Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/tFtgP13shAQ
Bonjour !Avec un sens du sacrifice gratuit que seul pourrait comprendre un spermatozoïde qui, par quelque mystérieux concours de circonstances (n’ayant rien à voir avec notre première dame), se retrouverait inexplicablement collé sur le gros intestin d’Emmanuel Macron, je me dois de faire l’analyse que personne n’ose faire concernant la transformation artisanale de la petite Louise en steak haché et ce, que ce soit la « droite », tétanisée de s’être fourvoyée quant à l’identité du déchet humain responsable, ou pire, la « gauche », soulagée et en semi-érection, qui parle plus dudit fourvoiement que du drame lui-même. Il est clair, en effet, que face à tant d’atrocité gratuite, nous sommes passés à deux doigts de la goutte de thé à la menthe qui aurait pu faire déborder le vase de Soissons du fameux « sentiment » de submersion migratoire.
Pourtant, si on se sort les 2 doigts en question de là où je pense et que l’on dépasse l’analyse purement raciste des deux camps, focalisés sur la couleur de peau de l’assassin, à l’instar (un clou ou un couteau chassant l’autre) de tous les noms déjà oubliés sur l’interminable liste des gamins tués pour rien, dont hélas, Elias, l’avant-dernier en date, pudiquement décrit par les médias comme ayant été « poignardé » alors qu’il a été massacré à la machette et pour lequel il n’a pas été jugé opportun, par ceux qui aiment exciter les foules, de parler d’antisémitisme du fait que les assassins n’étaient ni blancs, ni Arabes, on se rend compte que le meurtre de Louise, bien que perpétré par un blanc, est bien, lui aussi, un pur produit de l’immigration de masse non européenne.
Contrairement à Elon Musk qui ne fait aucun tri dans sa mission d’enfanter à lui seul une équipe de rugby, plus les remplaçants, avec ce coup-ci, un bébé a prépuce escamotable conçu avec une damoiselle au nez refait déjà maman célibataire et connue pour ses vidéos explicites où elle partageait, entre autres, son désir de se faire bourriquer par un grand black baptisé Tyrone, BFM est plus sélective. Dans son résumé de l’affaire Louise, elle ne retient dudit perpétrateur que l’addiction aux jeux vidéo, un peu comme Macron cherchant à expliquer les émeutes, imputables, en outre, comme chacun sait, à l’ennui et au réchauffement climatique. Un Macron qui n’a pas dit un mot sur Louise préférant poster une compilation de mèmes générés par intelligence artificielle se foutant allègrement de sa gueule sans arriver toutefois à surpasser la réalité.
Certes les jeux vidéo sont un gaspillage de temps de cerveau disponible, mais comparés au fait de rester scotché devant BFM, font au moins travailler les réflexes et secouent quelques neurones. En revanche on ne parle plus du fait que le fameux Owen, qui contrairement à la chanson éponyme « Owen the saints » n’en était pas un, fréquentait des bandes ethniques et se mettait en scène dans des vidéos débiles parlant le même sabir simiesque qui perdrait tout sens à l’écrit sans les grimaces et la gestuelle. Un mimétisme poussé jusque dans la tenue vestimentaire et le comportement : incapacité à refréner ses accès de colère et à réfléchir avant aux conséquences possibles de ses actes, déjà connu des services de police, toujours un couteau dans la poche et ayant même déclaré, au cas particulier, avoir voulu « racketter quelqu’un pour se calmer ». Il s’est tellement identifié à de la racaille ethnique que son attitude générale a conduit les enquêteurs, après visionnage des images de vidéosurveillance, à d’abord placer en garde à vue un petit délinquant d’origine maghrébine avec lequel ils l’on carrément confondu. Comme dit le proverbe : « si ça ressemble à un canard et que ça fait coin-coin, ce n’est pas une Première dame ». Peu importe donc qu’il s’appelle Owen, c’est bien une « racaille » mentale pour ne pas employer d’autre mot sachant qu’on ne peut plus appeler un chatGPT un chatGPT.
Après qu’un traducteur afghan hurlant « Allah Akbar » s’est homophobiquement trompé de pédale et a foncé en voiture dans une manifestation de gauchistes qui réclamaient des jours de congés supplémentaires et dont les survivants, incurables, ont remanifesté le lendemain contre la « récupération » du massacre par l’extrême droite, au moment où, d’un côté J.D. Vance rappelle, à Munich, lieu du drame, que personne n’a jamais été consulté électoralement pour approuver l’immigration de masse et où, de l’autre, l’infect Mélenchon (millionnaire parasite qui n’a jamais tenu un vrai marteau ou une vraie faucille, pas plus qu’une vraie truelle et qui n’est maçon qu’au grand Orient dont le nom même méprise l’occident) met du beurre dans ses épinards et de la beurette dans son plumard en vendant la « créolisation » inéluctable des campagnes françaises, la question qui fâche est de savoir pourquoi ledit Owen s’est assimilé à une engeance qui, elle, non seulement a refusé de faire de même, mais semble en être organiquement incapable.
