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dimanche 28 novembre 2021

Le diner du CRIIF. Parodie satirique.(29 nov.2021)

  Transcription de ma vidéo sur Youtube : https://youtu.be/sYXzVBRkA_A


Bonjour ! 

Pour ceux qui nous prennent en vol, façon Nicolas Hulot faisant crier OUCH ! OUH ! AIE! AAAH ! à des jeunes femmes dans son hélicoptère, nous sommes en direct depuis le diner annuel du CRIIF (conseil représentatif des Insectes Invertis de France) où les gras et (pour ceux qui ont encore des cheveux) les teints des médias et de la politique (certains diront le gratin) se retrouvent pour crier haut et fort qu’ils ne sont ni antimites ni antilopes. 

On me signale que Jean Castex, est excusé car cas contact. Je pense que, dans son cas, on peut enlever le tact car il n’en a pas beaucoup. Il semblerait qu’il y ait un peu d’agitation à la table de Sandrine Rousseau. On m’informe que son homme déconstruit aurait été percuté par la fesse droite de Marlène Schiappa, pourtant assise deux tables plus loin, et les morceaux se seraient éparpillés sur le sol. Sandrine rousseau, qui a visiblement l’habitude, est en train de le reconstituer, semble-t-il, avec un rouleau de scotch. Il semble que, dans la précipitation, elle ait oublié un morceau au milieu de l’allée. Je ne peux malheureusement pas répéter de quel morceau il s’agit à une heure de grande écoute, mais sachez que c’est Florian Philippot et François Asselineau qui, confondant rendre service et « trop aider », habitués à avoir des membres en commun pour avoir le même programme, se précipitent, hélas en même temps, avec enthousiasme, pour le ramasser. Ouh-là-là, leurs têtes se percutent avec un bruit caractéristique d'énarques et, tandis qu’ils se battent à coup d’article 50, le morceau retombe par terre et c’est finalement Gabriel Attal qui le récupère dans sa gueule. Se rappelant qu’il a été un temps rapporteur pour le gouvernement, il se précipite à présent, en remuant la queue, vers Emmanuel Macron auprès de qui il le dépose. Un Emmanuel Macron qui le met dans sa poche, refusant visiblement de le rendre. C’est un spectacle hallucinant, Mesdames, Messieurs… et les autres. 

Brigitte Macron, visiblement vexée, lui crie : « Chéri tu as le même à la maison ! », avant, en désespoir de cause, de lui tendre un nuancier Leroy-Merlin et, réalisant que l’objet oblong en question est finalement un peu trop pâle à son goût, le président se décide enfin à le renvoyer à Sandrine Rousseau en le lui lançant par-dessus les tables. Visiblement moins doué pour le basket que pour le football, il manque son coup et la chose atterrit dans la soupière au milieu de la table où sont assis les républicains, grands amateurs de soupe. Oh, mon Dieu! N’ayant rien remarqué, Valérie Pécresse se sert une louche et, habituée aux couleuvres, avale le contenu d’un bloc, malheureusement de travers. Réalisant sa bévue, elle essaie de cracher, complètement paniquée. Xavier Bertrand, maîtrisant bien la technique, la frappe dans le dos pour l’aider, tandis que Michel Barnier s’assied carrément dessus comme sur une promesse électorale. Éric Ciotti, la voyant devenir noire, faute d’oxygène, lui assène convulsivement des coups de pied tandis que Phillipe Juvin calcule ses chances de survie sur son smartphone et que Renault Muselier, ne sachant plus quoi faire, démissionne. 

Heureusement, Éric Zemmour, qui passait par là, guère épais, pour citer Tolstoï, parvient à se faufiler pour tirer du jeu, ce qui est certainement plus gros que son épingle et sauver la situation. Après un long discours pour expliquer pourquoi c’est la faute à l’islam, il rend la pièce manquante à Sandrine Rousseau qui avoue qu’effectivement, cette partie spécifique provient d’un terroriste Afghan qu’elle a importé pour mieux le surveiller. Que d’émotions chers auditeurs. Un Éric Zemmour qui, par ailleurs, demande à ce qu’on lui remplace son steak au prétexte qu’il était à point. 

