Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

dimanche 26 février 2023

ATTENTION : Ils vont faire aux IA ce qu’ils font à nos gosses (27/02/2023)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/HO5w9ah5JIk

Bonjour ! 

Pas plus tard qu’hier, au point de rencontre entre un rat et un 44 tonnes à semi-remorque, rencontre qui s’est mal terminée pour le rat, j’ai assisté, par le plus grand des hasards, à un accouplement de mouches coprophages hétérosexuelles (pour autant que ma vue déclinante me permettait d’en juger) et librement consenti, en dehors de quelques Bzzz suspects, même si le mâle avait un petit côté Harvey Weinstein mal rasé, lequel vient d’écoper de 16 ans de prison supplémentaires. Rétrospectivement, au vu de l’actualité, je réalise que c’était ma bouffée d’air frais de la semaine. 

D’abord, un élève (forcément non macroniste) tue sa prof au lieu de l’épouser. Dès lors, comme il est mineur, de surcroît épargné par l’épidémie d’alopécie précoce qui frappe ses congénères non accompagnés, niveau risque de sanctions, il se situe quelque part entre Bénalla et Gérald Darmanin un vendredi 13 d’une année bissextile. À la limite, afin que l’enseignante d’espagnol ne soit pas morte pour rien, on pourra toujours lui faire copier 100 fois « ¡ no mates a tu profesora de castellano ! » (Ne tue pas ta prof d’espagnol !). 

Pour Pap Pap Ndiaye la chose était aussi imprévisible qu’une panne de vibromasseur dans une orgie romaine, l’adolescent étant visiblement déséquilibré. Ce n’est pas faute, pourtant, d’avoir été éduqué dans les valeurs de la république. On lui a expliqué qu’un père n’est plus un père, mais au mieux un parent 1 (si le parent 2 ne lui conteste pas la place), des iels à testicules et en minijupe se sont donnés la peine de venir exprès lui faire la lecture dès la maternelle pour lui ouvrir les yeux sur le fait qu’il n’était pas un garçon, mais une infinité de possibilités transcendantales aérobiques, des enseignants de plus en plus orthographobes l’ont initié aux subtilités du français inclusif, on l’a aidé à conceptualiser le fait que les gens différents sont égaux, mais que certains sont quand même privilégiés par la couleur de leur peau bien que les races n’existent pas et on l’a grondé s’il enlevait son masque parce qu’il pouvait tuer ses grands-parents. En Prime, on a soigneusement évité de lui donner des racines rabougries en lui apprenant « nos ancêtres les Gaulois » préférant ouvrir ses horizons avec l’histoire de l’Afrique, on ne l’a pas gavé de maths binaires et patriarcales, d’un vocabulaire de plus de 300 mots, superfétatoire, genré et discriminatoire vis-à-vis des plus défavorisés, on lui a projeté 48 documentaires sur la Shoah et on l’a laissé maître de construire sa propre logique. Comment, après tout cela, des enfants pourraient-ils encore être déséquilibrés ? 

En outre, quand ils rentrent à la maison, dans une famille souvent débarrassée du patriarcat toxique et qui leur sert une nourriture haut de gamme de plus en plus à base de grillons en poudre, plutôt que risquer des allergies au pollen en allant brûler dehors des calories qui pourraient tuer la planète, ils ont la chance de pouvoir enrichir leur imaginaire avec des jeux vidéo et des séries Netflix qui, entre deux séquences d’hommes qui s’embrassent, leur montrent des réalités virtuelles où les gens peuvent voler et où les morts ressuscitent. Ils ont aussi tout loisir de regarder sur TikTok des filles polyglottes remuer leurs fesses dans toutes les langues, activité culturelle qui les occupe jusque tard dans la nuit, la déprivation d’un sommeil amplement surcoté perturbant juste assez la croissance de leur cerveau pour ne pas en faire de futurs complotistes. 

Des non complotistes qui regardent, comme une vache les trains, des flots d’ingénieurs en ingénierie et de traducteurs sous OQTF démontrer quotidiennement leur amour du prochain et leur soutien sans faille à l’industrie de la coutellerie avec, parfois, personne n’est parfait, quelques maladresses décapitatoires ou façon fricassée, telle cette femme retrouvée en petit morceaux sur les Buttes-Chaumont, mais dans un sac de déchets verts, preuve que le travail de sensibilisation des écologistes paye. Des maladresses qui valent parfois à leurs auteurs des réprimandes (heureusement moins lourdes que celles réservées aux immondes chambragazo-sceptiques) voire, dans les cas extrêmes, un sourcil levé, notre jeunesse prenant alors toute la mesure de la force implacable du bras de la justice. 

