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samedi 30 juillet 2022

Exclusif la maladie que Macron nous cache + en prime l’affaire Uber pour les nuls (30 juil. 2022)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube :https://youtu.be/4HvoHj4asn0

 Macron a avoué « Ça m’en touche une sans bouger l’autre ». Il est vrai que l’ectopie testiculaire est un problème sérieux. Il s’agit d’un testicule en position anormale, parfois même d’un testicule oscillant, dit "testicule ascenseur" qui, contrairement à un banquier d’affaires, ne redescend dans la bourse que de façon intermittente et se trouve, selon les jours, tantôt en position normale, tantôt en position inguinale, entre l'abdomen et le scrotum. L’ectopie testiculaire, ou cryptorchidie, est un vice-caché permettant d’annuler une vente en matière d’animaux de compagnie, mais, hélas, pas une élection présidentielle. Par ailleurs, elle augmente les risques de cancer et de stérilité ce qui pourrait expliquer certaines choses, peu important, dès lors, que l’être à perruque qui accompagne notre leader gérontophile ait des ovaires fictifs ou momifiés, les résiduels mécanismes naturels de défense de l’espèce humaine ayant, dans un dernier sursaut, préemptivement protégé les âmes sensibles de la vue répugnante du fruit des entrailles présidentielles. 

Mais gardons-nous de toute supputation ; peut-être le grand écart testiculaire évoqué est-il une simple métaphore pour nous indiquer qu’il est à l’aise avec Uber, « Uber à l’aise » étant bien sûr sans rapport avec le tube des années 30 « Deutschland über Alles » de sinistre mémoire. Pour comprendre l’affaire, il faut garder à l’esprit que le Macron ministre et avant lui, le Macron conseiller de l’Élysée, n’avaient qu’un but : utiliser les moyens de l’état pour se constituer des réseaux aux frais des contribuables (comme le fameux dîner à Las Vegas payé avec nos sous et donc plus personne ne parle) et donner des gages à ceux susceptibles de soutenir médiatiquement le futur candidat compulsivement tactile et de lever des fonds pour sa campagne électorale. « Cher ennemi de François Hollande, avec moi au pouvoir la France sera sans-culotte certes, mais littéralement, avec, en prime, des bas résille en lieu et place du bonnet phrygien » ; chose qu’un autre Bonnet, plus connu sous le nom de Soral, illustrerait par une métaphore particulièrement efficace à défaut d’être élégante : « elle fera les pipes et le café ». Il va sans dire que la première des deux activités se voit mécaniquement facilitée si, pour quelque raison, aucun décalottage préalable ne s’avère nécessaire et que toute ressemblance avec une Marlène Schiappa existante ou ayant existé ne pourrait-être que fortuite. 

Le Macron ministre, après un certain nombre de rencontres officieuses avec des dirigeants d’Uber, a détricoté la réglementation jusque-là protectrice, pour permettre à la société de s’implanter en France, sauf pour ce qui est de sa domiciliation fiscale (faut pas pousser non plus) introduisant, non seulement la loi de la jungle dans le secteur des VTC, mais ouvrant la porte à ce qu’on appelle depuis « l’ubérisation de la société », créant une nouvelle catégorie de travailleurs pauvres jetables (des « gilettes jaunes » en quelque sorte) sans couverture sociale, congés ou droit au chômage. La presse, tenue par quelques milliardaires, ne faisant pas son boulot et se gardant de creuser en ce qui concerne les conflits d’intérêts et les financements des campagnes, l’amateur de béret et de chant choral ne sera pas plus inquiété qu’un surmulot LGBT en trottinette dans la capitale un jour de GayPride. 

Après qu’un feu de forêt, une canicule, un nouveau variant ou une MST simiesque aura distrait les poissons rouges, l’affaire rejoindra dans les oubliettes Alstom, McKinsey, les turbines Arabelle (rachetées au double du prix de vente par EDF) et autres broutilles. Sans compter le fait d’avoir cramé 600 milliards pour rien pendant la crise sanitaire provoquée, non par le virus, mais par les mesures ubuesques prises par Macron lui-même et, surtout, de ne pas avoir profité des taux négatifs pour restructurer la partie de la dette indexée sur l’inflation, véritable bombe à retardement, qui va nous péter au visage comme Gérard Larcher après un cassoulet aux truffes. Sauf, peut-être, dans le cas de notre première dame, il faut appeler un chat, un chat et Macron n’est rien d’autre qu’un traître et un maffieux qui, chiure de mouche sur le tas de fumier, se moque, en plus, ouvertement de nous du haut de son immunité pénale. 

