Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

samedi 24 juillet 2021

Chanson du Vaccin (24 juil. 2021)

 Lien de la vidéo sur Odysee (je suis temporairement à nouveau bloqué sur Youtube :https://odysee.com/@LaMiteDansLaCaverne:4/ChansonDuVaccin:5


Les paroles de la chanson sur l'air de Tico-Tico no  fuba  (chanson tombée dans le domaine public):

Tous les jours on nous ment
Ils sont incompétents
Ou bien ils ont un agenda
Qu’on connait pas
Il n’ya pas de logique
Ils veulent juste qu’on se pique
Quand ya plus de morts, on compte les cas
Malades ou pas
Ceux qui sont vaccinés
Ne sont pas protégés
Si les non vaccinés
Les mettent en danger
D’abord fallait 2 doses
Puis 3, puis 4, ils osent
Mais ça marche pas
Pour delta, epsilon lambda.
Z’ont confiné sans que ça fasse de différence
Nos libertés toujours sont mises dans la balance
Où est-ce qu’elles sont les données prouvant l’efficacité
Des restrictions et des jauges millimétrées?
Ces vaccins ne sont pas des vaccins ordinaires
Ils réécrivent notre réponse immunitaire
Si le virus vient à muter et contourne leur procédé
C’est open bar sur les cobayes vaccinés
Faudra être upgradé
Comme un vulgaire PC
A chaque variant
Faudra payer pour exister
Car une fois muté
A force de le trafiquer
D’un truc bénin
Ils auront fait un assassin.
C’est pour ça qu’ils nous piquent
Quitte à oser la trique
Avant qu’on voie
Que le vaccin ne marche pas
Quitte à faire risquer
Aux gosses pas en danger
Une thrombose et plein d’autres joyeusetés
Tant qu’ils y sont ils vont nous mettre en esclavage
Pass sanitaire obligatoire avec chantage
On pourra plus se déplacer ou même acheter à bouffer
Voire se soigner à moins que l’on soit vacciné
D’autant qu’un pass, faut pas croire mais ça se périme
Ça n’empêchera pas les confinements en prime
Mais c’est pas grave on peut voter
Pour des gens présélectionnés
Pour nous donner une illusion de liberté
Tout mort qu’a le covid
Il est mort du covid
Tout mort qu’a le vaccin
Circulez ya pas de lien
Double standard constant
Hier c’était noir c’est blanc
Et aujourd’hui on diabolise les soignants
Et puis l’ivermectine
L’hydroxychloroquine
Ça coûte rien
C’était pas bon pour le vaccin
Principe de précaution
Mais pour pfizer ça non
Là franchement je crois qu’on nous prend pour des cons
Y’en a qui trouvent qu’on est trop nombreux sur la Terre
Qu’aimeraient bien qu’on finisse tous au cimetière
Le rivotril pour les vieux ça les a pas dérangé
Libre à vous de croire qu’ils sont bien intentionnés
Je ne suis pas sûr qu’ils veuillent que tout ça s’arrête
Que vienne enfin le temps du bilan et des comptes
Alors plutôt que nous libérer comme au Texas où les Anglais
Ils nous vaccinent pour que ça ne s’arrête jamais.
Et puis pendant ce temps
Bienvenue aux migrants
Sur nos chômeurs on va gratter un peu d’argent
Tremblez, pliez les genoux
Battez-vous entre vous
Nous dit Macron Qui aime le peuple et la nation
Tous ceux qu’avaient prédit
Ce qui s’passe aujourd’hui
Ils étaient tous des complotistes on nous a dit
Tout ça c’est pour notre bien
On ferme des lits c’est rien
Portez votre masque, tenez-vous loin
Tout ira bien

mardi 20 juillet 2021

Justification de la DICTATURE par la DEMOCRATIE. COMMENT ON NOUS ENTUBE (et comment l'éviter) (20 Juil. 2021)

 Transcription de ma vidéo YouTube :https://youtu.be/eVKhT1dAoNk

 

 Bonjour!

Nous en sommes arrivés à ce paradoxe qu’on justifie la dictature au nom de la démocratie et Gilles-William Goldnadel, ceinture noire 8ème dan (sans compter les prémolaires) en sophisme et en manipulations sémantiques m’a servi sur un plateau et celui de RMC un parfait exemple de cette manipulation face à un Philippot qui, tel un jeune Jedi contre un vieux maître Sith a dû se remémorer la fable du PhilipPOT de Terre contre le supPOT d’enFER.

Ma chaîne étant actuellement sur un siège éjectable, comme ceux qui me suivent le savent, je ne prends pas le risque d’une violation forcément patriarcale de copyright en vous passant ce morceau d’anthologie, mais je vous mets le lien dans la description (c’est à 9mn 40).

Dans la plus pure tradition du Judo, sensei Goldnadel commence par tirer vers lui Phillipot en disant être partiellement d’accord, puis lui bloque la jambe par un « mais » suivi d’une affirmation qu’il est dangereux de contester sur les ondes à savoir, textuellement, que : « Les pires détracteurs d’Israël considèrent que c’est un Pays démocratique ». Une fois son adversaire tétanisé, conscient d’avoir un révolver médiatique pointé sur un organe qui, dans son cas, ne sert pas à la reproduction, il ne reste plus à notre brave avocat, dont parfois on apprécierait que son pays n’exporte que la version végétale, qu’à placer sa hanche sous le centre de gravité et à dérouler son sophisme déguisé en raisonnement logique et que l’on peut condenser en : « Puisque, c’est une démocratie et que, quand j’y vais, je dois montrer mon QR code, c’est donc que le pass sanitaire, c’est démocratique ». Ippon, belote et dix de der plus quinte floche, ou quinte de toux pour rester dans le registre covid. Oignon Macron ! (ou « ail » si vous préférez).

Je ne vais pas m’étaler sur le sophisme qui est assez classique. On part d’une prémisse biaisée mais affirmée avec suffisamment de force et d’aplomb pour la déguiser en évidence, le tour de passe-passe consistant, avant que l’interlocuteur ait le temps de réaliser qu’on lui a fait passer une description subjective pour une réalité intrinsèque, à détourner son attention par un « Donc » qui le focalise sur la démonstration logique qui va suivre. Là c’est encore plus tordu puisque le message s’adresse aux auditeurs et que, pour qu’il passe, on utilise l’intimidation implicite et le temps contraint pour empêcher l’interlocuteur lequel, s’agissant de Philippot, n’est pas dupe, de relever la chose.

C’est comme si l’on disait : J’affirme que Jack est hétérosexuel. Bon, c’est vrai qu’il aime beaucoup les petits garçons DONC j’en déduis que la sodomie de petits garçons est un acte hétérosexuel…. Vous comprenez le principe lequel s’applique à la totalité des déclarations gouvernementales sur le virus. La première prémisse est toujours fausse ou « bien biaisée » (contrairement à certaines ministres) et parfois même, la seconde aussi.

