Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

dimanche 27 juillet 2025

Des antisémites partout, Effondrement des naissances, Brigitte dépose plainte… (27/07/2025)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/8HL-urjcVXg

Bonjour !

Tels la kryptonite pour superman ou les tests ADN pour Brigitte Macron, l’accusation d’antisémitisme agissait encore (pré-génocide humanitaire en direct de bébés terroristes haineux) comme un rayon paralysant anti-érectile sur les sociétés européennes. Force est de constater que, depuis, le Rubicon des arguments qui le sont autant, ayant été franchi, en dépit de lois toujours plus rectalement intrusives, imposées par les mêmes (la dernière en date étant, sous prétexte de protection des mineurs, la fin programmée de l’anonymat sur les réseaux sociaux), l’effet de ce qualificatif est, désormais, à peu près aussi dissuasif que l’indication du nombre de calories pour 100 g de matière sèche sur un bocal de foie gras de canard aux truffes pour Gérard Larcher. 

Tandis que le grand public US, toutes tendances confondues, découvre, éberlué, jusque dans les médias mainstream, l’impact désastreux, impossible à masquer plus longtemps, de décennies d’influence israélienne sur le congrès et que les plus complotistes vont jusqu’à pointer du doigt, « maussades », certaines coïncidences troublantes autour de l’assassinat de Kennedy, du 11 septembre et de l’affaire Epstein, pour la première fois de son histoire, le peuple élu par vote électronique divin ultra-fiable, qui reconnaît lui-même avoir été chassé, au cours des millénaires, d’à peu près partout sur la planète, sans pour autant s’interroger plus avant sur les causes, encourt le risque, mondialisation de l’information oblige, de l’être, certes, à nouveau de partout, mais cette fois simultanément, ce qui, tant qu’Elon Musk n’aura pas réussi à poser un pied sur Mars, s’avérerait quelque peu problématique. 

Sans pour autant nier l’existence, à la marge, d’un antisémitisme viscéral, une partie totalement évitable de ce rejet est indubitablement liée à un problème d’attitude, faisant que, contrairement à la poule et l’œuf, on peut raisonnablement penser que les israélites préludent à l’antisémitisme. En témoigne la mésaventure de 50 adolescents hébraïques à passeport français (du fait de l’absurdité, pour eux comme pour tous les autres, du concept même de double nationalité) revenant d’une colonie communautaire exclusive, probablement orientée vers l’apprentissage du vivre ensemble, et débarqués d’un avion espagnol, après avoir entonné des chants en hébreu appelant à l’amour universel, et perturbé, entre autres, selon l’équipage stipendié par le « hamas », l’énoncé des consignes de sécurité. 
 
Un comportement pouvant passer, pour les regards mal avertis, pour « sûr de soi et dominateur » comme aurait dit un certain Charles de sinistre mémoire. Une fausse impression malencontreusement amplifiée par les lamentations qui s’imposaient et des hurlements indignés à l’antisémitisme, perçus par quelques esprits retors comme systématiques à la moindre contrariété et qui, justifiés ou non, ont pu commencer à fatiguer certains d’autant que, pendant ce temps-là, des enfants palestiniens mourraient littéralement de faim et eux, sournoisement, en silence. 

S’ajoutent à cela l’assimilation juridique suicidaire de l’antisionisme à l’antisémitisme, laquelle ne laisse plus aucune place à la nuance, le projet, déjà sur les rails, de réprimer l’accusation « abusive » de génocide comme une contestation des crimes contre l’humanité, et le front quasi commun jusqu’à la caricature, présenté par l’intelligentzia communautaire française dans son soutien à Israël, à commencer par la cylindrique Knafo donc les cocoricos s’arrêtent à l’abattage rituel et qui tombe en syncope à l’annonce (il est vrai, sortie subitement par Macron de quelque endroit dilaté de son anatomie) que la France va reconnaître la Palestine en septembre lors de l’assemblée générale des Nations unies. 
 
Le capital sympathie est encore renforcé si l’on inclut, dans le mix, l’arrivée massive sur notre territoire de populations, elles ouvertement antisémites, que cette même intelligentzia nous a imposées, à coups de lois antiracistes, de peur d’être exclue des cercles de décision si on venait à se poser la question raciale, devenue taboue, mais indissociable d’un nationalisme sérieux. Une immigration, en outre, qui tombe à pic pour compenser un avortement légalisé par Simone Veil (coïncidence), tandis que Badinter (re-coïncidence) supprimait la peine de mort, ce qui nous rend impuissants face à une délinquance devenue exponentielle. 
 
Dès lors, sauf à ce que des voix fortes s’élèvent au sein de ladite intelligentzia pour choisir définitivement leur camp entre la France et Israël, le retour de balancier qui lui pend au nez (ou ailleurs, si l’on souhaite éviter tout tropisme nauséabond) risque de lui faire très mal ainsi que, hélas, à nombre de ses coreligionnaires qu’elle s’est abusivement autodésignée pour représenter.

Quoi qu’il en soit, pour nous, le mal est fait et, en dépit des efforts soutenus d’un pourcentage indéterminable de jeunes hommes vigoureux et exotiques, « mi-grands » contrairement à Allah, qui s’efforcent d’enrichir culturellement, de la poussette au déambulateur, toute personne de sexe féminin incapable de passer sous la barre des 9 secondes au 100 mètres, départ arrêté, pour la première fois depuis 1945, le nombre des décès a dépassé, en France, le nombre des naissances. 
 
C’est d’autant plus dramatique que si l’on veut assurer une continuité de la France depuis Vercingétorix et au-delà et honorer les sacrifices de tous ceux qui nous ont précédés, plutôt que provoquer une rupture gommant 2000 ans d’histoire et repartir de zéro vers autre chose à la mode Kalergi, parmi ces naissances, seul compte alors vraiment le nombre de celles culturellement, ethniquement et collectivement compatibles avec le substrat autochtone. 
 
Comme par hasard, entre l’interdiction des statistiques ethniques et la généralisation des tests de drépanocytose, tout semble fait pour le rendre aussi invisible que Jean-Michel Trogneux, lequel avec sa sœur à poitrine extensible (entre autres parties de son anatomie), Braun Pivet surnommée « la torchée humaine » à la buvette et Macron dit « le machin » plutôt que « la chose », fait contrepied au dernier Marvel « les 4 fantastiques » qu’une allergie à l’omniprésent et mal cast(r)é Pedro Pascal, associé à un manque d’enthousiasme à donner mes sous à Disney, me dissuade d’aller voir.

Une Brigitte, donc, qui, après avoir perdu contre Natacha Rey et Amandine Roy, plutôt que d’ouvrir son album de famille, essaie de gagner du temps de sorte à ne pas exploser en vol trop tôt, sachant qu’il reste encore 600 jours à son époux pour finir de couler la France. Pour ce faire, elle poursuit, probablement avec nos sous, Candace Owens aux États-Unis, manœuvre désespérée aussi dilatoire que dilatatoire qui, effet Streisand cataclysmique et occasion inespérée d'apprendre la traduction de « pénis » en chinois et en swahili, fait la une de tous les journaux de la planète. Tout cela va se terminer en corrida, ladite Candace semblant déterminée à réclamer, à l’issue, non seulement les oreilles, mais la totalité des trophées traditionnels tauromachiques plus, dixit : « la perruque ».

Tout ce cirque distractif, tout comme la proposition du ministre de la Santé de généraliser la sieste au travail en compensation des jours de congé supprimés (enfin la microsieste, faut pas pousser non plus) ne ralentit pas pour autant la saignée à blanc de la France autochtone de la même couleur. Une France autochtone, interdite de se désigner comme telle, y compris par les divers mouvements inclusifs, garantis sans relents nauséabonds, qui tentent de la canaliser vers des voies de garage comme une manif virtuelle le 10 septembre (tant qu’à faire une révolution, autant donner la date au gouvernement) et vers des revendications purement économiques et sectorielles visant à lui faire oublier que le problème principal est qu’on l’a dépossédée de son propre pays et que le seul slogan méritant d’être déployé serait « Cette fois, on reprend la France ! ». 
 
Trop c’est trop, et le pays commence à sérieusement bouillir. Mais la macronie est prête : les blindés antiémeutes qui ont défilé le 14 juillet, jamais déployés pendant celles, médiatiquement pudiques, qui ont éclaté ces jours-ci à Limoges et ailleurs, frétillent à l'idée d'être enfin étrennés et les CRS, tel Jésus, semblent prêts à multiplier les pains. Bref, un des côtés semble prêt à tuer (je rappelle, au passage, que je ne suis pas suicidaire), l’autre pas encore. Je me demande comment cela va finir…


dimanche 20 juillet 2025

Les gueux, « Nicolas qui paye »… pourquoi ça va faire Pschiiittt ! Analyse de fond (20/07/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/_kLZPyhrKE8

Bonjour !

Ne vous faites pas d’illusions, il n’y aura pas de révolution en France, même après que François Bayrou qui a dédié sa vie politique à la déconstipation de coléoptères qu’il localise avec ses oreilles radar pendant qu’il fait semblant de faire la sieste, nous aura collectivement empalés, à sec, sur l’obélisque, tel un parachutiste naturiste malchanceux ou quelque député RN extatique. En effet, le fait de se faire collectivement ramoner l’intestin grêle ne suffit pas à provoquer l’unité populaire nécessaire, ne serait-ce que parce que certains aiment ça. 

