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jeudi 30 juillet 2020

INSÉCURITÉ : Réponse à TATIANA VENTÔSE (qui ne m'a rien demandé, mais ça fait rien!) (30 juil. 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/1tP3JzvnrYM


 
Communiqué :
Je suis un peu embêté car au moment où j’allais poster cette vidéo qui traite du thème de l’insécurité en France, j’apprends que le gouvernement a pris la mesure du problème et l’a réglé définitivement… en arrêtant Alain Soral, pour « atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation », même si le communiqué ne précise pas de laquelle. Donc, maintenant que le pays est sauvé, cette vidéo n’a plus vraiment de raison d’être, mais comme elle était prête, je la poste quand-même. Bon visionnage.

Bonjour,
Quelqu’un m’ayant signalé dans les commentaires que Tatiana Ventôse avait enfin vu la lumière, j’ai craint un instant que ce ne fût au bout d’un long tunnel suite aux affres de la peste médiatico-bubonique qui ravage nos contrées, mais, fort heureusement, il parlait de sa vidéo intitulée : « le Pays part en vrille ». La curiosité piquée par autant d’enthousiasme, j’ai sélectionné vitesse X 2 dans les paramètres et j’ai visionné la chose avec le même intérêt que Macron quand il fait des commentaires gourmands sur la pointure d’un de ses gardes du corps.