Est-ce qu’il n’aurait pas évolué différemment sans cette immigration de masse, déjà majoritaire dans de nombreux établissements scolaires, qui fait que des jeunes européens se sentent menacés au point de tenter de s’intégrer aux groupes les plus violents par instinct de survie et, qu’inconscients du ridicule, notamment quand ils rappent, essaient d’être plus allogènes que les allogènes pour tenter de faire oublier qu’ils sont blonds aux yeux bleus et donc les plus susceptibles d’être ciblés ?
Il est donc plus que probable que sans cette influence la petite Louise serait encore vivante, d’autant que si les prisons n’étaient pas pleines avec des gens qui n’ont rien à faire chez nous, on pourrait y enfermer nos criminels pour toute la durée de leur peine et que disparaîtrait ce sentiment d’impunité délétère conséquence de ce trop-plein qui, autant que l’idéologie, explique le laxisme judiciaire. Il en résulte que si, collectivement, nous ne réalisons pas que l’immigration de masse de populations non européennes est la menace la plus grave qu’encourt notre société et que la gangrène est tellement avancée que simplement l’arrêter, ce que l’on ne fait même pas, ne sera pas suffisant et qu’il faudra sortir la scie, alors effectivement, Mélenchon aura raison et le fait que (tandis que lui vit, faut pas pousser non plus, loin des secteurs « créolisés ») ses fidèles seront les premiers à se faire égorger, ne consolera personne.
Il en va donc de la responsabilité des parents, plutôt que l’oxymore du « vivre-ensemble », d’augmenter les chances de survie de leurs enfants en leur inculquant une méfiance salutaire et de commencer à se regrouper entre eux, car de même que, quand on tend un micro à un Juif, la probabilité qu’il parle de l’holocauste est exponentielle en fonction du temps passé, qu’un Algérien parlera inévitablement de la colonisation et un noir de l’esclavage, tous les peuples de la terre ont une conscience ethnique ou raciale, parfois renforcée par un esprit de revanche, conscience qu’on a arrachée aux seuls occidentaux à force de lavage de cerveau droit-de-l’hommiste et de catholicisme dévoyé.
Bien sûr qu’au niveau individuel certaines personnes sont bien intégrées et que l’idée n’est pas de les rejeter, mais simplement d’admettre, à partir du moment où elles ne sont pas assimilables comme pouvait l’être l’immigration européenne, qu’elles subissent toutes, indépendamment de leur parfois bonne volonté, une dynamique de groupe qui fera que leurs enfants ou petits-enfants, voire elles-mêmes, finiront happés par la force d’attraction de leurs communautés respectives si on laisse ces dernières atteindre une masse critique ; et si vous pensez que, dépassé un certain rapport de force, on ne va pas se faire massacrer comme des lapins ou des Boers en Afrique du Sud, réfléchissez à nouveau. Cela arrive déjà tous les jours sous nos yeux. La seule chose qui nous sauve encore c’est que, dans le nouveau Far Oued, certains sont, pour l’instant, occupés à se massacrer entre eux au fusil automatique, voire récemment à la grenade, faisant qu’on attend une version dédicacée de Clara Luciani pour le maire écolo anti-police de Grenoble particulièrement ouvert à l’autre : « dans ton cul la grenade... »
La liberté d’expression d’opinions étant un absolu qui ne souffre aucune exception, nous en sommes malheureusement au stade où, dans le prolongement logique de la première entorse sous forme d’interdiction de blasphème sur la Shoah, par extension, on ne peut plus blasphémer sur rien de sorte que si vous êtres pris d’une envie pressante en pleine cambrousse et que vous n’avez qu’un coran à portée de la main, quelle que soit l’option que vous choisirez vous serez dans la merde. Le plus triste est qu’il se trouvera des gens pour trouver ça normal, oubliant qu’ils ont été Charlie, les mêmes qui ont trouvé normal de porter des masques et de se faire vacciner avec un machin expérimental, tout ça parce qu’au lieu des solidarités traditionnelles on a délégué le pouvoir d’information, de décision et le monopole de la violence à l’état qui, en république, n’a jamais représenté le peuple.
Un état qui nous enfonce, sachant que si on nomme Ferrand au Conseil constitutionnel, on est sûrs de se Ferrand… mais je m’égare. Par ailleurs la Cour des comptes nous apprend que les financements alloués aux associations chargées de l’accompagnement des réfugiés et demandeurs d’asile ont fortement augmenté parce que pour ça, de l’argent on en trouve. Par exemple, les crédits de la mission « Immigration, asile et intégration » ont progressé de 23 % entre 2019 et 2023, pour atteindre 2,3 milliards, tandis que les subventions aux associations ont bondi de 52 %, dépassant 1,1 milliard. Je vous épargne la liste du reste.
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