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dimanche 28 novembre 2021

Le diner du CRIIF. Parodie satirique.(29 nov.2021)

  Transcription de ma vidéo sur Youtube : https://youtu.be/sYXzVBRkA_A


Bonjour ! 

Pour ceux qui nous prennent en vol, façon Nicolas Hulot faisant crier OUCH ! OUH ! AIE! AAAH ! à des jeunes femmes dans son hélicoptère, nous sommes en direct depuis le diner annuel du CRIIF (conseil représentatif des Insectes Invertis de France) où les gras et (pour ceux qui ont encore des cheveux) les teints des médias et de la politique (certains diront le gratin) se retrouvent pour crier haut et fort qu’ils ne sont ni antimites ni antilopes. 

On me signale que Jean Castex, est excusé car cas contact. Je pense que, dans son cas, on peut enlever le tact car il n’en a pas beaucoup. Il semblerait qu’il y ait un peu d’agitation à la table de Sandrine Rousseau. On m’informe que son homme déconstruit aurait été percuté par la fesse droite de Marlène Schiappa, pourtant assise deux tables plus loin, et les morceaux se seraient éparpillés sur le sol. Sandrine rousseau, qui a visiblement l’habitude, est en train de le reconstituer, semble-t-il, avec un rouleau de scotch. Il semble que, dans la précipitation, elle ait oublié un morceau au milieu de l’allée. Je ne peux malheureusement pas répéter de quel morceau il s’agit à une heure de grande écoute, mais sachez que c’est Florian Philippot et François Asselineau qui, confondant rendre service et « trop aider », habitués à avoir des membres en commun pour avoir le même programme, se précipitent, hélas en même temps, avec enthousiasme, pour le ramasser. Ouh-là-là, leurs têtes se percutent avec un bruit caractéristique d'énarques et, tandis qu’ils se battent à coup d’article 50, le morceau retombe par terre et c’est finalement Gabriel Attal qui le récupère dans sa gueule. Se rappelant qu’il a été un temps rapporteur pour le gouvernement, il se précipite à présent, en remuant la queue, vers Emmanuel Macron auprès de qui il le dépose. Un Emmanuel Macron qui le met dans sa poche, refusant visiblement de le rendre. C’est un spectacle hallucinant, Mesdames, Messieurs… et les autres. 

Brigitte Macron, visiblement vexée, lui crie : « Chéri tu as le même à la maison ! », avant, en désespoir de cause, de lui tendre un nuancier Leroy-Merlin et, réalisant que l’objet oblong en question est finalement un peu trop pâle à son goût, le président se décide enfin à le renvoyer à Sandrine Rousseau en le lui lançant par-dessus les tables. Visiblement moins doué pour le basket que pour le football, il manque son coup et la chose atterrit dans la soupière au milieu de la table où sont assis les républicains, grands amateurs de soupe. Oh, mon Dieu! N’ayant rien remarqué, Valérie Pécresse se sert une louche et, habituée aux couleuvres, avale le contenu d’un bloc, malheureusement de travers. Réalisant sa bévue, elle essaie de cracher, complètement paniquée. Xavier Bertrand, maîtrisant bien la technique, la frappe dans le dos pour l’aider, tandis que Michel Barnier s’assied carrément dessus comme sur une promesse électorale. Éric Ciotti, la voyant devenir noire, faute d’oxygène, lui assène convulsivement des coups de pied tandis que Phillipe Juvin calcule ses chances de survie sur son smartphone et que Renault Muselier, ne sachant plus quoi faire, démissionne. 

Heureusement, Éric Zemmour, qui passait par là, guère épais, pour citer Tolstoï, parvient à se faufiler pour tirer du jeu, ce qui est certainement plus gros que son épingle et sauver la situation. Après un long discours pour expliquer pourquoi c’est la faute à l’islam, il rend la pièce manquante à Sandrine Rousseau qui avoue qu’effectivement, cette partie spécifique provient d’un terroriste Afghan qu’elle a importé pour mieux le surveiller. Que d’émotions chers auditeurs. Un Éric Zemmour qui, par ailleurs, demande à ce qu’on lui remplace son steak au prétexte qu’il était à point. 