Par ailleurs, comme là on n’est plus en seconde division, mais carrément dans la « Champion’s League », non seulement on a droit à un raisonnement inversé, le même qu’utilise Macron, tendant à faire accroire que c’est le caractère supposément démocratique d’un pays qui détermine si ses actes sont démocratiques ou non alors que c’est, au contraire, le caractère démocratique desdits actes qui seul permet de déterminer si un pays à une dimension démocratique, mais, cerise sur le gâteau, la prémisse de Goldnadel contient un double Mensonge. Sachant que, contrairement aux croyances, répéter 100 fois un mensonge en fait une vérité médiatique, le premier, qui participe de son combat acharné, infatigable, permanent et patriotique pour son pays, consiste à vendre Israël (qu’il arriverait à placer dans la conversation même dans un débat sur la sexualité des doryphores) comme une démocratie, avec le même aplomb et la même certitude que s’il parlait de la gravité terrestre ou du fait que l’eau mouille plus que Brigitte Macron. Le second, beaucoup plus insidieux, sans lequel le premier ne serait pas possible et qui est à l’origine de la plus grande manipulation de l’histoire de l’humanité, consiste à nous faire croire que la démocratie existe.

Tout système de gouvernement ayant une vocation parasitaire et tout peuple une tendance à se débarrasser du fardeau décisionnel contre une promesse de sécurité qui l’affranchit d’avoir à se poser des questions qui le terrifient, ce que l’on qualifie, à tort, de démocratie et qui a plus à voir avec la notion de liberté qu’avec le système électoral lui-même (lequel ne garantit absolument rien) outre une absence criante de Marlène Schiappa, véritable marqueur de civilisation, se distingue d’un pays qui n’en est pas une par le fait que, si vous n’êtes pas contents, au moins on vous laisse, magnanimement, partir. Depuis le corona, qui sert de prétexte à limiter considérablement les déplacements à l’étranger, cette différence s’est considérablement réduite. Par ailleurs, la démocratie n’aurait de sens qu’en période de paix et d’opulence. Attendez qu’une guerre survienne, contre un adversaire réel ou imaginaire, et vous allez voir si on va vous demander votre avis pour quoi que ce soit dans les pays qui s’en réclament. C’est d’autant plus vrai avec un Macron particulièrement martial qui est passé de la guerre contre le terrorisme à celle contre le Corona, mais qui se bat surtout contre le gaulois réfractaire.  Si l’on voulait sortir du concept creux qu’on nous vend, il faudrait plutôt voir la démocratie comme un idéal utopique vers lequel on peut, au mieux, tendre, et qui, telle la conjugaison d’un préservatif aimanté et d’une épouse amatrice de lentilles, demande un effort de tous les instants juste pour rester dans la bonne direction. 

Elle ne se satisfait pas de la définition du dictionnaire, n’est pas un diplôme délivré une fois pour toutes et encore moins une médaille auto-attribuée, sinon bienvenue en République populaire démocratique de Corée, petit nom de la Corée du Nord. Par ailleurs, non seulement il faudrait déjà vouloir collectivement vivre en démocratie, mais cela ne serait pas possible partout, ni pour tout le monde, le concept même, étant totalement incompatible avec un autre concept illusoire utilisé, lui aussi, pour manipuler les gens : celui d’égalité. Il faudrait donc, et c’est facile à démontrer, pour s’en revendiquer, que certaines conditions soient remplies au préalable.

Même dans l’hypothèse farfelue selon laquelle les politiciens tiendraient leurs promesses, donner le droit aux gens de choisir tous les cinq ans parmi une liste de candidats que, par le biais de filtres divers, on a gentiment présélectionnés pour eux après s’être bien assurés qu’ils ne remettent pas en question la république et acceptent les règles édictées par ce même système que certains d’entre eux dénoncent d’un ton martial, ne suffirait pas, en effet, à faire d’un pays une démocratie. Imaginez (et toute ressemblance avec un conseil des ministres est purement fortuite) que vous laissiez s’auto-gérer démocratiquement une classe de moyenne section de maternelle et qu’il se trouve une boite d’allumettes dans ladite classe. Vous aurez ensuite tout loisir d’expliquer aux pompiers que c’était une erreur que de laisser certains choix à des individus qui n’ont pas la maturité suffisante pour que le système soit viable. Mais si l’on exclut, à juste titre, les enfants, pourquoi, de l’autre côté du spectre, devrait-on laisser l’escroquerie du droit de vote aux personnes séniles ? Sans compter les fous et tous ceux qui ne sont pas capables de sens commun ? 

Un sens commun (ou bon sens) qui, s’il n’est pas proportionnel, loin s’en faut, au niveau d’intelligence (des individus très intelligents en étant totalement dépourvus et des gens à l’apparence très simple en étant largement dotés) exige toutefois un seuil minimum qu’on peut situer entre le singe et le Castaner, pas forcément dans cet ordre. Les individus qui sont incapables de comprendre ce qui leur arrive et ce à quoi ils s’engagent étant les plus à même de se laisser embobiner pour aller se faire tuer pour rien dans quelque bourbier à l’autre bout du Monde, l’armée américaine s’est vite rendue compte que ces individus, dont le pourcentage n’était, du coup, pas négligeable, incapables de maîtriser l’usage basique d’armes de plus en plus sophistiquées, étaient plus dangereux pour les autres soldats que l’ennemi, qu’ils étaient sujets à des crises de violence imprévisibles et que, faute d’être capables de conceptualiser, ils compromettaient toutes les missions auxquelles ils participaient. Elle a donc, suivie en cela par de nombreuses armées de par le Monde, instauré un test de QI au moment du recrutement. 

Il est à noter que ce QI minimum, pourtant très bas, correspond au QI moyen de certains pays que je ne nommerai pas et qui, cerise sur le kouglof, nous envoient généreusement, en nombre, la mauvaise extrémité de leur courbe de Gauss. Certes on m’objectera, probablement à raison, que le test de QI est biaisé en termes de calcul d’intelligence pure car il favorise, notamment, les gens issus de civilisations occidentales ou asiatiques et un certain type de raisonnement et que, coincé dans le désert australien, dans lequel je ne survivrai pas une demi-journée, les aborigènes que je serais amené à rencontrer me considèreraient certainement comme un débile mental. Justement, raison de plus pour en déduire que cela fait de l’exigence d’un QI minimum le meilleur outil connu pour déterminer quels sont ceux qui ont le type d’intelligence spécifique adapté à une vie harmonieuse dans nos sociétés sans laquelle aucune démocratie n’est possible. Il est donc clair que tout adepte de l’ouverture sans contrôle des frontières n’est pas un démocrate qu’il soit un gauchiste humaniste ou un milliardaire en quête de main d’œuvre bon marché, les uns se nourrissant des autres dans une fausse alternance Gauche-droite. Il en résulte que, même au sein de notre propre population, sauf à devoir appeler les pompiers comme en moyenne section de maternelle (laquelle, au moins, ne les caillasse pas) la démocratie n’est pas pour tout le monde. Même les grecs, inventeurs du concept, prémonitoirement concomitant avec un goût prononcé pour la sodomie, n’accordaient le privilège du vote et du débat sur l’agora qu’à une partie de leur population.

