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dimanche 30 mars 2025

Marine inéligible, Sarkozy en prison. .. Récap caustique des infos de la semaine… (30/03/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/uW2dCa7k7wc

Bonjour !
Cette nuit, j’ai fait un horrible cauchemar : j’étais à moins de 200m de Macron… et mon fusil s’est enrayé. J’avise alors un OQTF d’une ethnie compatible avec la république (selon le RN), en train d’enrichir culturellement une dame de 54 ans derrière un local à poubelle et je lui demande si, par le plus grand des hasards, il n’aurait pas un couteau sur lui. Par le plus grand des hasards, il en avait un. Muni du couteau, je me précipite vers Macron quand je réalise qu’il est tout nu, allongé sur un trou de taupe en hurlant, en pleine crise de mégalomanie : « j’encule la terre entière ! ». Je ne suis plus qu’à 10 mètres quand la taupe me devance en tranchant à moitié un pénis techniquement impossible à circoncire que seule une piqûre de Frelon aurait pu rendre imposant et, au moment où j’allais porter le coup de grâce, ne voilà-t-il pas qu’il se relève en hurlant, la taupe toujours suspendue aux parties génitales, et court s’abriter derrière une ligne de CRS et de championnes de boxe algériennes avant d’être escorté en ambulance vers une ZFE, hors d’atteinte de ma Clio diesel.

C’est là que je me suis réveillé, en sueur, à côté d’une Brigitte en tenue d’Adam et sans perruque, largement équipée pour traumatiser une taupe, même aveugle. Je me suis alors vraiment réveillé… en tout cas j’espère, car l’INSEE évoque quand même pour 2024 un déficit consolidé à 5,8% du PIB (trafic de drogue inclus) avec une dette portée à 3 305 milliards d’euros et Alexis Kohler, le Macron bis de l’ombre, le cerveau rapide du cerveau lent, triste « sire concis »… sur le sujet, au point d’avoir refusé de répondre à la commission parlementaire idoine, plutôt que d’être jeté en prison pour prise illégale d'intérêts, trafic d'influence et son rôle dans le dérapage incontrôlé budgétaire, façon rodéo urbain, ira pantoufler à la Société Générale. 
 
Pour rendre ce chiffre de 3 305 milliards plus concret, converti en billet de 10€ empilés (qui ne font pourtant qu’un dixième de millimètre d’épaisseur), cela ferait un tas de 33.050 km soit 1/10e de la distance jusqu’à la lune et, en pièces de 1€, on pourrait faire 17 fois le trajet, soit une hauteur équivalant à un « hamas » de 2 millions de cadavres palestiniens dont la production, morale et démocratique, a atteint, cette semaine, un nouveau record avec 1000 terroristes déguisés en femmes, enfants et vieillards, suspicieusement tassés dans des tentes antisémites, en seulement 10 minutes. Le côté positif c’est qu’à ce rythme on pourrait atteindre Mars, certes après Israël, mais avant Elon Musk. 
 
Selon Éric Lombard, notre ministre de l’économie dépensière, visiblement aussi surpris qu’un Afghan découvrant un cadeau Bonux sous la Burqa de sa promise le soir de sa nuit de noces : « ce n’est pas une bonne nouvelle ». Sans blague ! Il a donc visiblement pris connaissance de ce phénomène météorologique, totalement imprévisible, sans cause autre que le réchauffement climatique, par la presse, en même temps que le tremblement de Terre en Birmanie et en Thaïlande. Notre catastrophe naturelle à nous, j’ai nommé Emmanuel Macron, a quand même réussi, dans ces circonstances difficiles, avec une alacrité qui fait plaisir à voir (et alors qu’on va encore alourdir la taxe foncière en 2025 en taxant les balcons et les terrasses histoire de gratter 3 sous) à trouver 2 milliards d’argent magique à distribuer à Zelensky. 
 
Pendant que nos sous servent à soutenir l’effort de guerre d’un pays qui n’est pas dans l’UE, la solidarité des autres membres se fait attendre, le Danemark envisageant de protéger le Groenland (qui lui est dans l’UE) non des Russes, mais des Américains, en achetant des avions F35… américains à l’instar des Allemands la semaine dernière, car ça leur ferait mal d’acheter des rafales. A ce stade de connerie suicidaire, c’est comme demander « pourquoi ? » à un pédophile et espérer comprendre la réponse.
Derrière Macron, qui rétropédale (en un seul mot) et parle d’envoyer en Ukraine des troupes de « réassurance » qui n’ont vocation à rien, à se demander du coup pourquoi les envoyer, dans le camp proguerre il ne reste donc plus guère que Keir Starmer, à ne pas confondre avec le célèbre Nick Starmer souvent évoqué dans les quartiers. 
 
Un Starmer qui suscite une nouvelle polémique outre-Manche en raison d’une circulaire incitant officiellement les juges britanniques à châtier plus sévèrement les hommes blancs, ou, si l’on veut jouer sur les mots, à châtier moins sévèrement tous les autres : racisés, minorités ethniques et sexuelles ainsi que les femmes, ce qui revient au même. Un mécanisme par inversion qu’on applique déjà chez nous lorsqu’on considère, par exemple, que le racisme ou l’antisémitisme sont des circonstances aggravantes en cas de meurtre, ce qui revient à admettre, implicitement, qu’il est moins grave de tuer ceux qui ne sont pas concernés par ces problématiques, en gros le Français lambda. Comme quoi, l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions. 
 
Son soutien à Macron est donc parfaitement cohérent avec sa haine viscérale de l’homme blanc du fait que, russe ou ukrainien, chaque tué des deux camps représente de facto un blanc privilégié en moins sur le continent européen. On pourra ensuite les remplacer allègrement par des gens qui se repèrent plus distinctement dans les paysages enneigés, chose qui améliorera la sécurité routière, de même que le permis de conduire dématérialisé européen lequel vient d’être entériné pour 2030, renouvelable tous les 15 ans (moyennant finances) et sous réserve de visite médicale, elle aussi payante. On n’arrête pas le progrès.

Pendant qu’ici on taxe à tout va, faisant que, nouveau record, 125 000 Français ont fui le Macronistan en 2024, aux USA, le Mississippi devient le 10e état à supprimer l’impôt sur le revenu qui, pour mémoire, a été institué en France durant la Première Guerre mondiale et avait vocation à être provisoire. Si on ajoute la TVA, les taxes et même les taxes sur les taxes et qu’on met en parallèle la décrépitude des services et des infrastructures, des esprits retors pourraient se demander où va le pognon. Heureusement en France, il n’y a pas d’esprit retors, en tout cas pas dans les pseudos oppositions. 
 
Du coup personne ne pleure devant le fait que, grâce à Ferrand, qu’elle a contribué à faire nommer au Conseil constitutionnel (ConCon pour les intimes) en espérant sa clémence, alors qu’il était évident qu’elle allait se ferrand…, Marine Le Pen, en plus du déshonneur, comme aurait dit un poivrot anglais célèbre, est officiellement « inéligibilitable ». Elle pourrait donc être condamnée à une peine d’inéligibilité non suspensive dès ce lundi, veille du premier avril. C’est dommage, car je l’aurais bien vue Maire de Mamoudzou à Mayotte, île pittoresque sous perfusion qui semble l’intéresser moins que ses chats, mais plus que la France métropolitaine. 
 
Pendant ce temps, avec le même désintérêt pour le Gaulois de base, la relève (que certains surnomment affectueusement Ken et Barbie), toujours à contretemps de l’histoire, est partie se faire adouber en Israël. On a eu extrême droit aux larmes sélectives de Marion en prime time et en direct sur BFM (larmes qui ont visiblement obscurci sa vision au point de l’empêcher de voir les cadavres palestiniens) et à Bardella à deux doigts de la transe ecsomatique à Yad Vashem. Pour les soucis des agriculteurs, on verra plus tard, la priorité restant la lutte contre l’antisémitisme.

Il est vrai qu’il s’agit d’un fléau rampant dans l’hexagone puisque Sarkozy, celui qui a trahi les Français sur le référendum et bradé notre or aux Américains, encourt 7 ans de prison dans l’affaire Kadhafi alors que tout ce qu’il a fait, en dehors d’un financement occulte de sa campagne, c’est de faire sodomiser le brave homme à la baïonnette juste pour éviter qu’il ne parle de certaines valises de billets, détruisant, avec son complice BHL, un pays au passage et déclenchant un bain de sang, tout en provoquant le déferlement migratoire qui n’a pas cessé depuis. Cela dit, comme il a déjà un bracelet électronique à chaque jambe, on commence à manquer d’options. Un troisième, selon l’emplacement, étant de nature à pouvoir affecter sa vie de couple.

Si l’on veut voir le bon côté des choses, cela donne l’espoir que, d’ici 30 ans, Macron pourrait, à son tour, être jugé et devoir répondre de ses actes devant un tribunal… probablement islamique, ce qui, au cas particulier, ne serait pas forcément une mauvaise chose.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


dimanche 23 mars 2025

Algérie, Hanouna & Tiphaine, Brigitte c’est confirmé, Guide survie Macron, dossier JFK… (23/03/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/REDk4SQruWw

Bonjour !
En ce moment c’est tous les jours la fête à Retailleau, à croire que l’Algérie est « pro fête » un peu comme Mahomet. Compte tenu de ce qui reste de la puissance de la France, notre ancienne colonie peut fanfaronner sans risques en chantant, pourquoi pas à la Gaîté Lyrique, enfin libérée de ses mineurs mal isolés à alopécie précoce, l’opéra « Faust » de Gounod cher à la Castafiore : « Algérie de me voir si belle en ce miroir » et refuser de reprendre ses Algériens défectueux, un peu cons ou sanguins ou les deux, ce que l’on peut comprendre. 
 
Retailleau, conscient de ses limites, a donc entamé un bras de fil de fer avec elle menaçant même de démissionner si Macron, faisant fi du dossier qu’on lui agite sous le nez comme des testicules surnuméraires, attestant que Brigitte répondrait à tous les critères algériens pour être sélectionnée aux J.O. en boxe féminine, ne faisait pas preuve de fermeté à l’égard de ladite Algérie. Résultat, cette dernière a doublé la mise en refusant la dernière liste de ses ressortissants expulsables fournie par Paris, et Bruno, passant de la position démissionnaire à la position du missionnaire version Bruno Le Maire, s’est dégonflé comme un soufflé aux endives devant un poster de Gérard Larcher. 
 
Nonobstant, face à un tsunami d’enrichissement culturel avoisinant les 500 000 physiciens nucléaires par an, même si notre brave ministre au menton bodybuildé avait obtenu gain de cause, cela aurait eu à peu près autant d’effet sur la problématique migratoire que de pisser dans un stradivarius avec une cystite, le tout n’étant que de l’agitation et des paroles verbales pour donner l’illusion de l’action, un peu comme le kaRcher de Sarkozy (le R est important) introduit comme un suppositoire de padamalgam dans notre fondement collectif, endroit d’où il n’est jamais ressorti.

