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jeudi 23 avril 2020

Humour caustique : Le feu à la bergerie (+ EXCLUSIF la définition de la France) (23 avr. 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/Tw8IvLNYg3Y


Bonjour!

Selon le professeur Montagnier, un petit bout de VIH se serait subrepticement infiltré dans l’ARN du coronavirus, comme un gros bout de Benalla dans « l’arrière aine » de notre chef de guerre, la chose prouvant l’intervention d’une main humaine, façon Benjamin Griveaux et mettant hors de cause, dans ce qui ressemble de plus en plus à un « Me too » bactériologique, cet enfoiré de pangolin, atteint de priapisme au point que, probablement trompé par le costume, il est surement responsable du fait que dans la nouvelle BD de DC comics « Gotham High » (nouvel épisode de la guerre impitoyable de la communauté de l’alphabet contre le mâle blanc hétéro) Batman soit devenu Chinois et sexuellement ouvert. Ce n’est pas une blague. 
Pour rester dans le sujet, ce VIH présent dans le covid 19, c’est le virus que Montagnier a découvert et qui lui a valu son prix Nobel... pour services rendus, Big-pharma décrétant alors, sans aucune preuve, que ledit virus, bien réel, était la cause d’un SIDA beaucoup plus conceptuel. Un concept c’est pratique car on peut l’appliquer à pleins de décès pour une infinité de causes (de même, qu’aujourd’hui, quelqu’un qui a le corona et meurt en avalant une cacahuète devant le discours de Macron, est décrété mort du covid 19) ce qui permet de soigner, jusqu’à ce que mort s’en suive, avec des médicaments hors de prix, des séropositifs souvent bien portants (ou malades d’autre chose) mais paniqués (quoi que…) face à une pandémie montée en épingle par des médias qui additionnent les morts d’une année sur l’autre pour grossir les chiffres. 
Pandémie qui, elle aussi, était supposée éradiquer l’humanité, en commençant par le continent africain lequel, victime au contraire d’une pandémie de naissances, nous envoie ses excédents à la même vitesse, celle d’un cheval au galop, à laquelle s’élargissait, nous disait-on, avant l’avènement d’internet qui nous aurait permis de saisir la métaphore, le trou de la couche d’ozone.
Je suis très tolérant envers la science, mais il y a des limites éthiques à ne pas dépasser, comme un croisement génétique entre Castaner, porteur de cette trisomie 22 spécifique aux forces de l’ordre, et la trop bien prénommée Sibeth Ndiayé. D’autant que le génome de l’un et  la « jeune dame » de l’autre (pour faire plaisir à Marlène Schiappa), ont forcément été modifiés, car même la nature, pourtant capable de faire copuler un pangolin et une chauve-souris et, surtout, de produire des gens assez cons pour le croire, a des limites ; d’autant que les chauves-souris c’est vite dit : Salomon par exemple a beau être chauve, il ne sourit jamais, ce qui le rendrait peu attractif pour un pangolin. 
Mais pour en revenir à Montagnier que, comme le docteur Raoult, l’âge et la notoriété mettent à l’abri des pressions de la mafia qui tient la médecine (et pas que), il ne faut pas croire que parce que c’est son virus et qu’il l’a étudié pendant des années, il sait de quoi il parle. Un qui n’a pas été dupe c’est Laurent Jo« FREIN » qui n’a pas rongé longtemps le sien et, un peu bancale quand-même, faute d’un prix Nobel de connerie qui le mettrait sur un pied d’égalité face à son interlocuteur, lui a rétorqué doctement, le regard rivé sur son smartphone 5G en test que, selon Google, beaucoup de scientifiques disaient le contraire, ce qui, au temps de Galilée, se serait traduit par : « pourtant beaucoup de scientifiques prétendent qu’elle est plate ». 
L’apogée ayant été atteinte lors de la panique générale qui s’est emparée du plateau de l’heure des pros, quand ledit professeur, lequel mène des études de pointe et officielles sur l’influence des fréquences électromagnétiques sur l’ARN des virus et des bactéries, a évoqué incidemment le fait que les endroits les plus touchés par le corona sont ceux où le déploiement de la 5G est le plus avancé. Tous les intervenants, qui venaient de passer trente minutes à brouiller un discours, pourtant parfaitement clair, avec des question d’une telle débilité outrancière qu’on pourrait penser leur QI tellement bas qu’il ne leur en reste que ce Q qu’ils présentent au système, ont subitement regardé leur montre, tels des morpions affamés une braguette ouverte : « Oh,là là, comme le temps passe ! Il est temps d’arrêter l’émission ». Ces gens sont tellement cons que quand on leur dit chloro-quine, ils disent « carton plein ! ». 
Chloroquine par ailleurs toujours enterrée sous une pléthore de tests bidonnés dont on ne communique pas les résultats alors que, dans la région de Marseille, fief de l’irréductible Docteur Raoult, qui est à macron ce que Vercingétorix est à la fistule annale de Jules César, l’épidémie est déjà endiguée et la mortalité, incontestable elle, largement inférieure à une petite grippe saisonnière, ce qui prouve, s’il en était encore besoin, qu’on a tué la France pour rien. 
Du coup, le gouvernement, conscient qu’il a transformé 10 millions de Français de plus en chômeurs et en potentiels gilets jaunes à tendance guillotinaire, essaie de gagner du temps et de prolonger un confinement totalement inutile. Pour ce faire, il envoie sa porte-mensonge justifier de l’utilité des masques bidons en tissus que l’on distribuera bientôt à la plèbe partiellement libérée (laquelle devra les porter sous peine d’amendes) histoire de la maintenir dans la peur hystérique d’une pandémie bidon, sinon éternelle, censée durer jusqu’aux élections de 2022 (ce qui revient au même). 