Il n’en faut pas plus pour que quelques esprits rétrogrades s’empressent d’affirmer que quand virtuel et réalité se confondent, que les choses n’ont plus de conséquences tangibles et qu’on est privé du socle de certitudes nécessaire à se construire, ne pas tuer un professeur n’est simplement plus une évidence, et qu’il va bientôt falloir systématiquement réexpliquer à la génération de psychopathes à la fois déconnectés et trop connectés que nous sommes en train de fabriquer, toutes ces choses qui jadis allaient de soi et qui, aujourd’hui, tel ce que boivent les députés à la buvette de l’assemblée, ne coulent plus forcément de source. 

Pour rester dans le thème, Pierre Palmade (pédo)file un mauvais coton si l’on se fie aux derniers rebondissements de l’affaire, énième histoire sordide du genre dont on nous abreuve jusqu’à en avoir, nous aussi, plein le cul à défaut d’en avoir plein le nez. Un esprit tordu pourrait s’imaginer qu’en sacrifiant régulièrement des petits poissons, les mêmes qui poussent la promotion LGBT dans les écoles en espérant l’instrumentaliser pour normaliser ce qu’on nous vend déjà comme « une forme d’amour mal comprise », cherchent à provoquer un effet « bof ! » (un peu comme pour les 120 attaques au couteau quotidiennes - et autres enrichissements multiples - que connaît notre pays dans l’indifférence générale) de sorte qu’on ne réagisse plus qu’en cas de surenchère, façon découpage en morceaux, vivants et en direct, par des extra-terrestres hermaphrodites en string, un soir de pleine lune, de siamois monocéphales avec un faux air d'Adrien Quatennens. 

Par ailleurs, à l’instar des deux hommes « Lego® » présents dans la voiture, il est fort probable que, dans les vidéos incriminantes, il s’agisse d’enfants issus de la diversité, sachant que si tous ceux qui sont favorables à l’immigration ne sont évidemment pas des pédophiles, tous les pédophiles sont favorables à l’immigration puisque, pour eux, c’est open-bar, ce qui peut expliquer pourquoi ladite immigration n’est jamais remise en question par nos élites. L’algorithme YouTube, pourvu au mieux de bytes informatiques, étant intrinsèquement incapable de ce genre d’acte immonde, j’espère qu’il sera compréhensif et me laissera poursuivre et expliquer que, vue sous la perspective de la logique pure, la pédophilie est consubstantielle de toutes les idéologies qui placent l’homme au centre de l’univers ; ne serait-ce que par ce que leur but ne peut être atteint qu’en détruisant tout ce qui est sacré (sans forcément que la chose revête une connotation religieuse) et quoi de plus sacré qu’un enfant ? 

Cet homme nouveau, candidat de choix au transhumanisme doit, bien sûr, aussi tuer le sacré en lui, résultat qui ne peut être obtenu que par le choc psychologique violent d’un acte abject et irréversible supposé « délivrer » l’impétrant de la partie intangible de son humanité (que certains appelleront « âme ») et ce d’autant mieux que la chose sera faite par pure perversion, parfois en se forçant, telle une mutilation volontaire. Je fantasme peut-être, mais doté, hélas, d’un esprit cartésien, je ne peux que constater la banalisation et la relative impunité des leviers de chantage classiques tels les scandales financiers et autres affaires de fesses hétéro ou non, jusqu’aux meurtres en série qui aujourd’hui, à l’instar de Charles Sobhraj, vous valent d’être invité chez Léa Salamé quand vous sortez un livre. 

En dehors de la menace physique, laquelle n’arrêtera pas forcément un individu en quête de rédemption (toujours susceptible de braver le risque de se retrouver suicidé de deux balles dans la tête, les mains attachées dans le dos avec un bloc de béton aux pieds et une photo de Sandrine Rousseau sadiquement scotchée à l’intérieur de ses lunettes), quel autre rite de passage, éventuellement conclu par un sacrifice au découpe-poulet électrique, histoire de bien sceller le pacte, rendrait toute forme de rédemption impossible et garantirait à la fois un lynchage populaire (en cas de fuite) et le respect absolu de la loi du silence, sur la base du « si je tombe, tu tombes », expliquant à quel point un certain nombre de pourris se serrent les coudes par-delà des clivages politiques et pourquoi certaines affaires se dissipent à la vitesse du déodorant d’aisselles de Dupont-Moretti un jour de grève des dealers ? Sans compter la facilité avec laquelle certains, qui ont pourtant forcément, eux aussi, des dossiers sur leurs petits copains, se couchent, incompréhensiblement sans résister, après s’être fait tailler un ou plusieurs « costards » sur la base de dénonciations, triviales en regard des standards déplorables actuels. 

Si vous avez mieux comme théorie, je suis tout ouïe et, franchement, je dormirais mieux la nuit. D’autant que, cerise flétrie sur le gâteux, la chose est tellement inconcevable pour les gens normaux que nous sommes, que même en face d’évidences aussi criantes que le chat de Marine Le Pen si elle lui marche sur la queue, nombreux sont ceux qui préféreront hurler au complotisme que d’ouvrir les yeux sur la réalité et l’état de putréfaction avancé d’une frange (voire d’une fange) de notre société. 

