Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

lundi 31 janvier 2022

FRENCH CONCON. Chanson parodique (enfin presque...)(31 jan. 2022)

Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/q7axo25K6lM


Paroles de la chanson :

Première cause de nos déboires 

Un tyran vil et dérisoire 

Imbu de son importance 

Qui prétend diriger la France 

Ses pratiques ne sont pas nettes 

Il tombe parfois la savonnette 

Benalla le savait bien 

C’est pour ça qu’il ne risquait rien 

On t’emmerde 

Bon sang que ça fait du bien 

On t’emmerde 

Les Gaulois te saluent bien 

On t’emmerde 

Tu t’en fous on le sait bien 

On t’emmerde 

Mais tu riras moins 

Si on revient 

A l’invention de Guillotin

Qu’est-ce qu’il y a derrière l’affaire Alstom?

Jean-Mi est-elle un homme? 

Que de questions 

Qui ne sentent vraiment pas bon 

650 milliards de dettes 

L’hôpital en disette 

Des yeux crevés 

Mains arrachées, gosses injectés

Les prix qui grimpent comme Darmanin 

Sur tout c’qu’est féminin 

Pendant que Blanquer 

A Ibiza jouis de la mer 

Tandis que l’école est massacrée 

Et que tes députés 

Ont bafoué nos libertés

13 ministres en examen 

Sur un mandat ce n’est pas rien 

Beaucoup mentent comme ils respirent 

Car pour le coup tu les inspire 

Tous tes chiffres sont bidons 

De la croissance à l’inflation 

Hélas il reste des cons 

Pour croire encore à tes chansons 

On t’emmerde 

Bon sang que ça fait du bien 

On t’emmerde 

Les Gaulois te saluent bien 

On t’emmerde 

Tu t’en fous on le sait bien 

On t’emmerde 

Mais tu riras moins 

Si on revient 

A l’invention de Guillotin 

Tu nous as imposé un machin 

Qui n’est pas un vaccin 

C’est Delfrayssy 

Celui qui récemment l’a dit 

Et même si Castrex et Variant 

Mentent pour faire peur aux gens 

Triples dosés 

Qui sont quand même infectés 

Les gens comprennent pourquoi Buzin 

S’est barrée l’air de rien

Si chaque dose 

Augmente les risques de thrombose 

Et qu’en cas de pépin 

Micron et ses copains 

Ne leur donneront rien 

Ça c’est certain 

Soit c’est la fin de son histoire 

Soit c’est la fin de notre histoire 

Avec Fabius dans sa manche 

On va droit vers la déchéance 

Le système l’a mis en place 

Pour qu’il dompte la populace 

Mais c’est qui Le système? 

Oui c’est qui Le système? 

Qui donc? Qui donc? Qui donc? ... 

Je laisse à ces vilains complotistes 

Le soin de faire faire des listes : 

Qui devient riche 

Pendant que les autres s’appauvrissent? 

Tandis qu’on fait gonfler la dette 

Avant le grand-Reset 

Pass vaccinal 

Puis au final, taxe maximale 

Des milliards en doses et en tests 

Comme si c’était la peste 

Milliards de dettes 

Qu’auraient pu sauver les retraites 

Nos vieux en Ehpad isolés 

Et nos gosses tous masqués 

QR codés 

Des ovidés 

Qui tous les trois mois sont piqués 

C’est pas l’idée 

Que je me fais de la société

mercredi 19 janvier 2022

Eradiquons le patriarcat toxique! (19 janv.2022)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/i-5AmKmCakQ

 

Bonjour ! 

Il paraît qu’une certaine Brizitte, connue pour avoir dit à ses élèves « allez, lisez ! », chose que, pour notre plus grand malheur, l’un d’entre eux a mal interprétée (comme il a mal interprété « maîtresse ») que cette Brizitte donc prétend qu’on la diffame, alors qu’au contraire, si j’ai bien compris, on la dit homme. Donc si on la dit femme on ne la diffame pas alors que si on la dit « homme », là on la diffame même si quand on la dit « femme » alors qu’elle est homme quelque part on diffame l’homme qu’on dit « femme ». Du coup, on n’y en…trave lo…giquement rien d’autant que les avis divergent et que dix verges, même au cas particulier, ça me semble beaucoup, à moins que j’aie mal compris « diffame »... Dans tous les cas, il faut raison garder : ce n’est pas parce qu’elle a de grands pieds, de larges épaules, une perruque, une poitrine à volumétrie variable, une grosse boite crânienne, des arcades sourcilières prononcées, un menton carré, une voix bizarre, pas de hanches et un annulaire plus long que son index que l’on peut en déduire quoi que ce soit. 

