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dimanche 31 août 2025

BAYROU crache sur les BOOMERS. Est-ce qu’il a raison ? (Je vais encore fâcher du monde) (31/08/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/oczq1K6PUTw

Bonjour !

Quand on tape avec un marteau sur une boomeuse (qui l’était tout autant pour accueillir régulièrement chez elle des migrants vendeurs de cigarettes de contrebande) on arrive au bout de la connerie humaine et inévitablement, le « bout meurt » du fait qu’à l’inverse, le heurt ne fait pas boom, même sur un crâne pourtant ostensiblement creux, mais plutôt « crack » comme l’a sans doute découvert un migrant Marocain (qui en fumait peut-être) lorsqu’il a tenté l’expérience sonore, apportant sa modeste contribution à l’éradication de cette plaie semi-incontinente qui, selon le juvénile François Bayrou, est la cause de tous nos maux, à savoir le boomer. Si, au cas particulier, mon compassionomètre pour cette victime (tardive à 71 ans) de la sélection naturelle, même en changeant les piles, reste obstinément sur zéro, blâmer lesdits « boomers », concept particulièrement ambigu (supposé regrouper ceux, issus du baby-boom, qui ont bénéficié des 30 glorieuses) plutôt que les gouvernements successifs que, certes, ils ont élus, me semble, au cas particulier, « auricularotracté » plutôt que tiré par les cheveux, compte tenu de la surface utile de notre futur ex-Premier ministre.

Cela sous-entend, surtout avec ce type d’oreilles, que la démocratie « représentative » fonctionne et que ce seraient les seuls boomers, dont la proportion qui a profité et profite encore du système reste à déterminer, qui bien que disposant d’une offre politique proposant des choix meilleurs et étant loyalement informés, auraient sciemment, les salauds, fait les mauvais choix à long terme et qui encore aujourd’hui, en votant avec l’espoir que ça tienne jusqu’à la tombe, paralyseraient toute évolution démocratique.

Juste avant les boomers, il s’est quand même passé deux ou trois trucs, donc, si on veut vraiment remonter aux causes, il me semble que c’est Soral qui, un jour, a posé la question : « Si Hitler, qui combattait une certaine communauté, a perdu la guerre, qui au juste l’a gagnée ? ». Honnêtement, je ne vois pas, mais comme certains sites de mauvais aloi donnent quelques indices, évoquant de mystérieuses créatures ornées d’une coiffe bizarre qui se caractérisent par leur goût pour la couleur bleue, leur petite queue raccourcie qui frétille et leur tendance à écouter ce qu’un vénérable vieillard à barbe leur dit après avoir consulté un vieux grimoire, étant, moi-même, un amateur de bandes dessinées, je vais dire, au hasard : les Schtroumpfs.

En dehors de leur village où c’est la règle, les Schtroumpfs, par essence inassimilables et qui seront toujours des Schtroumpfs dans 2000 ans, sont farouchement opposés à toute forme de nationalisme sérieux… chez les autres. Un nationalisme dont le principe de base serait, à minima, d’exclure tout risque de double allégeance et de définir sa singularité en tant que peuple. Dans cet environnement, un Schtroumpf est un peu comme un morpion fluorescent sur les testicules gargaméliens d’une Première dame et ça ne finit généralement pas très bien pour lui.

Le général de Gaulle étant revenu de Londres en se grattant suffisamment le scrotum pour ne pas nécessiter de loupiote lors d’expéditions nocturnes aux toilettes, il va sans dire que (même si, tout système visant à sa propre préservation, nul n’a jamais attendu après quiconque pour éliminer la concurrence) toute option nationaliste sérieuse et, au-delà, toute offre politique non républicaine, a été bannie. Seule une candidature royaliste qui plus est non absolutiste, universaliste et antiraciste avec un discours pouvant faire tomber Asselineau pour plagiat (je vous mets le lien en description) a été tolérée sous la 5e république en 74 et 81 et ne serait même plus possible aujourd’hui avec les parrainages.

Dès lors, quoi qu’aient voté les boomers, sur la base de promesses jamais tenues de toute façon, ils avaient, au mieux, tout comme nous, le choix du parfum du lubrifiant « aqueux » dilatant, que ce soit avec la gauche mitterrandienne, parfum « SOS racisme » ou avec Giscard et autres Chirac, parfum « regroupement familial ». 

Ce choix cornélien entre le pareil et le même a toujours été cornaqué par une presse aux ordres, les médias actuels qui (comme on a pu le voir avec la fabrication anale d’huile d’olive première pression à froid quand Le Pen père a atteint le second tour) déjà, en 2002, fonctionnaient parfaitement à l’unisson, n’étant que le prolongement des différentes variantes de feu le ministère de l’information. Faute d’Internet (lequel, de par son avalanche de clous remplaçant l’autre, nous a transformés en poissons rouges) lesdits boomers, de surcroît conditionnés, dès l’enfance, par Fernand Nathan à avoir une confiance aveugle dans un système qui semblait fonctionner, d’où, encore aujourd’hui, un vote pavlovien majoritaire pour ce dernier qui, c’est vrai, bloquerait toute possibilité d’évolution démocratique si la chose était réellement une option, n’étaient informés de rien d’important. Un conditionnement à l’universalisme qui fait que, face à l’immigration de masse, certains sont, comme des dodos, à attendre de devenir éternels, à coup de marteau, avec le sourire, un panneau « welcome » dans les mains, tandis que leurs hémorroïdes, plus réalistes, prient fiévreusement pour que le manche soit dépourvu d’échardes. 

