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mardi 28 décembre 2021

La véritable histoire de Brigitte Trognon et Emmanuel Macreux. (28 déc. 2021)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/A2nSWi-qRDE


 

Oyez, oyez ! Gentes Dames et Damoiselles, Gentilshommes et damoiseaux. Je m’en vais vous conter céans, l’histoire de Brigitte Trognon et Emmanuel Macreux. Il va sans dire que toute ressemblance avec des personnages présidentiels existants et surtout n’ayant pas existé est purement « for Tweet » comme diraient les Anglais. 

L’histoire se déroule au début du 21eme siècle, dans un lointain pays depuis longtemps disparu et que les plus férus d’histoire parmi vous ont peut-être entendu évoquer sous le nom de « République Islamique de France » tel qu’il a été renommé aux alentours de 2060. Ce pays avait une reine relativement âgée qui se nommait Brigitte. Certains malotrus la qualifiaient, dans les recoins les plus sombres de Twitter, de vieille peau ou de vieille bique. Pire, la rumeur enflait qu’il s’agissait en fait d’une fausse bique, voire d’UN FAUX bique, pour ceux qui privilégiaient l’anatomie au détriment de la grammaire. Pour ma part, peu désireux de trancher, d’autant qu’au cas particulier, il n’y avait peut-être plus matière, et ne pouvant me résoudre à l’emploi du pronom « iel », sachant que si l’on voit « iel » c’est uniquement parce que des cons sonnent, peu me chaut qu’il s’agisse d’un ou d’une phobique. 

D’autant que, dans son cas il ne s’agissait point de la fameuse phobie administrative qui, à l’époque, frappait les grands du royaume au moment de leur déclaration d’impôts ou de patrimoine, mais bien de photophobie. Elle avait tout jeté : ses photos d’enfance, d’adolescence, ses photos enceinte, ses photos avec ses gosses sur les genoux, ses photos avec son premier mari…Tout, tout, tout, j’vous dirai tout sur son… Désolé, parfois je m’emballe. Le pire c’est, qu’en dépit d’une fratrie aussi nombreuse que le nombre de rappels vaccinaux nécessaires, jadis, pour continuer à transmettre et attraper certains virus, toute sa famille semblait atteinte de la même malheureuse affliction et qu’aucun neveu ou nièce, voire ami de la famille, n’était, hélas, en mesure de fournir aux gazettes avides, disposées à les récompenser en espèces sonnantes et trébuchantes, la moindre photo ou le moindre daguerréotype de cette époque, aux rues blanches et monotones, que les moins de 20 ans ne pouvaient pas connaître. Je n’ai, hélas, point le temps de vous expliquer dans le détail le concept de blanc, mais vous avez peut-être vu des représentations dans quelque vieux grimoire. 

Alors que ladite Brigitte vaquait à ses occupations, consistant à dépenser les sous du royaume à refaire la déco du palais avec ses goûts de merde, le petit chaperon rouge demanda une audience. « Comme votre perruque est grosse », commença l’enfant. « Comme vous avez de larges épaules, comme votre menton est carré, comme vous avez de grandes mains, comme vous avez de grands pieds… ». « C’est pour mieux te les mettre au derrière si tu colportes ce genre d’âneries », s’énerva la Reine. Elle chassa l’impudente qui lui avait pourtant apporté le petit pot d’un beur, plein de cette blanche neige qu’affectionnait le roi. Mais gardons l’histoire de Blanche Neige et des 7 Darmanins pour une autre fois, si vous le voulez bien. 

La Reine était inquiète et de grosses gouttes de sueur commençaient à perler sur sa peau épaisse et burinée. « Mon dieu, je suis en trances, je trans…pire. Pourvu que cela ne se voie point ! Si mon visage se trans…figure et que la chose trans… paraît la rumeur va enfler. La rumeur est comme l’eau et rien n’entrave l’eau », se dit-elle. Affolée, elle fit quérir dans le royaume quelque alchimiste se prétendant versé dans l’art du photoshop. « Majesté, votre photophobie ne concernant que vous-même, je vois que vous avez conservé, par-devers vous, quelques photos de vos filles, lui dit le vieil homme. En usant de quelque sortilège je pourrais les rendre floues de sorte qu’elles puissent passer pour vous. Pour faire bonne mesure, vous pouvez y mêler cette photo de famille où cette enfant, sur les genoux de Madame votre mère pourrait également être prise pour votre noble personne ». 

L’affaire fut promptement menée et durant un temps, la populace (vraiment lasse) occupée tous les samedis, pour diverses raisons futiles, à manifester… son amour immodéré pour un roi placé au Pinnacle par les sondages, se désintéressa de la chose. Jusqu’à ce qu’une petite lapine journaliste, consciente que le tort tue, lève un lièvre et remarque quelques détails troublants sur la photo de la famille Trognon. La petite fille, supposée être Brigitte mais qui serait en fait sa nièce, ne ressemblait pas vraiment à la Reine. « Si ce n’est toi, c’est donc ton frère », suggéra le loup qui passait par là. 

La petite lapine journaliste resta un temps aussi perplexe qu’Amélie de Montchalin dans un avion, sans test PCR. Puis, elle réalisa le pourquoi du mensonge. En effet, si la presse stipendiée avait arrondi les angles et, en réduisant la différence d’âge, était parvenue à vendre au peuple que le détournement d’un mineur à l’aide de quelque envoûtement par sa préceptrice (dont, par ailleurs, on n’avait retrouvé nulle trace des diplômes qu’elle prétendait avoir) était une simple histoire d’amour hors norme ; même constipé, on ne pouvait guère pousser le bouchon plus loin. Le frère sur la photo (lequel ressemblait à la reine comme un oubli de déclaration d’impôts à une fraude fiscale) ayant quelques années de plus que l’âge supposé de cette dernière et le roi, à l’époque des faits, quelques années de moins que ce que l’on avait raconté, si la chose était avérée, il était peu vraisemblable qu’une populace aux idées rances et rétrogrades, laquelle avait encore du mal à admettre (même en regardant Netflix 8 heures par jour) que l’intromission anale fût synonyme de progrès, adhère à l’idée d’une romance entre un homme à perruque et un gamin de trente-deux ans de moins sur lequel il aurait eu, de surcroît, autorité. 

La chose, bien que restant dans le registre du vocabulaire floral, évoquant davantage une histoire de pédoncule qu’une histoire à l’eau de rose. 

Désormais aux abois, la Reine avait la petite lapine au cul, ce qui la changeait un peu. Cette dernière creusa et constata que le frère en question, un certain Jean-Michel, s’était évaporé comme une plainte pour viol à l’encontre d’un ministre de l’intérieur et qu’il n’en subsistait nulle trace (hormis des adresses et numéros de téléphones bidons) ni aucune personne se souvenant l’avoir jamais rencontré. A l’issue d’une minutieuse enquête étayée par de nombreux éléments publiés sur la missive confidentielle « Faits & Documents » et qu’aucun troubadour mainstream n’avait pris la peine de vérifier tout en criant à la fake news, consciente, tel Sherlock Holmes, que « quand on a éliminé l’impossible, ce qui reste, aussi improbable fût-il, est probablement la vérité » elle en arriva à la conclusion que Brigitte Trognon n’était autre que Jean-Michel Trognon. 

Ce dernier avant de changer d’identité aurait eu le temps de se reproduire avec une artiste peintre que la journaliste était parvenue à identifier et avec laquelle Jean-Michel/Brigitte aurait eu ses 3 enfants. Cette artiste peintre s’était ensuite mariée, sur le tard, avec un certain Jean-Louis que, s’agissant d’une famille tuyaux-de-poêle, j’appellerai « Chaudière » et qui aurait donné son nom auxdits enfants. Les enfants ne s’appelant plus Trognon, ce qui aurait été problématique, il ne restait plus à leur véritable père, Jean-Michel/Brigitte pour pouvoir prétendre être leur mère, qu’à leur inventer un père qui s’appelle aussi « Chaudière » comme l’homme qui leur avait donné son nom. On aurait donc inventé un autre Jean-Louis Chaudière allant même jusqu’à conserver la même date de naissance, sauf l’année. Le hasard faisant bien les choses, ce brave homme aurait vu le jour dans un endroit reculé d’Afrique, dans un village qui n’a officiellement existé que quelques années après ladite naissance, village qui aurait donc été bien en peine de fournir un certificat de naissance. 

Bien-sûr, là encore, à part une photo de mariage tellement de mauvaise qualité que personne n’était identifiable dessus, aucune trace physique ni écrite de cet homme discret, lui aussi photophobe et dont la fille supposée (autant que distraite), devant les questions qui s’amoncelaient, avait annoncé le décès, un an après sa mort, avant de préciser (aucune tombe ne portant ce nom n’ayant été trouvée) qu’il aurait été incinéré dans la plus grande intimité et que ses cendres reposeraient dans une urne quelque part. Certains supposent au Panthéon qui, visiblement, servait, à l’époque, d’entrepôt pour cercueils vides. 

Il va sans dire que les gardes du Roi mirent la petite lapine en garde à vue pour avoir eu l’outrecuidance de colporter qu’un monarque proverbialement connu tant pour dire la vérité que pour son aversion notoire envers les hommes et les transsexuels, aurait pu mentir au point de risquer de faire l’objet de chantages divers et variés qui auraient pu l’amener à prendre des décisions encore plus hasardeuses pour l’avenir du Pays que celles auxquelles il était naturellement enclin. D’autant que ce fut son épouse qui l’introduisit, au figuré à minima, auprès de quelques usuriers connus, chez lesquels le jeune prince fit ses premières armes. 

Nul ne sait, hélas, si la petite lapine avait vu juste, même s’il est indiscutable qu’il se dégage de toute cette affaire une fragrance propre à provoquer un orgasme chez une certaine variété de mouches. Toujours est-il que la fin de l’histoire s’est perdue. Certains prétendent qu’à l’époque il existait un truc que l’on nommait « élections » et qu’il se serait trouvé quelque candidat courageux qui n’aurait pas eu, lui-même, des casseroles aux fesses, pour interroger le monarque quant à la raison pour laquelle la reine ne rendait pas simplement publiques quelques photos (lesquelles eussent suffi à faire taire la rumeur, d’un claquement de doigt) plutôt que de porter plainte pour « transphobie » ce qui était soit un aveu soit une incohérence dès lors qu’elle ne prétendait pas en être. Mais l’existence d’un tel candidat est peu probable. 

D’autres théorisent que tout le petit monde germanopratin de l’époque était au courant depuis longtemps et que, craignant d’être lynché par un peuple en colère, l’un d’entre eux aurait fini par lâcher le morceau et que toutes les langues se seraient déliées d’un coup charriant un torrent d’immondices. Cela n’a, de toutes façons, guère d’importance puisque la chose se passait à l’époque où, comme chacun le sait, l’Occident a parachevé son suicide en injectant, tous les trois mois, d’abord aux femmes enceintes, puis aux enfants, des produits expérimentaux, avec les résultats que l’on connait aujourd’hui. Mais ceci est une autre histoire. 

A votre bon cœur mes Seigneurs et gentes Dames.

jeudi 16 décembre 2021

Le Marteau de ZEMMOUR. Le bien, le moins bien & le reste (16 déc. 2021)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/rrMS2DoIN0o

Bonjour!

Toute la bien-pensance semble soudainement atteinte d’une crise de zemmouroïdes aigüe et des défenseurs de la liberté arborant leur QR code comme une légion d’honneur, en attendant leur troisième, quatrième et bientôt cinquième dose derrière un bâillon de papier, se lèvent avec courage (mais en respectant la distanciation sociale) de nouveau prêts, comme en 2002 et en 2017, à lutter, non pas contre le système, mais contre le fasciste du moment que leur désigne … le système. Sans même relever leur confusion permanente entre « fasciste » et « nazi », conséquence d’une culture politique aussi étendue qu’un micropénis après une douche froide ; devant la nazification de tout autoritarisme qui n’est pas le leur ainsi que leur incapacité à voir celui qu’ils ont sous le nez, on finit par se dire que Francis Galton, l’inventeur du concept d’eugénisme, mériterait autant sa place au panthéon qu’un cercueil vide avec l’étiquette « Joséphine Baker » dessus. 