Tandis que le calme revient, on peut apercevoir un serveur courant pour transporter des tubes d’aspirine à la table d’Anne Hidalgo qui explique aux autres convives le rapport entre l’antisémitisme et le réchauffement climatique. Yannick Jadot, après deux tubes, réalise qu’effectivement, avec juste des éoliennes, Hitler n’aurait pas pu alimenter ses fours. Éric Dupont Moretti, constatant qu’à cette table ils sont tous bien socialos, s’éloigne précipitamment de peur d’être accusé, en plus du reste, d’abus de bien socialos. Gérald Darmanin, quant à lui semble avoir du mal à dissoudre lesdits cachets d’aspirine. Après un instant de réflexion, il déplace finalement son verre, réalisant que, comme tout le monde l’a remarqué à son sujet, il dissout mieux à droite. Un Gérald Darmanin par ailleurs occupé à rédiger une annonce sur le bon coin avec son smartphone. J’ai un peu de mal à lire, mais il semblerait que l’intitulé soit : « Echange coup de piston contre… coup de piston ». 

Barabara Pompili est venue également, accompagnée d’Elie Sémoun qui se dit qu’à une lettre près c’est jouable. Manuel Valls vient de faire son entrée. Il cherche une main à serrer. Il repart. Marine le Pen, un peu isolée, elle aussi, arbore un T-Shirt : « l’islam est compatible avec la république » assorti d’une robe mi-longue, sans bas, consciente que, pour elle, des bas c’est dangereux et que, à l’instar d’Alice Coffin, elle ferait mieux de donner littéralement et définitivement sa langue aux chats, ceux qu’elle élève dans son cas. On aperçoit également, dans le fond, Arnaud Montebourg, avec un individu mystérieux, peut-être ce fameux « Raymond Tada » dont il parle tout le temps. 

On me signale que Jean Lassalle fait un esclandre à l’entrée devant le prix du repas. Sans lunettes, il avait lu « pas cher » sur le carton d’invitation. Philippe Poutou quant à lui, fidèle à son patronyme, essaie désespérément d’embrasser Emmanuel Macron, confondant taille moyenne et mi-grand. Jean-Luc Mélenchon, lui aussi très impliqué dans la créolisation du pays, s’est complètement arsouillé au Rhum Negrita et, se croyant dans le bus hurle : « l’arrêt république c’est chez moi », phrase que beaucoup ont mal interprétée par le passé. Laeticia Avia, quant à elle, a préféré amener discrètement son casse-croûte dans un gros sac dans lequel elle mord régulièrement. Par ailleurs on me signale qu’un taxi abandonné bloque l’entrée du restaurant, le chauffeur ayant mystérieusement disparu. 

J’aperçois Olivier Véran, passablement éméché, lui aussi, préférant visiblement être dans un état rond que dans un état long, probablement parce que les étalons ont les mors aux dents alors qu’il les a sur la conscience. Un olivier Véran qui a tombé la chemise et fait le tour des tables pour faire tâter son biceps, ne s’arrêtant, de temps en temps, que pour vacciner une femme enceinte. Marlène Schiappa l’encourage à vacciner 2 enceintes à la fois pour lutter contre les « stéréo » types. 

On aperçoit également Albert Bourla le PDG de Pfizer arborant, lui aussi, un splendide T-Shirt. (Il fait très chaud dans la salle). Il semblerait que soit floqué, sur le devant, le mot « MOI » en gros caractères, mais je ne saurais être affirmatif car Claude Posternak, l’homme au « Qui ? Qui ? » circonscrit, écarte les bras devant. Visiblement pour qu’on ne voie pas. Un Bourla (à ne pas confondre avec « Bourre-là », pulsion à laquelle a succombé à plusieurs reprises Nicolas Hulot) en grande discussion avec la presse quant au nom le plus effrayant possible à donner au prochain variant. Après quelques hésitations, Mégatron étant déjà pris et pouvant rendre non « Decepticon », mais même « des cons, sceptiques », on s’orienterait, semble-t-il, vers Omicron. Le chien de Monsieur Bourla, visiblement perturbé par l’agitation, fait mine de s’échapper en direction de la sortie. « Thrombose, au pied ! » Fort heureusement, son maître l’a rappelé, comme vous avez pu l’entendre. Un chien très obéissant. Par contre, la moitié de la salle est à 4 pattes. 