Certains, perturbés par une photophobie qui l’a poursuivie durant son enfance, son adolescence et son premier mariage, estiment qu’elle n’est pas transparente en ce qui concerne ses enfants et c’est normal car si elle était trans…parente nul besoin d’être trans…lucide pour comprendre que cela ajouterait à la confusion d’autant que la chose ne serait pas limpide. Certains vont jusqu’à voir dans sa gestuelle des trans…positions… d’attitudes masculines. Peut -être qu’ils se plantent, voire qu’ils se trans…plantent pour aller sur un registre botanique. Toujours est-il que je pense avoir trouvé l’origine de la rumeur selon laquelle elle serait son frère Jean-Michel. La faute en incombe à Valérie Pécresse qui a finalement retrouvé, encore dans son emballage d’origine, le Kärcher collector de Sarkozy lequel a plutôt opté pour un casher de marque BHL, notamment en Libye. En effet, un Kärcher forcément ça nettoie et si ça nettoie… c’est donc ton frère, d’où, je pense, la rumeur. 

Une Valérie Pécresse laquelle vit dans un monde où les années font 246 jours et où Oradour-sur-Glane se situe en Corrèze, qui a produit sur les réseaux sociaux un remake du tube de Jacques Dutronc : « il est 5 heures, Pécresse s’éveille… Pécresse s’éveille » soulignant à quel point, pour elle, se lever des potron-minet, relève de l’exploit, exploit que tous les Français adeptes de la grasse matinée, du livreur, au boulanger en passant par l’infirmière et la femme de ménage apprécieront. J’espère qu’elle n’a pas pris de taxi (en supposant que ces fainéants soient déjà levés de si bonne heure) taxi qu’elle aurait pu partager avec Anne Hidalgo laquelle explique dans une vidéo, elle-aussi virale, à quel point les taxis c’est bien, que grâce à eux, elle découvre Paris (visiblement, elle n’est pas du coin) et que moins il y aura de voitures dans la capitale (ce à quoi elle s’emploie) plus il y aura… de taxis. Les 1,8 %, au Q.I. de crevette anémique congelée, encore disposés à voter pour elle auront donc compris qu’à défaut de baguette, fût-elle à 29 centimes chez Leclerc, ils pourront manger de la brioche. 

Si l’on ajoute la séquence ultra Marine, non pas de Jean-Michel Blanquer les pieds dans l’eau à Ibiza et le reste dans quelque « cabaña » pendant que les enseignants attendaient leur protocole de rentrée, mais de la toute aussi ultra Marine Le Pen, nous rappelant à quel point elle est douée pour remuer du popotin sur des musiques exotiques (même après défaite électorale) et où on la voit glisser un discours patriote entre deux appels à la prière, plus Christiane Taubira dont on se remémore la déclaration enflammée à Assa Traoré et la masterclass en langue de bois sur le pass vaccinal, on se prend à regretter qu’à un poil pubien près, Sandrine Rousseau ne soit pas parvenue à déconstruire le suppôt du patriarcat incarné par Yannick Jadot, surnommé « Yannick la mer » lorsqu’il s’inquiète de l’érosion du littoral. Quelle occasion manquée de montrer à la face du Monde, par ce quasi grand chelem de l’excellence, que oui, les femmes sont les égales des hommes et que les femmes politiques sont sans conteste aussi… incompétentes, nulles, hypocrites et corrompues que leurs homologues masculins. 

D’autant que Ségolène Royal était disponible (elle le dit à qui veut l’entendre) et que la gauche a manqué une occasion en or (qu’elle rattrapera peut-être à la primaire) de faire appel à celle qui a fait… 2% lors de sa tentative, l’an passé, de se faire élire sénatrice des Français de l’étranger. Mais bon, soyons positifs : même si, faute de « bravitude », nous sommes peut-être passés à côté d’un grand pas pour l’humanité, la masculinité toxique a du plomb dans l’aile et c’est ce qui compte. 

Mélenchon, lequel fait carrément chanter « l’hymne des femmes » à capella dans ses meetings sans toutefois aller jusqu’à laisser sa place à Clémentine Autain blême ou Raquel Garrido (laquelle fait pourtant largement le poids), non content de n’être plus, littéralement, qu’un hologramme, parle désormais à la Terre depuis la lune par mur d’images interposé pour nous expliquer que le covid c’est la faute à la déforestation. Comme maintenant, nouveauté 2022, on a droit à l’odeur en plus, il a même été contraint d’ôter le col mao qu’il porte depuis 30 ans et dans lequel aurait pu se nicher un reste de senteur masculine. Une masculinité qu’on se garde bien de trans…humer à l’Elysée où là non plus les taux de testostérone, sauf si on les cumule, ne sont pas significatifs. Poutou quant à lui évoque plus un câlin qu’autre chose et comme je ne veux pas être méchant concernant Philippot, Asselineau et Dupont-Aignan dont les penchants n’enlèvent rien aux mérites, il ne reste guère que Lassalle et Zemmour pour représenter le patriarcat dans cette pantomime électorale et encore, derrière Zemmour il y a Sarah et de Sarah, disent certains, point trop Knafo. 

