Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

lundi 18 décembre 2023

Encore un 49-3, loi immigration, agression à Lyon, chats interdits… (18/12/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:  https://youtu.be/lVRvwXyCyKI

Bonjour ! 

Pour la 22e fois, j’ai encore fait ce rêve bizarre dans lequel, encouragée par un conseil d’État en rut, une Élisabeth Borne en nuisette enfilait à sec un plug anal de 49,3 cm dans quelque orifice d’un Éric Ciotti impassible, orifice qu’un crâne, aussi glabre que ses fesses, rendait difficile à situer géographiquement avec certitude. Détournant la tête à ce spectacle, j’apercevais alors, un instant dissimulés à mon regard par les formes graciles de Mathilde Panot, tous les autres, de LFI au RN, attendant patiemment leur tour en tenue d’Eve, d’Adam ou d’indéterminé. Un peu plus loin, un Darmanin occupé à faire subir les derniers outrages à une quémandeuse de logement social faisait mine de présenter sa démission à un Emmanuel Macron qui, à son tour, faisait mine de la refuser, lui-même activement déconstipé par un individu à perruque qui, visiblement perturbé par ce que dévoilent des restaurations récentes de photos par intelligence artificielle, le fouettait rageusement avec un ChatGPT à neuf queues. 

Des migrants de passage se torchaient allègrement avec la version Sénat du projet de loi « sur » et non « contre » l’immigration, ou alors « tout contre », qui aurait eu autant d’effet sur la problématique qu’un pet de lapin LGBT sur une toile ci(sgen)rée, mais avait permis à quelques députés de se décontracter les fesses entre deux enculades et de faire semblant d’exister tandis que, dans le lointain, de par-delà les Alpes, on distinguait vaguement le postérieur arrondi d’une Meloni bien nommée, en triple pénétration, ouvrant les vannes à 450.000 entrées légales… y compris, sur le territoire italien. 

Je fis un « saut d’homme » tandis qu’elle disait « go ! more ! », désireux de m’échapper de ce cauchemar, tout ça pour me retrouver subitement dans une cave, à Lyon, où quatre adolescentes aux prénoms classés secret défense, tels des soldats israéliens liquidant leurs propres otages pourtant munis d’un drapeau blanc, transformaient en serpillière une gamine de souche avec une violence à faire requalifier n’importe quel féminicide en légitime défense. Je ne sais pas pourquoi me revint alors à l’esprit la prestation de Sandrine Rousseau chantant l’hymne des femmes à l’assemblée, hymne qui rythmait parfaitement les coups de poing, coups de genou sur le visage et arrachage de cheveux auxquels j’étais en train d’assister. On reproche aux maghrébins de n’être pas romantiques, mais à leur décharge : « Mignonne, allons voir si la rose qui ce matin avait déclose, sa robe de pourpre au soleil… » est objectivement moins efficace qu’une paire de baffes pour amadouer des engins pareils ; et qui sommes-nous pour juger la culture des autres ? 

Un chat, un chien et un poisson rouge dans son bocal me passèrent alors subitement entre les jambes, pourchassés par un député européen à l’anus étoilé considérant que, contrairement aux supercargos qui nous amènent les produits qui massacrent notre agriculture, nos animaux de compagnie sont une menace pour l’environnement : le chat parce qu’il tue des oiseaux presque autant que les éoliennes, le chien parce qu’il bouffe trop, à l’inverse des migrants et de Gérard Larcher et le poisson rouge parce que, contrairement aux logements des Français, son bocal est chauffé et qu’il vide, de surcroît, les nappes phréatiques mises à mal par cette sécheresse que Macron nous avait annoncée cet été (parce que le réchauffement climatique) sans toutefois anticiper (et on ne saurait le lui reprocher) que Sandrine Rousseau allait chanter avec les résultats que l’on connaît. 

Finalement, le chat, le chien et le poisson rouge, lequel était un peu piranha par son arrière-grand-mère maternelle, décidèrent de se rebiffer et le député repartit, non point la queue entre les jambes, ce qui était désormais techniquement impossible, mais tout dépité auprès de Von Der Leyen, en tenue dominatrix qui le châtia à coups de fouet. Elle jeta la carcasse sur la montagne de drapeaux nationaux, désormais interdits au parlement, qu’elle avait confisqués aux députés, puis se retourna vers Zelenski qui tentait de la séduire en interprétant une sonate au piano les mains dans le dos. La belle accepta alors d’accueillir, en son sein fripé, une Ukraine ruinée qu’il faudra rebâtir à nos frais, qui englobera à elle seule un quart de la PAC tout en tirant encore les salaires à la baisse avec son SMIC à 150€, tout ça, bien sûr, sans consulter personne. Tel superman, je vis alors passer dans son col roulé rouge, très haut dans le ciel, super-dilatator qui fonçait mettre la Russie à genoux. Tout n’était peut-être pas perdu. 

