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vendredi 26 mars 2021

NE PLUS CONFONDRE : nationaliste, patriote, souverainiste, identitaire, républicain... (26 mars 2021)

 Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/z1Jtn8qxLBc


 S'agissant d'un diaporama, je vous conseille de le visionner avant de lire la transcription, si ce n'est déjà fait.

 Patriote, nationaliste, identitaire, souverainiste, républicain… une chatte n’y retrouverait pas ses petits (même avec une puce RFID en suppositoire). Mais avant de prêter main forte à ce brave félidé, il faut remonter aux causes, à savoir, dans notre civilisation helléno-chrétienne, la sacralisation de l’amour, issu d’un télescopage entre Jésus-Christ et Jean-Jacques Rousseau qui fait que l’on ne comprend, ni l’un, ni l’autre. Par ailleurs, au passage, ce qui est important, ce n’est pas l’amour, c’est la reproduction, raison pour laquelle on a eu Adam et Eve et non pas Adam et Dave.
Vous conviendrez qu’il serait complètement idiot de dire à quelqu’un déjà debout : Lève toi ! Donc, si le gars de Nazareth a dit : « aimez-vous les uns les autres », cela signifie que, par défaut, on ne s’aime pas et que (même si on en a le potentiel) cela implique un choix et du travail d’où, à la fin, le susucre du paradis. Un choix qui n’est pas automatiquement réciproque. C’était quelque chose qui était bien compris, jadis, par le bon sens populaire, lequel allait de pair avec une certaine méfiance (et parfois quelques excès) avant que la religion ne fusionne avec les valeurs républicaines et que les préceptes catholiques ne se mélangent avec le mythe du bon sauvage, impliquant que l’homme serait foncièrement bon… sauf les méchants, nazifiés par le système et qui, n’étant plus des êtres humains, peuvent être allègrement massacrés (déjà même avant l’invention de Twitter). 

Dans ce monde binaire de monstres méchants et d’humains gentils, on finit par oublier qu’une victime est juste quelqu’un qui n’a pas de chance, ce qui n’en fait pas forcément un Bisounours, les bombes tombant indifféremment sur les saints et les pédophiles cannibales. La conséquence désastreuse est que des gens, dont le funeste destin est pudiquement relaté par la presse régionale, s’imaginent qu’accueillir chez soi quelques migrants, issus d’une autre culture encore régie, elle, par les lois de la nature et carrément d’un autre continent, et ce sous le même toit que leur fille de 10 ans, leur grand-mère de 96 ou, dans les cas extrêmes, leur chèvre naine apprivoisée, cela va forcément bien se passer.

Ce qui nous amène à un autre fondamental indispensable pour bien appréhender les choses : la seule constante qui ne s’est jamais démentie dans l’histoire humaine, ce n’est pas l’amour, c’est la guerre (l’amour ne servant qu’à produire des troupes fraîches entre deux affrontements). L’homme est un être compétitif, faible individuellement, qui a toujours combattu ses semblables (le plus souvent en groupe) pour des ressources qui ne sont pas infinies. Même si, la bombinette aidant, les conflits armés se font plus rares chez nous (faisant que, n’ayant plus besoin de viande de boucherie, nos élites s’interrogent sur l’intérêt de nous garder si nombreux à jouer aux jeux vidéo) nous sommes toujours en guerre permanente : guerre religieuse, économique ou autre. En effet, et nous allons rentrer dans le cœur du sujet, il y a deux types de guerre : la classique, armée contre armée et la guerre du diviser pour régner, qui fait autant de victimes (même si le sang gicle moins sur notre paillasson) et qui utilise tous les leviers possibles : économiques, ethniques, religieux, sociologiques ainsi que tout l’arsenal de l’ingénierie sociale. Ce que certains qualifient de guerre de 4eme génération, mais inutile de compliquer les choses.
Une fois qu’on a compris que l’être humain, 1 n’est pas gentil et 2 nous piquera nos ressources s’il le peut (faisant que le danger de la guerre est toujours omniprésent) on peut déjà répondre à la question : pourquoi les pays ?

Les pays sont le résultat de guerres internes externes qui conduisent à trouver le meilleur équilibre possible, une fois éliminés les éléments non intégrables, entre accès aux ressources, superficie et protection des frontières, lesquelles s’arrêtent généralement à des limites naturelles (telles des chaînes de montagnes) ou avec la rencontre d’un opposant de force similaire et de culture trop différente pour pouvoir fusionner. Ceux qui tentent ladite fusion créent alors des empires qui finissent toujours par s’effondrer sous le poids de leur diversité laquelle constitue autant de lignes de fractures qui pourront être utilisées par des ennemis potentiels. Une autre solution étant les fédérations (voire des confédérations, mais restons polis) qui fonctionnent tant que les crayons sont bien rangés dans leurs boites respectives et que chaque boite conserve une autonomie suffisante.

