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dimanche 16 novembre 2025

Ça va être un CATACLYSME. Pendant ce temps, les députés : tous « députent » (16/11/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/t0Pi_R2iTOY

Bonjour !

Sarkozy est sorti d’un coup, comme quoi les yaourts au Bifidus ça favorise vraiment l’évacuation des selles. Les « selles » et ceux, en revanche, supposés voter un budget de merde pour 2026, manquent visiblement de fibres patriotiques et le transit procédural est en voie de constipation. Le vote de la partie « recettes » qui s’est mué en véritable concours Lépine (rien à voir avec Brigitte) de l’invention de taxes et qui devait avoir lieu ce lundi est, en effet (non laxatif), de nouveau retardé. « Mieux vaut têtard que jamais ! » aurait pu dire la grenouille verte géante, certes sans appendices de Première dame ou autre hommage déguisé aux poilus de 14, mais exposée en position levrette, l’anus optimisé pour Bruno Le Maire, sur la place Vendôme (qui avait déjà accueilli un plug anal lui aussi en vert et contre tout) et enlevée dès le début de la discussion parlementaire dudit budget, comme un passage de flambeau. 
 
Toujours est-il que l’idée d’un député de la même couleur de supprimer le désormais polémique alcool servi gratuitement (sur les frais de « fonctionnement ») à la buvette de l’assemblée, pour peu qu’on adopte le régime carcéral de Sarkozy en le remplaçant par du yaourt liquide, pourrait peut-être fluidifier les choses. On pourrait même proposer du yaourt salé sauf si ceux qui le « Boualem Sansal », lui aussi libéré. Dans tous les cas la probabilité d’un budget en équilibre avoisine celle d’une grève de la faim de Gérard Larcher, même si farouchement opposé à ce que l’on touche aux buvettes parlementaires.

On a déjà eu un avant-goût avec, en parallèle, le vote du budget de la sécurité sociale en déficit de 26 milliards ce qui, en pièces de 1 euro, représente un tas de 11.159 km de haut, mais ne semble choquer personne. Il est évident que l’examen des problématiques par le petit bout de la lorgnette en perdant la vue d’ensemble et qui fait que l’on se chamaille à propos du diamètre des joints pour colmater les fuites de robinets dans les lavabos des toilettes sur un Titanic qui coule, n’est pas la meilleure approche. Aujourd’hui Vanessa Paradis chanterait « Joe le taxé », mais pas question de faire du Milei sur les gaspillages, avec les diverses échéances électorales qui s’approchent, d’autant que les médias font déjà des projections de scores pour les présidentielles. 
 
Le pompon revient à France Info qui a publié un graphique avec des rectangles ne correspondant pas aux pourcentages affichés, François Hollande et Xavier Bertrand étant mieux dotés que les autres. Même si ce n’est pas, paraît-il, la taille qui compte, ils se sont quand même excusés en publiant un nouveau graphique à la bonne échelle… mais ils ont trop poussé le souci de réalisme en circoncisant le rectangle d’Éric Zemmour. Pour ma part, je trouve que c’est quand même un peu antisémite d’autant qu’il est représenté en noir comme s’il était calciné, autre façon d’expliquer le tassement. 
 
Tout cela n’est bien sûr qu’une manœuvre pour nous focaliser sur les présidentielles et nous faire attendre patiemment la prochaine escroquerie démocratique alors qu’il reste encore plus d’un an et demi de Macronie devant nous. En tous les cas, France Info s’en sort mieux que la BBC, tout aussi pourrie, qui, pour avoir sciemment saucissonné un discours de Trump afin de lui faire dire qu’il encourageait ses partisans, en 2021, à prendre d’assaut le Capitole, se voit exiger non seulement des excuses publiques, mais 5 milliards de dollars de dommages et intérêts. Comme dirait Léa Salamé profond, dont la seule présence fait perdre 500 000 téléspectateurs au journal de 20 Heures, spectateurs qui reviennent dès qu’on met un stagiaire à sa place et repartent dès qu’elle rentre de vacances : « Alors, la BBC, comment ça va ? »

