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mardi 20 juillet 2021

Justification de la DICTATURE par la DEMOCRATIE. COMMENT ON NOUS ENTUBE (et comment l'éviter) (20 Juil. 2021)

 Transcription de ma vidéo YouTube :https://youtu.be/eVKhT1dAoNk

 

 Bonjour!

Nous en sommes arrivés à ce paradoxe qu’on justifie la dictature au nom de la démocratie et Gilles-William Goldnadel, ceinture noire 8ème dan (sans compter les prémolaires) en sophisme et en manipulations sémantiques m’a servi sur un plateau et celui de RMC un parfait exemple de cette manipulation face à un Philippot qui, tel un jeune Jedi contre un vieux maître Sith a dû se remémorer la fable du PhilipPOT de Terre contre le supPOT d’enFER.

Ma chaîne étant actuellement sur un siège éjectable, comme ceux qui me suivent le savent, je ne prends pas le risque d’une violation forcément patriarcale de copyright en vous passant ce morceau d’anthologie, mais je vous mets le lien dans la description (c’est à 9mn 40).

Dans la plus pure tradition du Judo, sensei Goldnadel commence par tirer vers lui Phillipot en disant être partiellement d’accord, puis lui bloque la jambe par un « mais » suivi d’une affirmation qu’il est dangereux de contester sur les ondes à savoir, textuellement, que : « Les pires détracteurs d’Israël considèrent que c’est un Pays démocratique ». Une fois son adversaire tétanisé, conscient d’avoir un révolver médiatique pointé sur un organe qui, dans son cas, ne sert pas à la reproduction, il ne reste plus à notre brave avocat, dont parfois on apprécierait que son pays n’exporte que la version végétale, qu’à placer sa hanche sous le centre de gravité et à dérouler son sophisme déguisé en raisonnement logique et que l’on peut condenser en : « Puisque, c’est une démocratie et que, quand j’y vais, je dois montrer mon QR code, c’est donc que le pass sanitaire, c’est démocratique ». Ippon, belote et dix de der plus quinte floche, ou quinte de toux pour rester dans le registre covid. Oignon Macron ! (ou « ail » si vous préférez).

Je ne vais pas m’étaler sur le sophisme qui est assez classique. On part d’une prémisse biaisée mais affirmée avec suffisamment de force et d’aplomb pour la déguiser en évidence, le tour de passe-passe consistant, avant que l’interlocuteur ait le temps de réaliser qu’on lui a fait passer une description subjective pour une réalité intrinsèque, à détourner son attention par un « Donc » qui le focalise sur la démonstration logique qui va suivre. Là c’est encore plus tordu puisque le message s’adresse aux auditeurs et que, pour qu’il passe, on utilise l’intimidation implicite et le temps contraint pour empêcher l’interlocuteur lequel, s’agissant de Philippot, n’est pas dupe, de relever la chose.

C’est comme si l’on disait : J’affirme que Jack est hétérosexuel. Bon, c’est vrai qu’il aime beaucoup les petits garçons DONC j’en déduis que la sodomie de petits garçons est un acte hétérosexuel…. Vous comprenez le principe lequel s’applique à la totalité des déclarations gouvernementales sur le virus. La première prémisse est toujours fausse ou « bien biaisée » (contrairement à certaines ministres) et parfois même, la seconde aussi.

Par ailleurs, comme là on n’est plus en seconde division, mais carrément dans la « Champion’s League », non seulement on a droit à un raisonnement inversé, le même qu’utilise Macron, tendant à faire accroire que c’est le caractère supposément démocratique d’un pays qui détermine si ses actes sont démocratiques ou non alors que c’est, au contraire, le caractère démocratique desdits actes qui seul permet de déterminer si un pays à une dimension démocratique, mais, cerise sur le gâteau, la prémisse de Goldnadel contient un double Mensonge. Sachant que, contrairement aux croyances, répéter 100 fois un mensonge en fait une vérité médiatique, le premier, qui participe de son combat acharné, infatigable, permanent et patriotique pour son pays, consiste à vendre Israël (qu’il arriverait à placer dans la conversation même dans un débat sur la sexualité des doryphores) comme une démocratie, avec le même aplomb et la même certitude que s’il parlait de la gravité terrestre ou du fait que l’eau mouille plus que Brigitte Macron. Le second, beaucoup plus insidieux, sans lequel le premier ne serait pas possible et qui est à l’origine de la plus grande manipulation de l’histoire de l’humanité, consiste à nous faire croire que la démocratie existe.

