 52 kg à la pesée, 12 victoires et 2 défaites, LFI table sur Rima Hassan, militante palestinienne. Bref, seul point positif de l’importation sur notre sol d’un conflit qui ne nous concerne pas : l’union de la « gauche » à l’instar d’une plainte contre Dupont-Moretti, c’est mort et enterré, paix à son âme. 

Quittons donc la dictatoriale Russie pour revenir en France, pays normal où, comme cette semaine, à Tourcoing, une jeune fille de 13 ans qui rentre de l’école peut se faire violer en pleine rue, au milieu de l’après-midi, par quelqu’un qui, hélas, n’a pas les codes tandis qu’un enfant de 8 ans qui n’a même pas les feux de position, essaie de poignarder son institutrice avec 2 couteaux ; pays dans lequel, au lieu d’un PIB homophobiquement en hausse, nous pouvons nous enorgueillir d’un déficit, conforme aux valeurs de la république, de 5,6% pour 2023. Il faut en rendre grâce, comme il se doit, à un gouvernement qui, bien qu’ayant eu entre les mains des rapports prévisionnels en ce sens, les a sciemment ignorés pour faire voter, à grands coups de 49-3, un budget sur la base de prévisions qu’il savait fausses avec, pour résultat, aujourd’hui, des dizaines de milliards à trouver d’urgence. 

De vils complotistes à la solde de la désinformation russe pourraient en conclure que c’est presque comme si nos dirigeants faisaient exprès d’endetter le pays pour faire plaisir à ceux qui se goinfrent des intérêts de ladite dette et qui se trouvent être les mêmes qui financent leurs campagnes, peaufinent leur image et font en sorte qu’à chaque élection ne soient présélectionnés, pour nous donner une illusion de choix, que des pantins du système en forme de plugs anaux aromatisés qui à la fraise, qui à la pistache. Du coup, comme il ne saurait être question de toucher aux dividendes des sacro-saints actionnaires, ni d’arrêter de financer l’immigration de masse et ses bienfaits, dont un premier cas de choléra signalé à Mayotte, il va falloir se serrer la ceinture sur le social, l’indemnisation de ces fainéants de chômeurs, les soins de tous ces hypocondriaques qui vont aux urgences et sur divers services superfétatoires pour tous ces ingrats qui s’obstinent à faire trois repas par jour au lieu de profiter de l’inflation galopante pour faire un régime.

Même la culture va être circoncise, ce que n’a point apprécié Rachida Dati qui aurait menacé de transformer en kebab le chien de Gabriel Attal : probablement une métaphore visant Bruno Le Maire qualifié ensuite, en substance, de de gros étron, conséquence inévitable d’un anus par trop dilaté. Mais bon, c’est le prix à payer pour la démocratie et des dirigeants certes, un peu dispendieux, mais qui s’occupent des choses vraiment importantes comme le futur projet de loi sur la discrimination capillaire en milieu professionnel et, avec un peu de chance, la prise en compte de la suggestion de la cruche qui tant VALAUD qu’à la fin elle se belCASSEm, de limiter à 3Go par semaine toutes les connexions Internet. 

Une démocratie dont a pu prendre toute la mesure le directeur de la rédaction du journal « La Provence », mis à pied par le nouveau propriétaire (grand soutien de Macron et ayant racheté, entre autres, BFMTV) pour une une laissant penser que l’opération « Place Nette » contre les dealers menée à Marseille par la terreur des punching-balls (lequel ne saurait tolérer qu’il y ait encore un secteur d’activité en expansion dans le pays, même au risque de s’aliéner ses propres fournisseurs) aurait eu autant d’effet qu’un pénis de souris transgenre dans une orgie d’éléphants d’Afrique. 

Mais oublions ces vicissitudes, car, fort heureusement, nous pourrons bientôt nous évader dans la lecture avec la publication prochaine du chef-d’œuvre littéraire que tout le monde attend, écrit entre autres par BHL, Hassen Chalghoumi et Manuel Valls, sur les conséquences du 7 octobre 2023 date, comme nul ne saurait l’ignorer, du premier Championnat du monde de la frite, à Arras, dans le Pas-de-Calais. Elle n’est pas belle la vie ? 