Il convient cependant de relativiser tout ce cirque politico-médiatique, car nous risquons d’être balayés comme des fœtus de paille dans une clinique d’avortement pour épouvantails par le tsunami consécutif à l’explosion de la bulle IA et ce bien avant que Macron ait le temps de nous achever. Pour bien comprendre ce qui se passe, il faut savoir que l’IA nécessite des quantités astronomiques d’énergie et de puissance de calcul pour deux choses distinctes : l’entraînement et l’inférence (terme qui désigne en gros la réponse aux requêtes des utilisateurs une fois le modèle entraîné, parce que dire « l’utilisation » aurait été trop simple).
 
La première partie coûte des centaines de milliards, mais une fois achevée, le modèle produit tient sur un disque dur et si ce disque est distribué gratuitement, lesdits milliards passent par pertes et profit. C’est la raison pour laquelle la Chine produit, elle, toutes ses IA en open source afin de torpiller le modèle économique des compagnies privées américaines, les contraignant à produire des modèles toujours plus puissants, toujours plus vite pour rester en tête de course, ce qui suppose des investissements exponentiels. Il faut bien comprendre que le matériel se périme vite et que se pose le problème de l’alimentation électrique sachant qu’il faut construire littéralement autant de centrales nucléaires que de datacenters, ce que les USA sont en incapacité de faire. 
 
Les Chinois, eux, non seulement n’ont pas ce problème, mais comme on l’a vu depuis deepseek (qu’on pourrait traduire par « cherche profond », façon fistinière, ce qui n’est certainement pas un hasard) ils ont développé des astuces d’optimisation logicielles faisant que le coût d’apprentissage de leurs modèles est des dizaines de fois moins élevé que pour les Américains. Par ailleurs, l’open source permet à toutes leurs compagnies de partager leurs informations et de mutualiser certaines dépenses au lieu d’être en concurrence, le tout coordonné par l’état central dans une forme d’économie nationaliste dirigée, mais pas bridée (ce qui pour des Chinois demande un effort). 
 
Un modèle qui a fait ses preuves dans une certaine Allemagne d’un point de vue économique, mais qui a été jeté avec l’eau du bain et le petit moustachu à frange au profit d’un capitalisme en roue libre qui finit toujours par acheter l’état dans une optique de maximisation des profits à court terme. L’open source et le partage, une fois orientés par un état fort, dans le cadre d’une politique nationaliste à long terme, démultiplient les avancées techniques, l’IA n’étant dès lors qu’un instrument destiné à améliorer l’outil de production (encore faut-il en avoir un) et, contrairement à la voie empruntée par les Américains, n’a donc pas besoin de chercher une rentabilité spécifique puisqu’elle est rentabilisée automatiquement par les gains en productivité.

C’est Trump tout seul qui a provoqué la situation en interdisant la vente à la Chine des meilleurs GPUs américains, perdant une occasion de la rendre dépendante à son écosystème et la poussant pratiquement à développer le sien. Désormais, c’est l’inverse et c’est la Chine qui a interdit l’utilisation des processeurs graphiques et des puces made in USA, ce qui va avoir d’énormes répercussions financières. Bref la méthode Trump typique de la conquête de l’Ouest, consistant à envoyer la cavalerie et à tout écraser par la force aurait encore pu fonctionner durant son premier mandat, mais, même si la Chine y a probablement laissé plus de plumes que ce qu’elle veut bien admettre, entre temps la multipolarisation s’est trop renforcée et le dollar a trop perdu de sa superbe pour que la stratégie soit payante et le palmipède orange se retrouve le dindon de la farce traité, sans prendre de baguettes, comme un « connard laqué ».

Il ne peut toutefois pas revenir en arrière, sauf à concéder sa défaite, d’autant que l’économie américaine s’est déjà effondrée, la plupart des chaînes connues de Fast-food sont au bord du dépôt de bilan et ferment leurs établissements par centaines tandis que ledit Trump, après la suggestion de crédits immobiliers sur 50 ans, parle de distribuer 2000 dollars de monnaie hélicoptère à chaque Américain pour atténuer un peu le mécontentement qui gronde. Seule la bulle IA permet de masquer la situation et de donner une illusion artificielle de croissance.