Zemmour (dont par ailleurs je partage une partie des analyses) a fait très fort en matière de grand-écart en parvenant à mettre, dans deux interviews différentes, sur le dos de l’immigration et du laxisme de la justice les soi-disant « violences » faites aux élus que, bien sûr, comme tous les autres candidats, peu enthousiastes à l’idée d’admettre leur rôle de canalisateurs de colère dans une direction autre que verticale, il condamne, se gardant de relever que la fortune des milliardaires a augmenté de 86% depuis le début de la pandémie de cas et que, côté théorie du ruissellement, pour le coup, on voit nettement l’impact du réchauffement climatique. 

En tous les cas, merci à lui de m’avoir éclairé car, n’ayant pas entendu le moindre « Allah Akbar » (peut-être à cause des masques FFP2) j’avais naïvement imputé la chose au fait que les gens se sentent acculés, mot qu’il convient d’articuler soigneusement, sachant que, pour rester dans l’analogie scatologique, une majorité d’entre nous n’a jamais rien vu de positif sortir d’une urne non plus. Tel le pot de fer et le pot sommé de se taire, nous sommes désarmés face à des gens qui votent, en notre nom, des lois scélérates à 4 heures du matin en buvant du champagne et sans jamais nous consulter. Si certains, parmi nous, disent qu’ils ne sont pas contents ou tentent d’évacuer un peu de vapeur en désignant des boucs émissaires plus ou moins pertinents (autres que ceux que l’on désigne pour eux) ils se font censurer, nazifier, complotiser ou antivaxxer avec comparution immédiate. Ceux dont le frigo n’est pas encore vide ne peuvent même plus faire le dos rond en essayant de se focaliser sur leurs loisirs ou le repas entre amis qu’ils vont faire le Week-end car on vient les « emmerder » jusque-là avec des masques et des pass vaccinaux. Même quand ils essaient de s’évader de ce Monde de merde, par la télé, le cinéma et même les jeux vidéo, on leur impose de la propagande lgbt covidiste à hautes doses avec des histoires inexistantes et des personnages superficiels résumés à leur identité diverse et inclusive. Et encore, je ne parle que des gens qui, n’ayant pas d’enfants, ont le luxe de l’égoïsme. Les autres sont socialement sommés de faire injecter un produit expérimental à leurs gosses en dépit d’un rapport bénéfices-risques négatif et de leur imposer de respirer toute la journée leurs miasmes derrière un masque en papier. 

Ne peut-on dès-lors concevoir, même quand on s’appelle Zemmour, qu’éperdus de reconnaissance, nous ayons parfois comme une envie de faire valoir le principe de subsidiarité et, faute d’accès direct à Macron ou à Bill Gates, d’étreindre affectueusement certains élus à notre portée, sans lesquels aucune de ces saloperies ne pourraient se faire, en serrant très, très, très, très fort. Dans un pays où un égorgement est pudiquement appelé par les médias « coup de couteau circulaire au niveau du cou », je ne vois pas en quoi le concept de « chaleureuse étreinte occipito-atloïdienne » pourrait choquer quiconque d’autant qu’à ce jour, en dépit de paroles verbales et twittesques personne n’a encore été affectueux jusque-là. Je ne suis pas quelqu’un de violent et, comme la majorité d’entre vous, j’ai sauvagement tué moins de 10 personnes dans ma vie, mais je commence à en avoir ma dose et je ne parle pas de vaccin. 

Comme dit le proverbe : « quand on se regarde, on se désole ; quand on se compare, on se console » et les Australiens me consolent beaucoup. Ne pouvant expulser pour raisons médicales un Novak Djokovic en pleine forme qu’il aurait été facile de tester tous les jours autant de fois que nécessaire, le con gourou du covidisme (avec les juges dans sa poche) qui leur tient lieu de ministre de l’immigration (celui qui enferme les non vaccinés dans des camps) après avoir sauté sur place, l’a expulsé pour « motif d’intérêt public ». La crainte étant qu’il booste la contestation contre la politique vaccinale et qu’il ridiculise le gouvernement si en plus, comme cela était probable, il avait gagné l’Open (pour le coup mal nommé) d’Australie. Mais n’ayez crainte, ma consolation sera de courte durée car, il en allait de la fierté de la France, on ne pouvait pas laisser à ceux qui, au moins, ont l’excuse de marcher la tête en bas, la médaille d’or du fanatisme et notre ministre des sports au nom imprononçable a déjà annoncé qu’on allait faire pareil pour Roland-Garros. 

Bon, sur ce, je vais manger des crêpes, non pas au nutella, mais « à rien » et si c’est « à rien », pour Darmanin, lequel en ce moment voit des nazis partout, c’est d’extrême droite. 