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lundi 18 mars 2024

Après les révélations sur Jean-Michel Trogneux, je viens de réaliser un truc énorme (18/03/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/clXCGOuJ4_w

Bonjour ! 
La légende raconte qu’il y aurait, quelque part, dans les tréfonds du gouvernement, une mythique créature encore hétérosexuelle dont la quéquête serait aussi dure que celle du Saint-Graal. Une épopée qui n’a point tenté Sarah El Haïry, ministre déléguée à quelque chose (ayant trait à la famille) et heureuse maman d’un bébé éprouvette sans OGM ou autre masculinité toxique. Nonobstant, il semblerait que, paradoxalement, traiter les moules comme des esquimaux n’améliore pas la maîtrise de la langue, puisque dans une apostrophe (loin de Bernard Pivot) à Sandrine Rousseau, elle a réussi à jeter par 2 fois « l’eau propre » sur l’écologiste, gaspillage qui frise la provocation, en concluant sa diatribe par l’espoir plein d’optimisme que les mots de Sandrine, « n’avaient pas dépassé ses propos » ce qui eût certes été grave, mais moins que la tentative de « La Chaîne Parlementaire » de corriger discrètement la retranscription sur X de ce morceau d’anthologie, provoquant le raz de marée de commentaires ironiques (ta mère) que l’on imagine. 
Avec ce concept révolutionnaire du diplômé analphabète, la France innove, assurément, mais le mieux est l’ennemi du bien et, compte tenu de l’extrême concentration du phénomène au sein d’un même gouvernement, la seule explication qui me vient à l’esprit est la présence, dans les sous-sols de l’Élysée, d’un élevage clandestin d’individus génétiquement modifiés pour dépasser les limites, depuis longtemps atteintes, de la connerie humaine. Comment, sinon, expliquer Bruno Le Maire lequel, après 7 ans passés au ministère de l’Économie à taxer tout ce qui était taxable, des cabanes de jardins aux poulaillers, découvre que les anus ne se dilatent pas à l’infini et, avec, la fameuse courbe de Laffer (dont visiblement il n’a pas vraiment le sens) selon laquelle il est un point au-delà duquel trop d’impôts et de taxes contractent suffisamment l’économie et les dépenses des ménages pour diminuer l’assiette (au propre comme au figuré) et donc, finalement, les recettes (devenues WeightWatchers), faisant qu’à partir de là, plus on taxe, moins ça rapporte (en tout cas, si on taxe les mêmes). Faisant grincer « les dents de l’amer » contribuable, et mal conseillé par quelque requin de la finance (« l’aidant de Lemaire », en l’occurrence), il lui faut désormais trouver non plus 10, puis 20 comme annoncé, ni même 50, mais selon certaines sources à Bercy, 174 milliards et 18 centimes pour éviter la mise sous tutelle par le FMI. 
Outre les 11% d’augmentation budgétaire de l’Élysée (perruques de « première Dame » incluses), les 6% pour l’Assemblée nationale, les 2% pour le Sénat et les 34% pour le Conseil constitutionnel, sans omettre profond les, respectivement, 300€ et 700€ mensuels pour les faux frais des vrais députés et sénateurs, il faut également être en mesure de continuer à alimenter le hachoir à blancs en Ukraine afin de satisfaire les fantasmes guerriers et remplacistes de notre grand timonier ; d’autant qu’il semblerait que, contre toute attente, les bombes fabriquées avec des pièces de machine à laver par des incapables, alcooliques et à genoux, dirigés par un polycancéreux, tapent dans le « Miele » et soient en train « d’essorer » les défenses de l’éminent pratiquant de piano à queue sans les mains. 
Lors d’une intervention lunaire, après avoir expliqué qu’il faudrait peut-être envoyer nos troupes parce qu’Anne-Sophie Lapix ne pouvait pas exclure de lever son plantureux postérieur de sa chaise à la fin de l’interview, notre bon gars de la narine a quand même dévoilé le « poteau rose » (comme dirait Sarah El Haïri) et la raison de son acharnement : « si Poutine gagne, la crédibilité de l’Union européenne serait réduite à néant ». En gros, on va donc se ruiner à faire la guerre pour que le concept de « l’Europe c’est la paix et la prospérité » soit encore crédible. Et pour financer tout ça, une fois à court d’usines à gaz potentiellement antisémites et faute de pouvoir taxer jusqu’à l’infini et au-delà, pourquoi, se dit le brave Bruno, ne pas simplement piocher dans toute cette épargne bolchévique qui dort honteusement, en commençant par le livret « A », comme Andouille ? D’autant qu’en cas de guerre (d’où ce vocabulaire de plus en plus martial) l’état a tous les droits y compris (et il ne s’en est pas privé par le passé) celui de faire ouvrir les coffres des particuliers pour « réquisitionner » notamment les métaux précieux qui s’y trouvent. Ce n’est donc pas parce que le chien famélique agonise que les puces ne vont pas essayer de le sucer jusqu’à la dernière goutte, façon ministre de la Culture. 
Il est vrai que la mort est très tendance en ce moment, qu’il s’agisse de nos militaires, de celle, programmée, de nos agriculteurs, bientôt suivis par les petites entreprises du bâtiment qui font face à une crise cataclysmique, ou encore de la sanctification de l’avortement et des panthéonisations quasi hebdomadaires, le tout couronné par le projet de loi sur le droit à mourir, probablement au Rivotril comme testé, en masse, dans les maisons de retraite durant le Covid. Un privilège toutefois réservé aux heureux survivants de l’insécurité, laquelle galope façon cheval de feu le trou de la couche d’ozone, et prend de telles proportions qu’à Rennes, pour rester dans l’équitation, une fusillade urbaine, avec des balles capables de percer des murs d’immeubles (et probablement importées d’Ukraine avec rabais exceptionnel de 30% en tapant le code « AVECVOSIMPOTS ») a duré rien moins que 67 minutes, sans que la Police pour les uns, mais rêche pour les autres, dont l’armement suffit tout juste à taper sur du gilet jaune catégorie 2, ne se risque à intervenir. 