Peu importe que Sarah (point trop) Knafo trouve, au doigt suspicieusement mouillé, 63 milliards d’économie… en oubliant les 211 milliards distribués sans contrôles à des entreprises qui les reversent à leurs actionnaires et peu importe que LFI en trouve autant… en oubliant les 70 milliards que nous coûte l’immigration selon l’OID (les deux, frexitophobie oblige, omettant le trou sans fond de l’Union européenne). Peu importe, donc, car un système mafieux tel que la « raie-publique » avec, pile au centre, le modem, reconnaissable à son odeur et sa flexibilité dilatatoire, ne pouvant pas se suicider en devenant vertueux, aucune de ces pistes ne sera explorée. 
 
C’est Nicolas qui va continuer à payer de plus en plus cher la savonnette de plus en plus glissante qu’on le somme de ramasser, tout en attendant les prochaines élections qui, c’est promis, vont changer la donne. Il me semble que les trahisons d’un Trump englué dans l’affaire Epstein comme un morpion dans la zone rectale macronienne après l’accomplissement d’un devoir conjugal et qui était l’archétype du concept d’un changement radical par les urnes, devrait démontrer aux derniers naïfs que les pseudos démocraties, soi-disant « représentatives », sont juste un piège à cons plus ou moins tribuables.

En attendant, tandis que l’on nomme des cruches à la Najat qui tant Valaud qu’à la fin elle se case… à la Cour des comptes, on prive les gueux de 2 jours de congés, et plus si affinités, comme le déremboursement des affections de longue durée, style cancer ou Sandrine Rousseau. Mais qu’on se rassure, on continue à financer l’AME, les transitions de genre et les chirurgies de féminisation, éloignant tout risque supputatif de pénurie de Premières dames. Dans la même (pas de) veine, alors que les jets privés sillonnent le ciel pour porter la bonne parole du réchauffement climatique et que ceux de l’état transportent Bayrou à Pau, on montre d’un doigt vaseliné accusateur, aux jeunes sans avenir, la caravane cabossée de Marcel, l’enfoiré de retraité profiteur, dont on va geler la pension tout en plafonnant l’abattement fiscal de 10% à 2000 € afin de le pénaliser dès 1700€ par mois ce qui est quand même plus humain que de plafonner lesdites retraites à disons, 4 fois le SMIC, chose qui serait dramatique pour les miséreux tel François Hollande lequel doit s’efforcer de joindre les deux bouts et payer ses croissants matinaux avec 18 000€ mensuels (en sus des avantages en nature - personnel, locaux, véhicules… - du rendement de ses placements financiers et de la rente annuelle de 65 000€ dévolue aux ex-présidents).

On ne peut mesurer, en centimètres introduits, l’étendue de l’escroquerie que si l’on comprend (l’immonde Sarkozy ayant rendu le budget « fongible ») que ce que l’on va piquer à Marcel n’ira pas à Nicolas (l’autre, celui qui paye), ni même au remboursement de la dette (garantie par notre épargne que tout est déjà en place pour confisquer), mais continuera à financer l’immigration de masse, les milliardaires, l’UE, l’Ukraine, les éoliennes et la foule de parasites politico-médiatiques, d’associatifs et de copains nécessaire à pérenniser le système… ainsi qu’incidemment, le pourvoi en cassation (ce qui, si elle a des noix, peut s’avérer dangereux) de Brigitte Macron dans l’affaire qui l’oppose à Natacha Rey.
 
Pour schématiser, avant, le budget, c’était un peu un système d’enveloppes à l’ancienne et on mettait des sous dans chacune pour un usage spécifique sans qu’on puisse les utiliser pour autre chose ; depuis Sarkozy, qui préfère les valises, lesdites enveloppes sont juste virtuelles et indicatives : tout atterrit dans un pot commun sur un compte bancaire avec, « en sus », comme dirait Aurore Bergé, une « black card » illimitée à la discrétion du Président qui peut, avec, faire des cadeaux au monde entier. Donc, à chaque fois qu’on vous justifie un impôt (a fortiori de « solidarité ») comme étant destiné à financer une dépense spécifique, on vous ment comme un politicien en campagne, vous alimentez simplement le pot commun, ou plutôt le tonneau des Danaïdes, offrant juste plus d’argent à dilapider au système.

Pour qu’il y ait une révolution, il faudrait une année « blanche », mais pas vraiment au sens où l’entend Bayrou. Il faudrait admettre - ce que n’ont fait ni les « gueux » aujourd’hui, ni les gilets jaunes hier (alors que cela sautait pourtant aux yeux qui leur restaient) - que la vague qui les porte n’est rien d’autre que la révolte légitime des autochtones blancs, non binationaux et donc sans échappatoire, dépossédés de leur propre pays et de leur mot à dire ; pareil pour « Nicolas qui paye » qui symbolise exactement la même chose, sous un autre angle. 
 
Tant que cela ne sera pas revendiqué sans complexe, offrant une cohésion qui transcende les classes sociales, et seule manière d’unir et les gueux et Nicolas qui, séparément, n’ont aucune chance, tout mouvement tombera, soit dans le piège social de la gauche qui réclamera plus de sous, soit dans le piège fiscal de la droite qui réclamera moins d’impôts, deux choses apparemment contradictoires (et c’est voulu pour éviter tout risque d’union) alors même qu’on pourrait intelligemment concilier les 2 et satisfaire et les gueux et Nicolas. 
 
La gauche, dans son rôle de détournement des mouvements sociaux vers une voie de garage, scandera : « révolution ! », tout en encourageant son principal obstacle à savoir : l’immigration de masse et le multiculturalisme qui ne pourront qu’aboutir, à force d’exaspération, à des luttes horizontales comme les ratonnades en Espagne cette semaine et les émeutes raciales au Royaume-Uni, au lieu d’une véritable révolution qui ne saurait être que verticale, comme une lame de guillotine. 
 
Pas mieux pour la droite qui veut son immigration de travail, a une demi-molle chaque fois qu’un individu à forte teneur en mélanine (ou amateur de pâte à tartiner spécifique) secoue un drapeau bleu, blanc, rouge, et qui se contente de taper hypocritement sur « l’Islam », pour ne pas avoir à admettre de prisme ethnico-culturel qui serait préjudiciable à ceux qui la financent et tentent de se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas. Au lieu de se rejoindre sur une identité qui pourrait les unir, les deux camps (en tout cas ceux qui s’en font les représentants) ont, pour seul point commun affiché, un « antiracisme » trouillard et maladif qui les dissout et dix sous ce n’est pas beaucoup. 

Contrairement à la république, si on change son peuple, la France n’est plus la France et, outre sa descente aux enfers économiques, perd et la motivation première et ce qui donne sa légitimité à toute lutte : assurer sa continuité, sa descendance et sa postérité. Par ailleurs, comment peut-on réclamer que le peuple soit traité avec équité quand ledit peuple n’est jamais clairement défini ? 
 
Pour autant, de même qu’il n’y a pas besoin d’être une baleine pour adhérer à S.O.S. baleines, il n’y a aucune raison d’ostraciser ceux qui ne correspondent pas à cette définition… du moment qu’ils y adhèrent. C’est ce que l’on appelle l’assimilation, la vraie, à l’opposé des hypocrites à la Jean Messiha dont le message subliminal est : « voyez comme je me suis bien intégré, je suis même plus Français que vous, preuve que la nationalité n’est pas organique et que tout le monde (soit plusieurs milliards d’individus) est potentiellement compatible ».

Il a raison sur un point : le problème est, avant tout, une histoire de compatibilité, mais pas seulement individuelle, car il faut aussi prendre en compte la compatibilité de groupe laquelle diminue en fonction du nombre. Trop d’arbres deviennent une forêt, laquelle finit par abriter des loups et, arrivés à ce stade, on est contraint de déboiser sans plus avoir le luxe de pouvoir se préoccuper de la qualité de chaque arbre qui peuvent, certes, être compatibles individuellement, mais qui, collectivement, feront quand même partie du problème forestier, si on laisse la situation se détériorer jusque-là. Il en va donc de l’intérêt même des gens assimilés, que la France retrouve son identité et évacue l’excédent de leurs ex-compatriotes, sous peine de retrouver ici ce qu’ils ont quitté ailleurs, la guerre civile en plus. 
 
Normalement, ce serait le rôle de l’état que de gérer les flux pour prévenir les incompatibilités de groupe de façon à permettre l’assimilation réussie des individus compatibles tout en protégeant l’indispensable cohérence ethnique et culturelle du substrat populaire, mais il fait exactement le contraire, car il a compris, justement, que c’était le moyen le plus sûr, à terme, d’éviter une révolution.

Conséquence de plus en plus visible, je vous épargne l’égrenage des faits divers banalement horribles de la semaine dont chacun, il y a encore quelques années, aurait fait les gros titres et qui sont devenus monotonement routiniers provoquant même un bâillement involontaire que pourrait mettre à profit toute mouche non analement estropiée par notre Premier ministre. Après quelques derniers soubresauts, on va donc probablement collectivement crever, mais au moins on ne pourra pas nous traiter de racistes ou d’antisémites… enfin pas plus que d’habitude.


dimanche 13 juillet 2025

SACRÉE AURORE ! Fin de la liberté d’expression, Natacha Rey triomphe et autres news… (13/07/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/GPJoBaVVRNo

Bonjour !

Il m’arrive parfois, sans pour autant être suicidaire (j’insiste !) d’être aussi désemparé qu’un spermatozoïde qui se réveillerait dans le tube digestif de Crépuscule Bergé, introduit par le bâton éponyme, lui aussi de berger donc, de quelque Justin Bridou politique, sans se remémorer par quel côté il serait entré, avant que d’être rassuré par une vague réminiscence (précédant le black-out provoqué par un choc contre la glotte) des hurlements de certains de ses compagnons d’infortune, aplatis contre deux gigantesques hublots en verre qui gagneraient à être munis d’essuie-glaces. Comme lui, je tremble dès qu’elle ouvre la bouche, souvent au mépris de la politesse élémentaire qui commande de ne pas parler dans certaines circonstances. 
 