Une Sibeth qui se dit elle-même « paratonnerre du gouvernement », paratonnerre, qu’à défaut d’autres suggestions qui me viennent à l’esprit, elle pourra toujours se carrer sur les sommets himalayens qu’atteint sa maestria en matière de foutage de gueule. Un culot qui parvient même à transcender sa spécificité épidermique laquelle en arrive à perdre sa propriété la plus utile (après l’incapacité à rougir quand on ment) d’être ce rempart, inauguré avec Taubira et poursuivi avec Avia, derrière lequel on peut débiter impunément des conneries qui vaudraient à quelqu’un d’autre, au mieux, quelques kilos de tomates gratuites. 
Mis à part quelques demeurés qui soutiennent qu’elle a juste un très gros grain de beauté, tout le monde se moque que la meuf soit black et ce n’est certainement pas pour ça que, si la guillotine revient un jour à la mode, sa tirade sur la faiseuse panthéonisée de 200 000 anges par an, Simone Veil « la meuf est dead » pourrait lui servir d’épitaphe.
Passé l’instant de curiosité morbide de savoir si, en touchant le sol, sa tête ferait un bruit plein ou non, on finirait par s’en consoler en voyant dans cette réaction populaire, certes un peu excessive, la preuve que la France, la vraie, celle des chouans et des gilets jaunes ne serait pas tout à fait morte. Pour savoir de quelle France je parle, comme s’il pouvait y en avoir plusieurs, il suffit de fermer les yeux :
Imaginez un pot-au feu qui doucement mijote et dont la saveur, si caractéristique que partout on la reconnaît, évolue, avec le temps, selon une alchimie dont nul n’a percé les mystères. D’abord, il y a le chaudron, un peu cabossé par les ans, ce magnifique terroir gagné au prix du sang, gagné au prix des larmes et qui (comme jadis la sueur du boulanger donnait son goût au pain) apporte le goût un peu métallique des batailles passées. Ensuite, viennent les ingrédients : une base de Gaulois, de Francs, de Celtes, de peuplades antiques… soudés au fil des siècles pour ne faire qu’un peuple avec ses spécificités à nul autre pareil. 
Quand le bouillon réduit, on ajoute parfois quelques navets, quelques carottes du jardin d’à côté et si l’on peut risquer quelques fruits exotiques qui, à petite dose, une fois dilués, vont rehausser le goût, on ne mélange pas la soupe et le dessert sous peine de gâcher le repas tout entier.  
Enfin, il y a la flamme qui, délicatement, vient lécher la marmite ; la flamme de la continuité de l’histoire et du peuple. Mais une bonne flamme dépend aussi des bûches, jadis le chêne et les sarments de vigne des traditions païennes et d’un catholicisme encore ancré dans ses racines, dont la fumée, s’infiltrant par le haut de la marmite, apportait ses effluves au délicat mélange. Que la flamme s’éteigne et la soupe tourne et la soupe s’aigrit en un brouet infâme qu’on ne peut plus sauver. Qu’on (ce « on » qui ne dit point son nom) substitue au chêne le bois trop vert et plein de sève d’autres cultures et religions, et les volutes épaisses d’une fumée trop âcre viendront gâcher l’arôme et gâter le bouillon.
Contrairement aux croyances de certains patriotes romantiques la France peut mourir. Et de même que les scientifiques ont beau mélanger tous les éléments nécessaires à la vie, ils n’arrivent pas à la reproduire en laboratoire, certes, on pourra toujours proposer aux gens un brick de soupe « bleu blanc rouge » réchauffable au micro-ondes avec écrit dessus « recette originale », peut-être même y aura-t-il toujours un territoire avec des habitants dessus qu’on appellera la France, mais on pourra touiller autant que l’on voudra, on ne ravivera plus jamais ce que, depuis plus de mille ans, le Monde entier appelle, avec admiration, le génie Français. 
Génie français sans lequel ledit Monde, qui perd concomitamment les talents d’autres peuples qui eux aussi se désagrègent, pourrait se retrouver fort dépourvu face aux difficultés qui l’attendent. C’est quand même à la France que l’on doit, entre beaucoup d’autres  : l’ordinateur, la carte à puce, le journal imprimé, la transfusion sanguine, l’automobile, l’imperméable, le parachute, le crayon, la photographie, le cinéma, la machine à coudre, les allumettes, le réveille-matin, le béton armé, la pasteurisation, l’extincteur, la moto, l’hélicoptère, le sèche-cheveux, le soutien-gorge, le tube au néon, le radar… et bon d’accord, la TVA; je n’ai jamais dit qu’on était parfaits non plus..
La France est-elle morte ? On le saura très vite même si, pour l’instant, les applaudissements à 20h au sifflet des médias, et les hashtags « restez chez vous » ça fait un peu je suis Charlie et que, paradoxalement, depuis le début, les seuls qui ne se comportent pas comme des ovins prêts à se faire tondre (et plus si affinités) ce sont les habitants des cités, faisant que si, d’ordinaire, j’aurais fait toute la vidéo sur les barbecues qu’ils allument, depuis quelques jours, dans toute la France, dans un silence médiatique assourdissant, face à une police et un État qui ont complètement démissionné, la seule chose qui me vient à l’esprit c’est qu’ils sont juste le thermomètre de notre agonie suicidaire et que s’ils se sont tenus tranquilles pendant les manifs gilets-jaunes, ce qui me semble révélateur, pour le moment, en revanche, ils n’ont aucune raison objective de nous respecter.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