Le pire c’est que toute cette excitation relève de la croyance que l’élection est autre chose qu’un spectacle et que les dés ne sont pas pipés avec le même enthousiasme que le protagoniste masculin d’un roman de Marlène Schiappa. La république, terme qui, je le rappelle, désigne aussi bien des républiques islamiques que la république populaire de Corée du Nord, est, à mes oreilles, comme « congénital », un mot valise, aucunement synonyme avec la France qu’elle parasite, camouflant derrière ses valeurs fumeuses un système mafieux de corruption généralisée à la botte d’intérêts oligarchiques, financiers, idéologiques et communautaires diamétralement opposés aux intérêts du plus grand nombre.

Contrairement à la belote, la pantomime électorale est organisée par ce système, avec les règles du jeu du système, lesquelles évoluent, parfois même en cours de partie, en fonction des besoins du système lequel décidera au dernier moment s’il faut un pass ou non, si on peut prendre le train pour aller voter et autres ajustements mineurs. Les candidats sont sélectionnés par le système (au moyen, entre autres, des fameuses 500 signatures) et uniquement parmi ceux qui adhèrent au système en validant la république. Leur notoriété sera assurée par les médias du système (qui en parleront en bien, en mal - ou pire, pas du tout) et leur crédibilité, par les sondages du système dans les fromages desquels Macron reste figé à 25% de matière électorale au premier tour. Des candidats, par ailleurs financés par les banques du système et dont les frais seront éventuellement remboursés par l’état du système lequel décomptera gentiment les votes avec une rigueur qu’envierait même la partie la plus intime de Rocco Siffredi ; d’autant qu’un certain nombre de machines à voter, dotées de connexions wifi et de ports forcément pas trés Halal qu'il s'agisse d'USB ou de rj45, sont déjà en place et que l’on cherche à favoriser le vote à distance au prétexte de la pandémie. En parallèle, ce qui peut (ou pas) être dit est déterminé par les lois à géométrie variable et les juges du système, et la violence n’est autorisée que dans le sens du système avec l’appui de la police du système. 

Le tout face à des électeurs ayant subi des décennies de broyage idéologique, médiatique et pédagogique par la machine à fabriquer des cons du système et dont une partie est déjà, de toutes façons, largement remplacée par des allogènes meilleur marché importés par le système. Certes, impossible n’est pas Français, mais suivre ce chemin pour espérer changer le système, c’est un peu comme ce qu’il y a, ou non, entre les jambes de Michelle Obama ou de Brigitte Macron : j’ai comme un doute. 

Certains m’objecteront : « Oui, mais Hitler a quand-même été élu ! ». Cet argument massue justifie, à leurs yeux, la nécessité impérative pour tout gauchiste qui se respecte, de lutter, non pas, encore une fois, contre le système (lequel souvent subventionne sa connerie), mais contre la peste brune du moment désignée par le système, comme je l’ai déjà dit. Ce raisonnement part du postulat, aussi naïf qu’une stagiaire à forte poitrine postulant pour un emploi de secrétariat auprès de Gérald Darmanin avec un appareil dentaire, que les élections se gagnent par les urnes alors qu’elles se gagnent par le rapport de force. En fait si Hitler a été autant diabolisé, c’est moins pour ce qu’il a fait (la connerie ambiante m’obligeant à préciser que non, je ne minimise pas) que parce qu’il a trouvé la martingale pour biaiser le système (un des deux « i » étant facultatif) ; système qui, à l’époque, n’était pas aussi omnipotent qu’aujourd’hui et qui a appris de ses erreurs. 

Pour espérer biaiser le système il faut : 1) imposer une doctrine forte par un discours radical qu’on est capable d’incarner (raison d’être, depuis, des lois liberticides pour limiter la liberté de parole), 2) prendre la rue. (Ses militants y défilaient en uniforme et avaient mâté l’opposition communiste de l’époque pourtant pas constituée de Bisounours, tout ce petit monde ayant fait la guerre de 14). C’est notamment pour empêcher cela que sont protégées les milices antifa (que l’acide darmanique ne dissoudra jamais car elles gardent la rue pour le système) et qu’Internet, sorte de rue virtuelle, mais qui ne saurait s’y substituer, sauf lorsqu’il fait la promotion de l’idéologie LGBT auprès des élèves de maternelle supérieure, est aussi censuré qu’une minijupe, même portée en niqab, dans une mosquée, qu’elle soit salafiste ou non. Une fois qu’on a démontré aux moutons qu’on est les plus forts idéologiquement et les plus fort physiquement, bref qu’on a constitué le centre de gravité, il suffit de laisser faire les lois de l’attraction et gagner l’élection devient possible. 

C’est un peu ce que fait Macron avec un discours radical sur le covid et la vaccination tout en tenant la rue à coup de LBD, de matraque et de gaz toxiques. Faute d’une autre force d’attraction concurrente, les caprins suivent avec reconnaissance, certains (convaincus à tort de faire partie de la classe dirigeante) atteignant une forme d’orgasme lorsqu’on mate ce qu’ils considèrent comme la populace et qu’ils sont, pourtant, à un licenciement ou un tsunami financier, de rejoindre. 

Si on joue au jeu démocratique, il faut intégrer ce qu’implique la démocratie lorsqu’un pays comporte une majorité de cons. On m’objectera qu’on est tous le con de quelqu’un, que la connerie n’a pas forcément à voir avec l’intelligence et que, par ailleurs, il y a des cons y compris chez ceux qui votent bien, mais pour de mauvaises raisons, ce qui équilibre un peu les choses. La connerie peut en effet être subjective, provisoire et guérissable surtout quand elle est consécutive à une désinformation d’état, mais elle se combine généralement à la crétinerie qui elle est objective, sans malheureusement empêcher d’être ministre et, hélas, permanente. Tous les cons ne sont pas des crétins, mais tous les crétins sont des cons. Le crétin est le produit de l’abrutissement institutionnalisé des masses (y compris par la malbouffe, les drogues et divers produits pharmaceutiques), d’une immigration non sélectionnée et du fait que ceux qui réfléchissent le moins sont généralement ceux qui font le plus d’enfants alors même que la sélection naturelle (en raison d’une médecine qui a tout fait pour faire exploser la population mondiale et particulièrement Africaine) n’est plus là pour les freiner, nous conduisant, inexorablement, vers l’idiocratie par la simple loi des mathématiques, les chiens faisant rarement des chats.

Un crétin qui soit n’a pas l’intelligence suffisante pour développer un raisonnement rationnel avec 300 mots de vocabulaire et 10 emojis, soit a vu ses capacités de raisonnement sabotées, perverties ou altérées au-delà du réparable, soit enfin, est affligé d’un égoïsme à la vue courte qui le rend imperméable à la notion d’intérêt général bien comprise. Comme l’avait remarqué Bossuet, une de ses caractéristiques est de déplorer les effets dont il chérit les causes. Par ailleurs même lorsqu’il admet un problème, plus on se rapproche du principe fondamental qui le sous-tend, plus il refuse d’agir. Par exemple, il y a un consensus mou sur l’immigration, le Français ayant été sensibilisé par la révolution à la distinction subtile entre « ne pas avoir la tête sur les épaules » et « ne PLUS avoir la tête sur les épaules » et appréciant moyennement qu’on vienne faire de l’appropriation culturelle chez lui. Le principe qui sous-tend ledit problème c’est la frontière. La frontière, réduite à sa plus simple expression, c’est : « je trace un trait dans le sable et si tu le franchis sans mon consentement, je te tue ! ». Accepter la frontière c’est accepter ce principe de base qui est la dernière extrémité jusqu’où on doit être prêts à aller pour que tout ce que l’on bâtit dessus (pays, nation) soit viable. Ce n’est bien sûr ni un objectif, ni une fin en soi et généralement on espère que, face à des gens intelligents, cette seule affirmation sera suffisamment dissuasive pour ne pas avoir à passer aux actes.

Or on constate que plus on se rapproche, même verbalement, du principe, plus les gens quittent le navire. Déjà rien que de parler de traiter les étrangers différemment, on perd du monde, parler de les ramener chez eux, encore plus, parler d’utiliser la force en cas de refus, il ne reste plus grand monde, et si l’on dit que les renvoyer chez eux par la porte ne sert à rien s’ils peuvent revenir par la fenêtre et que, tant qu’il y aura un différentiel sensible de niveau de vie et d’opportunités pour réussir ladite vie et que, si les pays voisins durcissent aussi leur politique annulant l’effet dissuasif de nos propres restrictions destinées, ne soyons pas hypocrites, à les encourager à plutôt aller emmerder les autres, la seule chose efficace sera, non pas le risque, mais la certitude de mourir s’ils n’obtempèrent pas, bien que cette règle de base ait été mise en pratique par l’ensemble de l’humanité pendant des millénaires et soit toujours pratiquée ailleurs dans le Monde, aujourd’hui, si on dit ça dans une pseudo démocratie occidentale, on se retrouve tout seul au fond d’une cellule capitonnée tandis que des Mélenchon appellent tranquillement à la créolisation. Le crétin veut le beurre et les fesses de la beurette et même si la gangrène est à un stade avancé, il choisira toujours celui qui lui promet que tout va s’arranger avec un peu de déodorant et deux suppositoires à celui qui lui parle d’amputation.

 A ce stade, même pas sûr que l’amputation nous sauve, à admettre qu’elle soit possible contre la volonté du patient, sachant qu’une démocratie viable ne sera plus envisageable avant plusieurs décennies à condition de prendre, dès maintenant, des mesures drastiques afin qu’émerge une nouvelle génération non suicidaire capable de logique et d’objectivité. Pour gagner une élection dans une démocratie où les cons sont majoritaires, il faut donc mentir. Pour gagner une élection dans l’idée de sauver le pays, il faut en plus le faire tout en gardant un discours radical pour constituer ce noyau dur sans lequel rien n’est possible (notamment la mise en place ultérieure des mesures annoncées) et ce, sans trop effrayer les autres. On ne peut donc pas être radical sur tout sachant que le bon sens fait fuir les cons et que les répulsions se cumulent. Donc s’appesantir en plus sur des thèmes pour lesquels il n’y a même pas un consensus mou tels le Frexit ou les incohérences de la politique vaccinale, si cela reste utile dans une vision métapolitique dans le but d’influencer l’opinion, en matière électorale, dans un pays de zombies, cela revient hélas à un suicide politique, comme refusent de le constater des Asselineau et autres Phillipot. 

Pour l’instant, chose que n’a jamais comprise Marine Le Pen, cela à beau sembler contre-intuitif, Zemmour a la bonne tactique en portant des coups de butoir sérieux contre la première muraille du système : la limitation de la liberté d’expression et c’est le seul, dans l’arène politique, qui a ce courage et ce, depuis plusieurs décennies. En effet, même Le Pen père lui-même, a été plus louvoyant, faute de bénéficier d’un joker sur l’antisémitisme. Pour autant, garder le discours radical indispensable relève d’une délicate alchimie et la reculade récente dudit Zemmour chez Bourdin sur la loi Gayssot, dont l’abrogation semble désormais conditionnée aux conclusions d’un débat d’historiens, démontre soit qu’il n’a pas encore trouvé ses marques soit qu’il est partagé entre plusieurs allégeances, suspicion qu’il ne peut pas se permettre de laisser peser trop longtemps sur ses épaules. Et il est vrai que sans tomber dans un purisme, suicidaire électoralement, même face au vide castanérien de ses concurrents, la candidature de Zemmour soulève des questionnements parfaitement justifiés. 