Je ne sais pas si ledit Macron a été déçu au déballage, mais la Tatiana 2.0, ce n’est pas pour tout de suite. En gros, elle nous explique qu’on a une recrudescence de meurtriers sans caractéristiques précises qui tuent des gens, là aussi, sans caractéristiques particulières, parce que la justice est laxiste et que, franchement, ça commence à bien faire. Point. le tout en 17 minutes chrono. 
Un laxisme qui, par ailleurs, tombe du ciel et n’a rien à voir avec certaines forces qui visent toutes à la destruction de l’état nation et qu’on retrouve également derrière l’immigration de masse : l’idéologie gauchiste qui pervertit les juges, la maçonnerie qui leur assure la protection nécessaire pour ne pas être emmerdés, un certain lobby qui, par les lois mémorielles qu’il a imposées, a accru le pouvoir desdits juges dont l’appréciation prévaut désormais sur l’objectivité des faits, ou encore, liste non-exhaustive, l’union européenne et les instances supranationales qui ont ôté toute possibilité à l’état d’y remédier, à supposer qu’il en ait la velléité et ne soit pas qu’une simple association de malfaiteurs manipulée par les casseroles indicibles que ses membres ont au cul, ce qui expliquerait, entre autres, pourquoi le volet Français de l’affaire Epstein est au point mort et qu’on ait accepté d’en arriver là, par trahisons successives, sans consulter les Français. Mais bon, je dis-ça, je dis rien.
Quant à oser dire en 2020, avec un aplomb sibethniayesque que : « racaille n’est pas un terme ethnique, fin de la conversation » même si c’est lexicalement juste, c’est sociologiquement aussi faux que de prétendre que la finale du 4 fois cent mètres est une convention du Ku Klux Klan ou que « l’association des éboueurs juifs de France » refuse du monde. Et ça ne date pas de 2020 car si Sarkozy avait fait sa déclaration sur le Karcher dans le 16eme, tout le monde aurait pensé qu’il voulait ravaler les façades. 
Le fait que l’immense majorité des coupables de ce que notre gérontophile à voile et à hydrogène (plus écologique que la vapeur) appelle pudiquement des « incivilités » ne s’appelle pas Pierre-Henri, ne veut pas dire que tout ce qui nous vient du continent Africain (directement ou par ascendance) est à classer dans la catégorie « délinquant », loin s’en faut, et je le maintiendrai tant qu’on ne retrouvera pas un demi-chauffeur de taxi rôti dans le congélateur de Laeticia Avia. Mais on se doit d’appliquer ce même principe de précaution dont on nous rebat les oreilles quand ça arrange le gouvernement et qui, en raison du décès de 0,04% de la population (dont la majorité serait quand même morte d’autre chose dans les mois suivants) vaut à toutes les personnes non malades de devoir respirer leurs miasmes toute la journée derrière un nid à microbes et à bactéries qui, paradoxalement, affaiblit leur système immunitaire à une période où, au contraire, tout le monde devrait s’oxygéner au maximum pour le renforcer.
Un principe de précaution qui voudrait que, tant qu’on n’a pas résolu ce petit problème de meurtres et d’agressions (et je crains fort que cette fois-ci, élargir les trottoirs s’avère insuffisant) étant donné que la seule façon de savoir à qui on a affaire quand on croise certains individus patibulaires, mais presque, c’est d’attendre de voir s’ils nous sortent un couteau ou non (sachant que, dans certains endroits, les probabilités statistiques de survie d’un individu lambda la nuit, en cas de défaillance de réverbère, équivalent à celles d’un spermatozoïde dans une relation homosexuelle) on n’a, objectivement, guère d’autre choix que de retrouver cette méfiance salutaire envers ce qui nous est étranger, laquelle a évité à nos ancêtres la tentation d’aller faire des bisous aux tigres à dents de sabre.
Méfiance forcée que nos politiques, qui rivalisent de néologismes outrés pour éviter les mots qui fâchent d’un côté, tout en laissant grand ouvert le robinet de l’immigration de l’autre (sachant que j’ai même vu passer la vidéo d’un migrant en train de faire tranquillement rôtir un chat en pleine rue) requalifient de « racisme » et utilisent comme prétexte pour dédaigner, d’un air vaguement dégouté, toutes revendications que l’on serait amenés à formuler. 
Et ce ne sont pas les Black Lives Matter et autres mouvement indigénistes qui nous balancent au visage le privilège blanc de se faire trucider dans des autobus pour un boulot payé au SMIC (au lieu de réclamer un passage de Karcher qui est la seule solution pour créer les conditions d’une qualité de vie meilleure pour l’ensemble de la société, minorités comprises) qui vont arranger les choses. 
Une autre solution étant, à l’instar de la caste médiatico-politique, d’habiter dans des quartiers à l’immobilier hors de prix qui éloigne le lumpenprolétariat tout en donnant des leçons de morale à ceux qui sont obligés de vivre avec… mais tout le monde n’en a pas les moyens. 
Et tout ça, mademoiselle Ventôse, ne serait-ce que pour s’être faite agresser dans le métro en 2018 (si j’en crois la vidéo qui y fait référence) par des personnes qui, coïncidence, ne s’appelaient pas Pierre-Henri, le sait très bien, ce qui rend encore plus hypocrite le numéro qui suit (et que je suis désolé de devoir vous infliger) dans lequel elle joue les fausses sceptiques, terme qui montre la supériorité de l’écrit sur l’oral pour éviter les confusions, même si dans les deux cas, ça pue un peu :
[transcription de l'extrait vidéo :
" - SeMetàGauche, pour quoi il pleure SeMetàGauche? Il s'est fait agresser par des chances de la diversité, SeMetàGauche?
- Non, non, ce sont des méchants hommes blancs qui ont agressé ce pauvre SeMetàGauche
- C'est faux, je te l'avais bien dit. Nous devrions rétablir les statistiques ethniques. Elles prouveraient que NOUS avons raison. Goebbels!
- Oui les statistiques ethniques prouveraient que c'est SeMetàGauche qui a raison. Ce sont les méchants policiers blancs qui votent Marine Le Pen. On montre, on montre, on montre les statistiques ethniques"] 
Bon après, à sa décharge, parfois, il y a la pression de devoir sortir une vidéo et, dans la précipitation, on essaie des trucs qui, sur le moment, nous semblent une bonne idée, mais qui nous hanteront pour la postérité :


