Transcription de ma vidéo YouTube :https://youtu.be/I9o5qSRUXlk
Bonjour !
Parfois la réalité dépasse non plus la fiction mais carrément « l’affliction ». Désormais, offrir des fleurs à une militante LG « hébétée » (pour le coup) Alice « patin » Cofin qui se caractérise moins par son amour des femmes que par sa haine affichée des hommes c’est, selon les médias et Mélenchon, une agression. Peut-être les prémices d’un nouveau délit de phytophobie, sachant, et je suis assez d’accord, qu’effectivement, couper de pauvres fleurs qui n’ont rien demandé, pour ça, ça frise le sadisme. Mais bon il est logique que si elle n’aime pas « l’épine », elle craigne aussi la rose.
Dans la même veine, selon les mêmes (et l’ensemble d’une classe politique qui se sent visiblement concernée, à commencer par le récipiendaire) une baffe au président c’est de l’ultra-violence. Je ne parle pas de la baffe électorale qu’il vient de se prendre, mais de la giflette symbolique, par une main probablement pas désinfectée au gel hydroalcoolique et pleine de coliformes fécaux (surtout si c’était prémédité) voire de résidus de spermatozoïdes, toutes choses susceptibles, par ailleurs, de déjà se trouver au point d’impact en quantités conséquentes ; un acte qui ne mérite, pour autant, ni le qualificatif ni les sanctions, pour une fois rapides et exemplaires, qui s’en sont suivies.
Les gens qui y voient de l’ultraviolence, si on leur retourne leur fièvre superlative sont des ultracons qui justifient à eux seuls l’invention de la cédille qui, en les transformant en « ultraçons », aurait le mérite de les rendre inaudibles. Si c’est ça l’ultraviolence, on risque de bientôt manquer de superlatifs pour les autres joyeusetés qui, couteau ou tard, s’abattent sur des citoyens certes ordinaires et éminemment remplaçables et remplacés, mais quand-même. Sans même parler des violences policières, orientées vers une seule partie de la population, policiers qui eux, dictature sanitaire oblige, n’ont pas le temps de perdre la main, contrairement à des dizaines de Gilets Jaunes et plus récemment à un jeune infortuné à l’occasion d’un des nombreux heurts qui ont émaillé la fête de la musique, laquelle, visiblement, n’était autorisée que dans la cour de l’Elysée ou, libéralisme économique oblige, dans des lieux payants.
Ce combo-permanent de violence exotique impunie et de violence policière impitoyable contre ceux qui réalisent qu’ils n’ont jamais signé le contrat-social qu’on leur impose ne serait donc, en comparaison, que de la micro-violence, voire de la nano ou de la pico-violence qui ne mérite même pas l’encre pour en parler à la rubrique des sans-dents écrasés. Vous me direz que si on manque de superlatifs, on pourra toujours inventer des ultralatifs, ultralaxatifs pour logorrhée verbale, lesquels, faute de pouvoir chanter ses louanges, permettraient au moins de chanter les langes d’un Macron qui se fait dessus. La baffe devenant alors un crime d’alèse majesté.
Certains me diront que ça n’a rien à voir et que la tarte pas tatin délivrée à ce pantin hautain qui l’a atteint à Tain et au teint, lequel s’en est vu passablement rougi, c’est un manque de respect envers la fonction présidentielle. Comme si l’on pouvait baffer une fonction fût-elle totalement en dérive plutôt que dérivée partielle (les matheux comprendrons). C’est l’homme qui se fait baffer, jamais la fonction car, contrairement à ce que l’on nous vend, si quelqu’un doit respecter ladite fonction, c’est en premier lieu le président lui-même et c’est de ce respect que découle celui du peuple qui, lui, doit se gagner, sachant que, depuis l’abolition de la monarchie, on n’est plus dans le droit divin.
