Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/MNtByF7W9J8
Bonjour!
Quand on gratte un peu, en dehors de déranger quelques
morpions, on se rend vite compte que nous sommes gouvernés par une caste dont
notre premier sinistre, à la tête druidique en forme de fruit de chêne est,
comme son nom l’indique, la version X : CasteX.
On remarque aussi que la quasi-totalité de ladite caste est
issue d’un petit nombre de viviers communautaires, religieux, idéologiques,
philosophiques, financiers ou statutaires, au point qu’il est exceptionnel qu’un
de ces êtres de lumière (LED et écolo) qui nous disent constamment ce qu’il ne
faut pas faire, ne coche pas, directement ou par alliance, une ou plusieurs
cases façon Euromillions (lequel propose aussi, sournoisement, des étoiles, sur
la couleur desquelles je ne ferai aucun commentaire). On peut facilement le
démontrer avec une liste de noms, un tableau Excel… et un kilo d’oranges (en
prévision de l’incarcération qui ne manquerait pas de suivre).
Tel que pourrait l’énoncer l’écran traumatisé (mais
connaisseur) du smartphone de Benjamin Griveaux, il s’agit bien sûr de la crème
de la crème desdits viviers, cooptée en fonction de son niveau de pourriture, et
loin de moi l’idée de suggérer qu’en dehors de cette émulsion pègueuse, les
autres membres de ces groupes puissent être, en aucune façon, considérés comme toxiques,
nocifs ou malveillants.
Prenons, par exemple, le cas des virtualisateurs de truelles,
un des rares parmi ces viviers que l’on peut encore nommer sans enfreindre une
des lois iniques spécialement mises en place, par ceux qui en profitent, pour
qu’on ne puisse pas braquer les projecteurs sur eux (un goût pour l’obscurité
paradoxal pour des gens qui se réclament des lumières). Pour y avoir passé, quand
j’avais une vingtaine d’années, un peu plus de l’équivalent d’une gestation
d’éléphant, d’où peut-être, pour ma « défense », une vague impression
d’avoir été « trompé », je mentirais si je disais que je n’y ai pas
rencontré beaucoup de gens très bien, animés des meilleures intentions.
Des
gens dont on a flatté l’ego à la vaseline intellectuelle et qui n’ont pas
forcément perçu que la finalité de la chose est de neutraliser les individus intelligents,
mais intègres qui pourraient nuire au système, en leur faisant dépenser leur
énergie dans (et rediriger leur focus vers) des leurres comme l’alchimie, une
forme biaisée de symbolisme ou la Kabbale lesquelles donnent, néanmoins (ou nez
en plus), certaines clés utiles de compréhension du Monde si l’on considère que
les illuminés qui y croient, de Bavière où d’ailleurs, en tartinent tout ce
qu’ils font, avec, parfois, une certaine finesse humoristique.
Parallèlement, la demande ponctuelle faite aux uns et aux
autres de rendre de « menus services » est de nature à enclencher un
engrenage de corruption et les plus corruptibles, ambitieux ou convaincus par l’idéologie
antinationale sous-jacente sont observés, à la loupe, au milieu du panier de
crabes et cooptés par des visiteurs du soir. Pendant ce temps, les vaches à
lait naïves, régulièrement ponctionnées d’un pourcentage de leur salaire, et
dont le tablier évoque plus une soubrette version Marc Dorcel que les forges
d’Héphaïstos, bercées par la convivialité et les agapes fraternelles qui les
tirent de leur demi-sieste, dupes des apparences et incapables de réaliser qu’elles
sont des pions sur un échiquier pourtant carrément dessiné sur le sol, à défaut
d’atteindre le degré d’un whisky millésimé, se rêvent en vénérable de loge.
De la même façon, parmi cet autre vivier des gens qui ont un
pied dans un autre pays, et dont il faut croire que l’on a absolument besoin,
puisque dans un pays de 67 millions d’habitants on s’obstine à leur confier
notre destinée, je ne fais pas d’amalgame, entre mon dentiste (qui lui pourtant
en fait) et le tandem des Dupont et Dupond constitué par un Sarkozy (désormais
officiellement délinquant) et un BHL que le Monde entier nous envie, inventeur
du concept de « la guerre sans l’aimer » qui ont, main dans la main,
détruit le rempart à l’invasion migratoire que constituait la Libye, soi-disant
pour importer une démocratie que l’on attend toujours, pile 10 ans après (happy
birthday to you, amis Libyens); opération dont, si je peux vaguement comprendre
l’intérêt géostratégique… pour Israël (coïncidence malheureuse) et les
avantages personnels à faire disparaitre un financier compromettant, j’attends
toujours que l’on m’explique ce que la France y a gagné.