jeudi 16 avril 2020

Humour caustique. CONFINEMENT : avant le jour d'après et réciproquement. (16 avr. 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/fjeJm_-0RKQ


Bonjour !
Je ne sais pas s’il faut y voir un caractère prémonitoire mais notre « bénallo-gérontophile » centripète hélicoïdal a, encore une fois, tenu des propos aux intonations d’eunuque décapité (façon capillotractée de dire « sans queue ni tête »). 
Comme à son habitude, il a gagné du temps, prolongeant le con, finement, le confinement jusqu’au 11 mai en attendant, pourquoi pas, comme suggéré par la petite chatte (trop longtemps confinée pour passer olfactivement inaperçue) de Marlène Schiappa, de pousser jusqu’à la mi-août laquelle, comme le savent bien ceux qui connaissent leurs classiques, est beaucoup plus romantique. 
Sachant qu’on n’en est qu’au covid-19 et qu’il n’y a aucune raison que ça s’arrête, on va se faire enculer au moins jusqu’au covid-1984 (seul le covid-69 pouvant nous laisser espérer une chance de réciprocité). Ils ont toujours trouvé (et trouveront toujours) un épouvantail à agiter pour mieux nous dominer et, quand je dis épouvantail, je ne parle pas de Belloubet, la remetteuse en liberté d’égorgeurs en puissance, d’autant plus sereine que la probabilité qu’elle se fasse violer avoisine celle d’un croisement entre un opossum et un ornithorynque (sauf, peut-être, si le chaos qui s’annonce provoque, la nuit, un black-out électrique général et qu’aucune chèvre, ou bouc, ou lampadaire, ne se trouve dans un rayon de 10 kilomètres). 
Il faut bien comprendre que la mort, rendue taboue pour les masses par l’éradication des religions et l’anesthésie du consumérisme, est une maladie congénitale incurable qu’on refile à nos gosses en espérant lâchement y avoir succombé avant qu’ils ne déballent le cadeau et que, contrairement à l’expression absurde qu’on utilise pour nous manipuler, une vie ne se sauve pas, au mieux, elle se prolonge. Donc, tant qu’au lieu de se cloitrer dans la peur, on ne sera pas mentalement capables de mener les nôtres de vies en enjambant les cadavres médiatiques qu’on nous jette, on se fera mettre.
Je vous encourage à visionner ma précédente vidéo pour comprendre l’étendue du foutage de gueule concernant cette mise en cage de la contestation qui a désormais autant à voir avec le coronavirus que l’accueil des migrants avec le paiement des retraites. 
Il est clair que la décapitation est d’une radicale efficacité pour soigner le mal de tête, mais j’ai du mal à saisir que des gens qui, d’ordinaire, gouvernent avec un tableau Excel en main pour justifier des licenciements massifs, au nom des mathématiques et au mépris de l’humain, privilégient, d’un coup, cet humain dont ils n’ont d’ordinaire pas plus à cirer que Sibeth Ndiayé de son pèse-personne, au détriment desdites mathématiques. On est supposé croire que, alors que de tout temps, pour sauver le pays, on n’a jamais hésité à sacrifier des millions de jeunes hommes, plus ou moins poilus, sur les champs de bataille, comme on en sacrifie encore aujourd’hui pour sauver l’Afrique (sans que la chose ait à voir avec son uranium ou ses matières premières) d’un seul coup, pour prolonger, essentiellement, les quelques milliers de vieillards cacochymes qu’on n’arrive pas à euthanasier et Tatiana Ventôse, on n’hésite pas à sacrifier le pays tout entier. 
En réalité ce que le gouvernement essaie de sauver c’est ses fesses.  Il convient de rappeler que si on se retrouve dans la situation, pourtant facilement évitable, de devoir choisir entre sacrifier quelques-uns pour sauver le pays ou tuer le pays pour sauver quelques-uns c’est uniquement à cause de son incurie, trop constante pour être mise sur le compte de sa seule nullité cognitive, d’autant qu’il disposait depuis des mois de toutes les informations nécessaires. Un gouvernement qui, depuis le départ de Benjamin Griveaux, a du sang sur les « deux » mains avec, à ce jour, par comparaison avec l’Allemagne, 11 000 morts qui lui sont directement imputables ; sang d’autant moins excusable qu’il recouvre à peine celui, pas encore sec, des gilets jaunes. Un gouvernement qui dresse plus de procès-verbaux qu’il ne réalise de tests et qui s’avère mille fois plus toxique que tout ce qu’un pangolin peut produire, même en sodomisant sauvagement et sans préservatif une chauve-souris atteinte d’Ébola dans un laboratoire.
