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dimanche 28 août 2022

Pourquoi l’homme enceint était inévitable (28 août 2022)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube  https://youtu.be/OTS_CeBWlb4

Bonjour ! 

Il y a quelques années, un certain Boris Le Lay avait débordé de la casserole en manifestant son désarroi devant le concept de « Celte noir », désarroi qui lui a valu les ennuis judiciaires que l’on sait lesquels l’ont conduit à s’expatrier au Japon, probablement en quête d’un Japonais bleu à pois verts. Dès lors qu’il est communément admis, sous peine de risquer d’aller faire du karting en prison, que n’importe qui peut être Français à partir du moment où il est administrativement reconnu comme tel, pourquoi un individu administrativement reconnu comme un homme, ne pourrait-il pas être enceint ? Ce n’est que le prolongement de la même logique. 

Certes certains diront qu’un père sans paire, c’est le moindre mâle, surtout qu’il peut être mère, (voire maire) et qu’alors la fille au père (qui est aussi la mère) pouvant aussi être au pair au bord de la mer, on s’y perd (surtout quand on est mère) ce qui peut rendre amer le père, la paire, la mère ou le maire (avec ou sans paire), même si l’amer chez un père est toujours mieux que l’acide d’une mère de vinaigre, vinaigre qui reste préférable, pour un père déjà sans paire, à pas de vie du tout. 

Nonobstant, quand on l’observe bien, le concept d’égalité n’existe pas dans la nature et, de même que certaines opinions mathématiques sur des comptes ronds ne sont pas des opinions, mais des délits, ladite nature n’ayant pas de représentant légal, c’est donc ce que décrète la loi de la république qui prévaut. Une république qui, sauf à saper ses fondements et son triptyque, se doit, par conséquent, sous peine de reconnaître qu’elle est basée sur un mensonge, d’aller autant que possible à l’encontre des lois naturelles. Dès lors, si vous vous vous introduisez, avec les précautions d’usage, une jolie plume multicolore dans le sphincter anal, que vous vous considérez comme un oiseau et que vous êtes administrativement reconnu comme tel, vous êtes donc un oiseau. Point barre. Il ne vous reste plus alors qu’à vous élancer majestueusement du haut d’un immeuble en remuant les bras très très, mais alors très très vite et en faisant cui-cui. 

Peut-être même qu’un jour, avec beaucoup de persévérance et d’opiniâtreté, si vous couvez assez longtemps ce qui sortira dudit sphincter et que vous y croyez assez fort, vous serez l’heureux parent 1 de quelque chose, même si ce quelque chose n’ira pas forcément à l’école, comme dirait Dieudonné, incarnation d’un autre concept républicain particulièrement novateur : le « Nazi noir » ; concept qui n’a fait moufter personne et à côté duquel, pourtant, l’homme enceint, c’est du pipi de chat transgenre. 

Je ne comprends pas trop les féministes qui s’insurgent contre l’idée même d’homme enceint, sachant que l’égalité qu’elles se sont fourvoyées à réclamer à cors et à cris, plutôt que du respect et de la reconnaissance, ne peut passer que par l’éradication des différences. Deux poulets plumés seront plus semblables entre eux qu’avec leurs plumes sur le dos et ils atteindront l’égalité parfaite quand ils seront transformés en escalopes de 125 grammes sous cellophane. Au prétexte d’être l’égale de l’homme, tout dans le féminisme pousse la femme à en devenir un. Mais même en travaillant, en ne faisant plus d’enfants, en buvant, en se tatouant, en s’adonnant au sexe récréatif (idéalement avec d’autres femmes à cheveux roses et bleus sur la partie pas rasée du crâne), en cassant la figure (dans les films et séries seulement) à des hommes deux fois plus lourds qu’elle, en se laissant pousser les poils et en cessant totalement d’être une femme, elle peine à devenir un homme à menstruations comme les autres. 

La féministe qui n’a toujours pas compris qu’une fois que le barrage a cédé pour des choses qui pouvaient sembler désuètes, raisonnables et évidentes, il n’y a plus aucun moyen d’empêcher qu’il ne se vide totalement, plutôt que d’être reconnaissante, n’est pas contente non plus quand c’est l’homme qui fait l’effort de devenir une femme et que, par exemple, la police en vient à expulser des femmes lesbiennes de la marche des fiertés au Pays de Galles parce que leur présence « provoquait une confrontation » avec des hommes biologiques qui s'identifient comme des femmes transgenres. Je n’invente rien et je comprends mieux pourquoi les gens qui viennent en Europe revendiquent le droit d’asile, conscient, eux, qu’ils y vont tout droit… à l’asile. 

