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dimanche 16 février 2025

LOUISE l’analyse INTERDITE sans laquelle ça va recommencer (16/02/2025)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/tFtgP13shAQ

Bonjour !

Avec un sens du sacrifice gratuit que seul pourrait comprendre un spermatozoïde qui, par quelque mystérieux concours de circonstances (n’ayant rien à voir avec notre première dame), se retrouverait inexplicablement collé sur le gros intestin d’Emmanuel Macron, je me dois de faire l’analyse que personne n’ose faire concernant la transformation artisanale de la petite Louise en steak haché et ce, que ce soit la « droite », tétanisée de s’être fourvoyée quant à l’identité du déchet humain responsable, ou pire, la « gauche », soulagée et en semi-érection, qui parle plus dudit fourvoiement que du drame lui-même. Il est clair, en effet, que face à tant d’atrocité gratuite, nous sommes passés à deux doigts de la goutte de thé à la menthe qui aurait pu faire déborder le vase de Soissons du fameux « sentiment » de submersion migratoire. 

Pourtant, si on se sort les 2 doigts en question de là où je pense et que l’on dépasse l’analyse purement raciste des deux camps, focalisés sur la couleur de peau de l’assassin, à l’instar (un clou ou un couteau chassant l’autre) de tous les noms déjà oubliés sur l’interminable liste des gamins tués pour rien, dont hélas, Elias, l’avant-dernier en date, pudiquement décrit par les médias comme ayant été « poignardé » alors qu’il a été massacré à la machette et pour lequel il n’a pas été jugé opportun, par ceux qui aiment exciter les foules, de parler d’antisémitisme du fait que les assassins n’étaient ni blancs, ni Arabes, on se rend compte que le meurtre de Louise, bien que perpétré par un blanc, est bien, lui aussi, un pur produit de l’immigration de masse non européenne.

Contrairement à Elon Musk qui ne fait aucun tri dans sa mission d’enfanter à lui seul une équipe de rugby, plus les remplaçants, avec ce coup-ci, un bébé a prépuce escamotable conçu avec une damoiselle au nez refait déjà maman célibataire et connue pour ses vidéos explicites où elle partageait, entre autres, son désir de se faire bourriquer par un grand black baptisé Tyrone, BFM est plus sélective. Dans son résumé de l’affaire Louise, elle ne retient dudit perpétrateur que l’addiction aux jeux vidéo, un peu comme Macron cherchant à expliquer les émeutes, imputables, en outre, comme chacun sait, à l’ennui et au réchauffement climatique. Un Macron qui n’a pas dit un mot sur Louise préférant poster une compilation de mèmes générés par intelligence artificielle se foutant allègrement de sa gueule sans arriver toutefois à surpasser la réalité. 
 
Certes les jeux vidéo sont un gaspillage de temps de cerveau disponible, mais comparés au fait de rester scotché devant BFM, font au moins travailler les réflexes et secouent quelques neurones. En revanche on ne parle plus du fait que le fameux Owen, qui contrairement à la chanson éponyme « Owen the saints » n’en était pas un, fréquentait des bandes ethniques et se mettait en scène dans des vidéos débiles parlant le même sabir simiesque qui perdrait tout sens à l’écrit sans les grimaces et la gestuelle. Un mimétisme poussé jusque dans la tenue vestimentaire et le comportement : incapacité à refréner ses accès de colère et à réfléchir avant aux conséquences possibles de ses actes, déjà connu des services de police, toujours un couteau dans la poche et ayant même déclaré, au cas particulier, avoir voulu « racketter quelqu’un pour se calmer ». Il s’est tellement identifié à de la racaille ethnique que son attitude générale a conduit les enquêteurs, après visionnage des images de vidéosurveillance, à d’abord placer en garde à vue un petit délinquant d’origine maghrébine avec lequel ils l’on carrément confondu. Comme dit le proverbe : « si ça ressemble à un canard et que ça fait coin-coin, ce n’est pas une Première dame ». Peu importe donc qu’il s’appelle Owen, c’est bien une « racaille » mentale pour ne pas employer d’autre mot sachant qu’on ne peut plus appeler un chatGPT un chatGPT. 