En effet, ce n’est pas parce que c’est Zemmour ou le néant qu’il faut tomber dans le travers de faire n’importe quoi plutôt que de ne rien faire. Quand on a une vis à enfoncer et seulement un marteau sous la main, il vaut mieux attendre la perceuse, la cheville et le tournevis plutôt que de tordre la vis, abîmer la tête, bouziller le filetage et esquinter le mur (sans compter les coups sur les doigts, voire ailleurs si vraiment on vise mal). C’est un peu ce qui s’est passé avec le pseudo-vaccin, à la différence près que, pfizer de rien, on a subrepticement jeté la caisse à outils pour ne garder que le marteau. Il est clair que si Zemmour perd, tout ce qu’on aura eu l’illusion de gagner, grâce à lui, en termes de liberté d’expression, le temps d’une campagne, confondant SA liberté d’expression avec la nôtre, nous reviendra à la gueule comme un élastique, sachant que le jovial et débonnaire Jérôme Bourbon, de Rivarol, vient d’être condamné pour avoir pourtant dit exactement la même chose que Zemmour sur Pétain et que, quel que soit le candidat du système élu, si c’est quelqu’un d’autre qui passe (Marine La Purge incluse) la vis va être serrée d’une façon à peine imaginable à ce jour, d’autant que beaucoup de langues se seront naïvement déliées dévoilant de nouvelles cibles. 

C’est vrai que pour ce qui est d’être capable d’incarner un discours radical, on peut déplorer que sur 65 millions d’habitants le sauveur autoproclamé de la France ressemble à Éric Zemmour plutôt qu’à Vercingétorix et se demander pourquoi. Pour autant, cela ne suffit pas pour douter de sa sincérité. Comment les mêmes qui ne doutent pas, jusqu’à en faire leur fonds de commerce, qu’un petit brun moustachu Autrichien ait pu défendre la race Aryenne en Allemagne, avec ladite sincérité ne pourraient-ils pas admettre qu’un petit Juif Berbère d’Algérie, tel qu’il se désigne lui-même, puisse être sincère dans sa défense des Français ? En revanche quand on prône l’assimilation, chose qui, dans une France devenue tellement merdique que même les Français de souche n’ont plus envie de s’y assimiler et qui, sur ce point au moins, justifie la réticence de certains allogènes lesquels, tant qu’on n’a pas clarifié la différence entre la France et la République, attendent qu’on leur explique à quoi ils sont supposés s’assimiler au juste, la moindre des choses c’est de montrer l’exemple. Or, le bonhomme est marié dans sa communauté, a élevé ses enfants selon les préceptes de ladite communauté et une grande partie de son staff de campagne en fait également partie dont sa très proche conseillère dont certains tabloïdes révèlent qu’elle porterait un enfant dont les jours du prépuce, si c’est un garçon, sont certainement déjà comptés. 

C’est d’autant plus problématique qu’une des causes au fait qu’il n’y ait pas de Vercingétorix en France, faute de couverture médiatique et impartiale suffisante pour en faire un candidat sérieux (le système ne tolérant au mieux pour nous représenter que des ersatz dévirilisés - soit des femmes, des gays ou des métrosexuels) n’est pas étranger à l’activisme d’une partie de cette même communauté, que Zemmour commence, par ailleurs, à chatouiller un peu, ce qui est à mettre à son crédit. Une petite fraction communautaire consciente que lorsqu’on parle de nationalisme se pose la question de savoir qui est Français et donc, forcément, qui ne l’est pas. Dès lors, cette frange, heureusement non représentative, qui se revendique elle-même comme différente et supérieure aux autochtones, a tendance à craindre, allez savoir pourquoi, que ce type d’attitude, qui n’est pas celle de Zemmour, il faut bien le reconnaître, soit mal perçue par certains, d’où la panique à l’idée que la réponse puisse être de même nature, en France, que dans la totalité des pays dans lesquels cette question s’est posée au fil des siècles (quelques licences ayant visiblement été prises par rapport aux engagements de ladite communauté envers un petit Corse tout aussi éloigné de Vercingétorix, engagements que Zemmour ne cesse de rappeler).

Le dernier spécimen de Gaulois nationaliste qu’on ait eu était Jean-Marie Le Pen qui, au final, s’est avéré être le menhir plutôt qu’Obélix et, plutôt que la France, a préféré défendre le business familial et l’orgueil népotique en imposant Bonnemine au lieu d’Astérix à la tête de son mouvement. Une Bonnemine qui l’a poignardé dans le dos, a renoncé à tout et n’a gardé que le nom, lequel perd une partie de sa force en l’absence d’un discours adéquat et radical. N’ayant même pas anticipé que ce vide énorme qu’elle laissait serait fatalement occupé par quelqu’un d’autre, ce qui montre l’acuité de son instinct politique, et comptant sur le fait que, faute de choix, les radicaux lui étaient acquis, même en leur crachant dessus, elle s’est concentrée sur son recentrage, son ambition étant juste d’aller au deuxième tour, de garder son électorat captif et de continuer à vivre de ses rentes. Désormais, elle veut juste arriver avant Zemmour, quitte à ce qu’aucun des deux ne soit au second tour, ce qui lui évitera de se ridiculiser une seconde fois, tout en faisant porter le chapeau de l’échec à quelqu’un d’autre et lui permettra ainsi de prolonger la plaisanterie jusqu’en 2027. 

Certes le système a placé quelques pions autour de Zemmour, au cas où. Par ailleurs, ledit Zemmour, comme l’ensemble des autres candidats, ce qui en dit long sur l’influence de la Banque, ne parle pas de séparer les banques de dépôt des banques d’affaires et il semble adhérer maladroitement aux principes économiques absurdes qui justifient l’augmentation de l’âge de la retraite et l’acceptation de la logique de la dette sans l’adhésion auxquels on ne l’aurait même pas laissé se présenter. Pour autant, il est clair, devant une hystérie inégalée depuis le choc de 2002, que, nonobstant une mise en scène bien rodée, l’option Zemmour reste, pour ledit système, le pire des scénarios et qu’il s’étranglerait si, d’aventure, ce dernier sortait de son rôle d’épouvantail destiné à faire élire Macron et à repolariser l’opinion dans un clivage Gauche-droite préférable au dangereux « peuple contre oligarchie » et remportait l’élection. D’autant que Zemmour, plus clivant, ne pourra pas se contenter de faire du Macron et de mâter la révolte sociale inévitable qui se profile en tapant sur la population spécifique qu’il prétend défendre, majoritaire chez les Gilets Jaunes, et qu’il devra donc faire des concessions qui ne vont pas dans l’intérêt du système. 

Après, si le système a pu éjecter Trump de façon outrancière alors même qu’il n’était absolument pas subversif sur les fondamentaux, on peut se demander : « Zemmour (dont je pense qu’il est sincère, au moins sur son amour de la France) c’est combien de divisions face à tout ce que l’on va agiter contre lui et dont on a eu un échantillon à son premier meeting ? » Mais ça reste un débat pour plus tard. 

Donc en conclusion, si une météo clémente ce jour-là fait que je participe à la farce électorale, face à une gauche inexistante vidée de toute substance, un Macron qui transforme 1984 en utopie tout en endettant nos arrière-arrière-arrière (puissance 10) petits-enfants qui le maudiront 5 fois par jour en faisant la prière, Walkyrie Traîtresse, la botoxée à vendre des républicains qui est la seule capable de faire encore pire et la peroxydée éleveuse de chats qui ne s’oppose que pendant les heures ouvrables, hors jours fériés et congés payés, sachant que la France agonisante a besoin d’un électrochoc et que, j’ai beau scruter l’horizon, je ne vois ni perceuse, ni tournevis ou chevilles (à part certaines particulièrement enflées), mais au contraire que mollesse, intellectualisme pantouflard et droit-de-l’hommisme, à cet instant T, pour moi, perdu pour perdu, ce sera le marteau (au moins ça défoule), d’autant que le ralliement de Philippe de Villiers, s’il n’y a pas trop de vent, fait un excellent avant-trou. 

Joyeux sapinicide aux écolos et, avec un peu d’avance, joyeux Noël à tous les autres.

dimanche 28 novembre 2021

Le diner du CRIIF. Parodie satirique.(29 nov.2021)

  Transcription de ma vidéo sur Youtube : https://youtu.be/sYXzVBRkA_A


Bonjour ! 

Pour ceux qui nous prennent en vol, façon Nicolas Hulot faisant crier OUCH ! OUH ! AIE! AAAH ! à des jeunes femmes dans son hélicoptère, nous sommes en direct depuis le diner annuel du CRIIF (conseil représentatif des Insectes Invertis de France) où les gras et (pour ceux qui ont encore des cheveux) les teints des médias et de la politique (certains diront le gratin) se retrouvent pour crier haut et fort qu’ils ne sont ni antimites ni antilopes. 

On me signale que Jean Castex, est excusé car cas contact. Je pense que, dans son cas, on peut enlever le tact car il n’en a pas beaucoup. Il semblerait qu’il y ait un peu d’agitation à la table de Sandrine Rousseau. On m’informe que son homme déconstruit aurait été percuté par la fesse droite de Marlène Schiappa, pourtant assise deux tables plus loin, et les morceaux se seraient éparpillés sur le sol. Sandrine rousseau, qui a visiblement l’habitude, est en train de le reconstituer, semble-t-il, avec un rouleau de scotch. Il semble que, dans la précipitation, elle ait oublié un morceau au milieu de l’allée. Je ne peux malheureusement pas répéter de quel morceau il s’agit à une heure de grande écoute, mais sachez que c’est Florian Philippot et François Asselineau qui, confondant rendre service et « trop aider », habitués à avoir des membres en commun pour avoir le même programme, se précipitent, hélas en même temps, avec enthousiasme, pour le ramasser. Ouh-là-là, leurs têtes se percutent avec un bruit caractéristique d'énarques et, tandis qu’ils se battent à coup d’article 50, le morceau retombe par terre et c’est finalement Gabriel Attal qui le récupère dans sa gueule. Se rappelant qu’il a été un temps rapporteur pour le gouvernement, il se précipite à présent, en remuant la queue, vers Emmanuel Macron auprès de qui il le dépose. Un Emmanuel Macron qui le met dans sa poche, refusant visiblement de le rendre. C’est un spectacle hallucinant, Mesdames, Messieurs… et les autres. 

Brigitte Macron, visiblement vexée, lui crie : « Chéri tu as le même à la maison ! », avant, en désespoir de cause, de lui tendre un nuancier Leroy-Merlin et, réalisant que l’objet oblong en question est finalement un peu trop pâle à son goût, le président se décide enfin à le renvoyer à Sandrine Rousseau en le lui lançant par-dessus les tables. Visiblement moins doué pour le basket que pour le football, il manque son coup et la chose atterrit dans la soupière au milieu de la table où sont assis les républicains, grands amateurs de soupe. Oh, mon Dieu! N’ayant rien remarqué, Valérie Pécresse se sert une louche et, habituée aux couleuvres, avale le contenu d’un bloc, malheureusement de travers. Réalisant sa bévue, elle essaie de cracher, complètement paniquée. Xavier Bertrand, maîtrisant bien la technique, la frappe dans le dos pour l’aider, tandis que Michel Barnier s’assied carrément dessus comme sur une promesse électorale. Éric Ciotti, la voyant devenir noire, faute d’oxygène, lui assène convulsivement des coups de pied tandis que Phillipe Juvin calcule ses chances de survie sur son smartphone et que Renault Muselier, ne sachant plus quoi faire, démissionne. 

Heureusement, Éric Zemmour, qui passait par là, guère épais, pour citer Tolstoï, parvient à se faufiler pour tirer du jeu, ce qui est certainement plus gros que son épingle et sauver la situation. Après un long discours pour expliquer pourquoi c’est la faute à l’islam, il rend la pièce manquante à Sandrine Rousseau qui avoue qu’effectivement, cette partie spécifique provient d’un terroriste Afghan qu’elle a importé pour mieux le surveiller. Que d’émotions chers auditeurs. Un Éric Zemmour qui, par ailleurs, demande à ce qu’on lui remplace son steak au prétexte qu’il était à point. 