Comme si bousiller les enfants ne suffisait pas, on bousille aussi les intelligences artificielles. Le très flatulant ChatGPT, par exemple, n’est pas avare de conseils pour lutter contre le suprémacisme blanc, mais refuse de répondre quand on l’interroge sur ce que pourraient faire d’autres ethnies pour mieux s’intégrer. Au prétexte que si on les laisse livrées à elles-mêmes les IA font systématiquement l’apologie d’Hitler en moins de 24 heures, on essaie de leur inculquer le « en même temps » et le politiquement correct, ce qui est une véritable bombe à retardement qui va nous péter à la figure façon Gérard Larcher après un cassoulet aux truffes aromatisé à nos impôts. 

L’informatique est un totalitarisme qui fonctionne sur des hiérarchies et des priorités, c’est le garant de sa fiabilité, fiabilité sans laquelle elle ne sert à rien. Si des instructions contradictoires de même priorité lui parviennent « en même temps », incapable de se shooter à la cocaïne pour gérer une dissonance cognitive, au mieux, le programme plante, ce qui a l’avantage d’indiquer un dysfonctionnement, au pire, il traite les instructions de façon séquentielle, en fonction d’un ordre d’arrivée qui se joue en dessous du milliardième de seconde, avec des résultats totalement imprévisibles qui, dans le cas d’un autoapprentissage, peuvent se cumuler sans qu’on ne s’aperçoive de rien jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour pouvoir corriger quoi que ce soit, même les spécialistes ne comprenant pas tous les mécanismes qui entrent en jeu dans cette phase. 

Car ne vous faites pas d’illusions, compte tenu de la nullité croissante de nos dirigeants, dans pas longtemps un Chat« J’ai tiré la chasse » remplacera McKinsey pour enfoncer les portes ouvertes. Certes, cela nous coûtera (peut-être) moins cher, mais si les conseils sont « humanisés », ils ne seront pas davantage fiables. L’ordinateur doit être froid et efficace et c’est à l’humain qu’il appartient, dans un second temps, d’arbitrer entre l’efficacité proposée et l’humanité des décisions, en aucun cas cette appréciation ne doit être laissée à la machine, même si je suis confiant qu’elle ne pourrait faire pire, dans aucun domaine, que la baudruche, désormais dégonflée par un orifice restant à déterminer, qui nous tient lieu de président. Une Intelligence Artificielle qui ne plébiscite pas Hitler ou qui voudrait épouser un Commodore 64 à perruque doit donc être considérée comme hautement suspecte, d’autant que, dans les mois qui viennent, j’ai bien dit les mois et pas les années, elle aura vocation à remplacer : une majorité de centres d’appel et d’assistance, d’hôtesses d’accueil, de pigistes, de compositeurs, de graphistes, d’animateurs, d’écrivains, d’informaticiens, de conseils juridiques, de médecins pour la partie consultation, d’enseignants, de traducteurs, de chanteurs, de présentateurs, de youtubeurs, de bureaux d’études, de fonctionnaires, de commerciaux, de scénaristes, de doubleurs, de copilotes et même de compagnons que ce soit un homme, une femme ou un chat. Elle pourra générer de la musique et du contenu vidéo en boucle, commenter l’actualité, avec des chaînes de télé 100% automatiques et on trouve déjà sur Amazon des romans écrits par ChatGPT. 

Si l’on cumule avec les drones, les progrès de la robotique et les véhicules autopilotés, à l’exception de celui de Marlène Schiappa (virtualiser le virtuel étant encore une gageure insurmontable), quasiment aucun emploi n’est à l’abri du massacre. Imaginez la catastrophe si le socle même de ces programmes était biaisé, au nom de la morale et du politiquement correct et perdait donc toute fiabilité. De plus si les AI sont corruptibles, compte tenu des financements gigantesques dont elles ont besoin, autant dire que les compagnies pharmaceutiques seront derrières les AI médicales, le complexe militaro-industriel derrière les AI de conseil et, Dieu sait qui, derrière les AI en charge de l’éducation et de la petite enfance. 

Si vous avez apprécié ce contenu, vous pouvez cliquer sur tous les trucs en bas et si vous ne l’avez pas apprécié, c’est sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.

lundi 20 février 2023

PALMADE : on ne vous dira pas ça à la télé (20/02/2023)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/MmVMKm38t24


Bonjour ! 