Il n’empêche que, quand on voit un Cohn-Bendit avec plus de retraites qu’un chien LGBT a de puces genderfluides qui, à 80 balais, vient d’obtenir un rond de serviette rémunéré à BFM, on peut comprendre un certain ressentiment. Il est même certain que, parmi ceux qui abusent, d’aucuns, parfaitement conscients de la situation, en jouissent au sens érotique et pervers du terme. Des enfoirés qui s’abritent derrière un bloc générationnel artificiel pour sortir l’argument, au demeurant exact, que beaucoup de retraités se débattent avec moins de 1000€ par mois et que donc eux, par capillarité, avec leurs retraites mirobolantes, gagnées à la sueur de notre front après des décennies de parasitisme délétère, ne seraient pas des privilégiés, un peu comme certains se cachent derrière l’antisémitisme pour justifier leurs exactions. 

Mais, outre le fait que les vrais riches ne sont jamais à la retraite et se débrouillent d’une autre façon, qu’entre les 30 milliards du fond Jospin, les fonds de réserve des mutuelles et les 24 milliards de la CADES on disposait, avant pillage gouvernemental, de plus de 175 milliards pour tenir jusqu’à ce que la vague boomer passe, que lesdites retraites pèsent moins que les 212 milliards versés sans contrepartie aux grandes entreprises ou les 107 milliards dilapidés en agences gouvernementales inutiles, si on veut vraiment se disputer sur la répartition des miettes, il faudrait être particulièrement naïf pour ne pas comprendre que, sauf peut-être, en Australie, le pognon que le « boomer rend » ne revient pas et que ce qu’ils ne toucheraient plus serait quand même capté par un système parasitaire dans la bourse de Nicolas, mais irait simplement ailleurs. 
 
Le système cherche juste une excuse pour, désormais, s’attaquer aux retraités, en commençant par les plus modestes, car sinon, comme l’état obèse et la finance sont hors-jeu, ne resterait que l’immigration. Le choix est donc vite fait pour qui connaît l’ordre des priorités étatiques et réalise que, tandis que l’on pille impunément les églises, on a fait venir la police scientifique pour l’arbre en mémoire de Ian Halimi scié et que c’est un segment d’ADN qui a permis d’identifier les coupables, deux jumeaux tunisiens, jugées, eux, en comparution immédiate, un peu comme cette squatteuse qui avait eu la mauvaise idée de s’installer chez un magistrat, expulsée et jugée en un temps record. Bref, les boomers, relégués en milieu de classement, a fortiori si quintuples vaccinés et avec en perspective la loi « fin de vie » (même si retardée en cas de bouleversement ministériel), sont juste une diversion provisoire.

On ne peut pas, par ailleurs, leur reprocher un égoïsme, parfois réel, si c’est simplement pour le remplacer par un autre. « Donne-moi, parce que c’est mon tour ! » ne marche que par la force. Sinon, en l’absence de préceptes moraux ou religieux supérieurs, on ne peut être légitime à réclamer que si c’est pour un intérêt supérieur réel, comme la continuité d’un peuple clairement défini qui donne un sens à la transmission. Comme cette identité a été détruite, il n’y a plus de solidarité, a fortiori avec un substrat d’enrichisseurs culturels, ni même d’intérêt pour le pays de sorte qu’en dépit des velléités guerrières de Macron, si demain le Lichtenstein décidait de nous envahir, il arriverait jusqu’à Paris sans rencontrer la moindre résistance.
 
Par ailleurs, les mêmes qui protestent, souvent éduqués dans le mythe de l’enfant roi, vivent dans l’illusion que quelque chose leur est dû, alors qu’il n’est qu’à voir comment les enfants sont traités, exploités et vendus, souvent par leurs propres parents, dans certaines parties du monde pour relativiser l’amour parental au-delà du lien purement animal qui, même dans la nature, disparaît une fois le jeune autonome et libère ses géniteurs de toute obligation contractuelle. Une nature qui n’a prévu ni le concept d’adolescent, ni celui d’adulescent, de joueur compulsif agoraphobe et encore moins celui de programmeur quadragénaire au chômage à cause de l’Intelligence Artificielle auxquels les boomers sont la première génération à avoir été confrontée, chose qui peut les condamner à la parentalité à perpète et à baigner dans un sentiment d’échec, jusqu’au moment où ils seront inévitablement placés en EHPAD. 
 
En l’absence d’une perspective pérenne de transmission de quelque chose, la tentation est alors grande de tomber dans le calcul avantages - inconvénients. Il ne faut pas oublier que, même dans le monde occidental, la propension aux familles nombreuses coïncidait avec la nécessité d’avoir davantage de bras pour les champs ou un espoir statistique d’assurance vieillesse, puis pour les parents desdits boomers eux-mêmes, avec le fait que les allocs permettaient enfin l’accès à certains biens de consommation, comme parfaitement illustré par le roman bien connu « les petits enfants du siècle ». Une fois ces besoins devenus obsolètes, la natalité a fortement chuté et c’est l’enfant lui-même qui est devenu un objet de marketing et de réponse conditionnée à une envie, comme le dernier iPhone devant l’écran duquel les fils et petits-fils desdits boomers l’élèvent.

