Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/coaYzacwa-c
Bonjour !
Selon Gérald Darmanin, les légers débordements festifs que nous avons connus, conséquence de la colère légitime d’individus sans caractéristiques particulières (si ce n’est d’être éprouvés par le réchauffement climatique) sont largement imputables à des Mathéo et des Kevin dont on ignore encore s’ils supportent plutôt Liverpool ou Manchester United.
Certains esprits retors avancent que le calme ne serait revenu que parce que
1) on a mis un mouchoir pudique sur les morts et le comateux conséquences de tirs de Flash Balls un peu trop « RAID »,
2) les dealers ont sifflé la fin de la récréation et
3) il faut bien retourner au bled pour les vacances avec les cadeaux qu’on s’est procurés en « soldes » ; alors que tout le monde sait bien que tout le crédit est à porter au compte d’un gouvernement que le Monde entier nous envie, lequel a su réprimer avec une sévérité exemplaire les hordes… de racistes d’extrême, ultra droite hyperbolique qui commençaient à arpenter les rues pour défendre les commerces.
Un gouvernement qu’on ne saurait d’autant moins blâmer que, comme l’a déclaré Emmanuel Macron avec une expression de vendeur de lotion capillaire à Éric Ciotti : « qui aurait pu prévoir ce qui allait se passer ? ». Incapable de renoncer sans se suicider à son principe fondateur aussi absurde qu’hypocrite « d’égalité », la république, dans tout son arc pas constitué de flèches qui va de la NUPES jusqu’au RN, se contorsionne comme un pervers de terre dans une GayPride pour ne pas parler du troupeau de Mammouths dans la pièce.
Elle continuera donc à déverser des milliards, qui plus est grâce à un plan d’urgence, pour reconstruire de quoi brûler pour la prochaine fois, à importer en masse (sous peine d’amende européenne de 20 000€ par tête en cas de refus) des individus de type non européen et à vénérer le pouvoir de transmutation d’un bout de carton plastifié qui transforme n’importe qui (et toute sa descendance) en Gaulois pur porc, mais halal quand même, on n’est pas des sauvages ; populations supposées payer nos retraites, mais pas assez pour empêcher la réforme et dont il convient, c’est la moindre des choses, de subventionner la natalité de type cuniculture, chose qui, bizarrement, n’a rien à voir avec les lesbiennes, mais plutôt avec les lapins.
En parlant de LGBT, une info majeure est passée totalement inaperçue pendant que de futurs Voltaires brûlaient leurs écoles avec ataraxie et accessoirement des allumettes. Pour comprendre sa portée, il faut d’abord prendre conscience que le mouvement LGBTQI2+√4, outre d’être le prolongement logique, jusqu’à l’absurde, dudit principe d’égalité, doit en partie sa montée en puissance à quelques bienfaiteurs de l’humanité qui le promeuvent tels : Georges SOROS, Klaus SCHWAB et le patron de BlackRock, Larry FINK, homme le plus puissant de la planète. Trois individus dont, coïncidence purement coïncidentale (et cela me glace le sang rien que d’y penser), nous aurions pu avoir le grand malheur d’être privés si l’indicible horreur de la Shoah s’était poursuivie ne serait-ce que quelques minutes supplémentaires.
Toujours est-il que si les entreprises ont adhéré en masse au concept façon poil pubien de Benjamin Griveaux avant la douche, c’est avant tout à cause des critères ESG (pour : Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance). Des critères imposés, notamment par BlackRock, et en fonction desquels des points sont attribués, selon un barème, aux entreprises ; points qui conditionnent les investissements ou financements de BlackRock et consorts dans lesdites sociétés. Comme tout est mis dans le même panier et qu’il est moins onéreux pour gagner lesdits points (et les sous qui vont avec) de mettre de l’arc-en-ciel partout que de produire écologique, le choix des entreprises a été vite fait.