Trump fait un peu mieux en matière d’immigration, même s’il se consacre désormais à expulser les propalestiniens, rebaptisés antisémites, des campus, sans se soucier s’ils sont en situation régulière ou non, le premier amendement ne servant plus guère qu’à faire pousser des avocats. On sent comme une légère différence de traitement entre la Veuve-Clicquot qu’il veut taxer à mort et la veuve Adelson, sa très sioniste principale donatrice de campagne, avec laquelle il a dealé 100 millions de dollars et la liberté de faire ce qu’il veut en politique intérieure contre la promesse de l’éradication, façon action Tesla, de la bande de Gaza. Une transformation en boulodrome homologué qui a activement repris cette semaine, assortie d’une généreuse aide US au génocide démocratique moral de 4 milliards de dollars + 12 milliards de vente d’armes, votées à la quasi-unanimité, sauf par Thomas Massie, le seul, apparemment, au congrès, qui refuse d’être financé par l’AIPAC, le CRIF américain sous stéroïdes, révélant à un Tucker Carlson médusé que tous les autres ont un chaperon spécialement assigné par cet organisme pour leur dire quoi voter. 
 
Un Tucker Carlson qui, par ailleurs, vient lui aussi de valider, après Candace Owens, que notre première Dame réputée avoir la résistance d’un ohm, ce qui en physique est pourtant plutôt faible, n’aurait pas dépareillé dans l’équipe algérienne. 

Je ne crois pas vraiment à la théorie du Trump qui joue au billard quantique à 50 bandes sur un fil d’équilibriste et ce n’est pas parce qu’il déclassifie le dossier JFK lequel, dans un silence médiatique troublant, démontre l’implication d’Israël dans cet assassinat, qu’il n’est pas tenu par des attributs brigittiens, comme tous les autres (le dossier Epstein, largement caviardé, lui, se faisant désirer dans son intégralité). Il fait nez en moins ce qu’il peut en fonction de la longueur de sa laisse ce qui est déjà mieux que nos « politichiens » nationaux complètement à l’ouest, tel Glucksmann qui demande à récupérer la statue de la Liberté ou Darmanin qui laisse entendre que ce sont les Russes qui ont décapité Samuel Paty trop tôt. 
 
Son grand plan est avant tout de passer à la postérité et d’établir une dynastie, erreur qu’a commise un Le Pen avant lui en cédant au népotisme, chose dont les Américains, faute d’avoir jamais eu une noblesse, sont friands, prêts à croire que les compétences sont héréditaires et disposés à vénérer le moindre fils ou fille de, au point que la présidente des jeunes républicains de l’université de New York a été contrainte de démissionner pour avoir simplement osé dire que le fils de Trump avait un comportement peu sociable en cours, crime de « lèse-majesté » alors même que l’individu en question n’est que « Barron ». 

Une fois qu’on a compris, les contradictions disparaissent. S’il bombarde les Houtis, c’est bien pour aider Israël, de même son désengagement d’Europe, tout en faisant semblant de négocier un accord avec Poutine, lequel n’a aucun intérêt à un cesser le feu qui permettrait à l’Ukraine de se refaire une santé et qui a, royalement, accordé l’arrêt des bombardements sur le réseau électrique pendant 30 jours, histoire de donner le change de sorte que Trump, qui avait annoncé qu’il arrêterait la guerre en 24 h s’il était élu, ne reparte pas bredouille, la queue entre les jambes, actant le déclassement des USA sur la scène internationale, le B.A. BA de la diplomatie étant d’éviter de faire perdre la face à son adversaire.

Il faut dire que tout le monde n’a pas la chance d’avoir un Macron comme chef suprême lequel, pour avoir abusé de la « Blanche-Neige » dont le remake, sorti cette semaine, est un flop monumental, a décidé d’investir quelques dizaines de millions d’euros, aux frais, là-aussi, de la princesse, pour concevoir et distribuer à tous les Français un guide de survie, pour nous conseiller de garder par devant nous un pack d’eau et 3 boîtes de conserve. Distrait, il a oublié l’essentiel, à savoir des armes pour empêcher les dealers locaux (qui eux n’auront pas stocké des raviolis) de nous les prendre, faisant qu’à défaut il vaudra mieux privilégier le saucisson à l’ail plutôt que halal. 
 
Des armes dont on pourrait avoir l’utilité si un char russe aux freins déficients qui aurait pilé à la frontière polonaise dérapait jusqu’en Dordogne. Bien sûr, il y aurait le risque, minime, que lesdites armes soient retournées contre le gouvernement, Bayrou s’étant déclaré favorable à la retraite à 67 ans, mais je n’ose imaginer que nos élites puissent être mesquines à ce point lorsque la survie de la nation est dans la balance.

Si au moins ses délires guerriers servaient à vendre des armes françaises, mais c’est mal parti si l’on considère que les Allemands viennent de confirmer une énorme commande de F-35 américains, désactivables en un clic si Trump décide d’envahir le Groenland. Pour un peu, on regretterait presque les Allemands d’avant, sensiblement moins cons, même si (personne n’est parfait) Hitler de rien, ils publiaient des affiches prémonitoires qui ressemblaient à Hanouna, tout comme la France Insoumise, qui, du coup, contrairement à Bardella et Marion Maréchal, ne sera pas invitée au grand congrès contre l’antisémitisme en Israël, pour n’avoir pas réalisé à quel point publier une affiche qui ressemble à Hanouna est antisémite. Mais la beauté n’est pas tout dans la vie et les qualités bien cachées et la Lamborghini de l’animateur lui ont ouvert, entre autres, le cœur de Tiphaine Auzière supposément mise au monde par Brigitte Macron, sans présomption complotiste quant à l’orifice utilisé.

En tous les cas, traiter, en même temps, des rations de survie et de l’antisémitisme dans l’actualité peut semer la confusion chez les esprits faibles puisqu’on apprend, ce dimanche, qu’un jeune de 16 ans, sans lien de parenté connu, à ce stade, avec Laeticia Avia, a mordu le rabbin d’Orléans, dans la rue et à l’épaule. On ne sait pas s’il a aimé, auquel cas, on pourrait arguer qu’il n’est pas antisémite.

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samedi 15 mars 2025

Détournement de la chanson « je ne suis pas parisienne » de Marie-Paule Belle (16/03/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/8XRfkFTOfn0

Paroles :

Je voulais, quand j’étais jeune, être politicien
Mais aucun juge ne m’avait mis en examen
Et je n’étais même pas PD, circoncis, franc-maçon, ni même pédophile
C’est vrai que je n’avais pas le profil.

Pas même un petit rail de coke
Ou bien du goût pour le woke
Je n’ai pas épousé mon père
Ou ma prof, gros mystère
Je voulais sauver la France
Et pas servir la Finance
J’étais pas républicain
Et pas fana des Ricains
Je voulais pas que l’immigration
Se transforme en invasion
Les droits de l’homme ça vaut rien
Avant ceux du citoyen
Je veux combattre l’antifrancisme
Avant l’antisémitisme
Question de priorité
Certains en sont irrités
Confus sur leur identité.

Peut-être, ai-je alors pensé, toujours optimiste
Que je pourrais devenir un bon journaliste
Mais j’avais de l’intégrité, voulais la vérité, je vous le donne en mille
Ils m’ont dit que je n’avais pas le profil

Je ne suis pas anti-Poutine
Ya des gens que ça chagrine
Je ne suis pas pro-Zelenski
Qui aime la neige, pas le ski
Je ne pousse pas à faire la guerre
Même s'il y a des sous à se faire
Je parle de l’affaire Brigitte
Qui paraît-il a une  …
Et je pense que Macron
N’est pas la moitié d’un con
Je donne la race, les prénoms
De ceux qui tuent sans raison
« Coup de couteau circulaire »
Ce n’est pas mon vocabulaire
Et chaque fois qu’y a une tempête
Je n’accuse pas les vaches qui pètent
Comme un perroquet qui répète

Pourquoi me suis-je dit alors, soyons réaliste
Ne pas devenir chanteur, comédien, artiste
Mais hélas j’étais pas fils de, et mon grand-père est mort à son domicile
Paraît que je n’avais pas le profil

Je n’étais pas d’extrême gauche
Mais aux oursins plein les poches
Ou pour l’accueil des migrants
Sauf chez eux, même si c’est grand
J’allais pas en jet privé
Comme c’est déjà arrivé
Aller prêcher aux sceptiques
Le réchauffement climatique
Je me suis pas fait culbuter
Par un ponte LGBT
J’ai pas soutenu Me Too
Et toutes celles prêtes à tout
Pour passer en haut de la pile
Tant pis si on les enfile
C’est caissière à super U
Ou se faire trouer le …

Dire que c’est ça nos élites
Ça rime avec décapite
Le système est bétonné
D’aucuns veulent guillotiner
Car c’est vrai que par les urnes
Rien ne change, mais par les burnes
On pourrait tirer la chasse
Ou composter en biomasse
Sinon comme des morpions
Arrimés autour d’un fion
Toujours plus se gaveront
Jusqu’à tuer les moutons
Les moutons, les moutons, les moutons

dimanche 9 mars 2025

MACRON ta guerre tu peux te la…. (09/03/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/EY7vvtECtQQ

Bonjour !
Depuis l’allocution de Macron, je vois des gens paniqués et niqués à la fois, certains, comme à la bourse, qui se font niquer pour être paniqués et d’autres qui sont paniqués à l’idée de se faire niquer. D’OTAN que quand Macron parle de guerroyer, il faut « pas s’y fier », donc ça s’annule. En résumé, les méchants Russes sont à nos portes et si on ne veut pas être les suivants après l’apéritif ukrainien, il faut refiler 800 milliards à fonds (tant perdus que) Der Leyen, pour qu’une fois sa commission (pas vraiment européenne) déduite, elle puisse acheter plein d’armes… américaines. 
 
Des Américains qui, pour mémoire, cette semaine, ont rendus inopérants leurs missiles Storm-Shadows fournis par le Royaume-Uni à l’Ukraine et qui peuvent faire pareil sur n’importe quel avion, missile ou matériel munis d’une puce qu’ils ont fabriqués, si on essaie, par exemple, de les empêcher de piquer le Groenland lequel, contrairement à l’Ukraine, qui à la base n’était pas notre problème, fait partie de l’Union européenne par le biais du Danemark. 
 
Dès lors, considérant que l’Oncle Sam a déjà un contingent de plus de 100 000 hommes, déployé en Europe, on pourrait se demander qui est la véritable menace, si menace il y a. D’autant que la trahison de la parole donnée à l’Ukraine démontre une fois de plus, y compris aux Russes et aux Chinois, que les USA sont à peu près aussi fiables qu’un calcul mental de Bruno Le Maire et, qu’en dehors d’Israël qui a la main mise sur la totalité de l’appareil politique US (Trump compris) et qui bien qu’ayant repris le blocus de l’aide alimentaire à Gaza se voit inondé de milliards de dollars et d’armements démocratiques aux frais du contribuable américain sans que le DOGE d’Elon Musk y trouve à redire, ils ont pour habitude d’abandonner leurs alliés en rase campagne après, souvent, les avoir poussés à la guerre comme avec Maïdan. 
 
