Bonjour !
Comme il y a une pénurie de
préservatifs j’ai décidé de lancer le préservatif « grand-public » : lavable,
réutilisable, ajustable... bref l’équivalent chez les condoms du masque « grand-public » chez les cons d’hommes, cet anti-postillons décoratif avec écrit
dessus en filigrane non pas « je suis Charlie », mais « je suis
soumis ».
Au départ je pensais que « grand public » ça visait
les équipes de basket comme le CSP Limoges d’autant que, par les temps qui
courent, on est tous potentiellement limogés, donc c’était logique. Mais non,
même quelqu’un comme Sarkozy (pourtant plus contaminable par flatulence que par
éructation) devra en porter… s’il lui arrive un jour de prendre le métro.
Tout
ça pour pas grand-chose car, en toute logique, une fois que le covid qui, peu
soucieux de faire une bonne action pour nos finances, n’a pas osé s’approcher du
Walking Dead Giscard d’Estaing et de ses mains visiblement encore aptes à pétrir,
sinon du téton teuton, de la fesse allemande, quand le covid donc, nonobstant
sa couardise, se sera quand même fait ultra-violer par les rayons du soleil
auxquels il est sensible, malgré tous les efforts du gouvernement qui, au
contraire, nous a terré comme des rats, à l’abri de la lumière, malgré tous ses
bouts de sida et autres virus de la connerie introduits par un pangolin entré,
de façon subreptice, dans un laboratoire, déguisé en chauve-souris, il va finir
par disparaître; comme vont disparaître les revenus (mal nommés car déjà bien « partis » et aussi mal partis) des commerçants, artisans, PMI, PME; comme vont
disparaître les RTT des fonctionnaires car, comme dirait une amie
puéricultrice, il faut beaucoup d’air et de tétées pour faire des milliards
d’euros.
Concomitamment, selon l’adage : « qui dans l’effroi vit,
dans le chaud meurt », les cohortes de demandeurs d’emploi, nouveaux et
anciens, s’agglutineront, dans la colère, aux retraités pas encore euthanasiés
au Rivotril, dont les pensions et les comptes en banque vont fondre comme de la
chloroquine en suppositoire entre les fesses replètes de Sibeth Ndiaye un jour
de canicule.
Cette disparition soudaine du virus laisserait tout nus, face à la
vindicte populaire, des gouvernements dont il deviendra alors évident qu’ils auront
achevé pour rien (mais pas pour personne) une économie déjà au bord du gouffre AVANT
l’apparition de la bébête. Bébête comparable à une fiente aviaire tombant sur
un camion d’enclumes qui ferait s’effondrer un pont pas entretenu par les
politiques : enfoiré de … pigeon. Enfoiré de virus ! lequel évitera que
le sang impur des véritables coupables, qui se goinfrent à la planche à billets,
tel macron tétant goulument le sein desséché de son ersatz maternel, n’abreuve
les sillons des foules en colère.
Si le virus est réel, la pandémie est
médiatique, s’appuyant sur des statistiques qui conglomèrent tout ce qui est
conglomérable, histoire d’affoler le chaland certes peu apte à attraper les
souris, mais prompt à avaler des couleuvres, faisant que le nombre total de
morts, dont une partie est due au dit affolement généralisé, n’est pas
supérieur à celui des autres années et que les pays qui n’ont pas succombé à la
panique et ont continué ce truc qu’on a oublié, par peur de la mort, et qu’on
appelle la vie, ont globalement moins de décès que nous.
Et je ne parle même
pas des tests, éternels pourvoyeurs de nouveaux cas qui, quand ils ne
véhiculent pas eux-mêmes la maladie avec des cotons tiges contaminés, comme ça
a été le cas au Royaume-Uni, s’avèrent positifs (et ce n’est pas une blague)
sur des échantillons prélevés sur des chèvres, des arbres et même une Papaye ;
prélèvements que la Tanzanie, désireuse de vérifier la pertinence desdits tests,
a taquinement adressés aux laboratoires. Je vous mets le lien.
Bref, si volonté
politique il y a, cette lutte contre ce nouvel ennemi invisible qui est non pas
le corona, mais les virus dans leur ensemble (ce qui revient à lutter contre
l’air qu’on respire, air qu’on finira par nous faire payer en bonbonnes
stérilisées) peut durer aussi longtemps que l’état d’urgence contre le
terrorisme ou l’érection d’une statue de marbre dans une usine de viagra,
autant dire indéfiniment. Pour preuve, à présent que le pli est pris et que les
gens sont traumatisés, on annonce déjà le remplaçant, le VHE du rat (qui sera
probablement requalifié de syndrome Hidalgo dans la capitale), dont le premier
cluster a été détecté à Hong-Kong. Commencez à trembler et ne sortez pas encore
vos gilets jaunes car il arrive.