Mais, allez savoir pourquoi, quand on a commencé à sexualiser les gamins, à leur distribuer des bloqueurs de puberté comme des Smarties, à effectuer des mastectomies et des mutilations génitales sur des mineurs (sans parler de laisser des hommes en jupe concourir dans les compétitions féminines et pouvoir aller se rincer les mains - et non les yeux - dans les toilettes des dames) quelques individus rétrogrades se sont dit que, peut-être, la chose était allée un poil (non genré) trop loin. Mesquins, les consommateurs ont commencé par boycotter la bière Budweiser aux États-Unis pour une pub mettant en scène un travesti transsexuel qui se déguise en petite fille, lui faisant perdre des milliards et la mettant au bord de la faillite. Passablement énervés, d’être identifiés à ça, des hommes un peu trop poilus pour voter à gauche allaient jusqu’à poster des vidéos en se mettant en scène en train de tirer au fusil automatique sur des packs de canettes de la marque.
Dans la foulée, les supermarchés Target qui avaient eu la bonne idée de mettre en avant des articles et livres de contes LGBT pour bébés coquins à forte libido, ont subi un appel au boycott similaire, assorti de pertes considérables. Inutile de parler de Disney, incapable d’accepter que le concept même de « Blanche Neige » est plus proche, niveau colorimétrie, du Ku Klux Klan après lessive que de Black Lives Matter et dont l’engagement woke lui vaut de faire flop sur flop au box-office.
Parallèlement, le documentaire « what is a woman » qui aborde ces questions sous un angle critique a dépassé les 180 millions de vues en quelques jours sur Twitter et la Cour suprême des États-Unis vient de valider le droit à la discrimination, dans le cas d’un designer Web spécialisé dans les sites de mariages, refusant, pour raison religieuse, de créer de tels sites pour les couples de même sexe.
Je passerai sur la croissance du mouvement « LGB sans T » regroupant des homosexuels « classiques » qui, ne s’identifiant pas à des libellules les jours pairs des années bissextiles, ne souhaitent plus être embarqués dans un bateau qui coule, ou encore la guerre Russie-OTAN (sachant qu’aux dernières nouvelles OTAN en emporte le vent, qui plus est en marche arrière) dont un des enjeux est justement la revendication du droit à la plurifonctionnalité obligatoire du sphincter anal auprès de la petite enfance.
Bref, sans même évoquer la dangerosité, proportionnelle à la hauteur des immeubles, des vues pas particulièrement souples sur le sujet des nouvelles populations que nous importons en masse, le vent est en train de tourner à la vitesse d’une opinion de Robert Maynard et, comme derrière les bons sentiments, tout n’est au fond qu’une affaire de pognon, lassé de se prendre des remontées de bretelles par ses actionnaires, information passée complètement inaperçue, Larry Fink, le PDG de BlackRock, lors du festival des idées d’Aspen, a sifflé la fin de la récréation en disant qu’il ne parlerait plus désormais d’ESG.
Ça tombe bien, les peuples mécontents, un peu partout sur la planète, ayant besoin d’un bouc émissaire pour se défouler, plutôt que la finance internationale, il semblerait donc qu’on ait décidé de leur jeter en pâture, dans un retour de bâton pas forcément lubrifié qui risque d’être violent, tout ce qui ressemble à une première dame d’un pays que je ne nommerai pas. Mais qu’on se rassure, fidèle à sa tradition d’avoir quelques décennies de retard sur son modèle américain, la France sous la férule de Pap Ndiaye, en dépit d’un manque à recruter cette année de 3.163 enseignants pour les matières secondaires comme le Français ou les maths, met, elle, les bouchées doubles en ce qui concerne l’éducation à la sexualité des élèves prépubères.
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Rassurez-vous, l’état nounou sous l’égide d’une ministre Mme Lonvis Rome va débloquer une enveloppe de 10 millions d’euros pour lutter et sévir contre les discriminations LGBTQI+……..que la fête commence!
RépondreSupprimerMic.W
J'Adore votre phrasé et ne m'en lasse, Monsieur « La mîte dans la caverne ».
RépondreSupprimerMerci à vous 🙏💪🌹😍☀💕👏👏👏👍🤗