Notre première Dame apprendra à viser la cuvette avant que cela ne les perturbe, alors que le seul fait d’avoir envoyé des bombes A sur des populations civiles bien que la guerre fût déjà gagnée aurait dû suffire à les disqualifier à tout jamais en matière de diktat de ce qui est bien ou mal.
Pourtant ils continuent, car la politique n’est pas une question de morale (les coupeurs de têtes modérés syriens adoubés par Macron se livrant démocratiquement à une épuration ethnique des alaouites sans que cela choque l’Élysée), mais de puissance, qu’elle soit militaire ou économique et il est vrai que Trump, conscient que les USA jouent leur dernier va-tout, est complètement désinhibé. 
 
À l’inverse, l’Europe est un continent de cacochymes frileux qui ont toujours un pied dans les 30 glorieuses, dirigé par des femmes fortes et des chatouillés de la prostate déconstruits, tout ce beau monde, tel un catholique se rendant à Lourdes dans l’espoir d’une apparition de Jean-Michel Trogneux, pensant que des principes à géométrie variable, qui plus est complètement biaisés par un gauchisme idéologique rampant, parfaitement compatible avec un capitalisme de prédation, auraient une quelconque valeur résiduelle décarbonée une fois que la crise fut venue. Il vient un moment où il faut montrer ses biceps pour avoir le luxe de continuer à aboyer et le coup de Photoshop ayant été éventé, Macron a donc raison sur un point : il faut se réarmer. 
 
Il se trompe juste d’ennemi, de fournisseur d’armes, d’échelle, de donneur d’ordres et d’alliés. Par ailleurs, son patriotisme serait un peu plus crédible s’il n’avait pas ruiné le pays et cédé nos fleurons industriels et de défense à nos seigneurs et maîtres en attendant de brader notre parapluie nucléaire, le tout en contribuant, avec entrain, à remplacer une partie de la population, faisant que le seul avantage d’une mobilisation générale serait la disparition spontanée et aussi immédiate que mystérieuse de quelques millions d’allogènes et de binationaux. Pour autant, il la veut sa guéguerre et ses volte-face, qui pourraient sembler incompréhensibles, sont juste une tactique pour nous habituer progressivement à l’idée, un peu comme la sidération Covid, et si l’opportunité se présente, il passera définitivement de « cause toujours » à « ferme-là », différence subtile entre la « démocratie » et la dictature, nous mettant sans vergogne devant le fait accompli.

Je ne crois pas en la réincarnation, mais, à ce stade, je suis prêt à reconsidérer si la providence fait une exception pour Ravaillac, car sinon, avec une classe politique totalement soumise à un système corrompu, y compris les soi-disant oppositions, et une populace qui considère que « veauter » est la seule façon de renverser le tyran, il va rester en place jusqu’à la fin… c’est-à-dire la nôtre. 

À la décharge municipale de ladite population, celle qui n’est pas scotchée à Netflix et aurait des envies de sacrifice héroïque pour que les choses bougent, il faut reconnaître que le système se défend bien. Il faut bien comprendre qu’il n’a pas peur de ceux qui sont prêts à mourir, car, ça tombe bien, il est prêt à tuer, comme l’a montré l’épisode des gilets jaunes. En revanche, il a peur de ceux qui seraient prêts à occire, chose beaucoup plus dure que le sacrifice pour le mouton de base, imprégné de culture catholique ; scrupules que n’ont pas d’autres populations que le pouvoir craint visiblement davantage. 
 
Nonobstant, les cercles de décisions sont situés dans les grandes agglomérations constituées d’un cœur de collaborateurs qui profitent des miettes, entourés, entre deux couches de CRS, d’une périphérie où le Gaulois réfractaire a été remplacé par de l’allogène pas forcément lumineux. Populations qui se foutent de la politique comme de leur première djellaba et qui mettent en place leurs propres systèmes de solidarités basés sur le narcotrafic en complément des aides sociales et donc, ne se révolteront jamais sur ces bases, se contentant d’émeutes ponctuelles strictement communautaires de sorte que le parquet a courageusement requis que le policier, responsable du fait que le petit ange Nahel ne découvrira jamais le remède contre le cancer en finissant sa thèse de biologie moléculaire, soit jugé pour meurtres aux assises. 
 
Non contents d’être relégués en périphérie, faisant qu’aller manifester coûte cher, prend du temps et permet d’être appréhendé en amont par les forces de l’ordre, depuis les ZFE, les mécontents n’ont désormais même plus le droit de se rapprocher des centres de pouvoir pour cause de voitures trop vieilles.
Ils n’ont pas le droit non plus de s’exprimer sur les réseaux sociaux, espionnés H24 depuis les gilets jaunes, et, bien entendu, toute forme de cohérence ethnique leur est interdite puisque la communauté « blanche » est la seule qui n’a pas le droit de se regrouper entre-soi en excluant les autres, qu’on lui impose de la mixité jusque dans les petits villages et que toute tentative de réintroduire du lien social communautaire comme la récente proposition de loi pour une simplification des procédures d’ouverture de bistrots en milieu rural, lieux dangereux où les gens pourraient se rendre compte qu’ils ne sont pas les seuls à penser ce qu’ils pensent et se mettre d’accord sur des actions, est immanquablement saboté, au cas particulier par la France Insoumise… à quelque chose restant sérieusement à déterminer.

Pendant ce temps, le pilonnage intellectuel du vivre ensemble continue, tant à l’école, à peine interrompu par des intermèdes tranchants et inclusifs de plus en plus fréquents, qu’à la télé où l’on apprend, entre autres abus, que pas moins de 1 000 salariés de France TV avaient jusqu’ici le droit à 4 000€ de « frais professionnels » et à la possibilité de retirer 1 000€ en liquide, le tout CHAQUE MOIS ! Le prix de la trahison.

Comme ce n’est pas encore suffisant, on détruit jusqu’au plus petit symbole qui pourrait marquer une continuité ou des souvenirs communs, comme le fameux losange avec une plume rouge sur fond jaune, indiquant depuis 1950 les points de vente de presse, remplacé par un truc hideux orné d'une plume métallique stylisée, quasiment invisible de loin, que Rachida Dati, qui supervise, on suppose à grands frais, cet indispensable projet culturel peut, c’est une simple suggestion, se mettre là où je pense s’il reste encore de la place.

Ceux qui envisageraient de prendre le maquis seraient repérés aux infrarouges à distance par satellite et les autres seraient dénoncés par leurs propres compatriotes ne rêvant que du retour du masque. Aucun parti autorisé n'a le droit de proposer les solutions simples et musclées qui permettraient de redresser la barre et qui, de toute façon, ne recueilleraient jamais la majorité nécessaire ; quant à l’armée, elle est essentiellement constituée de maçons « pas hypocrites » incapables de faire un coup d’État.
 
Est-ce à dire qu’il faut désespérer ? En fait, c’est un peu comme la blague de l’homme qui a du mal à uriner et dont chaque spécialiste qu’il consulte lui dit qu’il faut amputer jusqu’à ce qu’en désespoir de cause, il aille voir un vieux guérisseur chinois, lequel lui annonce que ce n’est pas nécessaire. Il l’ausculte et lui dit de tousser bien fort avant d’ajouter : « vous voyez, pas la peine de couper, c’est tombé tout seul ». C’est certainement ce qui va arriver au système, qui est visiblement en bout de course, s’il n’obtient pas sa guerre. Fort heureusement, Poutine est très patient, seule explication pour laquelle l’Élysée est encore au-dessus du niveau de la Maire… de Paris. Pour autant, mon inquiétude est que cela ne changera pas ce que nous sommes collectivement devenus et ne garantira absolument pas notre survie à long terme sans une sérieuse remise en question.

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dimanche 2 mars 2025

Votre CHIEN est en DANGER, vos OVAIRES aussi et autres news de la semaine (02/03/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/68N8e3teZf0

Bonjour !
La France est un pays de poètes, j’en veux pour preuve que si je dis « Ô ma douce Brigitte, aurais-tu une … » les (minimum) 16 millions de Français sur un total de 80 millions d’internautes, en ne prenant en compte que les seuls canaux officiels, qui ont suivi la petite série de Candace Owens, vont sentir la présence subite qui les habite d’un Ronsard qui débite et trouver une rime riche et adéquate. 
 
Une Brigitte qui serait la première à admettre que, même hors épidémie de gastroentérite, la porte de derrière n’est pas la voie la plus sûre vers l’amour « propre », qualité dont notre président, qui est entré et sorti par-là de la Maison-Blanche, semble totalement dépourvu. Les fact-checkers me diront qu’en fait il est entré deux fois, et qu’à sa décharge (précoce à l’issue de ce va-et-vient), la deuxième fois, il a bien été accueilli sur le perron par le Donald lequel lui a allègrement et longuement broyé tout ce qui se trouvait entre l’index et l’auriculaire d’où une grimace comparable à celle d’un de ces députés qui, paraît-il, se vantent au sein de la communauté de l’anus de porter un plug anal en séance et qui, au moment de prendre la parole, réaliserait douloureusement qu’il a confondu la vaseline avec la sauce samouraï. 
 
Toujours est-il qu’après avoir fanfaronné sur TikTok avec une carte de l’Ukraine à l’envers et des yeux comme des hémorroïdes dilatées par Bruno Le Maire, il s’est rendu à sa convocation au pays, non pas de Candy, mais de Candace, pour récurer lingualement les bottes (l’autre option ayant été homophobiquement rejetée) de son homologue américain. Faute de table de 5 mètres pour l’humilier, ce dernier l’a mis au petit coin… de son bureau (pas celui dans lequel on a trouvé des micros, l’autre) et, poli, n’a pas manqué, à 2 reprises, de transmettre ses salutations distinguées à la dixit « très belle » épouse de notre grand timonier laquelle devait avoir « les boules » de ne pas être du voyage. Un grand timonier, tenu visiblement par quelque fruit à coque, si l’on en juge, outre les allusions à sa moitié photophobe, par la suspension concomitante de la vente du livre afférent de Xavier Poussard sur Amazon, le temps des entretiens. 
 
Comme on a toujours besoin d’un paillasson (on ne sait jamais sur quoi on pourrait marcher) Trump n’a pas porté l’estocade que certains attendaient naïvement, gardant son dossier bien au chaud et préférant réserver ses munitions pour son spectacle de grand guignol avec Zelensky, démontrant, une fois de plus que, comme disait Kissinger : « Être un ennemi des États-Unis est dangereux, mais être un ami est fatal » comme tous les pantins européens qui ont suivi les marionnettistes derrière Biden sont en train de le réaliser à NOS dépens.

Poutine, bien que fort urbain dans ses échanges téléphoniques, l’a parfaitement intégré ; la Russie, alors même qu’elle a l’avantage sur le terrain, n’ayant, objectivement, pas plus d’intérêt à s’embourber dans un cesser le feu qui permettrait, de surcroît, à l’Ukraine de reprendre des couleurs que notre première Dame pour un tampon hygiénique, même en promotion. Seule une victoire lui assurerait d’obtenir ce qu’elle demande, minimum non négociable, une question existentielle ne pouvant être achetée avec des dollars.