Du coup, j’aperçois Christophe Barbier, euphorique, qui exige que l’on aille frapper chez les non-vaccinés, le « chez » étant facultatif, provoquant une érection chez Emmanuel LechyBre, euh, Lechypre. Leur joie fait plaisir à voir et ils se tapent sur l’épaule, d’où l’expression popularisée dans les années 40 et qui leur va très bien : « les gais se tapent haut. » Juste à côté un certain nombre de médecins de plateau TV partagent convivialement un succulent ragout. A non, au temps pour moi ! J’ai mal lu. Ce n’est pas du ragoût mais du Raoult, arrosé d’un pichet de vin. Pardon, désolé, nouvelle erreur de ma part, il s’agirait en fait d’un pot de vin. Je vois Martin Blachier qui tourne sur place. Quelqu’un pourrait-il fermer la fenêtre? Il y a du vent. Merci. Même lui se demande apparemment comment justifier sur les ondes la poursuite de la politique sanitaire sachant que le nombre croissant de ministres et de personnalités (supposément doublement vaccinées) qui attrapent la maladie, confirme ce que l’on savait déjà : le vaccin, pas plus que la cocaïne, n’empêchent de contracter le covid ou de le transmettre. Il n’empêche pas non plus les formes graves. Ah, désolé ! Nos fact checkers, me corrigent à l’instant : Jean Castex aurait toujours été comme cela. 

Certes, on a retrouvé la vie d’avant comme promis : le confinement comme pendant le moyen-âge, les couvre-feu et l’Ausweis, comme sous l’occupation ; l’Australie met même en place des camps comme à l’époque de l’Union Soviétique, mais je n’avais pas compris ça comme cela. Il semblerait que les nouvelles restrictions, comme les strates administratives, n’annulent jamais les précédentes : les Autrichiens multi vaccinés ont à la fois le masque, le pass et le confinement, tandis que la France en est à la troisième dose et Israël, où la quasi-totalité de la population est vaccinée, à la quatrième. A ce rythme, on va bientôt être à court de non-vaccinés à désigner du doigt pour expliquer aux naïfs pourquoi le bout du tunnel n’est toujours pas visible et que, si la vaccination n’a pas marché, c’est qu’il n’y en a pas assez. J’aperçois Greta Thunberg qui passe entre les tables pour récolter des fonds terrestres pour la préservation des fonds marins en finançant… des cours de natation pour migrants. Migrants dont certains des pays d’origine s’en sortent mieux que nous sans ce produit expérimental qu’on a rebaptisé vaccin et dont la létalité est supérieure à l’ensemble cumulé de tous les autres depuis leur invention. 

En voyant tout ce beau monde bâfrer tranquillement, je ne peux m’empêcher de penser qu’ils ne sont pas plus inquiets que ça et qu’une épidémie de cas, détectés avec des tests PCR (non fiables dans cette utilisation, selon leur concepteur même) ne veut pas forcément dire que les gens sont malades. Par ailleurs, ce virus, pour lequel on a explosé la dette, sacrifié nos libertés et injecté à des enfants des OVNIs (Objet vaccinaux non identifiés) plus sélectif qu’une simple grippe (qui elle s’attaque à tout le monde) ne tue, depuis le départ, qu’un peu plus de zéro virgule 0 pour cent de la population, très majoritairement (même avec le delta) parmi les gens en fin de vie et (ou) avec des comorbidités. Du coup, j’ai quand-même un peu l’impression qu’on nous prend pour des c… Excusez-moi un instant. Oui, OK ! On me signale que je dois rendre l’antenne… et que je suis viré.

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