Après qu’un traducteur afghan hurlant « Allah Akbar » s’est homophobiquement trompé de pédale et a foncé en voiture dans une manifestation de gauchistes qui réclamaient des jours de congés supplémentaires et dont les survivants, incurables, ont remanifesté le lendemain contre la « récupération » du massacre par l’extrême droite, au moment où, d’un côté J.D. Vance rappelle, à Munich, lieu du drame, que personne n’a jamais été consulté électoralement pour approuver l’immigration de masse et où, de l’autre, l’infect Mélenchon (millionnaire parasite qui n’a jamais tenu un vrai marteau ou une vraie faucille, pas plus qu’une vraie truelle et qui n’est maçon qu’au grand Orient dont le nom même méprise l’occident) met du beurre dans ses épinards et de la beurette dans son plumard en vendant la « créolisation » inéluctable des campagnes françaises, la question qui fâche est de savoir pourquoi ledit Owen s’est assimilé à une engeance qui, elle, non seulement a refusé de faire de même, mais semble en être organiquement incapable.

Est-ce qu’il n’aurait pas évolué différemment sans cette immigration de masse, déjà majoritaire dans de nombreux établissements scolaires, qui fait que des jeunes européens se sentent menacés au point de tenter de s’intégrer aux groupes les plus violents par instinct de survie et, qu’inconscients du ridicule, notamment quand ils rappent, essaient d’être plus allogènes que les allogènes pour tenter de faire oublier qu’ils sont blonds aux yeux bleus et donc les plus susceptibles d’être ciblés ? 

Il est donc plus que probable que sans cette influence la petite Louise serait encore vivante, d’autant que si les prisons n’étaient pas pleines avec des gens qui n’ont rien à faire chez nous, on pourrait y enfermer nos criminels pour toute la durée de leur peine et que disparaîtrait ce sentiment d’impunité délétère conséquence de ce trop-plein qui, autant que l’idéologie, explique le laxisme judiciaire. Il en résulte que si, collectivement, nous ne réalisons pas que l’immigration de masse de populations non européennes est la menace la plus grave qu’encourt notre société et que la gangrène est tellement avancée que simplement l’arrêter, ce que l’on ne fait même pas, ne sera pas suffisant et qu’il faudra sortir la scie, alors effectivement, Mélenchon aura raison et le fait que (tandis que lui vit, faut pas pousser non plus, loin des secteurs « créolisés ») ses fidèles seront les premiers à se faire égorger, ne consolera personne.

Il en va donc de la responsabilité des parents, plutôt que l’oxymore du « vivre-ensemble », d’augmenter les chances de survie de leurs enfants en leur inculquant une méfiance salutaire et de commencer à se regrouper entre eux, car de même que, quand on tend un micro à un Juif, la probabilité qu’il parle de l’holocauste est exponentielle en fonction du temps passé, qu’un Algérien parlera inévitablement de la colonisation et un noir de l’esclavage, tous les peuples de la terre ont une conscience ethnique ou raciale, parfois renforcée par un esprit de revanche, conscience qu’on a arrachée aux seuls occidentaux à force de lavage de cerveau droit-de-l’hommiste et de catholicisme dévoyé. 
 
Bien sûr qu’au niveau individuel certaines personnes sont bien intégrées et que l’idée n’est pas de les rejeter, mais simplement d’admettre, à partir du moment où elles ne sont pas assimilables comme pouvait l’être l’immigration européenne, qu’elles subissent toutes, indépendamment de leur parfois bonne volonté, une dynamique de groupe qui fera que leurs enfants ou petits-enfants, voire elles-mêmes, finiront happés par la force d’attraction de leurs communautés respectives si on laisse ces dernières atteindre une masse critique ; et si vous pensez que, dépassé un certain rapport de force, on ne va pas se faire massacrer comme des lapins ou des Boers en Afrique du Sud, réfléchissez à nouveau. Cela arrive déjà tous les jours sous nos yeux. La seule chose qui nous sauve encore c’est que, dans le nouveau Far Oued, certains sont, pour l’instant, occupés à se massacrer entre eux au fusil automatique, voire récemment à la grenade, faisant qu’on attend une version dédicacée de Clara Luciani pour le maire écolo anti-police de Grenoble particulièrement ouvert à l’autre : « dans ton cul la grenade... » 