En refusant la proposition de Trump incluant l’entourloupe des terres rares qui se trouvent quasiment toutes sur les territoires contrôlés par la Russie et sont donc juste un écran de fumée, Zelensky a endossé le rôle de seul obstacle à la paix (et la cible dans le dos qui va avec) permettant à Trump, lequel s’est comporté en véritable gangster durant la séquence, de masquer son impuissance dans la résolution du conflit (qu’originellement il avait promis de résoudre en 24 h) et, par là même, la fin de la toute-puissance américaine sur la scène internationale. Une fin de non-recevoir qui lui sert sur un plateau un prétexte pour retirer une partie de ses billes d’Europe sans avoir à avouer qu’il ne peut plus faire autrement faute de ressources, d’autant que si l’UE a bien joué son rôle de boulet pour reléguer l’Europe en seconde division au profit des intérêts israélo- États-Uniens, à présent qu’il est question de porter le coup de grâce et d’isoler chaque pays pour mieux le phagocyter, l’institution n’a plus aucun intérêt pour lui et constitue même un obstacle à dézinguer. 
 
Mais bon, au moins Zelensky, quoi qu’on pense de sa dextérité circoncise en matière de piano « à queue », ne s’est pas dégonflé contrairement à notre bidule présidentiel qui a retourné sa veste à la vitesse d’un changement de version de Bayrou (une fois trouvé son verre d’eau) sur l’affaire Bétharram, pour nous revenir avec, entre les jambes, une queue qu’on espère à lui et, en prime, une taxation de 25% sur les importations européennes vers les États-Unis. Ce que, bien sûr, la presse mainstream a salué comme une performance diplomatique.
Il est vrai que quand on voit le sort de C8, on n’a pas trop intérêt à déplaire au pouvoir quand on est un média. 
 
Idem pour les simples citoyens puisque deux militants de l’Action Française seront jugés pour « outrage et provocation publique à la haine raciale » pour avoir scandé en direction des autorités présentes lors d’une cérémonie relative à l’attentat islamiste de Mulhouse : « Vous n’en avez pas marre d’assassiner les Français ? », « Expulsez les OQTF, ils vont nous tuer ! », faits considérés comme « graves » par le procureur pour qui, visiblement, les OQTF sont une race. Après la haine antisémite, raciste, puis homophobe, l’étape suivante est la haine hydrophobe pour ceux qui oseraient dire que l’eau, ça mouille.

Un peu comme Retailleau, très remonté contre le pays dont est originaire le terroriste. D’ailleurs, je pense qu’il faudrait le nommer ministre de l’Intérieur (ou quelque chose du genre), car avec lui les choses changeraient vraiment. En attendant, c’est le « ministre auprès du ministre » qui « envisage » de « bloquer » « les visas » des Algériens « en l'absence de laissez-passer consulaire » « pour les personnes sous OQTF ». On sent qu’il ne manque plus qu’à désigner une commission pour faire une étude de faisabilité d’un projet de résolution pour qu’il se passe quelque chose. L’Algérie, qui elle aussi détiendrait un petit dossier à base de testicules momifiés, commence déjà à se pisser dessus, mais je ne suis pas sûr que ce soit de trouille.

Plutôt que de bloquer les visas, il faudrait utiliser la méthode Trump et les vendre 5 millions de dollars pièce comme la fameuse carte OR qui va remplacer la carte verte avec déjà un premier objectif de 50 000 candidats peu susceptibles de poignarder quelqu’un en disant « Allah Akbar » ou alors avec une lame en platine incrustée de diamants, ce qui ferait presque envie. 
 
Il n’y a d’ailleurs pas que les permis de séjour et les cartes plastifiées avec « République Française » écrit dessus que la France distribue comme des préservatifs en maternelle puisque, selon l’INSEE, 71,7% de la population des quartiers dits « prioritaires », déjà toute frétillante à l’idée de payer nos retraites, touche des allocations. Il faut bien qu’on les donne à quelqu’un puisque, sans rapport aucun avec quelque produit expérimental injectable ou l’explosion des turbocancers avant 40 ans, une étude alarmante vient de mettre à jour que 50% des femmes entre 30 et 35 ans présentent désormais des symptômes de ménopause précoce avec moins d’œufs qu’une maire de Paris déshydratée, chose qui vient s’ajouter à toutes les autres causes de la baisse de la natalité. 
 
Mais, au moins, nos immigrés non occidentaux, eux, sont gentils, au point qu’on n’a pas besoin de statistiques ethniques pour le vérifier, pas comme ceux du Danemark qui, eux, sont très méchants, selon les dernières données, vraisemblablement trafiquées par quelque obscur fonctionnaire d’extrême droite, et qui, non seulement les désignent comme surreprésentés dans la délinquance, mais font valoir que leurs descendants sont encore plus impliqués dans la criminalité que leurs parents ou leurs grands-parents. Je suis choqué.

En France le « sentiment » d’insécurité se porte bien puisqu’en sus des coups de couteau, de machette, des rafales de fusils d’assauts, des lancers de grenades, des viols y compris, dernièrement, de chèvres et d’ânes dont un est décédé de ses blessures, les gens se font à présent dépouiller dans la rue à la chaîne et qu’on assiste à l’importation culturelle des « coupes routes » jusque dans nos campagnes, une pratique folklorique consistant à se mettre en travers de la chaussée avec une arme et à braquer le conducteur avant de prendre son véhicule, parfois même pas crit’air 2. 
 
Pendant ce temps nous devenons gentiment un narcoétat, Dechavanne étant passé pas loin d’une Pierre Palmade, tandis que les vétérinaires alertent sur le fait que de plus en plus de chiens, aux goûts culinaires certes discutables, sont empoisonnés par les excréments des camés, lesquels défèquent en masse dans les parcs et les rues de nos belles cités, probablement parce qu’encore ignorants du fait qu’ils disposent là d’une source abondante et gratuite à concentration élevée de leur dope favorite. 
 
Je ne sais pas si cela a un rapport avec le fait qu’on a enfin attrapé « la mouche », non pas « Ahmed », ce qui eût été de circonstance, mais Mohammed, de son petit nom, celui qui avait ridiculisé Darmanin en s’évadant de façon sanglante lors de son transfert en convoi pénitentiaire et, lui aussi, impliqué dans cet odieux trafic canicide. Une arrestation qui a eu lieu en Roumanie presque concomitamment à celle du candidat arrivé en tête lors des dernières élections démocratiquement annulées pour cause de résultat non conforme à ce qui était espéré. 
 
Mais pas d’inquiétude, en matière d’arrestations abusives, la France reste à la pointe de l’innovation puisqu’Alexandre Juving-Brunet a été placé plusieurs heures en garde à vue sur demande du très démocratique et pas du tout communautaire et orwellien « Observatoire juif de France » pour « tentative », je dis bien « tentative » d'injure, dans deux tweets. On n’arrête pas le progrès.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


dimanche 23 février 2025

Baissez ce bras que je ne saurais voir… (23/02/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/uAq-f6uqt2g

Bonjour !

Une trahison du Renoncement National, c’est un peu comme une flatulence après un cassoulet cuit sans bicarbonate de soude : inévitable et malodorant, un Fion National en quelque sorte. Contrairement à notre Première dame, Marine « pas la peine » n’a pourtant théoriquement rien de bringuebalant par quoi être morphologiquement tenue et pourtant elle est bien tenue par-là, cas rare de transgenrisme politique. Une fois tout substrat idéologique évaporé, victime du réchauffement climatique, ne reste que l’intérêt personnel, le statut d’éternelle candidate qui dérape en ligne droite avant la ligne d’arrivée, lui assurant une procrastination doucereuse aux frais de la collectivité jusqu’à une retraite bien méritée, sans les tracas du pouvoir, partant du principe que ses électeurs, captifs faute d’alternative, si pas contents n’ont qu’à aller se Ferrand…. 
 
Un Ferrand nommé au ConCon, petit nom du Conseil Constitutionnel, grâce au pouvoir d’abstention dudit RN déjà utilisé pour valider Bayrou et le budget et éviter de plonger Macron dans une impasse. Un marchandage évident qui a pour finalité que ledit ConCon se prononce, AVANT son jugement pour détournements de fonds publics, sur une question prioritaire de constitutionnalité posée par un élu mahorais visé, lui aussi, par une peine d’inéligibilité immédiate et arguant qu’une telle peine ne saurait être prononcée avant que toutes les possibilités de recours aient été épuisées. Si validée, la décision ferait jurisprudence et permettrait à Marine « à la peine » de repousser l’inévitable échéance jusqu’à après les élections. 
 
Élections que, fidèle à son habitude, elle conclura en remuant du popotin sur des airs populaires après une défaite probable devant le premier Retailleau ou Villepin qui passera, voire un Macron dont elle aura permis, par sa forfaiture, un troisième mandat du fait que son aile droite, dépassé un certain seuil de dilatation anale, ira à la pêche, même dans ce cas de figure. Si, contre sa propre nullité, elle était miraculeusement élue, il faut garder en mémoire qu’une constante dans la 5e république est que chaque président a été pire que le précédent, Macron ayant touché le fond puis commencé à creuser à l’excavatrice sans trouver de pétrole, atteignant chaque jour de nouvelles profondeurs. Difficile d’imaginer pire, pourtant j’ai désormais la conviction que si quelqu’un est capable de creuser encore plus profond jusqu’à surgir au pied d’un kangourou tétanisé, c’est Marine Le Pen.

La question est donc de savoir pourquoi aucune alternative crédible n’est disponible en France. Il n’est qu’à voir Jordan Bardella, fuir comme un vampire homosexuel devant une gousse d’ail tenu par un islamiste afghan, face au bras tendu de Steve Bannon saluant la foule à la conférence CPAC à Washington, pour comprendre que, tant qu’on restera embourbés dans la seconde guerre mondiale et dans la sanctification de la Shoah devenue une quasi-religion qui a remplacé Jésus par Netanyahu et Satan par Hitler jusqu’à la caricature, rendant impossible toute véritable proposition nationaliste, nous finirons noyés dans de l’eau tiède tandis, qu’alors qu’on aura oublié 1515, 732 ou la Saint-Barthélemy, on commémorera encore le 2000e anniversaire de l’holocauste. Donc, non, Zemmour ou Knafo, sauf à ce qu’ils disent ouvertement la même chose, ne sont pas une option non plus.

D’une manière générale, l’Histoire avec un grand H, n’est pas fixe. On sait à présent, par exemple, grâce à l’historien centimètre Gims que les pyramides produisaient de l’électricité, grâce à Netflix, cousin d’Astérix et d’Abraracourcix, que Cléopâtre était noire et, pour ma part, j’ai toujours trouvé à Louis XIV un faux air de genderfluide. Pourtant, il reste un pan de notre histoire légalement inébranlable, même par benjamin Griveaux. 