Je ne « mélange » pas non plus, pour changer
d’obédience, un entrepreneur en maçonnerie que je connais (et qui pourtant en
utilise… du mélange) avec, par exemple, Najat Valaud Belkacem qui, outre la
théorie du genre qu’elle n’a jamais évoquée devant le Roi du Maroc, a promu (probablement
encore une simple coïncidence), l’enseignement de l’arabe à l’école… en France.
On pourrait aussi citer, entre beaucoup d’autres, les Franco-américaines
Christine Lagarde ou Burne Poison. Pardon, Brune Poirson ! Pourquoi pas
des Franco-Russes, tant qu’on y est, histoire, qu’on rigole un peu ?
De même, dans un autre registre, je ne confonds pas, parmi ceux
qui (pour n’avoir pas de notions élémentaires d’électricité) considèrent que
les connexions mâle-mâle sont une bonne idée, ceux qui s’électrocutent dans le
privé entre personnes adultes et consentantes, sans emmerder quiconque (à part
ponctuellement l’un d’entre eux en cas d’ennuis gastriques) et ceux, dans les
cercles de pouvoirs, pas toujours assumés par ailleurs, qui sont tenus par les
valoches en
raison de leurs turpitudes diverses et font marcher à fond la promotion canapé.
Mais, comme aurait dit feu mon père qui était d’une autre époque : « on
n’est jamais trop aidé dans la vie ».
Je passe sur les aller-retours entre la haute fonction « pubique »
et autres entreprises en lien avec l’État (ou encore les banques) et le monde
politique. Mais bon, même si la liste n’est pas longue, je ne vais pas passer
en revue l’ensemble desdits viviers.
Ce que j’essaie de dire, en tant qu’adversaire acharné de
l’article défini, c’est qu’il n’est jamais bon de généraliser (à part peut-être
dans l’armée). Toutefois, s’il est visiblement aisé pour le gouvernement de
nous sonder ailleurs, faute de pouvoir sonder les cœurs et les reins et compte
tenu, tant de la situation dramatique (exceptionnelle et contre la montre) dans
laquelle nous nous trouvons que du fait qu’il ne manque pas de gens compétents
en France, le principe de précaution le plus élémentaire voudrait que l’on
écarte, autant que faire se peut, toute personne issue de ces viviers :
des cercles de pouvoir, des médias, de la haute administration, de la
magistrature, de la police et de l’armée. C’est ma version de la discrimination
positive. Il convient de relativiser en faisant remarquer que ces postes sont
spécifiques et que, le pouvoir attirant souvent certains profils psychologiques
peu recommandables, la majorité des membres de ces groupes, que je ne cible
pas, ne sont, de toutes façons, pas attirés par ces fonctions et ne seront donc
pas affectés, dans leur vie quotidienne, par cette limitation.
La nature, qui a perdu tout mon respect le jour où elle a
engendré Macron, ayant horreur du vide et la nature humaine étant ce qu’elle
est (d’où la nécessité de penser un système qui la prenne en compte au lieu de
l’exalter), on m’objectera, à raison, que ce n’est pas pour autant une garantie
absolue de probité; mais si on ne fait pas tout pour s’assurer que ceux
qui nous gouvernent, nous jugent, nous défendent ou nous influencent ont la
France et les Français pour absolue priorité et, à minima, pour minimiser le
risque de mettre à ces postes des gens qui ont d’autres loyautés, tous les combats
sur lesquels on s’excite seront vains et sans objet et toute bonne intention sera
pervertie et détournée.
C’est ce qui explique, par exemple, pourquoi une loi,
votée suite à des décapitations islamistes, laisse les caricaturophobes
tranquilles, mais est utilisée, à l’inverse, pour dissoudre… génération
identitaire. A part d’y voir une volonté de soutenir l’industrie de la
coutellerie en difficulté pendant la crise dite sanitaire, que celui qui
comprend la logique lève la main.