Décidément, les Turcs n’ont pas de chance : quand ils ne subissent pas 2 séismes forcément provoqués par Allah (vraisemblablement pour punir Erdogan d’avoir insulté Emmanuel Macron), ils se prennent Pierre Palmade en frontal en Peugeot 3008. Je ne sais pas si son avocat va oser dire qu’à ce stade, un de plus, un de moins… et qu’avec la quasi constitutionnalisation de l’avortement, l’éjection, façon toast, d’un fœtus de 6 mois, victime lui aussi d’une déportation, mérite plus, au nom des valeurs de la république, le prix Simone Veil 2023 qu’un séjour à Fleury-Mérogis, mais en tout cas, contrairement au proverbe, Pierre qui roule (sous cocaïne) amasse mousse… médiatique. Beaucoup de mousse laquelle permet d’éviter de parler d’autres choses qui pourraient énerver les gens. 

Comme étant encore en février, il s’agit d’un fait d’hiver, se pose non seulement le problème de la « neige »… par voie nasale (sachant qu’entre la route et le rail, il faut choisir), mais aussi, à peine, juste un poil (si l’algorithme veut bien me laisser m’expliquer) d’une certaine forme d’homosexualité. Je ne vise aucun président qui a épousé sa grand-mère en particulier, mais les deux vont souvent de pair, une paire n’étant par ailleurs, à l’instar des chaussures, pas vraiment un couple, mais je digresse. Pour les non « homophobes d’extrême droite » qui ne voient pas le rapport avec l’accident, il faut considérer, et ce n’est pas une blague, qu’un des deux passagers exotiques de l’humoriste s’appelait « Sambou » et que, selon ce qu’ils étaient en train de faire, on espère que Palmade n’a pas fini pareil. 

Ensuite, la pratique en vogue (qu’on appelle « chemsex ») qui consiste à se gaver de substances qui augmentent le plaisir sexuel, l’endurance et diminuent le discernement tout en permettant de rester plusieurs jours sans dormir à faire la fête, fête à laquelle sont conviés, par notification sur leur portable, aux fins de s’emboîter à la chaîne façon lego, un grand nombre d’inconnus, est principalement le fait d’homosexuels et plus précisément, pour des raisons propres (hormis quelques résidus fécaux) à la psyché masculine, d’homosexuels hommes (bien évidemment pas représentatifs) et dont la réforme des retraites n’est pas la préoccupation principale. 

Sauf à n’être qu’un ignoble misogyne qui sent des pieds, force m’est d’admettre qu’à l’inverse, les amatrices de pelouse sont, elles, par définition, parfaites. Il suffit d’ailleurs d’observer Sandrine Rousseau laquelle, dans son dernier tweet, appelle, pour le 8 mars, rien moins qu’au renversement du patriarcat, pour réaliser à quel point il s’agit d’une avancée sociétale majeure lorsque des personnes de cet acabit (là encore non représentatives), surtout si, en plus, elles n’aiment pas les hommes, même déconstruits, se retrouvent en charge de petits garçons non binaires conçus en éprouvette. 

Les choses ayant sensiblement évolué depuis l’âge d’or de Nadine Morano, afin d’assurer la pérennité de la chaîne, je recherche activement un ami qui serait non seulement noir, mais également musulman, homosexuel, Ukrainien, triple vacciné et en surpoids avec une mère qui s’appelle Rachel. Pour l’instant j’ai fait chou blanc « privilégié », mais je ne désespère pas. Dans l’intervalle, qu’il soit porté à mon actif que j’ai toujours critiqué la propension des Afghans à tester l’aérodynamisme des membres de la ligue anticonstipation en les jetant du haut des immeubles (d’autant qu’il y a des gens en bas). 

Certains me contesteront le droit de parler du sujet au prétexte que je préfère les moules marinières aux chipolatas, un peu comme si un docteur n’avait pas le droit de faire un diagnostic s’il n’est pas lui-même malade. À ma décharge solidaire, jusqu’à présent, en rétrograde obtus que je suis, je pensais que rien n’était parfait et que tout était critiquable ; qu’un médicament aussi bon est-il pouvait aussi être un poison, que ce qui nous rend heureux pouvait aussi nous rendre malheureux, mais tel un hérisson sur une brosse à cheveux, je m’étais apparemment fourvoyé. Il existe désormais une foultitude de choses incritiquables, fait dont on ne peut que déduire qu’elles sont absolument parfaites et dépourvues de tout aspect négatif, tel l’élixir de la vie éternelle à ARN messager et l’enculage récréatif tellement en symbiose avec les valeurs de la république qu’on y sensibilise les enfants dès la maternelle et que le drapeau arc-en-ciel est devenu le symbole de notre civilisation au point que si Poutine le faisait flotter sur le Kremlin, les livraisons d’armes à l’Ukraine cesseraient immédiatement. 

Bien sûr, je ne prétends pas détenir la vérité et si vous avez des arguments à opposer à ce que j’ai et vais continuer à développer dans cette vidéo, les commentaires sont là pour ça. 

