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jeudi 1 décembre 2022

Bientôt un Mickey non binaire (01 déc. 2022)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/vBlLaCGC_nI

Bonjour ! 
 
Enfin un premier personnage principal « ouvertement » gay dans un film Disney. Ne loupez pas cette occasion unique d’expliquer à votre progéniture prépubère, mais potentiellement « non binaire hélicoïdale ascendant capricorne » (pour peu que Pap Ndiaye fasse encore un petit effort sur les programmes en maternelle) que l’extrême extrémité de son tube digestif a vocation à devenir bidirectionnelle et que, si on s’aime, c’est normal (voire romantique) de se faire éjaculer respectueusement dedans (sauf si on sort avec Pinocchio et qu’il ment beaucoup). Le nom du héros de ce chef d’œuvre n’est pas Onia comme le titre français « Avalonia » pourrait le laisser supposer « à l’oral », mais Ethan. Il était temps, Ethan étant étendard et tant mieux d’une noble cause. 
 
Malheureusement, si l’on a trouvé le moyen d’introduire, parfois sans lubrifiant (même « aqueux ») du LGBT partout lorsque les gens ne peuvent pas choisir, Disney n’a toujours pas trouvé l’astuce pour obliger les 97% d’homophobes encore rétrogradement attirés par le sexe opposé (ou peu favorables à la prévalence des droits de l’homme sur ceux de l’enfant) à payer spécifiquement pour ouvrir les yeux des leurs sur le monde merveilleux de l’arc-en-ciel et de l’inclusivité. Résultat, un flop lors de sa sortie aux USA, à remuer, par « analo(r)gie », le couteau dans la plaie de la plaie qui déplaît Sandrine Rousseau dont la candidate à la direction de son parti de « verts déters » a fait un score de Samuel Paty dans une mosquée salafiste. 
 
Mais nul doute que Disney qui perd du pognon de partout (au point, devant le mécontentement des actionnaires, d’avoir dû rappeler en catastrophe son ancien PDG, pourtant initiateur de cette inclusivité galopante), va en déduire, étant donné que sont déjà en préparation une petite sirène noire et une blanche neige pas vraiment immaculée (avec des nains qui ne seront plus des nains) que le B A BA du commerce c’est de proposer au consommateur payeur des produits dont il ne veut pas, en augmentant les doses jusqu’à ce qu’il s’habitue. Je ne désespère pas qu’un jour ils nous sortent un remake de TRON que, pour faire moderne, on pourrait appeler eTRON, avec Emmanuel Macron dans le rôle-titre et Jean-Michel Trogneux en première dame (pour le côté inclusivité). 
 
Un cran au-dessus, on trouve des pubs « BALENCIAGA » mettant en scène des enfants sur canapé tenant des ours en peluche habillés sado-maso. Il ne manque plus que le marchand de sabres à sacrifice rituel pour compléter ce remake contemporain de « bonne nuit les petits » ; d’autant que, quand on zoome, on découvre parmi les documents étalés sur une table : une décision de justice en matière de pédopornographie et des livres d’un auteur dont des œuvres représentent des petites filles nues dans des rituels occultes. Il faudrait être un immonde complotiste pour y voir autre chose qu’une simple coïncidence. 
 
Banal également le fait qu’un ressortissant (pas vraiment ressorti) congolais soit plutôt re rentré et dans le pays et dans l’intimité de deux patientes de respectivement 78 et 68 ans (violées dans un hôpital) pour terminer son périple pénien dans divers orifices d’une gamine de 12 ans, dont la moustiquaire de la chambre à coucher, par la fenêtre de laquelle il est entré, s’est avérée, de toute évidence, sous-dimensionnée. Il serait plus que temps que le gouvernement légifère sur ce problème de moustiquaires plutôt que de stigmatiser des migrants qui sont nos frères en humanité. 
 