La notion la plus simple et la plus évidente parmi le chapelet d’options que j’ai égrené au début est donc la notion de « patriote ». Le patriotisme est simplement la chose la plus efficace pour se protéger des agressions du premier type : « armée contre armée ».
Grosso-modo, tout ce dont on a besoin pour être patriote, c’est de se trouver du bon côté de la ligne de démarcation. En cas de guerre, on est tous patriotes de gré ou de force et peu importe que l’on soit bleus, verts ou mauves ; du moment que l’on peut nous mettre un uniforme sur le dos, on nous envoie à la boucherie contre les patriotes du camp d’en face. La seule limitation, c’est les binationaux, invention relativement récente et qui n’a aucun sens pour des patriotes, sachant qu’il est compliqué d’avoir un uniforme mi-allemand, mi-français par exemple, auquel cas, dès que ça barde, on est requalifié d’espion ou de traître.
On peut donc en conclure que les deux conditions pour être patriote Français, c’est de vivre en France et de ne pas être binational. Ce qui permet déjà d’éliminer certaines des personnes qui, sincères ou non, s’en réclament abusivement.

Si le patriotisme a des avantages et permet de se donner la main entre personnes diverses issues de diversités divergentes pour aller vers la mort en chantant (ce qui paye électoralement dans un pays où la moraline passe avant la survie et ou esquiver l’étiquette « raciste » est indispensable à cette fin) il nous laisse comme une vierge effarouchée en fauteuil roulant face au méchant patriarcat en rut, face aux guerres du second type : celles du diviser pour régner. 

Tout comme le patriotisme (qui n’est pas une idéologie, mais simplement un mécanisme de défense contre les agressions extérieures) le nationalisme bien compris est simplement un mécanisme de défense contre les manipulations extérieures… et intérieures. Il est inclus dans le périmètre du patriotisme et conserve ses limitations, à savoir vivre dans le pays et ne pas être binational, mais en rajoute d’autres. La finalité étant de créer un bloc le plus homogène et cohérent possible qui soit peu sensible aux pressions sur les leviers ethniques, culturels, religieux ou autres et génère des solidarités spontanées qui le rendent plus résistant à des crises économiques ou alimentaires et aux abus de son propre gouvernement, lequel ne manque jamais une opportunité, comme on l’a vu avec la coronafolie, de nous isoler les uns des autres. 

Ce bloc, qui suppose une adhésion individuelle et une acceptation (elle aussi instinctive) de cette adhésion par le groupe, ayant vocation à croitre au sein du pays, entre autres, par une politique nataliste et une re-migration encouragée et ce, afin de diminuer le nombre des personnes qui n’en font pas partie. Il est à noter que, comme ne fait pas partie non plus dudit bloc un pourcentage significatif des très riches (à ne pas confondre avec les patrons de PME) dont le patronyme, quand il est bien Français, ne résiste pas toujours longtemps à une expédition wikipédiesque, on élimine, par la même occasion, une bonne partie du levier des fausses distinctions sociales de la soi-disant lutte des classes qui, souvent, en cache d’autres. Il est à noter que, par définition, un nationaliste est souverainiste en ce sens qu’il veut être maître chez lui.

Donc, en résumé, un nationaliste Français c’est quelqu’un qui vit en France, n’est pas binational et recherche une cohérence ethnico-culturelle et religieuse suffisante pour atténuer au maximum les lignes de fracture qui rendent le pays vulnérable aux manipulations. Même si on ne parle pas, ici, d’absolutisme (lequel est une impasse) et qu’il y aura toujours de la place en nombre raisonnable pour des personnes issues d’autres horizons qui acceptent les règles, ça discrimine quand-même pas mal et c’est donc déjà moins vendeur électoralement dans un pays de mougeons.

C’est pourquoi on a inventé le nationalisme canada-dry en extrayant, hors sol, une de ses caractéristiques : le souverainisme. Le souverainiste, lorsqu’il ne se revendique pas du nationalisme (auquel cas il n’aurait nul besoin de préciser qu’il est souverainiste) vend l’idée fausse que le fait de vivre à l’intérieur des mêmes frontières est suffisant pour constituer un bloc et que ce bloc, en dépit d’intérêts divergents voire contradictoires, est souverain pour décider de sa destinée. Il va sans dire que non seulement la chose n’offre aucune protection contre les attaques de type 2, puisque c’est open bar pour l’exploitation de nos fractures, mais en décochant, de fait, entre beaucoup d’autres, la case binationalité du ticket d’entrée, elle n’est pas non plus une option patriote, faisant que tout être humain sur la planète, s’il parvient à franchir la frontière, fera partie de notre belle et grande famille. En outre, les partis ou mouvances qui s’en réclament sont parmi les plus infiltrables et les plus infiltrés par des intérêts divers et (a)variés.