Tandis que le calme revient, on peut apercevoir un serveur courant pour transporter des tubes d’aspirine à la table d’Anne Hidalgo qui explique aux autres convives le rapport entre l’antisémitisme et le réchauffement climatique. Yannick Jadot, après deux tubes, réalise qu’effectivement, avec juste des éoliennes, Hitler n’aurait pas pu alimenter ses fours. Éric Dupont Moretti, constatant qu’à cette table ils sont tous bien socialos, s’éloigne précipitamment de peur d’être accusé, en plus du reste, d’abus de bien socialos. Gérald Darmanin, quant à lui semble avoir du mal à dissoudre lesdits cachets d’aspirine. Après un instant de réflexion, il déplace finalement son verre, réalisant que, comme tout le monde l’a remarqué à son sujet, il dissout mieux à droite. Un Gérald Darmanin par ailleurs occupé à rédiger une annonce sur le bon coin avec son smartphone. J’ai un peu de mal à lire, mais il semblerait que l’intitulé soit : « Echange coup de piston contre… coup de piston ». 

Barabara Pompili est venue également, accompagnée d’Elie Sémoun qui se dit qu’à une lettre près c’est jouable. Manuel Valls vient de faire son entrée. Il cherche une main à serrer. Il repart. Marine le Pen, un peu isolée, elle aussi, arbore un T-Shirt : « l’islam est compatible avec la république » assorti d’une robe mi-longue, sans bas, consciente que, pour elle, des bas c’est dangereux et que, à l’instar d’Alice Coffin, elle ferait mieux de donner littéralement et définitivement sa langue aux chats, ceux qu’elle élève dans son cas. On aperçoit également, dans le fond, Arnaud Montebourg, avec un individu mystérieux, peut-être ce fameux « Raymond Tada » dont il parle tout le temps. 

On me signale que Jean Lassalle fait un esclandre à l’entrée devant le prix du repas. Sans lunettes, il avait lu « pas cher » sur le carton d’invitation. Philippe Poutou quant à lui, fidèle à son patronyme, essaie désespérément d’embrasser Emmanuel Macron, confondant taille moyenne et mi-grand. Jean-Luc Mélenchon, lui aussi très impliqué dans la créolisation du pays, s’est complètement arsouillé au Rhum Negrita et, se croyant dans le bus hurle : « l’arrêt république c’est chez moi », phrase que beaucoup ont mal interprétée par le passé. Laeticia Avia, quant à elle, a préféré amener discrètement son casse-croûte dans un gros sac dans lequel elle mord régulièrement. Par ailleurs on me signale qu’un taxi abandonné bloque l’entrée du restaurant, le chauffeur ayant mystérieusement disparu. 

J’aperçois Olivier Véran, passablement éméché, lui aussi, préférant visiblement être dans un état rond que dans un état long, probablement parce que les étalons ont les mors aux dents alors qu’il les a sur la conscience. Un olivier Véran qui a tombé la chemise et fait le tour des tables pour faire tâter son biceps, ne s’arrêtant, de temps en temps, que pour vacciner une femme enceinte. Marlène Schiappa l’encourage à vacciner 2 enceintes à la fois pour lutter contre les « stéréo » types. 

On aperçoit également Albert Bourla le PDG de Pfizer arborant, lui aussi, un splendide T-Shirt. (Il fait très chaud dans la salle). Il semblerait que soit floqué, sur le devant, le mot « MOI » en gros caractères, mais je ne saurais être affirmatif car Claude Posternak, l’homme au « Qui ? Qui ? » circonscrit, écarte les bras devant. Visiblement pour qu’on ne voie pas. Un Bourla (à ne pas confondre avec « Bourre-là », pulsion à laquelle a succombé à plusieurs reprises Nicolas Hulot) en grande discussion avec la presse quant au nom le plus effrayant possible à donner au prochain variant. Après quelques hésitations, Mégatron étant déjà pris et pouvant rendre non « Decepticon », mais même « des cons, sceptiques », on s’orienterait, semble-t-il, vers Omicron. Le chien de Monsieur Bourla, visiblement perturbé par l’agitation, fait mine de s’échapper en direction de la sortie. « Thrombose, au pied ! » Fort heureusement, son maître l’a rappelé, comme vous avez pu l’entendre. Un chien très obéissant. Par contre, la moitié de la salle est à 4 pattes. 

Du coup, j’aperçois Christophe Barbier, euphorique, qui exige que l’on aille frapper chez les non-vaccinés, le « chez » étant facultatif, provoquant une érection chez Emmanuel LechyBre, euh, Lechypre. Leur joie fait plaisir à voir et ils se tapent sur l’épaule, d’où l’expression popularisée dans les années 40 et qui leur va très bien : « les gais se tapent haut. » Juste à côté un certain nombre de médecins de plateau TV partagent convivialement un succulent ragout. A non, au temps pour moi ! J’ai mal lu. Ce n’est pas du ragoût mais du Raoult, arrosé d’un pichet de vin. Pardon, désolé, nouvelle erreur de ma part, il s’agirait en fait d’un pot de vin. Je vois Martin Blachier qui tourne sur place. Quelqu’un pourrait-il fermer la fenêtre? Il y a du vent. Merci. Même lui se demande apparemment comment justifier sur les ondes la poursuite de la politique sanitaire sachant que le nombre croissant de ministres et de personnalités (supposément doublement vaccinées) qui attrapent la maladie, confirme ce que l’on savait déjà : le vaccin, pas plus que la cocaïne, n’empêchent de contracter le covid ou de le transmettre. Il n’empêche pas non plus les formes graves. Ah, désolé ! Nos fact checkers, me corrigent à l’instant : Jean Castex aurait toujours été comme cela. 

Certes, on a retrouvé la vie d’avant comme promis : le confinement comme pendant le moyen-âge, les couvre-feu et l’Ausweis, comme sous l’occupation ; l’Australie met même en place des camps comme à l’époque de l’Union Soviétique, mais je n’avais pas compris ça comme cela. Il semblerait que les nouvelles restrictions, comme les strates administratives, n’annulent jamais les précédentes : les Autrichiens multi vaccinés ont à la fois le masque, le pass et le confinement, tandis que la France en est à la troisième dose et Israël, où la quasi-totalité de la population est vaccinée, à la quatrième. A ce rythme, on va bientôt être à court de non-vaccinés à désigner du doigt pour expliquer aux naïfs pourquoi le bout du tunnel n’est toujours pas visible et que, si la vaccination n’a pas marché, c’est qu’il n’y en a pas assez. J’aperçois Greta Thunberg qui passe entre les tables pour récolter des fonds terrestres pour la préservation des fonds marins en finançant… des cours de natation pour migrants. Migrants dont certains des pays d’origine s’en sortent mieux que nous sans ce produit expérimental qu’on a rebaptisé vaccin et dont la létalité est supérieure à l’ensemble cumulé de tous les autres depuis leur invention. 

En voyant tout ce beau monde bâfrer tranquillement, je ne peux m’empêcher de penser qu’ils ne sont pas plus inquiets que ça et qu’une épidémie de cas, détectés avec des tests PCR (non fiables dans cette utilisation, selon leur concepteur même) ne veut pas forcément dire que les gens sont malades. Par ailleurs, ce virus, pour lequel on a explosé la dette, sacrifié nos libertés et injecté à des enfants des OVNIs (Objet vaccinaux non identifiés) plus sélectif qu’une simple grippe (qui elle s’attaque à tout le monde) ne tue, depuis le départ, qu’un peu plus de zéro virgule 0 pour cent de la population, très majoritairement (même avec le delta) parmi les gens en fin de vie et (ou) avec des comorbidités. Du coup, j’ai quand-même un peu l’impression qu’on nous prend pour des c… Excusez-moi un instant. Oui, OK ! On me signale que je dois rendre l’antenne… et que je suis viré.

mardi 16 novembre 2021

MACRON, enfin pubère, annonce que tout va bien en FRANCE...(16 nov. 2021)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube : https://youtu.be/xtBaiSLFCl0

 Bonjour, 

On savait que Macron était timbré, maintenant on sait qu’il est timbré grave. En effet, si l’on se fie à sa voix à la Dark Vador lors de sa dernière allocution, soit son ectopie testiculaire est guérie, soit il est enfin sorti de la puberté. Un pubère, il fallait bien ça contre un « pus berbère », diront ceux qui, faute d’arguments, comparent médiatiquement Zemmour à une infection ou un virus à éradiquer. Quoiqu’il en soit, cette intervention est tombée à point pour ceux qui, comme moi, victimes d’un sentiment d’insécurité, d’une impression d’inflation galopante, d’une sensation de limitation de mes libertés individuelles et de l’illusion de l’implosion de la dette, ne se rendaient pas compte d’à quel point tout va bien en France. 

Devant cette divine surprise, à faire pâlir un certain maréchal, je suis resté aussi esbaudi qu’après un hypothétique débat « Le Pen - Hidalgo » sur la physique quantique, même si la première, éleveuse de chats, aurait un petit avantage conceptuel sur l’éleveuse de rats, grâce au chat de Schrödinger dont, comme le sien, nul ne sait s’il est mort ou vivant. Combien de gens prêts à sauter du 10ème étage et à rejoindre le paradis faute de savoir qu’ils y étaient déjà, ont été sauvés in extrémis par ce discours optimiste et la réalisation que la bouteille dans leur rectum n’était pas à moitié vide, mais à moitié pleine et, qu’à l’inverse, ledit rectum n’était pas à moitié plein, mais à moitié vide. Dire qu’il ne nous manque plus qu’à installer 3 minicentrales et à mettre enfin au boulot ces fainéants de chômeurs qui refusent le plein emploi (le port du masque n’empêchant pas de traverser la rue) pour que le paradis sur terre soit à notre portée. Mais, si, mais, si, diront (en un seul mot) les mystiques aux incrédules peu convaincus par le spectacle d’enfants masqués et piquouzés auxquels on apprend l’alphabet en commençant par LGBT.

Victime des fake news et du complotisme, je n’étais même pas au courant de toutes ces bonnes nouvelles, moi qui, faute d’alternative, devant mon ressenti de pénurie énergétique imminente, m’apprêtais à couper le bras de ma statuette de Napoléon, seule possibilité pour avoir un Bonaparte manchot cet hiver. Que penser dès lors de tous ces ingrats, des Gilets-Jaunes aux anti-pass, qui se sont donné le mot pour pourrir à l’aimant à baffes et à œufs la quasi-totalité de son mandat alors que, selon ses propres dires, il a tant fait pour nous. Comment osent-ils conspuer cet homme qui, tel Jésus sur la croix, ou un contribuable lambda, a tout donné à la France?

Notre protection lui tient tellement à cœur qu’il nous a confinés et transformés en porcs-épics, alors qu’il n’était même pas obligé puisque, on vient de l’apprendre par la presse mainstream, au plus fort de l’épidémie, en 2020, les cas covid n’ont représenté que 5% des admissions en réanimation, une partie de ces admissions étant en outre liée au fait que le modus operandi, contrairement à Marlène Schiappa, était en cours de rodage. De même, le chiffre de 2% seulement du total des hospitalisations pour le covid, lui aussi encore surévalué du fait du report d’une partie conséquente desdites hospitalisations pour un certain nombre d’autres pathologies moins médiatiques telles : le cancer de la prostate ou les insuffisances cardiaques. 