Tandis que le calme revient, on peut apercevoir un serveur courant pour transporter des tubes d’aspirine à la table d’Anne Hidalgo qui explique aux autres convives le rapport entre l’antisémitisme et le réchauffement climatique. Yannick Jadot, après deux tubes, réalise qu’effectivement, avec juste des éoliennes, Hitler n’aurait pas pu alimenter ses fours. Éric Dupont Moretti, constatant qu’à cette table ils sont tous bien socialos, s’éloigne précipitamment de peur d’être accusé, en plus du reste, d’abus de bien socialos. Gérald Darmanin, quant à lui semble avoir du mal à dissoudre lesdits cachets d’aspirine. Après un instant de réflexion, il déplace finalement son verre, réalisant que, comme tout le monde l’a remarqué à son sujet, il dissout mieux à droite. Un Gérald Darmanin par ailleurs occupé à rédiger une annonce sur le bon coin avec son smartphone. J’ai un peu de mal à lire, mais il semblerait que l’intitulé soit : « Echange coup de piston contre… coup de piston ». 

Barabara Pompili est venue également, accompagnée d’Elie Sémoun qui se dit qu’à une lettre près c’est jouable. Manuel Valls vient de faire son entrée. Il cherche une main à serrer. Il repart. Marine le Pen, un peu isolée, elle aussi, arbore un T-Shirt : « l’islam est compatible avec la république » assorti d’une robe mi-longue, sans bas, consciente que, pour elle, des bas c’est dangereux et que, à l’instar d’Alice Coffin, elle ferait mieux de donner littéralement et définitivement sa langue aux chats, ceux qu’elle élève dans son cas. On aperçoit également, dans le fond, Arnaud Montebourg, avec un individu mystérieux, peut-être ce fameux « Raymond Tada » dont il parle tout le temps. 

On me signale que Jean Lassalle fait un esclandre à l’entrée devant le prix du repas. Sans lunettes, il avait lu « pas cher » sur le carton d’invitation. Philippe Poutou quant à lui, fidèle à son patronyme, essaie désespérément d’embrasser Emmanuel Macron, confondant taille moyenne et mi-grand. Jean-Luc Mélenchon, lui aussi très impliqué dans la créolisation du pays, s’est complètement arsouillé au Rhum Negrita et, se croyant dans le bus hurle : « l’arrêt république c’est chez moi », phrase que beaucoup ont mal interprétée par le passé. Laeticia Avia, quant à elle, a préféré amener discrètement son casse-croûte dans un gros sac dans lequel elle mord régulièrement. Par ailleurs on me signale qu’un taxi abandonné bloque l’entrée du restaurant, le chauffeur ayant mystérieusement disparu. 

J’aperçois Olivier Véran, passablement éméché, lui aussi, préférant visiblement être dans un état rond que dans un état long, probablement parce que les étalons ont les mors aux dents alors qu’il les a sur la conscience. Un olivier Véran qui a tombé la chemise et fait le tour des tables pour faire tâter son biceps, ne s’arrêtant, de temps en temps, que pour vacciner une femme enceinte. Marlène Schiappa l’encourage à vacciner 2 enceintes à la fois pour lutter contre les « stéréo » types. 

On aperçoit également Albert Bourla le PDG de Pfizer arborant, lui aussi, un splendide T-Shirt. (Il fait très chaud dans la salle). Il semblerait que soit floqué, sur le devant, le mot « MOI » en gros caractères, mais je ne saurais être affirmatif car Claude Posternak, l’homme au « Qui ? Qui ? » circonscrit, écarte les bras devant. Visiblement pour qu’on ne voie pas. Un Bourla (à ne pas confondre avec « Bourre-là », pulsion à laquelle a succombé à plusieurs reprises Nicolas Hulot) en grande discussion avec la presse quant au nom le plus effrayant possible à donner au prochain variant. Après quelques hésitations, Mégatron étant déjà pris et pouvant rendre non « Decepticon », mais même « des cons, sceptiques », on s’orienterait, semble-t-il, vers Omicron. Le chien de Monsieur Bourla, visiblement perturbé par l’agitation, fait mine de s’échapper en direction de la sortie. « Thrombose, au pied ! » Fort heureusement, son maître l’a rappelé, comme vous avez pu l’entendre. Un chien très obéissant. Par contre, la moitié de la salle est à 4 pattes. 

