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mardi 9 février 2021

Connerie ambiante : on a touché le fond, sortons la dynamite. (10 fév. 2021)


 Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/1la8NmIS3ew 

Bonjour !

Les féministes ont parfois raison : la langue française peut être sexiste. Un faux sceptique est moins ambigu qu’une fosse septique, sauf si c’est Marlène « Schia-ppa » qui, du coup, n’a pas besoin de cet équipement (ce qui n’empêche pas la confusion). Pour ma part, je suis un vrai sceptique et, à ce titre, je me heurte souvent à des anti-sceptiques (pas ceux qui désinfectent les plaies, mais ceux qui en sont une) et qui défendent farouchement la doxa officielle en dépit de toute logique. C’est le cas pour la coronafolie.

Je ne suis pas spécialement fan de l’homo (pas que) sapiens Philippot qui fait semblant de croire à la possibilité d’un changement par l’élection et confond prendre les places avec prendre le pouvoir. Macron, s’il a un pouvoir de nuisance (dont il use et abuse certainement plus que de Brigitte) prenant des décisions au doigt mouillé dont on ignore dans quoi il l’a trempé, n’a pas le véritable pouvoir et personne issu du processus électoral spécifique à la France ne peut l’avoir. Après les émois champêtres Asseliniens et les histoires d’envolées lyriques à base de « chien de feu » colportées sur Nicolas Dupont-Aignan, il semble, par ailleurs acté, que le terrain est occupé par les amateurs d’homo-erectus et que la voie de garage du souverainisme non violent (par les urnes plutôt que par les burnes) ne fascine plus guère les rares spécimens auxquels la féminisation de la société n’a pas encore réussi à faire gagner quelques octaves dans les aigus.

Pour autant, même si l’on peut déplorer que sur 67 millions d’individus on se retrouve avec cette improbabilité statistique pour nous représenter et qu’un nombre impressionnant de nos élites appartient à des communautés, minorités et sectes diverses et avariées, il est contre-productif de cracher dans la soupe et il faut quand-même reconnaître à Philippot, relativement isolé sur ce créneau, d’avoir fait ses devoirs, d’avoir vraiment creusé le sujet en ce qui concerne le coronavirus et de se démener comme un beau diable, allant même jusqu’à courageusement affronter une brochette, pour ne pas dire une meute, de ces anti-septiques que j’évoquais, dans l’émission de Cyril Valéry Isaac Hanouna, entrant sacrificiellement dans, pour le coup, une vraie-fosse septique (mais aussi aux lions). Je vous mets le lien en description, pour ceux qui n’ont pas peur de vomir un peu.

Tout cela paraît cependant bien vain (même si pas complètement inutile) et comme je l’ai dit dans ma dernière vidéo et raison pour laquelle je ne poste plus qu’épisodiquement, fatigué de pisser dans un violon, surtout qu’il n’y a pas beaucoup d’espace entre le sol et le ré, je dépense mon énergie à d’autres choses plus égoïstes, d’autant que si, normalement, j’arrive à faire de l’humour dans n’importe quelles circonstances et qu’il est dangereux de m’inviter à un enterrement, la situation est telle que j’ai fini par atteindre mes limites. 

C’est un peu comme quand vous voyez un bonhomme, trop occupé à regarder son smartphone, qui se prend un mur en marchant : la première fois c’est drôle, mais si ledit individu continue à se prendre le mur encore et encore jusqu’à ce que l’on voie du sang, puis des bouts de cervelle (preuve que la 5G est dangereuse) ça devient de plus en plus dur de rigoler (sauf s’il a un pin’s LREM). Or, c’est ce qui est en train d’arriver à ce pays, lequel, avec ces vaccins qui font « Führer » glisse, « Hitler de rien », vers la dictature et la tiers-mondisation à la vitesse d’un aller-retour de poignet benjamingrivesque juste avant production artisanale de spermatozoïdes forts dépités, au demeurant, en s’écrasant sur l’écran d’un smartphone, devant l’absence de l’ovule tant espéré.