Donc, en résumé, un souverainiste, ça ressemble à un patriote ou un nationaliste, mais SANS la cohérence ethnico-culturelle et AVEC la binationalité, ce qui n’en fait ni l’un, ni l’autre. Il veut juste vos voix.

Dans le même registre, c’est-à-dire inefficace dans les deux types de guerre, on trouve les identitaires pour lesquels j’ai plus de sympathie au sens où ils sont plus naïfs qu’hypocrites, ont l’excuse de la jeunesse, un désir de s’impliquer qui les honore ainsi qu’un courage (plus physique que politique) incontestable. Ils ciblent, en outre, une partie de ce qui peut poser problème à un nationaliste. A l’inverse, ils éliminent une part du réservoir nationaliste et accueillent en leur sein des personnes anthropologiquement similaires, mais issues d’une autre culture, voire d’un autre pays. 

Par rapport aux souverainistes, ils cochent la case civilisation. Il y a, en effet, une civilisation européenne qui s’entend comme un ensemble de peuples urbains et civilisés, de style de vie compatible, partageant une même zone géographique et des bribes d’histoire, mais pas une même culture, ce qui explique notre propension à guerroyer non-stop avec la perfide Albion ou les Prusso-Teutons. Faute de pouvoir cocher la case culture, la tentation est alors grande de cocher la case ethnique, sans la tempérance induite par les autres critères. 

Donc en résumé, un identitaire, ça ressemble aussi à un patriote ou un nationaliste, mais c’est internationaliste sur une base essentiellement ethnique et civilisationnelle, ce qui n’en fait, là-encore, ni l’un, ni l’autre. En revanche, il peut être un allié ponctuel sur des cibles communes.

La république qu’elle soit islamique, socialiste soviétique, démocratique de Corée du nord ou française est une escroquerie destinée à faire croire que l’asservissement à une entité parasite et mafieuse est la conséquence de la volonté du peuple. Quand quelqu’un dit « vive la république » demandez-vous simplement s’il transpire beaucoup dans son travail et combien il gagne. En France, elle a perverti le concept, dangereux pour elle, de nation en se l’accaparant et lui ôtant son côté organique, ce qui en fait un concept creux comme le triptyque « liberté, égalité, fraternité » et toutes ces fameuses valeurs dont on parle, sans jamais précisément les énumérer. Beaucoup de nationalistes sont tombés dans le panneau et ont écrit des bouquins entiers sur la nation sans réaliser que, s’il leur fallait 400 pages pour l’expliquer, c’est qu’ils s’étaient fait entuber.

La république, qui ne protège que la république, c’est le néant puisqu’elle décoche toutes les cases qu’elle remplace par la case république. Elle n’est absolument pas efficace dans les guerres de type 1, se contentant de s’exiler à l’étranger en attendant que ça passe et, non seulement elle ne protège pas non plus contre les manipulations extérieures, mais elle en est, à la base, une émanation.
En résumé, un républicain, c’est un parasite.

Je ne prétends pas détenir la vérité, mais cette analyse, vue sous l’angle pratique du niveau de protection des pays a au moins le mérite d’être claire, pragmatique, logique et cohérente. Généralement ceux qui se réclament de l’un ou de l’autre de ces termes, soit ne les définissent pas, soit se prennent les pieds dans le tapis quand ils doivent en définir plus d’un, soit s’en sortent par une pirouette en invoquant un cadavre quelconque sous forme de citation tronquée. 

Malheureusement, beaucoup de ceux qui croient encore que l’élection donne le vrai pouvoir, pensent qu’il n’est pas possible d’en gagner une, en France, sans mentir. Libre à vous d’argumenter que certes, certains sujets ne sont pas abordés le temps de gagner ladite élection, mais qu’une fois au pouvoir on va voir ce que l’on va voir. Je rétorquerai qu’une fois qu’on a purgé toutes les personnes considérées comme trop clivantes (pour avoir encore un semblant de colonne vertébrale politique) et que, pour montrer à quel point on est compatibles avec la république, on a rempli ses instances dirigeantes de personnes issues d’associations universalistes, de lobbies et minorités fortement communautarisés, bref qu’on a remplacé tous les chevaux par des ânes pour plaire à des bœufs qu’on n’aura pas préparés, par ailleurs, en prévision des mesures drastiques que tout bon nationaliste serait amené à prendre, même en gagnant les élections, il ne faut pas s’attendre à gagner la moindre course.

Ce genre de vidéo prend beaucoup de temps à faire et je rappelle que mon travail est totalement bénévole, donc si vous en voulez d’autres, abonnez-vous, likez et surtout partagez.