Personne ne conteste que le chiffre sacralisé de 6 millions est purement symbolique et que, bien évidemment, Adolphe Hitler n’était pas en ligne directe téléphonique avec Dachau en disant : « encore un, encore un, encore un… STOP ! 6 millions, on arrête ! ». Donc les chipotages sur ce point n’ont pas vraiment de sens et si avec, respectivement, 144 000 et 250 000 morts, le fait d’avoir nonchalamment jeté quelques bombinettes sur des populations civiles à Hiroshima - Nagasaki et sur Dresde n’est pas considéré comme un crime contre l’humanité et que les nations qui l’ont fait peuvent encore décider de ce qui est bien et de ce qui est mal dans le reste du monde, on peut en déduire que, mathématiquement, l’horreur commence à 250 001 morts et que donc, non seulement les conditions du génocide sont largement remplies dans le cas qui nous préoccupe, mais que, selon les mêmes critères, avec largement moins de 100.000 civils tués (cette fois et pour l’instant) dans la bande de Gaza, Israël, petit faiseur, est encore dans le camp du bien.

La motivation de la loi Gayssot, objectivement liberticide, n’est donc pas de sacraliser un chiffre, mais les victimes elles-mêmes et, par extension, tous leurs descendants, en gravant dans le marbre de la loi qu’il y a bien eu mise en œuvre délibérée d’un plan d’éradication méthodique d’une partie de la population en fonction de ses caractéristiques, au cas particulier religieuses et (ou) ethniques, les Juifs eux-mêmes ayant une abondante littérature consacrée à la seule question : « c’est quoi être juif ? » Visiblement les Allemands avaient trouvé une réponse et, pour quelque obscure raison, ça ne leur avait pas plu au point d’organiser un génocide. 

Les révisionnistes, eux, si j’ai bien compris, contestent l’existence de ce plan et, accessoirement, le modus operandi et non les chiffres, même Vincent Reynouard semblant à peu près d’accord avec la fourchette basse officielle calculée selon les méthodes par cumul et par déficit qui se recoupent autour des 5 millions, minima difficilement contestable.

Un modus operandi à fort indice carbone essentiellement avéré par le biais de témoignages et des premières constatations des Russes qui ont libéré les camps. Russes dont on ne savait pas encore, à l’époque, à quel point ils étaient méchants et qu’ils devraient un jour être mis à genoux par Bruno Le Maire. Le fait qu’ils aient menti pour Katyn ou l’Holodomor ne saurait pour autant remettre en cause l’impartialité de leur témoignage. Bref, si des éléments nouveaux, inconnus à l’époque, et Reynouard prétend en apporter, venaient à faire surface, pourquoi ne pas simplement les examiner, tranquillement, à tête reposée et simplement voir, d’un point de vue historique et scientifique s’ils sont recevables ou non, plutôt que de le mettre encore en prison et en faire un martyr, ce qui me semble à la fois excessif et, dans un contexte d’une augmentation de l’antisémitisme parallèle à la courbe de l’endettement, pour le moins contre-productif ?

Tout simplement par peur, du fait qu’on ne parle pas juste d’un génocide, mais du génocide d’un peuple qui a collectivement la particularité de se revendiquer lui-même comme ayant vocation à guider l’humanité vers la lumière (sauf le samedi), mission confiée par Yahvé, nom qui sonne comme l’imparfait d’avoir alors que Dieu, pour les catholiques, serait plutôt le parfait d’être. Dès lors, au fil des siècles, ceux qui estimaient pouvoir se guider tout seuls ont eu tendance à se poser, de façon récurrente (et pas toujours très urbaine) la question de savoir s’ils avaient besoin de cette guidance. Un questionnement qui durant des heures pas très claires a parfois évolué de « indispensables pour nous guider » à « indispensables tout court » ce qui peut expliquer une certaine paranoïa et cette avalanche de lois liberticides. 
 
Une paranoïa qui n’a pourtant plus lieu d’être depuis qu’il existe un pays d’accueil (dont c’est la raison d’être initiale et la justification du trucidage de quelques Palestiniens) vers lequel, même si, cas peu probable, les heures s’assombrissaient de nouveau, il serait plus économique et écologique de laisser fuir la population concernée que d’aggraver une nouvelle fois le réchauffement climatique. Bien sûr qu’il se trouvera toujours des individus mal informés et haineux qui pourraient s’accommoder d’un monde sans BHL, Soros, Schwab, Sarkozy, Hollande, Macron, Attal ou Borne, mais il faut savoir prendre du recul sachant que les dinosaures n’étaient pas circoncis et tout le monde sait comment ils ont fini… un peu comme tous ces jeunes et moins jeunes qui ces derniers temps se sont éteints suite à de nombreuses « coupures »… de coran, comme encore ce samedi à Mulhouse, la lutte contre l’antisémitisme, quand elle est répressive, débouchant sur de l’antiracisme institutionnel débouchant sur l’acceptation collective de l’immigration de masse débouchant sur la fatalité des attaques au couteau.

Je le dis et je le répète, outre une immigration excessive de gens qui les aiment culinairement, le principal obstacle à une vie sereine de nos compatriotes juifs, n’est pas une hypothétique remise en question de l’holocauste, voire une simple relégation de celui-ci en bonne place avec tous les autres massacres de l’humanité dans un livre d’histoire poussiéreux (ce qui ferait d’eux simplement des gens ordinaires invisibles et non plus des victimes éternelles avec une cible sur le dos), mais bien un « devoir de mémoire » qui garde les plaies ouvertes ainsi que certaines pourritures, comme il en existe dans toutes les communautés, qui se servent de l’antisémitisme comme paravent dès qu’ils sont pris la main dans le pot de confiture, ceux-là mêmes qui, de tout temps, ont créé et renforcé, par leurs actions, des stéréotypes qui n’ont pas lieu d’être aux dépens, au premier chef, de leur communauté dont ils n’ont, par ailleurs, rien à cirer.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


dimanche 16 février 2025

LOUISE l’analyse INTERDITE sans laquelle ça va recommencer (16/02/2025)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/tFtgP13shAQ

Bonjour !

Avec un sens du sacrifice gratuit que seul pourrait comprendre un spermatozoïde qui, par quelque mystérieux concours de circonstances (n’ayant rien à voir avec notre première dame), se retrouverait inexplicablement collé sur le gros intestin d’Emmanuel Macron, je me dois de faire l’analyse que personne n’ose faire concernant la transformation artisanale de la petite Louise en steak haché et ce, que ce soit la « droite », tétanisée de s’être fourvoyée quant à l’identité du déchet humain responsable, ou pire, la « gauche », soulagée et en semi-érection, qui parle plus dudit fourvoiement que du drame lui-même. Il est clair, en effet, que face à tant d’atrocité gratuite, nous sommes passés à deux doigts de la goutte de thé à la menthe qui aurait pu faire déborder le vase de Soissons du fameux « sentiment » de submersion migratoire. 

Pourtant, si on se sort les 2 doigts en question de là où je pense et que l’on dépasse l’analyse purement raciste des deux camps, focalisés sur la couleur de peau de l’assassin, à l’instar (un clou ou un couteau chassant l’autre) de tous les noms déjà oubliés sur l’interminable liste des gamins tués pour rien, dont hélas, Elias, l’avant-dernier en date, pudiquement décrit par les médias comme ayant été « poignardé » alors qu’il a été massacré à la machette et pour lequel il n’a pas été jugé opportun, par ceux qui aiment exciter les foules, de parler d’antisémitisme du fait que les assassins n’étaient ni blancs, ni Arabes, on se rend compte que le meurtre de Louise, bien que perpétré par un blanc, est bien, lui aussi, un pur produit de l’immigration de masse non européenne.

Contrairement à Elon Musk qui ne fait aucun tri dans sa mission d’enfanter à lui seul une équipe de rugby, plus les remplaçants, avec ce coup-ci, un bébé a prépuce escamotable conçu avec une damoiselle au nez refait déjà maman célibataire et connue pour ses vidéos explicites où elle partageait, entre autres, son désir de se faire bourriquer par un grand black baptisé Tyrone, BFM est plus sélective. Dans son résumé de l’affaire Louise, elle ne retient dudit perpétrateur que l’addiction aux jeux vidéo, un peu comme Macron cherchant à expliquer les émeutes, imputables, en outre, comme chacun sait, à l’ennui et au réchauffement climatique. Un Macron qui n’a pas dit un mot sur Louise préférant poster une compilation de mèmes générés par intelligence artificielle se foutant allègrement de sa gueule sans arriver toutefois à surpasser la réalité. 
 
Certes les jeux vidéo sont un gaspillage de temps de cerveau disponible, mais comparés au fait de rester scotché devant BFM, font au moins travailler les réflexes et secouent quelques neurones. En revanche on ne parle plus du fait que le fameux Owen, qui contrairement à la chanson éponyme « Owen the saints » n’en était pas un, fréquentait des bandes ethniques et se mettait en scène dans des vidéos débiles parlant le même sabir simiesque qui perdrait tout sens à l’écrit sans les grimaces et la gestuelle. Un mimétisme poussé jusque dans la tenue vestimentaire et le comportement : incapacité à refréner ses accès de colère et à réfléchir avant aux conséquences possibles de ses actes, déjà connu des services de police, toujours un couteau dans la poche et ayant même déclaré, au cas particulier, avoir voulu « racketter quelqu’un pour se calmer ». Il s’est tellement identifié à de la racaille ethnique que son attitude générale a conduit les enquêteurs, après visionnage des images de vidéosurveillance, à d’abord placer en garde à vue un petit délinquant d’origine maghrébine avec lequel ils l’on carrément confondu. Comme dit le proverbe : « si ça ressemble à un canard et que ça fait coin-coin, ce n’est pas une Première dame ». Peu importe donc qu’il s’appelle Owen, c’est bien une « racaille » mentale pour ne pas employer d’autre mot sachant qu’on ne peut plus appeler un chatGPT un chatGPT. 

Après qu’un traducteur afghan hurlant « Allah Akbar » s’est homophobiquement trompé de pédale et a foncé en voiture dans une manifestation de gauchistes qui réclamaient des jours de congés supplémentaires et dont les survivants, incurables, ont remanifesté le lendemain contre la « récupération » du massacre par l’extrême droite, au moment où, d’un côté J.D. Vance rappelle, à Munich, lieu du drame, que personne n’a jamais été consulté électoralement pour approuver l’immigration de masse et où, de l’autre, l’infect Mélenchon (millionnaire parasite qui n’a jamais tenu un vrai marteau ou une vraie faucille, pas plus qu’une vraie truelle et qui n’est maçon qu’au grand Orient dont le nom même méprise l’occident) met du beurre dans ses épinards et de la beurette dans son plumard en vendant la « créolisation » inéluctable des campagnes françaises, la question qui fâche est de savoir pourquoi ledit Owen s’est assimilé à une engeance qui, elle, non seulement a refusé de faire de même, mais semble en être organiquement incapable.

Est-ce qu’il n’aurait pas évolué différemment sans cette immigration de masse, déjà majoritaire dans de nombreux établissements scolaires, qui fait que des jeunes européens se sentent menacés au point de tenter de s’intégrer aux groupes les plus violents par instinct de survie et, qu’inconscients du ridicule, notamment quand ils rappent, essaient d’être plus allogènes que les allogènes pour tenter de faire oublier qu’ils sont blonds aux yeux bleus et donc les plus susceptibles d’être ciblés ? 