En matière de covid, la réalité dépasse « l’affliction » et comme dirait à véran-douille et autres castex-ticules le directeur de publication d’un humoriste connu : « allez tous vous faire … inoculer ». Tandis que Blanquer, après avoir sauvé notre civilisation en augmentant la distanciation asociale de 50 cm entre les élèves, danse la Zumba, que Véran se fait vacciner devant les caméras en ouvrant sa chemise au lieu de relever sa manche, ce qui me fait amèrement regretter que ledit vaccin, par ailleurs notoirement inefficace contre les nouveaux variants, n’existe pas en suppositoire, que Gérard Larcher (certains diraient « Larcher-type » de l’hypocondriaque) avec ses 46 tests PCR aux frais des contribuables « vise » le Guinness des records, que Darmanin (de jardin) est occupé à dissoudre à l’acétone et à l’acide sulfurique génération identitaire, laquelle a commis le crime de démontrer, encore une fois, que nos frontières sont des passoires à migrants plus ou moins covidés, on emmerde toujours davantage ceux qui respectent les règles au point que, en attendant le passeport sanitaire déjà introduit rectalement au Danemark, la seule façon de pouvoir prendre l’avion rapidement c’est d’acheter en ligne un faux test PCR négatif (à mesure débile, réponse adaptée).

Alors que Black Lives Matter, Greta Thunberg et l’OMS sont proposés pour le prix Nobel de la paix laquelle, pour le coup, serait plus pertinente au masculin (le prix Nobel « du » pet étant plus en adéquation avec la merde qui s’annonce) les réseaux sociaux procèdent, dans la résignation générale, à des purges (sans précédent depuis l’arrêt des dragées Fuca) de tout ce qui est contestataire ; des sommités médicales sont traitées en parias et poursuivies pour charlatanisme pour ne pas s’agenouiller en position fellatoire devant ce qui est devenu un dogme et aucune information honnête ne filtre concernant les pays encore sains d’esprit qui procèdent différemment, sans tuer leur économie ou leur population. L’espoir trumpien que certains voyaient poindre aux États-Unis a été étouffé, tel une accusation d’inceste et de pédophilie à l’encontre de certaines élites intouchables (mais qui aiment bien toucher les autres) et qui, quand elles ne se préoccupent pas de la constipation infantile préviennent chez leur progéniture tout risque de béribéri résultant d’une carence en vitamines par le Berry tout court dont les fluides sont, paraît-il, très riches en nutriments. Mais je m’égare. Un espoir Trumpien, donc, qui a fini en pétard mouillé avec la farce tragi-comique du capitole.

Certains m’ont reproché mes réserves prudentes tant sur ledit Trump (dont tout en reconnaissant les points positifs, j’ai toujours dit que seul l’avenir révèlerait la véritable nature) que sur les analyses, au demeurant intéressantes, d’un Alexis Cossette lequel doit quand-même avoir un peul mal au cul (Anon). Même si, comme beaucoup, pour me consoler de mon impuissance face à la folie ambiante et du fait que rien d’autre ne se profilait à l’horizon, je me suis fait plaisir en l’écoutant (comme j’écoute cette petite voix qui me convainc, 2 fois par an, de donner 2€ 50 à la Française des jeux) il y a longtemps que je me disais, en voyant s’accumuler les occasions manquées, que Trump, plus bluffeur que faiseur, n’avait pas les cojones et, en dépit de son âge avancé, tenait encore un peu trop à la vie pour être efficace. 

Alors qu’il avait suffisamment de cartes en main jusqu’au dernier moment (sur ce point Alexis Cossette avait, à mon sens, raison) courageux, mais pas téméraire, au lieu de gracier des Snowden et autres Assanges, dans l’espoir naïf de s’attirer les bonnes grâces du puissant lobby juif américain, non content (comme Biden qui a fait pareil avec ses 3 enfants) d’avoir marié sa fille dans la communauté, il a préféré gracier une longue liste d’escrocs dont les ancêtres de certains ont probablement beaucoup souffert. Dans tous les cas, faute d’avoir voulu (ou pu) être aussi impitoyable que ses adversaires et atteindre le point de non-retour sans lequel rien de grand n’est jamais accompli, non seulement il a perdu la main face à des pantins, mais il va se voir appliquer puissance mille, ainsi que, plus grave, ses partisans qu’il a laissés en rase campagne, ce qu’il aurait dû faire aux autres.