Mais rassurez-vous, sur la voie de la félicité, il nous reste les valeurs de la république, qui se font surtout sentir en passant les dos d’âne. Il fut un temps, quand elle avait pour but de tuer le catholicisme, où la laïcité, pour n’en citer qu’une, était la liberté de ne pas croire, avant, la nature ayant horreur du vide, de se muer en obligation de croire aux religions de remplacement du moment. Religions auxquelles, sur les conseils de mon avocat, j’adhère sans la moindre réserve, à commencer par les chambres emplies d’une substance à l’indice carbone restant à mesurer, mais aux effets assez horribles pour vous traumatiser une première dame jusqu’à ne plus oser flatuler que dans sa baignoire dans l’espoir que les pets d’eau filent. Idem pour l’enrichissement culturel qui, certes, tarde un peu à se matérialiser sur mon compte en banque, mais je garde espoir. Je conspue également le méchant Trump à cheveux orange et je brûle un cierge à sainte Ursula pour les vaccins miracles qui ont sauvé la planète en dépit des efforts de nazis cannibales non-vaccinés lesquels, si on ne les avait pas emmerdés, auraient pu contaminer les vaccinés quintuple dose avec le virus contre lequel ils étaient vaccinés. 
Il va sans dire que je voue également aux gémonies les odieuses vaches qui pètent, le méchant Poutine et ses vues territoriales sur Biscarosse et même les infâmes bébés terroristes du Hamas qui méritent amplement ce qui leur arrive. Il m’arrive toutefois de me réveiller la nuit en me disant que face aux atrocités, certes humaines et proportionnées, commises à Gaza, mêmes ceux, pas encore remplacés par de nouveaux arrivants plus réfractaires, qui adhèrent toujours au projet avec toute la ferveur légale qui s’impose, pourraient finir par se dire « ouais, finalement, kippa-blanche, blanche-kippa » et, une fois rendus là, même l’avalanche de textes liberticides suggérée par le représentant du CRIF en préambule du solennel 80e anniversaire de cette association caritative d’utilité publique qui fera l’objet d’une cérémonie exceptionnelle à l’Élysée, n’y pourrait plus rien changer. 
À l’exception de ces menues restrictions, les « droits » à peine « tordus » de l’homme sont toujours là, prêts à ce que l’on meure pour eux, chacun étant libre de croire ce qu’il veut sur le reste. À titre personnel, par exemple, jusqu’à preuve convaincante du contraire, j’ai la vague intuition que l’homme n’a jamais posé un pied sur la lune, mais qu’en revanche, il fut un temps où la très photophobe prétrentenaire Brigitte pouvait poser ses burnes sur la commode, comme l’a affirmé la très suivie Candace Owens dans des vidéos virales bien argumentées et vues des millions de fois, en attendant que Tucker Carlson, un jour ou l’autre, porte l’estocade finale. Outre tout ce que cela signifierait, si avéré, en termes de potentiel de manipulations et de chantage, cela implique également, comme pour la fille cachée de Mitterand, un contrôle strict de la presse de sorte que, même si le petit monde germanopratin se gausse et s’envoie des petits clins d’œil d’initiés à la télé depuis des années, tant que ce n’est pas au journal de 13 h, ça n’existe pas pour le bas peuple. 
Cela suppose, également, un lourd investissement financier largement rentabilisé si l’on considère toutes les trahisons de celui qui est en train d’achever ce qui reste de la France, au point que cela commence à se voir et que la pauvre Aya Nakamura paye le ras-le-bol général lié au fait qu’il semble devenu scandaleux, ne serait-ce que d’envisager, pour une fois, au nom de la diversité, sans aller, bien évidemment, jusqu’à l’abomination que serait un mâle blanc hétéro à prépuce, de faire représenter la France par quelqu’un de talentueux et qui parle la langue. On m’objectera qu’il y a d’autres moyens plus simples de contrôle, mais c’est négliger, le pouvoir et l’argent rendant immanquablement fou, que se cumulent, derrière, des considérations métaphysiques que certains qualifieront de sataniques, couplées à un mépris total du peuple et à une quasi-jouissance à pouvoir le duper en pleine lumière tout en pervertissant la totalité de ses valeurs. Un peu comme la pédophilie, c’est tellement inconcevable dans l’esprit de l’individu normal de base, encore sain, obligé de se focaliser sur son ticket de caisse, qu’il ne peut même pas envisager et a fortiori croire ce qui, parfois, s’étale devant ses yeux comme de la substance gluante sur le smartphone de Benjamin Griveaux. 
Tout cela ne saurait dater d’hier, c’était même peut-être plus facile avant, quand chaque smartphone, une fois nettoyé, n’était pas un espion en puissance et que les réseaux sociaux n’existaient pas pour répandre de soi-disant « fake news ». J’ai donc regardé, par curiosité et sans trop y croire, les différentes premières dames de notre cinquième république et, incroyable coïncidence, il s’avère qu’il y a eu un autre président français, venant lui aussi de chez Rothschild, marié à un échalas dégingandé, beaucoup plus grand que lui, à la mâchoire plutôt carrée et à la coiffure bizarroïde, que la presse, à une époque où les références étaient quand même Brigitte Bardot et Claudia Cardinale, s’obstinait, là aussi, avec insistance, à qualifier de belle femme. 
Après avoir vérifié sur vous-même que, contrairement aux femmes, les hommes ont l’annulaire plus long que l’index, je vous invite à parcourir les photos de l’individu, trouvables sur Google. Outre son prénom unisexe qui aurait pu faciliter un changement d’identité, l’enfant unique du couple était en fait adopté et, cerise sur le clafoutis, avaient couru, à l’époque, des rumeurs de partouzes suite à l’assassinat jamais élucidé d’un certain Stevan Markovic supposé les faire chanter avec des photos montages d’avant Photoshop, montrant cette personne en train de pomper dur contrairement à son mari qui Pompidou. Tant que ce n’est pas étayé par une enquête sérieuse, comme celle de « faits & documents » pour Brigitte, ce n’est, bien sûr, que du complotisme, mais étonnant, non ? comme dirait Desproges. 
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dimanche 10 mars 2024

