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dimanche 21 août 2022

Peut-on encore se révolter en France ? (21 août 2022)

Transcription de ma vidéo sur YouTube  https://youtu.be/bjZUsWS9Yf4

Bonjour ! 

Pour qu’un peuple se révolte, il faut d’abord qu’il y ait un peuple. Comme nous l’ont appris des décennies de cohabitation harmonieuse avec des supporters anglais, sous supervision de supporters auvergnats d’équipe A (et non des kippas) dans ce havre de quiétude et de paix qu’est devenue la France, il est futile de s’entêter à placer une méduse, un des rares animaux dépourvus d’anus, sur un char de GayPride, fût-il en forme de radeau. On ne définit pas le peuple administrativement, c’est lui qui s’auto-identifie charnellement comme tel, instinctivement, en fonction de points communs ethniques, spirituels et culturels et d’atavismes résultant du sang et des larmes des générations qui l’ont précédé et qui en font quelque chose d’unique. 

Il est irresponsable de ne pas en tenir compte avec pour résultat les Peuls qui sont massacrés au Mali dans l’indifférence générale, les Palestiniens qui se font expliquer la démocratie à coups de bombes au phosphore et ces mi-grands mineurs non accompagnés à calvitie précoce qui, trop foncés pour être racistes sous peine de court-circuiter les rares fils qui ne se touchent pas encore dans le cerveau de Sandrine Rousseau, s’adonnent néanmoins entre eux, avec enthousiasme, au redécoupage ethnique à la machette dès que la place est libre entre deux rodéos urbains. Si les peuples s’identifient (et donc automatiquement discriminent) c’est que c’est la condition sine qua non à leur survie en tant que tels. Si un peuple n’y parvient plus, parce qu’on le lui a interdit ou qu’on l’a conditionné au suicide collectif au nom de l’antiracisme pour éviter un nouvel holocauste avec, comble de l’horreur, modernité oblige, des fours à catalyse, à chaleur tournante ou à micro-ondes, il est mort, comme le petit chat des Femmes Savantes … (ou non, si l’on inclut Marine laquelle en a beaucoup). 

Plus le sentiment d’unité est fort, moins la quantité d’énergie (et donc de violence) nécessaire à pouvoir renverser la table est élevée. On peut alors imaginer des formes de résistances passives à la Gandhi voire une grève générale laquelle n’est envisageable qu’avec les solidarités adéquates (impossibles en mode diversité) sans lesquelles on ne saurait tenir sur la durée. Une simple marche vers le centre « officiel » du pouvoir de millions de personnes déterminées à étreindre Macron avec amour suffirait alors à faire décoller un hélicoptère de l’Élysée au mépris de l’indice carbone. En outre, plus la marée humaine est importante, moins le gouvernement, courageux, mais pas téméraire, peut prendre le risque d’une répression sanglante. Plus le peuple est uni, plus son seuil de tolérance envers les abus est faible, moins il est sensible aux divisions artificielles idéologiques et sociétales qu’on essaie de lui imposer et plus il est capable de se sacrifier au nom de principes et d’idéaux qui le dépassent. 

Aujourd’hui, les poilus de 14 s’épileraient à la brosse métallique tandis que leur majeur aurait une crampe ; personne, et c’est compréhensible, n’ayant plus envie de se sacrifier pour ce Wokistan multiculturel dans un EHPAD soixante-huitard à ciel ouvert que la république a fait de la France. Cette indifférence nauséeuse incapacitante est d’ailleurs un des buts recherchés par le système et explique les insultes et provocations constantes d’un Macron qui cherche à nous écœurer de nous-mêmes. 

Il faut alors descendre très bas dans le répulsif pour espérer trouver un dénominateur commun qui pourrait provoquer une unité dans la révolte ; surtout quand on pense que ledit Macron a pu impunément, outre ses insultes et son mépris, commettre des actes de haute trahison et de trafic d’influence, des mutilations, des meurtres de personnes âgées au Rivotril et qu’il a pu démolir l’économie et les bases de la société tout en œuvrant pour la troisième guerre mondiale par ses positions en Ukraine. Il a pu le faire en gardant aux lèvres cette grimace (évocatrice de l’extase d’une personne ternaire ascendant crevette se faisant refiler la variole du singe par King Kong) qui lui tient lieu de sourire artificiel, pendant que les gens continuaient à regarder Netflix et qu’une partie d’entre eux a même trouvé judicieux de le réélire. Je ne sais pas ce que contient le fameux dossier « President of France » trouvé chez Trump par le FBI, mais même s’il s’avérait que Brigitte ait un chromosome Y coincé entre sa perruque et ses prothèses mammaires, je ne pense pas que cela suffise à secouer l’inertie ambiante. 

