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dimanche 18 avril 2021

Bientôt TOUS RUINÉS!!!! (19 avr. 2021)

 Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/38-p_mnd8ag


  S'agissant d'un diaporama, je vous conseille de le visionner avant de lire la transcription, si ce n'est déjà fait.

Pour comprendre ce qui nous pend au nez, il suffit de se rappeler que nos deux instincts animaux primaires sont le sexe et la bouffe, essentiels à notre survie. Il en découle que les hommes veulent des femmes, que beaucoup de femmes sont attirées par le pouvoir et qu’il n’y a pas de pouvoir qui se justifie sans pénurie ou menace quelconque, réelle ou supposée. Donc, les hommes de pouvoir ont toujours entretenu les pénuries. S’il pouvait arriver épisodiquement que, par orgueil ou par grandeur d’âme, un despote quelconque se mette à œuvrer dans l’intérêt général, aujourd’hui nous avons dépassé ce stade et créé des « entités » avec une volonté propre indépendante des individus qui les composent et dont c’est carrément la survie qui dépend desdites pénuries, un peu comme pôle-emploi de l’accroissement constant du nombre de chômeurs. Lesdites entités n’ont pas d’orgueil et détruiront l’humanité si cela peut contribuer encore un peu à leur croissance.

Il semble évident qu’un certain nombre de forces et d’individus, qui y trouvent leur compte, convergent pour imposer leur vision fantasmée du monde en niant dangereusement la réalité. Pour autant, leur pouvoir se limite à pousser dans le sens du vent sur le mode : « quand quelque chose nous dépasse feignons d’en être les instigateurs » et s’ils aggravent considérablement les problèmes, l’effrayante vérité est qu’il n’y a pas de pilote dans l’avion (les ennemis identifiés étant la conséquence d’un certain nombre de phénomènes et non leur cause) et que même si couper quelques têtes, au propre comme au figuré, ne saurait nous nuire, cela ne suffira pas.

Le problème de base a toujours été le ratio nourriture-population, premier levier d’asservissement des peuples. Problème qui n’a pas cinquante solutions et se résout en obtenant suffisamment de nourriture pour garder les esclaves en vie, ce qui s’obtient en augmentant la production, en réduisant la population (généralement par des guerres, l’eugénisme étant un tabou dans nos sociétés) ou en allant piquer les ressources du voisin. Comme toute pénurie, sa gestion, par des gens qui eux n’ont jamais faim et qui s’accompagne généralement de la distraction des estomacs vides par l’instauration de jeux du cirque, est autoritaire afin que ceux qui sont lésés ferment leur gueule de complotiste. 

Plutôt que la solution écologique naturelle (donc sanglante et sélective) consistant à réduire la population, on a préféré mettre en danger l’écosystème en augmentant les rendements par l’énergie (dont le nucléaire) et la pétrochimie et, ayant déjà piqué tout ce qui pouvait l’être aux voisins proches, contraints d’aller chercher les ressources toujours plus loin, nous sommes devenus encore plus dépendants de ladite énergie, elle-même limitée. Résultat, les gens sont toujours confrontés à leur problème initial de limitation des ressources alimentaires, sachant que 90% des contenus des supermarchés ne sont pas de la vraie nourriture, mais des bidules transformés qui remplissent l’estomac d’obèses que le manque de nutriments pousse à manger toujours davantage (une variation subtile de la tendance qu’avaient déjà les romains à couper le pain avec du plâtre ou de la sciure). En outre, la population est également confrontée aux limitations des ressources énergétiques dont elle n’avait cure avant, les angoisses devant les coupures d’internet étant pour Napoléon un problème relativement secondaire. On a donc aggravé la situation. 

Ce n’est pas perdu pour tout le monde car plus de pénuries à gérer renforcent le pouvoir et exigent, mathématiquement, davantage de contrôle des populations par la matraque (la castration par le confort étant réservé à de moins en moins de monde), les distractions médiatiques et par le flicage technologique. Un contrôle dont l’aboutissement logique sera la numérisation totale de la monnaie et l’enfermement des citoyens dans un univers clos où même leur argent ne leur appartiendra plus et ou leur survie dépendra de l’attribution (ou non) de droits numériques par le gouvernement. Et pour couronner le tout, en plus de nourriture et d’énergie on a désormais besoin d’un certain nombre de matières extrêmement rares pour fabriquer les composants électroniques, les batteries et autres robots.