C’est voté : VOS GOSSES POURRONT VOUS DÉNONCER, la cata des JO, les européennes etc. (11/03/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/4yYUoGi6XWg

Bonjour ! 

Grâce au diptyque de l’affiche officielle des JO, on a désormais une vague idée de ce que pourrait (dé)générer un prompt chatGPT rédigé par l’iman Chalgoumi et corrigé par Stéphane Séjourné, même si d’autres y verront plutôt les conséquences d’un dépassement de posologie de dragées Fuca dans un bol de M&M's, question de sensibilité. Dans la réalité, si l’on en croit l’artiste italien (d’où peut-être la faute d’orthographe à « olympiades » écrit sans s), ce serait le fruit sans glyphosate de 2000 h de travail, soit, sur la base d’un SMIC, 23 300€ brut… plus l’encre et le papier. S’il a touché plus, c’est « les jeux où l’on pique » avec épreuve du 100 mètres plein les poches. 

D’aucuns apprécieront la tour Eiffel rose bonbon turgescent faisant subir les derniers outrages au stade de France empalé dessus (l’absence de la CAF et de surmulots suffisant pour comprendre qu’il s’agit d’une œuvre de fiction) tandis que les « strèmdroates », réfractaires à la poésie moderniste, regretteront probablement l’absence de croix sur le dôme des Invalides ou de traînées bleu blanc rouge derrière les avions de la patrouille de France au lieu, les sots, d’admirer la parité parfaite homme-femme au sein des 40 000 personnages dessinés, laquelle sautera immédiatement aux yeux de tout progressiste attentif. 