N’oubliez pas de cliquer sur tous les trucs en bas et de faire un tour sur mes autres chaînes en description, notamment ma chaîne « odysee » qui vient de dépasser les 2000 abonnés ce qui est loin d’être négligeable sur cette plateforme. Merci pour vos commentaires, vos encouragements et votre soutien et à bientôt…j’espère.

lundi 10 janvier 2022

Quand l'emmerdeur est le roi des con...tes. (10 janv.2022)

Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/kfursktL56c


 Oyez, oyez ! Gentes Dames et Gentilshommes, Damoiselles et Damoiseaux. 

Laissez-moi titiller vos sagaces oreilles en vous contant céans quelque nouveau récit de ces temps oubliés d’avant le grand suicide, quand Flatulent premier et sa Berthe aux grands pieds (entre autres grands organes), régnaient sans nul partage sur un lointain pays dont le nom s’est perdu. Soyez donc prévenus, si puristes vous êtes, qu’enrichissements, culturels en nature, et autres altérations ne sont point à exclure. Permettez donc que je vous narre les cocasses déboires d’Ali au pays des merveilles de Lewis Mohamed Carroll. 

Ali se reposait au pied d’un très vieux chêne lorsqu’il fut tiré de sa somnolence par une Le Pen blanche qui passa devant lui en courant, une montre à la main, se lamentant qu’elle était en retard … dans les sondages avant que de disparaitre dans un trou, comme à son accoutumée entre deux périodes électorales. Ali en resta baba puis, curieux, s’aventura dans le trou à sa suite et, après une chute qui lui sembla aussi interminable qu’un mandat macronien, finit par atterrir dans une caverne où 40 violeurs faisaient subir les derniers outrages à un groupe de féministes à cheveux bleus et bourrelets tatoués. Il s’approcha de l’une d’entre elle, qui le fixait, face collée contre le panneau « Migrants Welcome » qui gisait à ses pieds et dont les soucis hémorroïdaires étaient présentement traités avec le mépris le plus profond, au sens propre, même s’il avait quelques difficultés à le rester. Il s’enquit auprès d’elle de la direction prise par la Le Pen blanche. « Elle est partie par RHAAA ! » répliqua la jeune femme dont, visiblement, les convictions véganes et les problèmes laryngo pharyngés n’étaient pas davantage pris en considération. 

La laissant à sa méditation sur la toxicité du patriarcat, Ali suivit la direction qui lui avait été indiquée et arriva dans une clairière où des gens, qui travaillaient du chapeau, prenaient le thé sans ôter leur masque tout en se souhaitant mutuellement un joyeux non-retour à la vie d’avant. Toutes les dix minutes ils s’arrêtaient pour s’injecter une substance verdâtre après que le maître de cérémonie leur eût annoncé : « c’est l’heure du rappel du rappel… du rappel, du rappel… » et il continuait ainsi un long moment, seule raison pour laquelle s’écoulaient dix minutes entre chaque injection. « Une injection ? », lui proposa-t-on. « Non, merci ! », dit Ali « Un non-vacciné ! », s’écrièrent-ils de concert. « Et il n’a point de masque. Le deltacron est sur nous, il va tous nous occire. Avant qu’il ne nous laisse sur le carreau, avisons de la chose la reine de cœur et le roi qui pique ». Et tout ce beau monde de détaler promptement à la vitesse d’un retournement de veste de Manuel Valls un jour de tramontane. Un vol de corbeaux, le ventre en l’air, s’ébroua vers les cieux, suivi d’un éléphant rose « gender-fluide » dont une plume enfoncée dans quelque endroit stratégique tentait, non sans mal, de pallier les carences aérodynamiques.

« Par le prophète, ils sont tous fous ! », se dit Ali. 

« Tu l’as dit bouffi ! », rétorqua le chat botté, sorti de nulle part, léchant son pelage noir et recruté par l’auteur dans un conte voisin tant pour sa diversité que pour cause de restrictions budgétaires. « Et encore tu n’as point vu le roi, poursuivit-il. La légende raconte qu’il fut blessé dans sa jeunesse au point qu’on craignit qu’il n’« hématome » et bien qu’il prit femme ce ne fut qu’en apparence. Tiens, prends ces dix petits bouts de champignon qui ressemblent à des grains de riz, ils te seront utiles, mais ne t’avise point d’exhiber devant la reine, ces « dix faux riz de genre » indéterminé, elle en prendrait ombrage. Suis-moi, je te mène au château, tu verras par toi-même ». 