 

lundi 8 mars 2021

La situation n'est pas si compliquée! (09 mars 2021)

 Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/MNtByF7W9J8

 

Bonjour!

Quand on gratte un peu, en dehors de déranger quelques morpions, on se rend vite compte que nous sommes gouvernés par une caste dont notre premier sinistre, à la tête druidique en forme de fruit de chêne est, comme son nom l’indique, la version X : CasteX.
On remarque aussi que la quasi-totalité de ladite caste est issue d’un petit nombre de viviers communautaires, religieux, idéologiques, philosophiques, financiers ou statutaires, au point qu’il est exceptionnel qu’un de ces êtres de lumière (LED et écolo) qui nous disent constamment ce qu’il ne faut pas faire, ne coche pas, directement ou par alliance, une ou plusieurs cases façon Euromillions (lequel propose aussi, sournoisement, des étoiles, sur la couleur desquelles je ne ferai aucun commentaire). On peut facilement le démontrer avec une liste de noms, un tableau Excel… et un kilo d’oranges (en prévision de l’incarcération qui ne manquerait pas de suivre).
Tel que pourrait l’énoncer l’écran traumatisé (mais connaisseur) du smartphone de Benjamin Griveaux, il s’agit bien sûr de la crème de la crème desdits viviers, cooptée en fonction de son niveau de pourriture, et loin de moi l’idée de suggérer qu’en dehors de cette émulsion pègueuse, les autres membres de ces groupes puissent être, en aucune façon, considérés comme toxiques, nocifs ou malveillants.
Prenons, par exemple, le cas des virtualisateurs de truelles, un des rares parmi ces viviers que l’on peut encore nommer sans enfreindre une des lois iniques spécialement mises en place, par ceux qui en profitent, pour qu’on ne puisse pas braquer les projecteurs sur eux (un goût pour l’obscurité paradoxal pour des gens qui se réclament des lumières). Pour y avoir passé, quand j’avais une vingtaine d’années, un peu plus de l’équivalent d’une gestation d’éléphant, d’où peut-être, pour ma « défense », une vague impression d’avoir été « trompé », je mentirais si je disais que je n’y ai pas rencontré beaucoup de gens très bien, animés des meilleures intentions. 
Des gens dont on a flatté l’ego à la vaseline intellectuelle et qui n’ont pas forcément perçu que la finalité de la chose est de neutraliser les individus intelligents, mais intègres qui pourraient nuire au système, en leur faisant dépenser leur énergie dans (et rediriger leur focus vers) des leurres comme l’alchimie, une forme biaisée de symbolisme ou la Kabbale lesquelles donnent, néanmoins (ou nez en plus), certaines clés utiles de compréhension du Monde si l’on considère que les illuminés qui y croient, de Bavière où d’ailleurs, en tartinent tout ce qu’ils font, avec, parfois, une certaine finesse humoristique.
Parallèlement, la demande ponctuelle faite aux uns et aux autres de rendre de « menus services » est de nature à enclencher un engrenage de corruption et les plus corruptibles, ambitieux ou convaincus par l’idéologie antinationale sous-jacente sont observés, à la loupe, au milieu du panier de crabes et cooptés par des visiteurs du soir. Pendant ce temps, les vaches à lait naïves, régulièrement ponctionnées d’un pourcentage de leur salaire, et dont le tablier évoque plus une soubrette version Marc Dorcel que les forges d’Héphaïstos, bercées par la convivialité et les agapes fraternelles qui les tirent de leur demi-sieste, dupes des apparences et incapables de réaliser qu’elles sont des pions sur un échiquier pourtant carrément dessiné sur le sol, à défaut d’atteindre le degré d’un whisky millésimé, se rêvent en vénérable de loge.
De la même façon, parmi cet autre vivier des gens qui ont un pied dans un autre pays, et dont il faut croire que l’on a absolument besoin, puisque dans un pays de 67 millions d’habitants on s’obstine à leur confier notre destinée, je ne fais pas d’amalgame, entre mon dentiste (qui lui pourtant en fait) et le tandem des Dupont et Dupond constitué par un Sarkozy (désormais officiellement délinquant) et un BHL que le Monde entier nous envie, inventeur du concept de « la guerre sans l’aimer » qui ont, main dans la main, détruit le rempart à l’invasion migratoire que constituait la Libye, soi-disant pour importer une démocratie que l’on attend toujours, pile 10 ans après (happy birthday to you, amis Libyens); opération dont, si je peux vaguement comprendre l’intérêt géostratégique… pour Israël (coïncidence malheureuse) et les avantages personnels à faire disparaitre un financier compromettant, j’attends toujours que l’on m’explique ce que la France y a gagné.