Le pire est que la raison humanitaire invoquée pour justifier tout cela, c’est du flan, car en fait, on régule déjà massivement les populations occidentales en avortant à tour de bras et qu’on tue les vieux au Rivotril sans état d’âme. C’est juste qu’on ne veut pas que ce soit le dit (à cause des valeurs de la république) ni l’imposer au reste du monde lequel pourtant fornique allègrement sans se soucier des conséquences. Du coup, on a artificiellement étalé le problème en gonflant les populations desdits pays occidentaux (qui s’étaient donc auto-réduites et ne posaient plus souci) afin d’éponger le surplus de certains pays d’Afrique et d’Asie qui ne produisent rien d’autre qu’un excédent de population, excédent qu’il est pourtant tabou de considérer et de traiter comme tel en fermant le robinet humanitaire et en tirant à vue, par exemple, comme jadis, sur tout ce qui met un pied hors de ses frontières afin de laisser la nature (et les quelques lions qui restent) faire leur boulot, pendant qu’on regarde tranquillement Netflix.

Le problème est donc purement matériel et culturel. L’aspect économique est juste une abstraction qui vient se greffer dessus et qui ne fait qu’aggraver les choses, notamment par l’incitation à l’immigration vue par nos décideurs comme de la main d’œuvre de service bon marché et, pour le surplus, comme un adjuvant empêchant la constitution de blocs naturels de résistance. Un aspect économique loin de peser aussi lourd qu’on ne le pense, face au virus de l’universalisme et au mythe de l’égalité devant les hommes qui, s’il a pris son essor avec les lumières, était déjà présent à l’état embryonnaire dans une religion catholique qui, mal comprise, ne demandait qu’à se laisser infecter.

Pour mieux appréhender l’abstraction économique, il faut considérer qu’il y a deux sortes d’argent, qui fonctionnent dans des univers clos : l’argent que l’on dépense, susceptible, même s’il est créé par les banques par un simple jeu d’écriture, d’être converti en billets et d’affecter la valeur de l’ensemble de la monnaie (si l’on en produit trop) et l’argent que l’on investit, toujours produit à partir de rien, mais lequel reste enfermé dans le Monopoly du circuit boursier, ce qui fait que l’on peut produire des milliers de milliards de monnaie numérique chaque jour sans que ça n’impacte proportionnellement les comptes en banque des usagers. En fait, cet argent, essentiellement, n’existe pas. 

Si une action vaut 1000€, qu’elle est solide, voire peut encore augmenter, pas grand monde ne voudra vendre. Si quelqu’un veut acheter, il devra payer plus cher et, même si peu d’actions sont vendues à 1200€, le cours passe à 1200€, ce qui fait que s’il y a 1 million d’actions en circulation, leur valeur théorique globale vient d’augmenter de 1 million x 200 soit 200 millions d’€uros.
En revanche, si demain ladite action s’effondre et ne vaut plus que 10 centimes, c’est 1 million x 1200, soit presque 1 milliard 200 millions qui s’évapore, preuve que cet argent n’a jamais existé. Là où l’on voit l’escroquerie, c’est que si c’est vous, petit porteur, qui perdez, c’est pour votre pomme, en revanche, si c’est un acteur financier « too big to fail », ou une grosse banque, non seulement on va les renflouer avec de l’argent magique, pour qu’ils puissent continuer à faire mumuse, mais on va faire transiter le prêt par l’état afin d’augmenter la dette publique et que la collectivité des gens qui bossent paye. Si l’on ajoute tous les produits financiers permettant, non plus seulement d’acheter et vendre des actions, mais de parier à la hausse ou à la baisse sur n’importe quoi, de mélanger les titres de façon opaque et autres joyeusetés, créant des bulles de plus en plus grosses, on comprend le besoin croissant de fausse monnaie numérique, ne serait-ce que pour que soient possibles les opérations d’achat et de vente.