L’air de rien, tout en comptant sur le fait que l’intelligence d’une partie de son auditoire la fera pencher du bon côté, elle préserve (quand on écoute vite) l’autre partie et éloigne l’épée de Damoclès algorithmique YouTubesque en vendant l’idée fausse qu’il y a deux camps extrêmes, avec des positions caricaturales et que la solution se trouve entre les deux. Pardonnez-moi le langage, mais entre se faire enc*** et ne pas se faire enc***, sauf à m’expliquer en quoi la solution médiane ce n’est pas se faire « un peu » enc***, ce qui revient à se faire enc***, je suis désolé, mais il y a des cas (comme constater que l’eau mouille) où il n’y a qu’une vérité et où il faut choisir son camp. 
D’autant que l’heure est grave. Rien que cette semaine, à Bordeaux, sans réaction de la municipalité vert pastèque, coups de feu et bagarres à la machette à côté de la gare, attaques au couteau et aux tessons de bouteille à Rennes, 5 personnes dont 3 légionnaires blessés à l’arme blanche à Montpellier et si vous tapez « agression couteau » sur Google et que vous sélectionnez « moins d’une semaine » vous allez prendre peur.
Le pire étant qu’après avoir admis que des gens se font tuer pour rien, notre passionaria flamboyante, met ça sur le compte d’un sentiment d’impunité lié à un laxisme de la justice. Là encore, même si ledit laxisme est indubitable, notre système judiciaire est calibré pour des gens (peu importe leur couleur de peau) auxquels il ne viendrait pas à l’esprit d’en tuer d’autres sans la moindre raison valable et, effectivement, sur ces gens-là, c’est-à-dire vous et moi, la peur du gendarme fonctionne.
Mais là, on est face à des individus qui, faute des capacités intellectuelles suffisantes pour leur permettre de se projeter dans l’avenir et de mesurer les conséquences de leurs actes, vivent dans le présent, se contentant de réagir, tels des fauves, et sont, de ce fait, totalement incapables d’être effrayés par la perspective d’une peine de prison, ni même d’en tirer un enseignement quand ils la purgent puisque, encore une fois, pour eux, demain n’existe pas. Et non, je ne vise personne au gouvernement. 
Si la mesure du QI peut-être critiquée, elle reste (en attendant de trouver mieux) la meilleure mesure objective concernant l’aptitude à réussir dans NOS sociétés, même si, dans le contexte actuel, je suis obligé de répéter, pour lever toute ambiguïté, que ce n’est pas parce qu’un pays peut avoir un QI moyen inférieur à un autre qu’il n’y a pas des gens très intelligents (et d’autres très cons) dans les deux et que, si, toujours dans le cadre de la survie élémentaire, on est contraints, par le laxisme du gouvernement et son absence de sélection aux frontières, à avoir des apriori en fonction de certains critères physiques et comportementaux, chose qu’ensuite on va nous reprocher (ce qui montre à quel point le système est pervers) il serait malhonnête de ne pas réviser cette opinion, au cas par cas, et de nier les compétences d’une personne, quand elle en a, sur des bases purement arbitraires. A l’inverse, on n’est pas obligés, non plus, de tomber dans l’angélisme au point de laisser, par exemple, les clés d’une cathédrale à un Rwandais en situation irrégulière. 
À ceux dont le cerveau a suffisamment été lavé pour trouver ce raisonnement intolérable, je me permets de tendre un petit miroir en leur précisant que, mon épouse étant Japonaise, au début de l’épidémie, quand on parlait du virus « Chinois », l’accès aux caisses du supermarché local s’ouvrait devant nous comme la Mer Rouge devant Moïse et que les porteurs de pancartes « Migrants Welcome! » (que dans les petites localités on a l’avantage de connaître) n’étaient pas les derniers à se mettre à distance respectueuse. C’est au pied de l’arbre qu’on voit le bûcheron et c’est quand ça arrive dans SON jardin qu’on voit l’antiraciste (fin de la parenthèse). 
Pour un gouvernement qui se doit, lui, de raisonner, de façon plus globale, en termes de flux et non d’individus, il est criminel d’autoriser l’arrivée en masse de personnes au QI moyen (je dis bien moyen) inférieur (d’autant que lesdits pays ne nous envoient généralement pas leurs ingénieurs nucléaires), faisant ainsi baisser, mécaniquement, le QI du pays d’accueil à une époque où la seule chose qui conserve une valeur marchande c’est, justement, l’intelligence et l’innovation. 
Sans compter que cela prive la sapiosexuelle Marlène Schiappa (excitée, selon ses dires, par les gens intelligents) de beaucoup d’occasions de pratiquer le QI Lingus. 
En récupérant, non pas des échantillons représentatifs, mais carrément le rebut, de ces sociétés (ce qui n’a pas toujours été le cas, mais l’est devenu depuis la crise migratoire qui a fait suite à la destruction de la digue que constituait la Libye), rebut qui cumule parfois des traumatismes lourds qui le rendent inapte à une vie normale, on en arrive, chez nous, à des concentrations de prédateurs opportunistes dépourvus de toute empathie, supérieures aux pays d’origine. 