Sur la route, ce n’était que désolation : des hallucinés avec trois casquettes sur la tête reprochaient leur insolation non point au fabricant pour la piètre qualité desdites casquettes, mais à leur voisin pour n’en point porter. D’autres, qui avaient visiblement perdu un boulon, tentaient de se refaire en ôtant ceux qui fixaient quelque statue d’un roi déchu. D’autres encore, avec trois masques FFP2 sous leur masque en tissu, tenaient à distance (tels Dame Ruth ELKRIEF le pestiféré Sieur Ravier) avec un long bâton, quiconque (y compris leur progéniture) tentait de les approcher, avant que de s’engouffrer tout de go, dans le métro le plus proche, serrés comme des sardines un jour de promo nutella chez lidl. Dans le ciel, un hélicoptère déversait de l’argent magique, dont une simple fraction eût suffi à résoudre définitivement et conjointement les soucis des hôpitaux et le problème des retraites et que des nuées d’insectes en forme de seringues dévoraient goulûment avant même qu’il n’eût touché le sol. 

Après avoir longé quelque imposant immeuble en dépit du panneau « attention, chute de pianistes » (repose en paix, Stéphane Blet), ils entrèrent au palais de façon subreptice manquant d’être aperçus par le « gland » chambellan ainsi surnommé de par la troublante similitude entre sa tête et le noble fruit du chêne, tête qu’il avait « de gland » au point que, dans son cas, une décapitation eut été castratrice. Ce n’était point un hasard qu’il s’appelât « Castrex », l’informa le chat. Heureusement pour eux, le Chambellan ne les remarqua point, occupé qu’il était à biser ses pairs avec forces étreintes, sans geste barrière aucun, ne s’arrêtant (la nature ayant permis, pour quelque obscure raison, qu’il se reproduisît) que pour tancer le fruit malheureux d’une éjaculation administrative : une donzelle de 12 printemps laquelle, disait-il, par son inconséquence, le pourrait contaminer si elle n’y prenait garde. 

Il se faisait déjà tard et, dans la cour principale, le roi et la reine procédaient à la revue vespérale des troupes ; en fait tout un jeu de cartes à jouer, aux uniformes floqués Pfizer, avec cette notoire particularité, remarqua Ali, qu’il était essentiellement composé de valets. Ils défilaient au pas, tandis qu’un sergent hurlait : pas « de gauche », pas « de droite », pas « de gauche », pas « de droite ». 

- Qu’on m’amène les félons qui n’ont point voté le Pass vaccinal, hurla la reine. Qu’on leur coupe les roubignoles ! 

- Calmez-vous, Ô ma mie, ma Jean-Mie, dit le roi. Je m’en vais céans les badigeonner avec icelle brosse préalablement plongée dans un seau d’excréments. 

- N’êtes-vous point las, mon ami ? Votre bras, qu’avec respect toute la Macronie admire, votre bras qui tant de fois a sauvé l’empire, tant de fois torché, sur le trône, le roi, n’est-il point fatigué de ces badigeonnages ? Vous en badigeonnâtes 500 qui se virent 6 millions en arrivant au port, après votre interview. Vos scatologiques inclinaisons, si vous n’y prenez garde, un jour vous perdront. 

- Je suis le roi et j’emmerde qui je veux, ne vous en déplaise. Si cela ne vous sied point, je vous emmerde aussi, ô ma Mie, ma Jean-Mie. Vous reproche-je, quant à moi, votre photophobie ou bien vos accointances avec feu un pasteur de ceux qui, à leurs ouailles, du vin cou…pé d’eau filent, d’où ces… ragots qui courent ? 

N’en pouvant plus, quelque petite souris d’origine mauresque sauta au-devant d’eux. 

- Dois-je comprendre, Sire, que vous emmerdez pareillement les non-vaccinés disciples du prophète qui, par amour des traditions, illuminent nos rues les soirs de réveillon et que, sous peu, vous forcerez les portes de nos humbles cités pour injecter de force à tous nos souriceaux cette secrète concoction dont le halal caractère n’a point été démontré ? 

- Vous marquez-là un point, lui répliqua le roi. Même si je considère, en mon for intérieur qu’un bon Maure est un « occis Maure », de toutes les façons dont on le peut écrire, je conçois, en effet, le problème épineux que pourrait soulever le festif caractère de vos populations, je vous emmerde donc avec modération. 

Une autre souris dont, par quelque accident, le bout de la queue avait été coupé, s’insurgea, elle aussi. 

- Emmerdez-vous de même mes 6 millions d’ancêtres et obligerez-vous, tous les miens réfractaires à votre traitement, aux injections forcées de sinistre mémoire ? Et pourquoi justement comptez-vous 6 millions de ceux qui à vos yeux ne sont plus citoyens ? Ne savez-vous donc point que c’est copyrighté ? 

- Je suis passé à 5, j’ai corrigé l’erreur et loin de moi l’idée de vous martyriser, n’y voyez point d’offense. Pas plus que je ne vise ces migrants tout en muscles et à la peau cuivrée que, faute d’exemption de responsabilité du pays d’origine, Pfizer a refusé qu’on puisse vacciner. Je n’emmerde que les autres, depuis le Gilet Jaune au Gaulois réfractaire. Même tous ces vieux cons qui pour moi vont voter et dont, sitôt élu, je vais brutalement ponctionner les pensions. 