La conclusion logique du féminisme et de l’égalitarisme républicain est donc la déconstruction à la Sandrine Rousseau (dont le compte Twitter parodique compte désormais plus d’abonnés que l’original), c’est-à-dire la destruction et de l’homme et de la femme dans un brouillard transsexuel, post sexuel et finalement asexué avec, en bout de course, un implant numérique qui ramènera notre identité à un simple numéro, parfaitement égalitaire. Mais c’est toujours mieux que de faire des gosses et de les regarder grandir avant de choyer ses petits-enfants, surtout quand on peut, à la place, remplir ses placards de trucs inutiles et vieillir avec un chat castré (ou plusieurs selon l’importance du vide à combler) en regardant des comédies romantiques de couples mixtes sur Netflix. De toute façon, qu’importe puisque, comme la mise au travail des femmes, souvent au SMIC, fait qu’elles ne peuvent plus jouer pleinement leur rôle de ciment de la cellule familiale et ne peuvent pas davantage s’occuper de parents âgés que la solitude et l’isolement poussent vers la sénilité précoce, tout le monde finit en EHPAD à 3000€ par mois (en échange, encore une fois, du privilège de bosser au SMIC), là encore dans une parfaite égalité légumière et incontinente. 

Pour autant, cette enfoirée de nature ayant horreur du vide, l’homme blanc, pourtant suffisamment civilisé pour être avant tout un protecteur si on lui laisse ses testicules, après castration démocratique n’arrive plus à alimenter certains fantasmes émoustillants et nécessaires, mais supposés rester à ce stade. Même refoulé aux fins fonds de l’inconscient de la féministe intersectionnelle 3.4 version bêta, le besoin d’être confronté ponctuellement à de la testostérone pour se sentir véritablement femme explique alors cette compulsion maladive d’en importer massivement de la brute (à tous les sens du terme) en ouvrant la porte à des populations polygames qui, niveau enceintes, ont le Dolby Surround au minimum.

Populations auxquelles mon petit doigt me dit qu’expliquer le concept d’homme enceint (et même de féminisme) rendra, par comparaison, l’enculage de mouches sans vaseline aussi aisé que le récent enrichissement culturel à fort contraste chromatique d’une réfugiée ukrainienne en pleine rue et en plein jour. Vidéo devenue virale, sauf dans les sphères féministes, preuve noir sur blanc, si j’ose dire, qu’il n’est pas bon de mélanger fantasmes et réalité laquelle, faute du vernis civilisationnel adéquat, devient vite cauchemardesque. Un cauchemar qu’on n’arrive plus à étouffer dans les recoins de la presse régionale et à camoufler derrière ce chef-d’œuvre de novlangue qu’est le mot « féminicide ». 

Fort heureusement, il reste des femmes fortes, comme Sana Marin le Premier ministre finlandais, qui vont pleurer à la télé (parce que privilège féminin quand même) quand elles se font poisser à se trémousser en soirée en état d’ébriété en faisant l’éloge de la cocaïne. Comme si la politique avait encore quelque chose à voir avec cette conception patriarcale désuète de la vocation et du don total de soi à son pays et à l’intérêt supérieur de la nation alors qu’il s’agit simplement d’un boulot comme un autre où l’on fait ce que l’on veut de son temps libre, comme du jet-ski, dès lors qu’on a rempli son quota de 38 heures par semaine. Un nouveau principe fondateur que les élues écologistes françaises se sont empressées, en solidarité, de graver dans le marbre en trémoussant le résultat flasque de leur surconsommation énergétique sur des musiques exotiques, mais en oubliant, honte à elles, de convier le moindre homme enceint à monter sur scène. 

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dimanche 21 août 2022

Peut-on encore se révolter en France ? (21 août 2022)

Transcription de ma vidéo sur YouTube  https://youtu.be/bjZUsWS9Yf4

Bonjour ! 