Banal donc, si ce n’est, halte aux cadences infernales, que honteusement exploité, il a accompli à lui tout seul le boulot des 3 autres exemples de fraternité sous OQTF que j’évoquais la semaine dernière pour avoir, en toute liberté et égalitairement, vive la république, perpétré le viol d’une mamie de 96 ans, d’une gamine de 11 ans et, là encore, d’une patiente en soins intensifs à l’hôpital. Un hôpital en manque chronique de personnel (mais pas assez pour réintégrer les non-vaccinés comme en Grèce prochainement) et visiblement en (hôtel de) passe de devenir un libre-service pour futurs Voltaires en mal d’inspiration, mais pas d’aspiration à tremper leur plume et à vider leur encrier et dont on apprécierait, tant qu’à y être, qu’ils bouchassent aussi le trou de la sécurité sociale. Il n’y a bien sûr aucun rapport, mais selon un dernier sondage, 72% des Français (dont statistiquement un certain nombre d’immigrés conscients) estiment qu’il y a trop d’immigrés en France. 
 
Que fait la justice, me direz-vous ? Aveugle, mais pas achromate, elle s’occupe des choses importantes comme de poursuivre deux jeunes qui, au lieu de violer des femmes comme tout le monde, ont eu l’outrecuidance de barbouiller en blanc le visage d’une statue de Victor Hugo, visage devenu marron après restauration à l’initiative d’une municipalité écologiste. Après coup et devant le tollé, le patineur qui refait la patine a patiné en prétextant qu’il s’agissait seulement d’une étape intermédiaire. « Demain dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne et seulement la campagne, je patinerai ». Faute d’avoir été plus subtils en utilisant de la peinture noire ou mieux, en plantant un parasol devant, ces malfrats indignes, irrespectueux du progrès, de l’art et de la diversité, s’ils échappent hélas à la perpétuité, encourent rien moins que 10 ans de prison. 
 
La justice ne doit pas faiblir, car la bête immonde n’est pas morte : Twitter, que l’Union européenne menace d’interdire si la plateforme laisse parler des gens qui ne sont pas d’accord avec l’Union européenne, a, en effet, ressuscité le compte de Donald Trump lequel a invité à dîner l’infâme pendant américain du tandem Soral - Dieudonné, à savoir le désormais antisémite noir Kanye West et son copain suprémaciste blanc Nick Fuentes lequel n’y… va pas par quatre chemins ainsi que, paraît-il, la Shoah. Un pas supplémentaire vers cette dystopie cauchemardesque où un certain nombre de personnes, pourtant indispensables, se verraient exclues des médias, du cinéma, de la politique et de la finance juste parce que, selon certaines rumeurs complotistes, elles aspireraient à un gouvernement mondial, un métissage généralisé et l’élimination de 93,7 % de la population. 
 
Heureusement des « fact-checkers » veillent, pour nous protéger de la désinformation, même si cela fait un peu tache quand ils deviennent des « fact-shakers » et que l’un d’entre eux certifié par le ministère de la culture, subventionné par l’AFP, appuyé par un député LREM et qui revendique des liens étroits avec Rudy Reichstadt, directeur de ConspiracyWatch, ou bien encore Tristan Mendès France, membre de l'observatoire du conspirationnisme (lequel l’a soutenu pour une cagnotte en ligne) se fait poisser, façon smartphone de Benjamin Griveaux après usage, pour blanchiment d’information. 
 
C’est-à-dire que des informations bien biaisées (contrairement à notre Premier ministre) voire fausses, sont publiées, sur commande et selon les besoins, sur ce site supposément « de confiance » permettant ainsi aux commanditaires d’avoir une source à citer pour accréditer leurs attaques. Cette source est ensuite reprise en cascade sans vérification, jusqu’à Wikipédia, par divers médias qui se citent les uns les autres. Le procédé, aurait permis, selon France soir (dont je vous mets le lien de l’article en description), par un effet de masse artificiel, de décrédibiliser, durant le Covid 19, de soi-disant « complotistes » tels Didier Raoult ou Christian Perrone (lesquels, à ce jour, ont gagné tous leurs procès). ARN messager sur le vaccin, l’individu en question (proche selon son épouse, de Karine Lacombe) de surcroît habitué des plateaux de France info, TF1 ou encore BFM TV et dont le site « Fact and Furious » vient d’être fermé en catastrophe, faisait dans l’injonction d’injection en public, mais en privé déconseillait vivement à ses proches d’en tenir une sacrée dose et vendait, en parallèle, de faux tests covid et autres certificats médicaux. 
 
