Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/p8pVYL8zLvk
Bonjour !
Bienvenue en « dictaricature », subtil mélange (façon Hitler en tutu rose) entre dictature et caricature parce que, contrairement à d’autres contrées passées et présentes qu’à juste titre on critique, mais dont on ne se moque jamais, nous ne sommes même pas fichus d’avoir une dictature qui a de la gueule. Quand j’ai vu la photo de la marée (in)humaine de CRS casqués, qui protégeait le CONseil CONstitutionnel (le ConCon, pour les intimes), j’ai prié pour qu’il s’agisse d’un deepfake généré par une intelligence artificielle. Tant de connerie désarme. Comme il est dur de rire et de se battre à la fois, s’ils n’étaient pas si intrinsèquement cons, on pourrait même finir par s’imaginer que tout cela n’est qu’une subtile tactique à laquelle même Edward Bernays, le théoricien de la manipulation des masses, n’avait pas pensé.
Toujours est-il que, visiblement, le petit doigt qui réside en permanence dans le fondement de ces clowns maléfiques (à moins que ce ne soit Juppé lequel a accompagné Macron en Chine) leur avait visiblement soufflé que les membres sénescents dudit ConCon, d’ordinaire peu érectiles, allaient, une nouvelle fois, abuser de la petite pilule bleue pour faire subir jusque dans ses trous de nez et les poils d’oreilles, un ultime gang bang à notre constitution. Car oui, certains ont des micropénis. Ces sages (ou plutôt, s’agissant de « mûrs », ces « décrépis sages »), ces tristes « sires concis » (notamment dans leurs attendus) et qui, en sus de leurs retraites (souvent au pluriel), touchent 15.000€ par mois d’un salaire qui, contrairement à eux, est net, ont décidé que les autres devraient attendre, pour certains d’être morts, pour espérer toucher la leur et que les magouilles de l’encollé qui nous dirige sont aussi légales qu’a pu l’être, jadis, l’esclavage. Je dis l’encollé, car depuis le temps qu’on veut nous sucrer les retraites, c’est lui qui s’y colle. Donc oui, Macron est un encollé.
Dans la foulée et en parfaite coordination, ledit encollé, visiblement insomniaque a, nuitamment et de façon subreptice, promulgué le texte, réveillant certainement dès potron-minet un collègue lèche-cul (dixit Trump) parmi les cadres du journal officiel afin de s’assurer que la loi serait bien publiée dans l’édition du matin. Édition que, tel Benjamin Griveaux (exception faite pour le dernier Play-boy, magazina non grata à la banque du sperme pour cause de Schiappa en couverture) l’encre pas encore sèche, il a tenu d’une main en jouissant… d’avoir, une fois de plus, humilié les bouseux et autres castors à queue plate amateurs de barrages. Contrairement à la version Netflix de Cléopâtre, le message est clair comme la semence d’un septuple vacciné amateur d’eau du robinet : « je viens de vous couper les testicules, c’est définitif et aucune manifestation ne pourra plus les faire repousser. Pas la peine, non plus, de remonter votre slip, car la suite arrive. En attendant, retournez bosser pour payer mon salaire, mon train de vie et les CRS qui me protègent ».
CRS qui, les larmes me viennent, se sont vus censurer l’article 10 qui accordait des avantages aux policiers, les pauvres s’exposant dès lors à l’épicondylite latérale, plus connue sous le nom de « tennis elbow », s’ils doivent cogner des manifestants jusqu’à 64 ans. De même, à l’instar de l’or à leur sommet qui transformait, selon Maître Gims, les pyramides en centrales électriques, disparues les mesures en faveur des séniors que les infâmes LR ont fait semblant d’échanger contre leur trahison ainsi, qu’au passage, toutes les dispositions et avancées supposées adoucir le texte.
Cela n’a rien à voir, mais mon chien, une fois, a attrapé des tiques. Au début, j’ai essayé de négocier pacifiquement, mais, bizarrement, les tiques n’ont rien voulu entendre. Je les ai menacées, idem. Finalement, j’ai sorti un briquet et tout a été réglé en quelques secondes. Surtout, n’y voyez pas une métaphore, même si on pourrait penser, au vu du montant abyssal de notre dette, que notre bien-aimé président flambe facilement. Quant à la Première ministre, suivant, là encore, métaphoriquement, la triste tradition familiale, elle est déjà cramée de toute façon. Même si, écologiste dans l’âme (de ceux qui ont bondi de joie à l’annonce de l’arrêt de la dernière centrale nucléaire allemande qui fera que nous ne sommes pas près de reprendre une douche chaude) je peux comprendre les débats légitimes sur l’impact environnemental d’un feu de poubelle versus l’incinération artisanale d’un ministre, d’un député ou des membres du Conseil constitutionnel lesquels, suffisamment motivés, courront toujours plus vite qu’un container en plastique, tel le dalaï-lama, je n’en reste pas moins (l’algorithme m’en est témoin) un adepte de la non-violence.
Une conviction encore renforcée depuis que nous a récemment été révélé le mystère de la réincarnation dudit lama dans un enfant. En fait, qui l’eût cru, c’est assez trivial : il suffit de pénétrer par la bouche en commençant par introduire la langue.
Certes, il eût mieux valu que les enfants le sussent avant, afin d’éviter les malentendus. Cela m’a quand même un peu fait penser au film culte « l’invasion des body snatchers » et, depuis, mon sommeil s’en trouve quelque peu agité. Comme il n’y a pas de raisons, autres qu’hygiéniques, que la bouche soit le seul point d’entrée possible, le récent coming-out d’Olivier Dussopt me fait envisager le pire. Et s’il n’était pas, à la base, aussi débile qu’Elisabeth Borne le pense, mais qu’il s’avérait qu’un organisme fluide, voire aqueux, mais très bête, se soit violemment incarné en lui et depuis l’habite ?
De la même façon, on tient peut-être l’explication du regard allumé de Macron et du pourquoi une même personne (en apparence) a pu marteler être contre l’allongement de l’âge de départ à la retraite avant, subitement, de changer radicalement d’opinion. Un même individu qui a suivi les néocons américains comme un petit toutou sur l’Ukraine faisant pleuvoir des centaines de millions d’euros dans les poches d’un célèbre joueur de piano à queue avant, fort d’une seconde paire de testicules d’origine indéterminée, de refuser tout de go tout suivisme s’agissant de Taïwan. Et si tous ces gens étaient simplement possédés ? Qu’est-ce qui se cache derrière cette avalanche de coming-outs et derrière ce nom mystérieux de « renaissance », laquelle s’effectue généralement par d’autres voies ? Est-ce qu’au moins quelqu’un a vérifié s’ils peuvent plier leur petit doigt ? Je m’en vais de ce pas creuser ces histoires de reptiliens et de terre plate.
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