Ce n’est qu’à ce moment qu’Ali fut découvert. « Des inconnus ! Qu’on leur coupe les roubignoles ! », hurla la reine. « Je les emmerde ! », hurla le roi. « Vite, avale les champignons que je t’ai donnés ! », dit le chat à Ali avant que de disparaître comme il était venu. 

La légende raconte que, quand il ouvrit les yeux et sortit de son rêve, Ali se retrouva dans un Monde bien pire. Mais ceci est une autre histoire. A votre bon cœur, Gentilshommes et gentes Dames, Damoiselles et Damoiseaux.

mercredi 5 janvier 2022

Macron EMMERDE les non-vaccinés (si, si, il l'a dit!). Réaction à chaud (05 jan.2022)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/1UA7i4ZjTrI

 


Bonjour ! 

Question que je pose à YouTube : Est-ce qu’on a le droit de dire : « Macron, moi aussi, je t’emmerde » ? Bien sûr, si on n’a pas le droit de dire : « Macron, moi aussi, je t’emmerde », je ne dirai pas : « Macron, moi aussi, je t’emmerde » alors que si on a le droit de dire : « Macron, moi aussi, je t’emmerde » je serais tenté de dire : « Macron, moi aussi, je t’emmerde », même si ce n’est pas poli de dire : « Macron, moi aussi, je t’emmerde ». 

En attendant d’avoir la réponse sur « Macron, moi aussi, je t’emmerde » bien sûr, comme je suis respectueux du règlement et de la loi, je ne dirai pas : « Macron, moi aussi, je t’emmerde ».

lundi 3 janvier 2022

Magouilles et pandémie au pays de Manu & Brigitte (ou Jean-Mi) (03 jan. 2022)

Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/anC8pVIy9w8

 

Oyez, oyez ! Gentes Dames et Gentilshommes, Damoiselles et Damoiseaux. Faites cercle, je vous prie, s’il vous agrée que je vous conte, un tout nouveau récit que la petite souris, las, depuis, en thérapie, m’a narré sur la vie d’Emmanuel et de Jean-Mi (Brigitte pour ses amis) dans le pays lointain, depuis longtemps éteint, des drapeaux arc-en-ciel et de l’argent magique. Certains esprits retors auraient vu, bien à tort, dans ma dernière allégorie, quelque hasardeuse métaphore visant un couple bien connu. Billevesées que tout cela ! Je ne saurais moquer un homme vertueux pour lequel, il l’a dit dans ses vœux, les devoirs (comprenez bien « … des autres ») prévalent sur les droits (autres que les siens propres).

Il y a donc fort, fort longtemps, dans cette contrée mythique où des mains furent arrachées, des yeux quittèrent leurs or…bites (deux choses qu’aimait bien le roi) et où roulaient parfois des têtes que les Charlies ne voyaient pas, on avait pris quelques décrets, au nom de la bienséance afin que de bannir l’humour (insolent de par sa nature) jusques à en qualifier sa plus noire version de culturelle appropriation. Il y eût été impensable que quelque pamphlet sardoniquement titrât : « Brigitte : une femme habite… à l’Elysée ! ». Quant à s’interroger sur le fait de savoir si le roi labourait encore (question pourtant point dénuée de sens dans un royaume où la paysannerie était fort mal en point) bien mal vous en eût pris. Nulle supputation n’était non plus permise quant à savoir si c’était le roi qui rentrait dans l’arène, tel l’ardent gladiateur, ou si, tel Dagobert, il portait sa culotte à l’envers. Son cheveu sur la langue n’aurait-il été, finalement, qu’un poil ? La mère Jean-Michel aurait-elle perdu son chat, comme la chanson nous le laissait entendre ? Autant de questions qui n’ont point trouvé de réponse à ce jour, pas davantage que leurs accointances avec quelque orifice mystérieux que certains historiens nomment le trou de Bâle probablement en relation avec la troisième ville la plus importante d’un pays que, jadis, on appelait la Suisse. 

Le Roi était parfois confus, confondant à demi sa moitié avec un tiers, en l’occurrence Madame sa mère, tel que le colportèrent certains domestiques qui auraient, paraît-il, ouï à maintes occasions, avant que d’assister à quelque cérémonie, le monarque glisser à la reine : « tu as encore oublié tes prothèses, ma mère ! » Mais fi de ces ragots qui ne siéent guère à des personnes de qualité, d’autant qu’outre la photophobie sélective de son épouse dont elle ne fut guérie qu’à ses quarante printemps, lorsqu’elle était déjà fort usée et veule, devenant par la suite extra veule, voire, lorsqu’elle grimpait au donjon, exTRA VEULE HAUT, le Roy devait faire face, en prime (tel un doliprane, lui aussi com…primé) à quelque mal mystérieux, résultat des amours supputées d’un pangolin et d’une chauve-souris dans quelque alambic d’une lointaine contrée asiatique, le tout financé par des fonds des Amériques dans un laboratoire alchimique construit par le pays des droits de l’homme. Tous les intervenants de cette sombre histoire, d’aBUS ZEN et décomplexés (pour qui LES VIT) de finances publiques, avaient-ils un point commun ? Pour être, MesSIRES, CONCIS, je dirais qu’on ne le sut jamais.