Je ne « mélange » pas non plus, pour changer d’obédience, un entrepreneur en maçonnerie que je connais (et qui pourtant en utilise… du mélange) avec, par exemple, Najat Valaud Belkacem qui, outre la théorie du genre qu’elle n’a jamais évoquée devant le Roi du Maroc, a promu (probablement encore une simple coïncidence), l’enseignement de l’arabe à l’école… en France. On pourrait aussi citer, entre beaucoup d’autres, les Franco-américaines Christine Lagarde ou Burne Poison. Pardon, Brune Poirson ! Pourquoi pas des Franco-Russes, tant qu’on y est, histoire, qu’on rigole un peu ?
De même, dans un autre registre, je ne confonds pas, parmi ceux qui (pour n’avoir pas de notions élémentaires d’électricité) considèrent que les connexions mâle-mâle sont une bonne idée, ceux qui s’électrocutent dans le privé entre personnes adultes et consentantes, sans emmerder quiconque (à part ponctuellement l’un d’entre eux en cas d’ennuis gastriques) et ceux, dans les cercles de pouvoirs, pas toujours assumés par ailleurs, qui sont tenus par les valoches en raison de leurs turpitudes diverses et font marcher à fond la promotion canapé. Mais, comme aurait dit feu mon père qui était d’une autre époque : « on n’est jamais trop aidé dans la vie ».
Je passe sur les aller-retours entre la haute fonction « pubique » et autres entreprises en lien avec l’État (ou encore les banques) et le monde politique. Mais bon, même si la liste n’est pas longue, je ne vais pas passer en revue l’ensemble desdits viviers.
Ce que j’essaie de dire, en tant qu’adversaire acharné de l’article défini, c’est qu’il n’est jamais bon de généraliser (à part peut-être dans l’armée). Toutefois, s’il est visiblement aisé pour le gouvernement de nous sonder ailleurs, faute de pouvoir sonder les cœurs et les reins et compte tenu, tant de la situation dramatique (exceptionnelle et contre la montre) dans laquelle nous nous trouvons que du fait qu’il ne manque pas de gens compétents en France, le principe de précaution le plus élémentaire voudrait que l’on écarte, autant que faire se peut, toute personne issue de ces viviers : des cercles de pouvoir, des médias, de la haute administration, de la magistrature, de la police et de l’armée. C’est ma version de la discrimination positive. Il convient de relativiser en faisant remarquer que ces postes sont spécifiques et que, le pouvoir attirant souvent certains profils psychologiques peu recommandables, la majorité des membres de ces groupes, que je ne cible pas, ne sont, de toutes façons, pas attirés par ces fonctions et ne seront donc pas affectés, dans leur vie quotidienne, par cette limitation.
La nature, qui a perdu tout mon respect le jour où elle a engendré Macron, ayant horreur du vide et la nature humaine étant ce qu’elle est (d’où la nécessité de penser un système qui la prenne en compte au lieu de l’exalter), on m’objectera, à raison, que ce n’est pas pour autant une garantie absolue de probité; mais si on ne fait pas tout pour s’assurer que ceux qui nous gouvernent, nous jugent, nous défendent ou nous influencent ont la France et les Français pour absolue priorité et, à minima, pour minimiser le risque de mettre à ces postes des gens qui ont d’autres loyautés, tous les combats sur lesquels on s’excite seront vains et sans objet et toute bonne intention sera pervertie et détournée. 
C’est ce qui explique, par exemple, pourquoi une loi, votée suite à des décapitations islamistes, laisse les caricaturophobes tranquilles, mais est utilisée, à l’inverse, pour dissoudre… génération identitaire. A part d’y voir une volonté de soutenir l’industrie de la coutellerie en difficulté pendant la crise dite sanitaire, que celui qui comprend la logique lève la main.
Ce que je reproche (gentiment, car il ne faut pas se tromper d’ennemi) à des gens comme Pierre Yves Rougeron, qui n’est qu’un exemple parmi d’autres (sachant que, comme en attestent ses initiales, il y a PYR) c’est que confronté, pour être percutant, à la nécessité de désigner un ennemi, faute de pouvoir désigner les vrais au risque de périr dans l’hystérie dissolutrice gouvernementale, façon la susnommée génération Identitaire (laquelle, par ailleurs, si elle a des actions positives, se plante sur les fondamentaux et n’a donc jamais constitué une véritable menace) il en désigne des secondaires tels l’UE ou l’Allemagne ce qui, pour aussi nocifs qu’ils puissent-être, est soit naïf, soit pleutre voire malhonnête, à moins d’y croire sincèrement. 
Il existe en effet une maladie, hélas largement répandue, chez des gens qui confondent culture et érudition, qui fait qu’ils deviennent trop érudits pour penser autrement que par assemblage de blocs de lego conceptuels produits par d’autres. Ils finissent alors par perdre de vue que, si l’histoire bégaye, elle ne se répète jamais à l’identique et qu’à force de regarder dans le rétroviseur (par références interposées) plutôt que la route devant soi, on pourrait se prendre un arbre, une vache, ou une Marlène Schiappa en goguette. 