Au départ le mécanisme servait à injecter des liquidités dans l’industrie par des introductions en bourse, désormais il est juste une machine à spéculer sur des actions qui, majoritairement, existent déjà et qui vivent leur vie, faisant que certaines entreprises n’ont plus besoin de produire pour se recapitaliser, ce qui conduit à des licenciements massifs et à leur mort à terme, mais on s’en fout, tant que ça rapporte, fait monter les cours et que les actionnaires sont contents.

Grace à cela, certains très riches se goinfrent, mais pour aussi riches qu’ils soient, ils n’ont qu’un trou de balle et une fois qu’ils ont acheté quelques lingots d’or ( s’ils parviennent à en trouver), or qu’il leur faudra stocker et surveiller à leurs frais (les banques étant tenues d’ouvrir leurs coffres si l’État réquisitionne), trois maisons qui leur coûteront une fortune en taxes et entretien, autant de piscines, une paire de nichons en gélatine siliconée pour leur épouse et quelques dépenses de niche (dont des Lamborghini dont l’achat n’aura aucune incidence sur le prix des Renault Clio), ils n’ont pas d’autre choix que de réinvestir la quasi-totalité de leur faux argent dans la bourse, ou dans des soi-disant œuvres d’art qui sont devenues une bourse bis, s’ils veulent rester riches, d’autant que l’argent sorti de la bourse est considéré comme bénéfice et donc taxable en conséquence.  Bref on reste majoritairement en circuit fermé sans impact direct sur le vrai Monde. 

Il y a cependant des fuites voulues d’un circuit à l’autre qui produisent une inflation nécessaire pour encourager l’investissement et éviter que l’argent ne stagne sur des comptes et, étant retiré de la caverne d’Ali-Baba magique, ne se retrouve en masse dans le Monde réel. Il y a donc, malgré tout, un impact négatif et non négligeable de ce cercle vicieux et vicié sur l’économie réelle. Outre les licenciements et la destruction de l’industrie déjà évoqués ainsi que la spéculation scandaleuse sur les matières premières qui, elle, a des conséquences directes sur le panier de la ménagère, il faut aussi prendre en considération les sommes reversées par les Hedge Funds à leurs retraités privés et, autre point crucial, l’endettement des états.

Là encore on reste dans le virtuel. Il faut bien comprendre qu’un état vit plus longtemps qu’un individu et qu’il peut donc se refinancer éternellement en empruntant pour rembourser, ce qu’il ne se prive pas de faire, d’autant qu’avec les taux négatifs actuels, la dette se réduit à chaque nouvel emprunt (si l’on n’accroit pas sa masse). Contrairement à d’autres pays, pour lesquels cela est plus compliqué, la France a beaucoup de richesses potentielles, à commencer par son territoire, et une existence millénaire. Pour l’instant, l’accès à l’emprunt ne pose donc pas vraiment de problème. La dette, tant que cela dure, non seulement n’est plus un souci, mais judicieusement utilisée pour redynamiser le pays et retrouver un maximum d’autonomie pourrait-être un atout. 

Malheureusement, si la masse de ladite dette augmente au lieu de diminuer comme l’on pourrait s’y attendre, vos poches restent vides, preuve que si l’on emprunte toujours davantage tout cet argent va ailleurs. En fait, il est totalement phagocyté par un système parasitaire : les parasites du haut (ce que la gauche dénonce avec justesse), les parasites du bas, dont l’immigration, qui détruisent en se l’accaparant notre système social (ce que la gauche oublie de dénoncer) et, au milieu (ce qu’elle ne dénonce pas non plus) le plus gros parasite de tous, l’état républicain lui-même avec ses ministres, députés, sénateurs, commissions Théodules et prébendes diverses et dont les fonctionnaires ont été réorientés de l’exécution des fonctions régaliennes laissées à l’abandon et en sous-effectifs vers la maîtrise des tableaux Excel nécessaires à la mise en place de normes et règlements toujours plus contraignants (pour ceux qui travaillent encore) et vers  l’accueil du migrant sur notre généreux territoire .

