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dimanche 16 août 2020

Le "poing" sur : La Liberté d'expression. (17 juil. 2020)

 Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/ZwUmbpvOGSc

 

 Avertissement :

Si ce n'est pas fait, je vous encourage à visionner la vidéo, ce texte servant, exceptionnellement, d'appui à un diaporama et les images étant trop nombreuses pour les insérer dans le blog comme je le fais habituellement.



« Au début était le verbe » a écrit un jour un type pas spécialement doué pour la grammaire, mais il a eu le mérite de mettre quelque chose en lumière : la parole c’est le pouvoir, même si la réciproque n’est pas forcément vraie. De fait, la liberté d’en user, autrement dit : « la liberté d’expression », désigne aux autres celui qui a ledit pouvoir. Dans beaucoup de couples, c’est indubitablement la femme. Logiquement, on peut imaginer que la liberté d’expression de Louis XIV était assez étendue et, dans une république dont le principe est supposé être : « le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple », la nôtre devrait, au moins, être équivalente. 

Le souci, c’est qu’une petite escroquerie s’est glissée de façon subreptice dans le concept du fait que le peuple (vague entité généralement bourrine et moutonnière tant qu’on ne la chauffe pas trop), s’il est la somme des individus, ne les représente nullement dans leur diversité d’opinions. Si ledit individu, c’est-à-dire vous et moi, est magnanimement pris en considération par la déclaration des droits de l’homme qui stipule que : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions » et que « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme », il est totalement gommé dans la constitution, par cette notion même de « peuple » pris, par ailleurs, dans son acception républicaine, c’est-à-dire non charnelle ou organique. 

Ce serait une erreur que de confondre la France et la République et ce n’est pas pour rien que Macron les cite, dans l’ordre d’importance, à la fin de ses discours. Il s’agit de deux entités distinctes aux intérêts qui ne coïncident pas toujours ; la république, sorte de ténia contracté il y a deux siècles, restant, par essence (sous un vernis démocratique qui se craquelle de plus en plus) un régime collectiviste et oligarchique comme sa version moins soft, expérimentée par l’ex-URSS, elle aussi nommée république (à l’instar de la Chine ou de la Corée du Nord).

Tant que le pouvoir préexiste à la liberté d’expression, on reste dans l’ordre naturel des choses, mais tout se gâte dès-lors que c’est la liberté d’expression qui octroie le pouvoir. Des sophistes, capables de bien parler, mais incapables de gouverner (ou ne se souciant pas de l’intérêt général) peuvent s’en emparer sans être légitimes. Jadis, le Roi avait la couronne parce qu’il était le Roi et, comme on aurait dit à l’époque, s’il eût égaré ladite couronne dans la rue, cependant qu’il eût lacé ses chausses, et que celui qui l’eût trouvée se la fût mise sur la tête, nul ne l’eût reconnu en tant que roi. Il en va différemment lorsque ceux qui détiennent le pouvoir se savent illégitimes. Et plus ils sont illégitimes, plus la couronne (c’est-à-dire la liberté d’expression) est jalousement gardée. Si, pour sauver les apparences, on peut laisser jouer avec, des gens encore moins légitimes au point qu’ils ne représentent pas une menace, il est hors de question de l’accorder à ceux auxquels elle revient de droit, c’est-à-dire les Français. 

Par ce terme, je n’entends pas forcément « Français de souche » expression qui a un double inconvénient. Le premier est d’exclure des bonnes volontés, capables de comprendre que si elles ne veulent pas que soient importés en France les problèmes qui ont rendu tellement merdique leur pays d’origine qu’elles ou leurs parents ont dû le quitter, elles ont tout intérêt à ce que ladite France reste la France. C’est-à-dire le plus cohérente possible, culturellement et ethniquement. Le second inconvénient est, à l’inverse, d’inclure moultes personnes pourtant supposément de la bonne origine, mais qui brandissent leur pancarte « Migrants Welcome ! » ou gueulent des slogans antifas, incapables de concevoir que la seule façon d’avoir de la diversité c’est que chaque pays conserve ses spécificités ethniques et culturelles faute de quoi on sera monochromes, on pensera avec les quelques mots que nous laissera une langue universelle appauvrie, on s’habillera de la même façon et on mangera tous dans le même MacDo (s’il reste quelque chose à manger). 