La liberté d’expression d’opinions étant un absolu qui ne souffre aucune exception, nous en sommes malheureusement au stade où, dans le prolongement logique de la première entorse sous forme d’interdiction de blasphème sur la Shoah, par extension, on ne peut plus blasphémer sur rien de sorte que si vous êtres pris d’une envie pressante en pleine cambrousse et que vous n’avez qu’un coran à portée de la main, quelle que soit l’option que vous choisirez vous serez dans la merde. Le plus triste est qu’il se trouvera des gens pour trouver ça normal, oubliant qu’ils ont été Charlie, les mêmes qui ont trouvé normal de porter des masques et de se faire vacciner avec un machin expérimental, tout ça parce qu’au lieu des solidarités traditionnelles on a délégué le pouvoir d’information, de décision et le monopole de la violence à l’état qui, en république, n’a jamais représenté le peuple.

Un état qui nous enfonce, sachant que si on nomme Ferrand au Conseil constitutionnel, on est sûrs de se Ferrand… mais je m’égare. Par ailleurs la Cour des comptes nous apprend que les financements alloués aux associations chargées de l’accompagnement des réfugiés et demandeurs d’asile ont fortement augmenté parce que pour ça, de l’argent on en trouve. Par exemple, les crédits de la mission « Immigration, asile et intégration » ont progressé de 23 % entre 2019 et 2023, pour atteindre 2,3 milliards, tandis que les subventions aux associations ont bondi de 52 %, dépassant 1,1 milliard. Je vous épargne la liste du reste.

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dimanche 9 février 2025

VOUS LAVEZ TROP VOS SLIPS, Louise, Jack Lang, grand ménage US et autres news (09/02/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/5WvsMj-Imt8


 Bonjour !
Tout le monde connaît la blague de la jeune femme qui étend 7 petites culottes étiquetées « lundi, mardi, mercredi… » et du vieux monsieur dans le jardin mitoyen qui fait de même avec ses slips sur lesquels est inscrit : « janvier, février… ». Eh bien, si l’on en croit les conclusions de l’agence de la transition écologique, de son petit nom l’ADEME (au cerveau apparemment) effectivement, on lave trop nos oripeaux, ce qui rivalise avec les vaches qui pètent en matière de destruction de la planète. 
 
N’osant pas encore aller jusqu’à nous recommander de boire nos urines pour économiser cette eau précieuse dont on a besoin dans le désert pour laver les panneaux solaires (écologie oblige), le rapport suggère qu’un soutien-gorge pourrait être porté 7 fois, un vêtement de sport 3, un pull 15 et un jean 30, par exemple. Il est vrai qu’avec le thermostat à 13° dans les appartements, préconisé par la même engeance, on transpire moins qu’avant. 
 
Des conseils avisés donc, qui ne nous coûtent que 4 petits milliards si l’on s’en réfère au budget de cette entité, elle-même une goutte d’eau dans les 80 milliards que l’état verse annuellement à quelques 1200 agences gouvernementales qui selon le précepte immortalisé par Coluche : « dites-moi de quoi vous avez besoin et je vous expliquerai comment vous en passer » réfléchissent au meilleur moyen de nous emmerder, parfois, comme ici, littéralement. Une préconisation frisant l’homophobie envers ceux, notamment dans les hautes sphères, qui, faute de n’avoir pas que le vent en poupe, cultivent une grande élasticité rectale qui pourrait mal s’accommoder d’une réutilisation trop poussée de leurs sous-vêtements. Un peu de décence slip vous plaît ! 
 
Sachant qu’en Picardie des gens sont désormais payés pour fouiller les sacs poubelles dans le but de verbaliser ceux qui y auraient oublié une peau de banane, je pensais que « policier d’ordures » (et non pas le contraire) était le niveau hiérarchique le plus bas jusqu’auquel on pouvait descendre pour satisfaire la dictature escrologiste, mais il est fort probable qu’en ce moment même quelque fonctionnaire soit en train de rédiger un projet de grille indiciaire en vue d’un potentiel recrutement de « renifleurs de slips » : renifleur de seconde classe, de première classe, renifleur principal, voire renifleur divisionnaire en fin de carrière, ce qui fait son petit effet sur une carte de visite.