Véritable mère poule, même s’il est désormais de notoriété publique que le vaccin n’empêche pas la transmission et qu’on doit continuer d’appliquer les gestes barrières comme après la vie d’avant (pourtant promise par ledit vaccin) et que dans les pays moins vaccinés que nous et sans aucune restriction obligatoire (comme le Japon) les résultats sont bien meilleurs, Macron nous met quand même « En Marche » comminatoire vers la 3eme dose condition incontournable pour continuer à bénéficier du pass sanitaire, bientôt « pass vaccinal », indispensable pour l’accès permanent aux hôpitaux, cinémas et restaurants ; accès limité non par le virus, mais par… le gouvernement. Mais si, c’est logique ! En tout cas, son slogan de campagne est tout trouvé pour 2022 : « Merci, Macron ! ». 

Ne vous laissez pas abuser par ces histoires de Pfizergate et autres effets secondaires colportées par de vilains complotistes : ces injections expérimentales, pour lesquelles l’état a concédé une décharge complète de responsabilité aux fabricants et qui n’empêchent ni d’être contaminé ni de transmettre le virus, sont parfaitement sûres. C’est Olivier Véran qui l’assure, l’homme qui, tel l’enfant sortant du puits avec un polygraphe dans le cul, dit toujours la vérité. Si malgré tout vous êtes sceptiques, si vous êtes vacciné ou connaissez quelqu’un qui l’est, la prochaine fois que vous (ou lui) verrez votre médecin demandez-lui gentiment (car la médecine est devenue antiseptique) une prise de sang afin de mesurer les 5 marqueurs suivants : D-Dimères, CRP, CPK, Troponine et ferritine dont des niveaux élevés pourraient signifier que vous risquez d’avoir, dans les prochains jours, mois ou années, un sentiment de crise cardiaque ou d’embolie pulmonaire lequel n’aura rien à voir avec la vaccination. 

Comme c’est bientôt Noël on nous annonce la 5éme vague, non pas la vague migratoire non vaccinée qui se masse à la frontière polonaise, mais la vague de corona, grâce à laquelle on aura peut-être à la fois et à vie : les masques, le confinement, la vaccination trimestrielle, plus le médicament préventif (qui bouzille le foie, mais qui contrairement à l’ivermachin, se vendra très cher) annoncé par notre VRP élyséen. Si la réincarnation existe, je veux être réincarné en PDG de compagnie pharmaceutique. On ne réalise pas les sacrifices de notre président dont les symptômes allergiques aigus se manifestent à la seule vue d’un drapeau tricolore. Ce qui ne l’a pas empêché d’assister aux obsèques du dernier compagnon de la libération. Probablement parce qu’une mise en bière en vain (ce qui fait beaucoup d’alcool) aurait été dommage en période électorale. Un président, concluant lesdites obsèques par un discours obséquieux de circonstance, tout content, par anticipation, de pouvoir bientôt répandre son « en même temps » sur toute l’union Européenne dont il va enfin avoir la présidence. 

On me demande souvent : « mais qu’est-ce qu’on peut faire ? »

 Le système est ainsi fait que chaque fois qu’une action ayant un réel impact est mise en place, elle est aussitôt rendue illégale par une nouvelle loi, ce qui donne à réfléchir quant à l’efficacité des manifestations qui, elles ne le sont pas, illégales, pas plus que le droit de vote, comme l’avait judicieusement remarqué Coluche, motard pour le moins infortuné. Il est donc quelque peu naïf de chercher des pistes sur YouTube, soit parce qu’elles sont déjà illégales (auquel cas, si on laisse dire, c’est pour repérer les gens qui y adhèrent) soit parce qu’elles le deviendraient immédiatement avant même qu’un petit malin ait pu les utiliser. Autant on laisse filer la criminalité de voie de faits qui ne présente aucune menace directe pour le pouvoir en place (et l’aide à tétaniser la partie de la population qui vote pour lui tout en dégoûtant les autres des urnes) autant les mouvements de langues autres que l’anulingus sont impitoyablement sanctionnés quand ils déplacent trop d’air et des ressources importantes sont déployées pour écouter, surveiller et infiltrer tout collectif sérieux qui se mettrait en place, la leçon des gilets Jaunes ayant été bien retenue. Cela ne laisse plus guère aux plus énervés que l’exutoire d’un sabotage de bas niveau, façon guerre asymétrique, comme on a pu le voir avec les radars et autres. Sabotages d’initiative individuelle, qui ne sont pas coordonnés formellement, mais se répandent par imitation et vont, ironiquement, rejoindre les dégradations provoquées par certaines populations allogènes qui, de même que certains mouvements d’extrême gauche, pensent qu’une accélération du chaos est nécessaire à un changement de paradigme. 

Ce n’est généralement pas l’état d’esprit des nationalistes, motivés par l’intérêt général bien compris, et donc peu enclins à provoquer des destructions contre-intuitives, lesquelles (au départ, en tout cas) ne feraient qu’empirer les choses et leur vaudraient la réprobation du plus grand nombre, raison pour laquelle elles sont tolérées par le gouvernement tant que cela ne remet pas en cause trop profondément la puissance publique, façon barbecue de préfecture ou attaque de ministère au transpalette. En revanche, la hantise des politiques reste que quelqu’un de ce camp pousse le sens du sacrifice jusqu’à gratifier d’un peu plus qu’une baffe symbolique, le pantin du moment. Non que cela modifierait radicalement la donne, mais cela nuirait au retour sur investissement. Mais inutile de se voiler la face, la notion de sacrifice s’est virtualisée et la véritable question que se posent les résistants 2.0, c’est : qu’est-ce que je peux faire d’efficace qui ne me mette pas en danger ? La réponse est simple : rien. 

Certains me rétorqueront que s’agiter dans une chambre d’écho contribue, par capillarité, à répandre des idées, d’autant que l’écho, lui au moins réfléchit, et que l’approche didactique prépare l’avenir. Je crains que, même si la chose est louable et que, faute de mieux, je m’y adonne moi-même, la course contre la montre étant déjà bien engagée, on n’ait plus le temps d’essayer d’ouvrir les yeux de ceux qui croient que la police, laquelle arrive toujours après les faits, est là pour les protéger, sans réaliser que la seule protection efficace est une société cohérente ; cohérence détruite par les fondements même de la république et de ses prétendues valeurs. Les gens ont peur du chaos et on les manipule avec. Tant qu’ils pourront conserver une illusion de stabilité, non seulement ils ne feront rien, mais certains lutteront de toutes leurs forces contre ceux-là même qui essaient de faire quelque chose et ne bougeront qu’en situation de crise, quand il sera trop tard et que les choses vraiment importantes leur sauteront aux yeux comme le 45 fillette de Brigitte Macron et son ossature à la Michelle Obama, tandis que la gravité et les autres lois de la nature se rappelleront à leur bon souvenir. 

La gestion catastrophiste et catastrophique de la pandémie est moins liée à l’incapacité de nos dirigeants qu’à un désir, plus ou moins confus et désespéré, de provoquer un chaos contrôlé et progressif façon grenouille dans la casserole, plutôt que de subir le chaos inévitable qui s’annonce et qui rebattrait les cartes de façon imprévisible pour l’oligarchie en place. Certains m’objecteront que je balaie un peu vite l’élection, surtout en France, laquelle élit un roi dans une forme d’expiation tragi-comique. Election qui repose sur la croyance en l’arrivée cyclique d’un homme providentiel, pour nous sauver en exaltant notre force collective. 

Je ne dis pas qu’un homme providentiel est une impossibilité, mais pour que cela fonctionne, ce dernier doit non seulement bénéficier de circonstances exceptionnelles, s’imposer au peuple (le sauveur élu ça n’existe pas, surtout lorsque les cons ont le droit de vote) mais aussi avoir la possibilité de faire le ménage tout en étant assez puissant pour ne pas se faire éliminer. 

Si l’on prend le cas d’un Poutine, s’il a pu redresser la Russie (laquelle je le rappelle n’a pas de dette) c’est que, comme dans tous les pays communistes, la corruption était intérieure, le parti se suffisant à lui-même sur ce point, et les influences étrangères et financières encore mal implantées. Il a bénéficié d’une situation chaotique extrême qui a permis de faire passer au second plan le processus démocratique et provoqué un consensus pour que la situation s’améliore. Il a été mis en place par son prédécesseur qu’il tenait par les cojones pour l’avoir tiré d’une affaire scabreuse, contre la promesse d’une immunité pour ce dernier et avait la main sur le KGB, ce qui faisait qu’il pouvait facilement éliminer les problèmes tout en évitant de se faire trucider. Il avait donc les coudées franches, a pu travailler dans l’intérêt de la Russie, notamment en rebâtissant l’armée, en se servant des sanctions internationales pour renforcer tant le sentiment national que l’autonomie du pays (lequel avait déjà l’autonomie énergétique). Une fois les résultats obtenus et après avoir mis en avant une image virile (loin de Macron jouant au foot) en mettant au pas certains oligarques et en défendant les traditions, après avoir consolidé sa position en plaçant des hommes à lui un peu partout, il a pu alors renforcer le système démocratique, prenant le temps d’expliquer longuement son action pendant des conférences fleuves sans langue de bois, acquérant un soutien populaire qui ne s’est jamais démenti, en dépit du narratif de la presse occidentale. L’homme n’est certainement pas un saint, ses travers n’étant pas des travers saints, mais il a sauvé la Russie et l’a préparée pour le 21eme siècle, ce en quoi un saint aurait lamentablement échoué.

Comme je l’ai déjà dit, à ce jour, Zemmour est le moins pire sur le papier et avec la langue, mais même s’il était sincère et le fils putatif issu d’une union morganatique entre Napoléon et Jeanne d’Arc, voire un descendant de Louis 16 le « sire qu’on coupe » à défaut du « sire qu’on scie », face à l’état profond qui finance sa campagne, sauf à bénéficier d’une situation exceptionnellement chaotique, d’appuis de gens sincères infiltrés dans ledit état profond (ça existe) et qu’il soit piqué par une araignée radioactive, je doute qu’il soit en mesure de mettre en place les mesures radicales qui s’imposent (et qu’il évite dans ses discours) et puisse se maintenir au pouvoir pendant la trentaine d’années nécessaire pour que voit le jour une nouvelle génération capable de penser par elle-même et que crève celle, irrémédiablement perdue, de par des décennies de lavage de cerveau humaniste, rendu possible par l’affaiblissement moral résultant d’une abondance économique et d’un plein emploi éphémères couplés à un sentiment de culpabilité aussi artificiel que férocement entretenu par le business du victimaire. Des gens tout contents d’être prioritaires pour la troisième dose qui fera d’eux des centenaires et qui vont voter majoritairement pour Macron lequel les remerciera en ponctionnant leurs retraites dès le lendemain des élections.

 Concrètement la seule chose que l’on peut faire c’est de ne pas confondre réalisme et pessimisme et, sans pour autant déserter le terrain et cesser de semer des graines, plutôt que de gaspiller toutes nos forces dans les pièges énergivores qu’on nous tend ou de sombrer dans la dépression, se renforcer, se maintenir en forme et assurer ses positions en prévision des véritables combats qu’il faudra mener certainement plus tôt que certains ne le pensent. 

Merci pour votre écoute et votre soutien. N’oubliez pas de cliquer sur tous les trucs en bas et de vous abonner aussi sur mes autres plateformes, figurant en description, en prévision du couperet youtubesque qui tombera un jour où l’autre. A bientôt… j’espère.

lundi 8 novembre 2021

La féministe, les gauchistes et les élections. (08 Nov. 2021)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/imNEiX7buWY

 

 
Un être humain avec ovaires, amatrice de diversité 
Sortait de boite après 3 verres, titubant dans l’obscurité 
Un individu esseulé, que la presse nommera : « Jean-Pierre » 
Mineur migrant et isolé, d’un coup l’enrichit par derrière 
Attendrie de ses coups de poings, autant que par son triste sort 
Antiraciste, elle n’hurla point, féministe certes, mais sur les bords 
« C’est la faute au patriarcat, pas d’amalgame ! » - cogita-t-elle 
Lorsque son crâne se fracassa, dévoilant très peu de cervelle. 
 