Combien de temps peut-on maintenir cet état de grâce en matière de prêts bancaires, voire simplement survivre, dans un tel système parasitaire qui ne produit plus grand-chose ? En fait, ledit système, qui n’est qu’une déclinaison du mondialisme, est bien verrouillé et les pays qui bossent encore et qui nous alimentent ne peuvent le faire qu’à l’aide d’intrants et de technologies que nous leur fournissons et qu’ils ne peuvent payer qu’avec notre fausse monnaie qu’ils sont donc bien obligés d’accepter (on a vu comment la velléité d’introduire le Dinar or en Afrique s’est terminée pour Kadhafi). 

En théorie, donc, sous réserve que la course contre la montre de la suppression de l’argent physique soit gagnée avant que des solutions alternatives ne se mettent en place, on peut vivre à crédit tant qu’il y a de l’électricité, que nos ordinateurs peuvent produire des 1 et des 0 et qu’une éruption solaire, du genre de celle ayant eu lieu sous Louis "croix bâton V", ne vient pas effacer notre civilisation numérique du jour au lendemain.

Pour autant, les billets ne se mangent pas et  du fait d’une importation massive de bouches à nourrir improductives et de la destruction de notre tissus industriel, artisanal et, plus grave, agricole ainsi que de la perte graduelle de notre avance technologique, si l’on fait le rapport entre le nombre de pays qui ont accès à l’argent magique et les ressources disponibles, il est évident qu’un tri devra être fait et qu’une France peuplée de parasites ne saurait rester longtemps en haut du panier. Par ailleurs, les parasites du bas, eux, dépensent l’argent qu’ils nous prennent et consomment en nombre de vraies ressources dans la vraie vie, en laissant moins (et faisant augmenter leur prix) pour les autochtones.

A cela s’ajoute que le rôle de l’état, plus encore dans un système mondialisé où il n’est qu’exécuteur des basses œuvres, étant de rendre les gens dépendants et soumis, il lui est intolérable que certains disposent encore d’un bas de laine qui les protège contre le fait d’être taillables et corvéables à merci. C’est ce qui explique que plutôt que de tout subventionner par la dette infinie comme il pourrait le faire, il ne se prive pas, au prétexte hypocrite de devoir la rembourser, de vider les comptes en banques de ceux qui en ont encore un, tout en détruisant, avec l’excuse d’un virus issu d’un pangolin transgénique enclin au priapisme, tous ceux, restaurateurs et autres artisans, qui disposent encore de leur outil de production, les rendant un tant soit peu indépendants du système et ce au bénéfice d’entités qui les remplaceront par des franchises, l’état ayant démontré, en ex URSS, son incapacité profonde à gérer les commerces. Il y a donc partage équilibré des tâches.

Donc on finira tous ruinés, non parce qu’ils ont besoin de notre argent quand ils peuvent en produire autant qu’ils veulent, mais simplement pour nous soumettre. Ce n’est que quand nous serons tous des esclaves numériques, vivant au jour le jour du fait de l’impossibilité structurelle d’économiser, qu’on pourra procéder à la diminution massive de la population, si possible loin des caméras et sans que personne ne puisse se plaindre d’autant que, quand on aura mélangé les peuples, ce sera plus difficile de repérer qui manque dans une uniformité café au lait. Simplement, au lieu de la sélection naturelle qui aurait, au moins, eu le mérite d’améliorer l’espèce, les critères seront ploutocratiques avec, d’un côté, une hyper-classe consanguine de multimilliardaires et de fils de, quelques élites et médias dégénérés pour contrôler le peuple en échange de miettes, quelques techniciens pour réparer les machines et, de l’autre, juste le nombre d’esclaves suffisant pour servir ce beau monde, y compris sexuellement et faire ce qui reste encore inaccessible aux robots et intelligences artificielles. 

Une dystopie sclérosée et fragile façon 1984 qui ne sera pas en mesure de garantir la survie de l’humanité laquelle me semble plus importante que les valeurs humanistes à la con et autres « liberté, égalité, fraternité » démocratiques et républicaines qui servent à nous vendre tout ça.

Mon travail est entièrement bénévole, pas de monétisation, pas de tepee, et ce genre de vidéo prend beaucoup de temps donc, si vous en voulez encore, likez, commentez, partagez et abonnez-vous. Merci à tous pour votre soutien.

 

 

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