Pour moi, un Français c’est donc celui qui lutte pour la vraie diversité en faisant passer l’intérêt de la France, des Français ainsi que la préservation de sa culture et de son essence avant ceux de n’importe quel autre pays dans le Monde. Ce Français-là, qui sur le papier est le seul légitime à avoir le pouvoir, est justement celui qui se trouve privé de liberté d’expression sur les sujets qui comptent. En temps normal, ce n’est pas un problème. En effet, par nature, les gens ne veulent pas le vrai pouvoir qui vient avec d’écrasantes responsabilités et, tant que le pays est bien géré dans l’intérêt collectif et l’anticipation du futur (ce qu’a bien compris un Poutine), ils échangent volontiers leur liberté d’expression contre un kilo de patates lequel, lui, est indispensable à leur survie. En revanche, quand les patates viennent à manquer (et on s’en approche) le peuple éprouve un violent besoin de s’exprimer et même un Roi, s’il n’a pas fait le Job, peut devenir illégitime. Par ailleurs, aussi paradoxal que cela puisse paraître, s’il y a abondance de patates, mais qu’aucun destin collectif et aucun grand œuvre n’a été tracé pour donner un sens à sa vie, faute de nourriture spirituelle cette-fois-ci, le peuple aura également envie de s’exprimer avec, hélas, une forte tendance à oublier pourquoi il ne manque pas de patates et à scier la branche sur laquelle il est assis. 

Dans les deux cas, c’est là que tout se gâte et que la république montre son vrai visage empilant les lois et les mesures répressives. Non plus seulement contre la liberté d’expression absolue (jusqu’au mensonge) laquelle, par définition, ne peut appartenir qu’à celui qui a le pouvoir, mais contre la liberté d’expression des opinions sans laquelle le pouvoir, à supposer qu’il s’exerce dans l’intérêt général, se voit privé de tout repère.

« Ce n’est pas une opinion, c’est un délit » On a tous entendu ce mantra répété soit par des gens de mauvaise foi, soit par des psittaciques constipés qui, selon les époques, vous auraient envoyés sans la moindre hésitation au bûcher pour blasphème où dans des camps pour philosémitisme car, c’est bien connu, les lois, votées par des êtres de lumière, à l’intégrité sans faille, à l’intelligence inégalée et mus uniquement par le souci du bien commun, ne peuvent pas être mauvaises.

Or, c’est justement la liberté d’expression des opinions qui permet de critiquer les lois, chose qui n’a jamais plu à ceux qui en profitent et qui se sont donnés tellement de mal à acheter des politiciens pour garantir que les virgules soient placées au bon endroit afin de créer les failles qui leur permettront de s’en mettre plein les fouilles tout en donnant l’impression à ceux qui ne sont pas versés dans les finesses juridiques que ces textes abscons, parfois empreints de poésie involontaire, ont été votés dans l’intérêt général.

Et ce n’est pas la peine de compter sur la constitution pour nous protéger, car comme l’a pointé Etienne Chouard de son doigt devenu antisémite depuis qu’à l’instar d’Hitler il a fait Führer pendant une interview particulièrement vicelarde, elle a été écrite par ceux-là-mêmes dont elle est censée réguler les abus et qui se sont carrément octroyés le droit de la modifier sans que le peuple ne soit consulté.

