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samedi 29 octobre 2022

Cette fois MACRON A FAIT TRÈS FORT ! (29 oct. 2022)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/zAN2ae0BiTM

 

Bonjour ! 

Il ne se passe guère de jour sans que des individus de sexe biologique féminin (qu’avant on appelait des femmes) expérimentent un sentiment, non plus d’insécurité, mais de se faire vaguement violer à même la chaussée. Certes, c’est plus subtil que le Allah-Akbar comme sensation, mais, même quand on est particulièrement progressiste, tous ces va-et-vient finissent par être un poil gênants, voire plusieurs selon le style d’épilation du maillot. Jeunes, vieilles, pubères, impubères et même occasionnellement quelques iels : cela ne fait plus aucune différence. À ce stade, y compris Élisabeth Borne en doudoune (même en plein jour et de face) s’expose à un risque potentiel. Comme, visiblement, élargir les trottoirs s’est avéré contre-productif, peut-être que des panneaux « interdit de violer » dont je laisse le pictogramme à l’imagination de chacun, pourraient dissuader quelques futurs Voltaires férus de notre belle langue. Une autre solution, plus efficace et écologique, mais qui ne plairait pas à la SPA, serait de laisser des chèvres en libre-service à côté des vélibs. A minima, Élisabeth Borne serait sauve. 

Comme il y a des degrés dans l’évolution, certains ont, heureusement, encore le civisme de ne pas encombrer les trottoirs et violent toujours à l’ancienne dans des porches (sans S après le r), des buissons ou en service à domicile. Même pas reconnaissant de cet effort, un père de famille a eu l’impudence de tabasser un amateur de sciences naturelles fraîchement débarqué, entré par effraction dans la chambre de sa fille de 6 ans aux fins d’étudier l’anatomie féminine. Fort heureusement, la justice républicaine veille et le procureur s’est autosaisi pour poursuivre, au nom de l’état de droit, ce père indigne, briseur de vocations médicales. Un père dont tout lien de parenté avec Vercingétorix est au mieux spéculatif et auquel on avait pourtant accordé une large clémence quand il avait, par inadvertance, braqué un bureau de tabac et contribué à la croissance du PIB avec un peu de trafic de drogue. En revanche, dès lors qu’il s’agit de protéger ses enfants d’individus encore plus victimes que lui, il devient alors impératif, n’en déplaise au presque Nazi Hanouna, de respecter à la lettre les lois votées par ces gens intègres, supérieurement intelligents et qui tiennent toujours compte de la volonté populaire qu’on appelle parlementaires ou, quand on est pressé, à coup de 49.3, ce qui revient au même. 

Des gens dont le travail et la justification des modestes émoluments sont de pondre toujours plus desdites lois et de traquer le moindre espace de liberté non encore réglementé en vue de corriger cette anomalie intolérable. Certains esprits tordus qui n’ont pas compris les valeurs de la république, feront remarquer que quand, par exemple, une OQTF n’est pas exécutée, c’est l’état qui, le premier, ne respecte pas l’état de droit ainsi que le contrat qui lui donne le monopole de la violence en échange de la protection de ses citoyens. Il serait alors malvenu de sa part de reprocher à un desdits citoyens, quand il subit la conséquence de ce manquement de l’état, de prendre les choses en main (même si, dans le cas d’un violeur, ça risque de péguer un peu). 

Comme, dans un élan de xénophobie rance qui ne les honore pas, deux-trois réfractaires à l’enrichissement culturel se sont émus de l’affaire Lola, Emmanuel Macron s’est quand même fendu du constat que, je cite : « quand on regarde la délinquance à Paris, on peut voir que la moitié des faits viennent des étrangers en situation irrégulière ou en attente de titre ». Apparemment, c’est donc uniquement quand on regarde. Si on ne regarde pas, il n’y a plus de problème. Il faut donc être un peu voyeur sur les bords pour s’attarder sur ce genre de détail. Dès qu’on a la vue déformée par ces trucs malsains qu’on appelle des lunettes, on se rend compte que le pourcentage officiel est à peu près le même dans toutes les grandes agglomérations.

Pour les humanistes de gauche (ce qui serait un pléonasme si, à droite, inconscients du dépassement de la masse critique, on n’en était pas resté au fantasme de l’assimilation - le retour de l’uniforme à l’école et un prénom idoine suffisant, c’est bien connu, à gommer toute différence culturelle entre un Nigérian et un Auvergnat) la meilleure façon de diminuer le pourcentage de criminels étrangers en attente de titre de séjour, c’est de leur en donner un. C’est d’une logique imparable. Chacun sait, en effet, que les étrangers (ou descendants d’étrangers ayant conservé leur héritage culturel dans le but louable ne nous enrichir) qui sont, eux, en situation régulière, sont immédiatement transmutés, par la magie de la laïcité, en Français aussi français, sinon plus, que les autres ; inutile donc de s’embêter à essayer de déterminer leur proportion dans les 50% de crimes et délits qui restent, d’autant qu’en généralisant, sans raison scientifique, à l’ensemble des nouveau-nés, les tests de drépanocytose, le gouvernement supprime le dernier outil officieux de statistiques ethniques qui restait aux complotistes adeptes du « grand-remplacement ». 