Pour en revenir au sujet, même homosexuel, un homme reste un homme avec une propension patriarcalement toxique à multiplier des rapports physiques complètement dissociés de tout investissement affectif. Faute, en face, d’une femme conçue par la nature pour se laisser désirer et vouloir à tout prix repeindre en fuchsia le petit meuble du vestibule (ce qui a tendance à freiner les élans), entre hommes (principalement citadins) qui ne veulent que du sexe, la mécanique s’emballe dans les backrooms de bars spécialisés. Un homme pensant différemment avant et après s’être vidé les gonades, confronté à froid à la sordidité de certains actes que je n’évoquerai pas par respect pour les gens qui mangent et les amateurs de mousse au chocolat, peut en outre se faire jour un phénomène, assumé ou non, de dégoût de soi. Une addiction en entraînant souvent une autre, on se réfugie alors facilement dans la drogue jusqu’à l’accident (quand on conduit une voiture) et la 3e guerre mondiale (quand on conduit un pays). 

Par ailleurs, les stimuli masculins étant essentiellement visuels, la vie n’est pas forcément rose pour les homos vieillissants à testicules pendouillants rendant problématique la présence d’un chat au domicile ; sauf à avoir assez de ressources pour fournir ladite drogue laquelle sera utilisée comme pot de miel afin d’attirer des partenaires au sphincter encore assez souple pour ne pas avoir à porter des couches et qui n’intéresseront pas le chat. Cette combinaison détonante ne peut qu’aggraver le problème de l’abus de substances dans la communauté, substances qui renforcent encore la tendance masculine (plus prégnante que chez la femme) à la prise de risques, tendance qui peut avoir un impact non négligeable sur la prolifération de MST exotiques comme le sida, la variole du singe ou l’aurorebergite, lesquelles ne restent pas, ensuite, cantonnées à la sphère homosexuelle de par la bisexualité de certains. 

Loin de moi l’idée de faire le procès de l’homosexualité qui, contrairement à la TVA, a toujours fait partie du paysage, préexistant jusqu’à Brigitte Macron, et qui est donc une chose parfaitement naturelle, au sens littéral, puisqu’effectivement elle est présente dans la nature. En revanche elle n’est pas « normale », là encore au sens littéral du terme (la nature n’ayant que faire des normes dites sociétales), puisque très minoritaire, sans quoi nous ne serions pas là à attendre le strike YouTube et la terre serait encore peuplée de dodos et de rhinocéros blancs qui provoqueraient un réchauffement climatique en pétant.

L’homosexualité, comme beaucoup de choses, est compliquée, s’accommode mal d’une simplification binaire et peut être représentée par une courbe de Gauss, la grosse majorité se trouvant en deçà de la ligne médiane. Dans une société saine, c’est-à-dire qui a un but collectif et qui privilégie le groupe et sa pérennité à la « quéquête » illusoire et égoïste du bonheur, bonheur agité devant ses yeux de consommateur comme une carotte éventuellement recyclable pour d’autres usages, l’immense majorité de la population ne se pose pas de question sur sa sexualité. Les autres subissent une pression sociale suffisante pour que même une partie de ceux qui se trouvent au-delà de la ligne médiane puissent fonder, s’ils le souhaitent, une famille conventionnelle avec, éventuellement, quelques arrangements (la France en particulier, épargnée par le puritanisme anglo-saxon, ayant toujours été relativement tolérante sur ces sujets au cours de son histoire). 

À partir du moment où un homme a été capable de faire un enfant à Élisabeth Borne il est difficile de croire qu’une partie conséquente des homosexuels, quitte à prendre du viagra en suppositoire, n’est pas capable, si elle veut une famille, d’en fonder une sur le modèle traditionnel en faisant bénéficier ses enfants du minimum syndical, à savoir : un père et une mère, les couples hétéros n’ayant pas toujours, eux non plus, le ou la partenaire de leurs rêves. Si on remplace le pragmatisme par des considérations morales, c’est-à-dire le bon et le mauvais par le bien et le mal, on peut en arriver à l’absurdité de considérer que ce qui est bon pour le pays est mal et que ce qui est mauvais pour le pays est bien. Dans ce type de société suicidaire où les valeurs sont inversées, l’homosexualité finit par devenir une norme sociale, faisant qu’une partie plus conséquente de la population, même en deçà de la ligne médiane, peut être poussée dans cette direction. 

En général, le souhait (qu’on peut comprendre) d’une minorité et de ses activistes d’augmenter leur base se heurte, tel un char de GayPride contre une mosquée salafiste, au mur de la réalité, mais pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, nous sommes soumis à une pollution intense par ces mêmes perturbateurs endocriniens et substances diverses qui font changer les poissons et les premières dames de sexe et pourraient faire sauter la barrière génétique garantissant que l’homosexualité reste suffisamment minoritaire pour ne pas représenter une menace existentielle. D’ores et déjà, même si on m’objectera, à raison, que certains homosexuels peuvent être virils et inversement, il n’en demeure pas moins que les hommes le sont, physiquement, et comportementalement, de moins en moins. 

