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dimanche 11 février 2024

Mauvaise semaine pour les mondialistes (11/02/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/R2JsDMpvprE

Bonjour ! 

Nicole Beloubet nouvelle ministre de l’Éducation Nationale ! Cela soulève des questions et, sans subtilités « ni colle », « Belle ou bête ? » est certainement la plus facile à laquelle répondre. Il faut bien reconnaître que sauf à se déguiser en gobelet de pop-corn, même coincée entre Gérard Depardieu et Gérard Miller dans une salle obscure projetant le film de 9h30 de Claude Lanzmann, boudé par à peu près 68 millions d’antisémites lors de sa récente diffusion sur France 2, ses chances d’attirer une main baladeuse aux abords de son string en dentelle (car c’est une grande optimiste) sont relativement modérées. Gageons qu’ils mettraient plutôt la main au « Pannier-Runacher » d’Agnès, laquelle, en tant que ministre déléguée à rien, vient compléter, avec la cousine de Laurence Ferrari (preuve supplémentaire qu’il n’y a aucune accointance entre les sphères politiques et médiatiques) la collection de bras cassés recrutés pour boucher les trous par trop dilatés d’un gouvernement pourtant resserré. 

À défaut de pouvoir postuler pour une sextape auprès des schtroumpfs à langue bleue du sénat, comme évoqué par le canard enchaîné qui avait aussi sorti l’info, en novembre, du sénateur drogueur de députée femelle, tout espoir n’est pas perdu pour Nicole puisque, comme quasiment chaque semaine désormais, on apprend qu’une arrière-grand-mère, cette fois de 91 ans (le record à battre, si je ne m’abuse, étant de 96), s’est culturellement fait enrichir la zone pelvienne par un potentiel mineur isolé de 34 printemps, visé, pure coïncidence (non amalgamante) par une OQTF. Probablement un grand romantique, inspiré par la belle idylle « trans »-générationnelle élyséenne, rampe de lancement du réarmement démographique. 

Pour rester dans les romantiques, quid de Gérard, précédemment évoqué, qui Miller de rien, est accusé de plus de 40 agressions sexuelles et viols sous hypnose sur de très jeunes femmes ? Chose qui, bizarrement, soulève beaucoup moins de réactions indignées qu’essentiellement les propos grivois et pincements de fesses qu’on reproche à Depardieu, s’agissant pourtant de deux hommes blancs de plus de 50 ans, nés la même année, les deux dans le showbiz, portant le même prénom et bénéficiant, théoriquement, de la même présomption d’innocence. Quand on voit ce que s’est pris, à l’époque, Adrien Quatennens pour une baffette, faisant que, paradoxalement, c’est quand il ne roucoule plus que le roux coule, ce n’est pas son appartenance à l’extrême gauche qui protège Miller. Vraiment, je ne vois pas, sinon à considérer que c’est son côté circon…spect. 

Histoire de me changer les idées, j’ai écouté l’interview de Vladimir Poutine par Tucker Carlson lequel, contrairement à Macron, a dû se contenter d’une toute petite table dont on pouvait faire le tour sans mobylette et ne nécessitant même pas un téléphone portable (dont incidemment, 600 000 sont volés chaque année dans l’hexagone) pour communiquer entre les deux interlocuteurs. Première déception, il n’a pas été question de la rétrogradation d’Oudéa Castéra aux sports et aux JO, de la bise velue de Meyer Habib (homme à « barbe laid » qui pique) à Jordan Bardella lors de l’hommage aux 42 citoyens israéliens, morts en Israël et qui, par l’effet de superposition quantique du concept mystérieux de double nationalité (qui fait qu’on peut être à la fois dedans et dehors de quelque chose) sont considérés comme Français, ou encore de la mort de l’infâme Badinter grâce auquel Nordahl Lelandais peut goûter aux joies de la paternité et qui, en nous privant du droit de tuer, nous a laissés sans solution contre les criminels avec (ou sans) OQTF. 

Un Badinterminable lequel rejoint au panthéon inversé républicain (qui encense, à grand renfort de larmes de crocodile obligatoires, tout ce qui tue la France) le traître Delors et (la répulsion à ôter la vie se cantonnant aux pauvres criminels incompris et non aux infects fœtus à forte teneur en CO2) la goule Simone Veil à laquelle on doit un déficit cumulé de 20 millions de Français avec lesquels l’immigration de masse n’aurait eu absolument aucun sens. Rien de tout cela donc, abordé par Poutine, donnant la vague impression que tout ce qui fait la une de notre théâtre médiatique franco-français revêt, en fait, l’importance d’une chiure de mouche anémique sur une bouse de diplodocus, sous laxatif à ARN messager et au sphincter aussi relaxé que… François Bayrou. 