C’est d’autant plus grave que ce manque d’empathie et cette incapacité de projection (que ne connait pas un certain Griveaux qui vient de faire son retour en douce) se répandent dans l’ensemble de notre société comme un cancer ; notamment dans une jeunesse pour laquelle, compte tenu de l’état du monde qu’on lui a légué, outre que l’éducation (dite nationale, mais en fait républicaine) ne lui fournit plus les outils conceptuels pour le faire, se projeter dans l’avenir ôterait le peu de joie de vivre qui lui reste dans une perspective éternelle de sexe sous latex et de masque sur la bouche, combinée à un chômage de masse et à l’idée, à court terme (quand ce n’est pas déjà le cas dans leur salle de classe) d’être minoritaires dans leur propre pays. D’où un escapisme croissant dans les jeux vidéo, les réseaux sociaux et autres réalités virtuelles que la distanciation sociale ne va pas arranger et qui ne les prépare pas à un futur (qui n’est plus dystopique) dans lequel, si on ne fait rien, lesdits prédateurs, lâchés dans un monde de moutons, seront les rois, pendant que les sangsues du haut continueront à se remplir les poches.
Donc, contrairement à ce que dit la douce Tatiana, on n’en est plus au stade où les choses peuvent se régler selon les principes foireux d’un soi-disant « état de droit » quand, dans les faits, le deux-poids deux-mesures est la règle partout et qu’un type qui a une plainte pour viol aux fesses peut être ministre de l’intérieur alors que de braves gens perdent leur boulot tous les jours pour un tweet jugé offensant par un pisse-vinaigre quelconque. Un état de droit qui accorde religieusement (là où, en revanche, il faudrait faire des distinctions) les mêmes droits à des gens qui vivent dans des univers parallèles et qui n’ont en commun que d’avoir deux bras, deux jambes et un sphincter. 
On en est déjà au stade où l’on se prend presque à regretter les « Allah Akbar » qui, au moins, avaient un fondement politique qu’à défaut d’admettre, on pouvait comprendre. Désormais, on tue pour tuer.
Je ne suis pas pour la peine de mort ; non en raison du mot « mort » qui ne me gêne pas, mais du fait qu’on se sente obligés d’y accoler le mot « peine » qui n’a, dans ce cas, aucun sens. Quand je vois des blattes, je ne punis pas, je traite. 
Certes, pour conserver un semblant de moraline hypocrite, on peut trouver plus humain de renvoyer vers d’autres cieux ceux qui peuvent l’être et, pour les autres, de construire de grandes prisons, de les mettre dedans et de jeter la clef, mais, dans tous les cas, ces individus n’ont pas leur place dans notre société, pas plus que les pickpockets, multirécidivistes et autres cambrioleurs qui ne devraient pas être jugés, comme des citoyens ordinaires, en fonction de la gravité de leurs méfaits, mais en fonction de leur degré de nuisance pour la société (à ne pas confondre avec la république, ce qui tournerait vite en 1984) en tout cas, si on veut que ladite société ait une chance de survivre. 
Si on ne cible pas vite certaines personnes, en intégrant, sans tabou, leurs spécificités ethniques et culturelles à la problématique (ce qui oblige à avoir une discussion franche, avec référendum à la clé, sur l’immigration et la remigration, chose qui, en outre, remettrait en cause le principe de libre circulation sans lequel il n’y a plus d’Union Européenne), en fonction du pourcentage de moutons prêts à se laisser égorger sans rien faire et du nombre de frigos vides, tout ça pourrait également, c’est l’autre option, finir en guerre (qui serait civile si on parlait d’un même peuple) durant laquelle personne ne prendra plus la peine de séparer le bon grain de l’ivraie. 
Je ne fais pas partie de ceux que cette perspective excite, mais pas non plus de ceux qui feront le dos rond s’il faut en passer par là, d’autant qu’après, même si ce n’est pas dans cet ordre que la chose serait le plus efficace (mais ce n’est pas moi qui choisis), on s’occupera des tireurs de ficelles qui auraient tort de se croire à l’abri. 
Si vous me trouvez un politique qui a les cojones de dire ça, au lieu de tomber dans le piège du « regardez à quel point je ne suis pas raciste » dès qu’un journaliste l’interroge, il a mon vote.
Je vous rappelle que cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée, ne fait pas appel aux dons et ne censure aucun commentaire. Si vous voulez me soutenir, commentez, likez, partagez et, si ce n’est pas déjà fait, abonnez-vous. En cas de suppression de la chaîne, vous pourrez continuer à me suivre sur LBRY, Bittube, BitChute et Brighteon (vous trouverez les liens en description) ainsi que sur mon blog (également en description) sur lequel figure la transcription intégrale du texte de mes vidéos lesquelles, je le rappelle, sont toutes sous-titrées (seulement sur YouTube, les autres plateformes ne le permettant pas encore) pour ceux qui auraient du mal avec mon débit ou mon accent. Merci à tous pour vos encouragements et votre soutien et à bientôt… j’espère.