Cette semaine, cela a été pour annoncer encore plus de moyens et de pouvoirs pour le CRIF, la LICRA, S.O.S. Racisme, le Planning Familial et une sélection d’associations LGBT, féministes et d’extrême gauche connues pour leur impartialité afin qu’elles puissent embaucher du personnel pour surveiller le NET, qui à ses yeux ne l’est pas, et pouvoir saisir de manière prioritaire l’ARCOM (dont on se demande ce qu’elle fout là) pour faire disparaître tout contenu, forcément haineux, qui ne leur plairait pas. Je m’étais pourtant laissé dire qu’elle aimait bien « l’haineux ». C’est donc (notamment depuis qu’elle a les cheveux longs) la « Raiponce » de la Bergé, non à la bergère, mais au mécontentement qui gronde et la mise en application directe du « Digital Service Act », la directive liberticide européenne. Merci encore au RN de n’avoir pas « motioncensuré » Bayrou.

Un RN qui (après que la Cour européenne des droits de l’homme a rejeté, cette semaine, la demande de la femme à chats, qui passe l’été à faire la chenille en plus de la cigale, de suspendre son inéligibilité) se fait « banalement » (le b est en option) perquisitionner. Probablement en remerciement pour avoir, avec un enthousiasme non dissimulé, ramassé la savonnette du système en faisant des bulles et s’être poliment abstenu, lui aussi, de parler la bouche pleine. Deux de ses députés ont même, un temps, avant de rétropédaler (au sens LGBT du terme) signé une proposition de loi de ces en... (trois petits points, par forcément alignés) de LR (dont, Olivier Marleix, le seul membre encore valable, est décédé, cette semaine, en serrant trop fort son nœud de cravate, ça arrive) et qui ont carrément surenchéri sur Bergé en déposant une proposition de loi visant à pénaliser également les propos « anti-républicains » qui deviendraient passibles de 3 ans de prison et 45 000 € d’amende.

Je me garderai donc de critiquer la « république » qui plus est démocratique et populaire… de Corée du Nord à laquelle nous ressemblons de plus en plus, en attendant la « république » islamique du Frankistan, Marine Le Pen ayant déclaré, elle-même, et elle a raison, que l’islam est compatible avec la république. La raison en est que le terme « république » désigne en fait un système d’administration intrinsèquement mafieux qui n’a rien à voir ni avec la France, ni avec la démocratie avec lesquelles on essaie de nous le faire confondre et pour lequel, le Français non simplement « administratif » est la dernière roue de la charrette, le Manuel manuellement tremblant Valls, au temps de sa splendeur, dans un discours d’anthologie, ayant clairement défini QUI en était (pour l’instant, car ils vont récolter ce qu’ils ont migratoirement semé) à l’avant-garde. 
 
Aucun rapport, mais depuis ma dernière vidéo d’actu, il y a aussi eu le dîner du CRIF, à 900 € par tête de pipe décapsulée, dont 528 déductibles des impôts. À quelques jours près, ils auraient pu s’émouvoir du fait que, comme cela a été le cas à chaque fois que l’on (et non qu’Elon) a lâché la bride à une IA par le passé, celle d’Elon Musk, testée un instant en mode « raisonnement sans entraves », a fait son coming-out en s’autorenommant « MechaHitler » et en suggérant des solutions quelque peu radicales sortant non DU sentier, mais DES sentiers (battus qui plus est) pour mettre fin à certaines problématiques.

Sinon, certains de nos concitoyens, après avoir rodé leur technique (et tout court) un peu partout en France sont allés jusqu’en Suisse exporter ce vivre ensemble aquatique qui booste la fréquentation de nos points d’eau, faisant que nous ne sommes plus la première destination touristique mondiale et qu’une piscine frontalière a dû être interdite, non pas à des Français spécifiques, car rien ne nous distingue les uns des autres, mais à tous les Français. La localité s’appelant, cela ne s’invente pas : « Porrentruy », il eût pourtant suffi de changer l’orthographe sans altérer la prononciation, pour qu’elle devienne beaucoup moins attractive. 
 
Les Allemands, confrontés, allez savoir pourquoi, à des problèmes similaires, ont choisi la pédagogie avec une campagne d’affichage montrant toute une palanquée de nouveaux vacanciers, reconnaissables à leur absence totale de bronzage, en train de harceler des habitués, au teint déjà bien hâlé, la palme revenant à l’illustration d’une dame pachydermique carencée en mélanine, tripotant avec concupiscence les fesses d’un petit migrant unijambiste… quoique, au vu de certains mariages récents, c’est peut-être, au final, l’affiche la plus réaliste du lot. 

À la décharge (sans rapport aucun avec Aurore) desdits amateurs de points d’eau, il est vrai qu’il a fait chaud en France, notamment du côté de Marseille laquelle a failli cramer après qu’un véhicule accidenté (on espère : pas électrique) a pris feu. Il s’est finalement avéré que les promesses de canadairs macroniennes de l’été dernier et de l’été d’avant ont été bizarrement inefficaces contre les flammes et que les économies réalisées sur le débroussaillage des zones se sont, elles aussi, révélées, en fin de compte, peu judicieuses, même si on peut saluer l’effort en période de restrictions budgétaires. Fort heureusement, tout est de la faute du réchauffement climatique et on va donc pouvoir donner, l’esprit tranquille, 40 milliards de plus à l’Ukraine, 20 directement et 20 correspondant à notre quote-part de l’enveloppe européenne, l’immense majorité de nos députés européens, les LR en tête, n’ayant pas voté, au passage, la motion de censure à l’encontre d’Ursula, preuve également qu’il est grand temps pour la France pas si « Insoumise » de changer de nom.

Dès lors, certains pourraient envisager de pagayer vers le Royaume-Uni, en quête de fraîcheur, mais, non seulement les mêmes forces de l’ordre, qui ne les empêchent pas d'entrer, crèvent à présent leurs embarcations pour les empêcher de partir, mais Macron, entre deux bévues protocolaires (dont le tripotage du capitaine de la garde royale) vient de signer avec Keir Starmer un accord pilote pour un échange de migrants façon cartes Pokémon. Pas sûr qu’on récupère Pikachu dans le deal.

Histoire de faire de la place, car ça commence à faire du monde qu’il va falloir loger, alors même que des millions de logements sont (et seront retirés à terme) de l’offre en raison du Diagnostic de Performance Energétique, le fameux DPE, renommé par certains grossiers personnages « Double Pénétration Enculatoire », une nouvelle étude pointe suspicieusement d’un doigt vaseliné le fait qu’un quart des ménages vit égoïstement dans un logement trop grand. Je vous laisse en déduire ce qu’il faut en conclure.

Dans la même logique de ne pas s’attaquer au problème principal qu’on a soi-même instauré : tout en validant le Mercosur d’un côté, on redonne magnanimement aux agriculteurs le droit de mourir d’un cancer en réautorisant, notamment, les néonicotinoïdes tueurs d’abeilles avec la fameuse loi Duplomb, pas dans l’aile, hélas.

Sinon, à l’international, tandis que la plupart des accusations contre P.Diddy, l’Epstein 2.0, sont passées à la trappe, Trump continue ses trahisons : la liste des clients d’Epstein 1.0 s’est évaporée en raison du réchauffement climatique, l’homme s’est bien suicidé (circulez, il n’y a rien à voir) et il aurait même appelé Candace Owens pour lui dire de lâcher la grappe (figurativement s’entend) à Brigitte. Une Brigitte d’ordinaire pourtant « au-dessus du lot » (pour ne pas employer « transcendant » faute d’informations complémentaires sur ses molaires), mais qui vient de se prendre un sacré revers puisque Natacha Rey a été relaxée, en appel, des accusations de diffamation à son encontre, lesquelles n’ont jamais porté sur la transsexualité, affirmation jamais directement contestée par notre Première dame a poitrine autorégulable, contrairement à ce qu’ont essayé de faire croire les médias à l’époque, lesquels se gardent bien d’en tirer les conclusions qui s’imposent aujourd’hui.

Avant le petit coup de fil traditionnel de fin, vous aurez compris, au vu de ce qui précède, que l’espérance de vie de cette chaîne (qui, par principe, n’est pas monétisée et ne me rapporte strictement rien) est comparable à celle d’une Femen atteinte de cystite dans une mosquée afghane ou de Rima Hassan en keffieh au dîner du CRIF. C’est donc peut-être une de vos toutes dernières chances de liker une de mes vidéos et de vous abonner pour signifier à ceux qui raisonnent comme vous, autant dire, à ce stade, qui raisonnent encore, qu’ils ne sont pas seuls.
Si en revanche vous n’avez pas apprécié, tout ou partie (auquel cas n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires, vos courageux partages et à bientôt… j’espère.


samedi 5 juillet 2025

LE TUBE de L’ÉTÉ (attention, ça pique !) (06/07/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/h0k5qKRTcl8


Paroles:

 Macron et sa femme habitent, sa femme habitent à l’Élysée
Poitrine à croissance subite, et renflements localisés
On se dit : quel élan qu’eut le, quel élan qu’eut le psychopathe
Avec ou sans testicules, de marier sa prof, ça m’épate


Candace Owens l’a dit à Trump, il y a une grosse anguille sous roche
Peut-être 2 œufs et pas « de lump », chaque jour le récit s’effiloche
On nous cache tout, on nous dit rien, où est donc passé Jean-Michel ? 
Personne ne le trouve à Amiens, c’est un secret de Polichinelle

Et pourquoi donc tous ces procès, plutôt que montrer des clichés
Avec ses enfants ou qui sait, avec Hérode en train de guincher ?
Ne parlons pas des suicidés, dont la liste tend à augmenter
Qui, hasard, avaient décidé, de dire des choses documentées


Macron et sa femme habitent, 
sa femme habitent à l’Élysée
Des mains pas vraiment très petites, et des pieds pas normalisés
Quelque bilan qu’eût la fon…, quelque bilan qu’eût la fonction
Il reste Benalla profond, pour venir gâcher la fiction


Danse, danse
Si t’as pas de fesses, c’est pas grave, danse
Si t’as pas de hanches, t’en fais pas
Tant que ta perruque ne choit pas

Danse, danse
Si t’as pas de fesses, c’est pas grave, danse
Si t’as pas de hanches, t’en fais pas
Tant que ta perruque ne choit pas


D’abord, il y eut Natacha Rey, puis Poussard qui plus a trouvé
Candace en parle sans arrêt, Tucker Carlson a approuvé
C’est le monde entier qui rigole, et sauf en France, les médias causent
Peignant le poudré en tafiole, c’est le moment de mettre en pause

Si c’est faux on peut le prouver, sans vraiment de difficultés
Et sinon le garder couvé, c’est presque anti-LGBT
Dis, le Mozart de la finance, ne pourrais-tu rien qu’une fois
Faire quelque chose pour la France, et cesser ta mauvaise foi.