Coincés dans une stratégie sans issue, les géants du secteur américain de l’IA ont des revenus (à ne pas confondre avec des bénéfices) sans commune mesure avec leurs investissements gigantesques et encore moins avec leur cotation en bourse. Investissements par ailleurs non pérennes puisque contrairement à une sorbetière qui pourra continuer à produire si on n’investit plus, sans investissement exponentiel l’IA, elle, se casse la figure, les datacenters d’hier ne pouvant pas accueillir les IA de demain. Pire, les compagnies ont monté un système d’économie circulaire qui tourne à vide en s’achetant mutuellement du matériel et des services sans commune mesure avec les besoins faisant, par exemple, que Microsoft croule sous les GPU nvidia qui prennent la poussière faute d’apport électrique suffisant pour les faire fonctionner.

La seule chose qui pourrait théoriquement rapporter est l’inférence, sachant que pour héberger, sur son propre ordinateur, un modèle avec le même temps de réponse que ce que proposent les fournisseurs en ligne (notamment pour générer des vidéos), il faut investir environ 8000€ de matériel qui se périme vite et consommer l’équivalent de deux radiateurs de chauffage. Pour autant, tout le monde n’a pas besoin de la puissance maximale et grâce aux modèles open source et à la technologie de quantisation qui permet de sacrifier un peu de fiabilité, mais de produire des versions beaucoup plus petites desdits modèles, de plus en plus de gens hébergent leur propre IA, notamment des LLM, avec un matériel modeste. 
 
La majorité des autres se contente de l’offre gratuite en ligne qui satisfait déjà aux besoins de l’utilisateur lambda ou se tourne vers la concurrence des AI chinoises nettement moins chères qui tirent les prix vers le bas et compromettent toute perspective de rentabilité du système. Pour ne rien arranger, lesdits Chinois ont, par ailleurs, développé leurs propres processeurs, franchissant ces jours-ci la barre des 3 nanomètres avec une technologie nettement moins onéreuse que celle des Pays-Bas qui avaient, jusqu’ici, le monopole mondial des machines à graver les puces à cette finesse, faisant que, d’ici un an, le temps d’atteindre la production de masse, nous serons probablement envahis de processeurs bon marché qui permettront l’explosion de l’inférence domestique y compris sur smartphone et contribueront à dynamiter notamment nvidia, navire amiral de l’économie US.

Pas étonnant, dans ces conditions, qu’un certain nombre d’opérateurs majeurs se soient déjà positionnés à la baisse, pariant des milliards sur l’explosion à court terme de la bulle, que des compagnies comme SoftBank liquident leurs actions à toute vitesse et que Sam Altman, anticipant que le « chat va péter » supplie l’état de se porter garant pour Open AI, tandis que les rumeurs d’explosion sont en train d’enfler un peu partout.

Autant dire qu’en cas de déflagration, tout le monde va essayer de récupérer ses billes, demander à être payé à ses débiteurs pour se renflouer, tandis que les USA vont piller leurs vassaux jusqu’à la moelle et que plus personne ne voudra prêter un centime. Donc pas besoin d’une grande imagination pour supputer ce qui se passerait, dans cette hypothèse, dans une France endettée, sans la moindre autonomie industrielle, alimentaire et énergétique, sans sentiment national et de solidarité pour cause de remplacement de population, avec, en cas de pénuries, le pillage de tout ce qui bouge par des milliers d’individus avec QI à un chiffre et demi et la retenue morale d’une hyène épileptique.


dimanche 9 novembre 2025

Je ne voulais pas parler de pédophilie, mais…. (09/11/2025)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/F-cveLFxO64

Bonjour !

La classe politico-médiatique a, d’ordinaire, la volubilité d’un morpion retrouvé en état de choc dans le lit conjugal présidentiel concernant la pédophilie en général et celle de réseau en particulier. La triste vérité, que personne ne veut regarder en face, étant qu’il y a certainement plus de pédophiles en France que d’électeurs d’Asselineau, d’autant que, statistiquement, comme pour tous les partis, il doit s’en trouver qui votent pour lui, mais discrètement, et c’est sympa de leur part parce qu’une bannière « les pédophiles pour le Frexit » pourrait être contre-productive. Les optimistes m’objecteront qu’il y a probablement aussi davantage d’hétérochromes unijambistes que d’électeurs d’Asselineau, mais c’est un autre débat. 
 