La question subsiste, de savoir comment on a pu en arriver, sans sourciller, à accepter collectivement cette forme de suicide consistant à sacrifier la majorité pour sauver une minorité. Outre l’effet de sidération médiatique, à coup de statistiques foireuses et anxiogènes, une explication, parmi d’autres, est que le dernier qui a ouvertement préféré sacrifier certains pour sauver le Pays était trop Pétain et que, du coup, ça a fait un four, paradoxalement trop allumé. D’autant que ceux qui ont, de facto, gagné la guerre (vu qu’Hitler l’a perdue) soucieux, pour certains, et c’est compréhensible, d’éviter un remake (surtout à l’ère des micro-ondes), nous inculquent depuis bientôt 80 ans, à coup de repentance, que l’auto-préservation c’est rance, que la vie « des autres » c’est sacré, que l’immigration c’est génial et que le nationalisme c’est pas bien… sauf en Israël, histoire d’avoir quand-même une petite exception pour confirmer la règle. 
Dans tous les cas, notre système d’auto-défense est au niveau d’un troupeau de lemmings après visionnage des 10 heures du film Shoah de Lanzman et il est clair que le Macronavirus (lequel a conclu son allocution par une variante de « pensez printemps » en mode foutage de gueule) en profite pour achever sa mission de liquider la France et (une fois coulés les petits commerces au profit d’Amazon et consorts) pour, sadiquement, serrer encore davantage le nœud des gueux analphabètes des campagnes, en limitant les achats, auprès dudit Amazon, de tout ce qui (livres avec plein d’images compris) pourrait alléger leurs semaines de confinement supplémentaires.
Semaines supplémentaires totalement inutiles si l’on considère que l’épidémie est pratiquement maîtrisée à Marseille où sévit l’infâme docteur Raoult qui fait bouillir, les nuits de pleine lune, de l’hydroxy-chloroquine et des yeux de crapauds dans des chaudrons, alors que Macron nous force à attendre un vaccin de lumière plein d’aluminium et de nanotechnologies sympas qui, selon lui, est la seule solution : BigPharma 1 : France 0.
C’est sûr que ça énerve du monde et j’entends beaucoup parler du « jour d’après », date à laquelle selon les fantasmes des uns et des autres on lui fera faire Paris-Roubaix sur un vélo sans selle avant de lui faire prendre un bain avec des piranhas, de le rincer à l’acide et de pendre ce qui reste, enrobé de miel, au-dessus d’un nid de fourmi rouges. Jour d’après d’autant plus relayé complaisamment par la presse qu’il sert à canaliser les mécontentements, repoussés, de facto, à une date laissée au bon vouloir de l’objet même desdits mécontentements, lequel parle déjà de plateau au lieu de pic de l’épidémie et de 2eme vague (voire plus si affinités), honorant pieusement, comme à son habitude, Saint Glin-Glin, patron des livraisons de masques. 
Il y a longtemps que je n’ai pas relu l’art de la guerre de Sun Tzu, mais quelque chose me dit que le gars, en observant tout ça, se roulerait par terre en chialant de rire jusqu’à réinventer le rouleau de printemps.
Le problème c’est que les emmerdes arrivent généralement en escadrille et que si on attend trop et le laisse décider du calendrier, il n’y aura pas plus de jour d’après que de menstruations de première dame non datables au carbone 14. Ça ressemble quand même pas mal à la fin du Monde : personne n’en parle mais ça brûle depuis 2 semaines autour de Tchernobyl, créant un nuage toxique chargé de radionucléides qui, ce coup-ci, alors qu’on n’a toujours pas de masques, ne s’arrêtera pas à la frontière, sauf si c’est Sibeth qui gère la com., les centrales d’achat qui livrent les supermarchés n’ont que très peu de visibilité et la situation est encore bien pire en Afrique, largement dépendante de la Chine, y compris pour la chloroquine qu’ils prennent contre le paludisme et qui explique que le covid n’ait pas encore explosé là-bas, laissant présager un tsunami migratoire sans précédent (on parle de millions de personnes) qui se masse déjà derrière les portes, laissées grandes ouvertes, par la Turquie bien décidée à l’utiliser pour éradiquer la Grèce, dixit Erdogan. 