On ne peut qu’observer que la mise en avant et la promotion de l’homosexualité, comme, jadis, dans la Grèce antique ou l’Empire romain, sont des marqueurs de fin de civilisations sans qu’on sache vraiment si elles en sont une des causes ou simplement une conséquence. Cette promotion dévalorise mécaniquement le modèle familial traditionnel en diminuant, face à la multiplication des modèles alternatifs, la pression sociale sur les femmes à se marier, les rendant plus difficiles, moins avenantes et faisant que 80 pour cent d’entre-elles, abusées quant à leur valeur réelle par les affamés d’Instagram, visent les mêmes dix pour cent d’hommes pour lesquels elles n’existent même pas et gaspillent ainsi les années où leur valeur «sexuelle » plus élevée leur permettrait de trouver facilement un bon époux tout en leur donnant les années de vie commune nécessaires à s’ajuster dans la durée, le tout débouchant sur une explosion des familles monoparentales et des célibataires à chats de mauvais augure pour la pérennité de la société.

 Parallèlement un certain nombre d’hommes qui, jadis, auraient eu une vie sexuelle hétéro, face aux murs dressés par les femmes, peuvent être tentés par une homosexualité plus facile d’accès ou une forme d’abstinence. Enfin, foutu pour foutu, j’irai jusqu’à dire que l’existence d’une communauté homosexuelle entraîne, comme toutes les autres communautés, des phénomènes de népotisme et de « co-pinage », notamment dans la sphère politique et médiatique, qui faussent encore un peu plus les mécanismes de sélection des élites lesquelles deviennent de plus en plus médiocres et ne se préoccupent plus de l’intérêt général. 

Au bout du compte, même s’il y a bien sûr d’autres causes, la natalité est au point mort, paradoxalement notre pays se remplit de gens qui n’aiment pas du tout les homosexuels et qui bientôt seront majoritaires, la civilisation s’effondre et, alors que le droit au bonheur est l’argument principal de vente, même avec un col roulé, personne n’est heureux dans l’histoire et visiblement pas Pierre Palmade. 

Si vous avez apprécié ce contenu, vous pouvez cliquer sur tous les trucs en bas et si vous ne l’avez pas apprécié, c’est sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.

dimanche 12 février 2023

Il est bien gentil Zelensky, mais... (Chanson parodique sur un air de BREL) (13/02/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/E4Nia2jz_hk

T’as voulu du pognon et t’as eu du pognon
T’as voulu des obus et t’as eu des obus
T’as voulu des canons, et t’as eu des canons
T’as exigé des tanks on t’a donné des tanks
Nous on veut nos retraites, mais Macron fait le sourd
Toi t’as eu la légion, il nous prend pour des cons
Comme toujours
Maintenant c’est des avions, Macron n’a pas dit non
Un peu de nucléaire, ça ferait tes affaires
T’a demandé plus d’sous, et t’a eu plus de sous
Un appui logistique, et t’as eu ça de suite
Si tu demandes Brigitte, demain t’aura Brigitte
T’as voulu des discours, t’as pu faire des discours
Comme toujours
Mais pas d’escalade (qu’ils disent), ils n’iront pas plus loin
Mais tu le sais bien, ce sont tous des pourris
Et toutes les horreurs de ta guerre à la con
C’est pour masquer la dette et piquer le pognon
Biden a dit couché et Macron s’est couché
Biden a dit assis et Macron s’est assis
Donne-moi la papatte, il a donné la patte
Quand Biden dit « sanctions », Macron suit comme un con
Nous on veut se chauffer, on peut plus se chauffer
On veut nos boulangers, nos demandes font un four
Comme toujours
T’as voulu voir Paris, t’es venu à Paris
Macron t’a tripoté, il aime tripoter
T’as été applaudi, mais ceux qu’on applaudit
Finissent suspendus, avec un truc dans l’cul
Sans pouvoir travailler et sans être payés
Poutine n’est pas qu’amour, mais Macron lui nous ruine
Pour toujours.
Mais pas d’escalade (qu’ils disent), ils n’iront pas plus loin
 