Il est donc surprenant que cette même classe politico-médiatique, enfourche (b)analement son blanc destrier et fonce tel Don Quichotte vers un moulin à vent en hurlant : « Couvrez ce « Shein » que je ne saurais voir ! » avec la même hypocrisie que le Tartuffe de Molière à la « soudaine » découverte de poupées à caractère pédopornographique made in China. En gros pendant que de vrais gosses se font maltraiter dans l’indifférence générale, c’est le « branle » bas de combat contre la vente de bouts de plastique qui eux ne souffrent pas quand on les …

Toujours cette maladie typiquement « républicaine » qui tend à remplacer la réalité par des concepts foireux comme « liberté, égalité, fraternité » dont nul n’a jamais vu la matérialisation concrète (et pour cause) et fait qu’on s’excite sur les symboles tout en fermant les yeux sur les actes, refusant de voir ladite réalité forcément d’extrême droite au même titre que la gravité (celle de Newton, pas de la situation). Cela explique, par exemple, dans la même veine, pourquoi on punit les vrais délinquants avec des cartes OQTF à collectionner et des stages de poney et qu’on sanctionne lourdement, en revanche, les opinions et les idées, qualifiées de discours « de haine », lesquels, même si parfois « tranchants », n’ont jamais, eux, égorgé personne. Si, d’après l’admission implicite de nos politiciens, les gens sont suffisamment cons et influençables pour qu’on soit obligés de limiter la liberté d’expression, le suffrage universel est donc, de facto, une vaste plaisanterie. CQFD.

Nonobstant, on va tenter de nous faire croire qu’un dérangé mental, qui manque de manières pour un « poly »toxicomane (dont, exceptionnellement, parce qu’il est, nous dit-on avec gourmandise, « caucasien », on a eu le pedigree jusqu’à la couleur du slip dans les 5 minutes) après avoir fait des démarches pour se faire baptiser à l’église, a, logiquement, fauché des personnes en voiture sur l’île d’Oléron en criant Allah Akbar, non parce qu’il a été influencé par un « sentiment » d’immigration de masse qui l’a mis dans le même état, mais parce qu’il aura visionné une vidéo sur X ou sur TikTok. Il est donc, paraît-il, urgent d’interdire les réseaux sociaux et, cela tombe bien, pile au moment où Macron, parti en célibataire faire le pitre au Brésil, après avoir annoncé qu’il lâchait un « manche » indéterminé, fait le forcing pour vendre l’idée avant que l’affaire Brigitte n’arrive à son inévitable conclusion. 

Outre le fait que bannir Shein et consorts relève d’une volonté politique, clairement affichée antérieurement et que cela donne un prétexte supplémentaire pour le faire dans le seul but (puisqu’il n’y a plus d’industrie textile à sauver en France) de priver les gens en perte de pouvoir d’achat, à qui on cherche à retirer la possibilité de découvert bancaire, de celle de s’habiller à peu de frais avec des produits toxiques, en payant, les salauds, moins de TVA à l’état que pour les mêmes, tout aussi toxiques, mais avec un coefficient multiplicateur de 10 dans les commerces traditionnels, en dehors d’une position purement morale tout à fait compréhensible et d’un réflexe vomitif naturel chez toute personne normalement constituée (mais qui est une grosse ficelle pour se faire manipuler par l’émotion) faire la chasse à ces poupées revient à changer le joint du lavabo dans les toilettes du Titanic après la supposée collision contre un iceberg. 