Cela choque déjà probablement certains, mais ce n’est pas fini car, outre un minimum d’intelligence et de bon sens, encore faut-il en avoir le souhait et en être foncièrement capable. De la même façon que, si une personne qui a, au départ, un métabolisme qui ne la prédispose pas à l’embonpoint, à force de mauvaises habitudes alimentaires finit en Gérard Larcher (qui n’est pas une flèche) ou en Emmanuel Lechypre et que, si elle fait des enfants après, ces derniers seront alors, eux-aussi, plus susceptibles de prendre du poids, des siècles d’un type de comportement donné finissent par se traduire par des caractéristiques génétiques et culturelles spécifiques à l’image du «Gaulois réfractaire » ; ce que l’on appelle l’atavisme. Des milliers d’années de culture tribaliste ne peuvent pas être gommées en quelques décennies pour installer la « démocratie », une des raisons pour laquelle cette entourloupe n’arrive pas à s’implanter dans certaines parties du globe, sinon sous forme de caricature. 

Pour rebondir de façon taquine sur l’affirmation de Goldnadel, les Hébreux étant, selon eux en tout cas, la plus vielle tribu du Monde, il se pourrait que leur conception de la démocratie puisse diverger la nôtre. D’autant qu’ils sont aussi largement une théocratie et que, là encore, toutes les religions, notamment celles qui ont des prétentions politiques et s’ingénient à codifier les actes les plus triviaux de la vie courante, ne sont pas forcément compatibles avec un processus démocratique, en tout cas, tel qu’on peut le concevoir chez nous.

De même qu’il ne saurait y avoir d’atome sans noyau, il n’y a pas de pays viable sur la durée sans, à minima, un socle ethnico-culturel cohérent. En dehors d’abjections comme la prétention de réduire l’humain à un QR code susceptibles de réunir au-delà, l’absence d’intérêts et objectifs communs sur les autres aspects essentiels de la vie génèrent tôt ou tard des conflits, comme actuellement en Afrique du Sud, l’absurdité sémantique et conceptuelle du « vivre ensemble » confirmant que, passé les 10 centimètres, on ne peut plus faire passer un plug anal pour un suppositoire. Imaginez un conglomérat fictif entre la Chine et le Lichtenstein. En démocratie, à la majorité, est-ce que vous pensez que les intérêts du Lichtenstein seraient souvent pris en compte s’ils étaient contradictoires avec ceux des Chinois ? Il en résulte que la cohabitation de blocs trop différents conduit généralement, à terme, à une scission brutale, comme en Yougoslavie, d’où la nécessité, sans pour autant tomber dans certains abus et un « purisme » qui n’a jamais de fin, à agir pour conserver ce socle cohérent quand on a la chance d’en avoir un. Pour l’instant, par l’immigration massive et l’accueil inconditionnel du migrant, on part dans la direction opposée.

Une fois qu’on a un socle cohérent de gens qui ont des intérêts communs ainsi que la volonté et la capacité de vivre en démocratie, encore faudrait-il qu’ils soient instruits (et non éduqués) de façon à apprendre à raisonner, à suffisamment maitriser les nuances de leur propre langue pour les prémunir contre les manipulations et les malentendus, à comprendre le pourquoi des règles de la société et à pouvoir les critiquer si elles se trouvent faussées ou corrompues. Si on regarde l’évolution de notre système éducatif qui n’est plus qu’une machine à fabriquer des républicains confus jusqu’à leur identité sexuelle, hédonistes et obéissants, on court, là encore, à la vitesse d’un écologiste devant un moteur diésel, dans la direction opposée.

Même si ces conditions étaient réalisées, nul ne peut prendre de bonnes décisions si l’information qu’il reçoit est biaisée, tronquée, partielle et partiale voire carrément mensongère, ce qui est le cas avec une presse et des médias monocordes aux mains d’oligarques souvent inféodés à des intérêts étrangers et qui fonctionnement de concert avec leurs pantins gouvernementaux.

Enfin, alors que, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la technologie nous permettrait de mettre en place le principe de subsidiarité et de voter directement, à tous les niveaux, nos lois et règlements (ou au contraire de les abroger) sans avoir à passer par l’intermédiaire d’élites parasitaires qui sont dans la trahison permanente, on leur confère, au contraire, toujours plus de pouvoir et on augmente leur nombre par des strates gouvernementales toujours plus nombreuses et toujours plus éloignées de la populations qu’elles sont supposées représenter.

Je passe sur la souveraineté et l’Europe que certains mettent en avant, mais qui n’est qu’une conséquence facilement remédiable si on résout le reste.

Une fois démystifié le concept trompeur de démocratie et, avec lui, celui de l’égalité (sachant que la liberté, qu’on scande un peu vite dans les cortèges, devient, elle aussi, un concept totalement arbitraire dès lors qu’elle commence là où s’arrête celle des autres et que, faute d’égalité, certains de ces autres en ont plus que nous) tout mouvement de contestation efficace ne peut s’appuyer que sur 2 choses : un noyau ethnico-culturel cohérent, qui n’est rien d’autre que la France véritable et le seul point qui permet de le dépasser : l’affirmation de l’humain (qui n’est pas un QR code). 2 choses à même de réconcilier vaccinés et non-vaccinés, en dépit des efforts du gouvernement pour les monter les uns contre les autres. Une France, par ailleurs, qui n’a vocation à exclure personne, Goldnadel inclus, parmi ceux qui ont compris que cette réalité organique, qu’il ne sert à rien de nier, est leur dernière chance (tant qu’ils sont une minorité et luttent pour le rester) de vivre dans un pays pacifié qui ne ressemble pas à celui qu’ils ont quitté pour des raisons que, parfois, ils oublient un peu vite sachant que, dans le cas contraire, on est amenés à se demander pourquoi ils s’obstinent à souffrir ici si leur autre pays est un tel paradis.