Pour qu’un peuple se révolte, il faut d’abord qu’il y ait un peuple. Comme nous l’ont appris des décennies de cohabitation harmonieuse avec des supporters anglais, sous supervision de supporters auvergnats d’équipe A (et non des kippas) dans ce havre de quiétude et de paix qu’est devenue la France, il est futile de s’entêter à placer une méduse, un des rares animaux dépourvus d’anus, sur un char de GayPride, fût-il en forme de radeau. On ne définit pas le peuple administrativement, c’est lui qui s’auto-identifie charnellement comme tel, instinctivement, en fonction de points communs ethniques, spirituels et culturels et d’atavismes résultant du sang et des larmes des générations qui l’ont précédé et qui en font quelque chose d’unique. 

Il est irresponsable de ne pas en tenir compte avec pour résultat les Peuls qui sont massacrés au Mali dans l’indifférence générale, les Palestiniens qui se font expliquer la démocratie à coups de bombes au phosphore et ces mi-grands mineurs non accompagnés à calvitie précoce qui, trop foncés pour être racistes sous peine de court-circuiter les rares fils qui ne se touchent pas encore dans le cerveau de Sandrine Rousseau, s’adonnent néanmoins entre eux, avec enthousiasme, au redécoupage ethnique à la machette dès que la place est libre entre deux rodéos urbains. Si les peuples s’identifient (et donc automatiquement discriminent) c’est que c’est la condition sine qua non à leur survie en tant que tels. Si un peuple n’y parvient plus, parce qu’on le lui a interdit ou qu’on l’a conditionné au suicide collectif au nom de l’antiracisme pour éviter un nouvel holocauste avec, comble de l’horreur, modernité oblige, des fours à catalyse, à chaleur tournante ou à micro-ondes, il est mort, comme le petit chat des Femmes Savantes … (ou non, si l’on inclut Marine laquelle en a beaucoup). 

Plus le sentiment d’unité est fort, moins la quantité d’énergie (et donc de violence) nécessaire à pouvoir renverser la table est élevée. On peut alors imaginer des formes de résistances passives à la Gandhi voire une grève générale laquelle n’est envisageable qu’avec les solidarités adéquates (impossibles en mode diversité) sans lesquelles on ne saurait tenir sur la durée. Une simple marche vers le centre « officiel » du pouvoir de millions de personnes déterminées à étreindre Macron avec amour suffirait alors à faire décoller un hélicoptère de l’Élysée au mépris de l’indice carbone. En outre, plus la marée humaine est importante, moins le gouvernement, courageux, mais pas téméraire, peut prendre le risque d’une répression sanglante. Plus le peuple est uni, plus son seuil de tolérance envers les abus est faible, moins il est sensible aux divisions artificielles idéologiques et sociétales qu’on essaie de lui imposer et plus il est capable de se sacrifier au nom de principes et d’idéaux qui le dépassent. 

Aujourd’hui, les poilus de 14 s’épileraient à la brosse métallique tandis que leur majeur aurait une crampe ; personne, et c’est compréhensible, n’ayant plus envie de se sacrifier pour ce Wokistan multiculturel dans un EHPAD soixante-huitard à ciel ouvert que la république a fait de la France. Cette indifférence nauséeuse incapacitante est d’ailleurs un des buts recherchés par le système et explique les insultes et provocations constantes d’un Macron qui cherche à nous écœurer de nous-mêmes. 

Il faut alors descendre très bas dans le répulsif pour espérer trouver un dénominateur commun qui pourrait provoquer une unité dans la révolte ; surtout quand on pense que ledit Macron a pu impunément, outre ses insultes et son mépris, commettre des actes de haute trahison et de trafic d’influence, des mutilations, des meurtres de personnes âgées au Rivotril et qu’il a pu démolir l’économie et les bases de la société tout en œuvrant pour la troisième guerre mondiale par ses positions en Ukraine. Il a pu le faire en gardant aux lèvres cette grimace (évocatrice de l’extase d’une personne ternaire ascendant crevette se faisant refiler la variole du singe par King Kong) qui lui tient lieu de sourire artificiel, pendant que les gens continuaient à regarder Netflix et qu’une partie d’entre eux a même trouvé judicieux de le réélire. Je ne sais pas ce que contient le fameux dossier « President of France » trouvé chez Trump par le FBI, mais même s’il s’avérait que Brigitte ait un chromosome Y coincé entre sa perruque et ses prothèses mammaires, je ne pense pas que cela suffise à secouer l’inertie ambiante. 