C’est ainsi que Macron ajoute (sinon ce ne serait plus Macron) : « Je ne ferai jamais un lien existentiel entre immigration et insécurité ». Ce sont juste deux choses qui existent et qui flottent dans l’éther, mais il n’y a pas de lien existentiel entre elles. C’est pareil pour les sodas et l’obésité ou la vaccination et les effets secondaires. Le problème c’est le lien. Pas de lien, pas de problème. Un peu comme quand Kanye West dénonce la main mise d’une élite juive sur la banque : le lendemain, il n’a plus de banque. Têtu, il dénonce la mainmise des mêmes sur les médias : il est exclu des médias. Dans une obstination dieudonnesque, il dénonce la mainmise sur le sport et sur le Rap : il n’a plus de sponsors et Spotify réfléchit à le bannir. Moralité, il avait tort ! Heureusement pour lui, après le rachat de la plateforme par Elon Musk qui s’est pointé dans les locaux avec carrément un lavabo dans les mains pour symboliser le nettoyage à venir des écuries d’Augias, il pourra peut-être revenir sur Twitter. 

Comme, donc, il n’y a aucun lien entre les choses, et en attendant qu’une intelligence artificielle propose une loi stipulant que toute personne prise en situation irrégulière sur le territoire français sera considérée comme un espion russe et immédiatement abattue (ce qui réglerait le problème en 15 jours tout en restant dans les clous du camp du bien), le même Macron, lequel avait promis en 2019 que 100% des OQTF seraient exécutées, peut-être compte tenu du fait que chaque journée de rétention administrative nous coûte 690€ par migrant selon la Cour des comptes, devient plus raisonnable en passant à 100% des OQTF les plus dangereuses. Il faut donc comprendre que les personnes raisonnablement dangereuses tant qu’elles ne seront pas les plus dangereuses resteront libres de violer et de poignarder… avec modération. J’espère que McKinsey a touché sa juste rétribution pour ce conseil absolument brillant. 

Le problème étant résolu, Macron va pouvoir enfin focaliser son effort sur ce qui compte vraiment : les valeurs du trou de la raie plus ou moins publique lesquelles justifient amplement la troisième guerre mondiale face à un tyran qui répugne à apprendre aux écoliers la versatilité de leur sphincter anal et qui est atteint de surcroît d’une chromophobie ignoble et incompréhensible envers un drapeau arc-en-ciel pourtant si joli. Donc, pendant que les femmes, gamines et grand-mères se font padamalgamer dans l’attente de ce multiculturalisme radieux promis depuis 50 ans et qui viendra forcément un jour ou l’autre, conscient des priorités, Emmanuel Macron nomme un certain Jean-Marc Berthon ambassadeur aux droits LGBT+. 

Si c’était sur concours, j’ai une pensée compatissante tant pour les juges, notamment à l’oral, que, pour le fonctionnaire qui a dû rédiger, en langage administratif, le profil recherché ainsi que la fiche de poste. L’idée est cependant moins saugrenue qu’il n’y paraît, surtout si l’on considère que relativement peu d’hommes sont violés dans la rue. De là à penser que les migrants LGBT ont encore du mal à assumer leur homosexualité en raison d’une discrimination qui n’a que trop duré, il n’y a qu’un pas que, visiblement, Macron a franchi. 

C’est également ce qui manquait pour attendrir Poutine qui attend patiemment qu’un hiver sans électricité, notamment en Ukraine, fasse le boulot à sa place, et selon lequel, à l’abri, quelque part, devant un écran vert, Zelensky (que son absence de prépuce fait gagner en acuité quand il joue, à la télé, non pas à 4 mains, mais à deux bi… dules du piano « à queue » debout et les mains dans le dos) planifierait l’explosion d’une bombe sale attribuée aux Russes pour pousser l’OTAN à intervenir. Les Ukrainiens imputent, eux, cette intention aux Russes dont on a du mal à voir qu’elles seraient les motivations, parce que méchants, je veux bien, mais cons certainement pas ; d’autant qu’ils disposent à foison de petites bombinettes bien propres sur elles et de plein d’armes qu’ils n’ont pas encore testées. On nous a déjà fait le coup avec le sabotage de leurs propres gazoducs, qu’on a aussi essayé de leur mettre sur le dos, pour en arriver à ce que, au final, les Suédois, pas spécialement pro-Russes, se refusent à communiquer les résultats de leur enquête. On se demande bien pourquoi. 

Si l’escalade nucléaire n’est pas lancée avant la fin de cette vidéo, il reste encore un peu de temps pour se réjouir. Vivement le FREXIT comme ça on pourra, nous aussi, comme en Angleterre, avoir un Premier ministre enfin représentatif. Ceci dit, la différence s’arrête au physique, car c’est un Macron bis, qui vient, lui, de chez Goldman Sachs, mais qui a quand même un peu mieux réussi en ce sens qu’il est milliardaire et a épousé une femme... encore plus riche que lui, héritière de la cinquième fortune d’Inde. Nul doute que les ouvriers britanniques vont enfin être entendus. 

C’est très bien, la représentativité. Honnêtement entre un Macron qui est un nain dur et un hindou, je choisis l’hindou. Pour plaisanter, oubliant le fossé culturel, ce qui est inexcusable après plus de 20 ans de mariage, j’ai même suggéré à mon épouse, Japonaise, que son pays devrait évoluer lui-aussi et que j’y verrai bien Omar Sy Premier ministre. Je ne vais pas vous mentir, ça va faire 24 heures qu’elle est figée dans une posture bizarre avec une grimace à la Kathy Perry quand elle a un œil qui part en sucette. Je commence vraiment à flipper. Bon j’arrête-là, car le SAMU arrive. 