Il n’en demeure pas moins que cette vision, bien commode et peu risquée des choses, a pour avantage d’attirer certains semi-bobos (preuve que les « jambettes » ne sont pas l’apanage du moulin rouge) qui voient bien que quelque chose ne va pas, mais qui, incapables de sortir de leur « Jambalaya, donnons-nous la main » version Julienne Delyle, sont trop heureux de pouvoir protester dans le vide en restant politiquement corrects, sans avoir à renier leurs fondamentaux et à remonter à la cause première. 
C’est vrai que, sinon, dans notre univers factice qui fonctionne à la moraline et est resté englué dans les années 30, il suffit qu’un esprit taquin fasse remarquer qu’un moustachu célèbre, comme d’autres avant lui, avait identifié une bonne partie de ces viviers, pour que, même si l’on désapprouve avec véhémence tant le fait d’avoir mis tout le monde dans le même sac que la barbarie de ses méthodes, tout raisonnement soit excommunié, la fin de la partie sifflée et que le contrevenant se retrouve comme un lapin au milieu des phares, potentiel civet de potence.
Je sais bien qu’ils n’ont pas vraiment le choix, mais si l’on peut comprendre que le gouvernement nous mente sur la réalité de notre situation (le nez du Pinocchio Macron, de nature à compenser une faiblesse érectile passagère, le devançant de quelques minutes quand il passe par une porte) on est toujours un peu déçu que la soi-disant dissidence, s’obstinant à respecter les règles du jeu établi par ce même système dont elle admet la malhonnêteté (mais sans toujours vouloir reconnaître qu’elle est intrinsèque aux institutions et les invalide) que cette dissidence donc, continue à vendre, tant au propre qu’au figuré, du rêve en boite et l’idée qu’on va s’en sortir en manifestant, en votant, en revenant vers une forme de Gaullisme ou à coup d’article 50 et surtout, en continuant à être gentils, urbains et civilisés.
Certes, personne ne souhaite un bain de sang, mais ce n’est pas en refusant de voir la réalité en face qu’on va l’éviter (a fortiori s’il est inévitable). Cet engluement (façon morpion égaré en zone anale présidentielle) dans le moralement acceptable et le goût immodéré pour la position de l’autruche (la tête dans le sable et le cul à l’air) en refusant d’admettre qu’en dépit d’une certaine diversité (que personne ne nie) il existe des caractéristiques ethniques spécifiques à la France (et sans lesquelles elle n’est plus qu’une coquille vide) est parfaitement résumé par la récente vidéo d’un autre de ces spécimen, à savoir Tatiana emportée par le Ventôse. 
La flamboyante créature, comme à son habitude, fait semblant de traiter à fond un sujet sensible à savoir « la Nation », mais sans toucher à ce qui pique. Pendant les 10 premières minutes (j’avoue que je n’ai pas pu écouter jusqu’au bout) et après avoir annoncé que, même pas peur, elle allait taper dans le dur, elle nous explique, tranquillos, que la nation Française c’est avant tout une question d’adhésion individuelle. Elle ne considère même pas, en raison, probablement, de son logiciel dont, en dépit de sa bonne volonté évidente, elle ne parvient pas à se défaire que, pour que cela fonctionne, il faut aussi la réciprocité, à savoir une acceptation de cette adhésion individuelle par le groupe (surtout si on ne lui a rien demandé). Un groupe qui n’est pas lié avant tout par l’adhésion au « Roman National », comme elle le suggère par citations interposées (comme si l’arrivée de 10 millions de Nigérians qui réciteraient « nos ancêtres les Gaulois » ne changerait pas radicalement la France), mais surtout par une reconnaissance mutuelle de par un atavisme de comportement et les mœurs. Comportement qui peut être altéré par l’adhésion à une religion, une idéologie voire une ethnie qui imposent des attitudes non fongibles dans l’ensemble, voire non compatibles. 
Ce sont ces signes de reconnaissance et d’appartenance, qui se matérialisent jusqu’à la façon de se vêtir, de bouger et de se déplacer, qui font qu’instinctivement (comme j’ai pu l’expérimenter au Japon, en Australie, au Cambodge, à Hong-Kong, aux USA ou ailleurs), même sans banane, on se reconnait mutuellement entre Français à l’étranger, au milieu d’une foule, d’un simple coup d’œil. 