Il faudrait descendre encore plus bas dans le sordide au risque de trouver la preuve que l’enfer existe ou du pétrole pour les plus optimistes. À ce stade, la seule chose qui pourrait, peut-être, provoquer un front unitaire serait (sous réserve qu’une totale omerta médiatique ne vienne pas couvrir les faits) que ledit Macron soit coupable de pédophilie avec sacrifice rituel d’enfants à la brosse à dents électrique ; et encore, à condition que les enfants en question soient issus de familles musulmanes afro-maghrébines, la solidarité des quartiers, contrairement aux autochtones, même sur ces principes, ne jouant que si leur groupe ethnicoreligieux est directement menacé. 

J’entends dire que les gens bougeront quand les frigos seront vides de ces merdes chimiques aromatisées cancérigènes qu’on leur refourgue comme de la nourriture pour masquer le fait qu’il n’y en a déjà plus pour tout le monde depuis longtemps. C’est un raisonnement d’Occidental. Il faut garder à l’esprit que les populations allogènes présentes sur notre territoire ont mis en place des systèmes de solidarité et d’entre-aide dont les autochtones (seul groupe auquel on interdit tout réflexe communautaire et de se regrouper entre-soi) ne bénéficient plus et qui les rendent beaucoup plus résilients que nous. Par ailleurs, ils ont instauré toute une économie parallèle faite de travail à la « personne de couleur » et de trafic de vitamines pour président dynamique. De plus, pour beaucoup, la conquête du pays par l’Islam (qui passe par la mise à genoux économique de la France) ou la revanche contre l’ancien pays colonial (qui passe par la mise à genoux économique de la France) sont prioritaires sur leurs intérêts personnels et s’accommodent très bien de l’agenda mondialiste (qui passe par la mise à genoux économique de la France). 

Même si certains sont tout ou partiellement intégrés et sont susceptibles de réagir comme les autres Français face aux problématiques de pouvoir d’achat, ils seront freinés par l’inertie de leur dynamique de groupe et ils sont, de toute façon, loin d’être majoritaires. Il en résulte mathématiquement, raison pour laquelle le système en importe toujours davantage, que plus la part d’Allogènes, avec ou sans papiers, augmente, plus le pourcentage de la population susceptible de se révolter en raison d’un frigo vide ou d’une inflation à 3 chiffres, diminue. 

Pour autant si, comme c’est hélas largement probable, une catastrophe économique sans précédent fait basculer dans la pauvreté une partie des bobos, des boomers et d’une jeunesse au cerveau complètement lavé par l’éducation, les réseaux sociaux sous contrôle et les médias de masse, la gifle peut être suffisante pour retourner une partie du Boboïstan et, à défaut de soutien, au moins garantir la neutralité des groupes allogènes ne serait-ce que pour ne plus voir la tronche d’Élisabeth Borne laquelle pourtant, par pur esthétisme, me fait reconsidérer mes positions sur le voile intégral. Il y aura alors une fenêtre de tir à ne pas louper sous peine de sombrer dans la guerre civile et le chaos qui s’en suivront quand lesdits Allogènes, comme ils le font partout ailleurs en situation de crise, commenceront à piller les magasins et aller se servir, en bandes organisées, dans les frigos (à pédales faute d’électricité) des autochtones lesquels, eux, ont perdu le réflexe de se regrouper. 

Même si la masse critique de gens mécontents capables de se révolter physiquement était alors atteinte, il n’en reste pas moins que le système a méthodiquement éloigné des centres de pouvoir (fortifiés en Boboïstans de centre-ville derrière une épaisse ceinture allogène) la part de la population susceptible de se soulever non sous forme de bronca, comme les quartiers, mais bien dans le but de le renverser. Cela rend quasi impossibles les déversements spontanés de millions de personnes dans la rue, d’autant qu’il a les moyens de contrôler les transports, bloquer les voies d’accès et rendre les déplacements rédhibitoirement onéreux pour les gens qui auraient le plus de raisons de bouger. Tout ce qui était dangereux, des agriculteurs aux chasseurs a été neutralisé par la corruption de leurs organisations syndicales. 