Il faudrait descendre encore plus bas dans le sordide au risque de trouver la preuve que l’enfer existe ou du pétrole pour les plus optimistes. À ce stade, la seule chose qui pourrait, peut-être, provoquer un front unitaire serait (sous réserve qu’une totale omerta médiatique ne vienne pas couvrir les faits) que ledit Macron soit coupable de pédophilie avec sacrifice rituel d’enfants à la brosse à dents électrique ; et encore, à condition que les enfants en question soient issus de familles musulmanes afro-maghrébines, la solidarité des quartiers, contrairement aux autochtones, même sur ces principes, ne jouant que si leur groupe ethnicoreligieux est directement menacé. 

J’entends dire que les gens bougeront quand les frigos seront vides de ces merdes chimiques aromatisées cancérigènes qu’on leur refourgue comme de la nourriture pour masquer le fait qu’il n’y en a déjà plus pour tout le monde depuis longtemps. C’est un raisonnement d’Occidental. Il faut garder à l’esprit que les populations allogènes présentes sur notre territoire ont mis en place des systèmes de solidarité et d’entre-aide dont les autochtones (seul groupe auquel on interdit tout réflexe communautaire et de se regrouper entre-soi) ne bénéficient plus et qui les rendent beaucoup plus résilients que nous. Par ailleurs, ils ont instauré toute une économie parallèle faite de travail à la « personne de couleur » et de trafic de vitamines pour président dynamique. De plus, pour beaucoup, la conquête du pays par l’Islam (qui passe par la mise à genoux économique de la France) ou la revanche contre l’ancien pays colonial (qui passe par la mise à genoux économique de la France) sont prioritaires sur leurs intérêts personnels et s’accommodent très bien de l’agenda mondialiste (qui passe par la mise à genoux économique de la France). 

Même si certains sont tout ou partiellement intégrés et sont susceptibles de réagir comme les autres Français face aux problématiques de pouvoir d’achat, ils seront freinés par l’inertie de leur dynamique de groupe et ils sont, de toute façon, loin d’être majoritaires. Il en résulte mathématiquement, raison pour laquelle le système en importe toujours davantage, que plus la part d’Allogènes, avec ou sans papiers, augmente, plus le pourcentage de la population susceptible de se révolter en raison d’un frigo vide ou d’une inflation à 3 chiffres, diminue. 

Pour autant si, comme c’est hélas largement probable, une catastrophe économique sans précédent fait basculer dans la pauvreté une partie des bobos, des boomers et d’une jeunesse au cerveau complètement lavé par l’éducation, les réseaux sociaux sous contrôle et les médias de masse, la gifle peut être suffisante pour retourner une partie du Boboïstan et, à défaut de soutien, au moins garantir la neutralité des groupes allogènes ne serait-ce que pour ne plus voir la tronche d’Élisabeth Borne laquelle pourtant, par pur esthétisme, me fait reconsidérer mes positions sur le voile intégral. Il y aura alors une fenêtre de tir à ne pas louper sous peine de sombrer dans la guerre civile et le chaos qui s’en suivront quand lesdits Allogènes, comme ils le font partout ailleurs en situation de crise, commenceront à piller les magasins et aller se servir, en bandes organisées, dans les frigos (à pédales faute d’électricité) des autochtones lesquels, eux, ont perdu le réflexe de se regrouper. 

Même si la masse critique de gens mécontents capables de se révolter physiquement était alors atteinte, il n’en reste pas moins que le système a méthodiquement éloigné des centres de pouvoir (fortifiés en Boboïstans de centre-ville derrière une épaisse ceinture allogène) la part de la population susceptible de se soulever non sous forme de bronca, comme les quartiers, mais bien dans le but de le renverser. Cela rend quasi impossibles les déversements spontanés de millions de personnes dans la rue, d’autant qu’il a les moyens de contrôler les transports, bloquer les voies d’accès et rendre les déplacements rédhibitoirement onéreux pour les gens qui auraient le plus de raisons de bouger. Tout ce qui était dangereux, des agriculteurs aux chasseurs a été neutralisé par la corruption de leurs organisations syndicales. 