Un tsunami qui, profitant de notre faiblesse, va ensuite s’abattre comme autant de sauterelles sur ce qui reste de notre système de santé et nos ressources alimentaires et ce, en pleine pandémie de connerie paralysante. Un tsunami, pas plus anticipé que le coronavirus et que je ne vois pas, hélas, comment on pourra l’arrêter sans, comme face à n’importe quelle invasion, tirer à balles réelles sur tout ce qui entre chez nous sans y avoir été invité. Il est clair que Macron (simplement gêné que le phénomène arrive plus vite que prévu) ne le fera, bien sûr jamais, au nom des « droits de l’homme », tentant, au contraire, piteusement, de résoudre le problème avec du fric, lequel ne se mange pas, même pas pour un Africain affamé, surtout quand il n’y a plus de marchandises à acheter avec. 
C’est de cette inquiétude que vient ce soudain élan (suivi d’un triple saut) de générosité que certains n’ont pas compris, d’annuler la dette… de l’Afrique. En ce qui nous concerne, si on survit à tout ça, vu qu’en bon banquier Rothschild, il s’est bien gardé d’évoquer, en jetant du sel par-dessus son épaule, une scission entre les banques de dépôt et d’investissement, tant qu’il restera de l’épargne à piquer sur les comptes, nos droits de l’homme à nous consisteront à bosser 60 heures par semaine pour payer la nôtre de dette, en perdant au passage tous nos acquis sociaux et bijoux de famille, jusqu’à rejoindre la Grèce, il est vrai prédestinée, par son nom, au régime. Une Grèce qui, en dépit d’une réputation de dilatation culturelle rectale multimillénaire, ne s’est toujours pas remise du gang bang de la troïka et qui, merci de ne pas rire, faute « d’aide militaire européenne », pour rejeter l’invasion migratoire à la mer, sera balayée, comme une promesse électorale dès « l’épouillage » des urnes. 
Si le coronavirus nous a appris quelque chose (en plus de serrer les fesses) c’est qu’une situation peut évoluer très vite et ce d’autant plus que chaque perturbation en entraine d’autres à un rythme croissant et que, donc, il vaut mieux prévenir que guérir. Si on ne comprend pas rapidement que désormais (et jusqu’à ce que tout soit remis en ordre) c’est chacun pour soi et que les droits de l’homme et l’accueil de la misère du Monde c’est terminé, notre civilisation pourrait bien l’être aussi. Et c’est quand même un peu triste de finir, dans le noir, le cul sur nos canapés, à trembler devant un virus pourtant inoffensif pour l’immense majorité de la population.
Avant même son élection, j’ai toujours dit 2 choses : 
1) que si Macron allait jusqu’au bout de son mandat, la France était cuite et 
2) qu’il aurait un destin de Marie-Antoinette sachant qu’il a été placé là pour être sacrifié et qu’il est trop imbu de sa personne pour s’en rendre compte. Il est dangereux en effet, surtout quand il y a le feu au lac, de se retrouver trop longtemps dans une situation où la constitution ne permet pas, dans les faits, de se débarrasser légalement d’un individu qui ne fait pas le job et dont chacun sait qu’il ne démissionnera jamais en dépit du fait d’être largement haï et minoritaire dans l’opinion. La colère, exacerbée par un confinement absurde, qui n’est que le faux nez de la dictature qui s’installe, devient alors telle qu’il est plus que probable que certains vont fantasmer, de manière plus ou moins concrète, sur une façon non asselinienne de remédier à la problématique, plus proche du calibre 7,65 que de l’article 68. 
D’une façon ou d’une autre, la situation ne se résoudra pas avec des vidéos YouTube ou par les urnes. À la limite, tout ce qu’on peut faire en ligne (et, comme dans toute bonne dictature, la fenêtre est étroite car ça va bientôt être bloqué) c’est faire monter la pression dans la cocotte-minute de façon à ce que la perspective d’une explosion et d’un dé-confinement sauvage fasse changer la peur de camp et décuple l’agitation stérile habituelle de notre grand timo-niais avec, pour conséquence, que tant ceux qui ont peur de la révolution que ceux qui l’ont mis en place l’identifieront comme la source du problème, ces derniers trouvant alors, peut-être, plus productif de s’en débarrasser d’une manière ou d’une autre (on est ouverts à tout) plutôt que de risquer un chaos incontrôlé qui pourrait se retourner contre eux avant qu’ils n’aient fini de piquer la caisse.
Dans tous les cas, le bon côté de cette crise c’est que beaucoup d’entre-nous ont été amenés à réfléchir sur la mort et le sens de la vie. C’est le moment de vérité, tant individuel que collectif, qui va nous dire très vite si la France est morte ou s’il reste encore des gens prêts, en leur âme et conscience, à l’ultime sacrifice pour que les choses changent vraiment.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