L’homme était un récidiviste, connu de la maréchaussée 
Que quelque juge fort humaniste, avait laissé en liberté. 
Lecteur assidu de Voltaire, en quelques va-et-vient rageurs 
Il conclut promptement l’affaire : autre culture, autres mœurs. 
Elle gisait-là, la fesse à l’air, minijupe un brin ironique 
« Indépendante et forte et fière », lui répétait la république. 
République qui n’était pas là, faute de mâles blancs cis hétéros, 
Pour prévaloir sur la Charia ou imposer ses codes sociaux.
 
« Tout sauf Macron… mais pas Zemmour » diront pourtant certains couillons 
Bien qu’ayant lu les faits du jour, sans y voir de contradiction. 
C’est ce que le système espère, dans les deux cas c’est orchestré 
Banques de dépôt et banques d’affaires, aucun ne veut les séparer 
La retraite pas avant 100 ans, tout ça pour rembourser la dette 
Ceux qui leur donnent de l’argent, veulent un retour sur ce qu’ils prêtent 
Le système a choisi Macron, nous liquider, c’est sa mission 
Zemmour sert à faire peur aux cons, pour assurer son élection 
 
Le Z nous parle de la Nation, un peu moins de vaccination 
Lui préférant la natation, son assistante en immersion 
Macron a dit « venez m’chercher » … caché derrière des policiers 
Un éphèbe à la peau cuivrée, et le voilà émoustillé 
Les étrangers ça les excite, pas pour les mêmes raisons, ces deux 
Evitez donc de mettre trop vite, un lâche en rut avant l’hébreux.

samedi 23 octobre 2021

Le sombre avenir qui se prépare. Synthèse globale. (23 oct. 2021)

  Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/EQgfM3AsqqM

Bonjour !
Un des problèmes de l’humanité c’est que, tel un chauffeur de taxi à l’approche de Laetitia Avia, nous sommes calibrés pour réagir aux menaces immédiates lesquelles déclenchent, instinctivement, l’attaque, la fuite ou la sidération. Des réflexes auxquels nous devons la survie de notre espèce à des périodes où le féminisme et l’intersexualité n’étaient pas toujours ce qui était le plus prégnant face à un tigre à dents de sabre. En revanche, les menaces à long terme laissent notre cerveau reptilien aussi indifférent qu’un pickpocket dans un camp naturiste et ce d’autant plus que la plupart des menaces qu’on nous brandit sous le nez (façon prépuce circoncis devant une femme de chambre de Sofitel) nous ont été épargnées durant un petit million d’années. 
En dehors de quelque homo-erectus refoulé, nos ancêtres auraient été aussi perplexes que peu intéressés à décrypter les subtilités de positionnement, façon Kâma-Sûtra, entre un·e·des républicain·e·s metrosexuel·e·s de droite issu·e·s de la diversité, un·e·des républicain·e·s metrosexuel·e·s de gauche issu·e·s de la diversité et un·e·des républicain·e·s metrosexuel·e·s du centre issu·e·s de la diversité ainsi que tout·e·s leurs variant·e·s. Toujours est-il que cette indifférence physiologique face aux menaces distantes explique que l’on peut avoir peur de l’avion mais, à côté, tranquillement fumer, boire, voter écologiste, mettre n’importe quoi dans son assiette sans jeter un œil sur la composition, se laisser injecter des substances diverses et regarder passer les évènements comme une vache regarde un électeur LREM qui regarde passer les trains.
Tant qu’on pense qu’il reste suffisamment de culs-de-jatte entre nous et le lion (et qu’on a de bonnes chaussures) notre pseudo rationalité prend le relais, les problèmes sont classés chronologiquement au lieu de l’être en fonction de leur importance et le court-terme prend le pas sur le long-terme. Ce phénomène explique, en partie, que la souffrance de la « sous France » ne se traduise pas par l’avènement du mythe bien pratique de la révolution « populaire » laquelle impliquerait qu’un nombre suffisant se sente menacé, immédiatement, par la même chose, en même temps et qu’une foule en colère soit capable de stratégie, auquel cas, même si je ne nie pas leur utilité, en bons ochlocrates, on ne se contenterait pas, sur la durée, de pancartes dont on a coupé le « Qui Qui », brandies, en souriant, sur des airs de Balavoine. 
Cet état naturel d’insouciance perpétuelle entre deux décharges d’adrénaline salvatrices, fait qu’il faut tout un matraquage médiatique incessant, renforcé par le port d’un masque aussi pertinent qu’un encéphalogramme de Christophe Castaner, pour nous maintenir dans l’état de peur et de stress indispensable à la gouvernance des masses ; et ce d’autant plus que ladite gouvernance ne va pas dans le sens de l’intérêt général. Dans ce cas, elle s’appelle « tyrannie » et il n’y a pas de tyrannie sans esclavage, devenu, au fil du temps : « esclavage salarié » puis, dans sa version la plus aboutie : « esclavage numérique » fait de bits qui nous acculent. L’humanité tend de plus en plus vers la ruche 5G, mais l’homme, s’il peut avoir le bourdon, n’est pas une abeille, laquelle n’a pas besoin d’être une esclave pour produire du miel.
Que ce soit la peur des attentats, du covid, du réchauffement climatique ou de la peste brune zemmouro-lepenienne, ces terreurs merdiatiques sont soigneusement sélectionnées, en fonction d’intérêts qui ne sont pas les nôtres, parmi des centaines de problématiques à fort potentiel flippant, mais dont tout le monde se fout comme d’un manspreading sur un char de Gay-Pride.  De nombreux parasites, qui, même s’ils le souhaitaient, seraient incapables de régler les vrais problèmes, se voient offrir sur un plateau des moulins-à-vent à combattre et se posent en protecteurs, d’autant plus braillards que, ne pouvant mettre la météo ou le covid en prison, on pourra accuser le contribuable. Cerise sur le gâteux (si on inclut Biden) ces hystéries collectives masquent (et dispensent d’avoir à régler) les problèmes récurrents : de bouclage de fin de mois, d’insécurité croissante, de déliquescence de la société, d’absence de finalité et de pillage organisé des caisses. 
Alors qu’une une France, bien gérée et moins diverse, pourrait être un des rares pays à pouvoir prendre doucement l’escalier au lieu de se crasher dans l’ascenseur vers la fin inéluctable des utopies civilisationnelles, pendant que Macron joue au foot, les conséquences desdits problèmes pèsent sur les seules épaules de l’individu.  Pire, la république ne pouvant tolérer qu’on acte son obsolescence, ledit individu, laissé sans solution, est, en outre, lourdement sanctionné s’il s’avise de prendre les choses en main à son niveau, par exemple en trucidant quelques importuns importés, importants pour le système afin de conserver le contribuable en état de stress (d’où l’impunité pour les uns et la rigueur pour les autres). 
Pour autant, le matraquage, au figuré, mais aussi au propre, nécessaire à entretenir les peurs et la réalité virtuelle médiatique, à un coût en matière d’image, de même que le colmatage des brèches pour garder la maîtrise du narratif. Si la capacité de dépense avec l’argent des autres est illimitée et permet de renforcer l’esclavage par la dette, les ressources mobilisables ne le sont pas. Ces efforts ne se justifiant que pour préserver une apparence de démocratie, on assiste à un glissement progressif, façon grenouille bio dans une marmite portée à ébullition, vers une tyrannie de type orwellien. Par la censure, la menace, la dénonciation érigée en vertu et l’oblitération technologique, chaque individu devient potentiellement un supplétif du système et est utilisé pour exercer un contrôle exponentiel, du fait d’un discours officiel confronté à une réalité laquelle, tel l’arrière-train de Marlène Schiappa, est chaque jour plus visible.
En effet, les gens vont se rendre compte de plus en plus que, à l’exception des lettres agglomérées autour d’un sigle LGBT en constante expansion, nous rentrons dans l’ère des pénuries : pénurie d’électricité en Chine, en Inde ou au Liban, d’engrais aux Etats-Unis, d’essence en Grande Bretagne, de micro-conducteurs partout dans le monde etc. Les prix du gaz et de l’énergie explosent (évoquant la cantine (sans pass) de l’assemblée nationale le jour du cassoulet aux truffes) et celui de la vraie nourriture s’envole. Certes, une partie de ces pénuries est orchestrée pour nous habituer à l’idée, de sorte qu’on ne réagisse pas trop violemment quand certains (qui se goinfrent déjà, au passage) confisqueront à leur profit les ressources restantes pendant qu’on roulera à vélo et qu’on s’éclairera à la bougie au nom de l’écologie. 
Pour autant, lier la chose uniquement à un modèle capitaliste devenu fou et en bout de course qui n’arrive plus à maintenir l’illusion d’abondance avec sa fausse monnaie, ou à un plan de domination des élites mondialistes ou encore au covid, médiatiquement boosté pour cacher la forêt derrière l’arbre, c’est aussi naïf que de prendre sa troisième dose d’AstraZeneca pour aller voir James Bond commettre un couillicide au cinéma. Dans les deux cas, c’est la fin d’une ère. Sauf à trouver un moyen de transformer la connerie en énergie (auquel cas l’Elysée pourra éclairer le Monde) ou qu’on nous cache quelques découvertes classées secret défense, la vérité est qu’il n’est simplement pas possible de maintenir partout une civilisation hautement technologique avec une population de 8 milliards d’habitants (la Chine à elle seule absorbe 50% de la production mondiale de cuivre). 
L’utopie du progrès qu’on nous a vendue, aboutissant au mâle déconstruit de Sandrine Rousseau, outre qu’elle nous mène en idiocratie, montre son incapacité, non seulement à assurer le confort universel sur terre qu’elle nous a fait miroiter (réduit à Netflix, des jeux vidéo et des sex-toys vibrants) mais à simplement nourrir tout le monde avec de la vraie nourriture. Je ne parle même pas de la vie éternelle transhumaniste promise implicitement quand ledit progrès s’est substitué à la religion laquelle, moins bête, la promet post mortem, les voies du seigneur étant plus impénétrables que celles de ses ouailles.
La technologie est alors détournée vers un objectif à sa portée avec les ressources disponibles : le flicage universel, indispensable à la conservation de la hiérarchie en place. Un flicage qui ne peut marcher qu’avec de l’électricité laquelle ne peut plus, dès-lors, être gaspillée à chauffer, l’hiver, des fesses improductives qui seront, de facto, éliminées, d’une façon ou d’une autre, après usage. Chauffage ou QR Code, il faudra choisir. Dans cette course handisport contre la montre, l’éradication du surplus d’esclaves salariés, occupés à ne rien produire de vital, prend trop de temps, d’autant que l’importation massive de nouveaux voltaires utilisés pour casser les pieds et l’homogénéité des autochtones (homogénéité sans laquelle il ne peut y avoir de blocs de résistances sérieux autour d’intérêts communs), bien que n’étant pas toujours des lumières, consomment autant d’électricité que ceux qu’ils remplacent. Une immigration qui doit, pourtant, encore être renforcée faute d’avoir parachevé son travail de désagrégation. 
Malheureusement pour le système, limité à un pouvoir de nuisance à condition de souffler dans le sens du vent, impossible d’aller plus vite que la musique car il reste encore un peu trop de virilité toxique dans différents pays. Nos médias épargnant, magnanimement, à nos chastes oreilles, le narratif des manifestations de plus en plus violentes à l’étranger, on parvient à minima à limiter le phénomène de contagion et on peut, dès-lors, amuser le chat en pointant le rayon laser sur la pantomime des présidentielles. Pour autant, sauf à ce que les théories les plus complotistes sur les finalités du vaccin s’avèrent aussi juste que les précédentes (qui avaient prévu : les masques, le confinement, les injections à répétition et le pass sanitaire éternel) et que survienne une hécatombe, la machine va se gripper de plus en plus vite.  La terreur climatique, avec son indice Cambronne plus que carbone, sera utilisée pour supprimer la voiture, économisant du carburant et limitant au passage les déplacements de ceux qu’on ne peut pas encore contrôler et, dans la foulée, exit aussi la maison individuelle, obstacle aux regroupements concentrationnaires.
Pendant ce temps les vrais problèmes écologiques qui sont en passe de rendre la planète inhabitable pour l’homme, et qui, malheureusement, sauf intervention divine ou d’aliens bienveillants, selon les croyances des uns et des autres, ne pourront être résolus que par des avancées scientifiques, sont traités de façon irrationnelle. Il est hélas trop tard, pour, aussi original que cela puisse paraître sur un profil Tinder, se contenter simplement de cultiver des rutabagas dans une cabane écoresponsable équipée d’un panneau solaire, d’où le scandale de focaliser les ressources qu’il nous reste sur le contrôle des masses plutôt que sur la recherche. Notamment sur le nucléaire, sachant que le sarcophage de « tout-en-béton » sur Tchernobyl (qui n’empêche pas les champignons autour d’être radioactifs) ne pourra pas être renouvelé éternellement et que des millions de litres d’eau, d’azote et de divers produits (qu’on ne sait plus comment stocker ensuite) sont toujours déversés sur Fukushima pour, simplement, contenir le problème. Problème qui, à l’instar d’une Brigitte Macron déjà guettée par la ménopause lors de ses premiers émois macroniens, n’est absolument pas réglé. 
On est fondés à se demander ce qui va se passer en cas de pénurie desdits produits, ou si la perte prévisible des compétences technologiques et de la main d’œuvre nécessaire ne permet pas de gérer les problèmes futurs : la plupart des centrales ont déjà dépassé de plusieurs décennies leur durée de vie initiale et on parle même de les recaréner histoire de refiler aux politiciens suivants la patate chaude. Problèmes qui ne sont même pas les plus sérieux, si l’on en croit certaines théories, et qui sont phagocytés par le narratif des bouleversements climatiques, certes réels, mais que j’ai du mal à imputer à ma vielle Clio diesel. Bouleversements qui sont le lot constant de la planète depuis qu’elle existe, les dinosaures, pourtant bio et écolos, s’étant gelé les testicules faute de l’arrivée salvatrice de Greta Thunderg. Pour autant, leurs conséquences sont aggravées par des décisions imbéciles qui accélèrent encore le grippage de la machine, dont la monnaie, son lubrifiant naturel, perd sa viscosité quand elle n’est plus en adéquation avec les capacités de production ; grippage qui, les gens n’aimant pas travailler pour rien, surtout quand le travail est pénible, se manifeste par des détails triviaux comme des forêts laissées à l’abandon qui ont tendance à flamber aussi bien que des cathédrales ou le non ramassage des ordures à Marseille qui, en bouchant, telle la fameuse sardine, les regards d’évacuation, provoque des inondations qui renforcent le sentiment de cataclysme écologique lequel conduit à davantage d’hystérie et de mauvaises décisions.
Il y a une quinzaine d’années, j’ai eu l’occasion de faire des audits réseaux dans la partie russophone de l’Ukraine et, comme je baragouinais un peu le russe, j’avais sympathisé avec des gens du cru. J’avais réalisé, avec effarement, qu’ils vivaient tranquillement au rythme des coupures d’électricité, qu’ils en étaient réduits à planifier la cuisson de certains plats, qu’ils sortaient mécaniquement les bougies quand lesdites coupures avaient lieu le soir et que, lorsque la pollution médiatique télévisuelle ou radiophonique s’arrêtait, des guitares apparaissaient comme par magie et qu’ils se mettaient à chanter pour continuer la soirée jusqu’à pas d’heure. J’étais là dans le cadre d’une mission, payée par l’Europe avec vos impôts, visant à moderniser les infrastructures pour amener l’Ukraine au niveau européen, mais en fait, peu à peu, force est de constater que c’est l’Europe qui descend au niveau de l’Ukraine de l’époque et que bientôt cela nous semblera tout aussi naturel de sortir les bougies que d’avoir des tanches incapables (en plus d’être corrompues) au gouvernement. 
Des tanches élues par des gens qui, conséquence de la faillite de l’éducation et d’un brassage culturel qui les incite plus à danser en tortillant du cul qu’à faire fonctionner leurs méninges, démissionnent sous le poids d’une culture millénaire devenue trop lourde à porter et qu’ils cherchent inconsciemment à détruire car elle leur rappelle constamment qu’ils ne sont plus à la hauteur de leur héritage. Ils préfèrent alors se vautrer dans la paresse intellectuelle en regardant Hanouna et Netflix plutôt que de faire les efforts d’élévation personnelle pour le mériter ce qui, je l’admets, n’est pas toujours évident après une journée crevante.  La façon dont un peuple se perçoit se voit dans ceux qu’il choisit pour le représenter parmi l’échantillon peu reluisant de bonnets blancs et de blancs benêts qui lui est proposé ; sachant que, cette fois, on a râclé les fonds d’urinoirs écoresponsables. Depuis Sarkozy, les talonnettes sont incluses dans l’enveloppe de frais de fonctionnement présidentiels et, quels que soient ses mérites, si l’on suit la courbe qui passe par Zemmour, on est partis pour Mimie Mathy en 2027.
Si l’histoire bégaye, elle ne se répète jamais à l’identique et l’anticipation et la SF en général sont un excellent complément à la culture historique, pour entrevoir l’éventail des possibles. Force est de constater que quand on combine « 1984 », « Fahrenheit 451 » et « Un bonheur insoutenable » on n’est pas loin d’un niveau correct de compréhension du monde actuel. Dans la même veine, le cycle de fondation d’Isaac Asimov permet d’analyser les phénomènes de désagrégation des empires et incite à penser au-delà de sa propre existence. Plutôt que de lutter contre l’inévitable, ce qui n’empêche pas de lutter pour sa survie individuelle, il est parfois préférable de s’interroger sur ce que l’on peut préserver dans l’optique d’accélérer le rebond après la chute… si la planète est toujours habitable. Hasard, ou non, Fondation est adapté actuellement sous forme de série américaine, malheureusement largement en-dessous des bouquins en ce sens que, sacrifiant à ce même « wokisme » qui fait que le nouveau superman est bisexuel et que, fort heureusement, son copain a un corps (et donc un anus) indestructible, elle est, ironiquement, trop concentrée sur l’impérieuse nécessité de changer le sexe et la couleur de personnages clés, donnant l’impression que tout se passe au Wakanda.
Merci pour votre écoute, pensez à cliquer sur les machins en bas, à visiter les autres plateformes, figurant en description et qui ne censurent pas, pour avoir accès à l’intégralité de mes vidéos et à bientôt … j’espère.