Du coup, j’aperçois Christophe Barbier, euphorique, qui exige que l’on aille frapper chez les non-vaccinés, le « chez » étant facultatif, provoquant une érection chez Emmanuel LechyBre, euh, Lechypre. Leur joie fait plaisir à voir et ils se tapent sur l’épaule, d’où l’expression popularisée dans les années 40 et qui leur va très bien : « les gais se tapent haut. » Juste à côté un certain nombre de médecins de plateau TV partagent convivialement un succulent ragout. A non, au temps pour moi ! J’ai mal lu. Ce n’est pas du ragoût mais du Raoult, arrosé d’un pichet de vin. Pardon, désolé, nouvelle erreur de ma part, il s’agirait en fait d’un pot de vin. Je vois Martin Blachier qui tourne sur place. Quelqu’un pourrait-il fermer la fenêtre? Il y a du vent. Merci. Même lui se demande apparemment comment justifier sur les ondes la poursuite de la politique sanitaire sachant que le nombre croissant de ministres et de personnalités (supposément doublement vaccinées) qui attrapent la maladie, confirme ce que l’on savait déjà : le vaccin, pas plus que la cocaïne, n’empêchent de contracter le covid ou de le transmettre. Il n’empêche pas non plus les formes graves. Ah, désolé ! Nos fact checkers, me corrigent à l’instant : Jean Castex aurait toujours été comme cela. 

Certes, on a retrouvé la vie d’avant comme promis : le confinement comme pendant le moyen-âge, les couvre-feu et l’Ausweis, comme sous l’occupation ; l’Australie met même en place des camps comme à l’époque de l’Union Soviétique, mais je n’avais pas compris ça comme cela. Il semblerait que les nouvelles restrictions, comme les strates administratives, n’annulent jamais les précédentes : les Autrichiens multi vaccinés ont à la fois le masque, le pass et le confinement, tandis que la France en est à la troisième dose et Israël, où la quasi-totalité de la population est vaccinée, à la quatrième. A ce rythme, on va bientôt être à court de non-vaccinés à désigner du doigt pour expliquer aux naïfs pourquoi le bout du tunnel n’est toujours pas visible et que, si la vaccination n’a pas marché, c’est qu’il n’y en a pas assez. J’aperçois Greta Thunberg qui passe entre les tables pour récolter des fonds terrestres pour la préservation des fonds marins en finançant… des cours de natation pour migrants. Migrants dont certains des pays d’origine s’en sortent mieux que nous sans ce produit expérimental qu’on a rebaptisé vaccin et dont la létalité est supérieure à l’ensemble cumulé de tous les autres depuis leur invention. 

En voyant tout ce beau monde bâfrer tranquillement, je ne peux m’empêcher de penser qu’ils ne sont pas plus inquiets que ça et qu’une épidémie de cas, détectés avec des tests PCR (non fiables dans cette utilisation, selon leur concepteur même) ne veut pas forcément dire que les gens sont malades. Par ailleurs, ce virus, pour lequel on a explosé la dette, sacrifié nos libertés et injecté à des enfants des OVNIs (Objet vaccinaux non identifiés) plus sélectif qu’une simple grippe (qui elle s’attaque à tout le monde) ne tue, depuis le départ, qu’un peu plus de zéro virgule 0 pour cent de la population, très majoritairement (même avec le delta) parmi les gens en fin de vie et (ou) avec des comorbidités. Du coup, j’ai quand-même un peu l’impression qu’on nous prend pour des c… Excusez-moi un instant. Oui, OK ! On me signale que je dois rendre l’antenne… et que je suis viré.

mardi 16 novembre 2021

MACRON, enfin pubère, annonce que tout va bien en FRANCE...(16 nov. 2021)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube : https://youtu.be/xtBaiSLFCl0

 Bonjour, 

On savait que Macron était timbré, maintenant on sait qu’il est timbré grave. En effet, si l’on se fie à sa voix à la Dark Vador lors de sa dernière allocution, soit son ectopie testiculaire est guérie, soit il est enfin sorti de la puberté. Un pubère, il fallait bien ça contre un « pus berbère », diront ceux qui, faute d’arguments, comparent médiatiquement Zemmour à une infection ou un virus à éradiquer. Quoiqu’il en soit, cette intervention est tombée à point pour ceux qui, comme moi, victimes d’un sentiment d’insécurité, d’une impression d’inflation galopante, d’une sensation de limitation de mes libertés individuelles et de l’illusion de l’implosion de la dette, ne se rendaient pas compte d’à quel point tout va bien en France. 