En arrivant à focaliser sur la négation de l’humain qui, contrairement aux revendications sociales et démocratiques des gilets jaunes est un concept imperméable aux divisions classiques, tout en asseyant, ce qui serait sinon une armée de Spartacus, sur un socle millénaire, matérialisé par une mer de drapeaux nationaux, régionaux et autres tenues folkloriques et qui parle à tous ceux qui ont conscience que la Macronie n’est plus la France, un socle qui, tel l’ail les vampires, sur la durée, s’il y a érosion, contrairement, là aussi à ce qui s’est passé pour les gilets jaunes, fera fuir les mauvais éléments qui détestent la France profonde et sclérosent les mouvements qu’ils infiltrent plutôt que les bons qui les font grossir, Philippot, dont, tout en n’ayant aucun doute sur la sincérité de l’engagement, pour des raisons que j’ai déjà expliquées, je suis loin d’être un Fan, a abattu, on est obligés de le reconnaître, un boulot considérable et fait un sans-faute stratégique.

A la condition expresse de veiller à conserver cette mer de drapeaux bleu blanc rouge dans les cortèges, comme au tout début des Gilets-Jaunes (dont il convient d’apprendre des erreurs) et tant que le mot France sera prononcé dans les discours, le mouvement à, et ce n’est pas un optimiste qui vous dit ça, une chance non nulle, non seulement de perdurer et de croître, mais, au-delà du pass sanitaire qui n’est qu’un symptôme, d’arriver à provoquer ce basculement de l’opinion, que nos élites craignent autant que Marlène Schiappa les pèse-personnes ou que Castex les peignes .

Pour autant, le fait que les policiers ne soient pas soumis audit pass sanitaire démontre, s’il en était encore besoin, que Macron, qui n’est que la conclusion logique de tout ce que je viens d’évoquer, est prêt à recommencer à tabasser les Français tandis que les médias, rompus à l’exercice, ont déjà commencé à minimiser les chiffres et à diaboliser les manifestants lesquels, ayant osé toucher à la marque déposée de l’étoile jaune, sont forcément, comme les gilets jaunes avant eux qui en avaient usurpé la couleur, antisémites. Il faut donc se méfier de tous ceux qui, tel un Mélenchon, ayant encore une fois manqué le train, cherchent à monter en marche et appellent à la division. 

Idem pour des Goldnadels et autres Zemmours (lequel avait probablement piscine) qui, en d’autres circonstances, et c’est tout à leur honneur, se font les chantres du patriotisme mais qui, tout en ayant parfaitement compris la nécessité (pour Israël en tout cas) d’une cohérence ethnico-culturelle, semblent craindre, de façon aussi injustifiée qu’irrationnelle, si s’appliquait ici ce qu’ils prônent là-bas, de devenir nos palestiniens et de se retrouver sur un strapontin éjectable en partance pour Tel-Aviv. Je ne vois pas d’autre explication pour expliquer, s’agissant de personnes intelligentes, certaines crises d’hystérie et retournements de veste dès que, d’un mouvement populaire (qu’au début parfois ils soutiennent) ressurgit, autrement que pour taper sur les musulmans, cette France éternelle et organique dont les cendres couvent encore. Une France organique, capable de rassembler autour d’elle (et au-delà d’elle) tous ceux qui l’aiment. Une France organique qui saute aux yeux, même sur ces écrans qui ont remplacé notre réalité et, bon sang, que ça fait du bien.

Merci à tous ceux, d’accord ou non, qui ont fait l’effort d’écouter jusqu’au bout et à bientôt… j’espère.

mercredi 14 juillet 2021

Réaction à MACRON. FERMETURE de la CHAINE.(14 juil. 2021)

  Transcription de ma vidéo YouTube :https://youtu.be/YYTffYqVKyg

Bonjour,
Ma chaîne a été bloquée une semaine et va probablement être bientôt fermée. Avant de vous expliquer pourquoi, actualité oblige, une petite réaction rapide aux annonces d’Emmanuel Macron.

Sauf à ce que le hasard fasse passer cette pitoyable caricature dans la rue, sous vos fenêtres situées aux 6eme étage et que vous vous preniez à rêvasser sur les conséquences d’une chute malencontreuse d’un des pots de géraniums qui les décorent (ce que, par respect pour les géraniums, je vous conseille d’éviter) il ne sert à rien de s’énerver contre ce pathétique individu à la suite de son coup de bluff désespéré. Car c’est bien d’un coup de bluff dont il s’agit, coup de bluff s’appuyant sur une logorrhée de mensonges éhontés débités sans même sourciller, ce qui force quand-même un peu l’admiration, de la même façon que l’on admire l’opiniâtreté du bousier, cet insecte qui pousse devant lui une gigantesque boule de merde contre vents et marées. 
 
Il faut bien comprendre qu’il y a le feu au lac et que si le nombre de vaccinés n’est pas suffisant, d’ici à la fin de l’année, pour maintenir l’illusion de l’efficacité de la vaccination et de l’action publique dans le déroulement de l’épidémie et justifier le contrôle préventif des foules, le risque est grand que l’exécutif aie des comptes à rendre avant les élections jusqu’auxquelles il doit à tout prix tenir et éviter des débordements populaires susceptibles de s’accompagner, pour lui et ses sbires, d’une coupe légèrement dégagée derrière les oreilles. 
 
Il lui faut absolument éviter que, confrontée sans couverture vaccinale importante, à un taux de mortalité ridicule, l’inanité de ladite vaccination de masse finisse par sauter aux yeux comme une représentation en 3d de Rocco Siffredi, d’autant qu’elle est réalisée avec un type spécifique de substance médicamenteuse expérimentale à l’efficacité au mieux partielle et discutable, qui n’a de vaccin que le nom, ne bénéficie que d’une autorisation provisoire et dont les fabricants se sont exonérés de toute responsabilité et ce, contre un type spécifique, lui aussi, de maladie, peu léthale, qui a autant à voir avec la tuberculose ou la polio que Brigitte Macron avec une figue… avant séchage. La dialectique absurde du gouvernement pour justifier l’efficacité du vaccin contre un virus qui ne concerne qu’une infime minorité de la population revient à dire : « j’ai mis des épouvantails à pangolin dans mon jardin et c’est vachement efficace car je n’ai aucun pangolin». 

Par ailleurs, dès janvier, les premiers vaccinés repartiront sur un nouveau cycle enculatoire et, quittant le camp du bien, se retrouveront automatiquement dans le camp du mal avec un pass sanitaire périmé, rejoignant dans l’infamie et la vindicte populaire ceux qui ne se seront pas encore fait vacciner, ce qui deviendra totalement ingérable. Les naïfs qui avaient accepté 2 piquouzes en croyant pouvoir reprendre une vie normale après ne sont pas forcément prêts à signer pour 3 voire quatre piquouzes annuelles, à vie, dont les effets cumulés sont inconnus et dont il est désormais avéré qu’elles ne protègent, au mieux, que partiellement contre un virus en constante mutation qui, de toutes façons, fait courir un risque quasi-nul à l’immense majorité d’entre eux. D’autant qu’on va désormais leur demander de vacciner aussi leurs enfants pour lesquels le ratio bénéfices-risques est carrément défavorable, ces derniers ayant plus de chances d’être transformés en légumes à cause du vaccin que de succomber à la bébête à cornes.
 