Le tandem des frères ennemis « NUPES-RN » qui sonne comme « no pasaran » tombe à pic pour maintenir l’apathie populaire en donnant l’illusion que Macron n’a plus le pouvoir, mais hors quelques diatribes et enculages de mouches à visée médiatique, il se garde bien de remettre en cause les fondamentaux. On attendra longtemps un renversement par le parlement comme en Italie. Pas de regret à avoir, car Giorgia Meloni, celle qui pourrait remplacer Mario Draghi, dans une vidéo en plusieurs langues (pour mieux montrer ses dispositions aux gâteries), s’est empressée de donner tous les gages au système tant sur la dette que sur la lutte contre le racisme et l’antisémitisme ou encore l’Union européenne et l’euro qui, avec un atlantisme béat, qu’elle revendique également, sont les cases à cocher pour être adoubé et être sûr que rien ne change. 

Une révolte peut bouillir longtemps, mais le passage à l’acte, s’il veut renverser le pouvoir, se doit d’être bref, la dynamique qui la porte résistant très mal au passage du temps d’autant plus quand elle n’a pas le contrôle du narratif. Le système a retenu la leçon des gilets jaunes qui ont failli réussir grâce à l’effet de surprise, mais ont été victimes du fait que ledit système, tout en ne se privant pas, lui, de l’usage de la force, a réussi à imposer, dans l’inconscient collectif, la non-violence (laquelle, mal comprise et mal pratiquée, n’est qu’une forme de lâcheté) comme une des pseudovaleurs républicaines. Une manifestation pacifique, sur un parcours réglementé, avec retour à la maison avant Hanouna, c’est échanger zéro risque contre zéro efficacité tout en se donnant l’impression d’avoir fait quelque chose et en permettant au système de faire de ces promenades encadrées la preuve frauduleuse que nous sommes en démocratie. 

Quand on a perdu la possibilité de la marée humaine spontanée, la détermination d’aller jusqu’au bout, c’est-à-dire jusqu’à la mort qui va avec, que ce soit la sienne où celle de ceux qui détiennent le pouvoir, que ce soit par idéal ou parce qu’on n’a plus rien à perdre, est la seule chose qui fait peur au système, mais il s’agit-là de violence potentielle, comme celle qui émane d’un rhinocéros, même quand il paît tranquillement de l’herbe et qui ne se manifestera que si on le provoque en refusant de reconnaître le rapport de force et de céder ou de s’enfuir. Elle n’a rien à voir avec la violence systémique, les pillages et destructions de vitrines et mobiliers urbains qui sont un signe de bêtise profonde souvent importée de pays qui, contrairement à une époque où l’occident les vidait sans vergogne de leur matière grise et de leur force de travail, depuis plusieurs décennies et souvent de façon totalement assumée, se débarrassent désormais chez nous de leur surplus de QI à 75 et de leurs cas sociaux irrécupérables lesquels s’ajoutent aux quelques nervis d’extrême gauche instrumentalisés qui vivent dans l’illusion d’avoir le monopole de la révolution et cherchent la prise du pouvoir par le chaos, un tas de ruines étant nécessaire, dans leur imaginaire, à construire un monde meilleur sur ses cendres. 

Se pose alors la question de la différence entre la révolte, probable à court ou moyen terme et la révolution qui est sa suite logique sans laquelle son résultat sera, au mieux, aussi éphémère qu’une promesse présidentielle après un rail de coke. Si l’on commence déjà à parler révolution, c’est-à-dire à s’interroger sur l’après-Macron et identifier les vrais causes et coupables de la situation afin de ne pas répéter les mêmes erreurs, compte tenu de décennies d’abrutissement des masses à marche forcée, c’est la discorde assurée entre les différentes forces nécessaires à ladite révolte. On peut donc faire cette économie, car autant les précédentes révolutions étaient idéologiques et nécessitaient ce travail préalable de conditionnement, autant les suivantes seront organiques et consacreront simplement le retour du réel et de l’acceptation des lois naturelles, ce qui, sauf avènement d’un pouvoir fort et déterminé à faire un ménage sans gants et sanglant (mais avec des burnes) pourrait se traduire, compte tenu des rapports de force et de l’impossibilité du « vivre ensemble » qu’implique l’oxymore lui-même, à minima, car malheureusement on en est là, par des partitions du territoire, en tout cas, dans un premier temps. 