vendredi 24 juillet 2020

Humour : Meurtres, masques et cathédrale... (24 juil. 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/blX8JX9BD7o


Prière:

Personne de sexe indéterminé qui êtes aux cieux

Que votre pronom soit sanctifié

Et que vos règles arrivent

Que votre volonté soit politiquement correcte

sur la terre en arc-en-ciel

Donnez-nous aujourd’hui notre pain sans gluten de ce jour

Pardonnez-nous nos offenses

et bannissez de twitter ceux qui nous ont offensés

Vous pouvez nous soumettre à la tentation, mais délivrez-nous du patriarcat

Car c’est à vous qu’appartiennent BFM, la puissance et la gloire

Et le diner du siècle

Amen


Bonjour !

Désolé pour les puristes, mais j’ai été obligé de procéder à quelques infimes altérations pour rester dans le politiquement correct et éviter que la vidéo ne se fasse striker après un « notre père » machiste et offensant, d’autant que même si on le met au féminin en l’écrivant « paire », « notre paire qui est aux cieux » (même si ça pourrait expliquer le manque de cojones de nos édiles) ça reste quand-même polémique.

Mais bon, au rythme où vont lesdites choses, si l’on ne prie pas maintenant on n’aura bientôt plus d’endroit pour le faire. Il faut regarder la réalité en face : les bâtisseurs de cathédrales c’étaient des pipes. Depuis Notre-Dame, chaque fois que je passe devant Bercy, pris d’une lueur d’espoir, je jette un mégot contre le mur, on ne sait jamais, mais … que dalle. Vous faîtes ça avec une église ou une cathédrale et c’est comme enfermer un top Model dans un Sauna avec Griveaux et Darmanin. Une trentaine d’incendie en 2 ans, au point que si les flammes sont dans les églises on se demande ce qui reste à l’enfer.

Par ailleurs, on ne se démène pas plus que ça pour trouver les coupables et analyser les causes alors que, quand on avait volé le scooter des fils de Sarkozy (l’homme qui a détruit la Libye et amorcé la crise migratoire) la sécurité nationale était visiblement menacée et on avait sorti le grand jeu : police scientifique, relevés d’ADN, repérages satellites… ce qui s’était traduit par une amende de quelques euros et une tape sur la main du coupable issu, le pauvre, d’une minorité déjà suffisamment opprimée comme ça. De l’argent bien dépensé.

Comme quoi, pour les choses vraiment importantes, la police sait encore être efficace, même si ça ne marche pas toujours et que, faute de rectoscopie des électeurs qui se sont laissés prendre, on n’a jamais retrouvé un certain karcher, volé dans son emballage d’origine avant d’avoir pu être utilisé.

Bon, après, si on retrouvait toujours les coupables et qu’une certaine tendance se dessinait on serait contraints de désigner un ennemi factuel et on n’en a pas forcément envie : les amalgames on laisse ça aux dentistes. Sans compter que c’est toujours une question de perspective et que (comme on le fait régulièrement valoir pour les agressions) avant de jeter l’opprobre sur quelqu’un et d’assumer bêtement, en raison d’un coquard, que A a frappé B au visage, il faut déjà déterminer si ce n’est pas plutôt B qui a frappé, de son œil contondant, le poing flasque du pauvre A. Dans le cas de Nantes, certes le « point d’orgue » c’est justement qu’il n’y en a plus et que les vitraux, au contraire, n’ont pas vécu assez, mais on ne sait pas quels outrages a tenté de faire subir à l’incendiaire une cathédrale pleine de cierges atrocement virils, et on ne saurait exclure, d’un revers de main, la légitime défense, ni même le suicide.