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lundi 24 octobre 2022

PADAM PADAM(ALGAM). Parodie d’EDITH PIAF non haineuse, mais nécessaire. (24 oct. 2022)

    Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/6SyegyKXQgE

 

Le chêne de Saint-Louis a des glands

Dans le champ de France plantés

On a importé d’autres plants

Les glands n’ont pas vu le danger

D’abord c’était quelques noisettes

Les glands disaient, ça nous complète

Des noix, puis des dattes puis des blettes

Puis des bananes, des ananas

Même des trucs, ce que c’est, on sait pas

 

Padam padamalgam

Quand des femmes sont violées dans la rue

Padam padamalgam

Quand un handicapé est battu

Padam padamalgam

Quand Lola dans une malle est foutue

Encore combien de millions supplémentaires

Pour dire ça commence à bien faire

 

J’ai rien contre les immigrés

Faut pas se tromper d’adversaire

Une porte ouverte, ils sont entrés

Z’ont dit « j’ai vu de la lumière »

Les traitres dans les hautes sphères

Qui ouvrent les vannes en grand

Sont ceux qui méritent la colère

Quand soutenus par quelques glands

Ils font croire qu’on est tous frères.

 

Padam padamalgam

Quand « Paty » mais jamais revenu

Padam padamalgam

Quand à Nice y a du sang dans les rues

Padam padamalgam

Quand Charlie se l’est pris dans le …

Y a même plus de travail pour les autochtones

Pourquoi toujours plus ? je questionne

 

Comme les villes sont à saturation

On passe aux campagnes a dit Macron

On célèbre la révolution

Le quatorze juillet, mais dès qu’on dit « Non »

On finit tout droit en prison…

 

vendredi 21 octobre 2022

LOLA – Circulez, ya rien à voir ! (21 oct. 2022)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/RiclK_1i0N4

Bonjour ! 

Passé une certaine taille, le padamalgam en suppositoire commence à devenir efficace même contre l’homophobie masculine. Quand, dans un de ces élans de confraternité et de partage dont on a perdu l’habitude dans nos sociétés occidentales individualistes, on viole à 3 une femme en pleine rue, c’est padamalgam. Quand plutôt que de monter bêtement le chauffage, on se réchauffe écologiquement en tabassant à 10 un élève handicapé dans une école, c’est padamalgam. Quand dans le souci de réduire son indice carbone, on viole, égorge, torture et emballe façon Tupperware une gamine de 12 ans, c’est encore padamalgam. Moi, je n’ai pas peur des amalgames et je vous le dis sans ambages : l’écologie tue ! 

Pour le reste, ce n’est que pure coïncidence que dans cette escalade, tel Darmanin d’une administrée nécessiteuse, de l’échelle de l’horreur (laquelle détourne les projecteurs de milliers d’autres cas moins médiatiques, mais tout aussi sordides), ceux qui subissent, avec ingratitude, une forme spécifique d’enrichissement culturel s’avèrent être majoritairement des mal dotés en mélanine (forcément privilégiés) tandis que, même en remontant très loin dans le dattier ou bananier généalogique des exploités discriminés qui les enrichissent, on a quelques difficultés à trouver un lien avec le cousin par alliance de la tante au second degré de Jeanne d’Arc (la vraie, pas celle du Puits du Fou). Il ne s’agit donc assurément que d’une anomalie statistique et nul doute que bientôt, histoire de rééquilibrer les choses, des hordes de nazis à béret sur la tête et baguette à 1 euro 50 sous le bras, vont envahir les rues et sacrifier rituellement Danièle OBONO à l’issue d’un gang bang… sans la bouche au vu d’un certain flou sur ses pratiques alimentaires.

Dans le cas de la petite Lola, au demeurant championne de France d’aérobic, on nous pousse, nous aussi, au grand écart, mais intellectuel : le fait qu’elle ait été égorgée comme un mouton pendant l’Aïd et recouverte d’inscriptions, n’ayant, bien sûr, absolument rien à voir avec un meurtre rituel motivé par des croyances en la magie noire et autres billevesées culturelles qui ne sont pas les nôtres. Il s’agit simplement d’un meurtre gratuit, ce qui, dans une période où tout augmente, relève presque du civisme et ne remet donc nullement en cause les fondements du « vivre ensemble », ou du « vivre avec », on ne sait plus très bien. Les complotistes diront que sur ses vidéos Tiktok et Instagram la jeune femme supposée avoir perpétré le meurtre n’a l’air ni SDF ni déséquilibrée, mais où irions-nous si on commençait à douter des versions officielles. 

D’ailleurs, tout cela est secondaire et, dans les heures qui ont suivi les faits, de Macron à Darmanin, on a twitté allègrement sur les choses vraiment importantes comme le ballon d’or de Benzema ou des évènements culturels, en omettant cet incident bénin ; oubli dont on peut déduire avec une quasi-certitude que la victime n’avait probablement pas d’arrière-grands-parents qui ont beaucoup souffert. De même (et je me répète d’une vidéo sur l’autre), encore une fois, où est Sandrine Rousseau ? Peut-être que si la (ou les) responsables avaient pris Obono au mot et mangé la morte, grillée sur un barbecue, on aurait eu droit à un peu d’indignation tweetesque. 

Comme d’habitude (ou presque) la personne arrêtée faisait l’objet d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français) document qui lui a probablement été fort utile un jour de gastro-entérite. Les mèmes qui auraient un orgasme médiatique et hurleraient au racisme si un blond aux yeux bleus transformait en sashimis une femme voilée, accusent de récupération ceux qui font un lien entre cette affaire (et toutes les autres) et la gestion déplorable de l’immigration qui fait qu’on vient de rapatrier de Syrie 15 épouses de djihadistes et leurs 40 enfants auxquels à en croire Éric Ciotti ou Marion Maréchal, il suffirait d’imposer l’uniforme à l’école pour en faire des descendants putatifs de Vercingétorix. 

