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dimanche 6 août 2023

L'absurde GUERRE DES SEXES. (07/08/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/yImXJVp3oE8

Bonjour ! 

À force de tout déconstruire, Sandrine Rousseau qui est à la cause féministe ce que les émeutes urbaines sont à la défense du « vivre ensemble », au vu des sons produits par son orifice steakophobe supérieur, semble affligée d’un rare cas de fusion bucco-annale. Bien que le concept novateur de sodomie fellatoire qui en découle mériterait sans doute d’être exploré, avec toute l’abnégation requise au nom de la science, il serait quand même préférable que, parfois, elle la ferme. D’autant que, courageuse, mais pas téméraire, elle n’aurait pas craché sur Geneviève de Fontenay de son vivant ; la dame au chapeau, décédée ces jours-ci, féminine, mais pas faible pour autant, ayant eu assez de répondant pour la recycler façon déchets verts dans la benne médiatique la plus proche. 

Comme c’est l’été, plutôt que de traiter comme à mon habitude d’une actualité anxiogène qui sera toujours là à la rentrée, je vous invite donc à vous installer confortablement, afin d’approfondir, dans ce second devoir de vacances, les causes et finalités de cette guerre des sexes absurde que Sandrine nous impose. 

Le cœur du problème : 

L’égalité n’est qu’une abstraction mathématique qui n’existe pas dans la nature. Faute d’occuper strictement le même espace-temps, dès l’instant de leur conception, même deux clones strictement identiques ne sont pas égaux. Celui qui marchera sur le côté route du trottoir aura plus de chances de se faire écraser et celui du côté mur de se prendre une fiente de pigeon, chaque seconde qui passe les différenciant davantage. D’un point de vue sociétal, l’idée même d’égalité, a fortiori entre des individus physiquement différents, est une utopie dangereuse qui nie à la fois les incompatibilités qui devraient être prises en compte (comme c’est le cas avec le fameux « vivre-ensemble ») et les complémentarités, comme c’est le cas entre les hommes et les femmes, qui elles permettent d’avancer. Bref, on évite les affrontements nécessaires et on en crée des artificiels là où ils n’ont pas lieu d’être. 

Depuis avant Brigitte Macron, la nature des rapports homme-femme, ce que les imbéciles appellent le « patriarcat toxique », découle d’une inégalité majeure : contrairement à la maternité, la paternité n’est jamais certaine et, objectivement, même s’il peut dépasser la chose en raison de son besoin inné de transmission, un homme n’a aucune raison de subvenir, parfois jusqu’au sacrifice, aux besoins d’une famille qui ne serait pas la sienne. Or sans famille point de civilisation. Outre l’intuition, désormais scientifiquement établie, que la multiplication des partenaires impacte négativement la capacité féminine à établir la relation durable à laquelle, pourtant, la majorité des femmes aspire, l’obsession au cours des siècles, pour la virginité et autres stigmatisations de la femme volage, loin d’être une oppression gratuite n’étaient donc rien d’autre qu’un échange raisonnable de bons procédés, la femme seule ne pouvant ni concevoir, ni maximiser les chances de survie de sa progéniture et échangeant contre un peu de sexe (hors épisodes migraineux) et un cadre plus strict, davantage de sécurité. 

On aurait pu penser, au vu de l’évolution de la science, que l’avènement de la liberté sexuelle, incitant les femmes à passer leurs années les plus fertiles à devenir les proies jetables d’une minorité qu’elles se disputent, tout en alimentant le segment de marché extrêmement rentable du célibat de masse, aurait été équilibré, au nom de la sacro-sainte égalité, par un test de paternité systématique à la naissance, afin de ne pas casser la motivation principale des hommes à soutenir une famille. Or, non seulement ce n’est pas le cas, mais la chose est punie en France d’une peine d'un an d'emprisonnement ou de 15 000 € d'amende. Il est vrai que la notion même de famille basée sur les liens du sang est la première chose à détruire quand on veut casser un pays, liens du sang qui sont, en outre, la première pierre d’une prise de conscience ethnique qu’il convient d’effacer au nom des valeurs de la république. Il en va de même pour tout type de transmission hors supervision étatique, contribution habituellement dévolue au père et qui se traduisait jadis, par toutes ces entreprises portant fièrement la mention « père & fils » dans leur raison sociale. Quand la complémentarité est basée sur un échange équilibré de bons procédés et qu’on supprime cet équilibre, on altère la complémentarité CQFD. 