Même en faisant fi de leur indice carbone plus faible qu’une réplique, à l’échelle, de Mathilde Panot, les rendant vertueuses pour la planète (si j’ai bien compris la logique écologique), si on pousse le raisonnement, la seule différence avec des poupées ordinaires réalistes qui restent autorisées est que celles-ci sont munies d’orifices et qu’on n’a pas pensé à les renommer « tirelires ». Donc, comme pour l’emmental on paye pour les trous sachant que rien n’empêche d’en percer avec une mèche de 10 qui devrait suffire pour ce type d’individu, ou alors de proposer des versions en kit avec accessoires vendus séparément, car s’il y a une demande, un biais sera forcément trouvé du fait, notamment, de la difficulté à déterminer si un bout de caoutchouc a atteint la puberté. 
 
Et je ne parle même pas de l’IA, notamment open source et non censurée hébergée sur des ordinateurs personnels qui permettra de produire, entre autres, du contenu pédopornographique à la chaîne, peut-être même avec des elfes ou des martiens prépubères histoire de compliquer la chose. Casser le thermomètre n’ayant jamais résolu quoi que ce soit, la véritable question qui se pose est simplement de savoir si ce genre de pis-aller est de nature à offrir à des dégénérés une alternative aux vrais enfants ou si, au contraire, il incite au passage à l’acte. Question fondamentale que je n’ai pas entendu poser.

Côté positif, entre les robots sexuels de plus en plus sophistiqués et la profusion des vidéos IA dans lesquelles aucun véritable enfant, humain ou non, n’aura été molesté, il est probable qu’au moins, en l’absence de demande, l’intérêt financier à produire de vrais films avec de vraies victimes finisse par s’évaporer et que cette industrie devienne totalement marginale. Idem, par ailleurs, pour le porno, autre plaie sociétale, dont je pense que les jours, en tant que manne financière, sont comptés, ne pouvant rivaliser avec une usine à animer les fantasmes. Difficile en effet pour une hardeuse de faire le poids face une créature extraterrestre bleue d’alpha du centaure dotée de 2 pénis et 3 vagins partouzant avec un fox à poil dur et Brigitte Macron (pour les plus dépravés) dont on peut supputer que « l’épais dos file » sur les draps en soie. 

Si l’on considère que la demande du toujours plus pour maintenir sa dose de dopamine fait que, par exemple, les gros consommateurs de porno perdent tout intérêt pour les véritables et banales relations physiques avec de vrais partenaires, ce qui commence même à devenir un problème sociétal, on peut donc raisonnablement penser que la crainte répandue selon laquelle laisser des pervers s’astiquer le poireau sur un bout de plastique en regardant des vidéos IA, joignant le pathétique à la dégénérescence, les pousserait au passage à l’acte est peut-être pessimiste. 
 
Par ailleurs, contrairement aux enfants que l’éducation nationale force à avoir des préoccupations sexuelles qui ne sont pas de leur âge, chose qu’on trouve apparemment normale puisque les gens laissent faire, concernant les adultes, en revanche, s’ils ne sont pas sous l’effet de certaines substances qui peuvent les rendre influençables, auquel cas, ce sont elles le problème, s’ils sont tentés par des images ou par l’achat de ce genre de poupées qui ne figurent probablement pas en page d’accueil du site et qu’il doit quand même falloir un peu chercher, c’est que le ver était déjà dans le fruit et que, certainement, s’ils doivent passer à l’acte, ils le feront poupées ou pas. 
Dites-moi ce que vous en pensez en commentaire.

Toujours est-il que, hors pédophilie de réseau laquelle a des moteurs spécifiques, on a peut-être mis la charrue avant les bœufs et que c’est peut-être, à l’inverse, le terrain qui a changé et qui permet à ces perversions, qui ont certes toujours existé, de faire leur nid dans des proportions croissantes. Il y a de nombreuse explications possibles, y compris les perturbateurs endocriniens et autres microplastiques qui font changer les poissons de sexe (heureusement Brigitte Macron est Bélier), l’abus de substances stupéfiantes, l’oisiveté qu’elle soit choisie ou forcée (je doute en effet que la chose ait pu être la préoccupation première des gens qui passaient leur journée au fond d’une mine à donner des coups de pioche, à supposer qu’il leur soit resté assez d’énergie), la misère sexuelle et la castration sociétale des hommes dans une société « féministe » qui fait que, pour certains, les enfants sont les seuls sur lesquels ils peuvent encore avoir une illusion de pouvoir inversement proportionnelle à leur insignifiance, la domination étant inhérente à la libido masculine. 
 