Tout système de gouvernement ayant une vocation parasitaire et tout peuple une tendance à se débarrasser du fardeau décisionnel contre une promesse de sécurité qui l’affranchit d’avoir à se poser des questions qui le terrifient, ce que l’on qualifie, à tort, de démocratie et qui a plus à voir avec la notion de liberté qu’avec le système électoral lui-même (lequel ne garantit absolument rien) outre une absence criante de Marlène Schiappa, véritable marqueur de civilisation, se distingue d’un pays qui n’en est pas une par le fait que, si vous n’êtes pas contents, au moins on vous laisse, magnanimement, partir. Depuis le corona, qui sert de prétexte à limiter considérablement les déplacements à l’étranger, cette différence s’est considérablement réduite. Par ailleurs, la démocratie n’aurait de sens qu’en période de paix et d’opulence. Attendez qu’une guerre survienne, contre un adversaire réel ou imaginaire, et vous allez voir si on va vous demander votre avis pour quoi que ce soit dans les pays qui s’en réclament. C’est d’autant plus vrai avec un Macron particulièrement martial qui est passé de la guerre contre le terrorisme à celle contre le Corona, mais qui se bat surtout contre le gaulois réfractaire.  Si l’on voulait sortir du concept creux qu’on nous vend, il faudrait plutôt voir la démocratie comme un idéal utopique vers lequel on peut, au mieux, tendre, et qui, telle la conjugaison d’un préservatif aimanté et d’une épouse amatrice de lentilles, demande un effort de tous les instants juste pour rester dans la bonne direction. 

Elle ne se satisfait pas de la définition du dictionnaire, n’est pas un diplôme délivré une fois pour toutes et encore moins une médaille auto-attribuée, sinon bienvenue en République populaire démocratique de Corée, petit nom de la Corée du Nord. Par ailleurs, non seulement il faudrait déjà vouloir collectivement vivre en démocratie, mais cela ne serait pas possible partout, ni pour tout le monde, le concept même, étant totalement incompatible avec un autre concept illusoire utilisé, lui aussi, pour manipuler les gens : celui d’égalité. Il faudrait donc, et c’est facile à démontrer, pour s’en revendiquer, que certaines conditions soient remplies au préalable.

Même dans l’hypothèse farfelue selon laquelle les politiciens tiendraient leurs promesses, donner le droit aux gens de choisir tous les cinq ans parmi une liste de candidats que, par le biais de filtres divers, on a gentiment présélectionnés pour eux après s’être bien assurés qu’ils ne remettent pas en question la république et acceptent les règles édictées par ce même système que certains d’entre eux dénoncent d’un ton martial, ne suffirait pas, en effet, à faire d’un pays une démocratie. Imaginez (et toute ressemblance avec un conseil des ministres est purement fortuite) que vous laissiez s’auto-gérer démocratiquement une classe de moyenne section de maternelle et qu’il se trouve une boite d’allumettes dans ladite classe. Vous aurez ensuite tout loisir d’expliquer aux pompiers que c’était une erreur que de laisser certains choix à des individus qui n’ont pas la maturité suffisante pour que le système soit viable. Mais si l’on exclut, à juste titre, les enfants, pourquoi, de l’autre côté du spectre, devrait-on laisser l’escroquerie du droit de vote aux personnes séniles ? Sans compter les fous et tous ceux qui ne sont pas capables de sens commun ? 

Un sens commun (ou bon sens) qui, s’il n’est pas proportionnel, loin s’en faut, au niveau d’intelligence (des individus très intelligents en étant totalement dépourvus et des gens à l’apparence très simple en étant largement dotés) exige toutefois un seuil minimum qu’on peut situer entre le singe et le Castaner, pas forcément dans cet ordre. Les individus qui sont incapables de comprendre ce qui leur arrive et ce à quoi ils s’engagent étant les plus à même de se laisser embobiner pour aller se faire tuer pour rien dans quelque bourbier à l’autre bout du Monde, l’armée américaine s’est vite rendue compte que ces individus, dont le pourcentage n’était, du coup, pas négligeable, incapables de maîtriser l’usage basique d’armes de plus en plus sophistiquées, étaient plus dangereux pour les autres soldats que l’ennemi, qu’ils étaient sujets à des crises de violence imprévisibles et que, faute d’être capables de conceptualiser, ils compromettaient toutes les missions auxquelles ils participaient. Elle a donc, suivie en cela par de nombreuses armées de par le Monde, instauré un test de QI au moment du recrutement. 

