Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/amj0_cmaz8o
En matière de budget, la différence entre un coup de barre assumé et un coup de « Barnier », n’est hélas que phonétique, et le coup de grâce qui nous est administré n’a rien à voir avec celui, sans P et enrobé, de Marine Le Pen, passablement occupée à garder ses fesses molles de procrastinatrice en cellulite plutôt qu’en cellule, à l’issue d’un procès bizarrement peu médiatisé et qui tombe à pic pour la dissuader de voter une motion de censure.
En dépit d’un Retailleau qui, fidèle à son patronyme, fait verbalement (histoire de donner le change) « Taïaut taïaut » sur l’immigration et expulse courageusement du territoire un fils ben Laden parti de lui-même depuis déjà un an, le grand méchant mou Barnier, lui, plutôt que Taïaut « taille bas » sur toutes les dépenses… sauf celles ayant trait à ladite immigration, aux subventions aux associations qui l’encouragent, à la fraude sociale, aux niches fiscales, aux comités Théodule, aux strates doublons du mille-feuille administratif, aux retraites versées à des centenaires étrangers nourris à la pâte à tartiner magique, au budget de l’Assemblée, du Sénat et de l’Élysée augmenté, à lui seul, d’encore 3 millions, au train de vie de la « Première dame » déjà pourtant dotée de bourses généreuses et photogéniques, aux contributions à l’Union européenne (presque 2 milliards de plus), à l’aide à l’Ukraine (encore 3 milliards cette semaine), à l’aide au développement du reste du monde (Chine incluse), aux éoliennes à pédales, à la pseudoculture en boîte de pétri qui ne produit que de la merde subventionnée, pour biberonner des « fils et filles de » parasites, aux médias publics de propagande et aux autres dépenses indispensables sans lesquelles la ré (plus ou moins) publique elle aussi, ne serait, en son centre brun et turgescent, plus au goût de Bruno Le Maire.
Cela, bien sûr, ne suffira pas et, en attendant le retour de la taille et de la gabelle (ce qui ne manquerait pas de sel), une fois le gland confortablement inséré sur un malentendu à la feu Michel Blanc, le reste va suivre en profondeur avec déjà, dans le viseur, la réinstauration, sous une appellation plus sexy, de la taxe d’habitation, sans que diminue pour autant la taxe foncière déjà « en orbite autour d’Uranus » expression bizarrement moins propre si l’on enlève les « or » « d’ur ».
Même face au spectacle de l’Assemblée nationale inondée dès qu’il pleut plus de 3 gouttes, on ne peut mesurer complètement l’ampleur de la dégringolade de ce qui fut jadis la 4e puissance du monde si on ne réalise pas que, pour gonfler les comptes, et notamment depuis l’infâme Sarkozy, l’état a vendu en douce une grande partie de son parc immobilier, de sorte que la plupart des administrations sont désormais locataires ce qui augmente considérablement les coûts de fonctionnement faisant que même les « gendarmeries jaune » sur l’ensemble du territoire, incapables qu’elles sont de payer leurs loyers. Plusieurs mois de retard qui impactent dangereusement les budgets des communes, elles aussi, à l’os, sachant que, dans la même situation, tout autre citoyen (hors migrant, enrichisseur culturel ou squatter), aurait déjà reçu la visite de la police (ce qui serait cocasse) pour les foutre dehors.
Mais je digresse. Dans cet inventaire à la Prévert de gris de tout ce qu’il ne faut pas faire, figure également, outre le gel des retraites sans tenir compte des disparités, la diminution drastique des aides à l’embauche (y compris des apprentis) devenues pourtant indispensables aux PME écrasées de taxes avec, de surcroît, le poids de tarifs électriques purement idéologiques et qui, youpi, vont encore prendre 14% en février. Aides qui soutiennent pourtant réellement l’emploi contrairement aux mêmes, octroyées aux multinationales (lesquelles auraient embauché de toute façon) et qui, effet d’aubaine, se retrouvent donc directement dans la poche des actionnaires, non seulement en créant zéro emploi, mais en incitant même à licencier sur le site X pour pouvoir réembaucher sur le site Y et toucher lesdites aides à effectif constant.
Pendant ce temps, plutôt que d’empêcher Sanofi, fabricant entre autres du doliprane, d’être racheté par les Américains alors qu’il existe un repreneur français, Macron, après avoir justifié l’immigration de masse par Aznavour pourtant connu pour « ses emmerdes », a décidé de plutôt se battre pour empêcher la série « Emilie in Paris » laquelle s’est probablement baladée de nuit une fois de trop sur le « Champs-de-Mars », de devenir « Emilie in Rome » plutôt que « des Roms dans Emilie ». À ce niveau de nullité, on est presque surpris quand il dit un truc sensé comme demander l’arrêt des fournitures d’armes à Israël, lequel vient quand même de faire du tir aux pigeons sur les Casques bleus de l’ONU pour la troisième fois en 3 jours, se torche avec toutes les conventions internationales et envahit tranquillement un pays allié de la France, probablement le dernier sur la planète où elle était encore respectée.
Mais qu’on se rassure, en cet an de disgrâce 2024, une lueur d’espoir point à l’horizon, non pas (évènement secondaire), l’élection de plus en plus probable de Donald Trump face à une Kamala Harris incapable d’improviser devant une panne de prompteur, mais bien la création de ce qui manquait vraiment à la droite nationale : un parti pro-Israël de plus, comme celui créé par Marion Maréchal, anciennement nouvelle Jeanne D’arc (Vador) des croisés nostalgiques, certes un peu défraîchie, mais dont j’attends, un jour, avec gourmandise, l’inéluctable débat face à Sarah point trop KNAFO autre promotrice de la fumisterie oxymorique de la civilisation « judéo-chrétienne » et omniprésente sur toutes les chaînes info depuis qu’elle ne représente plus, elle aussi, que sa cabine téléphonique.
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