Ce qui n’est pas sans évoquer Darmanin qui vient de « démayotter » la forte couche qu’il tient, en démarrant l’importation massive vers l’hexagone de migrants comoriens, répandant le contenu de ladite couche dans les campagnes françaises. Pour détourner l’attention de cet enrichissement azoté, dans une pure logique darmanienne, en attendant (après l’arrestation de 40 nationalistes pour s’être recueillis sur la tombe de Robert Brazillac au prétexte que 2 avaient des béquilles qui seraient des armes par destination) la dissolution inéluctable et en urgence, des scouts de France pour régler le problème de Mayotte ; de la même façon que l’on a entubé les agriculteurs, on annonce la suppression du droit du sol sur l’île (et seulement sur l’île, car pourquoi priver toute la France des joies de la submersion migratoire) par la promesse verbale d’une réforme de la constitution qui, sauf si elle sert de prétexte pour introduire un 3e mandat de Macron, aura lieu, on suppose, le 31 février 2040, jour de la Saint Glin Glin, patron des anus à forte élasticité. Mais je digresse. Revenons à l’interview. 

Pour être honnête, Poutine a roulé dans la farine détaxée ukrainienne le pauvre Carlson (qui, comme la plupart des Américains, faute d’en avoir une, n’a aucun sens de l’histoire, même s’il a un diplôme dans cette discipline) en déroulant pendant 20 longues minutes, de façon assez peu « orthodoxe », bien que pas très catholique, l’historique complet de 1000 ans de rapports russo-ukrainiens, en le détaillant presque jusqu’à l’étiquette « lavage à 30° » de la culotte de Vladimir le Grand, mais (probablement distrait par une mouche à propulsion hypersonique qui passait) en omettant juste l’Holodomor de 1932 quand Staline, lui aussi fan des comptes ronds, a fait sciemment mourir de faim 4 millions d’Ukrainiens. Un oubli purement accidentel à n’en point douter, qui lui a permis de dire, en gardant son sérieux et sans être contredit, qu’il ne comprenait pas pourquoi, ensuite, l’URSS s’était sentie obligée d’accorder une forme d’indépendance et des territoires supplémentaires à l’Ukraine, mais que, grosso modo, il s’agissait d’une belle et grande famille que rien ne séparait. 

Il a alors pu enchaîner, adhérant (indice qu’à terme ceux qui voient en lui un messie seront inévitablement déçus) au catéchisme de ses adversaires sur la nécessité d’éradiquer le mal absolu, lequel serait le nazisme, même si, de son propre aveu, le fait que les soi-disant nazis acceptent un Juif à leur tête avait de quoi laisser perplexe, pour conclure en expliquant incidemment, comment Hitler (un peu comme lui) a été forcé à la guerre par les « gentils », toujours sans que Carlson ait deux neurones qui se touchent. Un objectif d’éradication du moulin à vent du nazisme commodément impossible à quantifier dans l’espace et la durée, légitimé au motif que « tous les pays le combattent », ce qu’encore une fois, Tucker Carlson n’a pas relevé, alors que les USA les premiers, de par leur premier amendement, de même qu’une partie des BRICS, ne l’interdisent absolument pas. 

Pour le reste, même 10 Macrons enfilés façon bilboquet, ne lui arrivent pas au petit doigt du pied et ce qui a suivi a été parfaitement factuel, même si quelqu’un qui suit un peu l’actualité autrement que sur BFM, en confondant le vibromasseur et la télécommande, n’aura rien appris de nouveau concernant les magouilles de l’OTAN, les accords de Minsk, Boris Johnson envoyé en catastrophe en avril 2022 pour faire capoter l’accord de paix déjà présigné à Istanbul, ou le sabotage des gazoducs Nord Stream par le seul pays qui y avait « à la fois un intérêt et disposait des considérables moyens techniques et militaires nécessaires »… on aura tous reconnu le Lichtenstein. 

Mais pour l’Américain moyen, habitué à un président qui ressuscite Mitterrand, confond l’Égypte et le Mexique et ne sait plus ce qu’il a fait il y a 5 minutes, un type capable de raconter 1000 ans d’histoire de façon encyclopédique a quelque chose de fascinant. D’autant plus lorsqu’on a affaire à un individu qui tient un discours modéré et conciliant et qui parle de défense de la famille et de foi chrétienne alors qu’on le lui présentait comme un tyran sanguinaire. Le coup de grâce étant porté par la démonstration convaincante, exemples à la clé, que le président des États-Unis n’a aucun pouvoir véritable et que ce qui veut la guerre c’est le pouvoir profond (sans toutefois que soit évoqué l’éléphant dans la pièce, à bout de trompe plus ou moins intact, qui le compose). 

Autant dire que l’ensemble, visionné, sans compter les multiples copies et traductions, par 200 millions de personnes dans sa version anglaise, a fait l’effet d’une véritable bombe à fragmentation médiatique et ce, pile au moment où Biden essaie désespérément de faire voter des fonds pour continuer à alimenter en chair à canon ukrainienne une guerre perdue d’avance, détruisant au passage un des derniers pays blancs dont les hommes pourront ensuite être avantageusement remplacés par des enrichisseurs culturels dans une béate créolisation mélenchonienne qui conduit immanquablement au bonheur éternel et à la paix entre les peuples, amen ! 

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