Hommes qui, il faut le préciser, n’ont pas, pour autant, tant s’en faut, le monopole de la pratique et si quelqu’un a une explication à ce qui peut motiver des femmes à faire de même, merci de m’éclairer dans les commentaires, car cela me dépasse. Et je ne parle pas des sociétés chez lesquelles la chose est un fait culturel, dont certaines viennent copieusement nous enrichir, ajoutant même la gérontophilie histoire de ne pas faire de jaloux, hormis peut-être quelques chèvres. 

Au final, notre société décadente est malade et l’explosion de la pédophilie dont Bétharram et autres ne sont que le sommet de l’Iceberg, perversion qui représente une masse financière considérable (et je ne serais pas surpris qu’après la prostitution et la drogue, notre Mozart de la Finance l’inclue, elle aussi, dans le calcul du PIB) en est juste un des symptômes terminaux. 
 
Si je me sens autant concerné par la problématique (dont contrairement à d’autres, je peux parler, car ma chaîne n’est pas, par choix, monétisée) c’est qu’un jour j’ai appris par une ancienne voisine chez laquelle ma fille, quand elle était gamine, allait jouer de temps à autre et en qui j’avais d’autant plus confiance qu’elle était assistante maternelle de profession, que son compagnon de l’époque avait ce genre de perversion. Bien sûr, dès qu’elle l’a découvert, elle l’a chassé après l’avoir dénoncé à la police, m’assurant qu’elle n’avait jamais laissé la gamine seule avec lui et qu’il ne s’était rien passé, d’autant que son truc, d’après les photos qu’elle avait trouvées sur son ordinateur, c’était plutôt les petits garçons. Pour autant, cette révélation m’a littéralement glacé le sang et je me suis senti submergé par la culpabilité de ma négligence, qui ne m’a pas lâché, encore à ce jour, pour avoir aussi longtemps balayé la chose comme un phénomène marginal, hors de ma compréhension et qui ne me concernait pas.

D’où mon énervement face à ce foutage de gueule. Car faire la chasse à des bouts de caoutchouc qui sont en vente libre dans une grande partie de l’Asie, avec 200.000 colis ouverts par la Douane dans une opération coup de poing médiatique, visant une seule enseigne et qui ne pourra pas être maintenue sur la durée en raison d’un manque de moyens et d’effectifs, est juste une façon hypocrite de faire semblant alors que le fond du problème, lui, ne fait qu’empirer.

Se limiter à ça, c’est un peu comme les wagons « spécial-femmes » dans les transports en commun, non pas avec un châssis renforcé, mais soi-disant pour les protéger : si on ne dit pas « de qui », c’est qu’on n’a aucune intention de résoudre le problème. Pire, on perd de vue l’essentiel : la lutte contre la pédophilie, qu’on ne met en avant que quand il s’agit de faire passer des lois liberticides, sans jamais s’attaquer au cœur dudit problème, a pour but premier de protéger les enfants, les vrais pas ceux en caoutchouc ou des considérations morales lesquelles ne sont pas, d’ailleurs, aussi universelles qu’on le croit quand on voit comment on les traite ailleurs. Même chez nous, où les survivants de l’avortement sont de plus en plus considérés comme des empêcheurs de jouir sans entraves, ou à l’inverse, comme un simple objet de désir égoïste au même titre qu’une TV 4K sans oublier ceux qui les désignent comme des menaces pour la planète en raison de leur indice carbone. 
 