Libre à vous de croire Macron et de gober que le petit Paradis sur terre qu’il nous a décrit, avec une croissance de 6% en 2021, correspond à une réalité quelconque, auquel cas vous êtes encore sur la liste du Père-Noël et de la petite souris des dents. Un Macron qui, sauf aide de ladite petite souris et d’une version dudit vaccin en suppositoire, n’a pas les moyens de vacciner par la force des millions de récalcitrants dans des délais contraints. Sa seule chance est de les affoler par le chantage pour qu’ils se précipitent d’eux-mêmes dans les centres et que leur nombre diminue assez pour constituer une minorité suffisamment faible pour qu’elle puisse être maltraitée sans que le reste de la population ne bouge. 
 
Sachant qu’avant qu’une loi soit applicable, il faut qu’elle soit votée et publiée, il est urgent d’attendre et de ne pas tomber dans le panneau, d’autant que, même si le conseil d’état et le conseil constitutionnels sont largement à sa botte, ils seront contraints, à minima, de sauver les apparences et de retoquer un petit peu les textes qui seront adoptés, occasionnant des délais supplémentaires que Macron ne peut pas se permettre. 
 
De plus, jusqu’à présent, le personnel médical mécontent continuait à travailler, même en grève, ne voulant pas avoir sur la conscience les morts que des arrêts de travail éventuels occasionneraient dans un système déjà au bord de la rupture. Dans la mesure où c’est l’état qui leur interdit de travailler s’ils ne sont pas vaccinés et prend la responsabilité morale des conséquences, certains choisiront, dans un premier temps, de quitter leur travail, et même si ce nombre est faible, c’est un nombre que des services déjà en carence ne peuvent pas se permettre, ce qui va encore augmenter les tensions. 
 
La solution est donc, pour les plus timorés, de trainer les pieds jusqu’à ce que la chose soit vraiment et légalement obligatoire (d’autant que, même au pire des cas, une affluence soudaine est plus à même de gripper la machine qu’un étalement) et, pour les plus courageux et déterminés, de pratiquer la désobéissance civile en s’organisant pour se passer de tous les commerces et services qui leur seront inaccessibles et que Macron ne peut pas se permettre de voir fermer les uns après les autres. 
 
Encore une fois, il s’agit d’une course contre la montre et il suffit de tenir quelques mois sachant que, sauf à tomber dans le panneau, comme tous ceux qui ont fait sauter doctolib par tranche de 17.000 moutons à la minute, le temps joue contre Macron et ses commanditaires, d’où ce coup de bluff désespéré, sous forme d’électrochoc, qui est une véritable déclaration de guerre irréversible (aux conséquences que l’on ne mesure pas encore) envers tout individu ayant encore deux sous de bon sens ou des illusions sur la démocratie, les deux allant rarement ensemble.

Comme je vous le disais au début, j’ai été bloqué pendant une semaine par Youtube d’où le retard de la vidéo que je poste en même temps que celle-ci. Il est donc possible que, dans un avenir très proche, je ne puisse plus rien poster pour une période bien plus longue sans que j’aie les moyens de vous en informer, voire que cette chaîne disparaisse comme une promesse électorale au lendemain des élections. 
 
Si vous appréciez mon contenu, je vous conseille donc de conserver quelque part les liens de mes autres chaînes qui figurent en description et sur lesquelles, par ailleurs, vous trouverez l’intégralité de mes vidéos. J’ai dû en effet mettre en privé la majorité d’entre-elles sur Youtube.
La raison en est qu’après m’avoir laissé tranquille un petit moment, les élections s’approchant, ledit Youtube qui participe à un ménage qui ne va faire que s’intensifier, a recommencé à me chatouiller entre le scrotum et le périnée. La tactique consiste à striker d’anciennes vidéos datant de plus de 3 ans au prétexte qu’elles ne correspondent pas aux standards de bienpensance d’aujourd’hui. Généralement, quand ils commencent comme cela, pour l’avoir déjà expérimenté et être passé plusieurs fois au bord de la suppression de chaîne, la chose se limite rarement à une seule vidéo et quand, comme moi, on en a plusieurs centaines et que chacune d’elles est potentiellement une bombe à retardement, autant dire que pas besoin de tirer les cartes pour réaliser que transporter de la nitroglycérine dans une bouteille d’Orangina ne peut pas bien se terminer. 
 
J’ai donc immédiatement mis en mode privé la majorité d’entre-elles, notamment celles de traduction de charmantes jeunes dames, sachant, par ailleurs, que si moi j’ai des avertissements en raison de soi-disants « appels à la haine » pour ces simples traductions, les vidéos originales continuent leur petite vie à l’étranger comme si de rien n’était, sans que YouTube ne s’en insurge, démontrant, s’il en était encore besoin, la place de la France sur l’échelle de la liberté d’expression. J’en profite, pour répondre à ceux qui m’ont interrogé à juste titre, pour vous signaler que, suite à un petit cafouillage de ma part, dans la précipitation, la vidéo de présentation de la chaîne qui n’était visible que sur la page d’accueil est passée un moment en mode public et a été présentée comme une nouvelle vidéo ce qui a pu en perturber certains.
 
Le côté positif est que si, pendant une semaine donc, ma dernière vidéo n’a été publiée que sur mes autres chaînes sur d’autres plateformes elle a cumulé un total de plusieurs milliers de vues ce qui commence à se rapprocher de ce que je fais sur youtube que, par ailleurs, si j’étais complotiste, je soupçonnerais de bloquer tant mes vues et mon nombre d’abonnés que ma visibilité. Si la progression continue, il est donc possible que la suppression probable de la chaîne ne signifie pas pour autant la fin de la mite dans la caverne.
 
Pour autant, il faut garder à l’esprit que toutes ces plateformes sont en grave danger car beaucoup n’ont pas un modèle économique viable et les autres, telles Bittube et Odysee, ont un modèle basé sur les crypto-monnaies et que, justement, le système lance une vaste offensive contre ces dernières qu’il cherche à s’accaparer, les expurgeant au passage de l’anonymité qui est leur principal intérêt, aidé en cela par de nombreux scandales, tombant on ne peut plus à propos, ayant entraîné la ruine de nombreux porteurs escroqués par les intermédiaires qui leurs permettent de vendre ou d’acheter lesdites crypto-monnaies dont les cours ont été passablement secoués proportionnellement à la baisse de confiance des gens.
 