Les États-Unis sont aussi une république, mais avec une différence de taille : cette république est fondée sur une constitution, alors que chez nous c’est l’inverse : la constitution (ou plutôt les constitutions) ont été bidouillées pour justifier la république. Dès lors, aux USA, toucher à cette dernière est un peu l’équivalent de démolir les fondations après avoir bâti la maison. Ladite constitution est donc à peu près aussi sacrée que le Coran pour les musulmans, et les conditions de modification sont tellement draconiennes qu’en dehors du droit de vote des femmes et de la funeste instauration de l’impôt sur le revenu en 1913, les quelques amendements effectués ne l’ont été que sur des aspects mineurs et purement techniques faisant que les articles 1 à 10 (dont le premier qui garantit la liberté d’expression et le second qui garantit le port d’arme) n’ont pas été touchés depuis 1791.

Et c’est très bien, car l’existence d’un pays qui ne restreint pas la liberté d’expression d’opinions permet de mettre en évidence l’escroquerie de formules telles que « les mots tuent » ou l’idée absurde que les mots peuvent inciter à la violence s’il n’y a pas déjà un problème sous-jacent non traité qui en est la véritable cause. La véritable malhonnêteté étant de mettre sur le même plan la parole individuelle et la propagande médiatique, laquelle peut effectivement influencer les foules, mais n’a plus rien à voir avec la liberté d’expression.

Aux États-Unis on peut trouver, par exemple, des sites ouvertement antisémites et ouvertement révisionnistes. À ce jour, aucune chambre à gaz, ou pire à C02, n’a été construite. Au contraire, ces sites y restent relativement confidentiels ; c’est le pays (après Israël et avant la France) où il y a le plus de Juifs ; là où ils sont le plus peinards et il n’est qu’à voir les Zuckerberg et autres Soros pour comprendre à quel point leur réussite sociale n’est aucunement entravée. Il n’y a donc aucune corrélation entre la parole antisémite et les actes antisémites, par ailleurs répertoriés, chez nous, sans aucun contrôle public, par les associations même qui les dénoncent et qui en vivent. Limiter la liberté d’expression et s’acharner juridiquement sur certains, jusqu’à leur donner le statut de martyr, tout en laissant penser à d’autres, qui voient pendant ce temps leurs divers problèmes royalement ignorés, que la soi-disant « lutte contre l’antisémitisme » a la priorité, ne peut avoir que des conséquences opposées à l’effet recherché ; sauf, mais je n’ose imaginer tant de machiavélisme, si l’effet en question était de nourrir la bête au bénéfice des innombrables associations qui ne représentent qu’elles-mêmes et n’existent que pour se porter partie-civile à des procès et toucher, sans rien faire, des dommages et intérêts qui, rappelons-le, sont nets d’impôts.

On m’opposera l’argument d’Hitler. Lisez Mein Kampf et vous vous rendrez compte que si, quand il parle des juifs, ce n’est certes pas, piqué des hannetons, au final, il en parle relativement peu et que ce n’est pas sur ça qu’il s’est fait élire. Ensuite, une fois qu’il a eu le pouvoir, on n’est plus dans la parole libre mais dans la « propagande d’état », comme actuellement avec la pandémie médiatique, et, comme je l’ai dit précédemment, mettre sur le même plan, sous le vocable « parole », l’expression individuelle et la propagande organisée est particulièrement malhonnête.

Dans le contexte d’inversion totale des valeurs dont souffre notre société, alors que de nombreuses choses, comme le racisme, qui comportent de nombreux aspects subtils et compliqués nous sont présentées en mode binaire, avec les gentils d’un côté et les méchants de l’autre, la liberté d’expression d’opinion nous est, elle, présentée comme quelque chose à géométrie variable alors qu’elle est, pour le coup, un absolu : on est totalement libre ou l’on ne l’est pas. De même qu’une femme n’est pas un peu enceinte.