Mais bon, après une mascotte de m…ot de Cambronne en forme de clitoris, un hymne de mot de Cambronne sur une chorégraphie de mot de Cambronne et des tenues officielles de mot de Cambronne, une sécurité de mot de Cambronne avec, pour la seconde fois, un ordinateur, contenant des plans de ladite sécurité, dérobé dans les transports en commun et un des membres du conseil de cette même sécurité interpellé pour apologie du terrorisme avant d’être interné en hôpital psychiatrique, une cérémonie d’ouverture de mot de Cambronne au cours de laquelle à force de révisions à la baisse, seuls quelques encartés purs et durs avec tatouage d’Emmanuel Macron sur le périnée et qui auront réussi à trouver une place dans des transports de mot de Cambronne sous-dimensionnés à 4€ le ticket, pourront assister au massacre de Piaf par Aya Nakamura et un village olympique, version de mot de Cambronne, mais à 2 milliards, des cages à lapins des années 60 dont personne ne veut, il eût été dommage de ne pas continuer sur la lancée. 

Si, en dépit de tous ces efforts, l’évènement n’était pas le triomphe escompté, en raison de l’infiltration subreptice de quelques supporters anglais ayant échappé à la vigilance de Gérald Darmanin trop occupé avec Kevin et Matéo ; partant du principe que Macron (lequel davantage effrayé par les « trous de balles » que les ragots ne le laissent supposer ne se départ plus de son gilet en Kevlar) a quasiment déclaré la guerre à la Russie juste pour essayer de faire oublier le désastre politico-médiatique (totalement imprévisible) du Salon de l’Agriculture et qu’après un semi-orgasme devant la dénaturation des paroles de la Marseillaise par Catherine Ringer lors de la pantomime de la constitutionnalisation de l’avortement sur laquelle il comptait pour se refaire, il a trouvé le moyen de se prendre un vent par cette dernière alors qu’il tentait une accolade, je commence déjà à prendre de l’iode en suppositoire à titre préventif. 

Pour autant, la délivrance atomique serait-elle pire que de vivre dans un monde où grâce à la virulente abstention de nos oppositions en carton est passé, à l’unanimité, le 6 mars, en première lecture, un texte de progrès, sanctionnant tout propos jugé discriminatoire tenu dans la sphère privée sur la base d’une simple dénonciation ? Les enfants pourront enfin dénoncer leurs fachos de parents pour sauver la démocratie comme en Corée du Nord. Heureusement, c’est pour la bonne cause : la lutte contre l’antisémitisme, phénomène totalement inexpliqué et inexplicable, qui ne fait qu’empirer en dépit de décennies de lutte acharnée à coup de lois liberticides, de leçons de morale, de panthéonisations et de marches solennelles et que même l’éradication systémique de graines de terroristes en couches-culottes qui, entre deux bombardements humanitaires à Gaza, inaugurant le concept du ramadan perpétuel, font semblant, les fourbes, de mourir de faim et de soif au milieu des immondices dans les bras de mamans rétrogrades pas favorables à l’IVG, ne parvient pas à atténuer. Peut-être qu’en mettant Meyer Habib tous les soirs sur TF1 en prime time couplé à une rediffusion hebdomadaire du Shoah de Claude Lanzmann, ce fléau pourrait-il enfin être vaincu. 

Il est vrai que notre paradis du vivre ensemble multiculturel est littéralement rongé par les discriminations au point que Marguerite Stern, ancienne femen, est poursuivie par SOS racisme pour avoir osé déclarer que « proportionnellement les individus issus d’Afrique et du Moyen-Orient agressent plus les femmes » en omettant, l’immonde raciste, les Indiens lesquels, probablement pour protester, ont perpétré, cette semaine, un viol collectif à 7, en version Kamasutra du guide du routard, sur une youtubeuse espagnole faisant le tour du Monde à moto et ce, sans même évoquer Gérard Miller qui, dans la lignée des Polansky, DSK, Epstein et autres Weinstein… fait ce qu’il peut, le pauvre, pour que sa communauté ne soit pas injustement reléguée au bas du classement, ou encore le très écolo (et visiblement pas assez déconstruit) Damien Cassé, compagnon de la députée LFI Ersilia Soudais, placé en garde à vue après une plainte pour viol de l’élue suite à une dispute, comme quoi la marge est étroite entre monter d’un ton et monter un t…, mais je m’égare. 

Il ne faut pas croire pour autant que le gouvernement reste les bras croisés, puisque, sous le patronage d’Aurore Bergé et de La Française des jeux pour le côté roulette russe, il suffira à toute femme poursuivie par des violeurs sur des trottoirs non encore élargis, de lancer une application sur son portable qui lui indiquera où se trouve le bureau de tabac le plus proche, encore ouvert, dans lequel le propriétaire aura suivi un stage qualifiant pour faire de son établissement un refuge anti-agression et, faute de réception 5G (preuve que la chose a été bien pensée) elle pourra toujours profiter de la constitutionnalisation de l’avortement, une fois que les hordes habituelles de Jean-Édouard(s) auront reboutonné leurs braguettes ou que l’épisodique coïncidental et non amalgamable Mamadur sera redevenu Mamadou ou Mamamou.