Bref, les boomers ne sont ni meilleurs ni pires que les autres. Le fond du problème, la nature humaine étant ce qu’elle est, reste que sans le ciment de l’identité de groupe, la solidarité générationnelle a vocation à disparaître dans les deux sens et se battre pour autre chose que la retrouver revient à placer la charrue avant les bœufs.


dimanche 24 août 2025

Sandrine à la rescousse, tortures en direct et effondrement généralisé… (24/08/2025)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/8kaODqW7gNU

Bonjour !
 
Prenons la phrase : « Brigitte déchira malencontreusement sa robe, dévoilant deux énormes testicules et un ticket de banco qu’elle avait déjà grattés ». Dans ce cas, c’est la règle de l’accord du participe passé du verbe avoir avec le COD antéposé, c’est-à-dire la présence ou non d’un S à « grattés », qui seule permettra de déterminer si l’action de gratter concerne simplement le ticket, ou également les testicules, conséquence d’une présence éventuelle de morpions. Un mystère de plus, lui aussi en « suspens » comme lesdits testicules et susceptible de se retrouver, d’ici une semaine, dans la saison 2 de « devenir Brigitte » par Candace Owens si on laisse faire le Conseil Scientifique de l’Éducation Nationale. En effet, ce dernier, alarmé par la dégringolade de la France dans tous les classements internationaux, propose de supprimer ladite règle au prétexte que moins de 20% des élèves semblent en avoir vaguement entendu parler et qu’elle est responsable de la majorité des fautes en dictée. 

On peut certes blâmer, à raison, l’éducation nationale et l’apprentissage de l’alphabet dans le désordre en commençant par « LGBT », pour, après le CO2, traiter le COD comme de la merde a potentiel indice Cambronne élevé, mais quand je vois l’affaire Pormanove, torturé à mort sur « Blink » pour faire des vues et olfactivement tout aussi condamnable, je me dis qu’il y a quand même un retour aux jeux du cirque et une dégénérescence globale de la population, aggravée (et seulement aggravée) par ladite éducation et l’importation massive de QI fortement gravitationnels. 
 
Dans ces moments d’immense solitude, non suicidaire (j’insiste), une entité maléfique, tapie, telle une velléité de régime dans les tréfonds de l’inconscient de Gérard Larcher, en profite pour, sournoisement, me souffler, à mon corps défendant, que, de même qu’un antisémitisme raisonné aurait pu éviter un génocide à Gaza, qu’un racisme raisonné aurait pu éviter la submersion de nos contrées, une dose raisonnable d’eugénisme, basée sur l’accord du participe passé, aurait éliminé à la fois la victime, les coupables et surtout les spectateurs, dont des footballeurs connus, qui ont en masse financé ces streams immondes. Généralement, quand cela m’arrive, je regarde 3 fois « Shoah » de Claude Lanzmann tout en me flagellant avec un chat à neuf queues qui « divergent » (ce qui en fait une de plus) et que j’ai surnommé Brigitte (l’absence d’un E à « surnommé » indiquant que je parle du chat et non de la verge supplémentaire qui reste supputée à ce stade, d’où, une nouvelle fois, l’importance de l’accord avec le COD antéposé). 
 
Un nazisme, fût-il (à l’instar de notre agriculture éponyme moribonde) raisonné (de par l’avènement du micro-ondes) reste quand même du nazisme et youtubesquement censurable, donc : « No pasaran ! » et « siamo tutti antifascisti »… même si on aurait probablement de meilleures autoroutes et un système ferroviaire performant, avec, de temps en temps, à la télé, BHL, pour le fun, lequel se ferait entarter en direct à chaque fois qu’il dirait une connerie, parce que oui, la nature humaine a de mauvais instincts qui la poussent à se moquer des gens qui sont un peu différents, mais sauf à être diabétique, au moins, on ne meurt pas d’une tarte à la crème. 

Si vous avez regardé CNEWS, occupée à dénoncer H24, je ne sais quel sciage d’olivier, l’information a pu vous échapper, mais il paraît que l’ARCOM, une des 854 agences consultatives inutiles qui nous coûtent 107 milliards par an (en sus de McKinsey) était au courant des tortures et avait été destinataire de plusieurs signalements, mais que, déjà occupée à censurer des chaînes de télévision pour n’être pas d’extrême gauche, jonglant avec un budget propre de 47 misérables millions pour seulement 355 employés de rien du tout, avec la meilleure volonté du monde, elle n’a pas été en mesure de traiter à temps le dossier. Forte de cette logique énarchique imparable qui fait que nous sommes passés du rang de 4e à 11e puissance mondiale, elle en a profité pour réclamer plus de moyens.

Une qui n’est jamais censurée, en revanche, sauf par les paysans quand elle tente, en douce, d’acquérir une habitation dans le Finistère profond (qui, en son honneur, a failli se muer en anagramme tout aussi profonde du même mot) et ce, dans une zone dépourvue d’immigrés et seulement atteignable en véhicule non décarboné, c’est Sandrine Rousseau qui, comme avant elle, Mathilde Panot ou encore Louis Boyard, rejoint le mouvement de révolte général du 10 septembre… pour plus de migrants et d’éoliennes.