Le confinement graduel de la pensée, par les
lois Pleven, Gayssot, Avia… ainsi que le politiquement correct et l’autocensure
à tous les niveaux qui en découlent, ont préparé l’acceptation du confinement
physique qui n’est que l’étape logique suivante. D’abord on stérilise la pensée
qui doit être débarrassée de tout germe nauséabond, puis on stérilise la vie
avec un avenir sous cloche, un avenir de masques, de gants, de désinfectants et
de surveillance généralisée.
Il est temps que les masques, non pas
arrivent, mais qu’ils tombent. Vincent Lindon, faisant de nous les Lindons de
la farce, a commis une vidéo axée sur la partie émergée de l’iceberg et occultant
soigneusement l’arnaque économique planétaire, le caractère artificiel de la
pandémie, la chloroquine et les magouilles d’un clan issu, aléas du hasard, de
la même communauté que lui ainsi, en bon gauchiste, que le scandale des
frontières nationales laissées grandes ouvertes à une immigration visiblement
pas contaminante, le virus, raciste, trouvant le congolais pas beau et le syrien
pas affuté.
Une immigration qui ne fait que s’accélérer remplissant, à coup de faits
divers en plein printemps, les recoins discrets de la presse régionale et dont,
désormais, sauf peut-être à lui jeter un bâton plutôt que la pierre, plus
personne n’a le culot de dire qu’elle rapporte.
Vincent Lindon ne précise pas
s’il inclut les clandestins et autres amateurs de coutellerie artisanale dans
les personnes à revenus modestes auxquelles il propose, idée géniale et
révolutionnaire, de donner 2000€ en les piquant aux riches qui ne se sont pas
barrés ailleurs. Des riches, supposés remplir plus de 5 minutes une bassine
trouée par l’accueil de toute la misère du monde ainsi que par la
désindustrialisation liée à ce sans-frontiérisme que la gauche adule et qui
fait que la manne céleste des prestations sociales (qui ne sera bientôt qu’un
lointain souvenir) même quand, d’aventure, elle se déverse parcimonieusement sur
des Français, sert à l’achat de produits étrangers et va booster l’économie... chinoise.
Il propose donc de continuer à sucer tout ce qui crée encore de l’emploi en
France comme si c’était à eux que, sauf rares exceptions, profitaient les
milliers de milliards qu’on déverse pour sauver les banques et les
multinationales. Ce qui est pourri, c’est
malheureusement le système lui-même incluant le principe de la république qui
nous vend l’état providence (avec son lot de parasites dans une infinité de
commissions théodules) en échange d’un pillage en règle au bénéfice d’une finance
pas si internationale que ça, concept impossible à appréhender pour un
subventionné (vivant de cette usine à navets de propagande qu’est devenu le
cinéma Français) inconscient que tous les sous qu’un état exsangue sort de sa
poche magique, s’ils ne sont pas investis dans le productif, font juste baisser, par
l’emprunt, la valeur globale de l’argent et donc appauvrissent, à terme, tout
le monde.
À sa décharge, comme dirait Griveaux, c’est vrai que, dès lors qu’on
injecte des milliers de milliards sur les marchés spéculatifs sans que personne
ne soit décapité pour ce crime, ce serait la moindre des choses d’en donner
aussi au bas-peuple (en le prenant à la source) sinon on va finir par croire
qu’on augmente la masse monétaire ou, plus exactement, la masse de la dette, pour
maintenir et accroitre le différentiel entre riches et pauvres qui, plus que la
valeur de la monnaie, est la véritable mesure du pouvoir.
Pour le reste, Lindon
a raison et bien sûr que les pantins de la bande à Macron devraient être jugés
pour haute trahison puis, après un procès équitable, exécutés. On le sait, ils
le savent, d’où une énième loi, rétroactive (tant qu’à piétiner les principes
du droit autant y aller carrément) votée en catastrophe pour limiter leur
responsabilité. D’où également, la certitude qu’ils vont en rajouter une
pampers pour prolonger l’état de panique et de sidération le plus longtemps
possible et que, de déconfinements partiels en vagues successives de virus
médiatiques poussant au reconfinement, si on les laisse faire, on va continuer
jusqu’à 2022 à ne pas pouvoir se rassembler, même pour un petit lynchage de
rien du tout, et à imprimer des attestations en regardant les drones au-dessus
de nos têtes en attendant le puçage par vaccin interposé dénoncé par Juliette
Binoche, comme quoi, il y a une hiérarchie, certes relative, dans les acteurs.
Comme d’habitude, je n’ai pas la
prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter
la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure.
Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas
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encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
Belle prestation ! Bravo ! En espérant que votre reflexion puisse contaminer tous les confinés !
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