Comme si le sentiment d’insécurité qui enfle chez et parfois DANS certaines femmes xénophobes n’était pas suffisant, Emmanuel Macron a profité du contexte pour évoquer, pour la première fois, le sentiment de transsexualité dont est victime Monsieur son épouse et qui, dixit : « bouscule son intimité », pas trop en profondeur j’espère. 

En tout cas, la campagne des européennes est bel et bien lancée avec la très macroniste Valérie Hayer, qui, tout en soutenant le noble combat de Stéphane Séjourné pour libérer la syntaxe de ses règles de grammaire dyslexicophobes, est bien consciente, elle, que nous sommes : « à Munich en 1938 ». De toute évidence, on parlera pouvoir d’achat plus tard. 

Pour autant, entre Zemmour et Maréchal scotchés sur le mur des Lamentations, le RN qui s’aplatit sur tout et surtout s’aplatit, les LR fidèles à eux-mêmes, c’est-à-dire à rien, les frexiteurs pas fichus de se mettre d’accord, Jean Lassale (operie pour le coup) qui rejoint la très macroniste liste des ruraux et des chasseurs (sans aucun rapport avec sa mise en examen pour agression sexuelle), Raphaël Glucksmann qui veut à tout prix qu’on attaque Poutine avec les dents, les écolos qui veulent empêcher les vaches de péter et les excitées de LFI qui veulent supprimer la clause de conscience pour les médecins en cas d’avortement, même en étant conscient que la priorité est que Macron, lequel dispose d’un électorat âgé qui survote et sera le premier à bénéficier d’une forte abstention, se prenne la plus grosse déculottée possible, mon enthousiasme votatoire est relativement modéré, d’autant que, perversion du système, tout vote pour une liste qui fera moins de 5% passera par profits et pertes ne faisant que gonfler proportionnellement le pourcentage de celles qui auront fait plus. 

Par ailleurs, probablement un sentiment de grand-remplacement, George Galloway, révolutionnaire d’ultragauche et virulent antisioniste, a été élu au parlement britannique à la faveur d’une élection anticipée en ne faisant campagne que sur Gaza. Dès lors, Mélenchon jouant, lui aussi (quoiqu'un peu plus timidement, en comparaison) la carte du vote musulman en intégrant sur sa liste la militante pro-Palestine Rima Hassan, je suis quand même curieux du score qu’il va faire, ne sachant trop s’il me faudra ou non commander du popcorn pour regarder la suite. 

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lundi 4 mars 2024

Le tarif si on refuse d’aller se battre en Ukraine, Miller, Avortement, JO… (04/03/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/diPVxrz0FJ0

Bonjour ! 

Je ne sais si c’est parce qu’à force de la fantasmer en bas résille, une aiguille à tricoter à la main, le portrait de Simone Veil, qui ornait ma chambre à coucher aux prémices de l’adolescence, avait acquis la viscosité d’un papier tue-mouche (et même petits oiseaux sur la fin), mais je suis fan de l’avortement ; la chose ne s’explique pas. Si cela ne tenait qu’à moi je pousserais même le concept post-partum, façon sniper, à l’israélienne, sans plus trop de distinction entre un amas de cellules et des cellules du Hamas, lorsque le bébé a des malformations, est vraiment trop moche ou sourit devant un poster d’Emmanuel Macron, la société n’ayant pas à payer le coût du choix égoïste des parents de le garder en vie, surtout depuis l’afflux massif en notre beau pays de mineurs isolés avec prise à la terre, atteints d’alopécie précoce et dont il va bien falloir s’occuper faute, à ce jour, d’un droit constitutionnel à l’avortement rétroactif. 

Non, vraiment, l’avortement c’est bien, d’autant qu’en ces temps de déficit structurel, le jus de fœtus (label bien rouge) est une matière première très prisée de l’industrie pharmaceutique et cosmétique, preuve que le « made in France » n’est pas encore mort. Non seulement c’est bon pour le PIB, mais petit bout de cervelle en forme de cerise sur le gâteau, statistiquement, certaines pourront ainsi se séparer en douceur dudit amas de cellules en appliquant leur crème de nuit, laquelle, qu’elles se rassurent, n’aura pas été testée sur un anus de lapin, déontologie oblige. Pour autant, c’est un peu dommage de se priver, en nombre, d’individus potentiellement sains et fonctionnels qui, une fois en phase avec leur trisexualité hélicoïdale à osmose inverse, auraient pu allègrement franchir la frontière ukrainienne dans des chars de gay-pride (sous peine de 5 ans de prison et 500 000€ d’amende, nouveau tarif défini pour les objecteurs de conscience par la dernière loi de programmation militaire) tel que martialement envisagé, en substance, par notre Alexandre le Gland, es« thète de nœuds » gordiens diplomatiques, aspirant, surtout par le nez et sous brevet Dyson, à son heure de gloire, avec cette hybris caractéristique des gens qui s’imaginent sodomiser la planète parce qu’ils insèrent leur micropénis dans une taupinière. 