Il est à noter que ce QI minimum, pourtant très bas, correspond au QI moyen de certains pays que je ne nommerai pas et qui, cerise sur le kouglof, nous envoient généreusement, en nombre, la mauvaise extrémité de leur courbe de Gauss. Certes on m’objectera, probablement à raison, que le test de QI est biaisé en termes de calcul d’intelligence pure car il favorise, notamment, les gens issus de civilisations occidentales ou asiatiques et un certain type de raisonnement et que, coincé dans le désert australien, dans lequel je ne survivrai pas une demi-journée, les aborigènes que je serais amené à rencontrer me considèreraient certainement comme un débile mental. Justement, raison de plus pour en déduire que cela fait de l’exigence d’un QI minimum le meilleur outil connu pour déterminer quels sont ceux qui ont le type d’intelligence spécifique adapté à une vie harmonieuse dans nos sociétés sans laquelle aucune démocratie n’est possible. Il est donc clair que tout adepte de l’ouverture sans contrôle des frontières n’est pas un démocrate qu’il soit un gauchiste humaniste ou un milliardaire en quête de main d’œuvre bon marché, les uns se nourrissant des autres dans une fausse alternance Gauche-droite. Il en résulte que, même au sein de notre propre population, sauf à devoir appeler les pompiers comme en moyenne section de maternelle (laquelle, au moins, ne les caillasse pas) la démocratie n’est pas pour tout le monde. Même les grecs, inventeurs du concept, prémonitoirement concomitant avec un goût prononcé pour la sodomie, n’accordaient le privilège du vote et du débat sur l’agora qu’à une partie de leur population.

Cela choque déjà probablement certains, mais ce n’est pas fini car, outre un minimum d’intelligence et de bon sens, encore faut-il en avoir le souhait et en être foncièrement capable. De la même façon que, si une personne qui a, au départ, un métabolisme qui ne la prédispose pas à l’embonpoint, à force de mauvaises habitudes alimentaires finit en Gérard Larcher (qui n’est pas une flèche) ou en Emmanuel Lechypre et que, si elle fait des enfants après, ces derniers seront alors, eux-aussi, plus susceptibles de prendre du poids, des siècles d’un type de comportement donné finissent par se traduire par des caractéristiques génétiques et culturelles spécifiques à l’image du «Gaulois réfractaire » ; ce que l’on appelle l’atavisme. Des milliers d’années de culture tribaliste ne peuvent pas être gommées en quelques décennies pour installer la « démocratie », une des raisons pour laquelle cette entourloupe n’arrive pas à s’implanter dans certaines parties du globe, sinon sous forme de caricature. 

Pour rebondir de façon taquine sur l’affirmation de Goldnadel, les Hébreux étant, selon eux en tout cas, la plus vielle tribu du Monde, il se pourrait que leur conception de la démocratie puisse diverger la nôtre. D’autant qu’ils sont aussi largement une théocratie et que, là encore, toutes les religions, notamment celles qui ont des prétentions politiques et s’ingénient à codifier les actes les plus triviaux de la vie courante, ne sont pas forcément compatibles avec un processus démocratique, en tout cas, tel qu’on peut le concevoir chez nous.

De même qu’il ne saurait y avoir d’atome sans noyau, il n’y a pas de pays viable sur la durée sans, à minima, un socle ethnico-culturel cohérent. En dehors d’abjections comme la prétention de réduire l’humain à un QR code susceptibles de réunir au-delà, l’absence d’intérêts et objectifs communs sur les autres aspects essentiels de la vie génèrent tôt ou tard des conflits, comme actuellement en Afrique du Sud, l’absurdité sémantique et conceptuelle du « vivre ensemble » confirmant que, passé les 10 centimètres, on ne peut plus faire passer un plug anal pour un suppositoire. Imaginez un conglomérat fictif entre la Chine et le Lichtenstein. En démocratie, à la majorité, est-ce que vous pensez que les intérêts du Lichtenstein seraient souvent pris en compte s’ils étaient contradictoires avec ceux des Chinois ? Il en résulte que la cohabitation de blocs trop différents conduit généralement, à terme, à une scission brutale, comme en Yougoslavie, d’où la nécessité, sans pour autant tomber dans certains abus et un « purisme » qui n’a jamais de fin, à agir pour conserver ce socle cohérent quand on a la chance d’en avoir un. Pour l’instant, par l’immigration massive et l’accueil inconditionnel du migrant, on part dans la direction opposée.