Devant cette divine surprise, à faire pâlir un certain maréchal, je suis resté aussi esbaudi qu’après un hypothétique débat « Le Pen - Hidalgo » sur la physique quantique, même si la première, éleveuse de chats, aurait un petit avantage conceptuel sur l’éleveuse de rats, grâce au chat de Schrödinger dont, comme le sien, nul ne sait s’il est mort ou vivant. Combien de gens prêts à sauter du 10ème étage et à rejoindre le paradis faute de savoir qu’ils y étaient déjà, ont été sauvés in extrémis par ce discours optimiste et la réalisation que la bouteille dans leur rectum n’était pas à moitié vide, mais à moitié pleine et, qu’à l’inverse, ledit rectum n’était pas à moitié plein, mais à moitié vide. Dire qu’il ne nous manque plus qu’à installer 3 minicentrales et à mettre enfin au boulot ces fainéants de chômeurs qui refusent le plein emploi (le port du masque n’empêchant pas de traverser la rue) pour que le paradis sur terre soit à notre portée. Mais, si, mais, si, diront (en un seul mot) les mystiques aux incrédules peu convaincus par le spectacle d’enfants masqués et piquouzés auxquels on apprend l’alphabet en commençant par LGBT.

Victime des fake news et du complotisme, je n’étais même pas au courant de toutes ces bonnes nouvelles, moi qui, faute d’alternative, devant mon ressenti de pénurie énergétique imminente, m’apprêtais à couper le bras de ma statuette de Napoléon, seule possibilité pour avoir un Bonaparte manchot cet hiver. Que penser dès lors de tous ces ingrats, des Gilets-Jaunes aux anti-pass, qui se sont donné le mot pour pourrir à l’aimant à baffes et à œufs la quasi-totalité de son mandat alors que, selon ses propres dires, il a tant fait pour nous. Comment osent-ils conspuer cet homme qui, tel Jésus sur la croix, ou un contribuable lambda, a tout donné à la France?

Notre protection lui tient tellement à cœur qu’il nous a confinés et transformés en porcs-épics, alors qu’il n’était même pas obligé puisque, on vient de l’apprendre par la presse mainstream, au plus fort de l’épidémie, en 2020, les cas covid n’ont représenté que 5% des admissions en réanimation, une partie de ces admissions étant en outre liée au fait que le modus operandi, contrairement à Marlène Schiappa, était en cours de rodage. De même, le chiffre de 2% seulement du total des hospitalisations pour le covid, lui aussi encore surévalué du fait du report d’une partie conséquente desdites hospitalisations pour un certain nombre d’autres pathologies moins médiatiques telles : le cancer de la prostate ou les insuffisances cardiaques. 

Véritable mère poule, même s’il est désormais de notoriété publique que le vaccin n’empêche pas la transmission et qu’on doit continuer d’appliquer les gestes barrières comme après la vie d’avant (pourtant promise par ledit vaccin) et que dans les pays moins vaccinés que nous et sans aucune restriction obligatoire (comme le Japon) les résultats sont bien meilleurs, Macron nous met quand même « En Marche » comminatoire vers la 3eme dose condition incontournable pour continuer à bénéficier du pass sanitaire, bientôt « pass vaccinal », indispensable pour l’accès permanent aux hôpitaux, cinémas et restaurants ; accès limité non par le virus, mais par… le gouvernement. Mais si, c’est logique ! En tout cas, son slogan de campagne est tout trouvé pour 2022 : « Merci, Macron ! ». 