Il est donc plus que probable que sans cette influence la petite Louise serait encore vivante, d’autant que si les prisons n’étaient pas pleines avec des gens qui n’ont rien à faire chez nous, on pourrait y enfermer nos criminels pour toute la durée de leur peine et que disparaîtrait ce sentiment d’impunité délétère conséquence de ce trop-plein qui, autant que l’idéologie, explique le laxisme judiciaire. Il en résulte que si, collectivement, nous ne réalisons pas que l’immigration de masse de populations non européennes est la menace la plus grave qu’encourt notre société et que la gangrène est tellement avancée que simplement l’arrêter, ce que l’on ne fait même pas, ne sera pas suffisant et qu’il faudra sortir la scie, alors effectivement, Mélenchon aura raison et le fait que (tandis que lui vit, faut pas pousser non plus, loin des secteurs « créolisés ») ses fidèles seront les premiers à se faire égorger, ne consolera personne.

Il en va donc de la responsabilité des parents, plutôt que l’oxymore du « vivre-ensemble », d’augmenter les chances de survie de leurs enfants en leur inculquant une méfiance salutaire et de commencer à se regrouper entre eux, car de même que, quand on tend un micro à un Juif, la probabilité qu’il parle de l’holocauste est exponentielle en fonction du temps passé, qu’un Algérien parlera inévitablement de la colonisation et un noir de l’esclavage, tous les peuples de la terre ont une conscience ethnique ou raciale, parfois renforcée par un esprit de revanche, conscience qu’on a arrachée aux seuls occidentaux à force de lavage de cerveau droit-de-l’hommiste et de catholicisme dévoyé. 
 
Bien sûr qu’au niveau individuel certaines personnes sont bien intégrées et que l’idée n’est pas de les rejeter, mais simplement d’admettre, à partir du moment où elles ne sont pas assimilables comme pouvait l’être l’immigration européenne, qu’elles subissent toutes, indépendamment de leur parfois bonne volonté, une dynamique de groupe qui fera que leurs enfants ou petits-enfants, voire elles-mêmes, finiront happés par la force d’attraction de leurs communautés respectives si on laisse ces dernières atteindre une masse critique ; et si vous pensez que, dépassé un certain rapport de force, on ne va pas se faire massacrer comme des lapins ou des Boers en Afrique du Sud, réfléchissez à nouveau. Cela arrive déjà tous les jours sous nos yeux. La seule chose qui nous sauve encore c’est que, dans le nouveau Far Oued, certains sont, pour l’instant, occupés à se massacrer entre eux au fusil automatique, voire récemment à la grenade, faisant qu’on attend une version dédicacée de Clara Luciani pour le maire écolo anti-police de Grenoble particulièrement ouvert à l’autre : « dans ton cul la grenade... » 

La liberté d’expression d’opinions étant un absolu qui ne souffre aucune exception, nous en sommes malheureusement au stade où, dans le prolongement logique de la première entorse sous forme d’interdiction de blasphème sur la Shoah, par extension, on ne peut plus blasphémer sur rien de sorte que si vous êtres pris d’une envie pressante en pleine cambrousse et que vous n’avez qu’un coran à portée de la main, quelle que soit l’option que vous choisirez vous serez dans la merde. Le plus triste est qu’il se trouvera des gens pour trouver ça normal, oubliant qu’ils ont été Charlie, les mêmes qui ont trouvé normal de porter des masques et de se faire vacciner avec un machin expérimental, tout ça parce qu’au lieu des solidarités traditionnelles on a délégué le pouvoir d’information, de décision et le monopole de la violence à l’état qui, en république, n’a jamais représenté le peuple.

Un état qui nous enfonce, sachant que si on nomme Ferrand au Conseil constitutionnel, on est sûrs de se Ferrand… mais je m’égare. Par ailleurs la Cour des comptes nous apprend que les financements alloués aux associations chargées de l’accompagnement des réfugiés et demandeurs d’asile ont fortement augmenté parce que pour ça, de l’argent on en trouve. Par exemple, les crédits de la mission « Immigration, asile et intégration » ont progressé de 23 % entre 2019 et 2023, pour atteindre 2,3 milliards, tandis que les subventions aux associations ont bondi de 52 %, dépassant 1,1 milliard. Je vous épargne la liste du reste.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


dimanche 9 février 2025

VOUS LAVEZ TROP VOS SLIPS, Louise, Jack Lang, grand ménage US et autres news (09/02/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/5WvsMj-Imt8


 Bonjour !
Tout le monde connaît la blague de la jeune femme qui étend 7 petites culottes étiquetées « lundi, mardi, mercredi… » et du vieux monsieur dans le jardin mitoyen qui fait de même avec ses slips sur lesquels est inscrit : « janvier, février… ». Eh bien, si l’on en croit les conclusions de l’agence de la transition écologique, de son petit nom l’ADEME (au cerveau apparemment) effectivement, on lave trop nos oripeaux, ce qui rivalise avec les vaches qui pètent en matière de destruction de la planète. 
 
N’osant pas encore aller jusqu’à nous recommander de boire nos urines pour économiser cette eau précieuse dont on a besoin dans le désert pour laver les panneaux solaires (écologie oblige), le rapport suggère qu’un soutien-gorge pourrait être porté 7 fois, un vêtement de sport 3, un pull 15 et un jean 30, par exemple. Il est vrai qu’avec le thermostat à 13° dans les appartements, préconisé par la même engeance, on transpire moins qu’avant. 
 
Des conseils avisés donc, qui ne nous coûtent que 4 petits milliards si l’on s’en réfère au budget de cette entité, elle-même une goutte d’eau dans les 80 milliards que l’état verse annuellement à quelques 1200 agences gouvernementales qui selon le précepte immortalisé par Coluche : « dites-moi de quoi vous avez besoin et je vous expliquerai comment vous en passer » réfléchissent au meilleur moyen de nous emmerder, parfois, comme ici, littéralement. Une préconisation frisant l’homophobie envers ceux, notamment dans les hautes sphères, qui, faute de n’avoir pas que le vent en poupe, cultivent une grande élasticité rectale qui pourrait mal s’accommoder d’une réutilisation trop poussée de leurs sous-vêtements. Un peu de décence slip vous plaît ! 
 
Sachant qu’en Picardie des gens sont désormais payés pour fouiller les sacs poubelles dans le but de verbaliser ceux qui y auraient oublié une peau de banane, je pensais que « policier d’ordures » (et non pas le contraire) était le niveau hiérarchique le plus bas jusqu’auquel on pouvait descendre pour satisfaire la dictature escrologiste, mais il est fort probable qu’en ce moment même quelque fonctionnaire soit en train de rédiger un projet de grille indiciaire en vue d’un potentiel recrutement de « renifleurs de slips » : renifleur de seconde classe, de première classe, renifleur principal, voire renifleur divisionnaire en fin de carrière, ce qui fait son petit effet sur une carte de visite.

Autant dire que dans un pays où l’on considère comme acquis que tout problème peut être résolu par une loi ou une taxe supplémentaire, y compris ceux qui sont liés à trop de taxes et trop de lois, les agences Théodule ont encore de beaux jours devant elles, une nouvelle venant même d’être crée en catastrophe pour « réguler l’intelligence artificielle » laquelle pourrait toutes les remplacer gratuitement d’où l’urgence. Si l’on rajoute à la problématique un cheptel surnuméraire de 600 000 élus qui n’ont aucune obligation de résultat (mais des clientèles à satisfaire) et 6 millions de fonctionnaires dont une moitié est payée pour empêcher l’autre de travailler correctement, il en découle un budget (non censuré par le RN et qui permet à Macron de se maintenir) non seulement sans la moindre baisse de dépenses publiques, mais en augmentation de 41 milliards, perruques et faux seins inclus. 
 
Comme il faut bien trouver des sous quelque part, après avoir baissé puis remonté, face à la bronca, le seuil de TVA pour les autoentrepreneurs (manœuvre qui aurait, selon lui, échappé à la sagacité de Bayrou, pas au courant non plus de la centaine de plaintes pour pédophilie déposées à l’encontre de l’établissement où ses enfants étaient scolarisés et que, selon Médiapart, il aurait étouffées à l’insu de son plein gré) on a concédé aux socialistes une taxation de 37% sur les bénéfices des grandes entreprises, soit, cocorico, le taux le plus élevé du monde, faisant que même le très modéré Bernard Arnault a haussé le (Vuit)ton. 
 
Ce n’est certes pas sur lui que je vais gaspiller mes Kleenex, surtout que le CAC40 et le Medef ont soutenu Macron et, par leur appétit migratoire court-termiste, ont creusé eux-mêmes le trou dans lequel ils risquent de tomber, mais il faut garder à l’esprit que contrairement aux parasites divers qui se nourrissent sur la bête sans rien apporter, lui se gave sur des richesses qu’il crée et que, comme d’autres avant lui, il pourrait aller les créer ailleurs. 
 
Surtout quand un Milei, par exemple, à coups de tronçonneuse à pédale, est passé en un an d’un déficit annuel comparable à celui de la France à un excédent, tout en jugulant l’inflation tandis que TRUMP envisage carrément de supprimer l’impôt sur le revenu pour les Américains et enclenche le mode supersonique sur les gaspillages et l’immigration, peut-être en échange d’être passé en mode supersionique sur le reste. Déjà 100 milliards de gabegies et détournements épinglés par MUSK en ce qui concerne l’USAID, gros robinet à pognon pour ONG toxiques et journaux de propagande en semi-faillite et encore 140 milliards relatifs au système de santé donc minimum 240 millions consacrés à des expériences de changement de genre sur des animaux. 
 
Par comparaison, confronté à un déficit prévisionnel de 23 milliards d’euros en 2025 pour une Sécurité Sociale qui fait honte à ses initiales en se laissant littéralement piller par l’immigration de masse, la réponse de notre gouvernement consiste à réactiver la taxe lapin. 

Hors quelques opérations de prédation sur les firmes existantes (le temps d’aspirer les subventions et primes diverses avant de tout revendre à la découpe) quel entrepreneur sain d’esprit voudrait encore s’installer dans un pays comme le nôtre ? Cela dit, il reste encore quelques niches (complémentaires qui plus est) comme l’import de migrants et leur accommodation sur le territoire ainsi que le marché en constante expansion des bougies et des petits nounours, seule réaction prévisible d’un peuple amorphe à l’addition du nom de la petite Louise à la longue liste des victimes de couteaux fous tenus du bout des doigts, avec réluctance, par des individus en souffrance, sans caractéristiques précises méritant d’être relevées, et qu’il est vital de protéger contre la stigmatisation et les récupérations de l’extrême droite.
 
Certains diront qu’un peu comme Jack Lang, bousculé ce week-end pour avoir croisé la route d’une manifestation anti-pédophilie, elle n’a juste pas eu de chance, se trouvant au mauvais endroit au mauvais moment, soit dans son cas, en France en 2025. Cette Nouvelle France dont Mélenchon, qui brandit désormais comme un étendard ses origines marocaines, rêve ouvertement pour nos campagnes dans ses derniers discours et que Retailleau qui, lui, est aux manettes et délivre les coups de tampons peu hygiéniques qui la valident, ne fait rien pour freiner, le nombre de titres de séjour ayant atteint en 2024 le chiffre record de 336 000 (hors entrées irrégulières, mineurs et étrangers européens et, bien sûr, sans compter les naissances issues de Français non assimilés en dépit de plusieurs générations de présence sur notre territoire).