Il y a donc urgence à rebaptiser les gueux les « gueuxlois réfractaires » et à trouver un symbole qui agisse comme l’ail sur les vampires ; celui du gilet jaune, pour génial qu’il ait été en utilisant un objet rendu obligatoire, manquait, en effet, d’une signification profonde empêchant sa récupération.
Les Anglais semblent avoir appris la leçon et font flotter partout, ces derniers jours, des croix de Saint-Georges et des Union Jacks qu’il est impossible d’interdire, mais qui symbolisent à la fois leur identité et leur ras-le-bol face à une immigration de masse, conséquence du fait que, comme chez nous et en dépit d’un Brexit en forme de soufflé post flatulence, on les a dépossédés de leur pays, de leur droit de décider comment il est géré et de qui on autorise à y entrer.

Chez nous, le drapeau « bleu blanc rouge » n’étant pas celui de la France, mais de la république dont, selon ses propres dires, Mélenchon est l’incarnation suprême, ce ne serait pas forcément suffisant ; quant à la croix, avec seulement 2% de pratiquants réguliers du catholicisme, elle n’a plus vocation à mobiliser les foules, d’autant que, même si tout n’est pas à jeter, après avoir détourné à son profit notre énergie civilisationnelle pour bâtir des cathédrales ; comme elle l’a fait dans l’Empire romain avant nous, elle a contribué à notre castration collective, préparant, face à la simple application des lois de la nature, le terrain pour l’invasion par des peuplades dites « barbares » non contaminées par son universalisme et son désir d’autodestruction masochiste ; autodestruction nécessaire, pure coïncidence congruente, à l’arrivée du messie de sa religion mère.

À ce stade, je ne vois rien de mieux, comme symbole, difficilement reniable, que le fameux coq gaulois, trop national pour l’extrême gauche, trop viril pour les féministes, trop carné pour les végans, trop matinal pour les zadistes et trop odorant pour les écolos.
Un peu comme ceci : 
Je vous mets le lien dans la description, sachant que, même si, de temps à autre, je peux faire 400 000 vues (comme avec ma petite chanson sur le couple présidentiel dont je vous mets également le lien et que je vous encourage à partager pour vraiment en faire le tube de l’été), globalement, je n’ai pas assez d’audience régulière pour faire remonter ce genre de concept et que c’est donc à vous qu’il incombe de faire de ce logo une réalité ou d’en trouver un meilleur, sans quoi tout mouvement sérieux qui vise les causes et non les conséquences, sera immanquablement récupéré par les mêmes et dirigé dans une impasse.


 

dimanche 17 août 2025

10 septembre, les poules de Yaël, ChatGPT 5 etc. (17/08/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/u7dXnkWIAUk

Bonjour !

Celle que de mauvaises langues, à la buvette de l’Assemblée, surnomment « Yaël Braun Poivrot », bien que dotée d’une bonne descente, apprécie également les côtes, du Rhône, notamment, moins pentues que le Calvados avec ses 40° qu’elle a pourtant décidé de parcourir à vélo… à assistance électrique. Des ascensions motorisées qui, si sabbatines, contrairement à l’éradication d’infâmes nourrissons terroristes, auraient de quoi rendre perplexes certains traumatisés des boutons d’ascenseur de la même obédience.
 
Durant son absence, si l’on en croit un canard enchaîné à la solidarité aviaire « volatile », du haut de son perchoir, elle aurait confié ses poules à des poulets, lesquels, outre sa protection, se sont vus chargés de veiller également à ce que, contrairement à elle, il ne manque aucun grain à ses volailles. Si, en tant qu’ami des animaux, cela me fait chaud au cœur de savoir que des gallinacées qu’on imagine capables de pondre des œufs casher (ce qui, après celles aux œufs d’or, les place probablement en second sur l’échelle de l’évolution volaillère) sont surveillées à nos frais par les agents d’élite de la CRS1, sa réputation, suite à ce coup de bec du canard, prend un coup dans l’aile et elle pourrait y laisser des plumes. D’autant qu’en période pré insurrectionnelle, c’est le genre de petite étincelle qui, même « éméchée », pourrait mettre le feu aux fameuses poudres (si pas déjà sniffées par d’autres).

Une insurrection dont on a déjà décidé de la date pour nous, avec, en tête de cortège, la gauche antiraciste écolo syndicaliste qui, à l’instar des milliardaires qui la financent à parts égales avec nos impôts, réclame, en notre nom, plus d’immigration et d’éoliennes et moins de nazis, faisant semblant d’exiger, vestige de feu la lutte des classes, que ce soient lesdits milliardaires qui payent. Preuve de sa sincérité, elle le demande gentiment en défilant d’un point A à un point G, car, tant qu’à y être, autant se faire plaisir.
 
Une balade apéritive entrecoupée de pauses merguez, le temps que des antifas chargés d’expurger des manifestations tout drapeau tricolore, toute revendication identitaire et tout risque de convergence organique des luttes qui comptent, heurtent, par leur comportement abribusophobe, la sensibilité télévisuelle de Madame Michu, donnant un prétexte au gouvernement pour sonner la fin de la récréation. Un scénario rodé comme l’extrémité du circuit digestif de Gabriel Attal sur un vélo sans selle pendant Paris-Roubaix.

L’état ne produisant rien sinon des contraintes, une fois déduits ses frais de dysfonctionnement, et après qu’il a déshabillé Pierre pour habiller Crésus (pour ne point sembler antisémite) et Boubakar (pour ne pas paraître maghrebophobe) sous prétexte, respectivement, de remboursement de la dette et d’achat de la paix sociale, revendiquer la répartition équitable des restes de cet énorme morpion purulent relève de la coprophagie diarrhéique. Et même cela nous est refusé, le gouvernement étant constitué d’acteurs fantoches (qui n’ont d’autre pouvoir que celui de nous museler et de nous conseiller de rester hydratés) et autres représentants putatifs (telle Rachida Dati, loin d’être chauve) choisis pour leur indifférence totale au sort de leurs concitoyens et auxquels il a été permis d’usurper des postes lucratifs pour lesquels ils n’ont aucune qualification tant qu’ils acceptent de déconstiper la population tout en rognant sur les dépenses en vaseline. 
 