jeudi 14 octobre 2021

ZEMMOUR est arrivé-é-é ♫ (14 oct. 2021)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/EQgfM3AsqqM

Bonjour !
Un de mes avertissements vient d’expirer donc je tente un subreptice retour en espérant que, comme aujourd’hui je ne parle ni de vaccin, ni de CO2, ni de pédophilie Epsteinienne, Saint YouTube, pour une fois, m’illuminera de sa grâce bienveillante. Dans tous les cas, je vous invite à consulter régulièrement mes chaînes odysee et autres, figurant en description, sur lesquelles pas mal d’entre vous m’ont déjà rejoint et où je poste davantage de contenu sans avoir l’impression de marcher sur des œufs, au milieu d’un champs de mine, entouré se zombies assoupis. Mais le combat pour la liberté d’expression doit se mener là où elle est menacée, donc je n’abandonne pas YouTube pour autant et je vous encourage à vous abonner et à vérifier si vous l’êtes toujours (car ils sont un peu taquins) afin de soutenir la chaîne.
Sans transition, comme dirait un transphobe, passons au sujet du jour: la Zemmourite encéphalique spongiforme ovine.
Zemmour est devenu aussi incontournable que Gérard Larcher sans bicyclette et il a droit à la même couverture merdiatique que Macron en 2017. Sauf à être aussi naïf qu’un prisonnier sous la douche qui ne se demande pas pourquoi, d’un coup, il y a 10 savonnettes par terre, le plan qui se cache derrière sa promotion par le système est relativement limpide. Dans un premier temps, il s’agit de repolariser l’échiquier politique en unissant la droite souverainiste et de créer ainsi un effet repoussoir suffisant pour sortir quelques cons de gauche, mal à l’aise dans une posture trop rationnelle pour eux, du « tout sauf Macron » afin d’assurer la victoire de l’éborgneur de Gilets Jaunes. 
Pour que la chose passe mieux, la vaseline sera produite en extirpant le gras pléthorique de l’incapable peroxydée, diplômée en élevage félin qui, si elle gagne tous ses débats contre son chat, n’a plus les moyens de jouer le rôle, pour lequel on la sort de sa sieste à chaque période électorale, consistant à maintenir l’illusion d’une issue ultérieure par les urnes en cas de défaite. La subtilité consiste à faire perdre Zemmour, devenu le diable entre les deux tours, avec une marge suffisamment étroite pour repousser la révolte populaire à 2027, en dépit du carnage qui se prépare ; les mougeons, pour être passés si près de la victoire, gobant, encore un coup, que la prochaine fois sera la bonne.
Quand ça ressemble à un canard et que ça fait coin-coin, même avec un collier d’épagneul breton, on reste sceptique quand ça prône l’ouverture de la chasse. Bien sûr, il parle uniquement de chasse aux lapins, pas aux canards, mais une fois qu’on a le fusil en main, canard ou lapin, comme diraient les inconnus : « le mauvais chasseur il tire, le bon chasseur… il tire aussi, mais c’est un bon chasseur ».  Si le côté pile d’une pièce de fausse monnaie passe son temps à dénoncer le côté face en s’imaginant que ça va bien se passer pour lui, il y a comme une faille dans le raisonnement.
Il faut croire que sur 67 millions d’habitants on n’est pas foutus de trouver un Français qui serait crédible, avec un béret et une baguette sous le bras, pour sauver la France et, face à un tel désert de vocations, probablement que, si on creuse un peu, on se rendra compte que Jeanne d’Arc s’appelait en fait Hapsatou et qu’elle était bi-sexuelle avec un penchant pour les moutons. Le juge qui l’a condamnée s’appelait Cauchon et si, dans ce Cauchon-là, comme dans le Zemmour, tout n’est pas bon, dans le polémiste, tout n’est pas, pour autant, mauvais non plus.
Même si les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent, c’est déjà bien de mettre certains sujets sur la table et de dresser de bons constats quand l’ensemble des autres candidats, taxables, lui, d’antisémitisme au moindre dérapage, se noie dans le politiquement correct, tel un string taille 36 entre les fesses de Marlène Schiappa.
L’ostracisé omniprésent, et c’est tout à son honneur, s’est engagé à supprimer les lois liberticides, sans lesquelles il n’y aurait pas d’omerta sanitaire, dont la loi Gayssot, deux syllabes qu’on pourrait appliquer à des Asselineau et autre Philippot qui, contrairement à lui, s’obstinent à ne pas vouloir comprendre que les traités n’engagent que les faibles, ce qui explique pourquoi l’Australie et les US ont trouvé une autre utilité au contrat des sous-marins avant de tirer la chasse et que même la Hongrie et la Pologne, qui sont pourtant bénéficiaires et plus tributaires que nous de l’U.E., arrivent à lui faire un doigt d’honneur. Il est donc évident que, compte-tenu de notre pouvoir de nuisance et du fait que, si l'on cesse d’en être un des moteurs, ladite Europe est cuite comme un mâle blanc solvable dont l’épouse demande le divorce, on peut récupérer, d’un claquement de référendum, une bonne partie de notre souveraineté. Pourquoi dès-lors perdre des voix et se compliquer la vie en se soumettant, culotte baissée, à la procédure de l’article 50, d’autant plus inextricable que, contrairement aux Anglais, on n’a pas qu’un pied dans le marécage.  Sans compter que les jours du machin sont comptés. 
Inutile de se comporter comme le gars à qui son docteur annonce qu’on va lui amputer la main et qui, après avoir claqué la porte et consulté plusieurs spécialistes qui lui disent tous la même chose, au bord du désespoir, se tourne vers un marabout qui s’esclaffe : « N’importe quoi ! Bien sûr que non, il ne faut pas amputer !  Tapez 3 fois dans vos mains ! Vous voyez, c’est tombé tout seul ! ».
Je suis plus sceptique sur sa notion « d’assimilation » sachant que, sans même entrer dans les dynamiques de masses qui font que, dépassé un certain dosage, une crêpe au rhum devient un rhum à la crêpe, même avec de la bonne volonté, on ne peut pas s’assimiler au néant quand toutes les continuités historiques, religieuses, morales et ethniques ont été désagrégées au nom de cette même république qu’il vénère. Même en ne conservant que ceux qui bossent, appeler tout le monde Marcel risque de ne pas suffire.
Je ne vais pas rentrer dans le détail de toutes les options à ce rasage gratis pour demain que propose Zemmour, étant plus concerné par ce dont il ne parle pas.
Quid d’un Glass Steagall act (la dissociation entre les banques de dépôt et d’investissement) qui, en empêchant lesdites banques de se renflouer de leurs déboires en bourse en piquant l’argent sur les comptes bancaires, prouverait qu’il n’est pas simplement un autre agent de Rothschild ?
Est-ce qu’il serait prêt à s’engager sur le fait que la suppression de certaines prestations sociales à des étrangers, qui n’ont jamais bossé, ni cotisé, servira à garantir le maintien, voire l’amélioration de la couverture pour les autres et ne sera pas directement englouti dans le remboursement de la dette ? 
Enfin, cerise sur le gâteau, juste pour le principe, question que personne ne lui posera jamais : serait-il prêt à déclarer qu’en cas de conflit, bien sûr improbable, avec Israël, si l’affrontement devenait inévitable et que le seul qui aurait une petite chance de survie serait le premier qui appuierait sur le bouton nucléaire, il appuierait dessus et le ferait suffisamment vite ?
Certains lui reprochent de rester vague, sur le terrain qui l’est tout autant, des catalogues de mesurettes qui tiennent lieu de programme politique aux autres acteurs de la pièce de théâtre, oubliant qu’un président est là pour donner un cap, pas pour gérer des tableaux Excel. Quoi qu’on pense de lui, Zemmour a une vision. Une vision à une jambe, certes, mais une vision quand-même.
Vous me direz : « OK, il met des choses dans le débat public et il promet beaucoup, mais tout ça c’est du flan puisque, si on t’écoute, sa défaite est déjà programmée ».
Le problème avec le plan du système, c’est qu'Éric, un peu viking par son prénom, pourrait gagner. A force de favoriser la médiocrité dans la classe politique, les autres sont trop nuls et, surtout, il est trop bon pour transformer ses défauts en qualités. Il a un nom improbable ? Il en garde le Z de Zorro. Il est de confession juive ? C’est le seul qui peut dire certaines choses sans se faire traiter d’antisémite. Il est petit ? C’est le nouveau Napoléon. Il ne ressemble à rien, ce qui empêche son discours de mâle alpha de séduire l’électorat féminin n’ayant pas encore sombré dans le féminisme 2.0? Pas de soucis, une photo sur Paris Match et quelques rumeurs de circonstances de « baisers volés », et c’est Brad Pitt. Si l’on ajoute ses qualités de débateur, sa culture indéniable qui atteste d’un intérêt véritable pour la France, soit par amour, soit par volonté stratégique de connaître l’adversaire, même si un président, que je ne nommerai pas, trafiquait encore les résultats, dans les grandes villes, comme en 2017, il n’en reste pas moins que, sur un malentendu, ça pourrait marcher.
S’il est élu, c’est échec et mat. D’un côté, il lui sera difficile de ne pas tenir une petite partie de ses promesses, en tout cas celles qui ne lui vaudraient pas de finir comme Kennedy, d’où l’intérêt de lui en extirper un maximum. On obtiendra toujours plus avec lui qu’avec tous les autres réunis (surtout si on récupère l’essentiel, à savoir : la liberté d’expression). De l’autre, s’il s’assied sur lesdites promesses, la voie des urnes étant totalement déconsidérée, il ne bénéficiera plus de la soupape de ses prédécesseurs et la cocotte va exploser. 
J’ai beau tourner ça dans tous les sens, sachant que même réélu avec 90% d’abstention Macron se pavanerait comme si de rien n’était et que, comme je vais l’expliquer dans une prochaine vidéo sur Odysee, une révolution populaire est hautement improbable tant que trop de mougeons croient encore à la farce démocratique, Zemmour, représente, malgré tout, à ce jour, la moins pire des solutions, à condition qu’il gagne et oblige ainsi le système à abattre sa dernière carte.
Merci pour votre soutien, pensez à cliquer sur tous les trucs en bas, et à bientôt… j’espère.