Autant dire que dans un pays où l’on considère comme acquis que tout problème peut être résolu par une loi ou une taxe supplémentaire, y compris ceux qui sont liés à trop de taxes et trop de lois, les agences Théodule ont encore de beaux jours devant elles, une nouvelle venant même d’être crée en catastrophe pour « réguler l’intelligence artificielle » laquelle pourrait toutes les remplacer gratuitement d’où l’urgence. Si l’on rajoute à la problématique un cheptel surnuméraire de 600 000 élus qui n’ont aucune obligation de résultat (mais des clientèles à satisfaire) et 6 millions de fonctionnaires dont une moitié est payée pour empêcher l’autre de travailler correctement, il en découle un budget (non censuré par le RN et qui permet à Macron de se maintenir) non seulement sans la moindre baisse de dépenses publiques, mais en augmentation de 41 milliards, perruques et faux seins inclus. 
 
Comme il faut bien trouver des sous quelque part, après avoir baissé puis remonté, face à la bronca, le seuil de TVA pour les autoentrepreneurs (manœuvre qui aurait, selon lui, échappé à la sagacité de Bayrou, pas au courant non plus de la centaine de plaintes pour pédophilie déposées à l’encontre de l’établissement où ses enfants étaient scolarisés et que, selon Médiapart, il aurait étouffées à l’insu de son plein gré) on a concédé aux socialistes une taxation de 37% sur les bénéfices des grandes entreprises, soit, cocorico, le taux le plus élevé du monde, faisant que même le très modéré Bernard Arnault a haussé le (Vuit)ton. 
 
Ce n’est certes pas sur lui que je vais gaspiller mes Kleenex, surtout que le CAC40 et le Medef ont soutenu Macron et, par leur appétit migratoire court-termiste, ont creusé eux-mêmes le trou dans lequel ils risquent de tomber, mais il faut garder à l’esprit que contrairement aux parasites divers qui se nourrissent sur la bête sans rien apporter, lui se gave sur des richesses qu’il crée et que, comme d’autres avant lui, il pourrait aller les créer ailleurs. 
 
Surtout quand un Milei, par exemple, à coups de tronçonneuse à pédale, est passé en un an d’un déficit annuel comparable à celui de la France à un excédent, tout en jugulant l’inflation tandis que TRUMP envisage carrément de supprimer l’impôt sur le revenu pour les Américains et enclenche le mode supersonique sur les gaspillages et l’immigration, peut-être en échange d’être passé en mode supersionique sur le reste. Déjà 100 milliards de gabegies et détournements épinglés par MUSK en ce qui concerne l’USAID, gros robinet à pognon pour ONG toxiques et journaux de propagande en semi-faillite et encore 140 milliards relatifs au système de santé donc minimum 240 millions consacrés à des expériences de changement de genre sur des animaux. 
 
Par comparaison, confronté à un déficit prévisionnel de 23 milliards d’euros en 2025 pour une Sécurité Sociale qui fait honte à ses initiales en se laissant littéralement piller par l’immigration de masse, la réponse de notre gouvernement consiste à réactiver la taxe lapin. 

Hors quelques opérations de prédation sur les firmes existantes (le temps d’aspirer les subventions et primes diverses avant de tout revendre à la découpe) quel entrepreneur sain d’esprit voudrait encore s’installer dans un pays comme le nôtre ? Cela dit, il reste encore quelques niches (complémentaires qui plus est) comme l’import de migrants et leur accommodation sur le territoire ainsi que le marché en constante expansion des bougies et des petits nounours, seule réaction prévisible d’un peuple amorphe à l’addition du nom de la petite Louise à la longue liste des victimes de couteaux fous tenus du bout des doigts, avec réluctance, par des individus en souffrance, sans caractéristiques précises méritant d’être relevées, et qu’il est vital de protéger contre la stigmatisation et les récupérations de l’extrême droite.
 
Certains diront qu’un peu comme Jack Lang, bousculé ce week-end pour avoir croisé la route d’une manifestation anti-pédophilie, elle n’a juste pas eu de chance, se trouvant au mauvais endroit au mauvais moment, soit dans son cas, en France en 2025. Cette Nouvelle France dont Mélenchon, qui brandit désormais comme un étendard ses origines marocaines, rêve ouvertement pour nos campagnes dans ses derniers discours et que Retailleau qui, lui, est aux manettes et délivre les coups de tampons peu hygiéniques qui la valident, ne fait rien pour freiner, le nombre de titres de séjour ayant atteint en 2024 le chiffre record de 336 000 (hors entrées irrégulières, mineurs et étrangers européens et, bien sûr, sans compter les naissances issues de Français non assimilés en dépit de plusieurs générations de présence sur notre territoire).