Certes il y a de véritables charognards politiques qui dépassent les bornes et je ne parle pas d’Élisabeth éponyme qui est à deux doigts de porter un col roulé de l’utérus, mais de ceux, notamment dans l’entourage d’un Z qui ne veut pas dire Zorro, qui sont allés jusqu’à déposer le nom Lola avec quelques dièses autour. Pour autant, comme on ne peut récupérer que quelque chose qui existe et dont personne ne fait rien, le concept même de récupération est avant tout une escroquerie intellectuelle pour justifier un deux poids deux mesures permanent selon qu’on appartient au camp du bien autodésigné ou non ; le fait pour Macron de faire une pirouette à 180° et de recevoir la famille de la victime à l’Élysée, avec un air constipé de circonstance, n’ayant, bien sûr, rien à voir avec de la récupération. Mais pourquoi s’en priverait-il puisque ça fonctionne dans un pays tombé tellement bas au niveau raisonnement que j’ai dû récemment expliquer patiemment à une femme à moustache d’un mètre 80 pourquoi un poulet aux hormones, tant qu’il ne pond pas d’œufs, est libre de couver des Kinder-surprise si ça l’amuse, mais ne saurait exiger des autres d’être appelé une poule. 

C’est une évidence que la criminalité a existé avant l’immigration de masse et qu’il y a toujours eu des Landru et des Petiot, mais les faits étaient suffisamment rares pour justifier la une des journaux et leurs auteurs suffisamment complexes dans leur psychopathie pour faire de leur vie un roman apte à remplir des pages entières, alors que ces coups de couteau monotones, pour un mauvais regard ou une cigarette, qui sont devenus notre lot quotidien, même en donnant la marque du couteau et la météo du jour ne laissent plus matière qu’à quelques lignes à la rubrique des chiens écrasés par des voitures électriques ; parfois un paragraphe quand on décapite à l’opinel (le padamalgam n’étant pas la seule raison de la discrétion médiatique). J’omets volontairement, entre les deux, les simples fournisseurs de réseaux pédophiles pas forcément français à la Emile Louis qui sont déjà le produit d’une globalisation du crime. 

Nous sortons quand même, et je l’ai connu dans ma jeunesse, d’une période où les rues étaient devenues sûres tant pour le Français moyen que pour la téméraire en minijupe lesquels pouvaient sortir quand bon leur semblait et aller partout sur le territoire avec une chance de survie plus que raisonnable. Donc oui, l’immigration de masse fait une différence en matière de criminalité. Ne serait-ce que parce que, contrairement à nos criminels (pour lesquels on n’a guère le choix) les leurs on peut les éviter. On me rétorquera, et c’est vrai, que si l’on considère qu’il n’y a parmi eux ne serait-ce qu’un pour cent d’individus non intégrables et potentiellement dangereux (ce qui est, à mon sens, une fourchette basse) empêcher d’entrer ou faire repartir les 99% qui restent semble particulièrement injuste et disproportionné.

Mais est-ce moins injuste, sachant que ces derniers ont, pour la plupart, un autre pays, que d’exposer nos enfants qui eux n’ont pas cette chance et sont encore plus nombreux à près de 200 000 criminels supplémentaires (sur une base de 1 pour cent) ; sans compter tous les problèmes que charrie le multiculturalisme comme les quasi-émeutes dans les collèges, non pour exiger (à la grande déception de Pap Ndiaye) encore plus de cours sur la théorie du genre et le devoir de mémoire, mais pour, entre autres revendications, réclamer le droit au port (avec un T) de l’abaya. 

La raison d’être d’un Pays est justement de choisir dans ce genre de situations et précisément de choisir les siens. Un choix qui doit fonctionner dans les deux sens. Quelqu’un qui choisit un pays se devant de le faire complètement et n’ayant pas vocation à avoir une double, voire une triple nationalité et autant d’allégeances qu’elles soient religieuses ou culturelles. Le fait même que nous ayons des gens qui se considèrent eux-mêmes comme des Français de papier prouve que la république, laquelle encourage ce genre de pratique, n’est pas un pays et certainement pas la France. 

Donc plutôt qu’une lutte horizontale contre ceux qu’on a fait entrer, il faudrait commencer par viser ceux qui ouvrent la porte avec, en premier lieu, un Emmanuel Macron qui, pas à une contradiction près, après nous avoir saignés à coup de 49.3, avec l’assentiment du RN et de la NUPES qui n’ont pas les couilles de signer une motion de censure ensemble, a pour projet de remplir nos campagnes, privées de chauffage, de ressortissants africains dont la résistance au froid, comme chacun le sait, est proverbiale. Si c’est le genre de raisonnement qui vous donne mal à la tête oubliez, car, petit clin d’œil cosmique, après l’essence, la pénurie du jour c’est le paracétamol. Dans d’autres pays, comme en Angleterre on vire les incapables quand ils font n’importe quoi avec le budget, mêmes si, gage d’excellence, on avait pourtant misé sur une femme prête, selon ses dires, à appuyer sur le bouton nucléaire et qui s’était entourée du premier gouvernement sans homme blanc de l’histoire britannique. Qu’est-ce qui a bien pu foirer ? On avait pourtant coché toutes les cases. Cela restera pour toujours un mystère. 