La peur de la violence qui, pour le coup, aurait été nécessaire est, paradoxalement, le plus gros générateur de violence. Il faut bien comprendre que ladite violence (pas forcément que physique) omniprésente et qui fait partie inhérente de notre nature profonde est le liant qui assure la cohésion hiérarchique de nos sociétés. Quand un patron ou un chef nous donne un ordre, c’est de la violence, quand on paie ses impôts, c’est de la violence, quand on met le réveil le matin pour aller travailler, c’est de la violence, si l’on engueule sa femme ou ses gosses, c’est de la violence et si, à l’inverse, une épouse critique et rabaisse gratuitement son mari, c’est aussi de la violence. 

Cette violence de basse intensité que l’on reçoit et dont on se décharge sur d’autres afin d’éviter les accumulations (lesquelles peuvent se terminer en éruptions aux conséquences potentiellement dramatiques) est un phénomène naturel et plus on protège certaines catégories de la population en la diabolisant, plus elle s’accumule chez les autres produisant des déséquilibres de répartition qui sont le véritable danger. Par ailleurs, les personnes protégées, faute de se voir imposer des repères par coercition comme les autres, finissent par se sentir négligées et exclues de la société, ce qu’elles perçoivent à leur tour comme une forme de violence, faisant que plus on va les protéger, plus elles vont devenir agressives.

La violence étatique se devant d’épargner les catégories de plus en plus nombreuses qui - signe de la fin prochaine de la civilisation - bénéficient du statut devenu enviable et envié de « victime », se déverse alors sur la portion restante de la population, avec toujours plus de force. Or, selon le même principe que la tectonique des plaques, la violence accumulée finira par se manifester avec une intensité exponentiellement proportionnelle à la durée pendant laquelle elle aura été contenue.

Le pouvoir en place, pour éviter d’en faire les frais, n’a que deux options. La première est de canaliser cette violence de façon horizontale plutôt que verticale par l’immigration et le conflit de civilisation. La deuxième, beaucoup plus perverse, est de plonger les individus dans un tel état de désespoir et d’apathie que ladite violence sera internalisée et dirigée contre soi, se traduisant par des pathologies diverses, des dépressions et des suicides.

Le fait que l’on ne soit pas dans la rue en train de couper des têtes et que même les Etats-Uniens, pourtant armés jusqu’aux prémolaires, se soient laissés voler une élection sans bain de sang, tend à démontrer que si l’immigration continue à marche forcée, c’est plutôt la deuxième option qui a été privilégiée et que, malheureusement, covid aidant, ça marche.

Pour que cette violence accumulée se retourne contre ceux qui en sont à l’origine, la seule solution serait de redonner aux gens de l’espoir, synonyme de combativité, mais encore faudrait-il que ce fut un espoir véritable sachant que, là-encore, le système a un coup d’avance et fabrique sa propre opposition contrôlée (souvent par des histoires scabreuses) ainsi que pléthore d’espoirs baudruches qui, en se dégonflant, ne font que renforcer le désespoir de ceux qui y ont cru.

Histoire de finir sur une note d’optimisme, il semblerait que cette année notre candidate au concours de l’eurovision soit une vraie femme, blanche, mais vaguement Iranienne (donc on va l’excuser) et qui, chose inouïe, va chanter en français. Certes, il ne faut pas pousser non plus, les paroles, ode à la victimisation, se résument à « regardez-moi, je souffre », sans que (contrairement aux étudiants qui, comme beaucoup d’autres sont en train de crever la dalle) on ne sache trop pourquoi, mais du coup, elles pourraient bien, involontairement, devenir un nouvel hymne révolutionnaire : Ah, ça va pas, ça va pas, ça va pas….

Merci à tous pour vos soutiens et vos encouragements, pensez à cliquer sur la cloche des fois que YouTube se décide, dans un moment d’égarement, à vous notifier de prochaines vidéos et à bientôt…j’espère.

 

 

 

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