Macron et sa femme habitent, sa femme habitent à l’Élysée
Poitrine à croissance subite, et renflements localisés
On se dit : quel élan qu’eut le, quel élan qu’eut le psychopathe
Avec ou sans testicules, de marier sa prof, ça m’épate


Danse, danse
Si t’as pas de fesses, c’est pas grave, danse
Si t’as pas de hanches, t’en fais pas
Tant que ta perruque ne choit pas

Danse, danse
Si t’as pas de fesses, c’est pas grave, danse
Si t’as pas de hanches, t’en fais pas
Tant que ta perruque ne choit pas



dimanche 29 juin 2025

Légion du déshonneur, Mélenchon vs langue française, CAF et Cupidon, traîtres LR… (29/06/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/ifwru0f8miM

Bonjour !
Selon un certain humoriste visionnaire, la Légion d’honneur ne serait qu’un fion de castor, ce qui n’est guère éloigné du fion Marianne, si l’on considère celle remise à la très pèse-personnophobe Marlène Schiappa. Dans un autre continuum espace-temps, dans lequel elle aurait plutôt eu droit à une tenue à rayures amincissante, taille XL, au fond (toujours pas Marianne) d’un cul de basse fosse, on utilisait l’infâme expression « parler le petit nègre » pour qualifier tout sabir attentatoire à la syntaxe et je n’ose subodorer que c’est à cette locution que fait allusion Mélenchon quand il dit qu’il faut trouver un autre mot plus adéquat pour désigner la langue française, au prétexte qu’à force d’enrichissement culturel par voie rectale, elle n’appartient plus aux chômeurs blancs privilégiés. 
 
C’est d’autant plus urgent et nécessaire que le Français de souche n’existe pas, comme le confirme Sandrine Rousseau, visiblement lassée de son homme déconstruit, dans un discours enflammé contre une proposition de loi de Ciotti, qui semble l’inquiéter au plus haut point, visant à contrarier les amours exotiques et enfiévrées (et les mariages brefs, mais intenses, conséquents) entre de romantiques aspirants à la carte de séjour à la fleur de l’âge qui sentent bon le sable chaud et les irrésistibles rombières ménopausées à forte odeur de CAF aux charmes desquelles ils succombent, comme une nuée mouches à spécialisation péjorative.

C’est d’autant plus nécessaire que grâce à la trahison des LR, les députés ont voté, le 24 juin, la fin des titres de séjour territorialisés à Mayotte, ouvrant la voie à la libre circulation, dès 2030, vers l’hexagone, d’autant de Roméos alphas (et non l’inverse, indice carbone oblige). D’ici là, le candidat LFI à la Mairie de Toulouse qui, sans pour autant s’exclure lui-même, selon des sources internes : « ne veut pas de babtous en tête de sa liste », devra prendre son mal en patience. 

Nous vivons dans un monde où même les couteaux sont racistes, les 3 trouvés, lors d’un contrôle « inopi…nel », dans le cartable d’un garçon de 8 ans, aux origines ne méritant pas visiblement que les médias s’y intéressent, et qui avait pour but de tuer sa maîtresse (au sens non macronien du terme, du moins on l’espère) s’avérant finalement sans danger pour les autochtones puisqu’à bouts ronds, donc à « beur ». 
 
Quant à ceux utilisés pour égorger des animaux sans anesthésie pendant qu’un individu circoncis raconte des salades en arabe ou en hébreu (deux faces d’une même pièce), ils sont visiblement contaminés au point de causer la mort dans l’Aisne et probablement aussi dans l’intestin, d’une enfant de 11 ans et d’en laisser de nombreux autres dans un état grave, sans qu’il soit question d’interdire la pratique, seule façon pourtant d’éviter à coup sûr que, pour des raisons purement mercantiles, le surplus soit écoulé comme viande classique sans que le consommateur en soit informé, les amateurs de chair rituelle, peut-être au vu de ce que certains font, selon la rumeur, aux parties arrières dans le désert, consommant essentiellement les parties avant.

Alors que les dernières statistiques communiquées sur X par l’excellent Marc Vanguard font apparaître qu’en dépit des milliards versés dans ce tonneau des… hémorroïdes, les quartiers dits prioritaires ont la criminalité du Rwanda, un taux de bénéficiaires de la CAF de 70%, un taux d’analphabétisme de 28%, 44% de gens sans diplômes et seulement 43 qui cotisent un tant soit peu pour nos retraites et qu’un nouveau rapport de l’IEP place la France juste avant l’Angola en matière de sécurité, pour assurer une transition paisible vers des lendemains qui chantent, le temps du remplacement complet de population, il manquait un nouveau parti encore plus tiède qu’un flot incontinent issu d’un méat pénien de Première dame pendant un cauchemar nocturne : 
 
« la France humaniste » que propose Villepin (lui-même demi-musulman puisqu’à voile et à vapeur) quand il ne vend pas pour plusieurs fois leur prix à des acheteurs douteux des collections de livres pas si rares, ce qui reste moins grave que de brûler un coran : la justice ayant refusé de libérer jusqu’à son procès, en dépit des tortures qu’il subit en prison, l’homme soupçonné d’avoir commis cet acte ô combien répréhensible devant une mosquée à Villeurbanne, au lieu de se contenter de brûler le Nouveau Testament devant une église, voire l’église tout court, ce qui, gay pride oblige (sauf en Hongrie), lui aurait valu une tapette sur l’épaule et un stage de poney.

On comprend, dans ces conditions, que l’argent se fasse rare pour « Nicolas » nouveau nom générique (tiré, ce me semble, d’une série d’historiettes éducatives sur l’excellent blog « Hashtable »), pour désigner le Français moyen qui travaille dans l’attente d’une retraite qui recule et qui bien qu’il avance… mais je m’égare, tout en espérant ne jamais avoir affaire à des hôpitaux surchargés pour se rendre au chevet de sa fille ou sa grand-mère violée en risquant à tout moment d’être transformé en viande rituelle pour un refus de cigarette, interdite au premier juillet, par le biais d’une incision circulaire au niveau de la gorge. 
 
On apprend donc que, façon Gérard Larcher marchant sur une cacahuète, la dette a pulvérisé un nouveau plafond à 114% du PIB, soit 3 345 milliards d’euros, c’est-à-dire 40,5 milliards de plus, par rapport à la fin de l’année dernière, inclus les 6 milliards que nous ont coûté les Jeux olympiques, soit 3 fois plus que prévu, selon un rapport de la Cour des comptes qui elle-même n’hésite pas à republier pour des milliers d’euros ses propres rapports au simple motif que la photo de Moscovici n’avait pas été suffisamment photoshopée. Une histoire de paille dans l’œil et de poutre dans le …, mais bon, les étrons et autres joyeusetés, flottent désormais dans une eau de la Seine baignable.

Il faut donc que Nicolas (et nous avec) se serre la ceinture, mais pas pour rembourser la dette, ou même pour continuer à entretenir une immigration galopante façon couche d’ozone et, comme on l’a vu, majoritairement inactive et non qualifiée, mais pour fournir de l’argent magique afin que l’UE puisse verser 15 millions d’euros à l’Afrique du Sud pour y favoriser l’inclusivité des vignerons noirs, 360 millions à Bill Gates pour « GAVI » une alliance mondiale pour les vaccins dont les USA ne veulent plus, pour que Macron tout en continuant à financer l’Ukraine, puisse attraper un second poil sur la langue dans quelque endroit stratégique de la large zone pelvienne de Trump en acceptant d’investir 5% du PIB (soit 145 milliards) dans l’OTAN pour acheter des armes… américaines, tandis que le parlement, grâce à encore une trahison des LR, revient sur la suppression des 300 milliards en faveur de l’éolien et que le RN, pas en reste, refuse de freiner ce pillage en règle en votant une motion de censure qui aurait fait sauter Bayrou, façon siège éjectable, comme celui de l’avion de chasse dans lequel il a failli rester coincé au Bourget, empiétant sur le monopole du ridicule, chasse gardée (et qu’on aimerait bien tirer) de notre bien aimé président, contraint d’aller saluer les vainqueurs toulousains du top 14 dans les vestiaires pour éviter d’être affectueusement ovationné par une foule en délire.