Sinon, côté troisième guerre mondiale, ceux qui changent les couches de Biden veulent à tout prix une victoire symbolique avant les élections de mi-mandat afin de justifier tous les milliards dépensés en Ukraine, quitte, selon certaines rumeurs, à faire sauter un barrage hydro-électrique, au mépris de toutes les conventions internationales et ils sont prêts à sacrifier autant de chair à canon ukrainienne que nécessaire pour cela. Peu importe que ça ne serve à rien, un hiver à -20 degrés avec des installations électriques au trois quarts détruites et un nouveau front de 900 kilomètres sur le point de s’ouvrir sur la frontière biélorusse, rendant une victoire de l’amateur de piano à queue Zelinsky à peu près aussi probable que l’hétérosexualité du compagnon de Jean-Michel Trogneux. 

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mercredi 12 octobre 2022

Si vous avez déjà perdu un proche, ça vous parlera peut-être (12 oct. 2022)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/nrlmZr-Rb8w

Bonjour!

À l’instar de notre balance commerciale, ce qui restait de ma mère, est décédé, ces jours-ci, à l’issue d’un Alzheimer qui avait fortement diminué son indice carbone. Alzheimer c’est un peu l’évolution à l’envers, vous passez de l’homme à l’animal avant de finir à l’état végétal avec, de temps à autre, sinon ce ne serait pas drôle, des petits flashs de conscience pour bien vous rendre compte de la situation. L’entourage est condamné à assister, impuissant, à cette descente aux enfers et à voir ses souvenirs de l’être cher souillés façon Joconde aspergée d’un seau d’excréments. C’est un peu comme la France qui, peu à peu, oublie ce qu’elle a été et se liquéfie inexorablement en un tiers-monde multiculturel. Feu mon père, en comparaison, a gagné au loto avec son cancer pourtant pas spécialement indolore, trouvant la force, dans ses derniers instants, de lancer une ultime vanne en prenant la pose d’un cadavre dans un cercueil et en articulant avec un dernier sourire « C’est bien comme ça ? Je n’ai pas encore l’habitude ». Au moins, je sais de qui je tiens mon sens de l’humour. 

Même si, question de survie, j’avais déjà fait mon deuil depuis longtemps, le décès d’un proche, a fortiori votre dernier parent vivant, dernier paravent entre soi et la confrontation avec le fait que désormais on est le suivant sur la liste, est une de ces étapes qui amènent à faire une pause au milieu du chaos, à faire un peu d’introspection et à s’interroger sur le sens de la vie, d’où cette vidéo, un peu à la « campagnol » (pour ceux qui connaissent) et donc sensiblement différente du format habituel, mais je crois que nous avons tous besoin, par les temps qui courent, de cette petite pause et de cette réflexion. 

Par ailleurs, hormis la troisième guerre mondiale, les viols, agressions de rues et coups de couteau habituels, les pénuries d’essence (en attendant les coupures d’électricité et de téléphonie mobile), une inflation à deux chiffres, le compteur Linky qui arrête à distance les ballons d’eau chaude, les box Internet qu’on va vous couper la nuit, Macron qui porte un col roulé et Obono qui nous invite au cannibalisme, il ne se passe pas grand-chose dans l’actualité. 

Comme ma mère était croyante, j’ai eu l’occasion, en vue de la préparation de l’office religieux, de discuter avec un prêtre et, ce dernier étant de la vielle-école, ce que j’appréhendais comme un pensum nécessaire dans ce parcours du combattant qui suit généralement un décès, s’est avéré être un échange plutôt enrichissant. Je me suis rendu compte que même lui était contaminé par cette idée absurde et relativement récente que le but de l’homme est d’être heureux. Le but de l’homme, en tout cas occidental, est de bâtir quelque chose qui lui survive et il aspire avant tout à la stabilité nécessaire à pouvoir faire des plans, se projeter dans l’avenir et fonder une famille. Le bonheur n’est qu’un sous-produit de basse intensité de cette stabilité, tellement discret que faute de discipline pour prendre le temps de s’arrêter et de l’observer, on ne le remarque que quand il n’est plus là, quand on réalise, par exemple, que tandis que nous étions occupés à des choses qui nous semblaient importantes, les enfants sont subitement passés des couches-culottes en deuxième année de BTS sans qu’on sache comment. De même, le bonheur d’être jeune qu’on ne réalise que quand on est vieux, le bonheur d’avoir quelque chose dans son assiette qu’on ne réalise que quand elle est vide, le bonheur d’avoir du chauffage que, grâce à Macron, on va tous réaliser bientôt… 

Ce qu’on confond avec le bonheur c’est la jouissance, laquelle, elle, est de haute intensité et à la portée du premier imbécile venu (ce qui inclut 99% de notre classe politique). Une jouissance addictive et particulièrement destructrice que les intoxiqués aspirent à être continue et que le système nous vend comme la raison même de l’existence du consommateur que nous sommes avec le pouvoir d’achat pour toute transcendance. Dès lors, comment ceux qui croient encore en un dieu, comme, par exemple, les musulmans, pourraient-ils cohabiter avec ceux qui ne croient qu’au pouvoir d’achat, a fortiori sous la bannière factice de la laïcité, concept franco-français incompréhensible pour le reste de la planète. 