Ce que je reproche (gentiment, car il ne faut pas se tromper
d’ennemi) à des gens comme Pierre Yves Rougeron, qui n’est qu’un exemple parmi
d’autres (sachant que, comme en attestent ses initiales, il y a PYR) c’est que
confronté, pour être percutant, à la nécessité de désigner un ennemi, faute de
pouvoir désigner les vrais au risque de périr dans l’hystérie dissolutrice
gouvernementale, façon la susnommée génération Identitaire (laquelle, par
ailleurs, si elle a des actions positives, se plante sur les fondamentaux et
n’a donc jamais constitué une véritable menace) il en désigne des secondaires
tels l’UE ou l’Allemagne ce qui, pour aussi nocifs qu’ils puissent-être, est
soit naïf, soit pleutre voire malhonnête, à moins d’y croire sincèrement.
Il
existe en effet une maladie, hélas largement répandue, chez des gens qui confondent
culture et érudition, qui fait qu’ils deviennent trop érudits pour penser autrement
que par assemblage de blocs de lego conceptuels produits par d’autres. Ils finissent alors
par perdre de vue que, si l’histoire bégaye, elle ne se répète jamais à
l’identique et qu’à force de regarder dans le rétroviseur (par références
interposées) plutôt que la route devant soi, on pourrait se prendre un arbre,
une vache, ou une Marlène Schiappa en goguette.
Il n’en demeure pas moins que
cette vision, bien commode et peu risquée des choses, a pour avantage d’attirer
certains semi-bobos (preuve que les « jambettes » ne sont pas l’apanage
du moulin rouge) qui voient bien que quelque chose ne va pas, mais qui, incapables
de sortir de leur « Jambalaya, donnons-nous la main » version
Julienne Delyle, sont trop heureux de pouvoir protester dans le vide en restant
politiquement corrects, sans avoir à renier leurs fondamentaux et à remonter à
la cause première.
C’est vrai que, sinon, dans notre univers factice qui
fonctionne à la moraline et est resté englué dans les années 30, il suffit qu’un
esprit taquin fasse remarquer qu’un moustachu célèbre, comme d’autres avant
lui, avait identifié une bonne partie de ces viviers, pour que, même si l’on
désapprouve avec véhémence tant le fait d’avoir mis tout le monde dans le même
sac que la barbarie de ses méthodes, tout raisonnement soit excommunié, la fin
de la partie sifflée et que le contrevenant se retrouve comme un lapin au
milieu des phares, potentiel civet de potence.
Je sais bien qu’ils n’ont pas vraiment le choix, mais si l’on
peut comprendre que le gouvernement nous mente sur la réalité de notre
situation (le nez du Pinocchio Macron, de nature à compenser une faiblesse
érectile passagère, le devançant de quelques minutes quand il passe par une
porte) on est toujours un peu déçu que la soi-disant dissidence, s’obstinant à
respecter les règles du jeu établi par ce même système dont elle admet la malhonnêteté
(mais sans toujours vouloir reconnaître qu’elle est intrinsèque aux
institutions et les invalide) que cette dissidence donc, continue à vendre,
tant au propre qu’au figuré, du rêve en boite et l’idée qu’on va s’en sortir en
manifestant, en votant, en revenant vers une forme de Gaullisme ou à coup
d’article 50 et surtout, en continuant à être gentils, urbains et civilisés.
Certes,
personne ne souhaite un bain de sang, mais ce n’est pas en refusant de voir la
réalité en face qu’on va l’éviter (a fortiori s’il est inévitable). Cet
engluement (façon morpion égaré en zone anale présidentielle) dans le
moralement acceptable et le goût immodéré pour la position de l’autruche (la
tête dans le sable et le cul à l’air) en refusant d’admettre qu’en dépit d’une
certaine diversité (que personne ne nie) il existe des caractéristiques
ethniques spécifiques à la France (et sans lesquelles elle n’est plus qu’une
coquille vide) est parfaitement résumé par la récente vidéo d’un autre de ces
spécimen, à savoir Tatiana emportée par le Ventôse.