Sur ce, profitant du fait qu’en rêve on peut encore voyager sans identité numérique, je fis un petit tour en Allemagne où les pères Noël se font attaquer dans les rues et en Italie où des crèches se font incendier, avant de revenir en France où, plus malins, on dit « joyeuses fêtes » au lieu de « joyeux Noël » et on plante des chandeliers à 7 branches jusque dans l’Élysée, au lieu de ces enfoirés de sapins antirépublicains. Il est vrai que c’est presque pareil niveau bougies, mais cela manque quand même un peu de guirlandes (si je peux me permettre une suggestion). 

Mais revenons à la réalité. Le fond du problème c’est moins l’immigration, terme qui ne veut rien dire, que la perte de cohérence à la fois ethnique, culturelle et cognitive sans laquelle il n’y a plus de peuple. Cela varie d’un pays à l’autre, ce qui fait la richesse de l’humanité, mais pour la France, ce qui lui a valu de se hisser et de rester au cours des millénaires et jusqu’à une date récente, parmi les premières puissances mondiales, c’est d’être un peuple de type européen, de culture helléno-chrétienne avec un QI moyen supérieur à 100. Cette cohérence devrait être ET inscrite dans la constitution ET le but de toute action publique, notamment par la réorientation des aides, sociales et liées à la natalité. 

Certes, idéalement, on ne devrait accueillir que des gens répondant à ces trois critères, mais il ne s’agit pas, bien sûr, de tomber dans un intégrisme aveugle et de se priver de ce que d’autres peuvent nous apporter, simplement, à minima, on ne devrait accepter, ou ne laisser se maintenir sur notre territoire, personne ne répondant à aucun des trois, ce qui est le cas de l’immense majorité des gens qui défrayent la chronique par des actes de plus en plus ignobles, le seul fait d’avoir des pouces opposables n’étant visiblement pas suffisant pour s’intégrer dans notre société spécifique. 

En réaction à la colère qui monte, on peut appliquer la méthode Darmanin lequel, faute de pouvoir expulser efficacement des terroristes ouzbeks, dissout à tour de bras toute association identitaire ou catholique qu’il arrive encore à trouver, comme, cette semaine, Academia Christiana, en attendant les petits chanteurs à la croix de bois. Une méthode qui a fait ses preuves et dont chacun peut constater à quel point elle améliore la situation. D’autres, moins inventifs, prônent le FREXIT partant du principe que le fait d’être pieds et poings liés, pantalon baissé et le cul à l’air par des traités signés dans le dos des peuples, n’est pas la position idoine pour affronter ce qui nous pend, entre autres, au nez. 

Mais le Frexit, pour le Frexit, ne sert à rien comme on l’a vu avec le BREXIT. Au-delà du mot « souveraineté » qui ne veut rien dire (sauf à préciser pour qui), il faut un but précis préalable audit Frexit quand on veut motiver les gens et faire plus de 1%. Dire : « on fait le Frexit et on discutera du reste après » ne marche pas. Son intérêt, c’est de pouvoir récupérer notre cohérence et le droit à notre spécificité en tant que peuple sur les critères ethniques, culturels et cognitifs évoqués dont tout le reste découle et qui nous ont permis de toujours nous relever en dépit des aléas de l’histoire. C’est ce qu’on a vendu, en filigrane, aux Anglais avant de les trahir en faisant exploser l’immigration, parce que, justement, les choses n’avaient pas été clairement dites. 

Le Frexit, c’est l’antithèse des fameuses « valeurs de la république » dont on nous rebat les oreilles et quelqu’un comme Asselineau, dont j’apprécie par ailleurs la pertinence des analyses, se tire une balle dans le pied à chaque fois qu’il conclut ses diatribes par « vive la république ! ». Le Frexit est donc un instrument, un préalable technique qui ne saurait se suffire à lui-même ou constituer à lui seul un socle politique, pas plus que parler anglais sur un CV, si c’est souvent indispensable ne suffit à avoir le poste. Ne pas comprendre ça, ou faire semblant, pour éviter comme la peste la seule chose qui a un sens et pourrait fédérer au-delà des 5%, à savoir la cohérence ethnico-culturelle, c’est, électoralement, mettre la charrue avant les bœufs, erreur que commettent tous les « frexiteurs » lesquels à un moment où l’UE est en train de préparer un véritable coup d’État oligarchique et où les peuples commencent à se réveiller, faute d’être en accord sur le fond, ne sont même pas fichus de s’unir en vue des européennes et de proposer une offre politique crédible. 

Si vous avez apprécié ce contenu, vous pouvez cliquer sur tous les trucs en bas et si vous ne l’avez pas apprécié, c’est sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.

1 commentaire:

  1. Merci pour la qualité de votre expression. Un réel plaisir pour mes oreilles qui apprécient votre maîtrise de notre belle langue française et l'humour.

    RépondreSupprimer