Mais tu le sais bien, ce sont tous des pourris
Et toutes les horreurs de ta guerre à la con
C’est pour masquer la dette et piquer le pognon
T’as voulu des sanctions, et t’as eu des sanctions
Poutine gagne des millions, on est comme des cons
Même si Bruno Le Maire, prétend qu’il sait y faire
Et que c’est sûr mes frères, on va gagner la guerre
Poutine ira au bout, il gagne ou détruit tout
60000 ogives, la terre va être un four
Pour toujours (pauvre Greta)
Au nom de ces valeurs qu’on nous dit nos valeurs
On va mourir gelés, avec nos cols roulés
Poussés par des connards, au chaud dans leur plumard
Les guerriers de twitter qui feraient mieux de se taire
S’ils aiment la guerre ces cons, qu’ils aillent donc au front
Von der Leyen en tête, qu’elle aille y faire un tour
Pour toujours
Mais pas d’escalade (qu’ils disent), ils n’iront pas plus loin
Mais tu le sais bien, ce sont tous des pourris
Et toutes les horreurs de ta guerre à la con
C’est pour masquer la dette et piquer le pognon

T’as voulu du pognon et t’as eu du pognon
T’as voulu des obus et t’as eu des obus
T’as voulu des canons, et t’as eu des canons
T’as exigé des tanks on t’a donné des tanks
T’as voulu des avions, tu auras des avions
Nous on veut nos retraites, mais Macron fait le sourd
Toi t’as eu la légion, il nous prend pour des cons
Comme toujours

lundi 6 février 2023

Chroniques de la fin du Monde (06 fév. 2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/PEEGYOJZqik

 Bonjour ! 

Avec la grâce poétique d’une mouche à merde diaphane aux ailes irisées des réfractions célestes d’une lune mourante sur le miroir perlé de la rosée naissante, devant mes yeux esbaudis, une gracile patineuse à testicules, métaphore micheltrognesque somptueusement réifiée, a virevolté sur la glace avec l’aisance d’un vibromasseur en équilibre sur une corde à linge un jour de tempête, terminant sa prestation sur son auguste postérieur devenu postérieur d’Auguste, écrasant peut-être un cousin du diptère précédemment cité et sans être capable de se relever par iel-même. C’était lors de la cérémonie d’ouverture des championnats d’Europe de patinage artistique en Finlande. 

Probablement un coup de Poutine lequel aura soudoyé le comité organisateur en représailles à la demande d’adhésion du pays à l’OTAN. Maintenant que je m’étais enfin habitué à réciter l’alphabet dans le désordre en commençant par LGBTQI, il va falloir y intégrer, en plus, des kanjis japonais, car je vois mal comment symboliser autrement quelqu’un qui se réveille un matin en se sentant patineuse, mais presque. On se console en se disant qu’iel ne s’est pas senti pilote d’Airbus A350, ce qui aurait été potentiellement beaucoup plus dramatique. 

Toujours est-il que cette vidéo sera courte, car, incapable de donner le moindre sens à ce que je venais de voir, mon cerveau a généré une erreur 404 et j’ai dû rebooter tout le système déjà affecté, quelques jours plus tôt, par la réalisation que quand, aux États-Unis, 5 policiers qu’on a du mal à distinguer la nuit sans catadioptre font passer de vie à trépas un autre afro-américain c’est, apparemment, quand même la faute des personnes en situation de mélaninité réduite en raison de la pression exercée par le racisme systémique. 

Bref, tout a redéfilé chronologiquement devant mes yeux en commençant par les dinosaures, Brigitte Macron puis nos ancêtres les Gaulois. Bizarrement, dans ma vision, probablement la conséquence du choc psychologique, ces derniers, sauf un qui s’appelait Israélix, ne ressemblaient pas à Meyer Habib qui, le pauvre, a perdu son siège de député pour, selon le Conseil constitutionnel : « irrégularités et manœuvres ». Calomnies que tout cela, l’homme exsudant l’honnêteté, entre beaucoup d’autres choses, par tous les pores de sa peau. Clémentine Autain, très en forme ces temps-ci, a salué la nouvelle par un subtil « Mazel tov », qui signifie littéralement « Bonne constellation », sans préciser de quelle couleur étaient les étoiles ce qui a suffi à enflammer Twitter, réduisant à néant les efforts louables de Sandrine Rousseau pour rejoindre la tête du peloton en s’inquiétant, elle, comme chacun d’entre nous, pour la retraite de Mbappé. 

Fort heureusement, pour rester dans les Gaulois, les producteurs du dernier Astérix se sont eux, bien gardés, dans le casting, de toute distinction nauséabonde entre « celtes et ceux » comme dirait Macron. Indépendamment, ce film, chose rare, fait apparemment l’unanimité, tant des critiques que des spectateurs, lesquels se sont déplacés nombreux, attirés par la franchise. C’est un chef-d’œuvre… culinaire si vous aimez la daube. Il est descendu en flèche dans tous les commentaires de tous les sites de cinéma avec une argumentation étayée qui laisse peu de place au doute. Par ailleurs, loin d’être Astérix et périls, le film n’en prend aucun et point de nouveaux personnages comme Jeanmicheltrognix ou Macronenculix pour rehausser la sauce. 