La flamboyante créature,
comme à son habitude, fait semblant de traiter à fond un sujet sensible à
savoir « la Nation », mais sans toucher à ce qui pique. Pendant les
10 premières minutes (j’avoue que je n’ai pas pu écouter jusqu’au bout) et
après avoir annoncé que, même pas peur, elle allait taper dans le dur, elle
nous explique, tranquillos, que la nation Française c’est avant tout une
question d’adhésion individuelle. Elle ne considère même pas, en raison, probablement,
de son logiciel dont, en dépit de sa bonne volonté évidente, elle ne parvient
pas à se défaire que, pour que cela fonctionne, il faut aussi la réciprocité, à
savoir une acceptation de cette adhésion individuelle par le groupe (surtout si
on ne lui a rien demandé). Un groupe qui n’est pas lié avant tout par l’adhésion
au « Roman National », comme elle le suggère par citations
interposées (comme si l’arrivée de 10 millions de Nigérians qui réciteraient
« nos ancêtres les Gaulois » ne changerait pas radicalement la France),
mais surtout par une reconnaissance mutuelle de par un atavisme de comportement
et les mœurs. Comportement qui peut être altéré par l’adhésion à une religion,
une idéologie voire une ethnie qui imposent des attitudes non fongibles dans
l’ensemble, voire non compatibles.
Ce sont ces signes de reconnaissance et
d’appartenance, qui se matérialisent jusqu’à la façon de se vêtir, de bouger et
de se déplacer, qui font qu’instinctivement (comme j’ai pu l’expérimenter au
Japon, en Australie, au Cambodge, à Hong-Kong, aux USA ou ailleurs), même sans
banane, on se reconnait mutuellement entre Français à l’étranger, au milieu
d’une foule, d’un simple coup d’œil.
Le « Vive la nation » de la
bataille de Valmy qu’elle évoque (en oubliant de mentionner l’absence de
diversité au sens actuel du terme qui seule rendait crédibles, à l’époque, certains
principes illusoires) était de nature organique tout autant qu’idéologique. Ce
sont les mêmes qui appelaient encore cette brave archiduchesse sèche et archi-sèche Marie-Antoinette « l’Autrichienne » (ce qui permet de
mesurer leur niveau de tolérance en matière de diversité) sachant que leurs
descendants idéologiques, qui avaient pourtant évolué en matière de
progressisme par rapport à eux, en étaient encore à dire par la bouche de Jules
Ferry que, je cite : « les bla bla bla supérieures… ont le devoir de coloniser les bla
bla bla inférieures ».
Pour
beaucoup des contemporains de la révolution, lesquels, c’est triste de devoir
le rappeler, n’avaient pas la télé et dont l’univers connu avait une superficie
moyenne de 50 kilomètres, dans la notion de « droits de l’homme », le
terme « homme » s’entendait dans sa conception voltairienne. Un Voltaire
qui, dans son traité de métaphysique, avançait ingénument que (j’ai dû
légèrement modifier car ça ne passerait pas sur Youtube) : « Les
Blancs sont supérieurs à ces gens dont le nom commence par N et finit comme
« pègre », lesquels le sont aux singes, et comme les singes le sont
aux huîtres. » Même un Hitler en pleine crise d’hémorroïdes n’aurait pas
osé. Bref, sans remettre les choses dans leur contexte historique, on se
plante.
Toujours est-il que c’est le mimétisme de comportement qui fait le
ciment d’une nation, ciment largement ébréché, avant même le choc culturel avec
le continent Africain, par l’américanisation de la société (dont beaucoup
d’allogènes ont adopté les codes) et la normalisation macdonaldienne dont
l’objectif sous-jacent est la destruction desdites nations. Une reconnaissance
mutuelle instinctive (laquelle implique une certaine cohérence
ethnico-culturelle qui n’exclut pas, à la marge, des personnes extérieures
parfaitement intégrées) qui fait que, quand on croise quelqu’un dans la rue on
se sent en sécurité (raison première de l’existence de toute collectivité) car le
comportement de cette personne est prévisible, qu’on peut raisonnablement
supposer qu’elle va simplement acheter son pain et pas nous poignarder en
hurlant « Allah Akbar », « Allah soupe » ou autre locution
allogène incompréhensible.