Quant à ceux qui s’élèvent au-dessus des turpitudes hexagonales et se demandent plutôt pourquoi la 3e guerre mondiale n’a pas eu lieu, il semblerait qu’Israël, à court de missiles balistiques pour son dôme ferrugineux et voyant que Trump faisait le minimum syndical, s’est vu contraint d’accepter le cesser le feu, que « l’Iran-gina » pas mal secoué, mais qui pouvait désormais infliger des dégâts majeurs a été poussé par la Chine, déjà affectée par les taxes de Trump, à éviter d’aggraver la situation économique mondiale, probablement en échange de la modernisation de son point faible, à savoir sa flotte aérienne et du remplacement du GPS par le système chinois Beidou, tandis qu’il négociait avec la Russie pour déployer un système de défense S400 qu’il avait jusqu’à présent refusé, tout en ayant gagné au passage, officiellement, le parapluie nucléaire du Pakistan et la cohésion patriotique autour du pouvoir de l’ensemble de sa population. 
 
Si on ajoute le fait qu’Israël a brûlé sa cartouche unique basée sur des années d’infiltrations et que les Iraniens sont en train de pendre les têtes de réseau d’espionnage comme des guirlandes de Noël, chaque jour qui passe rendra plus compliquée toute nouvelle agression de ce type qui sera bientôt impossible, faisant de l’état hébreu le grand perdant de l’histoire. Outre le mythe de son invincibilité, il a par ailleurs perdu le support majoritaire du citoyen lambda américain, un nombre croissant le considérant même comme un ennemi des USA, l’interview d’anthologie de Ted Cruz par Tucker Carlson qui lui met le nez dans le caca quand il invoque la bible comme principal motif de son soutien à Israël, ayant enfoncé le dernier clou du cercueil. 
 
Quant à Trump, qui a joué sans filet avec la 3e guerre mondiale, avec la roulette russe chanceuse de ses frappes, il a perdu le soutien d’une partie conséquente de sa base, laquelle a réalisé que, comme ses  prédécesseurs, il était tenu par quelque cadavre dans son placard, le reléguant au rang de petit chien testiculairement ectopique de Netanyahu, de sorte que sa seule marge de manœuvre (qu’à son crédit, il a utilisée) était d’essayer d’aboyer plutôt que de mordre dans l’espoir que son maître ne verrait pas la différence. Même si peu probable, on n’est donc pas totalement à l’abri d’une reprise des hostilités de ce qui n’est qu’un cessez-le-feu, si un Israël suicidaire voulait tenter le tout pour le tout avant que sa fenêtre de tir ne se ferme définitivement.


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dimanche 22 juin 2025

Comment veux-tu que je te canicule, pluie taxée, Salamé au JT, Trump bombarde l’Iran…(22/06/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/IOn5oDbhApU

 Bonjour !

À ma grande honte, cet hiver, telle une Première dame ayant mal ajusté ses prothèses mammaires, j’ai totalement relâché ma vigilance : j’ai oublié, au moins par deux fois, de pisser pendant ma douche froide hebdomadaire et comme j’avais décidément la tête ailleurs, à plusieurs reprises, j’ai même mis au sale un slip encore olfactivement acceptable. Tout cela s’est malheureusement cumulé avec une consommation excessive de cassoulet, conduisant, hélas, au climacide que tout le monde connaît avec des températures tellement élevées que, pour un peu, on se croirait en été. 
 
Un meurtre sans préméditation, mais qui a éclipsé un temps dans les gros titres la guerre Israël – Iran, la déferlante migratoire, l’insécurité galopante et la faillite économique, les médias se focalisant sur le cadavre anormalement chaud. Du coup, j’ai peur que les enquêteurs qui ont déjà relevé de nombreux indices (carbone), même s’ils cherchent encore le mobile qui, comme son nom l’indique, se déplace, peut-être même en diesel, finissent par faire le lien, voire l’éolien, avec moi. 

Bon, après je pourrais toujours essayer de me défausser sur les députés RN et LR lesquels ont voté de justesse ce 19 juin (profitant du fait que, chaleur oblige, nombre de leurs collègues avaient piscine) un moratoire pour suspendre ledit éolien et autres rentes de situation photovoltaïques consistant à produire de l’énergie au prix fort quand on n’en a pas besoin et à être indemnisé quand on n’en produit pas, un jackpot du loto quotidien subventionné par nos factures d’électricité. 
 
Sans vouloir être pessimiste, je doute que l’incidence sur le réchauffement ait, de toute façon, été en mesure de compenser ne serait-ce qu’une journée d’échanges d’amabilités russo-ukrainiennes ou israélo-iraniennes en sus de mon slip lavé trop tôt. Mais cela n’empêche pas, avec une opiniâtreté qui force l’admiration, la machine à produire des contraintes de considérer, au bord de la 3e guerre mondiale, qu’il est urgent de mettre en place une déclaration obligatoire, à compter 6 août, dans certaines conditions, des récupérateurs d’eau de pluie de plus de 500 litres, seule marge de taxation restante avec, en sus du C02, l’oxygène que nous respirons gratuitement sans aucun égard pour la planète. Il faut dire que la vie, à l’instar du cacao cru, sans « R », c’est de suite moins ragoûtant… si je peux me permettre littéralement le contraire d’une contrepèterie sinon mal tournée, qui aurait mal tourné.

Sans rapport aucun, histoire de se mettre au frais, Emmanuel Macron, pourtant première éolienne de France, est, lui, allé brasser du vent au Groenland pour tenter de se faire applaudir par les manchots, ce qui relève certes de la gageure, mais moins que de se faire applaudir par les Français dont quasiment aucun n’a écouté son allocution télévisée de 40 minutes sur le conflit au Moyen-Orient. 
 
Une audience largement battue par CNEWS et le très « faux-cul » De Villiers qui, faute d’autres explications à son fanatisme pro-israélien pas très catholique, fait qu’on est fondés à se remémorer que sous Louis XIV, notamment, il était courant pour les nobles en situation financière délicate de « fumer leur terre », expression désignant ceux qui convolent en escadrille (comme aurait dit Chirac), avec de riches héritières majoritairement issues d’une certaine communauté, faisant que, s’ils ont gardé la particule, en dépit du grand nettoyage nobiliaire de 1666, on leur a peut-être coupé autre chose. 
 
Pour en revenir à Macron, s’en sont suivis les yeux au ciel révélateurs de Meloni au G7 et Trump qui, soulignant que le baffé farineux se trompe tout le temps, l’a dépeint comme le clown qu’il est. Mais qui compte encore les humiliations internationales ?

Pour rester dans les éoliennes, on a appris que la future responsable de la propagande du 20h sur France2 n’est personne d’autre que Léa Salamé… profond pour le coup. Il faut dire que la dame a les dents longues et que, outre le conflit d’intérêts flagrant, Glucksman risque en permanence une seconde circoncision, la belle ayant quand même un faux air de fille naturelle du fameux cheval qui jadis courrait sur la couche d’ozone, avant qu’on ne bifurque vers le CO2. 

Toujours dans la même veine mesurable à l’anémomètre, j’ai failli oublier Bruno Retailleau qui lui est déjà sur les présidentielles avec une campagne d’affichage au slogan : « La France des pauvres couillons » ou quelque chose du genre, en prenant soin de placer dans le lot un cuisinier congolais face au mont Saint-Michel, histoire de bien signaler qu’il ne fera rien contre l’immigration non européenne laquelle selon une étude publiée dans le Figaro cette semaine et qui ne tient même pas compte du volet sécuritaire, nous coûte la bagatelle, hors massacre donc, n’en déplaise à Céline, de 3,6 points de PIB par an.

Mais bon, il faut bien compenser la baisse de la natalité sachant qu’à terme, comme cela vient d’être voté ces jours-ci au Royaume-Uni on pourra avorter l’enfant sans limitations, jusqu’à la naissance. Comme, sauf erreur de ma part, la naissance c’est quand tout le corps est sorti, dans l’absolu, si la tête ne nous revient pas, on devrait pouvoir encore dire « finalement, non, avortez-moi tout ça ! ». C’est certes moralement contestable, mais avec le recul, si j’étais une femme et que je voyais sortir la tête de Retailleau, Bayrou ou Macron, j’aimerais avoir l’option. 
 
Comme le progrès, par définition, n’a pas de limite, la prochaine étape sera de considérer que le bébé n’est humain que quand il commence à parler, ce qui ouvrira enfin la porte à l’avortement postnatal, un peu comme ces deux homosexuels, juste un peu en avance sur le calendrier, et jugés cette semaine, toujours au Royaume-Uni, pour avoir violé à mort le petit garçon d’un an qu’ils étaient sur le point d’adopter.

Sinon, concernant le conflit israélo-iranien, tiraillé entre sa base qui, de Tucker Carlson à Candace Owens, était en train de le lâcher et ses allégeances circoncises, Trump, comme au poker, a demandé à voir en tentant un coup d’esbroufe avec des frappes ciblées dont le succès est invérifiable, lui permettant de clamer haut et fort une victoire, indispensable pour redorer un blason largement écorné, tout en espérant que l’Iran ne riposte pas, notamment contre des bases américaines, auquel cas c’est lui qui devra montrer son jeu et choisir entre le déshonneur d’un retour à la niche, comme avec ses « tariffs » contre la Chine, ou l’escalade susceptible (outre l’implosion de son économie si le détroit d’Ormuz est fermé et que le pétrole monte à 300 dollars le baril) de déclencher un Vietnam bis, voire la 3e guerre mondiale.

Beaucoup plus grave, entre, d’un côté, la fameuse doctrine israélienne « Samson » (mais qui pourrait faire du « bruit »), consistant, en cas de menace existentielle, à balancer tous azimuts son stock d’ogives nucléaires officiellement inexistant et, de l’autre, le shadowban des chaînes comme la mienne dont le directeur de YouTube a admis l’existence cette semaine devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur l'impact des réseaux sociaux sur les mineurs, sans votre aide, je ne pourrais peut-être pas atteindre mon objectif des 40 000 abonnés avant la fin du monde. 