Tout autre objectif que de les chasser du pouvoir, chose impossible par les urnes (sauf à voir, au microscope électronique, une différence de consistance étroniforme entre un Macron et un Retailleau) et qui ne serait qu’un premier pas vers une totale remise en cause d’un système à bout de souffle, relève de la plaisanterie. Malheureusement, cela demanderait une abnégation jusqu’au-boutiste qui fait défaut au consommateur isolé, centré sur son nombril et coupé de ses racines qu’est devenu le Français moyen. Si nous sommes capables de bouffées colériques (hors grandes vacances et ponts, durant les horaires de bureau) difficile de tenir la distance alors que ces parasites (pour lesquels la crise n’existe pas), même en cas de grève générale (sauf, peut-être Gérard Larcher) ont de quoi voir venir, le temps que les gueux après avoir mangé les toiles d’araignées dans leur frigo, lâchent l’affaire en échange de quelques miettes.
 
Le point de référence du niveau de tolérance humaine à l’exploitation, atteignable par le principe de la grenouille, se situant au niveau du Burundi, il reste donc encore de la marge, à condition de surveiller le thermostat. Bloquer l’économie, qu’ils s’ingénient déjà à détruire, pour autant que ce soit faisable par la désobéissance civile des gens qui n’ont pas Netflix, tant que cela ne désorganise pas le cordon sécuritaire qui les protège, ne les dérange pas non plus outre mesure, pour les mêmes raisons. De surcroît, dans un système moribond, les sponsors de Macron n’ayant pas d’article suffisamment incubé dans leur boîte à clones qui leur serait moins défavorable (sinon il ne serait déjà plus en place), ils sont prêts, eux aussi, à essuyer, au tampon hygiénique, quelques pertes momentanées, a fortiori des « pertes blanches ».

Certains attendent qu’un changement de paradigme international d’essence divine à faible indice d’octane vienne changer la donne : telle la dislocation de l’UE en corrélation ou non avec l’effondrement du front ukrainien qui explique, au passage, l’absence prévisible d’accord entre Poutine et Trump cette semaine. Un changement qui nous serait servi sur un plateau, sans avoir à se remettre en question et sur lequel nous n’aurions aucun contrôle… Cela ne pourrait que bien se passer.

Quant à l’IA, comme le laissent subodorer, ces derniers jours, les secousses autour du lancement de la nouvelle mouture du chat pétomane, les investisseurs vont finir par réaliser qu’un modèle économique qui demande toujours plus d’énergie et de puissance de calcul, non seulement pour progresser, mais simplement pour fonctionner n’est pas rentable à un prix acceptable par une population qui n’en a pas vraiment besoin et dispose déjà de modèles open source gratuits performants. Avec, en outre, une concurrence tirant les prix vers le bas, en dépit de dépenses en hausse, afin d’augmenter le nombre d’utilisateurs (ce qui creuse encore le déficit) dans l’espoir d’attirer des investisseurs, ils ne reverront jamais la couleur des milliers de milliards qu’ils ont cramés dedans. La pyramide de Ponzi risque alors de s’écrouler avant que l’AGI ne soit mûre pour gérer le cheptel humain de façon pragmatique et écoresponsable, plongeant dans le désarroi toutes les entreprises dépendantes de services fournis par des sociétés privées qui, du jour au lendemain, pourraient ne plus exister ou ne plus les proposer, décuplant encore le séisme boursier.

Donc, sauf à attendre que le système s’effondre tout seul et nous avec, il n’y a que deux options dont la seule perspective met le gouvernement en panique.

La première est, historiquement, le putsch militaire, hautement improbable et pas souhaitable compte tenu du vide idéologique sidéral teinté de maçonnerie universaliste et de nostalgie gaulliste d’une grande muette qui, si elle parlait, aurait une voix suspicieusement aiguë, les chefs d’état-major des armées se succédant allègrement dès qu’un nouvel exemplaire plus servile que le précédent est détecté ce qui, pour Thierry Burkhard, après son flot d’inepties sur la menace russe, relevait pourtant de l’exploit.

La seconde est le tsunami humain (on parle de millions de personnes) qui, en dépit de contingences logistiques défavorables, arrive jusqu’à l’Élysée et repart, comme dans les corridas, avec les oreilles et la queue, au moins celles d’Emmanuel (pour Brigitte le débat reste ouvert). La cohérence organique des autochtones auxquels on a dérobé leur pays et qui seuls pourraient avoir la force de frappe pour se le réapproprier ayant été brisée par des divisions sur des aspects secondaires, à savoir l’antiracisme et la peur des heures sombres, et leur détermination à coup d’éborgnages et d’amputations, en l’état, sauf explosion spontanée généralisée d’une extrême violence, on ne peut espérer qu’une vaguelette qui ne recouvrirait pas totalement un Rocco Siffredi allongé sur le dos, voire un Darmanin devant une Sydney Sweeney en jeans antisémites.