Une fois qu’on a un socle cohérent de gens qui ont des intérêts communs ainsi que la volonté et la capacité de vivre en démocratie, encore faudrait-il qu’ils soient instruits (et non éduqués) de façon à apprendre à raisonner, à suffisamment maitriser les nuances de leur propre langue pour les prémunir contre les manipulations et les malentendus, à comprendre le pourquoi des règles de la société et à pouvoir les critiquer si elles se trouvent faussées ou corrompues. Si on regarde l’évolution de notre système éducatif qui n’est plus qu’une machine à fabriquer des républicains confus jusqu’à leur identité sexuelle, hédonistes et obéissants, on court, là encore, à la vitesse d’un écologiste devant un moteur diésel, dans la direction opposée.

Même si ces conditions étaient réalisées, nul ne peut prendre de bonnes décisions si l’information qu’il reçoit est biaisée, tronquée, partielle et partiale voire carrément mensongère, ce qui est le cas avec une presse et des médias monocordes aux mains d’oligarques souvent inféodés à des intérêts étrangers et qui fonctionnement de concert avec leurs pantins gouvernementaux.

Enfin, alors que, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la technologie nous permettrait de mettre en place le principe de subsidiarité et de voter directement, à tous les niveaux, nos lois et règlements (ou au contraire de les abroger) sans avoir à passer par l’intermédiaire d’élites parasitaires qui sont dans la trahison permanente, on leur confère, au contraire, toujours plus de pouvoir et on augmente leur nombre par des strates gouvernementales toujours plus nombreuses et toujours plus éloignées de la populations qu’elles sont supposées représenter.

Je passe sur la souveraineté et l’Europe que certains mettent en avant, mais qui n’est qu’une conséquence facilement remédiable si on résout le reste.

Une fois démystifié le concept trompeur de démocratie et, avec lui, celui de l’égalité (sachant que la liberté, qu’on scande un peu vite dans les cortèges, devient, elle aussi, un concept totalement arbitraire dès lors qu’elle commence là où s’arrête celle des autres et que, faute d’égalité, certains de ces autres en ont plus que nous) tout mouvement de contestation efficace ne peut s’appuyer que sur 2 choses : un noyau ethnico-culturel cohérent, qui n’est rien d’autre que la France véritable et le seul point qui permet de le dépasser : l’affirmation de l’humain (qui n’est pas un QR code). 2 choses à même de réconcilier vaccinés et non-vaccinés, en dépit des efforts du gouvernement pour les monter les uns contre les autres. Une France, par ailleurs, qui n’a vocation à exclure personne, Goldnadel inclus, parmi ceux qui ont compris que cette réalité organique, qu’il ne sert à rien de nier, est leur dernière chance (tant qu’ils sont une minorité et luttent pour le rester) de vivre dans un pays pacifié qui ne ressemble pas à celui qu’ils ont quitté pour des raisons que, parfois, ils oublient un peu vite sachant que, dans le cas contraire, on est amenés à se demander pourquoi ils s’obstinent à souffrir ici si leur autre pays est un tel paradis.

En arrivant à focaliser sur la négation de l’humain qui, contrairement aux revendications sociales et démocratiques des gilets jaunes est un concept imperméable aux divisions classiques, tout en asseyant, ce qui serait sinon une armée de Spartacus, sur un socle millénaire, matérialisé par une mer de drapeaux nationaux, régionaux et autres tenues folkloriques et qui parle à tous ceux qui ont conscience que la Macronie n’est plus la France, un socle qui, tel l’ail les vampires, sur la durée, s’il y a érosion, contrairement, là aussi à ce qui s’est passé pour les gilets jaunes, fera fuir les mauvais éléments qui détestent la France profonde et sclérosent les mouvements qu’ils infiltrent plutôt que les bons qui les font grossir, Philippot, dont, tout en n’ayant aucun doute sur la sincérité de l’engagement, pour des raisons que j’ai déjà expliquées, je suis loin d’être un Fan, a abattu, on est obligés de le reconnaître, un boulot considérable et fait un sans-faute stratégique.