Ne vous laissez pas abuser par ces histoires de Pfizergate et autres effets secondaires colportées par de vilains complotistes : ces injections expérimentales, pour lesquelles l’état a concédé une décharge complète de responsabilité aux fabricants et qui n’empêchent ni d’être contaminé ni de transmettre le virus, sont parfaitement sûres. C’est Olivier Véran qui l’assure, l’homme qui, tel l’enfant sortant du puits avec un polygraphe dans le cul, dit toujours la vérité. Si malgré tout vous êtes sceptiques, si vous êtes vacciné ou connaissez quelqu’un qui l’est, la prochaine fois que vous (ou lui) verrez votre médecin demandez-lui gentiment (car la médecine est devenue antiseptique) une prise de sang afin de mesurer les 5 marqueurs suivants : D-Dimères, CRP, CPK, Troponine et ferritine dont des niveaux élevés pourraient signifier que vous risquez d’avoir, dans les prochains jours, mois ou années, un sentiment de crise cardiaque ou d’embolie pulmonaire lequel n’aura rien à voir avec la vaccination. 

Comme c’est bientôt Noël on nous annonce la 5éme vague, non pas la vague migratoire non vaccinée qui se masse à la frontière polonaise, mais la vague de corona, grâce à laquelle on aura peut-être à la fois et à vie : les masques, le confinement, la vaccination trimestrielle, plus le médicament préventif (qui bouzille le foie, mais qui contrairement à l’ivermachin, se vendra très cher) annoncé par notre VRP élyséen. Si la réincarnation existe, je veux être réincarné en PDG de compagnie pharmaceutique. On ne réalise pas les sacrifices de notre président dont les symptômes allergiques aigus se manifestent à la seule vue d’un drapeau tricolore. Ce qui ne l’a pas empêché d’assister aux obsèques du dernier compagnon de la libération. Probablement parce qu’une mise en bière en vain (ce qui fait beaucoup d’alcool) aurait été dommage en période électorale. Un président, concluant lesdites obsèques par un discours obséquieux de circonstance, tout content, par anticipation, de pouvoir bientôt répandre son « en même temps » sur toute l’union Européenne dont il va enfin avoir la présidence. 

On me demande souvent : « mais qu’est-ce qu’on peut faire ? »

 Le système est ainsi fait que chaque fois qu’une action ayant un réel impact est mise en place, elle est aussitôt rendue illégale par une nouvelle loi, ce qui donne à réfléchir quant à l’efficacité des manifestations qui, elles ne le sont pas, illégales, pas plus que le droit de vote, comme l’avait judicieusement remarqué Coluche, motard pour le moins infortuné. Il est donc quelque peu naïf de chercher des pistes sur YouTube, soit parce qu’elles sont déjà illégales (auquel cas, si on laisse dire, c’est pour repérer les gens qui y adhèrent) soit parce qu’elles le deviendraient immédiatement avant même qu’un petit malin ait pu les utiliser. Autant on laisse filer la criminalité de voie de faits qui ne présente aucune menace directe pour le pouvoir en place (et l’aide à tétaniser la partie de la population qui vote pour lui tout en dégoûtant les autres des urnes) autant les mouvements de langues autres que l’anulingus sont impitoyablement sanctionnés quand ils déplacent trop d’air et des ressources importantes sont déployées pour écouter, surveiller et infiltrer tout collectif sérieux qui se mettrait en place, la leçon des gilets Jaunes ayant été bien retenue. Cela ne laisse plus guère aux plus énervés que l’exutoire d’un sabotage de bas niveau, façon guerre asymétrique, comme on a pu le voir avec les radars et autres. Sabotages d’initiative individuelle, qui ne sont pas coordonnés formellement, mais se répandent par imitation et vont, ironiquement, rejoindre les dégradations provoquées par certaines populations allogènes qui, de même que certains mouvements d’extrême gauche, pensent qu’une accélération du chaos est nécessaire à un changement de paradigme. 

Ce n’est généralement pas l’état d’esprit des nationalistes, motivés par l’intérêt général bien compris, et donc peu enclins à provoquer des destructions contre-intuitives, lesquelles (au départ, en tout cas) ne feraient qu’empirer les choses et leur vaudraient la réprobation du plus grand nombre, raison pour laquelle elles sont tolérées par le gouvernement tant que cela ne remet pas en cause trop profondément la puissance publique, façon barbecue de préfecture ou attaque de ministère au transpalette. En revanche, la hantise des politiques reste que quelqu’un de ce camp pousse le sens du sacrifice jusqu’à gratifier d’un peu plus qu’une baffe symbolique, le pantin du moment. Non que cela modifierait radicalement la donne, mais cela nuirait au retour sur investissement. Mais inutile de se voiler la face, la notion de sacrifice s’est virtualisée et la véritable question que se posent les résistants 2.0, c’est : qu’est-ce que je peux faire d’efficace qui ne me mette pas en danger ? La réponse est simple : rien. 