jeudi 9 avril 2020

Humour Caustique : Macroneries virales (09 avr. 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/U57U2vXF648




Bonjour!
Cette nuit j’ai fait un rêve bizarre. Je faisais mes courses et, alors que passant devant le rayon poissonnerie s’infiltrait dans mes pensées une vision fugitive de Marlène Schiappa après trois semaines de confinement, je me retrouvais face à un masque de plongée intégral façon Dark « reste dedans », « Vador » étant peu approprié en période de confinement.
Sur le moment, je crus que c’était un truc publicitaire pour les poissons panés, mais non! celui qui l’arborait avait tranquillement continué vers le rayon fruits et légumes, tandis qu’à la vue des bananes, j’avais une pensée émue pour Benjamin Griveaux, pensée qui me poursuivit jusqu’au rayon crème fraîche. Après un laborieux passage en caisse, perturbé par la crise de nerf d’un malfrat qui hurlait, sans que personne ne fasse attention à lui : « ceci est un hold-up », je ramenais mon chariot, évitant soigneusement une dame, en pleurs et les mains en sang, en train d’astiquer furieusement la barre du sien avec une lingette ; scène me faisant repenser … à Benjamin Griveaux.
Sur le retour je dépassais une mamie qui avait carrément mis un masque à son chien lequel reniflait le derrière d’un autre à 1 mètre de distance. Tandis que fondaient sur elle deux drones et un hélicoptère de la gendarmerie nationale pour vérifier si elle avait son attestation (vous aurez compris que je n’habite pas dans le 93) je me réfugiais piteusement chez-moi. Je saluais quelqu’un que, faute d’avoir vu son visage depuis plusieurs semaines, je supposais être ma femme, et je guettais des signes de vie dans la chambre de ma fille, être nocturne, que pendant tout ce temps je n’avais pas vue du tout. Rien qui évoquât les maths qu’elle était supposée faire, mais quelque chose était indubitablement en vie dans la pièce.
Après avoir glissé une ou deux tranches de jambon sous la porte (la donzelle ayant tendance à prendre la mouche), je décidais, pour ma part, de tuer le taon, histoire de rester dans les diptères, en visionnant la vidéo d’un collectif de youtubeurs qui chantaient en cœur « restez-chez vous » avec cet air inspiré si caractéristique qu’on ne retrouve que dans les gros plans visage de ceux qui luttent passivement contre la constipation, dans les films pornos gays multiculturels, avec des clones de Yann Barthes et d’Omar Sy. C’est à ce moment que je me suis réveillé, avec « azerty » inscrit sur mon front, pas vraiment sûr qu’il s’agissait d’un rêve.
Dans la même veine, tel le cerveau lent de Castaner emporté par le vent, je me suis alors imposé, avec une fascination masochiste, l’introspection transcendantale de plus de 30 minutes (façon Antastesia) en mode pétage de plomb d’une youtubeuse aux cheveux de feu que je ne nommerai pas et que j’avais d’abord crue victime des courant d’airs qu’évoquent son nom et de sa tendance à enfoncer des portes ouvertes, avant qu’elle ne raconte, en mode panique, qu’elle avait, presque sûrement sans doute, ce truc que nul n’ose plus nommer. Ce qui ne l’a pas dissuadée, dans un dernier râle, de continuer à relayer la propagande gouvernementale pour ce confinement inepte qui, même s’il avait été démarré à temps et bien fait, ce qui n’est absolument pas le cas, n’aurait pu, au mieux, que retarder l’inévitable et ne l’a pas empêchée d’attraper la bestiole. « Prompt rétablissement ! » quand-même.
Du coup, j’ai subitement réalisé que, moi aussi, j’avais plein de symptômes. Depuis 2017, j’étais plutôt constipé, façon Schiappa, et depuis peu, j’ai choppé la Ndiayé. C’est comme la Ndiaré mais sans les flatulences, vu que ça manque « d’r ». En plus, j’ai un gros abcès sur les fesses en forme de ministre de la santé au point, qu’étant de nature opiniâtre, j’envisage de percer Véran. Je ne parle même pas des nausées qui apparaissent dès que je vois Macron à la télé, comme si j’avais ingéré un Brune Poirson violent, à moins, peut-être, qu’à force de me faire mener en bateau je n’aie attrapé le mal de Lemaire.
Le virus étant raciste et tuant essentiellement des noirs aux États-Unis (lesquels, contrairement à leurs frères africains, ne sont pas gavés de chloroquine en raison du paludisme), j’appréhende une baisse de mes globules blancs qu’on appelle leucopénie à ne pas confondre avec le Pénicaud, qui est la maladie du travail, en tout cas de son ministère.
Bien sûr, j’ai pris mes précautions : j’ai imprimé les 350 pages du premier volume de la série « comment mettre un masque », préfacée par Sibeth Ndiayé, je n’écoute le premier ministre que quand il est debout (le Phillipe debout étant préférable à l’assis Phillipe qui est presque une maladie vénérienne) et, dans le même esprit, j’ai toujours une photo de Belloubet dans ma poche pour faire fuir les germes et calmer toute tentation coupable que mon épouse n’approuverait pas. Pourtant mon état empire, dépasse les Élisabeth Borne et je me sens crevé comme un Salomon qui remonte la rivière.
J’ai même envisagé de trouver réconfort dans la religion. Mais c’est compliqué. Avec les conneries que dit le pape, tant qu’on n’instaura pas un sous-pape de sécurité, je me vois mal renouer avec le catholicisme. Intrigué par les appels à la prière qui égayent, depuis peu, nos rues désertes, j’ai un temps envisagé l’Islam, mais j’ai juste un opinel et, avec le confinement, impossible de le faire aiguiser. Pour le judaïsme c’est compliqué car j’ai la phobie des chiffres ronds. De plus, je ne suis pas allé voter aux municipales et, du coup, être élu dans ces conditions me semblerait peu équitable, sans compter que, cerise sur la kippa, je pourrais me faire agresser par des gilets jaunes antisémites. En dernier ressort, j’ai considéré le Bouddhisme, avant de comprendre que ça n’avait rien à voir avec le fait de faire la gueule, et que ma compréhension de ce qu’ils appellent le Dharma était particulièrement étriquée. Un Dharma nain en quelque sorte.