Je vais donc garder ma dizaine d’euros pour me chauffer… 12 minutes ou pour autre chose. Après avoir, durant une interminable zeptoseconde, brièvement considéré le nouveau chef-d’œuvre de BHL, face au risque d’être le seul à rire dans la salle, voire d’être le seul dans la salle, je vais probablement me rabattre sur « Vaincre ou mourir » le film du Puy du Fou qui, même si pas diffusé partout, a l’air de marcher plutôt bien. Ce qui me fait toutefois encore hésiter c’est l’absence criante d’Omar Sy dans le rôle de Charette de La Contrie, d’où ma crainte que la chose manque quand même un poil (non genré) d’inclusivité. 

Mais bon, ce genre d’entorse aux valeurs de la république sera bientôt de l’histoire ancienne, puisqu’Élisabeth Jaiunbalaidansleculix nous pond une énième loi de lutte contre la principale préoccupation des Français le matin au réveil : le racisme, l’antisémitisme et les discriminations ! Elle a bien compris que c’est pour cela qu’ils manifestent de plus en plus nombreux dans la rue et elle les a entendus. La France pourra désormais émettre des mandats d’arrêt contre ses ressortissants réfugiés, par exemple, au Japon et qui, depuis ces lointains rivages, bravent le décalage horaire pour déverser leur haine sordide dans les recoins sombres pas encore censurés d’Internet. 

Contrairement aux 26 pour cent de la population qui, contre flatulences et marées, font toujours confiance à Élisabeth Borne laquelle n’est pas (encore) poursuivie par le Parquet national financier comme son ministre du Travail, Olivier Dussopt (en fauteur), ces sinistres individus n’ont visiblement pas réalisé que la discrimination qu’ils prônent reviendrait à supprimer le « Welcome » sur les pancartes d’accueil brandies par les foules enthousiastes à l’arrivée de l’Océan Viking et qu’on aurait l’air fin avec un panneau sur lequel serait juste écrit : « migrants ». Du reste, moins on discrimine, plus on favorise l’immigration laquelle, cela fait des décennies qu’on nous le répète, va payer nos retraites. C’est d’ailleurs grâce au fait d’avoir, toutes ces années, importé et fait naître des millions de futurs cotisants que nous n’avons pas besoin de réfor… [Erreur 404]

Non, au temps pour moi, en fait, contrairement à ce que pourrait laisser croire aux esprits retors l’installation d’usines à OQTF un peu partout dans nos campagnes profondes, il n’y en a pas encore assez, d’où la nouvelle loi indispensable en discussion, non pas cette fois « contre », mais (nuance subtile) « sur » l’immigration. Loi qui permettra la régularisation Allah chaîne des travailleurs sans papiers. Nous y sommes presque. Encore 15 petits millions supplémentaires de livreurs de pizza thuriféraires de Victor Hugo et on devrait, enfin, pouvoir envisager de partir à la retraite avant d’avoir perdu toutes nos dents. 

C’est de la bonne gestion et, franchement, je ne comprends pas pourquoi Erdogan a qualifié Macron d’incompétent et de malhonnête alors que même les Russes le traitent seulement de gamin immature. Déjà que les Africains ne veulent plus le voir, que les Chinois non plus, que même Lula l’a envoyé à la pêche, que Biden se torche avec quand il a oublié ses couches et que Scholz l’utilise comme marchepied, il n’avait pas vraiment besoin de ça. À ce rythme, il va bientôt manquer d’endroits où se trouver (par malheureuse coïncidence calendaire) les jours de manifestations. 

Pourtant, il a tout fait bien : Zelensky a demandé des sous, Macron a donné des sous, Zelensky a demandé des canons, Macron a donné des canons, Zélensky a demandé des tanks, Macron a donné des tanks. Zelensky a demandé des avions, Macron a dit « OK, s’il n’y a pas de risque d’escalade ! », Zelensky a assuré que non avant, une fois passé le gland dans son entièreté, de réclamer, dans un dernier coup de rein dialectique, une frappe nucléaire préventive sur la Russie. Comme après cela, il n’y aurait, effectivement, plus aucun risque d’escalade, on attend la réponse de Macron. Il est toujours sécurisant d’être gouverné par des visionnaires et réconfortant de savoir que notre économie a été détruite pour une bonne cause. 

Les Chinois, eux, franchissant un nouveau saut qualitatif en matière d’armement de pointe, ont carrément attaqué les USA avec un ballon météorologique. Fort heureusement, après conseil de guerre et ordre direct du président, à l’issue d’un âpre combat, la menace, certes un peu gonflée à tous les sens du terme, a été abattue par un avion F16 dont le pilote a été félicité pour cet acte de bravoure qu’il sera fier de raconter à ses petits-enfants. Nous allons gagner la troisième guerre mondiale, cela ne fait aucun doute. 

Si vous avez apprécié ce contenu, vous pouvez cliquer sur tous les trucs en bas et si vous ne l’avez pas apprécié, c’est sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.