Mais bon, « dance avec les stars » a fait des records d’audience donc tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

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dimanche 2 février 2025

Un « sentiment » de submersion très, très PROFOND, pour tout dire ça fait mal au… (02/02/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/DoK4lfGdgX4


Bonjour !
Entre deux épisodes de la fameuse série « si tu ne me renvoies pas l’ascenseur, je te renvoie la censure » rediffusée désormais à chaque discussion budgétaire, immédiatement rendue stérile par un 49-3 voire un 50 avec l’inflation, notre Premier ministre béarnais a fait monter la sauce éponyme en évoquant un « sentiment » de submersion non pas mi-, mais complètement « grattoire », un peu comme les morpions à propos desquels seul l’ami des moustiques Aymeric Caron pourrait dire : « à présent, qu’ils sont-là, on ne peut quand même pas les renvoyer ». 
 
On m’objectera qu’on ne saurait comparer des humains avec des insectes qui eux n’ont pas de pouces opposables à l’instar de n’importe quel … pédophile, cannibale ou génocidaire qui se respecte. Être humain est simplement une classification zoologique et certainement pas un sauf-conduit pour entrer sur notre territoire, d’autant que lesdits morpions, même d’exportation, ne sont qu’observateurs passifs en cas de viols en pleine rue par des gens qui n’ont pas les codes, et donc, objectivement, un moindre mal en comparaison de ceux, pourtant humanoïdes, qui les commettent. D’ailleurs, dans le camp de l’ouverture décomplexée et déconstipée à l’autre si affinités, ceux suffisamment « à la masse » pour ne pas avoir eu besoin d’outils pour profaner sa tombe cette semaine, ne considéraient certainement pas Jean-Marie le Pen comme un être humain, pas plus qu’ils ne considèrent comme tels les « fachos », terme englobant les gens pro « vaches qui pètent » et amateurs de diesel qui ne sont pas d’accord avec eux. 
 
Une distinction subtile entre les humains et les autres qu’on retrouve dans le vocabulaire utilisé selon qu’on évoque les « otages » israéliens, un peu empâtés avec des joues bien roses, preuve du laisser-aller de la Palestine en matière de nutrition et les centaines de « détenus démocratiques » soumis visiblement à des séances intensives d’aérobic pour éviter les problèmes cardiaques liés au surpoids, échangés par Israël, avant-garde de la civilisation. Toujours est-il qu’en matière d’immigration, un con qu’on convainc étant plus rare qu’un trou du cul cucul cucurbitin, l’abruti intégral manquant d’intégrité plébiscitera toujours l’intégriste refusant de s’intégrer. 
 
Sachant que les statistiques ethniques, contrairement à l’explication détaillée des différentes pratiques sexuelles en maternelle, sont interdites, qu’on vient d’étendre (au diable l’avarice) à tous les bébés les tests de drépanocytose et que les gens non assimilés, présents depuis plusieurs générations sur notre sol, sont considérés comme Français par l’INSEE, il en résulte que (en attendant que Candace Owens, après avoir dépeint, en apéritif, les fréquentations et références pédophiles troublantes du couple présidentiel dans son premier épisode, entre dans le lourd), comme pour le sexe d’une certaine Première dame qui a malencontreusement perdu les polaroïds de quand elle était enceinte, on en est réduits à supputer, sachant qu’en 1975, année où l’indice de fécondité est descendu en dessous du seuil de remplacement, nous étions 52 millions. 
 
Il en découle que la probabilité d’un lien de parenté avec Vercingétorix est plus que restreinte concernant la génération spontanée de la vingtaine de millions d’individus supplémentaires comptabilisée depuis, et ce, encore, a minima, car même en multipliant les OQTF par le carré de l’hypoténuse du bikini d’Aurore Bergé nul ne connaît le nombre réel des clandestins sur notre territoire. Par ailleurs, si l’on considère la proportion des mêmes dans la jeunesse, on peut raisonnablement penser qu’une fois que les boomers auront passé l’arme du même côté que leur bulletin de vote, la vente de crème solaire va considérablement chuter si on ne remigre pas massivement et qu’on ne se remet pas à faire des gosses. 
 