Mais bon, « dance avec les stars » a fait des records d’audience donc tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


dimanche 2 février 2025

Un « sentiment » de submersion très, très PROFOND, pour tout dire ça fait mal au… (02/02/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/DoK4lfGdgX4


Bonjour !
Entre deux épisodes de la fameuse série « si tu ne me renvoies pas l’ascenseur, je te renvoie la censure » rediffusée désormais à chaque discussion budgétaire, immédiatement rendue stérile par un 49-3 voire un 50 avec l’inflation, notre Premier ministre béarnais a fait monter la sauce éponyme en évoquant un « sentiment » de submersion non pas mi-, mais complètement « grattoire », un peu comme les morpions à propos desquels seul l’ami des moustiques Aymeric Caron pourrait dire : « à présent, qu’ils sont-là, on ne peut quand même pas les renvoyer ». 
 
On m’objectera qu’on ne saurait comparer des humains avec des insectes qui eux n’ont pas de pouces opposables à l’instar de n’importe quel … pédophile, cannibale ou génocidaire qui se respecte. Être humain est simplement une classification zoologique et certainement pas un sauf-conduit pour entrer sur notre territoire, d’autant que lesdits morpions, même d’exportation, ne sont qu’observateurs passifs en cas de viols en pleine rue par des gens qui n’ont pas les codes, et donc, objectivement, un moindre mal en comparaison de ceux, pourtant humanoïdes, qui les commettent. D’ailleurs, dans le camp de l’ouverture décomplexée et déconstipée à l’autre si affinités, ceux suffisamment « à la masse » pour ne pas avoir eu besoin d’outils pour profaner sa tombe cette semaine, ne considéraient certainement pas Jean-Marie le Pen comme un être humain, pas plus qu’ils ne considèrent comme tels les « fachos », terme englobant les gens pro « vaches qui pètent » et amateurs de diesel qui ne sont pas d’accord avec eux. 
 
Une distinction subtile entre les humains et les autres qu’on retrouve dans le vocabulaire utilisé selon qu’on évoque les « otages » israéliens, un peu empâtés avec des joues bien roses, preuve du laisser-aller de la Palestine en matière de nutrition et les centaines de « détenus démocratiques » soumis visiblement à des séances intensives d’aérobic pour éviter les problèmes cardiaques liés au surpoids, échangés par Israël, avant-garde de la civilisation. Toujours est-il qu’en matière d’immigration, un con qu’on convainc étant plus rare qu’un trou du cul cucul cucurbitin, l’abruti intégral manquant d’intégrité plébiscitera toujours l’intégriste refusant de s’intégrer. 
 
Sachant que les statistiques ethniques, contrairement à l’explication détaillée des différentes pratiques sexuelles en maternelle, sont interdites, qu’on vient d’étendre (au diable l’avarice) à tous les bébés les tests de drépanocytose et que les gens non assimilés, présents depuis plusieurs générations sur notre sol, sont considérés comme Français par l’INSEE, il en résulte que (en attendant que Candace Owens, après avoir dépeint, en apéritif, les fréquentations et références pédophiles troublantes du couple présidentiel dans son premier épisode, entre dans le lourd), comme pour le sexe d’une certaine Première dame qui a malencontreusement perdu les polaroïds de quand elle était enceinte, on en est réduits à supputer, sachant qu’en 1975, année où l’indice de fécondité est descendu en dessous du seuil de remplacement, nous étions 52 millions. 
 
Il en découle que la probabilité d’un lien de parenté avec Vercingétorix est plus que restreinte concernant la génération spontanée de la vingtaine de millions d’individus supplémentaires comptabilisée depuis, et ce, encore, a minima, car même en multipliant les OQTF par le carré de l’hypoténuse du bikini d’Aurore Bergé nul ne connaît le nombre réel des clandestins sur notre territoire. Par ailleurs, si l’on considère la proportion des mêmes dans la jeunesse, on peut raisonnablement penser qu’une fois que les boomers auront passé l’arme du même côté que leur bulletin de vote, la vente de crème solaire va considérablement chuter si on ne remigre pas massivement et qu’on ne se remet pas à faire des gosses. 
 
Comme plus on attend, plus ladite remigration, de plus en plus improbable, se heurtera à une forte résistance, il suffit aux traîtres qui nous gouvernent de faire la sourde oreille, pendant encore quelques mois, au ras le bol général, pour que soit atteint le point de non-retour au-delà duquel, par le jeu de la bascule démographique (qui s’enclenchera demain, mais se met en place aujourd’hui), nous n’aurons plus ni le nombre ni la force vitale pour, au moment crucial, exercer la pression « coup de pied au culesque » indispensable pour ne pas terminer une épopée de 2000 ans dans les chiottes de l’histoire. 
 
Non seulement il n’est pas question de remigration, y compris au RN, mais lesdits traîtres en sont encore à faire mine de s’écharper quant à savoir s’il serait éventuellement opportun d’envisager l’hypothèse d’une discussion préliminaire sur la possibilité, dans les limites du droit Européen, de la Cour Européenne des Droits de l’Homme avant ceux du citoyen et en fonction de la météo, de freiner la vague actuelle en proposant le retour en première classe par avion décarboné des seuls OQTF multirécidivistes avec accord préalable des pays d’origine. Tout le monde semble avoir oublié la méthode traditionnelle et universelle, encore appliquée ailleurs, consistant à autoriser la maréchaussée, voire l’armée, à tirer à vue sur toute personne non invitée pénétrant sur le territoire, pourtant seule façon, à ce stade, de les dissuader et de gagner le petit répit nécessaire avant la grande bascule pour faire le tri, en commençant par les criminels.
 
Mais peut-être me trompé-je, d’aucuns clamant, au contraire, que l’immigration extraeuropéenne est vitale pour l’économie nonobstant une symétrie xénophobe des courbes entre l’augmentation de l’une et la chute de l’autre, désormais en croissance négative au quatrième trimestre (-0,2 point, après -0,1 au troisième). Par ailleurs, les ingénieurs congolais étant supposés payer nos retraites, je m’étonne que, plutôt que de puiser dans le réservoir de près de 600 millions de futurs cotisants qui, rien qu’en Afrique, se déclarent ouverts à l’idée, si on le leur demande gentiment, de venir bénéficier de la CAF et de l’AME, les mêmes qui plébiscitent l’enrichissement culturel, en restent aux recettes archaïques consistant à augmenter continuellement le nombre d’annuités ou à envisager de taxer les infâmes retraités, réputés « aisés » dès 2000€ par mois, lesquels, c’est bien connu, après avoir aidé leurs enfants et petits-enfants dans la merde, utilisent le reliquat pour payer l’essence de la Ferrari crit’air 1 qu’ils garent devant leur Yacht à Saint-Tropez. 
 
Pendant ce temps, nos députés miséreux sont à la peine et viennent de restituer à d’autres retraités, à savoir les anciens Présidents et Premiers ministres, les menus avantages tels que personnel et voiture de fonction, que le Sénat, après un repas un peu trop arrosé, leur avait supprimés la semaine dernière. 

Conformément à l’adage « heureux les simples d’esprit, car le royaume des cieux est à eux », la baisse mystérieuse, totalement inexplicable, du QI moyen des Français ne nous empêche pas de ridiculiser Deepseek et ChatGPT avec, tandis que la Chine et les USA se bagarrent sur des broutilles, une IA bleu-blanc-rouge au doux nom de Lucie (mais pas Castets, elle a sa fierté) lancée par un copain de notre Président et financée par le contribuable. Une IA qui, la première, a atteint le niveau de l’intelligence humaine puisque, comme tout écolier tricolore qui se respecte, elle ne sait pas compter et répond n’importe quoi aux questions qui lui sont posées. 
 
Espérons qu’elle ne sera pas visée par le règlement européen qui, depuis le 2 février, interdit les systèmes d’IA présentant des risques « inacceptables », comprendre : « qui ne seraient pas complètement politiquement corrects ». Cela ne concerne évidemment pas le susnommé ChatGPT abondamment utilisé pour produire un flot de critiques positives pour le film, subventionné à hauteur de 10 millions d’euros par la collectivité, revisitant les 3 mousquetaires remplacés par des femmes racisées à l’accent du 93 (sans aucune intention ironique) luttant contre le patriarcat toxique de Richelieu. Des critiques qui n’ont pas pesé lourd face à la nuée de commentaires peu amènes sous la bande-annonce, et n’ont pu empêcher un public raciste et misogyne de ne pas aller le voir, « la cheffe d’œuvre » culminant à 2 masochistes par séance en moyenne et Allô Ciné, finissant de se discréditer, en supprimant la note moyenne des spectateurs.

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dimanche 26 janvier 2025

TRUMP du LARD ou du COCHON, KNAFO y était et autres news…(26/01/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/EUQ7LEyauRs

Bonjour !
« La première usine qu'il faut faire en France, c'est une usine à couilles ! », dixit celui qu’on n’appelait peut-être pas le « menhir » pour rien. Pour autant, selon Candace Owens, il n’y aurait pas de risque de pénurie à l’Élysée, Macron pouvant même, en théorie, « ça va, ça vient », être intermittemment excédentaire. Toujours est-il que la petite phrase de Jean-Marie Le Pen, qu’il aurait été bien avisé de se remémorer quand il a transmis les clés de sa boutique sans tenir compte des réalités morphologiques, retrouve, par comparaison, toute son acuité, lorsque se met « en branle » le testiculator d’outre-Atlantique, et ce, dès le premier jour de sa prise de fonction. 
 
Je ne suis pas sûr, pour autant, une fois gratouillés quelques morpions jusque-là tenaces, que sa main remonte pour toucher au cœur du problème, les milliardaires dits « américains » (sur le papier en tout cas) semblant bien partis pour devenir encore plus riches, tandis que le citoyen ordinaire devra se contenter de la liberté de twitter et de la reconnaissance, ô combien révolutionnaire, du fait qu’une société fonctionnelle ne peut s’articuler qu’autour de la complémentarité homme-femme. Au stade où l’on en est, c’est toujours bon à prendre, mais, comme pourrait en témoigner notre Première dame, elle aussi fort « couillue » (au point que Paris Match nous la dépeint en « guerrière »), même brutal, un ravalement de façade n’est qu’un ravalement de façade. 
 
Je ne pense pas que, sur le reste, l’ère Trump, par nature éphémère si on ramène l’âge du capitaine à l’indice de sa masse corporelle, sera forcément une bonne chose pour les « vassaux sans gain » pompés par un cœur états-unien qui s’emballe, ni, d’un point de vue purement américain, que le lancement d’une cryptomonnaie à son effigie et d’une autre à celle de son épouse soit un gage transcendant d’abnégation. Pas plus, d’ailleurs, que le projet « Stargate », sans autre rapport avec la célèbre série qu’un orifice circulaire à la Bruno Le Maire, suffisamment dilaté pour pouvoir engloutir à perte les 500 milliards nécessaires à renflouer Open AI et consorts lesquels, pour avoir trahi leur promesse et essayé de privatiser l’intelligence artificielle afin de se remplir les poches à outrance sur de la spéculation boursière, voient leur modèle économique totalement annihilé, du jour au lendemain, par les Chinois qui fournissent gratuitement, en open source qui plus est, un modèle plus performant pour un centième du prix de fonctionnement et qui n’a eu besoin que de 5 petits milliards pour être développé. 
 