Le « Vive la nation » de la bataille de Valmy qu’elle évoque (en oubliant de mentionner l’absence de diversité au sens actuel du terme qui seule rendait crédibles, à l’époque, certains principes illusoires) était de nature organique tout autant qu’idéologique. Ce sont les mêmes qui appelaient encore cette brave archiduchesse sèche et archi-sèche Marie-Antoinette « l’Autrichienne » (ce qui permet de mesurer leur niveau de tolérance en matière de diversité) sachant que leurs descendants idéologiques, qui avaient pourtant évolué en matière de progressisme par rapport à eux, en étaient encore à dire par la bouche de Jules Ferry que, je cite :  « les bla bla bla  supérieures… ont le devoir de coloniser les bla bla bla  inférieures ». 
Pour beaucoup des contemporains de la révolution, lesquels, c’est triste de devoir le rappeler, n’avaient pas la télé et dont l’univers connu avait une superficie moyenne de 50 kilomètres, dans la notion de « droits de l’homme », le terme « homme » s’entendait dans sa conception voltairienne. Un Voltaire qui, dans son traité de métaphysique, avançait ingénument que (j’ai dû légèrement modifier car ça ne passerait pas sur Youtube) : « Les Blancs sont supérieurs à ces gens dont le nom commence par N et finit comme « pègre », lesquels le sont aux singes, et comme les singes le sont aux huîtres. » Même un Hitler en pleine crise d’hémorroïdes n’aurait pas osé. Bref, sans remettre les choses dans leur contexte historique, on se plante. 
Toujours est-il que c’est le mimétisme de comportement qui fait le ciment d’une nation, ciment largement ébréché, avant même le choc culturel avec le continent Africain, par l’américanisation de la société (dont beaucoup d’allogènes ont adopté les codes) et la normalisation macdonaldienne dont l’objectif sous-jacent est la destruction desdites nations. Une reconnaissance mutuelle instinctive (laquelle implique une certaine cohérence ethnico-culturelle qui n’exclut pas, à la marge, des personnes extérieures parfaitement intégrées) qui fait que, quand on croise quelqu’un dans la rue on se sent en sécurité (raison première de l’existence de toute collectivité) car le comportement de cette personne est prévisible, qu’on peut raisonnablement supposer qu’elle va simplement acheter son pain et pas nous poignarder en hurlant « Allah Akbar », « Allah soupe » ou autre locution allogène incompréhensible.
Sans pour autant nier leurs efforts et l’intérêt de ce qu’ils disent (ainsi que l’utilité de participer à faire grossir un mécontentement général diffus, sans lequel aucune explosion salutaire ne se produira jamais) ne comptez donc pas trop sur les Phillipot, Rougeyron, noirécarré et consorts pour admettre ce caractère organique, car outre un anti-germanisme rabique, pas forcément toujours injustifié, mais, encore une fois, seulement désigné parce que désignable (contrairement à d’autres entités qu’ils ne veulent pas toucher de leurs petit doigts innocents, mais sans lesquelles on ne peut appréhender convenablement le mondialisme), ils sont tous empreints d’humanisme, persuadés qu’il n’y a pas de retour en arrière possible (la violence c’est mal ; donc ils ne peuvent envisager que des solutions pacifiques) et ont acté que les autochtones récents et leurs descendants (même si à peine vaguement intégrés, à défaut d’être assimilés) représentent un réservoir de voix incontournable sans lequel leur utopie de prendre le pouvoir « par les urnes » n’est plus possible, réservoir de voix qui demande donc à être caressé dans le sens de la barbe, quitte à se suicider au passage. Ils présentent cela comme de l’espoir alors que c’est du défaitisme. Mais bon, il y aura toujours des hyperactifs pour penser que s’agiter, quitte à faire la ronde avec un doigt dans la zone inter-fessiale, c’est déjà faire quelque chose.
Par ailleurs, en quête perpétuelle de justification pour compenser leurs acrobaties au niveau de la logique du raisonnement, ils se réfèrent constamment à de grandes figures injustement idolâtrées, pas non plus replacées dans leur contexte en matière de diversité ethnico-culturelle, tels Napoléon ou De Gaulle, véritables soufflés au fromage dont on retient le bel aspect à leur apogée, mais qui en s’atchoulant (comme on dirait ici) ont perdu, à eux deux, la quasi-totalité de nos territoires hors hexagone. 
Je peux comprendre, et c’est aussi mon cas, que par comparaison aux étrons qui lui ont succédé, utilisant à leur avantage la constitution pourrie (et sur mesure pour lui) qu’il nous a laissé, on puisse regretter De Gaulle, mais en dépit de quelques discours et d’actes symboliques visant à sauver l’illusion et l’image de la France plutôt que son âme (et surtout son image à lui) et de quelques réalisations plus imputables au CNR qu’à lui-même, il a semé toutes les graines et accepté toutes les compromissions qui ont permis la désagrégation de notre société toute entière. Il suffit de regarder le pédigrée, pour ne pas employer de « mots laids » (pour ceux qui comprennent) de certains de ses ministres, plaçant le fait d’opposer le Gaullisme et l’Union Européenne au même niveau de crédibilité que la petite souris des dents. 