Morale contre nature 

Ce n’est pas parce qu’on est capable de rationalité qu’on est forcément rationnel. En fait, le plus souvent, nous passons notre temps à rationaliser après coup des décisions impulsives pour maintenir l’illusion d’être plus que des animaux. Or, il n’y a rien de plus irrationnel que la morale, pavant l’enfer de bonnes intentions, surtout lorsqu’elle ne se contente plus de s’élever au-dessus des lois de la nature, ce que l’on appelle civilisation, mais finit inévitablement par prendre son contrepied, aboutissant immanquablement à l’inverse du résultat escompté. 

Dans la nature, le bien et le mal n’existent pas, il n’y a que le bon qui permet de survivre et le mauvais qui fait de vous le repas de quelqu’un d’autre. En des temps reculés où le déodorant n’avait pas encore été inventé et où l’espérance de vie avoisinait les 30 ans (selon l’appétit des tigres à dents de sabre locaux), attendre d’avoir fini ses études supérieures pour faire des enfants n’était pas vraiment une option, la notion d’adolescence non plus, ne laissant que 2 catégories : enfant et pubère. En gros, si ça sentait le poisson, c’était susceptible de passer à la casserole, même si on peut supposer que, même à l’époque, les mâles normalement constitués étaient plus prompts à tirer par les cheveux dans une caverne, les femelles ayant des signes apparents de fécondité pleinement développés. 

C’était certes efficace, mais améliorable et heureusement car, même s’il y a encore certaines régions du Monde qui fonctionnent à l’ancienne et que, même chez nous, certaines caves de cité font parfois encore office de grottes, mon pacifisme a des limites et j’aurais moyennement apprécié que ma fille se fasse capillotracter à 10 ans et demi. Je discutais l’autre jour de la terre plate avec un ami reptilien qui m’a avoué que les hommes de l’âge de pierre sont toujours parmi nous et vivent cachés, se reconnaissant parfois par un patronyme en « Stein » qui, justement, signifie pierre en allemand, ainsi que par leur attirance pour les très jeunes femmes. J’ai un petit doute, car je le soupçonne d’être complotiste. 

Pour autant, même si j’ai un petit goût de vomi dans la bouche de devoir faire cette distinction, d’autant que la zone grise entre les deux est parfois ténue, s’ils méritent amplement d’être lourdement punis par cette même loi des hommes qu’ils enfreignent, il est pernicieux au vu de ce qui précède, en les qualifiant abusivement de pédophiles, de les mettre dans le même panier que des gens qui vont, eux, contre les lois de la nature en sodomisant des bébés et qui, sans ce distinguo pénible, mais nécessaire, plutôt que d’être spécifiquement ciblés seront invisibilisés dans une masse artificiellement gonflée pendant que les médias, allez savoir pourquoi, braqueront les projecteurs sur les premiers et seulement les premiers. 

D’autant que si on cherche vraiment à protéger les très jeunes adolescents jusqu’à ce qu’ils aient la maturité psychologique requise pour prendre pleinement conscience de ce qu’une vie sexuelle implique (auquel cas on peut s’interroger sur la pertinence d’expliquer la sodomie à l’école maternelle), le constat alarmant qu’ils ont quand même, entre eux, notamment les filles, des rapports de plus en plus tôt avec, en prime, pour référence, des films pornographiques pas spécialement axés sur le respect mutuel, démontre qu’en focalisant sur ce qui nous choque à juste titre, technique connue de manipulation, on en arrive à l’inverse du résultat escompté pour en oublier ce qui fonctionne, comme par exemple, la remise en question de l’école mixte, stupidement écartée, au nom du principe absurde d’égalité. 