Cela dit, à défaut d’avoir arrêté la guerre en Ukraine en 24h comme annoncé, Trump qui vient de livrer des bombes à Israël et veut « nettoyer » la bande de Gaza en déportant sa population dans des pays limitrophes (on suppose, le temps de réquisitionner le Groenland) a au moins délivré l’essentiel en graciant, dès le premier jour, les manifestants du Capitole, ce qui n’est rien moins qu’une reconnaissance du droit absolu (et même du devoir) du peuple à se révolter lorsque les circonstances l’exigent.

La déclassification des dossiers JFK, Martin Luther King et autres va certainement occuper les foules avec, cependant, des répercutions pas forcément prévisibles, car une fois le mensonge d’état devenu une constante clairement établie, voire un présupposé élémentaire, excepté pour les zones d’ombres entourant le COVID qui pourraient attendre longtemps de voir la lumière au vu du récent entretien de Trump avec Bill Gates consécutivement auquel une partie de l’entourage de Kennedy Jr. a été mise sur la touche pour être trop « antivax », on pourrait se demander pourquoi on n’arrive toujours pas, avec des supercalculateurs, à envoyer des gens sur la Lune comme à l’époque où il fallait quasiment un pâté, par définition non halal, de maisons pour héberger la puissance de calcul d’une Casio collège.
 
D’un autre côté, il est indéniable qu’il est déjà arrivé que des technologies se perdent, comme pour les pyramides électriques du Wakanda ou les polaroïds de Brigitte Macron enceinte. Contrairement au « bon chasseur » Boualem Sansal, emprisonné en Algérie au grand dam de la quasi-totalité de notre classe politique laquelle brandit avec emphase l’étendard de la liberté d’expression en soulignant que tout ce qu’il a fait est d’avoir publié des livres et commis des vidéos, le « mauvais chasseur » Vincent Reynouard qui lui va être une nouvelle fois emprisonné (en France qui plus est) et au grand satisfecit des mêmes pour avoir fait… la même chose, semble contester, honte à lui, la possibilité même d’une telle amnésie scientifique collective. 
 
Si j’ai bien compris, il nie sans la moindre vergogne le fait que nous avons pu bénéficier, un temps, d’une technologie identique à la cabine téléphonique du docteur « WHO », nom que le Général Delawarde traduirait par « QUI », plus grande à l’intérieur qu’à l’extérieur, permettant de tasser potentiellement des millions de personnes derrière une porte en bois avec vitrage certes simple, mais ultrarésistant, dont Saint-Gobain serait bien avisé de chercher à percer le mystère par rétro-ingénierie, et qu’il était même possible de les incinérer à l’aide de super cheminées à turbo compression quantique, malheureusement disparues des décombres et de la reconstruction approximative qui en a été faite par la suite par des gens de bonne volonté. Rira bien qui rira le dernier et ce n’est qu’une question de temps avant que la science ne ridiculise ses thèses d’autant plus que, comme avec Musk pour la Nasa, Israël travaille avec acharnement (et avec, pour l’instant, quelques avancées encourageantes à Gaza) à retrouver cette technologie perdue afin que l’humanité tout entière puisse en bénéficier.
 
Il est clair que tout le monde n’a pas l’ouverture d’esprit, voire plus si affinité, nécessaire pour apprécier une telle démonstration d’altruisme démocratique et que l’opération a pu provoquer une résurgence, non de l’antisémitisme (terme qui ne veut strictement rien dire si l’on considère qu’une majorité des Sémites de la planète n’est pas juive et qu’une bonne partie des Juifs n’est pas sémite – au point de se demander pourquoi on a délibérément choisi un terme aussi peu approprié), mais bien un rejet d’un particularisme qui rend les personnes visées imperméables à toute forme d’assimilation (sauf quand il s’agit d’assimiler la gestuelle d’un tiers aux heures les moins claires, que ce soit, jadis, le salut inversé hélicoïdal de Dieudonné ou la soudaine crampe d’Elon Musk cette semaine). 
 
Cela n’aura échappé à personne que les Gaulois n’existent plus en tant que tels, car ils se sont assimilés, idem pour les Gallo-romains et hormis quelque reliquat de saligoths, même chose pour les Wisigoths et autres Ostrogoths ; pareil pour les Francs et, d’une manière générale, toutes les peuplades européennes qui se sont succédé sur notre territoire. Pourtant ceux qui revendiquent plus de 2000 ans de présence dans l’hexagone en sont réduits à nous vendre l’oxymore de la civilisation « judéo-chrétienne » pour tenter de masquer le fait que, contrairement à tous les autres, ils constituent toujours une entité distincte comme au premier jour. 
 
S’il ne fait aucun doute que leur intégration ne pose pas de problème particulier, il semblerait donc, en revanche, qu’ils soient, effectivement, factuellement inassimilables. Cela pourrait donc expliquer qu’à chaque fois qu’un nationalisme quelconque se pose la question fondamentale de l’identité, cette particularité qui en fait, au demeurant, des boucs émissaires pratiques, leur donne la visibilité d’un petit bouton sur le nez (ou sur les fesses pour onlyfans) avant une séance de photo avec, pour conséquence, les gens pouvant être mesquins, qu’ils ont fini par être chassés, à un moment ou un autre, d’à peu près partout sur la planète. Dans un véritable cercle vicieux, la chose a encore renforcé leur sentiment identitaire et favorisé une répulsion pour toute forme de nationalisme (hors Israël, s’entend). Il en résulte, dans les cas extrêmes, une élite fortunée, souvent dans des délires messianiques amplifiés par la consommation de poudres racistement monochromes et prétendant parler au nom d’une communauté qui ne lui a rien demandé. 
 
Une élite qui investit fiévreusement, façon SOROS, dans tout ce qui pousse à favoriser l’immigration de masse, afin justement de s’assurer que le nationalisme (qui n’a de sens qu’avec l’identité) soit tué à la racine par le remplacement des peuples. La conséquence est que, lorsque, inévitablement, les peuples de remplacement s’avèrent les aimer encore moins que le peuple d’origine et atteignent le seuil critique qui les met en danger, dans un virage à 180° il faut alors raviver en catastrophe un peu de la flamme nationale, mais en circonscrivant la problématique à de l’anti-islam pour éviter tout risque d’une prise de conscience ethnique. Un véritable grand écart sur un fil de funambule par grand vent un jour de pluie acide qui n’est possible qu’en faisant en sorte que les têtes des mouvements « nationalistes » appartiennent à la petite frange de la communauté qui adhère au concept ou, à défaut, lui soient totalement inféodés.

C’est là qu’intervient Sarah « point trop » Knafo dont, bien qu’elle ne représente électoralement pas grand-chose, on mange matin, midi et soir les analyses sur tout sujet dès qu’on allume la télé, poussant la plaisanterie hanounesque jusqu’à nous faire croire récemment, à grands coups de selfies, qu’elle était VIP au sacre de Donald Trump. À son actif, force est de reconnaître qu’elle est intelligente, a un bon sens de la répartie et que ses raisonnements sont incontestablement le fruit d’une réflexion de longue date qui me pousse à croire qu’elle est sincère concernant l’essentiel de son discours lequel me semble plus authentique que son 95, bonnet F. 
 
Sauf à considérer qu’il faudrait être une baleine pour militer à S.O.S baleine (et elle a encore un peu de marge si elle se surveille), il serait contre-productif d’exiger de quiconque de descendre en droite ligne de Vercingétorix pour prétendre aimer et défendre la France et les Français. Ce qui m’interpelle n’est donc pas du tout qu’elle soit juive, mais que, chutzpah incluse, elle se comporte comme l’image que d’aucuns s’en font, jusqu’à la caricature avec, entre autres, liste non exhaustive : soutien inconditionnel à Israël dont les intérêts géopolitiques sont pourtant de plus en plus éloignés des nôtres, assimilation systématique des Palestiniens à la racaille déculturée française, soutien de l’abattage rituel et absence totale de critique de sa communauté, chose dont Zemmour, il faut le lui reconnaître, avait eu l’honnêteté d’amorcer un début de commencement de velléité de tentative avant de perdre tout crédit (post ce fameux 7 octobre qui a obligé chacun à choisir son camp) en allant pleurnicher devant la façade de cette ancienne caserne romaine que les Israéliens prennent pour le mur des Lamentations, et ce, alors même qu’il existe en Israël des gens qui ont un positionnement beaucoup plus nuancé voire radicalement opposé. 
 
Il est clair que Marion Maréchal qui n’appartient qu’à moitié (et pas la bonne qui plus est) à la même communauté, ne pouvait espérer faire sa place à Reconquête qu’elle a donc quitté pour faire… encore pire en prétendant même, cette semaine, faire alliance avec Édouard Phillipe dont, il est vrai, signe divin, les cheveux ont miraculeusement repoussé. Quant à Marine Le Pen, qui n’a même pas l’excuse de l’appartenance communautaire, à ce stade, si on lui proposait de remplacer provisoirement le paillasson du mémorial de Yad Vashem à Jérusalem, le temps du nettoyage, je ne suis pas certain qu’elle refuserait. CQFD.

La justification même de l’État d’Israël, à moins que j’aie loupé un épisode, est de fournir un point de chute pour tous ses ressortissants putatifs qui sont donc désormais cultuellement de sa responsabilité dès lors qu’ils ne seraient pas satisfaits de leur situation dans d’autres pays, dont la France. Une France dont le rôle, depuis la disparition de fait du « Juif errant », se limite désormais à les protéger en tant que Français au même titre que tout citoyen, ni moins, ni plus, et donc, aucunement à assurer leur confort cultuel dans la sphère publique qui ne nous concerne pas plus que celui des musulmans, en payant, par exemple, au frais de la collectivité, la surveillance armée des synagogues, dont à minima, la facture devrait être envoyée à Netanyahu, et ce d’autant plus que nos églises, livrées à elles-mêmes au nom de la laïcité, sont pillées et brûlées sans vergogne et que des hommes y pénètrent désormais en brandissant des couteaux pendant les offices, le dernier en date ayant dû être abattu par la police.

Tant que, dans le pays des lumières, mais visiblement pas à tous les étages, cette position de bon sens, valable également pour toutes les autres communautés, mais médiatiquement taboue et électoralement peu payante compte tenu de décennies de conditionnement, ne sera pas clairement affirmée, il sera impossible de lutter efficacement contre l’immigration et tout mouvement, qu’il se revendique nationaliste, souverainiste ou patriote, tombera dans le deux poids, deux mesures, la perte de crédibilité et l’impuissance politique avec, à l’issue, faute d’avoir traité l’abcès à temps, une résolution par la violence que, pour ma part, je préférerais éviter.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.