L’entièreté de la diplomatie européenne, ainsi que l’ONU et les USA, ont immédiatement crié au fou, sans que nos oppositions en carton en profitent pour lancer une procédure de destitution qui, même si elle n’aboutissait pas, finirait de le décrédibiliser à l’international faisant que plus personne ne prendrait ses élucubrations au sérieux. Il n’en demeure pas moins que Poutine, comme chacun le sait, ne rêve que d’envahir la France pour piller nos ressources naturelles, s’emparer de la CAF et de notre enrichissement culturel et que ce n’est qu’après le sac de Surmulot-City et le viol collectif sur matelas recyclé de Sandrine Rousseau, que le tyran sanguinaire pourra enfin succomber à l’un de ses 48 cancers avec la satisfaction du devoir accompli. 

C’est dommage qu’il n’ait pas les moyens en hommes pour envahir des pays non russophones et s’y maintenir contre des populations hostiles, même si, selon le très dilaté Gabriel Attal, son avant-poste serait déjà là, sous les traits de Marine Le Pen, l’immonde fachode qui ne veut pas, la très nauséabonde (à l’instar, pour être honnête, de Mélenchon) d’une troisième Guerre mondiale pour faire plaisir à Raphaël Glucksmann lequel, lui, n’ira certes jamais sur le front, mais qui brave d’autres dangers au quotidien, si l’on considère à quel point une partie de son anatomie est culturellement à découvert, en regard de la dentition de fort bonne facture de Madame son épouse. 

Je dis dommage, car ce que Poutine a les moyens de faire, en revanche, si on le titille un peu trop à la main poilue entre le scrotum et l'urètre, c’est d’hypersoniquement transformer l’hexagone en terrain de pétanque fluorescent avant que notre timonier ait pu sortir son doigt enfariné de sa narine ou de quelque autre orifice et le poser sur le fameux bouton rouge probablement redécoré en arc-en-ciel par le machin à perruque qui, paraît-il, hante, la nuit, les couloirs de l’Élysée en grand-remplaçant les moquettes. Mais je m’égare. Donc, si j’ai bien compris, on crame 300 000€ en congrès pompeux pour modifier la constitution afin de pérenniser à jamais le droit au fœticide… jusqu’à ce qu’on remodifie la constitution tellement peu modifiable qu’on vient de la modifier (sans, toutefois, en profiter pour y rajouter quoi que ce soit sur l’immigration, la souveraineté ou autres problèmes mineurs non prioritaires). Ces gens sont des génies.

Par ailleurs, si on altère substantiellement ce qui est constitutif, le résultat, par définition, n’est plus constitutif, sauf à signifier le début d’une nouvelle république constituée par la nouvelle constitution (l’ancienne ayant été constituée par la constitution originale) ou alors il faut changer le nom et ne plus appeler ça constitution. Ça marche aussi avec constipation, le résultat étant, peu ou « prout », le même.

Certes, on ne peut exiger de personne d’accepter de porter en son sein un petit Gérard Miller au regard torve, conçu sous hypnose avec un pénis sans col roulé, et sauf convictions religieuses profondes ou humanisme à la mords-moi-le-nœud (action qui, justement, aurait pu éviter le problème), il existe de nombreux cas parfaitement légitimes, d’un point de vue individuel, d’en passer par ce processus. Pour autant, de même que sourire à quelqu’un qui vous éclaire sur la taille hors norme d’Allah en brandissant un couteau décapitatoire ou que s’excuser pour des propos jugés offensants ou antichose, comme souvent quand l’état « s’emmêle », cette vision à court terme, au nom, principalement, du droit de la femme à être un homme comme les autres et à s’envoyer en l’air sans en peser préalablement les conséquences, provoquera, bien évidemment, le contraire des résultats escomptés. 