Quand on perd un être cher, il peut être réconfortant de croire au paradis, concept auquel pour ma part je n’adhère pas, mais qui fait de l’idée d’un paradis sur terre technologique (qu’on nous promet pour demain et qu’on nous vend sous le nom de « progrès ») une hérésie. Notre vie, si l’on peut et doit apprécier ses petits moments de magie (lesquels se révèlent à qui sait les voir), est avant tout une succession d’épreuves qui nous polissent, un système de filtrage à base de boues (pour rester poli) supposé débarrasser nos âmes des perturbateurs endocriniens pour qu’elles ressortent pures de l’autre côté, façon Darmanin après un non-lieu. Si l’on adhère à l’idée de paradis, il est donc vital que le Monde reste imparfait pour continuer à jouer son rôle de forgeur d’âmes et de caractère et même si, encore une fois, ce n’est pas ma conception, on ne peut que constater le niveau impressionnant de décadence et de faiblesse morale, physique et intellectuelle collective auquel nous ont conduit seulement quelques décennies de ce que macron qualifie « d’abondance ». 

Une conception de « mal nécessaire » que défendait l’église d’avant les droits de l’homme et qui était la seule réponse possible à la contradiction apparente de ce dieu d’amour qui nous prenait nos êtres chers tout en rendant la vie facile à quelques pourritures qui, elles, devenaient centenaires ; réponse qui, accessoirement, sans invalider pour autant ce qui précède, contribuait à faire que les exploités acceptent leur condition qui rapportait beaucoup en échange de la promesse du paradis qui, elle, ne coûtait rien. 

De même, il n’y a pas de paradis sans don de soi, ou plutôt d’oubli de soi et d’un nombril sacralisé, pour en ouvrir les portes ; que ce don se matérialise par des actes ou des espèces. Un don qui ne saurait être qu’individuel et d’humain à humain. Le fait de le collectiviser et de l’impersonnaliser sous le prétexte, à minima présomptueux, de construire un monde meilleur et de placer au centre un homme universel, est, d’un point de vue religieux, là encore, sinon une hérésie, une contradiction. Un état, ou une association n’ont pas vocation à être généreux et les entités non humaines qu’ils sont, à être sentimentales. L’amour ne se collectivise pas. L’amour ne se numérise pas. 

Selon ce principe, un individu qui enjambe son prochain (à savoir le SDF au pied de son immeuble) pendant qu’il accueille un lointain qu’il ne connaît pas (c’est-à-dire toute la misère du monde) aux frais de la collectivité, si paradis il y a, ne le gagne pas. Surtout si l’on considère que ce que paye un migrant aux passeurs pour venir suffirait à acheter un aller en avion en première classe, chose qui soulèverait un tantinet moins de compassion parmi ceux qui n’arrivent plus à se payer un plein. Par ailleurs, il lui faudrait alors montrer patte blanche et se soumettre à une multitude de contrôles tandis que s’il arrive en nageant et en rampant, validant ainsi notre sentiment de supériorité et un paternalisme pour le coup réellement raciste, alors toutes les portes s’ouvrent et les questions disparaissent. Ce n’est pas pour rien que certains nous haïssent et nous méprisent. 

Après une discussion animée sur l’œcuménisme à sens unique, Vatican 2 et mai 68, nous avons justement évoqué l’amour et la haine. Là encore, il avait cette conception de deux choses totalement distinctes plutôt que des faces d’une même pièce, l’amour étant, selon lui, le don ultime de Dieu. Je lui ai alors suggéré que Dieu, quoi qu’on mette dedans, nous faisait cadeau de la pièce entière qu’il plaçait en équilibre sur la tranche et que le but n’était pas de tomber dans la facilité en la faisant basculer d’un côté ou de l’autre, le saint et le monstre étant également libérés de leur humanité et de la corvée d’avoir à faire des choix, mais de la conserver ainsi en acceptant nos parts nécessaires d’ombre et de lumière. Je lui ai rappelé les marchands du temple et le fait qu’il y a forcément une hiérarchie dans les commandements de sorte que, s’il appartient à l’individu, lorsqu’il est attaqué, de choisir de se sacrifier au nom de sa foi plutôt que d’exercer la violence, dès lors qu’il est question de protéger ceux qu’on aime « tu ne tueras point » entre en contradiction avec un principe supérieur et devient relatif, sans quoi tendre l’autre joue, tout autant que la haine aveugle, nous voue à l’autodestruction. 

Il m’a objecté Gandhi et je lui ai rétorqué que si d’autres n’avaient pas fait le sale boulot rendant la position des Anglais (les vrais, pas ceux du stade de France) intenable et qu’en lieu et place desdits Anglais et de leur souci d’image purement occidental, il y avait eu un Gengis Khan, sa tête aurait fini au bout d’une pique et qu’on n’en aurait plus entendu parler. La non-violence, pas plus que la violence, n’est une solution universelle et la façon saine de survivre sans tomber dans la fourberie (qui elle aussi, peut-être efficace, mais n’ouvrira pas la porte du paradis) est de rechercher la force que seule peut donner la foi, la détermination ou l’adhésion à un but qui nous dépasse. Une force que l’église, autocastrée en tombant d’un seul côté et en sortant du spirituel pur, a, à mon sens, perdue en route. 

Tandis que, visiblement ravi d’être un peu titillé et de pouvoir revisiter ses fondamentaux, il prenait des notes en vue de son homélie, je lui faisais remarquer qu’en partant du postulat que le bien et le mal existent, il serait terriblement efficace (parce que logiquement absurde), lorsqu’on cherchait le bien, d’édicter des lois contre l’amour, lois qui ne feraient que le renforcer tellement il fait partie de nous. De la même façon et pour la même raison, n’est-ce pas servir le mal que de pondre des lois contre « la haine », quoi qu’on puisse entendre par là ? 