De même, la nature de l’homme étant de protéger la femme, il lui a concédé de lui-même, toujours au nom de la morale (et non du féminisme) un certain nombre de droits spécifiques ce qui, jusqu’à un certain point, compte tenu des évolutions, est à la fois compréhensible et justifié, mais une fois ouverte la boîte de pandore, faute d’objectifs précis après lesquels s’arrêter (ce qui aurait été amoralement rationnel) la protection légitime des femmes a ouvert la voie à leur protection juridique en tant que catégorie, qui a ouvert la voie au féminisme 2.0, qui a ouvert la voie à la protection des minorités, qui a ouvert la voie à une immigration de masse laquelle, première boucle contradictoire, n’adhère pas au concept de droit des femmes, puis aux LGBT qui les effacent et les remplacent par des trans dans le sport et jusque dans les concours de Miss (deuxième boucle) ce qui amène logiquement à la sexualisation des enfants et à l’intégration, à terme de la minorité pédophile, troisième boucle qui produit exactement, encore une fois, l’effet contraire de celui prétendument recherché au départ ce qui, selon certains, était peut-être la véritable finalité. 

Bref, avec l’humilité qui nous caractérise, fidèle à notre tradition du « solublème », aux fins de réduire une inégalité naturelle, on en a créé beaucoup d'autres, elles totalement artificielles, cassant en prime, au passage, des équilibres millénaires. D’autant que si la compassion féminine est essentielle dans le cadre familial et associatif pour cimenter la société, et sans remettre en question qu’il peut exister des femmes parfaitement compétentes en dehors de ce registre, transposée, soit par des femmes, soit par des métrosexuels féminisés ou des hypocrites, à des secteurs qui réclament une extrême rigueur comme : la politique, l’éducation ou la justice, c’est une véritable catastrophe. 

Les femmes en roue libre. 

Si les femmes, par leur influence, se sont toujours efforcées d’éviter aux hommes de partir en roue libre, ce qui n’est jamais bon, la réciproque est également nécessaire. Tout individu qui a accompagné son épouse dans un magasin de vêtements pourra le confirmer : probablement de par le fait que dans certains domaines il a, au bout de neuf mois, des conséquences beaucoup plus lourdes que pour les hommes, les femmes ont un problème avec le choix, problème qui croît exponentiellement avec le nombre d’options qui leur est présenté. Or elles sont passées en quelques décennies du choix relativement confortable du moins pire des prétendants de leur village, aux choix offerts par le monde du travail, l’école, l’université et finalement le Monde entier, puisqu’il suffit d’un compte Instagram pour attirer tous les affamés de la planète, ce qui pousse parfois certaines à faire la moue en permanence en se la jouant star de cinéma, ce qui ne favorise pas les rencontres. 

Elles terminent alors leur périple sur Tinder, où elles peuvent, sans que cela les perturbe le moins du monde, être aussi superficielles que les hommes auxquels elles en font généralement le reproche et choisir, sur la base du seul physique, parmi une minorité d’individus qui n’ont que l’embarras du choix, vont les consommer sans donner suite, pour finir avec quelqu’un de plus jeune quand ils en auront bien profité, créant à la fois un ressentiment envers les autres hommes qui n’y sont pour rien, tout en confortant, faute de pouvoir regarder la réalité en face, le rêve éveillé d’une âme sœur cochant toutes les cases de plus en plus nombreuses ajoutées au fil des années qui, quelque part, les attend. Ce qui revient à se lamenter de n’avoir rien à se mettre devant une armoire pleine, chose qui deviendra réalité, lorsque pour avoir trop attendu elles auront trop changé pour trouver encore dans ladite armoire quelque chose qui leur aille dans le créneau de fertilité qui leur reste. 

La polygamie assure à presque toutes les femmes d’avoir un homme, mais laisse beaucoup d’hommes sur le carreau, rebut parfois violent et peu enclin à faire face à ses responsabilités paternelles, que nous avons la bonne idée d’importer en masse, perturbant les équilibres, de sorte que même la monogamie qui, elle, permet normalement à une majorité d’hommes de trouver une épouse, ce qui est le garant d’une société stable et moins agressive, ne peut plus jouer son rôle. Un déséquilibre encore aggravé quand les femmes ne sont pas disponibles, occupées qu’elles sont à gaspiller leurs meilleures années sur Tinder à courir après un mirage. 