Sans pour autant nier leurs efforts et l’intérêt de ce qu’ils
disent (ainsi que l’utilité de participer à faire grossir un mécontentement
général diffus, sans lequel aucune explosion salutaire ne se produira jamais) ne
comptez donc pas trop sur les Phillipot, Rougeyron, noirécarré et consorts pour
admettre ce caractère organique, car outre un anti-germanisme rabique, pas
forcément toujours injustifié, mais, encore une fois, seulement désigné parce
que désignable (contrairement à d’autres entités qu’ils ne veulent pas toucher
de leurs petit doigts innocents, mais sans lesquelles on ne peut appréhender
convenablement le mondialisme), ils sont tous empreints d’humanisme, persuadés
qu’il n’y a pas de retour en arrière possible (la violence c’est mal ;
donc ils ne peuvent envisager que des solutions pacifiques) et ont acté que les
autochtones récents et leurs descendants (même si à peine vaguement intégrés, à
défaut d’être assimilés) représentent un réservoir de voix incontournable sans
lequel leur utopie de prendre le pouvoir « par les urnes » n’est plus
possible, réservoir de voix qui demande donc à être caressé dans le sens de la
barbe, quitte à se suicider au passage. Ils présentent cela comme de l’espoir
alors que c’est du défaitisme. Mais bon, il y aura toujours des hyperactifs
pour penser que s’agiter, quitte à faire la ronde avec un doigt dans la zone
inter-fessiale, c’est déjà faire quelque chose.
Par ailleurs, en quête perpétuelle de justification pour
compenser leurs acrobaties au niveau de la logique du raisonnement, ils se
réfèrent constamment à de grandes figures injustement idolâtrées, pas non plus
replacées dans leur contexte en matière de diversité ethnico-culturelle, tels
Napoléon ou De Gaulle, véritables soufflés au fromage dont on retient le bel
aspect à leur apogée, mais qui en s’atchoulant (comme on dirait ici) ont perdu,
à eux deux, la quasi-totalité de nos territoires hors hexagone.
Je peux
comprendre, et c’est aussi mon cas, que par comparaison aux étrons qui lui ont
succédé, utilisant à leur avantage la constitution pourrie (et sur mesure pour
lui) qu’il nous a laissé, on puisse regretter De Gaulle, mais en dépit de
quelques discours et d’actes symboliques visant à sauver l’illusion et l’image
de la France plutôt que son âme (et surtout son image à lui) et de quelques
réalisations plus imputables au CNR qu’à lui-même, il a semé toutes les graines
et accepté toutes les compromissions qui ont permis la désagrégation de notre
société toute entière. Il suffit de regarder le pédigrée, pour ne pas employer
de « mots laids » (pour ceux qui comprennent) de certains de ses
ministres, plaçant le fait d’opposer le Gaullisme et l’Union Européenne au même
niveau de crédibilité que la petite souris des dents.
D’ailleurs, vu le niveau sidéral
et sidérant de foutage de gueule de tous ceux qui se sont réclamés du
Gaullisme, à commencer par Chirac, champion intergalactique, on repense au
fruit qui ne tombe pas loin de l’arbre, et équilibrer quelques autoportraits
dithyrambiques avec quelques conférences de Ploncard d’Assac qui, à ma connaissance,
est le seul à faire le boulot dans l’autre sens, permet de se faire, quelque
part au milieu, une idée plus objective du personnage. En tous les cas, je me
suis toujours méfié des Gaullistes béats, d’autant que, ces derniers temps, mon
infâme Clio Diesel qui détruit la planète était copieusement recouverte de
sable du Sahara radioactif et inconfinable, cadeau posthume de cet homme grand.
Le constat est que ce n’est pas seulement la France, mais
toute une civilisation qui s’effondre et que, contrairement à l’empire Romain
dont la chute s’est étalée sur plusieurs siècles, la nôtre se produit en
quelques décennies. Si l’on compare l’évolution sur seulement un an, qu’on
aurait tort de mettre sur le dos des amours postmodernes du pangolin et de la
chauve-souris, on réalise à quel point la chose s’accélère au point qu’en 2022,
il est peu probable qu’il reste quelque chose à sauver, surtout avec le
liquidateur Macron aux commandes.