Imaginons, et par les temps qui courent, je suis hélas obligé de préciser que c’est de la fiction (en tout cas j’espère) qu’on apprenne que Macron sodomise des bébés dans la cour de l’Elysée avant de les jeter en l’air en criant « pool » pour que Brigitte les tire au fusil. Qui, entre lui et celui qui, éventuellement, le réduirait en pulpe pour ça, ne respecterait pas la fonction présidentielle ? (Qui, Qui ?). On voit bien que le raisonnement ne tient pas. Par ailleurs Macron aurait tort de se plaindre car un président qui se respecte, ça ne se baffe pas, certes, mais ça s’assassine. De Gaulle n’a jamais été baffé ou enfariné, mais, comme d’autres, il a eu sa tentative d’assassinat. Je précise que c’est juste un constat historique, absolument pas une incitation quelconque à l’intention de quelque Ravaillac en herbe à agresser Macron au prétexte que sa poule serait un vieux pot dans lesquels, parait-il on fait la bonne soupe. Mais bon, c’est délicat car du coup, si je demande à respecter le président, c’est un appel au meurtre et si je demande à ne pas le respecter, à la prochaine baffe ou projection de cacatov, je risque de me retrouver devant un juge dont je serais présomptueux de parier sur le sens de l’humour, car devinez qui est dans la liste des abonnements YouTube sulfureux du baffeur Damien Tarel ... (Qui, Qui ?).
Inutile de vous dire que, vu le contexte, j’ai brûlé tout ce qui était compromettant chez moi : Mein Kampf, le Kâma-Sûtra, même l’annuaire téléphonique car, honnêtement, il y avait des noms passablement suspects dedans…. C’est d’autant plus râlant que c’étaient des collectors que j’avais trouvés sur le bon coin : le Kâma-Sûtra était dédicacé par l’abbé Pierre et Mein-Kampf surligné par Anne Frank au Stabilo. Bon j’admets, je me suis peut-être fait avoir sur ce coup-là.
Je tiens, toutefois, à ce que les choses soient claires, je n’ai jamais dit qu’il fallait baffer Macron, j’ai juste parlé une ou deux fois de décapitation. Mais je veux bien admettre que se balader avec une guillotine ce n’est pas pratique et que ça minimisait les chances que ledit macron se précipite vers le perpétrateur (en courant, qui plus est, histoire de montrer qu’il est jeune et dynamique). De plus, une guillotine ça se confisque, alors que les mains non ; ou alors se serait sacrément ironique car les seuls qui pourraient rencontrer le gérontophile à voile et à hydrogène ce serait d’anciens Gilets-jaunes dont notre leader suprême pourrait dire : « finalement, ils sont moignons tout plein ».
Des Gilets jaunes dont on oublie un peu vite qu’ils sont la conséquence d’un certain nombre de problématiques qui n’ont fait, depuis, qu’empirer de manière exponentielle façon mouche empalée sur UN maxi-cône (et non UNE, rien à voir, dès-lors, avec Schiappa) et qui seront d’autant plus visibles quand la couche de neige covidienne qui, pour l’instant, recouvre tout de sa blancheur immaculée (ce n’est pas un gros mot) aura fondu et nos comptes en banque avec, compte tenu de l’inflation qui redevient galopante et de la nouvelle flambée des prix des carburants sans compter, dès le premier juillet, la TVA de 20% sur les produits de moins de 22€ achetés en ligne.
L’abstention record de presque 70% aux régionales, laquelle a touché autant que les autres le RN, devenu, à force de renoncements, un parti de parasites alimentaires comme les autres (je vous renvoie à ma vidéo prémonitoire sur le sujet), devrait les inquiéter car, la nature ayant horreur du vide, quand les gens ne croient plus en la solution politique, il est à craindre qu’ils ne deviennent inventifs ou ne ressortent de vielles recettes décapitatoires. D’ailleurs, si j’en juge par ce que je vois autour de chez moi, les radars semblent recommencer à inspirer des peintres amateurs, signe que la braise couve encore. Mais au lieu d’en tirer les leçons qui s’imposent, chose que par ailleurs, n’ayant pas le pouvoir réel, ils n’ont pas les moyens de faire, on va tenter de nous refourguer un vote par internet qui, sauf à être public et assumé, comme je le prône depuis des années, et serve à voter non pour des partis, mais directement nos lois, permettra toutes les manipulations, le secret du vote étant une des failles majeures aboutissant à la perversion du système. Il est même fort possible qu’ils finissent par rendre ledit vote obligatoire et, pourquoi pas, qu’il soit fusionné avec le Piss-Sanitaire.