Avant qu’il puisse me répondre, comme ces temps-ci ça meurt beaucoup, nous avons dû, un peu à regret, arrêter là la conversation, le rendez-vous suivant piaffant depuis un bon moment devant la porte du presbytère. Dans tous les cas, j’en ai retiré la réalisation que ma mère était de ces gens, capables de temps à autre, de faire une pause pour apprécier ce qu’elle avait et qu’elle n’avait jamais été, quand elle était elle-même, une simple passagère de sa propre vie, ce qui m’a un peu réconforté et que je vous souhaite à tous.

dimanche 2 octobre 2022

VIOLS DE RUE – OÙ EST SANDRINE ROUSSEAU ? (2 oct. 2022)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube https://youtu.be/w_CCTqzHtVg

Bonjour ! 

Récemment, à Nantes, à même un trottoir visiblement trop élargi par les féministes, une jeune femme a eu le pipeline explosé, à l’américaine, par non pas « Afrique-du-Nord-stream » 1 et 2, mais par 3 ressortissants soudanais dont je doute que l’intention ait été de détruire l’économie allemande (et, avec elle, celle de l’Europe, condamnée ainsi à être l’éternelle vassale des USA) coupant court à toute tentation de renégociation avec les Russes, en cas d’émeutes ; la paix étant peu profitable au complexe militaro-industriel. 

Certes, l’enrichissement culturel dont je parle n’a duré qu’une petite heure de rien du tout laquelle, théoriquement, ne permet guère plus de 10800 va-et-vient enthousiastes. C’est peut-être comme cela, d’ailleurs, que nos ancêtres ont découvert le feu. À peine de quoi donc, générer un léger sentiment d’insécurité ; d’autant que la victime laquelle, manque de chance, est tombée sur trois brebis galeuses non représentatives des migrants (en lieu et place des meutes d’Aryens à croix gammées qui, généralement, commettent ce genre de forfait) a insisté pour qu’on ne fasse pas d’amalgame. Une heure donc, le temps que la police dont, selon le maire de Nantes, « ce n’est pas le travail d’empêcher les viols », arrive avec, je suppose, un ou deux seaux d’eau froide. Une police qui, par la bouche d’un de ses représentants, s’est épanchée sur les ondes et le sort de ces malheureux, désemparés (façon Marlène Schiappa devant un pèse-personne) en raison du choc culturel à la vue d’effrontées qui les narguent en se déplaçant seules. 

Probablement que les coups subis (sans amalgame) par la lady de Nantes (dans l’esprit Henri IV) visaient en fait à écraser un culicidé qui menaçait sa joue délicate, qu’ils l’ont délestée (toujours sans amalgame) de son téléphone pour la protéger des ondes et que le but de l’opération de ramonage était simplement de la réchauffer à pas cher (avec juste ce qu’il faut d’amalgame) en réponse patriotique au col roulé de Bruno Lemaire qu’on n’ose imaginer dans la Doudoune entrouverte d’Élisabeth Borne, les deux nous prenant, visiblement, pour des élèves de grande section de maternelle. Face à tant de civisme, il est, apparemment, des Légions d’honneur qui se perdent. 

La seule fois où j’ai assisté à une scène similaire sur un trottoir, il s’agissait d’une meute de chiens, agglutinés autour de la bergère allemande du voisin qui s’était échappée en quête d’amalgame. Devant sa taille, les plus petits, dont le mien (auquel je n’ai plus jamais reparlé depuis), en étaient réduits à s’approprier une patte chacun contre laquelle ils se frottaient hystériquement, avec un air très con, comme si, même eux, quelque part, se rendaient compte du côté pathétique de l’acte. Même Darmanin, dans un sursaut de dignité humaine, a, j’espère, la décence élémentaire de fermer la porte de son bureau quand il promet de rendre un service. Idem, je suppose, pour tous les faux-culs donneurs de leçons de la France Insoumise et des écologistes qui, ces derniers temps (mais gardons-nous des amalgames) semblent victimes, eux aussi, d’une vague de darmanite aiguë. « Les cons ça viole en escadrille », aurait dit feu Chirac. 

Mais dans le cas qui nous occupe, visiblement, misère sexuelle (conséquence du fait d’être en bas de la chaîne alimentaire) aidant, un nouveau pas, petit pour le condom et grand pour l’humanité, a été franchi en direction du progrès. On ne s’en rend pas forcément compte, car la chose ressemble furieusement aux pratiques de l’homo erectus, mais lui n’avait pas les trottoirs. Les droits-de-l’homme (escroquerie justifiant l’immigration « de charité » -contre bonne conscience - défendue par les féministes aux frais du contribuable) finissent donc, au bout du compte, comme c’était prévisible, par détruire les droits… de la femme. Droits fragiles qui se fissurent avec le vernis d’une civilisation qui prétend faire d’elle un homme comme les autres dans un total mépris de sa nature et de ses aspirations profondes d’où, peut-être, le nombre non négligeable d’amatrices de padamalgam qui semble, inconsciemment, pressé qu’on les lui retire. 

Dans tous les cas, même si tout le monde n’est, bien sûr, pas à amalgamer dans le même panier, dans un pays où (selon une note de l’INSEE du mois de juillet) 40% des naissances sont d’ores et déjà issues de l’immigration, il faut être inconscient pour continuer à importer massivement des populations issues de cultures différentes auxquelles on n’a aucun travail à donner, dont 80%, selon une étude suédoise, retourne en vacances dans son pays d’origine et dont un pourcentage restant à déterminer (surtout pas d’amalgame) est apparemment totalement incapable de réfréner les pulsions de son cerveau reptilien. Des individus qu’on espère peu représentatifs et qui, faute de la capacité d’appréhender les conséquences de leurs actes, n’ont peur de rien, de sorte que même Léa Salamé, remake des dents de la mer à elle toute seule, n’est plus forcément à l’abri de se voir, un jour, imposer une fellation sur bitume. Autant dire qu’à ce niveau de prise de risque, tout espoir est perdu pour l’humanité. 