Après le mois d’août, le mois de septembre lui va être dur. Il va falloir payer l’addition de la servilité du caniche à testicule baladeur qui, comme une bonne partie de ses alter ego européens, nous suicide, sur commande de l’état profond américain, par des sanctions débiles dont nous n’avons pas les moyens contre la Russie, pour soutenir le gouvernement maffieux d’un pays qui ne fait partie ni de l’UE, ni de l’OTAN et qui bombarde sa propre population depuis une décennie ; le tout au nom de grands principes à géométrie variable que le camp du bien a allégrement violés en Syrie, Libye, Irak et autres Kosovo, mais (ce qui n’est pas sans rappeler le sketch des inconnus sur le bon chasseur) c’est le camp du bien. 

Bien sûr, après le gilet jaune et le non-vacciné, le prochain paria de la société et le responsable des coupures d’électricité et des testicules congelés qui vont s’en suivre cet hiver sera, non pas le gouvernement, mais le facho antisémite qui aura oublié d’éteindre le wifi et qui sera dénoncé par son compteur Linky ou par les lavés du cerveau avec triple essorage qu’on croise encore par 40° à l’ombre, tout seuls dans leur voiture, avec un masque sur la tronche. Petite question qui me turlupine : sachant qu’EDF est en faillite, que la moitié de notre parc nucléaire est à l’arrêt, que la centrale près de chez moi a visiblement elle aussi des problèmes, mais que, pour maintenir la production, personne ne veut l’arrêter pour vérifier et qu’on s’est privés du pétrole et du gaz russe, est-ce que cet hiver le gouvernement va : 

A) admettre qu’il s’est trompé et faire machine arrière, 

B) exploiter à fond des centrales en mauvais état en priant qu’il ne se passe rien ? 

Je crains de connaître la réponse. L’hiver, non seulement sera froid, mais il risque d’être nucléaire. Pourquoi ledit parc nucléaire serait-il en meilleur état que l’hôpital, l’école, la justice, la police, l’armée, la sécurité urbaine, les ponts, notre domaine forestier, notre flotte de canadairs ou le sphincter anal de Gabriel Attal (ce qui n’a rien à voir) ? Ce n’est pas parce que, cocorico, nous venons de pulvériser le record européen en dépassant les 60% de notre PIB en dépenses publiques que nous pourrions avoir l’outrecuidance d’exiger des infrastructures en bon état, un minimum de sécurité et de protection sociale. 

Il faut bien comprendre que les quelques miettes non spoliées par l’escroquerie de la dette, les cadeaux fiscaux, les gaspillages (moyennant commissions juteuses) et les injections dans la bourse et les poches des milliardaires doivent encore sustenter, même si parfois ces chiffres se cumulent, 20 millions de retraités (dont un nombre croissant d’immortels bénéficiant du bon air du bled), 6 millions de fonctionnaires, 20 millions de voltaires en devenir et autres supporters anglais plus, incidemment, les chômeurs, bénéficiaires du RSA et les quelques mineurs et étudiants à taux de mélanine modéré non déjà inclus dans la dernière catégorie. 

En attendant, pendant que les yachts et les jets privés continueront allégrement à cramer du carburant et que les véhicules de fonction continueront à tourner à vide pendant des heures sur le parking de l’Élysée pour que la clim soit à la bonne température à la sortie du conseil des ministres, pour le péquin moyen ce sera : limitations de vitesses, nouveaux radars tenant compte du freinage, plus de clim ou de chauffage dans les magasins, arrêt de l’éclairage public la nuit (probablement dans l’intention louable de rendre plus difficiles les attaques au couteau), subventions pour que les migrants, toujours plus nombreux, et les quartiers sensibles puissent se chauffer plutôt que s’échauffer et explosion des prix pour les autres qui en seront réduits à la déforestation sauvage et à ressortir les poêles à bois des greniers, le tout avec une inflation à deux chiffres et sans aucun espoir d’amélioration à l’horizon. 

Suggestion aux députés RN et NUPES : remettre dans la constitution le crime de haute trahison, enlevé par Sarkozy (allez savoir pourquoi ?) assorti de la peine de mort par méthode à faible indice carbone, comme l’écartèlement par 4 chevaux, par exemple, ou à défaut, par 4 moutons rescapés de l’Aïd (pour le devoir de mémoire) même si ça dure un peu plus longtemps. 

Ce sera tout pour aujourd’hui. Pour ceux qui en veulent davantage, pensez à aller de temps en temps sur mon autre chaîne « la caverne de la mite » dont le lien figure en description et où je poste des choses un peu moins politiques. Si vous avez apprécié ce contenu, vous pouvez cliquer sur tous les trucs en bas et si vous n’avez pas apprécié c’est sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien et à bientôt… j’espère.

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