J’ai essayé de mieux dormir la nuit, j’ai même acheté un hamac cylindrique, ayant entendu dire que l’hamac rond ça endort le peuple, certains diront que c’est plutôt LE Macron, mais au cas particulier, le genre reste largement débattable (je dis ça pour ceux qui me prendraient pour un anti LGBT primaire). Mais bon, je vais arrêter là les macroneries ; pas que ça manque de ministres, mais comme personne ne les connait on ne comprendrait pas les vannes, et puis, en toute matière, l’abus rend fou, un abus zinzin en quelque sorte et après, on se retrouve tout seul, à errer sans but, heureux que les écoles soient fermées parce que, dans certaines, être le seul « blanc qu’erre » peut parfois s’avérer problématique.
Sérieusement, la situation est grave et même Boris Johnson, dont certains anti-brexit ont dû tartiner la poignée de porte, est entre la vie et la mort, si j’en crois la semi-remorque de cierges qui vient d’être livrée chez François Asselineau. Pourtant ce coronavirus a aussi du bon, dont le petit plaisir de voir Lallement produire deux litres d’huile vierge première pression à froid, même s’il a chaud aux fesses, avec juste une olive dans son auguste fondement. Pour un peu on se consolerait du grand nettoyage de printemps dans les EHPAD.
Ça peut arriver à n’importe qui de devoir manger sa casquette et de s’excuser, mais lorsque le couvre-préfet en question est, de toute évidence, une piste auxiliaire tactique de décollage pour drones en cas d’émeute urbaine, servant accessoirement de parasol, c’est plus dur que pour le commun des mortels. Mais bon, c’est fait et il s’est excusé d’avoir méprisé les malades du covid-19 comme de vulgaires gilets Jaunes. Certes Lallement, mais Macron aussi.
Il était évident, depuis le départ, que le covid-19 n’était pas Ébola ou la grippe espagnole.
Même en ne faisant strictement rien (tâche pour laquelle un énarque est parfaitement qualifié), les pires scénarios (et depuis, ceux qui les ont produits, les ont largement revus à la baisse) faisaient état de chiffres bien inférieurs aux 650.000 morts annuels, toutes causes confondues (y compris mettre un Gilet-Jaune) que connait déjà notre pays.
Certes ces chiffres, très exagérés (et, encore une fois, dans l’hypothèse où l’on ne ferait strictement rien) avaient de quoi faire peur. C’était d’ailleurs bien le but recherché par certains, utilisant une OMS rongée par la corruption mais, et c’est là que réside la subtilité, il ne s’agit essentiellement pas de morts SUPPLEMENTAIRES, beaucoup de gens mourant AVEC le coronavirus, mais pas DE lui, un peu comme quand on a des morpions. Et quand on meurt DE lui, c’est souvent qu’il a juste remporté la course contre d’autres pathologies existantes. Bref, le DIFFERENCIEL (encore une fois en ne faisant strictement rien), se situerait quelque part entre 0,1 et 0,01% de la population TOTALE.
Un pays sain se doit d’avoir, non des valeurs à la con, mais un BUT à long terme, ainsi qu’un souci de préservation et d’héritage vis-à-vis des générations futures. On peut, dès lors, s’appuyer dessus pour prendre sans sourciller des décisions humainement difficiles et impopulaires, sachant qu’il est absurde que ledit pays se saborde, même pour sauver 50% de sa population et, à fortiori, pour en sauver moins de 0,1%.
Bien sûr, une fois que cette évidence (qui n’en est pas une pour tout le monde ce qui est une des causes de la situation) est posée, il est clair que tout ce qui ne remet pas en cause la pérennité du collectif et ne sacrifie pas la majorité au profit de quelques-uns doit être tenté pour sauver le plus de vies possible. Mais ce n’est pas ce qui a été fait.
Avec une constance qui permet de se demander si ce n’est pas volontaire, on n’a utilisé aucun des outils qui ne conduisaient pas au suicide collectif : don de nos masques à l’étranger, refus de la proposition des industriels de fabriquer des respirateurs en masse, refus des propositions des laboratoires vétérinaires de procéder à des centaines de milliers de tests préventifs, et on a complètement ignoré la sommité mondiale qu’est le docteur Raoult faisant (et ça continue aujourd’hui) tout ce qui est possible pour court-circuiter la chloroquine dont le succès prouverait que tout ce fiasco aurait pu être évité et ferait de la bande à Macron des criminels.
Au contraire, dans une course en avant pour retarder les tribunaux populaires et la remise en service de la guillotine, conduisant à une spirale de mensonges devenus impossibles à cacher, on essaie de prolonger le plus possible un confinement halal à géométrie variable qui ne sert à rien, sauf à faire porter la responsabilité de la catastrophe sur le manque de civisme des Français au lieu de la gestion calamiteuse du gouvernement. Un peu comme si, dans un bateau, celui qui a fait un trou dans la coque attribuait le fait que ledit bateau coule aux gens qui, dans la soute, n’écopent pas assez vite (avec des cuillères à café qui plus est) parce que le même individu a oublié de commander des seaux, même si ce n’est pas ce qui manque à LREM.
Tout en en profitant, au passage, pour limiter les libertés individuelles (en nous pistant sur nos téléphones, en attendant un traceur en suppositoire) et pour effacer, d’un trait de plume, tous les acquis sociaux, l’exécutif compte sur le fait que, face au chaos et aux pénuries alimentaires qui vont suivre, aggravés par les conflits ethniques volontairement importés sur notre territoire, les gens seront trop occupés à se battre entre eux pour un bout de pain pour s’occuper des traitres qui les gouvernent dont la priorité actuelle est d’éviter que ne se produise, avant ledit chaos, un déconfinement d’un seul bloc, qui se traduirait, dès le lendemain, par une révolution avec leur têtes sur des piques.
Certains pays vont se retrouver dans une mouise noire. Bien dirigée et, sous réserve de déterminer de façon cohérente ce que signifie être Français et donc QUI peut bénéficier de ses largesses, il n’y a pas de raison que la France, laquelle a des atouts uniques au Monde et qui, contrairement à beaucoup d’autres, a les capacités de retrouver, à terme, le seul truc qui compte en période de crise, à savoir une autosuffisance alimentaire, fasse durablement partie de ceux-là. Mais, encore une fois, « bien dirigée ».
Comme disait Coluche, si on confie le Sahara à des énarques, dans 5 ans on importe du sable. Encore pire quand lesdits énarques sont également des traitres et des corrompus, élus (il faut aussi être capable de l’admettre) par des veaux.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