Des questions qui ne se posent pas dans le cas des mosquées ou des synagogues, au demeurant visiblement mieux ignifugées, au point qu’on se demande si une Sainte-Sophisation des églises, à la Erdogan, n’est pas le but recherché, au prétexte de préserver le patrimoine, les cathédrales n’étant, pour certains, qu’un tas de pierre, et peu importe quels troglodytes habitent dedans. Pas sûr, toutefois, qu’un mélange d’une autre foi, surtout si elle est ardente, et de langue de bois soit de nature à régler un problème d’incendies et que quelques larmes de crocodiles suffisent à les éteindre.

En tout cas, à part des prières, on ne voit plus guère ce qui pourrait nous sauver du torrent de faillites qui s’annonce étant donné que le cornichon masqué qui remplace le blaireau bicolore, partageant la fascination écolo pour le monde de la pédale, voit notre salut dans l’achat massif de bicyclettes fabriquées en Chine, tandis que le gérontophile à voile et à hydrogène en haut de la chaîne (de commandement, pas de vélo) prône, lui, la taxation des entreprises qui ont eu l’outrecuidance de faire des profits pendant la crise, histoire d’être sûr qu’elles ferment elles-aussi, égalité républicaine oblige.

Pendant ce temps, nos braves députés et sénateurs dont la seule raison d’être est la réglementation de  chaque interstice de nos vies par empilage de lois superfétatoires, tout excités par les nouvelles opportunités de coercition qu’offre cet écologisme mondialo-compatible consistant à importer ses graines de chia bio par supertanker tout en emmerdant le prolo qui roule en diesel, envisagent de mettre fin aux forfaits illimités car c’est le bon moment pour mettre des bâtons dans les roues au télétravail et couler encore plus de boîtes.

Je répète qu’il faut foutre Macron dehors et que chaque minute compte, mais on nous maintient en pandémie artificielle justement pour éviter tout débordement social qui conduirait logiquement à ce résultat. Les masques c’est littéralement le début de « les masques ulation ».

En supposant que le virus ne passe pas au travers des mailles qui, à son échelle, sont l’équivalent d’un trou de balle de contribuable moyen pour une mouche en érection, lesdits masques, qui rappelons-le, ne protègent pas ceux qui les portent, n’auraient une forme d’utilité (sous réserve qu’ils soient de qualité chirurgicale et épousent tous les contours du visage) que dans le seul cas, où (façon chauve-souris de Bigard) on serait soi-même porteur sain et qu’on entrerait en contact avec une des 0,4 % de personnes en sursis d’une autre pathologie pour lesquelles la bébête est potentiellement dangereuse.

Penser sauver des vies en rerespirant son propre gaz carbonique et autres exhalations diverses, y compris virales, sous forme concentrée, derrière un bout de tissus, made in china on ne sait trop comment, c’est un peu comme garder la tête sous les draps toute la nuit après une soirée cassoulet et prétendre lutter contre le réchauffement climatique en respirant son propre méthane.

Pour encourager le port du masque, lequel contribue, par ailleurs, par effet de masse, à distiller la peur et à augmenter l’hystérie collective, on effraye le chaland en testant beaucoup (sachant que plus on teste, plus on va trouver de cas) mais en omettant de préciser que le nombre de morts, essentiellement dans le reliquat de gens depuis déjà longtemps sous respirateur, est, lui, en diminution constante (alors même que l’on fait feu de tout bois, allant jusqu’à cocher la case coronavirus pour quelqu’un, certes positif, mais décédé d’un accident de moto) et que l’on communique, non sur les chiffres réels, mais sur les chiffres cumulés depuis le début de l’épidémie. Chiffres jamais, par ailleurs, ramenés à leur pourcentage dans la population, histoire qu’on ne voit pas que ledit virus n’a pas tué plus qu’une grippe ordinaire et qu’on ne se demande pas sur quelles bases scientifiques, des incompétents (ce qui nous ramène au cassoulet) ont fini de bousiller notre économie. Mais bon, sachant que Véran c’est l’envers à l’endroit, on peut comprendre la confusion.