Le tandem des frères ennemis « NUPES-RN » qui sonne comme « no pasaran » tombe à pic pour maintenir l’apathie populaire en donnant l’illusion que Macron n’a plus le pouvoir, mais hors quelques diatribes et enculages de mouches à visée médiatique, il se garde bien de remettre en cause les fondamentaux. On attendra longtemps un renversement par le parlement comme en Italie. Pas de regret à avoir, car Giorgia Meloni, celle qui pourrait remplacer Mario Draghi, dans une vidéo en plusieurs langues (pour mieux montrer ses dispositions aux gâteries), s’est empressée de donner tous les gages au système tant sur la dette que sur la lutte contre le racisme et l’antisémitisme ou encore l’Union européenne et l’euro qui, avec un atlantisme béat, qu’elle revendique également, sont les cases à cocher pour être adoubé et être sûr que rien ne change. 

Une révolte peut bouillir longtemps, mais le passage à l’acte, s’il veut renverser le pouvoir, se doit d’être bref, la dynamique qui la porte résistant très mal au passage du temps d’autant plus quand elle n’a pas le contrôle du narratif. Le système a retenu la leçon des gilets jaunes qui ont failli réussir grâce à l’effet de surprise, mais ont été victimes du fait que ledit système, tout en ne se privant pas, lui, de l’usage de la force, a réussi à imposer, dans l’inconscient collectif, la non-violence (laquelle, mal comprise et mal pratiquée, n’est qu’une forme de lâcheté) comme une des pseudovaleurs républicaines. Une manifestation pacifique, sur un parcours réglementé, avec retour à la maison avant Hanouna, c’est échanger zéro risque contre zéro efficacité tout en se donnant l’impression d’avoir fait quelque chose et en permettant au système de faire de ces promenades encadrées la preuve frauduleuse que nous sommes en démocratie. 

Quand on a perdu la possibilité de la marée humaine spontanée, la détermination d’aller jusqu’au bout, c’est-à-dire jusqu’à la mort qui va avec, que ce soit la sienne où celle de ceux qui détiennent le pouvoir, que ce soit par idéal ou parce qu’on n’a plus rien à perdre, est la seule chose qui fait peur au système, mais il s’agit-là de violence potentielle, comme celle qui émane d’un rhinocéros, même quand il paît tranquillement de l’herbe et qui ne se manifestera que si on le provoque en refusant de reconnaître le rapport de force et de céder ou de s’enfuir. Elle n’a rien à voir avec la violence systémique, les pillages et destructions de vitrines et mobiliers urbains qui sont un signe de bêtise profonde souvent importée de pays qui, contrairement à une époque où l’occident les vidait sans vergogne de leur matière grise et de leur force de travail, depuis plusieurs décennies et souvent de façon totalement assumée, se débarrassent désormais chez nous de leur surplus de QI à 75 et de leurs cas sociaux irrécupérables lesquels s’ajoutent aux quelques nervis d’extrême gauche instrumentalisés qui vivent dans l’illusion d’avoir le monopole de la révolution et cherchent la prise du pouvoir par le chaos, un tas de ruines étant nécessaire, dans leur imaginaire, à construire un monde meilleur sur ses cendres. 

Se pose alors la question de la différence entre la révolte, probable à court ou moyen terme et la révolution qui est sa suite logique sans laquelle son résultat sera, au mieux, aussi éphémère qu’une promesse présidentielle après un rail de coke. Si l’on commence déjà à parler révolution, c’est-à-dire à s’interroger sur l’après-Macron et identifier les vrais causes et coupables de la situation afin de ne pas répéter les mêmes erreurs, compte tenu de décennies d’abrutissement des masses à marche forcée, c’est la discorde assurée entre les différentes forces nécessaires à ladite révolte. On peut donc faire cette économie, car autant les précédentes révolutions étaient idéologiques et nécessitaient ce travail préalable de conditionnement, autant les suivantes seront organiques et consacreront simplement le retour du réel et de l’acceptation des lois naturelles, ce qui, sauf avènement d’un pouvoir fort et déterminé à faire un ménage sans gants et sanglant (mais avec des burnes) pourrait se traduire, compte tenu des rapports de force et de l’impossibilité du « vivre ensemble » qu’implique l’oxymore lui-même, à minima, car malheureusement on en est là, par des partitions du territoire, en tout cas, dans un premier temps. 

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1 commentaire:

  1. Merci La Mite, c'est toujours un festival de mots choisis et de jeux de mots, mais aussi de vérités bien envoyées et (im)pertinentes.
    Aujourd'hui c'est distribution de claques, y'en a pour tout le monde. Quel bonheur de faire un tour dans votre caverne !
    Je vous salue depuis les îles Canaries, et à bientôt...je l'espère.

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