D’un point de vue purement pragmatique, qui est le seul qui compte, la nécessité vitale de protéger les enfants est un fait éminemment politique qui découle simplement du fait qu’ils sont les adultes de demain et que dans ce monde en pleine dégénérescence, sauf à vouloir mettre en place, non pas seulement une dictature laquelle peut parfois être positive, mais carrément une tyrannie, on a cruellement besoin d’adultes équilibrés. Je n’entre pas plus avant dans les détails, car j’ai déjà traité ce sujet sensible beaucoup plus en profondeur dans une précédente vidéo qui date déjà d’une dizaine d’années, mais qui reste, hélas, totalement d’actualité : je vous mets le lien dans la description.


dimanche 2 novembre 2025

FOU RIRE GARANTI ! (02/11/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/EMuJmb9zNew

TEXTE DE LA FABLE :

Une très vieille chatte, mais qui n’en avait point
Dotée entre ses pattes d’un suspect embonpoint
Et d’étranges mamelles de taille fluctuante
Lui donnant l’air femelle, mais fort peu allaitantes
Avait, déjà déclose, comme l’eût dit Ronsard
Séduit selon les gloses et un certain Poussard
Un chaton jouvenceau tétant encore sa mère
Les prenant au berceau, au sortir du primaire.
Pareil aux cheminées après un ramonage
Tout fut déterminé par l’excès de tirage
Et quand le jouvenceau, leur hymen célébré
Qui n’était point tant sot qu’un brin décérébré
Racolant les nigauds, quémanda leur suffrage
Il put, le saligaud, en biaisant les chiffrages
Se voir bombarder roi, et la bombarder reine
Au plus grand désarroi d’un peuple chat en peine.
La pécore à perruque, ayant un goût de chiottes,
Bien vite de hideux trucs, elle amasse, elle agiote
Gaspille moult deniers en tapis qui boulochent
Met les plats au grenier, remplacés par plus moches.
Son époux prétendu Mozart de la finance
Sur la truffe épandue quelque blanche substance
Tripoteur de matous au poil sombre et luisant
Prompt à toucher à tout, jusqu’à être épuisant
Eût tôt fait de ruiner un royaume où des rats
Furtifs et au long nez avaient, les scélérats
Fait adopter des textes, qui interdisaient d’être
Et sous aucun prétexte, aux chats, chez eux les maîtres.
De partout des bestioles, attirées par l’aubaine
Du mouton qui s’étiole, venaient tirer la laine.
Par le haut, par le bas, les caisses étaient pillées
Sans qu’il y eût de débat, franco sans sourciller.
Pendant ce temps la Reine, menait sa belle vie
Sans que rien ne la freine, limite ses envies
Se la jouant mondaine, entourée d’invertis
Férus de ses fredaines, par les iels divertis.
Le peuple remarqua qu’elle avait une queue
À quoi on rétorqua, sur un ton belliqueux
Que d’autre en avaient neuf, bien curieux animal
Au final rien de neuf, pour un chat c’est normal.
Certains petits malins lui en trouvèrent deux
Ce qui pour un félin, pouvait paraître hideux
Et on la disait homme, autant qu’un chat peut l’être
En disant homme en somme, on « diffame » peut-être.
Et pour quelque raison : inondation, salpêtre,
Plein d’eau dans sa maison, sortant par les fenêtres…
Elle n’a point de photos de ses jeunes années
Évaporées trop tôt, laissant sa peau tannée.
Chez tous les siens peut-être, cette satanée crue
A tout fait disparaître : un hasard, qui l’eût cru.
Ne pouvant point prouver qu’elle est une femelle
Tout ce qu’elle a trouvé, c’est tirer pêle-mêle
10 gueux, pris au hasard parmi ceux qui l’embêtent
Tirés par le falzar et qu’en prison elle jette
Tandis qu’on voit, fébrile, son époux censurer
Tout média non servile, toute voix non curée.
Par quelque seau d’eau mis… là pour tout nettoyer
Tout un peuple endormi, soudain s’est réveillé :
Tout juste 11% soutiennent encore le roi
Fond de cuve agaçant d’idiots en désarroi.
C’est la fin du chapitre, en un ou en deux mots
Qu’il renonce à son titre, s’il reçoit le mémo
Car la fin de l’histoire, je ne saurais le taire
Est pavée de déboires, chats gaulois réfractaires
Et autres miauleries, inclue la guillotine
Pour tous ceux qui se rient, ce qui inclut Titinne.
Moralité :
Tant va la cruche au travelo qu’à la fin elle se casse ... à vélo