Se pose donc de nouveau la question qui fâche : qui checke les fact-checkers et à quoi servent-ils ? Chacun devrait être libre d’avoir son avis sur le fait que la planète soit, ou pas, aussi ronde que notre nouvelle ambassadrice de la francophonie et (sans vouloir mettre toutes les Yseult dans le même panier) force est de constater que lorsqu’il s’agit d’en trouver un pour débunker les mensonges du gouvernement ou les incohérences des narratifs officiels, même dans une proportion de 90 / 10 (histoire de faire semblant d’être impartial) autant chercher un Jean-Edouard ou une Marie-Blanche dans une botte d’Anglais en Seine Saint-Denis. 
 
Seine Saint-Denis où, à l’instar de Paris dans son ensemble (susceptible en raison de sa dette officielle de 7 milliards d’être mise sous tutelle) les impôts fonciers des quadrisomiques trépanés à sphincter élastique qui ont voté pour Hidalgo (et, malheureusement, aussi ceux des autres) vont augmenter de 52%. Paris, ville lumière où, en pleine interview sur CNEWS, une brave dame qui sortait du métro, sentant un truc chaud bouger dans sa manche, a enlevé précipitamment sa veste d’où est sorti, non un migrant (plutôt mi-petit) sous OQTF, mais un adorable petit rat, lequel a terminé sa course dans le cabas de ladite dame, au milieu des provisions, avant de se retirer dignement en direction du premier égout venu. Ça ne s’invente pas. 
 
7 milliards est un chiffre à la mode puisque c’est la somme qui s’est volatilisée des comptes de la Plateforme d’échange de cryptomonnaies FTX en sus des 50 milliards qu’elle a fait perdre à plus d’un million de personnes. FTX dont les actifs énormes affichés étaient en fait constitués non par des liquidités, mais par des tokens, un peu l’équivalent, en matière de crypto, de ce qu’est l’or papier aux lingots ou Mélenchon à Georges Marchais. Des tokens, totalement volatiles, émis de surcroît en quantité industrielle par une société appartenant également au même PDG, un peu comme un serpent transsexuel qui se mord la queue. Un montage qui fonctionnait comme une gigantesque machine à laver des fonds pour, notamment, le parti démocrate américain et le gouvernement ukrainien. 
 
Vous vous demanderez probablement dans quelle prison est enfermé ce personnage dont le nom, traduit en français donnerait, ça ne s’invente pas « banquier frit » ? Apparemment, il a arrosé et compromis tellement de monde qu’il est toujours en liberté à ce jour. À moins que ce ne soit pour service vomi, car, en décrédibilisant pour longtemps, les cryptomonnaies lesquelles échappaient au contrôle des gouvernements, ces derniers pourront vendre à la place l’escroquerie de la monnaie numérique, présentée comme plus fiable, en comparaison, et elle totalement sous contrôle. 
 
En revanche, le capitaine Juving-Brunet, se retrouve, lui, en détention provisoire, bien que n’ayant, à ma connaissance tout au moins, escroqué personne, et cela suite au lancement du Franc libre, une monnaie alternative techniquement innovante au niveau des billets, de surcroît très jolis, même si certaines des effigies choisies témoignent, à minima, d’une grande naïveté quant à l’appréciation de la nature du système à combattre. Autour de cette monnaie s’articule tout un écosystème comprenant entre autres : la foncière financière libre et la Banque de la France libre. Encore un qui a cru en la résistance passive et au fait que le système pourrait laisser se mettre en place quoi que ce soit susceptible de contrevenir à ses desseins ou de concurrencer ses dispositifs d’appropriation des richesses. 
 
Pour autant, le Pays des droits de l’homme et bientôt, si l’on en croit Olivier Véran, de la retraite à 65 ans sauce 49.3, n’a rien perdu de sa superbe puisqu’après avoir mis à genoux la Russie avec des cols roulés et des douches froides, elle se permet de critiquer la Chine pour ses confinements. Peut-être parce que cette dernière n’a pas pensé à laisser les gens s’autosigner une autorisation ou à dire aux enfants qu’ils allaient tuer leurs grands-parents. Mais c’est vrai qu’eux ne sont pas une démocratie. En tous les cas, nous au moins nous sommes qualifiés pour les 8e de finale de la coupe du Monde, même si nous avons été bien pâles (au figuré en tout cas) contre la Tunisie. 
 
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