Il ne saurait donc y avoir de limites à la liberté d’expression d’opinions sachant qu’une opinion est ce que l’on pense ou ce à quoi l’on croit de bonne foi. Chose qui n’a rien à voir, par exemple, avec la diffamation de laquelle je donnerais la définition restrictive suivante : une affirmation de mauvaise foi, sans preuves, manifestement non ironique, relative à des actions concrètes perçues comme négatives attribuées à un ou des individus précisément identifiés par une personne crédible, c’est-à-dire qui connaît l’intéressé, prétend le connaître ou bénéficie d’une position (par exemple journaliste) qui lui confère ladite crédibilité.

En gros, si je n’ai pas pris la précaution de préciser « je pense que » au début de la phrase, dire sans preuve et sans ironie apparente que tel Schtroumpf est pédophile c’est de la diffamation (si je suis son chauffeur, sa femme de ménage ou encore, journaliste). Si je suis l’homme de la rue qui ne le connaît pas et ne prétend pas l’avoir vu perpétrer son acte, c’est une opinion.

De même, dire : « tous les Schtroumpfs sont des pédophiles », c’est aussi par nature, une opinion, puisque qu’on ne connaît pas tous les Schtroumpfs. Pareil pour toutes les insultes subjectives qui relèvent là aussi des convictions personnelles comme : « connard », « crétin », « enfoiré » « macron » ou même « sale Schtroumpf ». La contrepartie étant que ces mêmes insultes peuvent nous être retournées.

En effet, toute liberté a un prix qu’il est parfois dur de payer. Quand les adversaires de la liberté d’expression n’ont plus d’argument, ils manipulent alors les foules par l’émotion, façon cadavre d’enfant échoué sur une plage, en leur mettant sous le nez l’abjection ultime à savoir la pédophilie, tellement révulsive que beaucoup, et c’est compréhensible, vont perdre leur capacité à raisonner et sacrifier leur propre liberté, au prétexte qu’il existerait des cas, tellement intolérables, que la limitation de la liberté d’expression des opinions se justifie, ouvrant ainsi la boîte de pandore.

L’escroquerie est de faire croire que la parole pédophile est interdite alors que ce n’est même pas le cas. En effet, pour elle, la république se rappelle qu’il y a la liberté d’expression. Toujours la même inversion des valeurs. D’un côté on ne peut pas critiquer la moindre minorité bruyante et agissante sans risquer une inculpation pour incitation à la haine, même si ladite critique est motivée par l’amour de nos enfants et le souci de leur léguer une société fonctionnelle, en revanche on peut, sans risquer d’ennuis judiciaires, faire l’apologie de la pédophilie.

Pour autant, cette liberté d’expression (que je ne leur conteste pas) les pédophiles l’utilisent assez peu car les discours ne peuvent fabriquer des pédophiles qui n’existent pas déjà, de même qu’on ne peut inciter à la haine que des gens déjà haineux ou victimes de problématiques non résolues par l’état, lequel ferait mieux de s’occuper desdits problèmes plutôt que de casser le thermomètre de la parole.

On ne peut donc pas augmenter avec des mots le nombre de pédophiles lesquels se répartissent en 5 types (qui souvent se cumulent). D’abord les détraqués, qui pourront éventuellement prétexter, de manière tout à fait invérifiable, avoir été encouragés au passage à l’acte par un discours trop présent, mais cela revient à dire que dans la fable le loup a mangé l’agneau à cause d’une pub Fleury Michon. Ensuite les pervers qui éprouvent le besoin de dénaturer ce qui leur semble pur couplé à un désir de sensation de pouvoir absolu laquelle passe par la transgression et la destruction de la petite voix de la conscience, ce qui les « libère » de leur humanité. Après, on trouve certains cercles de pouvoir et de spoliation des richesses collectives dont la survie dépend du secret absolu et quelle meilleure garantie de silence qu’un truc du genre : « Tu veux du pognon et du pouvoir ? Tiens voilà un gosse, fais-lui les trucs les plus atroces, on te filme et si tu l’ouvres tu ne peux espérer aucune espèce d’absolution du public qui te lynchera si on ne t’a pas suicidé avant. ». Il y a aussi un certain nombre de cultes et d’illuminés qui font dans le sacrifice rituel et qui pensent, entre autres foutaises, que le sang de bébé prolonge la vie. Enfin, il y a ceux qui le font par appât du gain pour alimenter tout ce beau monde ainsi que le trafic de vidéos et de matériel pédopornographique et continueront à le faire tant que ça rapportera.