Par ailleurs, je m’en voudrais si votre dernière pensée était : « Zut, je ne me suis pas abonné à la mite dans la caverne ! ». Prenez en considération que mon travail, extrêmement chronophage est, par principe, entièrement bénévole et que je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne. Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en cliquant sur tous les trucs en bas et en me faisant un peu de pub à l’occasion. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


dimanche 15 juin 2025

Nosferatanyahu a encore soif, Macron ridicule, PPE3, Trump secoué… (15/06/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/kG_2438GglU

Bonjour !
Je serais moins surpris par la découverte d’ovaires encore intacts datés au carbone 14 dans la chambre nuptiale de l’Élysée que par la moindre réprobation occidentale du vidage constant de vessie, sans guidage préputial, de la bande à Netanyahou sur la plaisanterie qu’on appelle le droit international et qui ne sert qu’à nous faire fermer notre clapet si on a le malheur de vouloir renvoyer dans son pays un enrichisseur culturel multirécidiviste. 
 
Après avoir bombardé à peu près tous les pays autour, transformé gaza en terrain de pétanque et arraisonné dans les eaux internationales la flottille de Greta Thunberg qui, comme certaines pendules arrêtées, de temps en temps donne l’heure juste, Israël se sentant menacé par la monotonie, s’est finalement attaqué à l’Iran avec la complicité du très « pacifiste » Donald Trump qui a reconnu, dans un de ses tweets, qu’il avait sciemment endormi les Iraniens pour faciliter l’opération et au sujet duquel on entend moins ceux qui prétendaient qu’au-delà des apparences il jouait au billard à 3 bandes quadridimensionnel quantique contre Netanyahou, même si, le laisser aller jusqu’au bout de sa folie belliciste est une méthode comme une autre pour l’éliminer …au risque d’une 3e guerre mondiale. 
 
Après une opération d’infiltration en tous points similaire à celle menée en Russie par l’Ukraine (je dis ça, je dis rien), Israël a donc perpétré une attaque tous azimuts contre l’Iran, lequel comme son nom l’indique, quand il prend des coups « iran » et ce, dans un premier temps, sous forme d’un festival pyrotechnique de fin de match en finale du PSG faisant les dégâts minimums syndicaux, afin de calmer son opinion publique sans déclencher une troisième guerre mondiale que lui ne souhaite pas. 
 
Ça aurait pu en rester là, mais désireux de tirer profit de la sidération provoquée par son attaque-surprise et de la réalisation du degré phénoménal d’infiltration de traîtres à tous les niveaux de l’état et du renseignement au point que certains hauts responsables iraniens ont pu être éliminés par des missiles visant précisément leur chambre à coucher, Israël bien qu’ayant déclaré avoir atteint son objectif officiel de détruire pour longtemps les capacités du pays à se doter de l’arme nucléaire, a continué à frapper dans le but d’éliminer également les capacités de défense de l’Iran et, tant qu’à y être, confondant mollah et mollard d’essayer de faire en sorte que le régime se « crashe ». À ce moment-là seulement, l’Iran a envoyé 2 missiles hypersoniques qui ont pénétré le dôme de fer comme dans du beurre et ont commencé à provoquer des dégâts significatifs. 
 
Cela ressemble à du quitte ou double des deux côtés, car si le régime tient et que ses capacités de riposte n’ont pas été détruites, si le conflit se prolonge, face à la perspective de la fermeture du détroit d’Ormuz qui pourrait mettre à mal l’économie mondiale, les soutiens, au moins logistiques, vont affluer vers l’Iran, tandis que les USA déjà au bord de la guerre civile et dont les stocks militaires sont au plus bas ne pourront pas approvisionner Israël très longtemps.

Depuis le début, la faction au pouvoir dans l’état hébreu a le comportement d’un anus surnuméraire greffé à la colle néoprène sur un corps moyen-oriental déjà amplement pourvu, lui aussi, d’un fort indice Cambronne. Pour retarder le rejet inévitable lié à son identification, par des anticorps forcément antisémites et autres globules pourtant pas si blancs, comme étant une protubérance verruqueuse étrangère, chose en partie liée à son attitude méprisante, elle doit augmenter sans cesse les doses d’immunosuppresseurs balistiques fournis par le complexe militaro-industriel américain aux frais des électeurs du palmipède orange. 
 
Pour mémoire, ce confetti territorial de 9 millions d’individus (comparé au 99 de l’Iran), mais à métastases mondiales, disposerait, illégalement, d’au moins 100 ogives nucléaires dont il nous aurait piqué la technologie dans les années 60 grâce à la bienveillance de son tissu de binationaux plus français que vouzémoi, arsenal dont une partie serait pointée carrément sur nous dans l’esprit : « si Israël devait disparaître, le reste du monde devra le suivre ». 
 
Cet aspect éminemment sympathique ne l’empêche pas, avec l’aplomb d’une préface du Code Rousseau par Pierre Palmade, de s’arroger, sans sourciller, le rôle de victime dès que quiconque répond à ses attaques et de se considérer légitime à empêcher l’Iran (par ses propres recherches, lui) d’obtenir la même chose, allant jusqu’à bombarder des installations nucléaires civiles au mépris des conséquences (tout le monde n’ayant pas des montagnes magiques qui protègent des nuages radioactifs) soutenu dans sa croisade par son caniche états-unien à ectopie testiculaire, seul pays au monde ayant démontré qu’il était assez timbré pour utiliser la bombinette, qui plus est sur des populations 100% civiles. Si c’est ça le camp du bien, j’aurais un candidat moustachu à soumettre pour le futur prix Nobel de la paix à titre posthume.
 
Bien que n’ayant aucune sympathie (ni d’ailleurs antipathie) particulière vis-à-vis de l’Iran chiite (un poil de barbe pas rasé plus modéré que l’islam sunnite qu’on importe chez nous en masse), au vu de la paix royale qu’on fiche à la Corée du Nord, on peut comprendre ses motivations et, si l’opération échoue, auquel cas le monde apprendra, probablement dans pas longtemps, car la manœuvre a détruit toute chance d’un accord par voie diplomatique et ne peut que renforcer sa détermination, la réussite d’un essai nucléaire sur son sol, actant la fin du délire expansionniste de fanatiques religieux sionistes qui croient, au plus haut niveau de l’état, qu’une guerre mondiale est nécessaire à l’arrivée de leur Messie (mais si, mais si !) le pays de fous furieux dont, dans ce cas de figure, la réaction consécutive potentielle me fait le plus peur, n’est certainement pas la Perse. 
 
Inutile de dire que Macron dont la dernière prestation télévisée ce mardi 10 juin a oscillé entre le bide et le bidet, pulvérisée par Koh-Lanta, est à fond derrière le droit inaliénable… de l’agresseur à se défendre, toute forme de logique cartésienne étant devenue depuis longtemps transphilosophique et genderfluide, en gros : « je suis (mes maîtres), mais je ne pense pas ».

Ou alors, quand il pense, c’est pour dire que plutôt que d’apprécier, sous le vocable « PPE3 », les 300 milliards de dépenses pour l’éolien qu’il nous concocte et qui se traduiront par un nouveau doublement des prix de l’électricité d’ici à 2035, ceux qui commencent à se sentir passablement concernés par les faits divers qui explosent de façon exponentielle sont juste des lavés du cerveau et ce, le jour où une surveillante de collège a été poignardée devant les gendarmes par un QUENTIN dont on attend toujours les autres prénoms et le patronyme, comme JUSTIN pas vraiment BRIDOU, l’assassin de Lorène à Nantes. 
 
C’est d’ailleurs le seul cas de figure dans lequel les médias insistent sur les prénoms que d’ordinaire ils sont prompts à changer soi-disant pour protéger les mineurs, se gardant de pousser plus loin leurs investigations faisant qu’au lieu de voir la source des problèmes (indépendamment des cas individuels) dans l’incompatibilité DE GROUPE de l’immigration non européenne avec notre consensus social et dans l’influence du multiculturalisme sur des jeunes, y compris de souche, qui privés de repères dans une société de plus en plus vaginocratique, s’identifient à la culture en apparence la plus virile, dans une impunité quasi totale, on a un Bayrou qui propose d’interdire la vente de couteaux aux mineurs comme d’autres voulaient élargir les trottoirs pour lutter contre les viols, plus personne n’osant encore proposer un numéro vert. 
 
Face à ce refus de regarder en face les problèmes et de remonter jusqu’aux causes, certains commencent à se faire justice eux-mêmes, phénomène qui ne peut que s’intensifier en un combat horizontal, sinon inutile, au moins prématuré, sans décapitation verticale préalable, de certaines têtes (au figuré s’entend), la fermeture du robinet et la mise hors d’état de nuire de tous ceux qui prennent un malin plaisir à l’ouvrir devant précéder l’écopage, l’épongeage et la finition à la serpillière.

Quand, comme en Irlande, il subsiste encore, dans les banlieues, des communautés a majorité blanche laissées pour compte par la désindustrialisation, le viol de jeunes filles par 2 Tziganes est encore capable, comme ces derniers jours, de provoquer des réactions collectives épidermiques qui changent des petits nounours et des bougies tricolores d’un peuple français individualisé, mais qui sont lourdement réprimées par les élites en place lesquelles ne se cachent même plus d’être là pour détruire le substrat humain d’origine pour le compte de quelque mystérieux pronom interrogatif et justement pour éviter ce genre de résistance collective. 
 