Pour sauver la France dans tout ça, c’est à dire la préserver
de l’inertie considérable que provoque l’effondrement d’une civilisation tout
entière dans laquelle elle est inextricablement imbriquée (et donc aller à
contre-courant de l’histoire) il faudrait déployer une énergie absolument considérable
qui ne peut se traduire que par des mesures drastiques et radicales
incompatibles avec tout semblant de démocratie et inacceptables par tout
individu (majoritaire chez nous) qui place la moraline avant la survie. Nous
sommes dans un bateau qui coule tout en se dirigeant vers un Iceberg;
donc il faut à la fois : changer de direction, écoper, boucher les trous
et jeter du monde par-dessus bord pour faire remonter la ligne de flottaison.
C’est un peu comme la gangrène, si on traite tout de suite, on s’en sort bien,
mais plus on aura attendu, plus il faudra amputer des morceaux de plus en plus
grands et, passé un certain stade, sans même la garantie que la survie soit au
bout du sacrifice. La gangrène est malheureusement bien avancée chez nous et s’il
est humain et compréhensible d’écouter ceux qui promettent une guérison
miraculeuse sans sacrifices et sans se remettre en question, tous ceux qui
regardent la réalité par la fenêtre plutôt que sur leur écran de télévision ou
sur YouTube auront pris la mesure de la situation.
Sauf à ce qu’on nous cache des choses en matière d’énergie
renouvelable ou illimitée qui pourraient changer la donne et rebattre les
cartes, sans même évoquer le leurre provisoire consistant à faire un grand
reset économique (en empochant l’épargne des gens et sans plus d’adéquation que
par le passé avec les limitations d’un monde fini en matière de ressources) non
seulement la civilisation va s’effondrer, mais contrairement au passé où elle
était simplement remplacée par une autre, entre la vraie pollution (dont les
quantités pharamineuses de produits toxiques enterrés dans des mines sous des
nappes phréatiques) qu’on occulte derrière le foutage de gueule du C02,
l’épuisement des gisements de phosphates sans lequel plus rien ne pousse, les
mélanges de populations incompatibles, Fukushima toujours pas réglé et plein de
centrales nucléaires réparées au chatterton par des sous-traitants
sous-qualifiés un peu partout de par le Monde, il est difficilement imaginable,
faute de matières premières et d’un monde vivable, qu’une nouvelle civilisation
technologique, seule capable potentiellement de gérer les cadeaux empoisonnés
qu’on lui aura laissés, émerge de nos cendres.
Dans ces conditions, on comprend
mieux pourquoi éliminer la partie de la population de la planète qui n’est pas
indispensable est envisagé pour maintenir un haut niveau de civilisation avec
le peu de ressources qui restent.
Au niveau de la France, le problème n’est pas qu’on manque de
solutions, mais l’absence tant du droit de les énoncer que de la volonté de les
appliquer.
Si le Monde est complexe, l’escroquerie consiste à nous faire
croire qu’il est compliqué et que du coup les solutions les plus simples et les
plus évidentes sont forcément simplistes, condition sine qua non pour pouvoir
nous expliquer, avec dédain, que si on nous encule c’est pour notre bien, mais
qu’on est juste trop cons pour le comprendre.
Cette vidéo vas s’auto-censurer dans 4,3,2,1,…
Bonjour,
RépondreSupprimerJe suis Benjamin J., j'ai laissé un message sur votre dernière vidéo YT parlant de Maximus Le Clément.
Je suis votre travail depuis un certain moment, que je trouve véritablement remarquable.
Je souhaiterais vivement pouvoir vous rencontrer ou échanger avec vous à propos de beaucoup de sujets.
Serait-il possible de vous contacter en privé ?
Merci à vous
Benjamin
Bonjour et merci beaucoup pour votre travail humoristique d'éveil des consciences; Hormis vous et Amélie Paul " la vérité brutale" , La Bajon est une autre personne appréciée ayant une approche différente, avez un talent humainement appréciable et sanitairement salutaire. Cordialement, Carmelo Di Bartolo qui oeuvre différemment sur Face de Book avec moins de qualité humoristique.
RépondreSupprimerFélicitations pour votre écriture impeccable, termes choisis et clairs, bonne analyse. Bravo ça fait du bien.
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