Comme plus on attend, plus ladite remigration, de plus en plus improbable, se heurtera à une forte résistance, il suffit aux traîtres qui nous gouvernent de faire la sourde oreille, pendant encore quelques mois, au ras le bol général, pour que soit atteint le point de non-retour au-delà duquel, par le jeu de la bascule démographique (qui s’enclenchera demain, mais se met en place aujourd’hui), nous n’aurons plus ni le nombre ni la force vitale pour, au moment crucial, exercer la pression « coup de pied au culesque » indispensable pour ne pas terminer une épopée de 2000 ans dans les chiottes de l’histoire. 
 
Non seulement il n’est pas question de remigration, y compris au RN, mais lesdits traîtres en sont encore à faire mine de s’écharper quant à savoir s’il serait éventuellement opportun d’envisager l’hypothèse d’une discussion préliminaire sur la possibilité, dans les limites du droit Européen, de la Cour Européenne des Droits de l’Homme avant ceux du citoyen et en fonction de la météo, de freiner la vague actuelle en proposant le retour en première classe par avion décarboné des seuls OQTF multirécidivistes avec accord préalable des pays d’origine. Tout le monde semble avoir oublié la méthode traditionnelle et universelle, encore appliquée ailleurs, consistant à autoriser la maréchaussée, voire l’armée, à tirer à vue sur toute personne non invitée pénétrant sur le territoire, pourtant seule façon, à ce stade, de les dissuader et de gagner le petit répit nécessaire avant la grande bascule pour faire le tri, en commençant par les criminels.
 
Mais peut-être me trompé-je, d’aucuns clamant, au contraire, que l’immigration extraeuropéenne est vitale pour l’économie nonobstant une symétrie xénophobe des courbes entre l’augmentation de l’une et la chute de l’autre, désormais en croissance négative au quatrième trimestre (-0,2 point, après -0,1 au troisième). Par ailleurs, les ingénieurs congolais étant supposés payer nos retraites, je m’étonne que, plutôt que de puiser dans le réservoir de près de 600 millions de futurs cotisants qui, rien qu’en Afrique, se déclarent ouverts à l’idée, si on le leur demande gentiment, de venir bénéficier de la CAF et de l’AME, les mêmes qui plébiscitent l’enrichissement culturel, en restent aux recettes archaïques consistant à augmenter continuellement le nombre d’annuités ou à envisager de taxer les infâmes retraités, réputés « aisés » dès 2000€ par mois, lesquels, c’est bien connu, après avoir aidé leurs enfants et petits-enfants dans la merde, utilisent le reliquat pour payer l’essence de la Ferrari crit’air 1 qu’ils garent devant leur Yacht à Saint-Tropez. 
 
Pendant ce temps, nos députés miséreux sont à la peine et viennent de restituer à d’autres retraités, à savoir les anciens Présidents et Premiers ministres, les menus avantages tels que personnel et voiture de fonction, que le Sénat, après un repas un peu trop arrosé, leur avait supprimés la semaine dernière. 

Conformément à l’adage « heureux les simples d’esprit, car le royaume des cieux est à eux », la baisse mystérieuse, totalement inexplicable, du QI moyen des Français ne nous empêche pas de ridiculiser Deepseek et ChatGPT avec, tandis que la Chine et les USA se bagarrent sur des broutilles, une IA bleu-blanc-rouge au doux nom de Lucie (mais pas Castets, elle a sa fierté) lancée par un copain de notre Président et financée par le contribuable. Une IA qui, la première, a atteint le niveau de l’intelligence humaine puisque, comme tout écolier tricolore qui se respecte, elle ne sait pas compter et répond n’importe quoi aux questions qui lui sont posées. 
 