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mercredi 10 août 2022

Bilan de Macron sur l’air de la Marche Turque (si vous arrivez à suivre)(10 Août 2022)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube https://youtu.be/DCFeLCTDys8


 Texte de la chanson :

Le nez de Macron
Est crochu et long
Je n’insinue rien c’est une simple constatation
C’est pratique dirait-t-on
Ça facilite l’aspiration
Parfois de farine
Dans une cuisine
De la neige aussi
Quand l’hiver de froid nous transi
D’autant plus que sans chauffage cette année on est mal partis
Plus de pétrole, bonjour les restrictions
Et c’est bête en plus y a l’inflation
Mais Lemaire a dit que les sanctions
Mettraient Poutine en génuflexion
Peut-être qu’il est con
Je pose la question
Quels sont les critères pour être ministre de Macron ?
Darmanin ou Montchalin
Ça rime avec cré…
C’est pas grave l’essence à 2 euros
McKinsey ça vaut bien nos impôts
En Uber on ira au boulot
Merci Macron pour tous ces cadeaux
Que ça t’en touche une
Sans que l’autre burne
Se soit déplacée plus que les Français vers les urnes
Merci pour l’information
Mais on s’en bat le ….
Quand y aura plus de pain on n’achètera pas des brioches
Et c’est pas Darmanin qui pourra sauver tes balloches
A côté des autos, la clim à fond qui tournent à vide
Fait tourner l’hélico, en cas de tentations biocides
Ya eu Benalla, ses faux passeports ses passe-droits
La vente d’Alstom, l’infâme traité de Marrakech signé au nom des droits de l’homme
Puis McKinsey avant Uber, ton patrimoine plein de mystères puis Arabelle et ses turbines nucléaires
Puis les éborgnés, les amputés, les confinés, le Rivotril pour les ainés, les soignants, les pompiers virés
Et puis encore les financements pas retrouvés, les lois contre la liberté, 700 milliards de dettes que t’as rajoutés
L’école saccagée, l’opération barkhane ratée, les humiliations répétées, les tables en Russie trop allongées
L’hôpital flingué, Notre-Dame pas élucidée, des millions de doses jetées et Pfizer qui s’est bien sucré,
Producteurs laitiers au libre-échange sacrifiés, filière ovine qu’on assassine, la dette pas restructurée et sur l’inflation indexée,
Sans jamais avoir profité, des taux d’intérêts négatifs, maintenant on est en calcifs
Comme un petit chien, sur les sous-marins australiens et pour l’Ukraine comme un pantin encore tu suis les Américains
Le stade de France, ses supporters anglais en transes, au taux de mélanine boosté que c’est beau la diversité.
Je ne parle même pas de tous les gens autour de toi, violeurs, menteurs et harceleurs à qui la justice fait des fleurs, des petits commerces ruinés, des mistrals russes pas livrés, et des conseils scientifiques sous secret défense bien pratique
Quand y aura plus de pain on n’achètera pas des brioches
Et c’est pas Darmanin qui pourra sauver tes balloches
Le truc à perruque
Aux faux airs d’eunuque
Qui fait des papouilles aux personnes mineures qu’il éduque
Qui dépense notre pognon
A refaire la décoration.
Des t-shirts floqués
« j’suis noir et pédé »
Qu’on a vu twerker sur le perron de l’Élysée
Vraiment tu sais plus quoi faire
Pour nous traîner dans la poussière
Ton rêve de donner à l’Allemagne
Notre droit de véto à l’ONU
Toujours prêt à sabler le champagne
Chaque fois que la France l’a dans le cul
J’oubliais black-rock
Avec qui tu troques
Corruption en haut et par le bas coups de couteau
Rajoute trois éoliennes car ça manque au tableau.
Bizarre que la nouvelle assemblée
N’essaie pas de te destituer
Préférant jouer les trublions
Tout en assurant ses positions
Tout le monde est content
Au chaud sur son banc
Et pendant ce temps y a chaque jour plus de migrants
Surtout pas d’affolement on a tout notre temps.
Quand y aura plus de pain on n’achètera pas des brioches
Et c’est pas Darmanin qui pourra sauver tes balloches
A côté des autos, la clim à fond qui tournent à vide
Fait tourner l’hélico, en cas de tentations biocides
Ça finira comme au Sri-Lanka dans la piscine
A moins que Vladimir poutine
Fasse un tir d’essai sur l’Elysée
Il sera pardonné
En plus de ça même aux Pays-Bas les fourches sortent
Il souffle un vent de révolte
Peut-être qu’à force de se faire em…plumer
On peut toujours rêver