S’ils ne prennent pas la parole en pleine lumière pour exposer leurs thèses (et c’est dommage car il vaut mieux savoir qui ils sont afin de ne pas leur laisser nos gosses en baby-sitting par inadvertance) les pédophiles (lesquels cherchent moins à accroitre leur nombre qu’à augmenter leur offre de proies) font avancer leur agenda en douce en phagocytant sournoisement le mouvement LGBT dont ils copient les méthodes avec, hélas, un certain succès dans la sexualisation des enfants dès le plus jeune âge, y compris à l’école.

Si l’on considère qu’il y a plus de 50.000 enfants qui disparaissent en France chaque année (sans compter l’open bar des enfants migrants) soit beaucoup plus que les 30.000 décès imputés au covid (sans qu’on nous fasse le décompte tous les soirs à la télé) et que tous ne font pas une fugue ou ne finissent pas dans le trafic d’organes, on peut imaginer que le phénomène est loin d’être marginal, Epstein (qui, en façade au moins, faisait dans le post pubère) n’étant que le sommet de l’iceberg.

C’est là qu’on voit qu’en plus des lois liberticides officielles il y a les lois non dites, les tabous sociétaux, inducteurs d’autocensure selon ce que la presse met en lumière ou nappe d’un voile pudique, de sorte qu’en dehors d’affaires trop grosses pour être totalement étouffées (et pour lesquelles ladite presse - qui se dépêche de passer à autre-chose - fait le minimum syndical et ne pose pas les bonnes questions) parler de la pédophilie, notamment de la pédophilie de réseau, ça sent le soufre et c’est complotiste.

Dans ce domaine, comme ailleurs, partant du principe dédaigneux de nos élites que le peuple (pourtant supposément souverain) est trop con et influençable pour le laisser juge de quoi que ce soit, on lutte contre les mots en brandissant très haut l’étendard de la morale, mais rien n’est fait pour régler les problèmes.

Si, même pour la pédophilie, la liberté d’expression n’est pas un facteur aggravant et pourrait à contrario, contribuer à améliorer la situation, il n’y a donc aucune raison valable de limiter (c’est-à-dire de tuer) la liberté d’expression des opinions ce qui ne peut que baisser le niveau général.

Des raseurs de poils sur les œufs m’objecteront, en dernier recours, que si c’était aussi simple, les États-Unis seraient un Paradis et pas un endroit au bord de la guerre civile. Je n’ai jamais dit que la liberté d’expression des opinions suffisait à elle-seule pour résoudre les problèmes. Même si (lorsque la société a acquis le réflexe du débat d’idées) elle diminue la tentation du recours à la violence physique et peut même concilier de petites brèches sociétales, elle est impuissante à agréger durablement des pièces qui ne proviennent pas du même puzzle. Les USA se sont construits sur la bombe à retardement du multiculturalisme, ça ne peut pas bien se terminer. En outre, les principaux vecteurs de la parole, que ce soient les journaux, les médias ou les GAFAM, y sont passés sous la coupe de sociétés privées qui ont, certes, le droit constitutionnel de limiter ladite liberté sur LEURS plateformes, mais qui, par l’argent et le lobbying politique, se sont retrouvées en situation de monopole, ceci expliquant aussi cela. La liberté d’expression ne sert à rien si personne ne vous entend et qu’internet, jouet qui a un temps échappé à ses créateurs, privé de toute voix dissidente autre que superficielle, devient juste une lessiveuse de plus pour occuper notre temps de cerveau disponible.