Le roi était impécunieux et n’avait nul scrupule à vider les caisses du royaume et vendre ses fleurons moyennant quelque commission sur sa cassette personnelle. Il fut donc tout ouïe lorsqu’un renard pelé, négociant en potions, lui demanda audience.

-    Voici la reine, dit le roi, présentant son épouse.
-    « Bourre-la ! » répondit l’animal, précisant (le roi s’étant raidi et la reine… aussi) que tel était son nom. Sa majesté la reine est encore beau, ajouta le renard, craignant fort que le Roi n’en fît tout un fromage. J’ai là, par-devers moi, une potion à vendre qui coûtera fort cher !
-    Nous guérira-t-elle de ce mal mystérieux qui nous frappe, s’enquit le roi ?
-    Sire, mais vous n’y pensez pas ! « Guérir ! » Ce mot est aussi douloureux à mes protubérantes oreilles, que la vue d’un gaillard non déconstruit le pourrait être aux globes oculaires verdâtres de Dame Sandrine Rousseau. Qui guérit ne vendra qu’une fois alors qu’icelui, lorsqu’il soigne, vendra toute la vie. Pourquoi guérir le rhume quand vendre des mouchoirs fait tant enfler nos bourses ? (que sa Majesté, la Reine, me passe l’expression. Je ne la visais point). Par ailleurs, ce mal est faiblement létal et la chose ne serait point rentable. En revanche, s’il tue peu, il achève beaucoup et la grippe ayant été clémente les années précédentes, il y a, dans nos hospices, tout un stock de moribonds qui n’attend que la moisson. Plutôt que de les perdre petit à petit, il serait plus avisé d’empêcher qu’on les soignât (à trop peu de frais) avec les vieux remèdes de ce druide félon hydroxychloroquix de sorte, qu’ainsi, ils trépassassent en masse avec, pour résultat, de sidérer la populace ; le sorcier Rivotrix ayant développé quelque onguent qui pourrait, sur ce point, accélérer la tâche.
-    Les gens sont sots, mais point si sots, répliqua le roi.
-    Ne vous ont-ils choisi, rétorqua le renard ? Par quelle métaphore vous pourrais-je convaincre ? Imaginez que ce mal qui nous frappe fût, en fait, un tricot. Un tricot vide, bien entendu. Nous sommes en hiver et beaucoup de personnes atteintes d’afflictions diverses et variées, vont porter une laine. Il suffit que quelque mathématicien, par nous stipendié appuyé de docteurs que nous avons en poche, fasse la corrélation (quelque peu acrobatique, j’en conviens) et nous pourrons clamer qu’à l’instar des éructations de fins d’agapes à la cantine de l’assemblée, là aussi la laine est mauvaise (pour les chandails, n’en parlons point) et que ceux qui seront morts AVEC tricot le seront DU tricot ; d’autant qu’en porter avec 40 de fièvre n’aide point et que l’on trouvera toujours quelque allergique individu que la laine aura effectivement occis et dont il conviendra, aux fins d’en faire la réclame, de conter le triste sort avec moult détails à qui les voudra entendre.
-    Certes, dit le roi, mais les gens concernés demeurant peu nombreux et mourant tout de go, je ne vois point comment un tel négoce pourrait, sur la durée, demeurer profitable.
-    C’est bien là, votre majesté, toute la beauté de la chose. La potion ne sera point vendue aux souffrants, mais au gens bien portants pour les prévenir de contracter la pestilence. Guérir les gens des maux qui les frappent s’avère compliqué et peu rentable, mais vendre à tous ces gens (qu’un excès de bile guette, selon des gens chez Microsoft) des potions contre les maux, réels ou imaginaires, qui les pourraient frapper… les possibilités sont (à l’instar de l’écho entre les oreilles du Sieur Christophe Castaner lors d’un concert dans une cathédrale) infinies. Imaginez toutes les afflictions qui pourraient s’abattre sur un nouveau-né au cours de son existence et que, pour chaque possibilité, même infime, il existât une potion. Nous pouvons même aller plus avant et cibler carrément les damoiselles en état de grossesse. Pour rester dans ma métaphore précédente des tricots, on pourrait même imaginer que l’on introduisît aux manants, dans quelque endroit sensible, quelque long bâtonnet permettant de détecter si l’on fût en contact avec quelque tissu, de toute nature, non seulement de la laine, batônnets qui ne seraient donc fiables en aucune façon, mais qui participeraient de l’hystérie collective. Cerise sur le gâteau, nos potions contenant quelques baves de crapauds, salives de Vérans et testicules de salamandres, d’aucuns verront leur complexion gravement altérée, non point par le mal, mais derechef par le remède, sans que l’on puisse, pour autant, en imputer les effets à ce dernier. Nous pourrons ainsi vendre d’autres potions contre lesdites afflictions tout en mettant le tout sur le dos de l’épidémie que la populace redoutera encore davantage. Avant que je n’oublie, triviale broutille, pourriez-vous signer là, cette clause sibylline m’exonérant, moi et les miens, de toute responsabilité en la matière ?
-    Et la mienne de responsabilité ?
-    Il vous suffit de placer toutes nos tractations sous le sceau du secret de sorte que nul ne les puisse consulter avant les Calendes grecques (ou toute autre chose qui vous siéra en rapport avec les Grecs).
-    Mais enfin, au bout d’un moment, les gens vont bien se rendre compte que la potion n’est point efficace et n’accomplit nul des miracles qu’on leur avait promis.
-    Cela est évident sire, mais nous dirons que le mal évolue et nous affubleront chaque évolution d’un qualificatif pompeux ; pourquoi pas d’origine grecque, puisque nous venons d’évoquer ce pays ? Je n’ai nulle idée de ce que prétend me faire cette peu gente dame qui, céans, vient d’entrer, mais je suis fort certain d’avoir simplement dit : « pompeux », sans caractère exhortatif.
-    Marlène, au pied ! Poursuivez, mon ami.
-    Un nom destiné à susciter la peur, disais-je donc et, en attendant une nouvelle potion mieux adaptée (que nous vendrons encore plus cher), nous écoulerons les stocks de l’ancienne en clamant que, dans l’intervalle, augmenter les doses accroit son efficacité.
-    Et si les gens tombent malades en dépit de la potion.
-    Point d’inquiétude sire, nous ferons valoir qu’elle protège contre les formes les plus graves.
-    Et si les gens meurent quand-même ?
-    Nous dirons que la faute en incombe à ceux qui n’auront pas pris le nombre croissant de doses que nous leur imposerons. Vos hospices (que vous avez laissé péricliter pour grapiller quelques écus) sont peu nombreux et disposent de peu de places que nous accuserons ceux qui refusent la potion de monopoliser indûment, les rendant responsables de la mort des autres. Sous peu les gens se battront entre eux au lieu de lutter contre vous et les plus niais vous regarderont même avec reconnaissance. A la quinzième dose, la potion aura tellement perturbé leur système immunitaire que ce dernier ne pourra plus les protéger sans elle et nous auront une rente à vie. Pour que l’affaire fonctionne, il est cependant primordial de d’abord traumatiser les gueux en les confinant à domicile, puis, sous la menace perpétuelle de devoir recommencer, d’imposer progressivement des restrictions de plus en plus ridicules en donnant des ordres contradictoires, afin que, désorientés, il ne leur reste plus de sens commun. Par ailleurs, il faudra leur imposer un signe de soumission ostentatoire qui, à défaut de cadavres jonchant les routes, leur rappellera constamment qu’ils sont en épidémie, le peuple ayant l’oubli facile.
-    Un plug anal ? plaisanta la Reine qui n’avait rien perdu de la conversation.
-    Un masque me semble plus indiqué, suggéra le renard.
-    Et bien trinquons, dit le roi !
-    Point de vin pour moi, s’excusa l’animal, car j’ai souvent tendance à trouver le raisin bien trop vert.