Car non, il ne s’agit malheureusement pas d’un cas isolé, ni même d’un cas rare, comme vous en convaincra un petit tour sur FdeSouche qui, certes, moins pointilleux que moi sur le pas d’amalgame, a tendance à être orienté dans ses sélections de faits divers, mais qui ne les invente pas pour autant. En attendant que les prochaines victimes expérimentent l’amour de l’autre, la tête dans une bouse de vache (toujours sans faire d’amalgame) et ce, grâce à Macron, lequel ne se pose jamais la question de savoir si cette immigration est nécessaire et qui, plutôt que d’y mettre fin, veut la répandre dans les campagnes, force est de constater que les individus pétris de romantisme adeptes de cette nouvelle pratique citadine (et bientôt contadine), individus que, pour le cas qui nous intéresse, j’appellerai Marcel, Maurice et Pierre-André afin de ne pas faire le jeu de l’extrême droite, sont tous issus d’un continent que je ne citerai pas pour la même raison. No pasaran ! 

Peut-être que si je fais un peu de mansplaining on entendra enfin Sandrine Rousseau ou Rokhaya Diallo dont l’indignation sélective semble assujettie à des équilibres délicats me conduisant à me demander ce qui se passerait dans leur tête si une femme transgenre au teint pâle devenue homme circoncis à kippa violait une femme fortement mélaninée militante du Rassemblement National une année bissextile un jour de ramadan. De même qu’il a été démontré que si on traumatise un rat (en l’électrocutant tout en émettant une odeur particulière), ses descendants sursauteront (comme Brigitte quand on l’appelle Jean-Michel) dès qu’on leur fera sentir la même odeur (phénomène à cheval entre l’atavisme et l’épigénétisme), il est plus que probable que nos gènes transmettent beaucoup plus que de simples caractéristiques physiques et qu’on n’efface pas des siècles, voire des millénaires, d’une culture et d’un comportement donnés avec un stage citoyen sur l’inclusivité et trois drapeaux arc-en-ciel. D’ailleurs, chez les humains, certains se crispent toujours, à la moindre odeur de gaz, 80 ans après la mort de leur arrière-grand-père et d’autres, présent sur le territoire depuis 5 générations, ne se considèrent toujours pas comme Français, d’où l’intérêt d’une immigration le plus cohérente possible. 

Il est donc urgent d’apprendre de nos erreurs et de refermer la porte qui a été ouverte dès 1791 par l’acceptation, à côté de la communauté nationale, non d’individus, ce qui ne posait et ne pose toujours pas de problème, mais bien (du fait d’avoir toléré le consistoire et plus tard le CRIF) d’une autre communauté (que je ne nommerai pas). Une brèche par laquelle se sont, ensuite, engouffrées toutes les autres. La communauté nationale ne saurait, par définition, en tolérer d’autres, peu importe comment elles se comportent. Résultat, nous vivons dans un pays où ça ne choque personne que tuer quelqu’un parce qu’il est prépuçophobe, racisé ou partisan de « l’anus » dei constitue une circonstance aggravante et donc s’avère plus grave que de tuer un Français lambda ce qui, en regard du principe d’égalité, pose un sérieux problème, la vie des uns n’étant pas supposée valoir plus que celle des autres. La discrimination, seule arme permettant de lutter contre le communautarisme est interdite, dans le seul sens qui serait-utile, envers les gens qui ne sont pas français ou uniquement français, rendant le concept même de pays sans objet. 

Chacun pourtant, peut admettre facilement qu’il serait judicieux de discriminer, par exemple, les psychopathes lesquels (je ne vise personne) ne devraient pas avoir le droit d’être présidents. Dans la même veine, lorsqu’un classement nous place désormais entre la Malaisie et le Brésil et juste avant l’Afrique du Sud en matière d’insécurité dans les grandes métropoles, une forme de discrimination devrait s’imposer, devant la montée de ladite insécurité « sentimentale », ne serait-ce qu’au nom de ce principe de précaution quasi religieux qui a justifié des vaccinations de masse forcées avec un produit expérimental, y compris sur des gamins, des confinements discutables et la mise à sac d’une partie de l’économie. Un principe de précaution qui, soudainement, s’évapore comme notre balance commerciale, devant les notions foireuses et élastiques (propres au seul occident) de racisme et d’antisémitisme qui sont (en dépit d’une distinction arbitraire soigneusement entretenue) les côtés pile et face d’une même pièce. 

Il en découle que les figures juives médiatiques anti-immigration véhémentes d’un côté et les immigrationnistes « antisionistes » des mêmes médias de l’autre, à l’instar de tous ceux qui, d’une façon ou d’une autre, nous font croire qu’on peut éliminer un des deux côtés sans éliminer la pièce sont, de ce point de vue, des escrocs ou des idiots. Personne dans la sphère politico-médiatique n’ayant les cojones d’aborder la problématique dans sa globalité et sa complexité par crainte d’excommunication, en attendant que, dans pas trop longtemps, le niqab devienne obligatoire, la vie va devenir compliquée pour les femmes fortes et indépendantes qui ont eu la naïveté de remplacer la protection d’un homme qu’elles ont contribué à castrer par celle de l’état dont, actuellement, pour celles qui n’auraient pas compris l’escroquerie, le bras séculier est quand même Gérald Darmanin. Mais, encore une fois, pas d’amalgame. 

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