En théorie, et je dis ça uniquement pour être exhaustif dans l’analyse, il serait possible d’augmenter la volatilité ambiante en accélérant la chute, à ce stade inéluctable, du pays, par des sabotages individuels de basse intensité, non coordonnés et non revendiqués. L’idée étant de rendre la situation intenable (éventuellement exacerbée par une instrumentalisation intelligente du conflit larvé entre les deux principales minorités ethnoreligieuses inassimilables de l’hexagone, intouchables par le gouvernement sous peine d’implosion) de sorte que, faute d’autre coupable visible à condamner (« c’est les Russes » commençant à être éventé) la colère populaire n’ait plus qu’une direction vers laquelle se tourner : la verticale. 
 
Je n’ai rien inventé et il existe un petit bouquin édité par l’OSS, l’ancêtre de la CIA, rempli d’astuces de sabotages individuels au quotidien visant l’Allemagne nazie à l’époque. Je ne rentre pas dans les détails, car ce n’est pas une option que je préconise et que j’aimerais, autant que faire se peut, ne pas être réveillé à 6 heures du matin. En outre, si, intellectuellement, je peux concevoir le principe du « un mal, pour un bien », je me vois mal en train d’encore aggraver la situation de gens qui déjà se débattent pour nourrir leur famille et je n’ai pas pour habitude de pisser dans la piscine dans laquelle je nage.
 
 La chose serait d’autant plus hasardeuse qu’aucune relève idéologique ne semble poindre à l’horizon pour servir de support à une reconstruction pérenne. Même si c’était le cas, l’escroquerie du PIB, de la croissance et de la dette, qui, nourrie à l’universalisme, ne disparaîtra pas du jour au lendemain, tant qu’elle ne sera pas remise en cause, tel un kyste pilonidal dans la vie sexuelle du couple élyséen, perturbera immanquablement la mise en place de toute alternative. C’est donc, peut-être, par s’interroger là-dessus qu’il faudrait commencer, et on retombe alors, immanquablement, sur la question de l’identité des peuples dont la préservation et l’héritage sont le seul argument prioritaire recevable qu’on puisse opposer au culte du pouvoir d’achat.


dimanche 10 août 2025

Je vais encore fâcher du monde… (10/08/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/SXu3aEMNKf4

Bonjour !

Si son but était d’éviter l’invasion de la France, le soldat inconnu et mort, visiblement pour rien, terminant souillé par un Hakim pas très intelligent, même si, Yasmine de rien, un « sot Ahmed » eût été bien pire, surtout coléreux, lorsqu’il prend la mouche éponyme. Dans tous les cas, si quelqu’un défèque quotidiennement sur sa mémoire en important massivement de l’Ahmed…ou de l’Hakim, c’est bien le gouvernement. Je trouve donc un peu gonflé que les mêmes en… (suivis de 3 petits points) qui détruisent le pays fassent mine de s’insurger, bien calés dans leur « maroquin », lorsqu’un homonyme multicondamné (ce qui ne l’a pas empêché de prendre encore du sursis et de ne payer qu’un euro symbolique) en y allumant nonchalamment une cigarette, démontre que la flamme éternelle, alimentée au prix fort, grâce aux talents de négociatrice de Von der Leyen, au gaz de schiste américain, n’est plus que du Folklore destiné à masquer la triste réalité. 

Un peu comme la tour Eiffel rouillée, sous laquelle, selon une affiche de la préfecture de Police (et ce probablement dans l’intention louable de ne point stigmatiser à tort une méritante équipe de foot, invisible la nuit sans catadioptres) un immonde caucasien bien blanc essaie de refourguer des reproductions en porte-clés de l’édifice à un innocent touriste arabe.

Insensibles à toute cette harmonie ethnoculturelle, les pays asiatiques, eux, s’obstinent à qualifier de « French Arabics », les touristes ne correspondant pas à l’image éculée et raciste qu’ils se font de nous, touristes qui tentent pourtant de les initier aux joies des rodéos urbains et à la galanterie 2.0, comme ces 7 individus condamnés à 18 ans de prison en Thaïlande pour avoir séquestré une jeune fille du cru réfractaire à l’enrichissement culturel. 18 ans qu’ils vont passer, sans matelas, à même le sol, à se faire (modérément) élargir la rondelle par des codétenus vindicatifs. 
 
Une méthode qui peut sembler archaïque, une fois qu’on a goûté à l’efficacité de la justice pédagogique hexagonale ponctuée de stages de surf thérapeutiques à la plage, annulés, au dernier moment, par un Darmanin penaud tandis que, pour équilibrer ce rétropédalage, le Conseil constitutionnel vient de bloquer l’allongement de la rétention des étrangers condamnés pour meurtre, viol ou trafic de drogue. Il est vrai que la probabilité pour que Ferrand ou son panel de porteurs de couches urinaires se fasse violer ou assassiner par un de ces individus relâchés ne dépasse pas celle de voir Mélenchon en érection devant une Norvégienne aux yeux bleus, mais si cela arrivait, je m’engage à aller brûler un cierge à Lourdes.