Dans tous les cas, tant que je suis présent sur cette plateforme, je vous encourage à vous abonner et liker le contenu car Youtube, même s’il fonctionne, lui-aussi, sur le principe de la chambre d’écho étanche, ne proposant aux gens que des contenus qui vont dans leur sens, reste encore, hélas, la meilleure façon de toucher, notamment par les partages et par les centres d’intérêts transversaux comme l’humour, un public qui ne s’est pas encore posé certaines questions. De plus, Youtube est plus pratique pour gérer les commentaires, permet une meilleure qualité de streaming et reste la seule plateforme qui propose des sous-titres, ce qui est important pour les personnes souffrant de problèmes d’audition ou ceux qui ont du mal avec l’accent toulousain. A ce propos, je vous rappelle que vous pouvez trouver la totalité des transcriptions de mes vidéos sur mon blog qui figure également en description.
 
Dans tous les cas, et quoi que l’avenir nous réserve, je ne saurais vous dire à quel point j’ai apprécié vos encouragements, votre soutien, la pertinence et l’humour de vos commentaires et le fait de savoir que, dans un Monde qui sombre inexorablement dans la folie la plus totale, il reste encore quelques miraculés capables de constater que l’eau ça mouille et que 2 + 2 ça fait 4. Merci encore à tous et à bientôt…. J’espère.


 

jeudi 8 juillet 2021

J’ai testé LE SITE LE PLUS CENSURÉ de FRANCE (08 juil. 2021)

 Ma chaîne étant temporairement bloquée par YouTube le lien de la vidéo sur odysee : https://odysee.com/@LaMiteDansLaCaverne:4/test:6


La vidéo étant illustrée d'un certain nombre de dessins ou de gags visuels, je vous encourage à la visionner avant ou après avoir lu la transcription 

Bonjour,
Comme aurait dit Devos : rien c’est rien, mais trois Aryens c’est déjà quelque chose, il ne faut donc jamais sous-estimer le nazisme car c’est extrêmement contagieux. Même l’équipe de France n’est plus à l’abri depuis que Dieudonné a lancé le concept du nazi noir. La preuve, elle n’est arrivée « aryen ». Probablement un effet secondaire de la vaccination. Une contagiosité extrême donc qui surpasse les variants du corona dont, après le delta, l’epsilon et le lambda commencent déjà à faire parler d’eux. La bonne nouvelle c’est qu’il n’y a que 24 lettres dans l’alphabet grec, on devrait donc bientôt en voir la fin. 

Fort heureusement, l’état, plus efficace contre ledit nazisme que contre le corona, veille et le site « démocratie participative » sur lequel certains sadiques, désireux de me voir effectuer un numéro de funambulisme au-dessus d’un champ de mines, m’ont demandé mon avis dans les commentaires, est le plus censuré de France. J’espère que vous avez tous votre diplôme non pas du, mais DE second degré, car vous allez en avoir besoin. 

En ce qui les concerne, la censure intervient carrément au niveau des fournisseurs d’accès internet, faisant que le site doit constamment changer d’adresse. Autant dire que la possibilité que vous tombiez dessus par hasard est aussi négligeable que les chances d’une cacahuète de conserver son intégrité physique après avoir glissé, durant un banquet, sur la chaise du replet Lechypre (lechybre étant plus en adéquation avec sa tête de nœud) lequel, plutôt que de maigrir afin de diminuer ses comorbidités, en appelle carrément, sur les plateaux télé, à envoyer la police pour obliger les autres à se faire vacciner. La dernière chance pour notre cacahuète reste un repli stratégique dans l’espace inter fessier, réification de la république. Dès lors, même si faible, la possibilité devient non nulle. Imaginons, par exemple, que vous utilisiez le navigateur « Brave » qui permet d’aller sur le darknet, que vous ouvriez une fenêtre de navigation privée avec « Tor » et avec raison, que vous saisissiez dans le bon ordre 56 caractères alphanumériques suivis de « .onion » et là, horreur, vous vous retrouvez, totalement par hasard, devant l’abomination des abominations.

Vous vous dites probablement : il exagère. Et bien non, vous êtes encore loin du compte si vous pensiez que le summum de la subversion c’était des sites gentillets comme Fdesouche ou Boulevard Voltaire, lesquels décochent leurs flèches avec l’arc républicain dans lequel ils se situent encore, ou même le très honni site de Soral, « égalité et réconciliation » nom qui, contrairement à « démocratie participative », n’est même pas ironique, en faisant un repère de doux idéalistes auxquels tout ce que l’on peut reprocher c’est leur côté taquin. Avec démocratie participative, on monte de plusieurs «CRAN»s, ou plusieurs «CRIF»s si vous préférez, atteignant presque le niveau de violence verbale de ces sites antifas ou communautaires qui appellent au meurtre à longueur de journée dans l’indifférence générale et en écriture inclusive, sauf que là ce n’est pas pour la bonne cause envers les gens qui pensent mal, le Français qui se dit « de souche » ou le mâle blanc hétérosexuel et que c’est donc inexcusable. Comme dirait un ami vitrier : « à la réflexion, ce côté miroir me glace ».

Outre une émission hebdomadaire sous forme de podcast (qu’il vaut mieux éviter d’écouter l’été dans les quartiers sensibles, si vous n’avez pas la clim dans votre voiture) on trouve sur le site un certain nombre de rubriques ou sont collectées et commentées, façon brosse métallique sur des hémorroïdes, des actualités sélectionnées. Plus subversif encore, un guide racial des villes qui pointe sur un forum intitulé benoitement : « Europe, écologie, les bruns ». Titre qui a dû provoquer un mini-orgasme chez celui qui l’a trouvé et confirme une propension à une certaine forme d’humour iconoclaste et potache pour le seul plaisir d’agiter l’équivalent d’un chiffon rouge devant un taureau franquiste en 1936. 

Le site est hébergé aux Etats-Unis sous la protection du premier amendement qui fait, en raison de cette liberté inadmissible de la parole que, comme chacun le sait, ceux qui prennent l’escalier le samedi y sont poursuivis par des hordes sanguinaires. Les animateurs, pour certains exilés à l’étranger et qui devisent tranquillement, comme s’ils commentaient la météo, en maniant des termes et des concepts qui leurs seraient facturés 200 000€ la minute s’ils passaient devant la 17eme chambre, poussent parfois très loin la réflexion, et au-delà de la provocation, développent tout un argumentaire. Dès lors, dans un monde logique et rationnel, dans lequel les gens considérés comme suffisamment intelligents pour voter, seraient également considérés suffisamment intelligents pour se faire leur propre opinion sur les choses, plutôt que de d’être prompts à verser une toupie de ciment éponyme en criant à la haine, cela se traduirait, en face, par un effort intellectuel pour leur apporter la contradiction. Mais comme on prend les gens pour des cons influençables, ce qui revient à admettre que les élections sont une escroquerie, on assiste, au contraire, à l’interdiction pure et simple du site, au prétexte qu’ils serait la cause d’une problématique, alors qu’ils n’en est que la conséquence, résultat d’un antiracisme qui, à force de voir des nazis partout alors qu’il n’y en avait plus, et ce afin de discréditer tous ceux qui alertaient contre les dangers d’une immigration incontrôlée, a fini par en créer. C’est d’autant plus déplorable que, à ce stade, même à supposer que la finalité des médias ne serait pas de parachever notre descente collective vers l’idiocratie absolue, les toutous du système, incompétents et grassement payés pour jouer les perroquets sur des sujets auxquels ils ne connaissent rien, même s’ils le voulaient, sont trop intellectuellement limités pour débattre. Raison pour laquelle, par comparaison, un Zemmour est dans la position confortable du brochet dans un bocal de poissons rouges et n’a aucune envie d’aller affronter des poissons sauvages à la Soral.