Certains me rétorqueront que s’agiter dans une chambre d’écho contribue, par capillarité, à répandre des idées, d’autant que l’écho, lui au moins réfléchit, et que l’approche didactique prépare l’avenir. Je crains que, même si la chose est louable et que, faute de mieux, je m’y adonne moi-même, la course contre la montre étant déjà bien engagée, on n’ait plus le temps d’essayer d’ouvrir les yeux de ceux qui croient que la police, laquelle arrive toujours après les faits, est là pour les protéger, sans réaliser que la seule protection efficace est une société cohérente ; cohérence détruite par les fondements même de la république et de ses prétendues valeurs. Les gens ont peur du chaos et on les manipule avec. Tant qu’ils pourront conserver une illusion de stabilité, non seulement ils ne feront rien, mais certains lutteront de toutes leurs forces contre ceux-là même qui essaient de faire quelque chose et ne bougeront qu’en situation de crise, quand il sera trop tard et que les choses vraiment importantes leur sauteront aux yeux comme le 45 fillette de Brigitte Macron et son ossature à la Michelle Obama, tandis que la gravité et les autres lois de la nature se rappelleront à leur bon souvenir. 

La gestion catastrophiste et catastrophique de la pandémie est moins liée à l’incapacité de nos dirigeants qu’à un désir, plus ou moins confus et désespéré, de provoquer un chaos contrôlé et progressif façon grenouille dans la casserole, plutôt que de subir le chaos inévitable qui s’annonce et qui rebattrait les cartes de façon imprévisible pour l’oligarchie en place. Certains m’objecteront que je balaie un peu vite l’élection, surtout en France, laquelle élit un roi dans une forme d’expiation tragi-comique. Election qui repose sur la croyance en l’arrivée cyclique d’un homme providentiel, pour nous sauver en exaltant notre force collective. 

Je ne dis pas qu’un homme providentiel est une impossibilité, mais pour que cela fonctionne, ce dernier doit non seulement bénéficier de circonstances exceptionnelles, s’imposer au peuple (le sauveur élu ça n’existe pas, surtout lorsque les cons ont le droit de vote) mais aussi avoir la possibilité de faire le ménage tout en étant assez puissant pour ne pas se faire éliminer. 

Si l’on prend le cas d’un Poutine, s’il a pu redresser la Russie (laquelle je le rappelle n’a pas de dette) c’est que, comme dans tous les pays communistes, la corruption était intérieure, le parti se suffisant à lui-même sur ce point, et les influences étrangères et financières encore mal implantées. Il a bénéficié d’une situation chaotique extrême qui a permis de faire passer au second plan le processus démocratique et provoqué un consensus pour que la situation s’améliore. Il a été mis en place par son prédécesseur qu’il tenait par les cojones pour l’avoir tiré d’une affaire scabreuse, contre la promesse d’une immunité pour ce dernier et avait la main sur le KGB, ce qui faisait qu’il pouvait facilement éliminer les problèmes tout en évitant de se faire trucider. Il avait donc les coudées franches, a pu travailler dans l’intérêt de la Russie, notamment en rebâtissant l’armée, en se servant des sanctions internationales pour renforcer tant le sentiment national que l’autonomie du pays (lequel avait déjà l’autonomie énergétique). Une fois les résultats obtenus et après avoir mis en avant une image virile (loin de Macron jouant au foot) en mettant au pas certains oligarques et en défendant les traditions, après avoir consolidé sa position en plaçant des hommes à lui un peu partout, il a pu alors renforcer le système démocratique, prenant le temps d’expliquer longuement son action pendant des conférences fleuves sans langue de bois, acquérant un soutien populaire qui ne s’est jamais démenti, en dépit du narratif de la presse occidentale. L’homme n’est certainement pas un saint, ses travers n’étant pas des travers saints, mais il a sauvé la Russie et l’a préparée pour le 21eme siècle, ce en quoi un saint aurait lamentablement échoué.