Dans un premier temps, le déficit de naissances, accompagné de l’arrivée massive d’enrichisseurs culturels, peu chauds à l’idée d’aller mourir en Ukraine, mais ravis à celle de pouvoir enrichir culturellement les veuves des gogos qui y seront allés lorsqu’elles peineront à passer sous les 11 secondes au 100 (se faire) mètres arrêté, se traduit déjà par l’effondrement de la société dite « patriarcale » sans le support de laquelle le mirage de la femme à chats, forte et indépendante, va s’évaporer façon plainte contre Dupont Maserati durant un de ces pics de réchauffement climatique provoqués par les vaches qui pètent et que même des jets de soupe sur des œuvres de maître ne parviennent pas à empêcher. Au meilleur des cas, les femmes seront traitées comme au Paléolithique supérieur et, au pire, la nature ayant horreur du vide, déjà remplacées dans les compétitions sportives et les concours de beauté par des bidules LGBT, en reléguant leur fonction première au rang de commodité, seront déclarées obsolètes avec l’avènement de l’ectogenèse, c’est-à-dire l’utérus artificiel déjà expérimenté et, dans leur fonction secondaire relationnelle, seront, comme d’ores et déjà sur Instagram ou Onlyfans, « avantageusement » remplacées par des intelligences aussi artificielles que les seins de leurs prédécesseuses et peu sujettes aux bouffées de chaleur. 

Merci donc, les « féministes » lesquelles, à l’instar des idéologies mortifères dont elles sont le produit, abhorrent tout ce qui est beau, à commencer, paradoxalement, par la femme elle-même (la féminine en tout cas) d’où le couronnement, à Miss Allemagne, d’une quadragénaire turque contre laquelle Nicole Belloubet en minijupe, sous le bon éclairage d’une ampoule de 0,5 watt judicieusement tamisée, aurait eu une chance raisonnable de l’emporter. Il en est de même dans l’art et la musique. C'est ainsi que le pervers narcissique qui nous gouverne, après s’être rendu compte qu’en dépit de tous ses efforts, il restait encore de petits bouts de l’image de la France non recouverts d'un substrat reconnaissable à son odeur et sa couleur macron foncé, a jeté son dévolu, pour inaugurer des JO (dont les plans de la sécurité ont été volés gare du Nord et qui promettent de rester profondément dans nos « anales ») sur la pétulante Aya NAKAMURA qui, après notre imminente extinction, poussera au suicide collectif toute civilisation extra-terrestre qui essaiera de reconstituer notre langage sur la base de ses chansons. Un choix motivé par la volonté de, dixit : « faire rayonner la culture française » tant il est vrai qu'une fois multiplié par π, le rayon de cette dernière peut se voir de loin.

En attendant un hypothétique homme providentiel au sphincter anal monodirectionnel, avec un seul passeport, un casier judiciaire vierge, si possible des enfants et un souci de continuité du projet démarré sous Clovis qu’on appelle la France, cela commence à sentir mauvais entre les arrivistes corrompus et autres amateurs de pédales dont l'odeur de selles des selles, et d'aisselles des celles et ceux qu'on descelle les soutenir, finit par devenir suffocante. Même les promesses de Macron aux agriculteurs, de plus en plus en colère, et qui découvrent les délices des plaquages au sol et autres gardes à vue, ont été « avortées » avant même qu’il ait eu le temps de fermer sa grande bouche avec, non seulement la poursuite du Mercosur, mais de nouveaux traités de libre-échange avec le Kenya et le Chili signés en plein salon de l'agriculture. 

Mais il ne faut pas désespérer juste parce qu’épisodiquement, une gamine de 12 ans se fait sexuellement enrichir sur les Champs-Élysées ou qu’une autre, du même âge, se fait violer pendant des mois, par une bande de 17 « mineurs » défavorablement connus des services de police; tandis que la presse nous narre les malheurs, non plus de Sophie, mais d’Anne-Sophie Lapix dont le modeste hôtel particulier gagné à la sueur de son… on va dire « front », dans le quartier mal famé du 16e, a déjà fait l’objet de deux tentatives d’effraction par des individus qui, par un pur hasard statistique, comme ceux précédemment cités, vont hélas renforcer les préjugés nauséabonds des adversaires du vivre ensemble et dont une partie a déjà été appréhendée grâce aux efforts de la police scientifique, connue pour sa célérité à se déplacer lorsque le citoyen lambda se fait cambrioler. Il ne faut pas désespérer, car des contes de fées modernes sont encore possibles, comme pour ces centaines de migrants importés à nos frais par avion de Mayotte, dont les kwassa-kwassa se sont transformés en citrouilles avant qu'ils ne soient hébergés dans un véritable château dont, pour mieux les accommoder, le mobilier Louis XVI a été vendu pour une bouchée de pain à la farine ukrainienne détaxée. Elle est pas belle la vie ? 

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