Nul ne sait si le conciliabule s’est effectivement passé ainsi et, à propos de con s’il y a bulle, si même le pape de l’époque, un certain Imbroglio, lequel, à l’instar de toutes les nations environnantes, avait encouragé la chose, était partie prenante à l’affaire. Toujours est-il que lorsque les morts furent peu nombreux, on cessa de les compter pour compter les malades et que lorsque les malades se révélèrent, en pourcentage, n’être point ce torrent qu’on aurait pu attendre, grâce aux tests, on se mit à compter les cas. S’en suivit donc, non point une épidémie de morts, non point une épidémie de malades, mais, pour la première fois dans l’histoire, une épidémie de cas : cacophonies, cacas nerveux et Castex pour ne citer que les pires. Le roi, devenu surfeur en chef, chevauchait les vagues successives que partout des héraults, avec tambours et trompettes, annonçaient sur les places, les foires et les marchés et moins les gens mourraient plus le peuple tremblait. On le pourrait, pour cela, cent fois maudire, si ce n’est que la Dame Pécresse et la Dame Hidalgo accompagnées du Sieur Jadot qui, tous les trois le voulaient renverser, clamaient bien haut et fort qu’il fallait faire pire et que certains moutons étaient prêts à les suivre. Mais ceci est une autre histoire.
A votre bon cœur, Gentilshommes et gentes Dames, Damoiselles et Damoiseaux.