Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/pmFSYOhX9wU
Bonjour !
J’ignore si Sandrine Rousseau plante des aiguilles sur son homme déconstruit (et où), mais certains artefacts de magie noire sont terriblement puissants et j’ai ouï dire qu’une poupée vaudoue entièrement constituée de poils de testicules de première dame, pour peu que l’on abatte conjointement un ou deux poulets (ou CRS), lorsqu’introduite, une nuit de pleine lune, dans un anus dilaté, par Bruno Le Maire, à coups de prévisions budgétaires mystiques, serait réputée capable de faire disparaître des milliers de milliards de nos finances publiques. Je me garderai donc de me moquer des rumeurs qui courent dans la presse centre-africaine sur de mystérieuses disparitions de pénis suspectées être orchestrées par la DGSE pour alimenter des labos secrets, sous le château de Versailles, chargés d’en extraire génétiquement la virilité.
Après tout, un peu comme pour les cornes de rhinocéros et, à défaut, d’épouse numéro 1 d’Éric Zemmour ou pour les sacrifices rituels d’enfants dans des réseaux pédophiles, la question n’a jamais été de savoir si la magie existe, mais si des gens y croient suffisamment pour commettre des actes répréhensibles d’autant que la plupart des religions sont d’essence surnaturelle et que j’ai déjà vu des gens intelligents se passionner pour la Kabbale. Le terrain, en ces temps de régression et de fin de civilisation, est donc plus que propice à la pensée magique délétère et si l’idée de la disparition spontanée d’organes érectiles, surtout depuis que Marlène Schiappa ferme sa grande bouche, me semble un peu tirée, sinon par les cheveux, au moins par les poils de c…, la possibilité, en revanche, d’un trafic de pénis africains pour lesquels une partie de nos élites ne cache pas son attirance, n’est pas, en soi, aussi ridicule qu’il y paraît et je n’aurais aucun mal à imaginer le couple Macronscescu en consommer, nature ou farcis, avec une sauce bolognaise.
Dès lors, l’envoi au Maroc de deux A330 et d’un Falcon, ce qui n’a aucun sens en période de restriction budgétaire, pourrait au moins s’expliquer comme une couverture pour rapatrier un peu plus de « membres » que les 122, au demeurant un peu flasques, de la cour macronienne, conviés à la « sauterie ».
Pour rester dans les croyances superstitieuses, ledit Macron nous avait « méga-bassiné », en mars 2023 (de peur que, contrairement à son épouse, nous risquions de perdre les eaux) avec son plan éponyme pour anticiper la sécheresse prévue pour 2023 et 2024 selon un modèle climatologique infaillible multipliant la masse gazeuse flatulée par les vaches et Gérard Larcher par le carré de l’hypoténuse plutôt que le cubage de ce qu’elles pissent par « π π » ce qui, au vu de la pluviométrie record depuis ladite annonce, était au mieux une erreur d’appréciation.
Il se peut aussi qu’à force de bouffer des insectes et de prendre des douches froides, nous ayons inversé le processus, auquel cas, Anne Hidalgo, en limitant la vitesse à 50km à l’heure sur le périphérique parisien a peut-être été, par son excès de zèle, la goutte d’eau qui a fait déborder… l’Espagne avec, à ce jour, 213 victimes à déplorer. N’ayant pas fait le rapprochement, les Espagnols préfèrent blâmer le roi, traité d’assassin et aspergé de boue lors de sa visite, ainsi que le gouvernement, aussi efficace que le nôtre, qui a mis à peine 10 heures à transmettre l’alerte à la population, pour ensuite envoyer des secours insuffisants, laminés par des coupes budgétaires pourtant très jolies sur des tableaux Excel.
J’admets que, contrairement à l’amère (depuis les présidentielles) de Paris (que d’aucuns qualifient du contraire, surtout depuis qu’elle s’est baignée dans la Seine), je suis un vrai sceptique, notamment en matière de réchauffement climatique anthropique, davantage concerné que je suis par les choses dont l’homme est indiscutablement responsable comme le taux de mercure dans le thon, dont tout le monde se fout, probablement du fait que, fort heureusement, il n’y a pas de cannibales à l’Assemblée nationale et qu’Ersilia Soudais est sauve. Mais lorsqu’on apprend, cette semaine, qu’il atteint 13 fois le taux maximum autorisé, lui-même déjà outrageusement gonflé, à la base, pour ne pas ruiner la filière, cela donne à réfléchir, même quand on aime bien « petit navire »… tant qu’il n’emmène pas de migrants dans ses cales, migrants dont on aimerait qu’on nous dise à partir de combien de millions, ou de milliards, soyons fous, il y en aura trop.