Avant d’entrer plus dans les détails, je tiens, afin de bien clarifier mon appartenance au camp du bien, à préciser qu’ayant pas mal bourlingué, l’esprit de Nadine Morano est entré en moi dès ma prime jeunesse. Non seulement j’ai eu des amis noirs, mais de toutes couleurs, religions et orientations sexuelles et si je ne généralise jamais, une des raisons, probablement, avec son audience limitée, pour laquelle cette chaîne est toujours là en dépit des sujets épineux qu’elle aborde, ce n’est pas simplement par souci d’éviter les ennuis judiciaires, mais juste parce que, quelle que soit la problématique évoquée, il me vient toujours à l’esprit l’image de quelqu’un, bien concret et réel, que j’ai connu ou apprécié qui ne rentre absolument pas dans la caricature (même si, hélas, j’en connais aussi qui vont carrément au-delà, la réalité dépassant parfois la fiction). De toutes façons, cette approche individuelle n’est simplement pas pertinente et ne sert qu’à nous vendre des sophismes en essayant de nous faire admettre que, parce qu’on a trouvé une chèvre carnivore (et non, bande de rustres, je ne parle pas d’Anne Hidalgo) il faut se méfier de toutes les chèvres ou, à l’inverse, que l’existence d’un lion végétarien ferait qu’il faudrait arrêter de craindre les lions. 

En fait, quelle que soit sa valeur, tout individu s’inscrit dans une (ou plusieurs) entités plus grandes, et ces entités, souvent en concurrence, peuvent être nocives pour d’autres, indépendamment des qualités individuelles de ceux qui les composent. Si l’on n’a pas compris ça, on se retrouve aussi désemparé face à la problématique qu’une somnambule à forte poitrine qui se réveillerait en nuisette dans le bureau de Gérald Darmanin. C’est normalement le rôle des états que de contingenter et de raisonner non plus en termes d’individus, mais de flux. Si c’est la forêt qui est un problème, tout nouvel arbre qu’on importe ne va faire que l’accroître, de même que, pour régler ledit problème, il n’y a d’autre solution que de couper suffisamment d’arbres pour qu’ils ne constituent plus une forêt. Peu importe qu’il s’agisse de bons ou de mauvais arbres, le résultat étant le même. Si l’état, entité non humaine par nature, ne joue plus ce rôle forcément inhumain de protecteur qui est la seule justification à son existence, et n’offre plus à des citoyens sécurisés le luxe de conserver leur humanité et de pouvoir baser leur jugement, de façon objective, sur les qualités individuelles des gens auxquels ils sont confrontés (autant dire que Lechypre est out), il ne faut pas s’étonner que lesdits citoyens, contraints, par leur instinct de survie, de contingenter eux-mêmes à un niveau qui n’est pas fait pour ça, se retrouvent en proie à une contradiction permanente en regard du miroir que leur tend (en Occident et en Occident seulement) leur propre humanité, chose qui ne peut générer que frustration et violence. Les images antinomiques dont nous bombardent les médias sont là, en effet, pour nous diviser et obliger chacun à choisir son camp fratricide en fonction de ses dissonances cognitives. La première étape pour régler le problème posé par un potentiel doctorant en physique moléculaire qui fait brûler vive son épouse en pleine rue, après l’avoir poignardée, aggravant incidemment le problème du réchauffement climatique, c’est d’accepter les cadavres d’enfants morts sur les plages avec lesquels on nous manipule, en reprenant tranquillement des frites. Mais certains, pour avoir médiatiquement trempé, pendant des décennies, dans le mensonge d’un humanisme béat dont le problème principal tient au fait qu’il n’est pas universel, préfèreront mourir dans le déni et se battre contre leurs compatriotes qui eux, veulent survivre, plutôt que de l’admettre.
Mais bon, revenons à nos moutons.

Il existe une variété de singes qu’on appelle les nasiQUEs, même si c’est leur nez qui est long, d’où le nom. Cette congruence phonétique explique peut-être pourquoi les nazis tout court sont obsédés par les appendices nasaux des gens qu’ils ont dans le nez. C’est le cas de Démocratie Participative, très focalisée sur lesdits appendices, comme on va le voir, et qui, consciente qu’être un bon Aryen n’est pas toujours un compliment, a remplacé ce dernier par le Celte et se réclame, sans complexe, de cette idéologie. N’écoutant que mon courage, afin d’apporter ma contribution à la lutte contre la bête immonde, je vais donc vous spoiler volontairement la philosophie du site pour que vous ne soyez pas tentés d’y aller. Qui aurait regardé Star Wars si la trilogie avait commencé par « Luke, je suis ton père et Leia est ta sœur ? »  

Gardez toutefois à l’esprit que les termes employés et les affirmations sont les leurs, pas les miennes, que je n’ai peut-être pas tout compris et que, bien sûr, je condamne tout ça avec tout plein de véhémence. Je tiens d’ailleurs plusieurs seaux de vomi à la disposition de la justice, pour attester à quel point j’ai été révulsé par les propos inadmissibles qui sont tenus sur un site dont même le code HTML suinte la haine. [Borborygme de dégout + bruits de chasse d'eau] On dirait que ma femme vient de vider les seaux. Toujours est-il que si on demande à ces haineux revendiqués "Qui, QUI ???", autant vous dire qu’ils ont la réponse, n’hésitant pas à sombrer sans complexe dans la caricature exutoire dans le but évident de faire bisquer certains individus. 