Histoire de renforcer cette image de pays de Cocagne, que pour des raisons mystérieuses, les touristes semblent éviter de plus en plus, tandis que ceux qui le peuvent encore, plutôt que de se faire arracher leur téléphone sur leur lieu de résidence partent se le faire piquer au bord de la mer en priant pour qu’on ne les cambriole pas dans l’intervalle et que ceux qui en ont profité pour louer leur bien se retrouvent sans domicile à leur retour du fait de la présence de squatters indélogeables pour avoir obtenu les clés légalement, au premier août, la TVA sur les abonnements au gaz et à l’électricité est discrètement passée de 5,5% à 20%, les intérêts du livret A ont chuté de 2,4 à 1,7%, ceux du LEP de 3,5 à 2,7% et les réfractaires au compteur Linky, dont je suis, se voient taxés à hauteur de 38€ par an… pour commencer. Liste non exhaustive qui va s’allonger suivant la courbe exponentielle inversée de notre déclassement économique.

Heureusement, à défaut de Zorro, les « souverainistes » sont prêts à se battre… entre eux pour commencer. 

Je sais que je vais énerver du monde, mais à force d’entretenir l’illusion (qui plus est dans une période charnière) de la possibilité d’un changement vaseliné par les urnes, ils commencent à me fatiguer, d’autant que certains sont trop intelligents pour qu’on puisse les suspecter de naïveté. Pour rappel, un tiers de l’électorat, en croissance exponentielle, est aussi intéressé par le devenir de la France que Mathilde Panot par un abonnement à fitness magazine. Quand il vote, il vote à gauche par défaut en attendant d’atteindre la masse critique nécessaire à l’émergence d’une offre communautaire sérieuse, après quoi Mélenchon et consorts seront invités à tester leur aérodynamisme depuis le troisième étage. 
 
Un autre tiers profite du système et votera toujours pour le statu quo ou, au pire, à force de se faire déconstiper, lui aussi, par un Macron contraint notamment de s’attaquer aux retraités, faute de pouvoir toucher au premier tiers plus « émeutif » qu’émotif, se reportera sur un succédané, tel un Retailleau à grande bouche et peu d’effets. De son côté, le Renoncement National, trop gros pour permettre l’éclosion d’une alternative, bien que sans aucune colonne vertébrale idéologique, entre deux gâteries à Netanyahou, coagule stérilement les mécontentements. 
 
Même si, malgré tout, l’intuition collective générale d’un inconfort localisé, pas forcément hémorroïdaire, est bien présente, une proportion croissante de la population, passée par une éducation nationale que le monde nous envie, en plafonnant à 300 mots de vocabulaire, même quand elle lève le nez des vidéos sur TikTok, est moyennement réceptive à des analyses complexes. En outre, les médias sont totalement inféodés au système, les réseaux sociaux sont en passe d’être verrouillés et, comme si cela ne suffisait pas, les élections peuvent être truquées si nécessaire. 

En dehors du Frexit qui n’est qu’un acte administratif, les mouvements souverainistes qui ont les mêmes abonnés sur les réseaux, ce qui leur fait croire, à tort, qu’ils sont nombreux et que leurs vues, qui ne sont pas des votes, se cumuleraient, en dehors de certaines analyses souvent intéressantes, ne proposent aucune idée vraiment radicale (quête de la martingale électorale oblige) et sont tous républicains, raisons pour laquelle, même s’ils sont parfois invisibilisés, ils restent autorisés.

Sachant que, pour obtenir 10, il faut demander 100, imaginons qu’un parti d’ultra extrême droite hyperbolique qui se sentirait pousser entre les jambes les mêmes protubérances que notre Première dame en maillot de bain, se mette à exiger, par exemple (ce qui, en tant qu’ardent défenseur des doigts de l’homme en tout endroit que la décence autorise, ne pourrait que heurter ma sensibilité) que toute personne en situation irrégulière, quel que soit son âge, soit abattue sur place et que les bateaux de migrants soient coulés par la marine nationale. La fenêtre d'Overton se déplacerait alors d’un coup, générant un courant d’air dangereux pour l’homme déconstruit de Sandrine Rousseau (si la colle n’est pas sèche), des mesures comme la suppression des aides, voire la remigration, sembleraient subitement modérées ou raisonnables, l’atmosphère changerait et certains qui se sentent un peu trop à l’aise commenceraient à flairer que le vent tourne. 
 
Le but n’est pas, alors, de gagner des élections avec de l’eau tiède en aidant le système (« zut, encore manqué ! ») à faire patienter les moutons jusqu’à la prochaine échéance, mais bien d’infuser des idées, de faire reculer les lignes et d’augmenter la pression en faisant confiance au fait que la cocotte-minute finira par exploser toute seule de façon d’autant plus incontrôlable que ladite explosion sera violente, d’où l’opération d’astroturfing autour du 10 septembre afin de la faire exploser prématurément de sorte à limiter la casse. Bien sûr, tout mouvement qui proposerait cela serait immédiatement interdit, ce qui suffit à démontrer que tous les partis autorisés font partie dudit système, qu’ils en aient conscience ou non.
 
 
Je suis tombé par hasard sur une vidéo avec Jacques Sapir et l’inénarrable Pierre-Yves Rougeyron, soit le PYR et le Sapir, ce dernier expliquant candidement que ceux qui avaient une conception ethnique du souverainisme se fourvoyaient, car c’était culturel. Il suffirait donc d’apprendre la Marseillaise à 30 millions de Congomoches et de leur faire lire du Victor Hugo et, comme potentiellement 8 milliards d’individus, bienvenus en France. Pour justifier l’absurdité de son raisonnement, partagé (coïncidence) par certains prépuçophobes ne souhaitant pas subir ailleurs ce qu’ils font subir chez eux aux Palestiniens et déniant, dès lors, aux nationaux des autres pays tout droit à la moindre revendication ethnique (pourtant à la base de leur propre état) il pousse la mauvaise foi, sans être contredit, jusqu’au sophisme éculé selon lequel, le fait qu’il a pu exister de « grands Français pas vraiment Gaulois » implique que tous les non « Gaulois » pourraient devenir Français. En gros, si demain on découvrait un seul crocodile végétarien testé sur Gérard Larcher, il n’y aurait plus de raison de ne pas héberger un futur sac à main dans chaque baignoire de l’hexagone. 
 