A la condition expresse de veiller à conserver cette mer de drapeaux bleu blanc rouge dans les cortèges, comme au tout début des Gilets-Jaunes (dont il convient d’apprendre des erreurs) et tant que le mot France sera prononcé dans les discours, le mouvement à, et ce n’est pas un optimiste qui vous dit ça, une chance non nulle, non seulement de perdurer et de croître, mais, au-delà du pass sanitaire qui n’est qu’un symptôme, d’arriver à provoquer ce basculement de l’opinion, que nos élites craignent autant que Marlène Schiappa les pèse-personnes ou que Castex les peignes .

Pour autant, le fait que les policiers ne soient pas soumis audit pass sanitaire démontre, s’il en était encore besoin, que Macron, qui n’est que la conclusion logique de tout ce que je viens d’évoquer, est prêt à recommencer à tabasser les Français tandis que les médias, rompus à l’exercice, ont déjà commencé à minimiser les chiffres et à diaboliser les manifestants lesquels, ayant osé toucher à la marque déposée de l’étoile jaune, sont forcément, comme les gilets jaunes avant eux qui en avaient usurpé la couleur, antisémites. Il faut donc se méfier de tous ceux qui, tel un Mélenchon, ayant encore une fois manqué le train, cherchent à monter en marche et appellent à la division. 

Idem pour des Goldnadels et autres Zemmours (lequel avait probablement piscine) qui, en d’autres circonstances, et c’est tout à leur honneur, se font les chantres du patriotisme mais qui, tout en ayant parfaitement compris la nécessité (pour Israël en tout cas) d’une cohérence ethnico-culturelle, semblent craindre, de façon aussi injustifiée qu’irrationnelle, si s’appliquait ici ce qu’ils prônent là-bas, de devenir nos palestiniens et de se retrouver sur un strapontin éjectable en partance pour Tel-Aviv. Je ne vois pas d’autre explication pour expliquer, s’agissant de personnes intelligentes, certaines crises d’hystérie et retournements de veste dès que, d’un mouvement populaire (qu’au début parfois ils soutiennent) ressurgit, autrement que pour taper sur les musulmans, cette France éternelle et organique dont les cendres couvent encore. Une France organique, capable de rassembler autour d’elle (et au-delà d’elle) tous ceux qui l’aiment. Une France organique qui saute aux yeux, même sur ces écrans qui ont remplacé notre réalité et, bon sang, que ça fait du bien.

Merci à tous ceux, d’accord ou non, qui ont fait l’effort d’écouter jusqu’au bout et à bientôt… j’espère.

2 commentaires:

  1. Bonjour et merci pour toutes vos vidéos !
    J'apprécie votre humour et votre finesse d'analyse.
    Si vous le souhaitez, j'aimerais échanger avec vous : grimmy030@netscape.net
    Cordialement.

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  2. Bonjour à vous sympathique toulousain,
    pour rester dans la bonne humeur j'ai chapardé le texte d'une chanson de Richard Gotainer
    histoire de vous faire sourire et faire sourire tout le monde ici.
    Le plus culcul hein c'était QUI ?
    Mais QUI c'est ti des deux le plus neuneu ?
    Le plus neuneu hein c'était QUI ?
    C'est QUI c'est QUI le plus culcul des deux

    C'est QUI ? aah c'est QUI ?
    C'est QUI ? aah c'est QUI ?

    Et si c'était pas son papy
    Le plus culcul alors c'est QUI ?
    Le plus neuneu avec Kiki
    C'est son papy ou sa mamie ?

    C'est QUI ? aah c'est QUI ?
    De toutes façons c'était pas le Youki
    Alors c'est QUI ?
    Et si c'était pas son papy
    Le plus culcul alors c'est QUI ?
    Le plus neuneu avec Kiki
    C'est son papy ou sa mamie ?
    C'est QUI ? aah c'est QUI ?
    De toutes façons c'était pas le Youki...

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