On ne pourra jamais savoir, car non contents, en interdisant les statistiques ethniques, d’avoir cassé le thermomètre une fois largement introduit (ce qui aggrave la pollution par le mercure) les idéologues qui nous dirigent vers l’abîme viennent d’étendre (ce qui est médicalement et financièrement absurde) les tests de drépanocytose à l’ensemble des bébés dès cette année, et ce, uniquement pour qu’on ne puisse plus mesurer le caractère exponentiel de l’invasion migratoire.
En dépit de tous leurs efforts, la situation est telle que cela finit par se voir comme un hétérosexuel au Rassemblement National, les obligeant à envoyer Retailleau avec ses paroles verbales et (à défaut de Kärcher), une poire à lavement, lorsque, faute de place sous le tapis de prière pour glisser la poussière, le vase de Soissons déborde de partout à l’occasion d’une nouvelle bataille de Poitiers, où, contrairement à 732, il n’y a plus aucun autochtone sur le champ de bataille qui voit s’affronter, désormais, à l’arme lourde (on imagine, au nom des valeurs de la république), des centaines (selon Retailleau lui-même), de Magrébins et Guadeloupéens. Ailleurs, des enfants de 5 ans prennent des balles perdues tandis que des femmes sont violées par un « patriarcat toxique » dépourvu de caractéristiques méritant de s’y attarder comme, parmi tant d’autres, cette gamine de 8 ans laissée se vider de son sang, après usage, en raison d’un vagin déchiré. « OQTF » semble désormais signifier à l’état : « Oh Que T’es Faible » … sauf avec les quelques Français qui se rebiffent sur les réseaux sociaux, dont 9 viennent d’être condamnés en relation avec le drame de Crépol, tandis que l’on apprend, par ailleurs, que le jeune Nicolas, membre du même club de rugby que feu Thomas, club qui n’avait pas forcément envisagé de jouer à XIII, a été tué à l’entrée d’une boîte de nuit, mais c’est déjà la routine.
Plus fort encore, outre le fait que l’explosion du trafic de stupéfiants implique une explosion délétère et inquiétante du nombre de clients (y compris hors France Insoumise) et que l’état inclut la chose dans le calcul du PIB qu’il n’a aucun intérêt à voir baisser (même si l’augmentation du SMIC de 27€61 est un peu légère pour booster la demande), on a le culot de nous présenter cela sous l’angle du seul banditisme, comme si lesdits bandits n’avaient pas de spécificités certes amalgamantes, mais néanmoins incontestables s’agissant, par ailleurs, souvent, d’individus inadaptés à la vie dans leurs propres sociétés, lesquelles, plutôt que de composter écologiquement leurs déchets, vidangent allègrement chez nous leur Hid… fosse septique.
Des individus qui, non seulement, ne veulent pas s’intégrer, mais dont beaucoup ne le pourraient pas de toute façon en raison (outre de spécificités ethniques, culturelles et religieuses qui n’aident pas vraiment) d’un QI de crevette trépanée anémique aux pinces hélas non isolantes après séjour dans un transformateur électrique directement alimenté par une pyramide égyptienne. Une mesure de l’intelligence certes contestable et contestée d’un point de vue universel, mais qui évalue néanmoins efficacement la forme cognitive spécifique nécessaire à faire société dans des pays occidentaux. Il en ressort qu’ils ne sont ni assimilables, ni intégrables, ni éducables, ni intimidables, ni expulsables, ni même emprisonnables (faute de place et en raison d’un laxisme judiciaire d’extrême gauche) de sorte que, comme pour toute invasion de parasites, en dernier recours, il ne resterait que le Baygon vert, (jaune pour ceux qui « volent »), chose impossible avec les oxymores que sont tant « l’ordre républicain » que « l’état de droit ». C’est en effet ladite république qui provoque elle-même le désordre par son idéologie absurde des « droits de l’autre » laquelle implique que tous les hommes sont égaux et donc ont le droit de venir chez nous, non invités, sans risquer d’être abattus.
Ce fut pourtant la norme pendant des siècles et ça l’est encore ailleurs, comme en Israël qui lui a, apparemment, le droit (en tout cas, il prend le gauche) au nom de sa « survie », de tuer des gosses avec des frappes chirurgicales au bistouri pour le moins mal calibré, ce que certains de ses ressortissants binationaux médiatiques et associatifs (par peur d’être les suivants sur la liste en cas de résurgence d’un nationalisme qui se poserait un peu trop fort la question de savoir qui est français et qui ne l’est pas) nous interdisent de faire chez nous y compris pour des criminels. En parallèle, entre deux coups de marteau et autres règlements de comptes à la mexicaine, des « sombres héros » de la bien-pensance (bien français, eux, quelle que soit la définition) lesquels en redemandent et sont beaucoup plus nocifs que n’importe quel migrant, ont pour priorité de censurer la BD Spirou et Fantasio pour des dessins jugés trop caricaturaux.
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