En outre, si les « crocodiles », ce ne sont pas les seuls, comme on peut le constater avec la mexicanisation accélérée du pays, illustrée par les règlements de comptes entre narcotrafiquants qui viennent s’ajouter à l’enrichissement culturel qui égaye jusqu’à nos campagnes les plus reculées où, nouveau saut qualitatif, on peut désormais tomber sur des corps égorgés et éviscérés en faisant son footing. Il est d’ailleurs à noter, pour l’anecdote, que le Mexique, lui-même, a mis en garde ses ressortissants qui se rendraient en France en raison de sa dangerosité.

Par ailleurs, le récent suicide de Medhi Saucisson, Maghrébin pourtant « non musulman » célèbre pour bouffer du saucisson en ligne, concept inadmissible pour de nombreux autres Maghrébins qui l’ont harcelé jusqu’à la mort, prouve bien que c’est la conception ethnique qui est prédominante, partout.
Le PYR et le Sapir ont ensuite déifié un Farage, artisan d’un Brexit qui n’a absolument rien changé, au contraire ; antiraciste de compétition qui pense que le problème c’est juste l’immigration illégale et dont le numéro 2 revendique une forte élasticité anale, ce qui, en soi n’est pas un problème, mais qui, pour de mystérieuses raisons et à différents degrés, semble une constante souverainiste, de Paul-Marie Couteaux, également cité, à Florian Philippot, Asselineau ayant juste, selon ses dires, des pulsions et Dupont-Aignant de simples envolées épistolaires. On se demande, la nature humaine étant ce qu’elle est, d’où peut bien venir le déficit chronique en charisme des dirigeants. Franchement, je ne vois pas.

Bref, même s’ils arrivaient, d’ici à la Saint-Glinglin, à se mettre d’accord en formant une farandole à la Reiser en convainquant, ce qui n’est pas gagné, Kuzmanovic de jouer le rôle du sympathisant (pour ceux qui ont la référence), on n’est pas sortis de l’auberge. Le fond du problème restant qu’à l’exception du viagra, le progrès ramollit, pousse au moindre effort, à la jouissance et à l’individualisme, personne ne bougeant tant que SON frigo est plein, la fracturation ethnique de la société amplifiant encore la dégénérescence du collectif. Par ailleurs, l’obsession du PIB, concept foireux inventé (re-coïncidence) par un membre éminent du peuple élu et selon lequel toute dépense interne, incluant la drogue, la prostitution, ou les changements de sexe, contribuerait à l’enrichissement du pays, fait que, contrairement aux idées reçues, même la Russie, subjuguée par les mêmes sirènes économiques, est en voie d’envahissement rapide et que la Hongrie et consorts, derrière de jolis discours, sont en train d’importer massivement et en douce de la main-d’œuvre étrangère non caucasienne.

Dès lors, même si ce n’est, bien sûr, pas le seul problème, tout mouvement qui ne met pas en avant le fait que, sans un minimum de cohérence ethnique pour assurer une continuité, il n’y a pas de sentiment national possible et plus rien d’exaltant pour quoi se battre, sera, toujours, pour moi, éminemment suspect.

 

dimanche 3 août 2025

Toute ressemblance avec une immigration de masse existant ou ayant existé…. (03/08/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/wak1WDaron8


 Reprise IA de ma chanson d'il y a 7 ans :

En Lapinie y a des lapins
Qui font plein de petits lapins
Des lapins y en a tellement plein
Qu'ils débordent dans mon jardin
Ce serait bien que les lapins
Fassent moins de petits lapins
On leur dit, ils comprennent rien
Car les lapins c'est pas malin.

1 lapin c'est bien, 10 lapins c'est rien,
100 c'est anodin, 1000 c'est bénin,
10 000 j'en sais rien, 100 000 c'est moyen
1 million ça craint, plus y a plus moyen

Maintenant qu'ils sont dans mon jardin,
Ils font d'autres petits lapins
Mes salades ils les aiment bien
Et dans mon jardin y a plus rien
Y a plein de crottes sur mon chemin
Partout, partout y a des lapins
Et si par malheur je me plains
Des gens me disent que c'est pas bien

1 lapin c'est bien, 10 lapins c'est rien,
100 c'est anodin, 1000 c'est bénin,
10 000 j'en sais rien, 100 000 c'est moyen
1 million ça craint, plus y a plus moyen

Sont pas tous gentils ces lapins
Ils me réveillent le matin
Quand ils prient le dieu des lapins
Au beau milieu de mon jardin
Les lapins je les aimais bien
J'avais l'âme d'un végétarien
Mais vu que tout ça me dépasse
Vivement l'ouverture de la chasse

1 lapin c'est bien, 10 lapins c'est rien,
100 c'est anodin, 1000 c'est bénin,
10 000 j'en sais rien, 100 000 c'est moyen
1 million ça craint, plus y a plus moyen
En Lapinie y a des lapins…