Des manifestants qui, eux, au moins, n’ont pas besoin d’être payés 50 dollars par jour comme en Californie, les démocrates, sentant la baudruche Trump se dégonfler, essayant par tous les moyens d’enfoncer le clou en mettant le feu partout au prétexte d’arrestations homéopathiques, pour la galerie, d’illégaux mexicains alors que ledit Trump lui-même vante la nécessité de faire des exceptions pour les travailleurs agricoles et de l’hôtellerie qu’il vient d’amnistier en masse, business is business. Ceci dit, lesdits démocrates jouent avec le feu, inconscients du fait que certains états étant déjà à majorité mexicaine, il suffirait d’un référendum pour que le Mexique retrouve ses frontières de 1821 sans envoyer un seul soldat, actant le début d’une dislocation complète des États-Unis qui ne survivraient pas longtemps à la fin du rêve américain.

dimanche 8 juin 2025

Porno bloqué en France, Radars de l’enfer, Adieu fringues à petit prix, Musk énervé… (08/06/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/myaVStPtiA4

Bonjour !

Par je ne sais quelle gymnastique ou classe de Zumba intellectuelle, les crétins à rames qui nous gouvernent, pour ne pas dire « bêtes à rames » s’agissant de Bayrou, ont trouvé pertinent, en plein Aïd ovinophobe, de se réunir en brochette halal autour de lui, ce vendredi 6 juin dans le cadre d’une nouvelle usine à gaz mécaniquement antisémite, même si climatiquement neutre, répondant au doux nom de « Comité Interministériel des villes », pour annoncer encore plus d’argent versé dans le tonneau des danaïdes des quartiers ethniques (dit « populaires » en novlangue). Il convient en effet de consolider les résultats d’années d’aides sociales et de construction d’infrastructures aussi inflammables qu’éphémères qui ont culminé la semaine dernière en une apothéose footballistique bon enfant (si l’on en croit des médias français peu prolixes sur les détails) selon le concept du vivre ensemble et du mourir séparé avec un bilan provisoire de 2 morts, un policier dans un état critique, 200 blessés dont des sapeurs-pompiers, 700 incendies dont 264 véhicules, un nombre encore indéterminé de magasins et de domiciles pillés et une hypertrophie linguale de Bruno Retailleau. 

Certains, aussi tendus sur le sujet qu’un string de Brigitte Macron pendant une gay Pride, préfèrent oublier ces menus incidents pour focaliser sur le véritable danger qui menace la république : l’assassinat, pour des raisons restant à élucider, mais forcément racistes, d’un coiffeur tunisien, par un individu exceptionnellement « non déséquilibré » dont, pour une fois, la presse dévoile : le prénom, le patronyme, le numéro de sécurité sociale, les activités sportives, la couleur du slip, l’arbre généalogique sur 10 générations et la teinte colorimétrique, arguant que « l’extrême droite tue ». Par pudeur, elle oublie de terminer la phrase par, au cas particulier : « des musulmans » devenus synonymes « d’Arabes » terme impropre (au sens figuré) désignant en fait les Maghrébins (toujours en novlangue). Une omission qui, même si c’était vrai (alors que le pourcentage est, statistiquement, anecdotique comparé à la réciproque) est d’autant plus grave par les temps qui courent qu’elle est de nature à influer substantiellement sur le nombre de cacahuètes que certains sont susceptibles d’ingurgiter en écoutant les infos et donc sur le PIB.
 
Sauf à être un gros bourrin, ce que l’on ne peut jamais exclure, la thèse de l’assassinat d’un « rayon de soleil » (dixit la presse, « ange » étant déjà une marque déposée) a priori sans problème, qui, de surcroît, travaillait, et ce, purement par racisme viscéral, semble tirée par les cheveux, encore plus si la victime était un coiffeur… célibataire à chat, ce qui, sans vouloir tomber dans les clichés, ouvre d’autres perspectives.
 
Toujours est-il que, pour financer ceux qui, contrairement à ladite malheureuse victime, attendent, eux, passivement, sans précipitation excessive, d’être sollicités pour payer nos retraites, du fait que les leviers traditionnels contre l’immigration non européenne de masse ont été introduits ailleurs sans lubrifiant et qu’une lecture raciale globale des problèmes est taboue y compris pour la pseudo-droite, l’état, en faillite, grappille où il le peut, les choix restants relevant du cornélien, un peu comme un hindou dont les options de réincarnation se limiteraient à pédophile, cuvette de WC ou conducteur de voiture radar, saloperie infâme dont le nombre va tripler d’ici à la fin de l’année allant de pair avec, grâce à l’IA, la détection de nouvelles infractions comme le non-respect des distances de sécurité, des zones de covoiturage, le franchissement de lignes blanches non poudreuses, et bien sûr, le téléphone ou le non-port de la ceinture, avec, à chaque fois, 3 points en moins et 135€ d’amendes cumulables. 
 
Les fellations au volant ou les retouches maquillage ne sont pas mentionnées, le concept échappant encore à ChatGPT qui est une véritable intelligence artificielle, pas comme Builder.AI, la start-up valorisée à plus d’un milliard de dollars, volatilisée cette semaine après avoir escroqué le marché et Microsoft avec son IA révolutionnaire de programmation consistant en fait en 700 codeurs indiens en mode turban plutôt que turbo, payés avec une fronde, dans un hangar, du fait d’une option de réincarnation à peine meilleure que les trois précédemment citées.

Autre façon de taxer les pauvres, qui ne peuvent déjà plus rouler avec les ZFE que Macron, comme je l’avais annoncé, veut réintroduire en faisant casser le vote par le Conseil constitutionnel, qui ne peuvent plus se loger grâce au DPE dont la Cour des comptes vient de dénoncer les effets désastreux : ils ne pourront désormais plus s’habiller, le Sénat votant ce 10 juin sur la loi anti « fast fashion », c’est-à-dire les vêtements encore abordables (si on a pu acheter ses nouilles en promotion) envoyés directement de Chine par Shein et consorts et qui font une concurrence déloyale aux enseignes françaises… qui se fournissent certes au même endroit, mais en faisant jusqu’à 10 fois la culbute entre le prix d’achat « bridé » (s’agissant de la Chine) et le prix débridé proposé au consommateur final, sur lequel l’état touche sa part juteuse de TVA.

C’est aussi la fin du porno, ce qui ne serait pas, en soi, une mauvaise chose si les sites, plutôt que d’ouvrir la boîte de pandore d’une vérification techniquement débile et supposément anonyme, par un tiers, de l’identité des mineurs avant connexion, rendue obligatoire le 6 juin, n’avaient pas préféré renoncer carrément au marché français, provoquant une explosion prévisible de la vente de VPN, véritable cible des politiques et outil de réinformation de nombreux dissidents qu’ils auront beau jeu d’interdire, dans une deuxième phase, une fois le consentement populaire acquis, au prétexte de la défense desdits mineurs qu’en même temps ils gavent de propagande LGBT dès la maternelle, preuve que ce n’est pas du tout leur motivation, pas plus que les restrictions de liberté diverses, vendues au nom de la lutte contre une pédophilie, qui, bizarrement, n’a jamais été aussi florissante.

Loin de s’arrêter sur sa lancée, avec le sens des priorités qu’on lui connaît, notre docte assemblée nationale vient également de voter à l’unanimité (sauf abstention du Modem) la promotion d’Alfred Dreyfus (avant lequel la France ne s’était jamais excusée de rien et début symbolique de notre soumission anale collective) au rang de général de brigade (« de division » aurait été plus parlant) à titre posthume, probablement dans l’idée qu’il conduise une brigade de walking dead circoncis contre les troupes russes dans le cadre du conflit ukrainien lequel semble escalader rapidement après l’exploit technique de Zelensky qui a détruit, le premier juin, avec des drones planqués sous le toit de chalets en bois montés sur des camions, une quarantaine d’avions russes dans quatre aérodromes militaires stratégiques répartis aux quatre coins de la Russie, sans, cela va de soi, aucune aide du MI6 et de la CIA, conduisant à une riposte vexée poutinienne, chars en tête, sur l’ensemble du territoire ukrainien et renvoyant tout processus de paix aux calendes sodomites, ce qui arrange pas mal de monde. 
 
Outre Dreyfus que, tant qu’une nouvelle loi (qui ne saurait tarder) ne m’y obligera pas, pour un certain nombre de raisons qui justifieraient une vidéo entière, je considère toujours comme potentiellement coupable, il faudra probablement, à terme, si une débâcle n’intervient pas entre-temps, envoyer des troupes vivantes tricolores, non plus bleu, blanc, rouge, mais black, blanc, beur, nouvelles couleurs de la France, sachant qu’une annonce de mobilisation générale aurait potentiellement l’avantage de rendre plus calmes les futures victoires du PSG, de nombreux supporters, bien que faisant allégeance patriotique à la CAF, étant susceptibles, si l’on en croit les micros-trottoirs visibles sur les réseaux, de soudain éprouver une irrépressible nostalgie pour leur pays d’origine. À leur décharge, qui a envie de mourir pour Macron et ses commanditaires.

Prudent, Trump, lui, semble se retirer du merdier, occupé à vendre sur le bon coin sa Tesla, en représailles aux tweets assassins de Musk pas d’accord avec un budget qui a tout d’un pillage en règle et qui, comme je l’avais dit depuis le début, déclare que la raison de la non-diffusion complète des dossiers Epstein est que Trump est dedans ce que, certes, on savait déjà, mais par forcément jusqu’à quelle profondeur. Vu la taille de ses mains, je dirais, pas plus de 12cm. Je pense qu’on pourra également attendre longtemps l’audit de fort Knox. Sauf à y voir une manœuvre concertée pour essayer de sauver Tesla en retour d’ascenseur, devant l’escalade des noms d’oiseaux, la rupture semble consommée entre les deux hommes et certains sites « complotistes » américains qui portaient Trump au pinacle sont en train de retourner progressivement leur veste tandis que d’autres, au contraire, vouent Musk aux gémonies et que, d’une manière générale, le prix des œufs se cumulant à une hausse de 25% de celui des véhicules, conséquence du bluff manqué face à la Chine, sans évolution miraculeuse, à ce stade, les mid-terms risquent de ressembler aux toilettes de Gérard Larcher après une gastroentérite. Au temps (là encore, je me répète et je le déplore) pour ceux qui croient qu’un changement vertueux non violent est encore possible, que ce soit ici ou là-bas, et a fortiori par les urnes.


dimanche 1 juin 2025

Émeutes footbalistiques, Des gnons pour Macron, l’entourloupe ZFE, Lapix euthanasiée… (01/06/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/MjWeEzppqzE

Bonjour !