Il en résulte, en partie en raison d’une récession économique, impitoyable pour les individus peu qualifiés, le phénomène des INCELS (célibataires involontaires) qui se font pomper leurs ressources par tout ce qui a deux seins sur internet, pour ensuite se délecter devant des vidéos des mêmes qui se fracassent contre le fameux mur, en réalisant qu’elles ont perdu leur créneau et qu’elles vont probablement finir seules, le tout en fantasmant sur la mythique femme traditionnelle en voie d’extinction qui, certes, n’a pas les mêmes critères de choix que l’instagrammeuse, mais n’est pas plus intéressée qu’elle, et c’est logique, par un type qui passe ses journées à tuer des zombies pixélisés dans le sous-sol de ses parents. 

Car le paradoxe d’une société superficielle qui n’a jamais autant valorisé la beauté physique photoshopée, c’est que tant la sédentarité, que la malbouffe et les perturbateurs endocriniens, font que, dans la vraie vie, hommes et femmes tendent vers un modèle androgyne unique, à la fois gringalet, adipeux et moche qui ne plaît à personne. Un individu rendu, de surcroît, égocentrique et dépourvu de la moindre patience par un matraquage médiatique permanent qui le maintient dans un stimulus émotionnel constant, le rendant peu apte aux relations durables. 

Pour finir, celles finalement prêtes à faire des compromis pour se caser, réalisent que les hommes un peu établis qui pourraient encore s’intéresser à elles, tendent à virer MGTOWs lesquels, contrairement aux incels, prétendent avoir le choix, mais optent pour le célibat, considérant que les risques, notamment en matière de divorce et de garde d’enfant, sont trop élevés et systématiquement à leur désavantage, leur épouse pouvant sans avoir à se justifier, à la fois les ruiner et les priver de leurs gosses en raison d’une saute d’humeur ou du réchauffement climatique. 

Conclusion 

Même si c’est toute la société qui s’effondre au détriment de tous, l’homme étant câblé différemment, c’est la femme qui, au bout du compte, reste la principale victime de sa propre émancipation. Certes, du fait d’être aussi un être humain, elle ne se résume pas à son rôle de mère, même si certaines s’en contentent avec bonheur, option économiquement peu pourvoyeuse en TVA qui leur vaut d’être amplement stigmatisées, mais si elle ne remplit pas sa fonction biologique, même avec un abonnement Netflix et un nombre proportionné de chats, une fois passée la période éphémère des cafés gratuits et des portes qui s’ouvrent toutes seules, un peu comme un cheval à trottinette qui n’a jamais couru la crinière au vent, elle aura généralement un sentiment de vide qu’elle essaiera de compenser autrement, parfois avec un certain succès, par une frénésie d’activités, de consommation compulsive, d’investissement dans des choses émotionnelles futiles, et autres addictions diverses qui lui éviteront de toucher du doigt la différence entre solitaire et solitude et d’affronter ses angoisses profondes sans portable et sans musique pour bloquer son introspection. 

Par ailleurs, pour avoir simplement remplacé la dépendance à un homme par la dépendance à l’état, tous ses droits et illusions d’indépendance et d’autorité sont artificiels et (tout comme son aisance matérielle éventuelle qui lui permet d’appeler un plombier homme pour déboucher les chiottes) n’existent que tant que tient debout la société, en pleine déliquescence, qui les lui a accordés, contre nature, mais nullement par bienveillance, plébiscitant son travail pour faire baisser les salaires, le célibat prolongé pour maintenir la frénésie acheteuse, et les divorces et les mères célibataires pour multiplier le nombre de foyers fiscaux, doubler les dépenses et mieux manipuler les gamins. Nonobstant, beaucoup réaliseront trop tard qu’elles se sont fait avoir et qu’il vaut mieux être un chihuahua perdu dans la forêt amazonienne qu’une femme seule, abandonnée en rase campagne par un état défaillant incapable, lui, de sentiment, dans les périodes difficiles qui s’annoncent. 

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