mercredi 1 avril 2020

HUMOUR : MEGAMIX CORONA Parodie de Chansons Françaises (01/04/2020)

Transcription de ma vidéo YouTube:https://youtu.be/peRW_dLdRBQ



 Les paroles :


Vraiment macron et ses compagnons

Prennent pour des cons la population

Où sont les masques,

Bande de nuls au cerveau flasque

Dites-nous bordel, où sont les masques….

Où sont les masques ?

Paroles, paroles

Mensonges, mensonges

Sibeth tu mens trop, c’est pas beau, c’est pas beau du tout

Sibeth tu mens trop, vraiment trop, tu te fous de nous

C’est quoi ce président de la république

Qui fait n’importe quoi en période pandémique

Il vient nous chanter des salades,

Nous balade, nous pauvres gueux

Et ça fait bim bam boum,

les médias paniquent les foules

Et ça fait bim bam boum,

dans nos têtes tout se chamboule

Et tandis que les gens, sont en confinement

On tue le pays, siphonne nos économies

Ils disent par-dessus le marché, sans aucune honte, c’est odieux

Que c’est ça ou bien laisser crever, nos vieux

Malades, pour la plupart déjà malades,

Qui meurent moins du corona que des carences de l’État

Prendre aux enfants leur demain,

Ne sauvera pas nos anciens

Et tout le monde doit rester confiné,

Parce qu’on n’est pas équipés

Z’ont tout mangé le budget de l’État

C’est ça qui tue, pas le corona

Onze mois qu’ils gazent les infirmières

Qui manifestaient leur colère

On leur propose depuis deux mois

Le Floch Prigent dit ça

Des respirateurs : ils veulent pas

Darla dirladada

Pendant que l’hôpital se bat

Darla dirladada

Dans les cliniques, y a pas un chat

Vraiment je comprends pas

RAOULT criait : chloroquine

Poison selon BUZYN

Pas assez cher, chloroquine

Ils veulent qu’on se vaccine

Des ripoux des ripoux toujours des ripoux

Des ripoux des ripoux toujours des ripoux

Tous nos masques en Chine, on se contamine

Des ripoux des ripoux toujours des ripoux

Au fond c’est nous les couillons

Si on laisse l’état profond

Crever la bulle à trillions

En dévaluant nos fonds

Et pendant qu’on se terre comme des rats

Ils évitent grâce à ce coup bas

Une révolution, notre révolution

Car il va changer le Monde,

mais ça va se faire sans nous

Si on les laisse faire, ce Monde,

il sera bien pire pour nous

Mais bon, sous les masques la grenade,

Sous les masques la grenade.

Sous les masques la grenade

Parodies de : Thierry la Fronde, où sont les femmes, Parole parole, Ban Moin un Tibo, Si j’étais président, La ballade des gens heureux, Bim Bam Toi, Le rire du sergent, Mon Vieux, Je suis malade, Prendre un enfant par la main, Les bêtises, Darla dirladada, Aline, Le poinçonneur des Lilas, Les Corons, La déclaration, Ça va pas changer le Monde, La grenade.