Le résultat de cette gestion calamiteuse, cumulé à des invasions de sauterelles sans précédent (même en incluant l’arrivée de Bachelot et le maintien de Schiappa au gouvernement) vont tuer par la faim, dans le Monde, d’ici la fin de l’année, des centaines de fois plus de gens que le virus lui-même, sans que ça n’émeuve personne. Mieux, on n’hésite pas à courir le risque de faire exploser les cas d’asthme, d’allergies, de migraines et de problèmes respiratoires au sein des 99,6% de la population qui ne risque rien, laquelle porte (souvent  n’importe comment) en pleine canicule, des cache-museaux loin de présenter les garanties des masques chirurgicaux avec, pour résultat, des cas comme cet américain qui, suffisamment con pour porter un de ces empêcheurs de respirer en rond dans sa voiture alors qu’il était tout seul, s’est évanoui et a perdu le contrôle dudit véhicule, lequel a fini sa course contre un arbre, une analyse confirmant un taux d’oxygène insuffisant dans le sang, consécutif au port prolongé dudit masque.

Un peu partout, des mouvements anti-masque se font jour qui, souvent, se heurtent à des gens complètement lobotomisés qui, contrairement à Schiappa qui n’avale pas, ont ingurgité la propagande médiatique, créant une nouvelle fracture dans notre société laquelle connait déjà le bonheur d’un multiculturalisme d’importation.

Certes, certaines personnes influençables ont vraiment peur, mais une bonne partie des partisans du masque cherche juste, consciemment ou non, à afficher une prétendue supériorité morale et son adhésion au camp du bien, de la même façon que ceux, souvent les mêmes, qui se déclarent pour l’accueil de toute la misère du Monde; s’imaginant, eux aussi, sauver des vies à bon compte sans avoir besoin pour cela d’entrer, par exemple, dans un immeuble en feu, à l’instar des pompiers lesquels se font, quotidiennement, agresser par le résultat de cette générosité dont la collectivité doit supporter le poids schiappesque.  

On n’a pas d’autre choix que de faire avec NOS bas-de-plafonds et NOS criminels, mais pourquoi importer les rebuts d’autres sociétés lesquels, faute d’un QI suffisant pour se projeter dans l’avenir et repousser la tentation de la gratification immédiate, vivent strictement dans le présent et, incapables de lier leurs actes aux conséquences desdits actes, situées dans un futur qui n’est pas un concept à leur portée, tuent des chauffeurs de bus ou répandent de la purée de jeune femme sur 800 mètres d’asphalte sans raison autre que la résolution immédiate d’un problème mineur ou la satisfaction d’une pulsion passagère.

L’humanité n’est rien d’autre qu’une classification (comme mammifères ou vertébrés) et ne saurait constituer un critère suffisant pour aider ou accueillir quelqu’un. D’autant que les mêmes qui prônent ce genre de générosité, avec cette même logique qui nous vaut des perles comme « pas de liberté pour les ennemis de la liberté », seront les premiers à exclure Hitler et assimilés de ladite humanité qui cesse donc, de leur propre bouche, d’être universelle. Une vision de la liberté qui fait que, même si, par ailleurs, on prohibe le port du voile et qu’on s’est fendus, en pleine crise des gilets jaunes, d’une loi pour interdire d’occulter son visage pendant les manifestations, ne pas porter l’outil de castration de masse c’est 135 balles et 1500 en cas de récidive.

Comme j’ai encore une famille à nourrir, je le porte dans les lieux où il est obligatoire, le mettant au moment où je franchis la porte et l’ôtant à la microseconde où je quitte l’établissement, masque sur lequel j’ai écrit au feutre « je suis contre ». Par ailleurs, j’ai trouvé un site qui en imprime des personnalisés pour pas trop cher et j’ai fait quelques tests avec le pangolin, symbole du rejet anti-macron que vous trouverez en description et que j’essaie de promouvoir.





 Je les ai reçus en quelque jours. Par contre j’ai commandé le modèle moyen et c’est un peu juste. Je vous mets le lien pour ceux que ça intéresse. Laissez libre cours à votre imagination. Pour les autres, je vous mets les images que j’ai envoyées. Ce n’est pas du sponsoring et vous pouvez peut-être trouver mieux et moins cher.  Je vous rappelle que vous trouverez en description les liens vers mes chaînes secondaires, sachant que je viens de passer la semaine à migrer l’intégralité de la chaîne, y compris les vidéos censurées, sur la nouvelle plateforme LBRY (« library », à l’anglaise) où se retrouvent une grande partie des victimes de la dernière purge YouTube.

Cette chaîne, je le rappelle, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons. Si vous voulez me soutenir, likez, commentez et n’hésitez pas à vous abonner si ce n’est pas encore fait. Merci à tous pour votre soutien et vos encouragements, et à bientôt … j’espère.