Selon eux, il existerait un groupe tribal de personnes dont la malfaisance serait proportionnée à la taille de leur appendice nasal (je n’exagère pas), groupe réellement persuadé que dieu a voté pour lui au cours d’une élection dont le reste de l’humanité n’a pas plus reçu les professions de foi que lors des dernières régionales, qui vouerait une haine viscérale à l’homme blanc européen (obstacle à l’accomplissement de sa destinée vétérotestamentaire) concurrent qu’il chercherait à détruire par la perversion et la fourberie, façon David contre Goliath, le nombre ne lui étant pas favorable. De ce travail de sape lequel, dimension vétérotestamentaire oblige, s’étalerait sur des siècles, seraient nés : la république, la maçonnerie, l’union Européenne, le communisme, le boomer égoïste, le métrosexuel végan, la féministe hystérique et la communauté de l’alphabet dont le but ultime serait la légalisation de la pédophilie et la sexualisation des enfants dans les écoles. 

Tout ce petit monde décadent, dont la vacuité serait illustrée par sa fascination pour les trous, que ce soit son nombril, sa vulve ou le trou de balle des autres, atteindrait l’extase lorsqu’on le confronterait au trou ultime, le vide intellectuel (présenté comme sidéral) d’un autre groupe tribal de personnes généreusement dotées, elles aussi, en appendice nasal (je vous l’avais dit, ça les obsède), mais ce coup-ci en largeur plus qu’en longueur. Le trait est tellement exagéré qu’on s’imagine presque ceux qui traversent la Méditerranée chanter, en hommage à Michel Lebb, réminiscence d’une époque où une certaine forme d’humour dégoutant était encore autorisée : « c’est nous les gars de la narine ». Un groupe au QI présenté, donc, comme limité, à la dentition exubérante et au fort taux de mélanine auquel le premier groupe (qui lui, prônerait la pureté raciale pour lui et le mélange pour les autres) voudrait qu’on se métisse. Des individus décrits avec volupté comme simiesques, en accord avec la vision tant d’Hitler que de Voltaire, et qui, selon le site, tireraient vers le bas tout ce qu’ils touchent n’ayant, par ailleurs, que 2 fonctions préprogrammées : la copulation avec consentement facultatif et le tortillage de fesses au son des tams-tams qui ont, peu à peu, remplacé la musique occidentale, toujours sous l’égide de la première communauté (laquelle, outre l’ensemble des médias, tiendrait l’industrie de ladite musique qu’elle s’ingénierait à pervertir comme tout le reste). 

La fascination pour ce groupe ethnique serait telle que même les pseudos nationalistes tomberaient en pamoison quand l’un d’entre eux tient un discours patriote, validant ainsi l’immigration qu’ils critiquent par ailleurs. Une fascination qui atteindrait son paroxysme auprès des féministes lesquelles, tout en pratiquant un génocide de masse sous forme d’avortement de petits blancs (avortement mis en place par une représentante de la première communauté), ne trouvant pas assez virils les mâles qu’elles ont-elles-mêmes castrés, se mueraient en ...utes à ...ègres ou à ...ougnoules (je vous épargne les consonnes). Les ...ougnoules étant un autre groupe au QI à peine plus élevé (toujours selon le site) relevant d’une morale qui n’est pas la nôtre et qui ne saurait pas contrôler ses pulsions et sa violence laquelle se retournerait souvent, rubrique faits divers, contre lesdites féministes, notamment ces quinquas d’un quintal qui font leur marché de saucisse au Maroc et s’étonnent qu’une fois sa carte de séjour en poche leur mari de 25 balais les largue après les avoir transformées en punching-ball. Des féministes et autres droit-de-l’hommiste décrites comme en quête d’une dose de testostérone, des baffes qui vont avec et de séances de copulation non respectueuse, sachant que la progéniture (généralement à problèmes) qu’elles accumulent ensuite, souvent issue de pères différents, est prise en charge par la collectivité. 

Par collectivité, il faut comprendre, toujours selon eux, le petit blanc qui bosse, se fait « allahouakbarer », subit la dictature sanitaire et qui, contrairement aux autres, n’a pas le droit de revendiquer sa propre communauté et le désir de vivre parmi les siens dans son propre pays; le point commun de tous ces autres groupes étant de vivre à ses crochets que ce soit sous forme d’impôts, de retraites, d’aides, de subventions, de redevance télé et d’allocations diverses. Voilà, vous étiez prévenus. 

Je pense avoir à peu-prés résumé la chose, sachant, pour ceux que j’ai pu choquer, que j’ai considérablement édulcoré le vocabulaire, le site s’ingéniant à exploiter à fond le côté cathartique que certains, qui se sentent brimés dans leur liberté d’expression, pourraient ressentir, en utilisant jusqu’à la caricature les termes les plus insultants et discriminants possibles pour décrire ce que les bien-pensants appellent « l’autre » et qu’on nous oblige à aimer inconditionnellement et surtout unilatéralement. 

Sans même évoquer Aimé Césaire ou plus modestement Greg-Toussaint, cas individuels qui, comme je l’ai dit, ne sont pas forcément pertinents pour invalider l’appartenance à une entité, mais suffisent pour invalider la généralisation absurde sur la base de la seule couleur de peau, on pourrait leur objecter que quand on voit les morphotypes de ceux qui torchent le cul des petits vieux dans les Ehpads, qui livrent les colis qu’on commande sur Amazon etc. il est évident qu’il n’y a pas QUE le petit blanc qui bosse et qu’à contrario, outre les zadistes et autre punks à chien, sans compter les nationalistes qui tels des Conversano font ouvertement le choix du parasitisme et se vantent de toucher le RSA, les étrangers (dont, par contre, on pourrait se demander de quel droit eux le touchent) n’ont pas le monopole du suçage par le bas des finances publiques, l’aspiration principale se faisant, de toutes façons, par le haut. Pourquoi toutes ces aspirations m’évoquent-elles Marlène Schiappa ? Aucune idée. 

Au final tout cela est du cirque, toutes les positions, qu’elles soient racistes ou antiracistes, étant biaisées et nécessitant une dose de mauvaise foi dont personne d’intelligent n’est dupe. Dès lors que la froide logique n’est plus une option dans ce monde de l’émotion, le sacrifice d’un bouc émissaire s’avère inéluctable et la question n’est plus de savoir qui a raison mais, l’individu étant en quête de survie avant d’être en quête de vérité, lequel des récits palliatifs qui s’affrontent est le plus à même d’assurer notre survie collective.

Donc, en conclusion, soucieux de ne pas faire l’apologie de la haine, je vous exhorte, même si vous avez vos deux doses de vaccin (surtout si vous avez vos deux doses de vaccin) à ne pas y aller.
Pour ma part, j’essaie d’occuper, à mon modeste niveau, l’intégralité du petit espace que ladite censure nous laisse, l’abandonner par l’auto-censure étant la meilleure façon pour qu’il se réduise encore. L’espérance de vie de cette chaine est donc la même que celle du canari dans la mine et, que vous soyez d’accord ou non avec mes propos, le jour où elle ne sera plus là, cela voudra dire que cet espace aura été perdu pour vous aussi.
Merci à tous pour votre soutien, et à bientôt… j’espère.