D’ailleurs, vu le niveau sidéral et sidérant de foutage de gueule de tous ceux qui se sont réclamés du Gaullisme, à commencer par Chirac, champion intergalactique, on repense au fruit qui ne tombe pas loin de l’arbre, et équilibrer quelques autoportraits dithyrambiques avec quelques conférences de Ploncard d’Assac qui, à ma connaissance, est le seul à faire le boulot dans l’autre sens, permet de se faire, quelque part au milieu, une idée plus objective du personnage. En tous les cas, je me suis toujours méfié des Gaullistes béats, d’autant que, ces derniers temps, mon infâme Clio Diesel qui détruit la planète était copieusement recouverte de sable du Sahara radioactif et inconfinable, cadeau posthume de cet homme grand.
Le constat est que ce n’est pas seulement la France, mais toute une civilisation qui s’effondre et que, contrairement à l’empire Romain dont la chute s’est étalée sur plusieurs siècles, la nôtre se produit en quelques décennies. Si l’on compare l’évolution sur seulement un an, qu’on aurait tort de mettre sur le dos des amours postmodernes du pangolin et de la chauve-souris, on réalise à quel point la chose s’accélère au point qu’en 2022, il est peu probable qu’il reste quelque chose à sauver, surtout avec le liquidateur Macron aux commandes.
Pour sauver la France dans tout ça, c’est à dire la préserver de l’inertie considérable que provoque l’effondrement d’une civilisation tout entière dans laquelle elle est inextricablement imbriquée (et donc aller à contre-courant de l’histoire) il faudrait déployer une énergie absolument considérable qui ne peut se traduire que par des mesures drastiques et radicales incompatibles avec tout semblant de démocratie et inacceptables par tout individu (majoritaire chez nous) qui place la moraline avant la survie. Nous sommes dans un bateau qui coule tout en se dirigeant vers un Iceberg; donc il faut à la fois : changer de direction, écoper, boucher les trous et jeter du monde par-dessus bord pour faire remonter la ligne de flottaison. 
C’est un peu comme la gangrène, si on traite tout de suite, on s’en sort bien, mais plus on aura attendu, plus il faudra amputer des morceaux de plus en plus grands et, passé un certain stade, sans même la garantie que la survie soit au bout du sacrifice. La gangrène est malheureusement bien avancée chez nous et s’il est humain et compréhensible d’écouter ceux qui promettent une guérison miraculeuse sans sacrifices et sans se remettre en question, tous ceux qui regardent la réalité par la fenêtre plutôt que sur leur écran de télévision ou sur YouTube auront pris la mesure de la situation.
Sauf à ce qu’on nous cache des choses en matière d’énergie renouvelable ou illimitée qui pourraient changer la donne et rebattre les cartes, sans même évoquer le leurre provisoire consistant à faire un grand reset économique (en empochant l’épargne des gens et sans plus d’adéquation que par le passé avec les limitations d’un monde fini en matière de ressources) non seulement la civilisation va s’effondrer, mais contrairement au passé où elle était simplement remplacée par une autre, entre la vraie pollution (dont les quantités pharamineuses de produits toxiques enterrés dans des mines sous des nappes phréatiques) qu’on occulte derrière le foutage de gueule du C02, l’épuisement des gisements de phosphates sans lequel plus rien ne pousse, les mélanges de populations incompatibles, Fukushima toujours pas réglé et plein de centrales nucléaires réparées au chatterton par des sous-traitants sous-qualifiés un peu partout de par le Monde, il est difficilement imaginable, faute de matières premières et d’un monde vivable, qu’une nouvelle civilisation technologique, seule capable potentiellement de gérer les cadeaux empoisonnés qu’on lui aura laissés, émerge de nos cendres. 
Dans ces conditions, on comprend mieux pourquoi éliminer la partie de la population de la planète qui n’est pas indispensable est envisagé pour maintenir un haut niveau de civilisation avec le peu de ressources qui restent.
Au niveau de la France, le problème n’est pas qu’on manque de solutions, mais l’absence tant du droit de les énoncer que de la volonté de les appliquer.
Si le Monde est complexe, l’escroquerie consiste à nous faire croire qu’il est compliqué et que du coup les solutions les plus simples et les plus évidentes sont forcément simplistes, condition sine qua non pour pouvoir nous expliquer, avec dédain, que si on nous encule c’est pour notre bien, mais qu’on est juste trop cons pour le comprendre.
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