La force du système, raison pour laquelle il parvient à se maintenir contre les règles de la gravité, tel le coyote du dessin animé qui dépasse le bord de la falaise, mais ne tombe que lorsqu’il regarde en bas, c’est que, même lorsqu’il semble au bord de l’implosion, étant entièrement fondé sur le diviser pour régner, il lui suffit de trouver une nouvelle ligne de fracture et les gens s’écharpent entre eux plutôt que de se retourner contre lui. Sans compter que les anciennes fractures ne disparaissent pas pour autant et que tout se cumule, le propre des fanatiques étant de ne jamais se remettre en question : quand le communisme ne fonctionne pas, c’est juste qu’il faut plus de communisme, quand l’Europe ne fonctionne pas, c’est qu’il faut plus d’Europe, quand le libéralisme ne fonctionne pas c’est qu’il faut plus de libéralisme, quand on a mal aux fesses, c’est juste qu’il faut plus de vaseline. Sur l’avant-dernier aspect, le libéralisme et les trahisons de la droite, je vous renvoie à une vidéo de Tatiana Ventôse (je vous mets le lien dans la description) qui, pour le coup, est excellente, même si, bien qu’elle cite quelques noms, elle ne va pas jusqu’à dire qui tire les ficelles (Qui, Qui ?).
Dans la même veine, le Covidisme, devenu une idéologie de la soumission et dont les différentes mesures ont la pertinence d’un désodorisant parfum bouse marine à 0% de matière grasse, est un trait de génie en ce sens qu’il permet, par la trouille, le mensonge et la coercition de créer une ligne de division supplémentaire au sein des opposants, même les plus déterminés, entre ceux qui réfléchissent et ceux (pourtant indispensables au moment de faire nombre) qui, tels des pendules arrêtées donnant l’heure juste deux fois par jour, bien que se trouvant, presque par hasard, du bon côté, ont des motivations aussi hétéroclites qu’irrationnelles qui les rendent facilement retournables.
Comme, par ailleurs, les médias sont depuis longtemps perdus et qu’Internet, ne nous masquons pas la face, est tombé à son tour, ne laissant subsister que quelques chambres d’écho étanches qui ne touchent jamais les masses, qui n’ont pas le droit de nommer les problèmes et dans lesquelles les rares personnes encore éveillées dépensent leur énergie de manière stérile, la folie ambiante ne va faire que croitre jusqu’à ce qu’elle soit rattrapée par cette réalité qu’elle s’obstine à nier, que nous prenions collectivement conscience du précipice sous nos pieds aussi insondable que la connerie de nos politiques sauf pour un proctologue et que nous nous crashions dans une apothéose cataclysmique atteignant enfin, dans la mort, cette égalité mythique qu’on utilise pour nous vendre tout ça.
Car vraiment on joue avec le feu. Vingt-trois résidents d’un Ehpad de Pontonx-sur-l’Adour dans les Landes, ayant reçu leur deuxième dose de vaccin en février ont été contaminés par le variant delta. Si l’on rajoute les flambées de contamination dans les pays les plus vaccinés du Monde tels Israël et la Grande-Bretagne, la preuve est faite que le vaccin immunise autant contre le corona que BFM contre la connerie. Ce qu’il fait c’est que les personnes contaminées sont moins nombreuses à être hospitalisées et que les autres deviennent des porteurs sains. La conséquence logique de cette stratégie des vaccins dits « à fuites » façon Brigitte Macron sans Pampers 3eme âge, c’est que des souches, mortelles pour des non vaccinés, lesquelles ont normalement tendance, du fait de tuer leur hôte prématurément, à s’effacer au profit de souches plus bénignes, vont désormais pouvoir proliférer chez lesdits vaccinés et que, dès lors, il faudra, pour pouvoir survivre à un virus devenu 100% mortel, que tout le monde se vaccine tous les ans, avec de surcroit des vaccins à ARN messager non testés qui, outre les effets secondaires immédiats parfois fatals qu’ils provoquent chez certains, sont potentiellement des bombes biologiques, transmissibles aux générations futures.
Le plus ironique c’est que ceux, nombreux, qui se sont vaccinés par altruisme en croyant protéger les autres vont devenir, à l’inverse, le principal vecteur de contamination et assurer une rente confortable aux labos ainsi qu’un levier de contrôle définitif aux états. Tout ça pour, je le rappelle, une maladie qui au départ ne tuait pas plus qu’une mauvaise grippe saisonnière et principalement en se comportant comme la goutte qui fait déborder un vase, de toutes façons destiné à déborder à brève échéance, chez des personnes ayant des comorbidités et qui agissait comme un rattrapage naturel du fait qu’il n’y avait pas eu d’épidémie virulente de ladite grippe les années précédentes. Nos dirigeants sont des assassins.
Alors franchement, s’en tirer avec une petite baffe et avoir le culot de parler d’ultraviolence c’est vraiment prendre les gens pour des cons.
Merci d’avoir écouté jusqu’au bout et à bientôt… j’espère.