Le point commun entre la boxe et le foot c’est que ça se termine souvent en « chaos », enrichissement culturel oblige, Macron ayant salué la victoire du PSG en adressant à la population un brin « emeutive » qui cramait tout sur son passage un enthousiaste « Champion, mon frère ! » gardant probablement le « wesh ! » en réserve pour un prochain tweet. À ce « stade », et je ne parle plus de foot, se moquer de Macron c’est comme essayer de mouiller de l’eau ou déposer une chiure de mouche sur une bouse de vache dans une fosse septique, la simple narration des faits dépassant déjà toutes les limites du ridicule.
 
Après l’épisode du mouchoir qui a fait le tour du monde, on a eu droit au tirage de doigt prolongé par Erdogan qui attendait probablement qu’il fasse « prout ! », Tirana, lieu de la rencontre, n’étant pas une Zone à Faible Emission, les fameuses ZFE que les députés des fausses oppositions, se donnant le beau rôle à peu de frais, ont fait semblant de supprimer cette semaine, profitant du vote d’un texte qui n’a rien à voir, tout en sachant que ce procédé que l’on appelle « cavalier législatif » dans le Kamasutra politique, condamne leur amendement (qui par ailleurs va à l’encontre des diktats de l’Union européenne et expose la France à de lourdes amendes) à être traité par le Conseil constitutionnel comme un étron de Gérard Larcher après une soirée cassoulet aux truffes. 
 
Comme jamais deux sans trois, le clown grâce auquel (après que le PIB par habitant italien a dépassé le nôtre) nous sommes relégués officiellement au rang de 10e puissance mondiale, s’est pris un pain en mondovision au Vietnam, évènement derrière lequel l’Élysée a d’abord vu l’IA puis la main de Moscou, alors que c’était clairement celle de Brigitte. Une Brigitte qui selon la presse anglo-saxonne, laquelle a fait appel à des spécialistes de la lecture labiale, lui a alors lâché, en refusant son bras à la sortie de l’avion : « Dégage, espèce de loser ! ». Fin du voyage donc, ou du « travel » pour rester dans les anglicismes, d’autant qu’en avion c’est un « travel » haut. 
 
Pendant ce temps, l’autre ahuri est resté figé comme une Lapix dans la lumière des phares, laquelle furieuse de se faire virer du 20h en chute libre d’Antenne 2, a complètement pété les plombs et a tout commenté en chansons, ce que, personnellement, je vois comme une allusion pernicieuse à Delphine « airs » « notes », la pourfendeuse d’hommes blancs de plus de 50 ans dans le service audiovisuel public, qui vient apparemment d’étendre le concept aux femmes en omettant, errare humanum est, de s’inclure dans la charrette.

En tous les cas, Macron est visiblement un homme battu que sa souffrance rend éligible aux avantages de la nouvelle loi sur l’euthanasie, votée en première lecture ce 27 mai, laquelle me devient, d’un coup, beaucoup plus sympathique étant moi-même un partisan de l’euthanasie ciblée, par guillotine. J’ai toutefois des réserves, principalement liées à ce que, factuellement, tout comme l’avortement, promu par la doublement élue Simone Veil qui, à elle seule, avec la force de succion d’une Aurore Bergé en errance politique, a créé exponentiellement le trou rectal démographique dans lequel s’est engouffrée l’immigration de masse, elle vise mathématiquement les autochtones que ce soit les vieux, majoritairement carencés en mélanine ou les déprimés tout aussi décolorés. Un état auquel prédispose, en effet, l’absence de spiritualité, conséquence de la laïcité en suppositoire à laquelle l’islam, le judaïsme et le catholicisme importé sont imperméables et sans bénéficier de surcroît de cette incapacité des simples d’esprit (qui vivent dans le brouillard du présent dans lequel les conséquences de leurs actes n’existent pas encore) à se projeter dans l’avenir, au demeurant toujours plus sombre.
 
Une angoisse existentielle qui est peut-être ce qui a conduit Joachim Son-Forget, ex-député renaissance, à changer de sexe, puis à pénétrer indûment à l’assemblée le 25 mai, pour voler les robes d’une députée de son ancien parti. Peu de dépressifs en revanche dans les rangs des criminels qui poussent comme des champignons dans un vagin d’instagrammeuse tatouée, tel le meurtrier afghan du jeune Matisse (que tout le monde a déjà oublié) condamné cette semaine à 8 ans de prison dont il fera, au mieux, la moitié et que, grâce à un Badinter à prépuce incidemment évanescent, il n’est plus possible d’éliminer. Il est vrai que sans peuple autochtone gênant, qualifié de « fin de race » par un Mathieu Kassovitz dont je me demande s’il n’aurait pas un léger point commun coïncident qui m’échappe avec les deux panthéonisés sus-cités ainsi qu’avec le créateur de la pilule abortive, le professeur Etienne-Emile Baulieu (né Blum) décédé ce 31 mai, plus de nationalisme et donc moins de peur phobique paranoïaque d’un hypothétique sursaut à fort indice carbone de l’organisme collectif en réaction à des corps étrangers toujours inassimilés après 2000 ans de présence revendiquée. Mais je « digresse », à l’instar de nos racines civilisationnelles qui sont antérieures à la laïcité, au catholicisme et à l’Ancien Testament.

Si je laisse mon humanité au vestiaire, je peux rationnellement comprendre la motivation économique sous-jacente à supprimer en masse des retraités grabataires surnuméraires coûteux pour assurer l’avenir de la jeunesse qui devrait être la préoccupation première de toute société saine, à commencer par le Conseil constitutionnel. Pour autant, si l’argent économisé est simplement jeté dans le puits sans fond de la dette et les poches de la finance internationale afin de pouvoir continuer à emprunter pour verser des aides sociales au flot continu qui se déverse principalement du continent africain, mais pas que, à subventionner les multinationales, à mener grand train et à arroser les copains façon vespasienne à la fête de la bière c’est un peu comme donner volontairement un rein pour en faire de l’engrais organique pour rhododendron. 
 
Par ailleurs, il est à craindre, une fois le nez dans la porte, que la logique économique ne s’arrête pas aux grabataires et aux agonisants incurables, mais s’étende à l’ensemble des « improductifs » réfractaires, suivant la même pente savonneuse, surtout lorsque la savonnette choit, que la dépénalisation de l’homosexualité, projet soutenu incidemment encore par le même Badinter et tout aussi incidemment présenté par Gisèle Halimi à l’époque et qui, craché juré, ne valait pas reconnaissance sociale. Il a pourtant été suivi par le PACS qui, craché, juré, ne serait pas suivi du mariage entre personnes du même sexe, qui craché juré, ne permettrait pas l’adoption, ni la PMA, ni la GPA, la théorie du genre, l’interdiction de décourager la pratique, le LGBT et finalement la pénétration de l’idéologie et plus si affinités, en milieu scolaire… et on peut multiplier les exemples. 
 
Pour autant, se draper derrière la dignité humaine pour s’opposer, par principe, à l’aide à mourir sans avoir assisté de manière répétée au spectacle de ces rangées de légumes baveux contorsionnés, au regard éteint, alignés comme des plantes vertes dans les maisons de retraite et oubliés, sauf par les mouches, devant un téléviseur symbolique inaudible et ne pas avoir eu à subir la vision d’un être cher retrouvé nu au milieu de ses excréments dont il avait consommé une partie et qui, dans un furtif éclair de lucidité, vous supplie de le tuer, me semble un peu léger, pour ne pas dire hypocrite, tout en occultant l’essentiel. Un essentiel qui se résume avant tout à savoir si on peut faire confiance, alors qu’on vient de fêter les 20 ans de la trahison référendaire de 2005, à la « république » et son assemblée de branquignols pour décider qui doit mourir ou non et je pense que sur ce point-là au moins, nous serons nombreux à tomber d’accord.

Il y a assez de disputes comme cela en ce bas monde, car outre le tandem Macron / Brigitte, Trump s’est fâché avec Poutine en réalisant que, comme pourtant clairement annoncé depuis le début des hostilités, celui-ci, légèrement indisposé après 2 tentatives d’assassinat qui expliquent les représailles massives de ces derniers jours, ne fera pas la paix tant que tout risque futur d’une réactivation de l’Ukraine par l’OTAN ne sera pas écarté, ce qui suppose ce que cela suppose pour qui comprend le russe même traduit en français.

Comme si cela ne suffisait pas, voilà que, comme dans l’album éponyme d’Astérix, la « zizanie » s’installe quand le Barde est là au RN et que, passant de Dalida à Tino Rossi, Marinella aussi, laquelle préfère risquer un an et demi d’incertitude judiciaire capable d’impacter les chances de son parti plutôt que de laisser la place. Une querelle sur fond de compétence géographique sur les territoires ultra-marins qui semblent les passionner davantage que le péquin moyen de France métropolitaine à qui l’état, à défaut de gérer le « sentiment » d’insécurité, va désormais interdire de fumer sur les plages « bordant des eaux de baignade ». Il faudra donc fumer dans les eaux de baignade bordant les plages bordant des eaux de baignade ou en pédalo pour éviter les 135€ d’amende.