Comme je l’ai déjà dit, à ce jour, Zemmour est le moins pire sur le papier et avec la langue, mais même s’il était sincère et le fils putatif issu d’une union morganatique entre Napoléon et Jeanne d’Arc, voire un descendant de Louis 16 le « sire qu’on coupe » à défaut du « sire qu’on scie », face à l’état profond qui finance sa campagne, sauf à bénéficier d’une situation exceptionnellement chaotique, d’appuis de gens sincères infiltrés dans ledit état profond (ça existe) et qu’il soit piqué par une araignée radioactive, je doute qu’il soit en mesure de mettre en place les mesures radicales qui s’imposent (et qu’il évite dans ses discours) et puisse se maintenir au pouvoir pendant la trentaine d’années nécessaire pour que voit le jour une nouvelle génération capable de penser par elle-même et que crève celle, irrémédiablement perdue, de par des décennies de lavage de cerveau humaniste, rendu possible par l’affaiblissement moral résultant d’une abondance économique et d’un plein emploi éphémères couplés à un sentiment de culpabilité aussi artificiel que férocement entretenu par le business du victimaire. Des gens tout contents d’être prioritaires pour la troisième dose qui fera d’eux des centenaires et qui vont voter majoritairement pour Macron lequel les remerciera en ponctionnant leurs retraites dès le lendemain des élections.

 Concrètement la seule chose que l’on peut faire c’est de ne pas confondre réalisme et pessimisme et, sans pour autant déserter le terrain et cesser de semer des graines, plutôt que de gaspiller toutes nos forces dans les pièges énergivores qu’on nous tend ou de sombrer dans la dépression, se renforcer, se maintenir en forme et assurer ses positions en prévision des véritables combats qu’il faudra mener certainement plus tôt que certains ne le pensent. 

Merci pour votre écoute et votre soutien. N’oubliez pas de cliquer sur tous les trucs en bas et de vous abonner aussi sur mes autres plateformes, figurant en description, en prévision du couperet youtubesque qui tombera un jour où l’autre. A bientôt… j’espère.

lundi 8 novembre 2021

La féministe, les gauchistes et les élections. (08 Nov. 2021)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/imNEiX7buWY

 

 
Un être humain avec ovaires, amatrice de diversité 
Sortait de boite après 3 verres, titubant dans l’obscurité 
Un individu esseulé, que la presse nommera : « Jean-Pierre » 
Mineur migrant et isolé, d’un coup l’enrichit par derrière 
Attendrie de ses coups de poings, autant que par son triste sort 
Antiraciste, elle n’hurla point, féministe certes, mais sur les bords 
« C’est la faute au patriarcat, pas d’amalgame ! » - cogita-t-elle 
Lorsque son crâne se fracassa, dévoilant très peu de cervelle. 
 
L’homme était un récidiviste, connu de la maréchaussée 
Que quelque juge fort humaniste, avait laissé en liberté. 
Lecteur assidu de Voltaire, en quelques va-et-vient rageurs 
Il conclut promptement l’affaire : autre culture, autres mœurs. 
Elle gisait-là, la fesse à l’air, minijupe un brin ironique 
« Indépendante et forte et fière », lui répétait la république. 
République qui n’était pas là, faute de mâles blancs cis hétéros, 
Pour prévaloir sur la Charia ou imposer ses codes sociaux.
 
« Tout sauf Macron… mais pas Zemmour » diront pourtant certains couillons 
Bien qu’ayant lu les faits du jour, sans y voir de contradiction. 
C’est ce que le système espère, dans les deux cas c’est orchestré 
Banques de dépôt et banques d’affaires, aucun ne veut les séparer 
La retraite pas avant 100 ans, tout ça pour rembourser la dette 
Ceux qui leur donnent de l’argent, veulent un retour sur ce qu’ils prêtent 
Le système a choisi Macron, nous liquider, c’est sa mission 
Zemmour sert à faire peur aux cons, pour assurer son élection 
 
Le Z nous parle de la Nation, un peu moins de vaccination 
Lui préférant la natation, son assistante en immersion 
Macron a dit « venez m’chercher » … caché derrière des policiers 
Un éphèbe à la peau cuivrée, et le voilà émoustillé 
Les étrangers ça les excite, pas pour les mêmes raisons, ces deux 
Evitez donc de mettre trop vite, un lâche en rut avant l’hébreux.