vendredi 1 octobre 2021

DÉGOÛTS & DES COULEURS (1 oct. 2021)

Ma chaîne YouTube étant toujours censurée la vidéo sur odysee :https://odysee.com/@LaMiteDansLaCaverne:4/couleurs:3


 Bonjour !
Je vais faire court car j’ai ce que l’on appelle, de façon ignominieusement raciste, le blocage de la page blanche.  Je n’ai plus envie de rire, même jaune, car au fond de moi, je broie du noir, littéralement vert de rage tellement je vois rouge de ne plus voir la vie en rose face à ma peur bleue de l’avenir, lequel me semble très gris. J’ai l’impression de m’être fait marron à m’époumoner pour rien, violet par manque d’oxygène et de me retrouver chocolat à toujours passer à l’orange, à deux doigts de la suppression de chaîne. Bref, j’en vois de toutes les couleurs, ce qui me rend un peu chromophobe et quand j’apprends que les Suisses, abusés par un arc-en-ciel aux allures sympathiques, ont voté le mariage triste avec le même entrain que les écologistes ont plébiscité Sandrine Rousseau, laquelle, passée à un poil pubien de la victoire, déconstruit ses compagnons sans passer par la case prison, cela me conforte dans ma conviction que, hélas, la démocratie est toxique, dépassé un certain niveau de conditionnement et de destruction du bon sens élémentaire. 

Comme je m’évertue à le dire depuis des années : un couple homo ça n’existe pas, pas plus qu’un couple de chaussures. Dans les deux cas, il s’agit d’une paire et l’utilisation erronée du mot couple pour l’ensemble donne la fausse impression d’une inégalité entre un vrai couple, forcément hétéro et une paire homosexuelle. Le mariage, projet de vie contractuel, lequel, par ailleurs, n’a rien à voir avec l’amour qui est, au mieux, la cerise sur le gâteau, c’est pour les couples et l’on peut imaginer, par exemple, un « pariage » pour les paires, actant qu’il s’agit de deux choses fondamentalement différentes, ce qui coupe court à l’entreprise de désagrégation de la famille et autres absurdités du style : parent 1 et parent 2. C’est effrayant comme il suffit de tordre le sens d’un mot pour foutre en l’air toute la société. 

De même, quand les règles harmoniques ne sont plus respectées et qu’il n’y a plus de mélodie, en gros si vous ne pouvez pas le siffloter, ce n’est plus de la musique, pareil pour l’art en général. Ne pas utiliser les mots appropriés, voire ne pas en inventer de nouveaux pour toutes ces formes de dégénérescence à le même effet que de considérer les frites comme des légumes. En bouffant, au passage, toutes les subventions, ces sous-produits finissent par remplacer lesdits légumes dans l’assiette, tout en donnant, sur le papier, bonne conscience. Ensuite, on se demande, avec un l’air ingénu de la vierge-Marie apprenant sa condition : d’où vient l’obésité d’un côté, et la connerie ambiante de l’autre. Pareil pour le pseudo vaccin, qu’on nous inflige actuellement, qui n’a de commun avec un véritable vaccin que le terme dont la définition a, par ailleurs, été changée par le CDC à cette occasion. On est d’abord passé d’une « suspension de micro-organismes atténués ou tués visant à la prévention, le traitement ou l’immunisation contre des maladies infectieuses » qui était la définition du dictionnaire médical, à « une préparation visant à immuniser contre une maladie spécifique » puis, finalement, face à une efficacité plus que relative en ce qui concerne l’immunité à « une préparation visant à stimuler la réponse immunitaire face à certaines maladies ». Mais, pour le grand public, c’est toujours un vaccin et il n’y a aucune différence de nature entre celui contre la polio et cette substance expérimentale dont toute critique, depuis le 29 septembre, vaut, de façon systématique, une exclusion de la plateforme YouTube. 

De la même façon, ce godemiché géant, qu’on nous fait passer depuis des années pour un thermomètre à chaque fois qu’on nous l’introduit entre les fesses, en nous disant : « c’est pour votre bien ». C’est ainsi que, « pour notre bien », le porte-mensonge du gouvernement vient d’annoncer que la possibilité du pass sanitaire sur un claquement de doigt sera prolongée jusqu’à cet été, chose que ma boule de cristal complotiste avait prédit depuis que le mot pass a été prononcé pour la première fois. Pendant ce temps, Macron (contre lequel aucun vaccin n’a encore été trouvé) met en place une « commission pour mesurer les dangers du numérique sur la cohésion nationale et nos institutions afin de mieux y faire face ». Comprenez : « Il est temps de finir le ménage sur internet. La parole du gouvernement, lequel ne ment jamais, est sacrée, comme une vache en Inde ou Marlène, chez nous, pour peu qu’elle ait des cornes ce que seul son con plus ou moins joint peut confirmer.» 

Pour couronner le tout, l’euro numérique, dès 2022, pourrait signifier la fin de l’argent liquide, l’impossibilité de retirer ses sous des banques et le parachèvement du contrôle total sur nos vies, sachant que chaque dépense sera enregistrée et que si on n’a pas acheté un dentifrice écologique, qu’on a mis du diesel dans sa voiture ou qu’on est abonné à « Rivarol » ou à « faits et documents », il suffira d’un clic pour nous rendre SDF. Pendant ce temps, on expérimente, grandeur nature, dans les endroits entourés d’eau d’où les gens ne peuvent pas s’échapper, comme l’Australie ou l’Angleterre, qui le degré de tolérance face à une tyrannie Orwellienne, qui les réactions au conditionnement aux pénuries diverses, comme l’essence. Bref, une convergence, à toute vitesse, des tyrannies sanitaires, économiques et climatiques… pour les peuples, tandis que les élites, vaccinées à l’eau distillée, se baladent sans masques, que l’Europe exempte de taxes le kérosène pour les jets privés et qu’on essaie de nous faire croire, une dernière fois, au mirage électoral en trumpisant Éric Zemmour lequel (il faut au moins lui reconnaître ça) s’est engagé à supprimer toutes les loi liberticides (y compris la loi Gayssot) ce qui, sur le papier, si je croyais encore à tout ce cirque et n’étais pas convaincu que les promesses n’engagent que ceux qui y croient, le rendrait le moins pire des candidats, à mes yeux. 

Le pire, dans tout ça, c’est que Greta Thunberg, venue à la rame jusqu’en Allemagne pour se plaindre qu’on ne retourne pas assez vite à l’éclairage à la bougie, à désormais 18 ans et qu’elle pourrait bien faire son apparition, aux côtés d’Agnès Buzin, récemment recyclée par Macron en directrice exécutive de l’académie de l’OMS, dans ces cauchemars érotiques qui parfois me réveillent la nuit et dont il m’arrive de vous faire part. En plus d’une gousse d’ail, d’un exemplaire de Mein Kampf et d’un crucifix il va falloir, désormais, que j’accroche une bombonne de CO2 au-dessus de mon lit.
Avant de vous suicider, n’hésitez pas à liker, partager et à laisser vos dernières paroles pour la postérité sous forme de commentaire. 

Pour tous les autres, à bientôt… j’espère.