Espérons qu’elle ne sera pas visée par le règlement européen qui, depuis le 2 février, interdit les systèmes d’IA présentant des risques « inacceptables », comprendre : « qui ne seraient pas complètement politiquement corrects ». Cela ne concerne évidemment pas le susnommé ChatGPT abondamment utilisé pour produire un flot de critiques positives pour le film, subventionné à hauteur de 10 millions d’euros par la collectivité, revisitant les 3 mousquetaires remplacés par des femmes racisées à l’accent du 93 (sans aucune intention ironique) luttant contre le patriarcat toxique de Richelieu. Des critiques qui n’ont pas pesé lourd face à la nuée de commentaires peu amènes sous la bande-annonce, et n’ont pu empêcher un public raciste et misogyne de ne pas aller le voir, « la cheffe d’œuvre » culminant à 2 masochistes par séance en moyenne et Allô Ciné, finissant de se discréditer, en supprimant la note moyenne des spectateurs.

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dimanche 26 janvier 2025

TRUMP du LARD ou du COCHON, KNAFO y était et autres news…(26/01/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/EUQ7LEyauRs

Bonjour !
« La première usine qu'il faut faire en France, c'est une usine à couilles ! », dixit celui qu’on n’appelait peut-être pas le « menhir » pour rien. Pour autant, selon Candace Owens, il n’y aurait pas de risque de pénurie à l’Élysée, Macron pouvant même, en théorie, « ça va, ça vient », être intermittemment excédentaire. Toujours est-il que la petite phrase de Jean-Marie Le Pen, qu’il aurait été bien avisé de se remémorer quand il a transmis les clés de sa boutique sans tenir compte des réalités morphologiques, retrouve, par comparaison, toute son acuité, lorsque se met « en branle » le testiculator d’outre-Atlantique, et ce, dès le premier jour de sa prise de fonction. 
 
Je ne suis pas sûr, pour autant, une fois gratouillés quelques morpions jusque-là tenaces, que sa main remonte pour toucher au cœur du problème, les milliardaires dits « américains » (sur le papier en tout cas) semblant bien partis pour devenir encore plus riches, tandis que le citoyen ordinaire devra se contenter de la liberté de twitter et de la reconnaissance, ô combien révolutionnaire, du fait qu’une société fonctionnelle ne peut s’articuler qu’autour de la complémentarité homme-femme. Au stade où l’on en est, c’est toujours bon à prendre, mais, comme pourrait en témoigner notre Première dame, elle aussi fort « couillue » (au point que Paris Match nous la dépeint en « guerrière »), même brutal, un ravalement de façade n’est qu’un ravalement de façade. 
 
Je ne pense pas que, sur le reste, l’ère Trump, par nature éphémère si on ramène l’âge du capitaine à l’indice de sa masse corporelle, sera forcément une bonne chose pour les « vassaux sans gain » pompés par un cœur états-unien qui s’emballe, ni, d’un point de vue purement américain, que le lancement d’une cryptomonnaie à son effigie et d’une autre à celle de son épouse soit un gage transcendant d’abnégation. Pas plus, d’ailleurs, que le projet « Stargate », sans autre rapport avec la célèbre série qu’un orifice circulaire à la Bruno Le Maire, suffisamment dilaté pour pouvoir engloutir à perte les 500 milliards nécessaires à renflouer Open AI et consorts lesquels, pour avoir trahi leur promesse et essayé de privatiser l’intelligence artificielle afin de se remplir les poches à outrance sur de la spéculation boursière, voient leur modèle économique totalement annihilé, du jour au lendemain, par les Chinois qui fournissent gratuitement, en open source qui plus est, un modèle plus performant pour un centième du prix de fonctionnement et qui n’a eu besoin que de 5 petits milliards pour être développé. 
 
Cela dit, à défaut d’avoir arrêté la guerre en Ukraine en 24h comme annoncé, Trump qui vient de livrer des bombes à Israël et veut « nettoyer » la bande de Gaza en déportant sa population dans des pays limitrophes (on suppose, le temps de réquisitionner le Groenland) a au moins délivré l’essentiel en graciant, dès le premier jour, les manifestants du Capitole, ce qui n’est rien moins qu’une reconnaissance du droit absolu (et même du devoir) du peuple à se révolter lorsque les circonstances l’exigent.

La déclassification des dossiers JFK, Martin Luther King et autres va certainement occuper les foules avec, cependant, des répercutions pas forcément prévisibles, car une fois le mensonge d’état devenu une constante clairement établie, voire un présupposé élémentaire, excepté pour les zones d’ombres entourant le COVID qui pourraient attendre longtemps de voir la lumière au vu du récent entretien de Trump avec Bill Gates consécutivement auquel une partie de l’entourage de Kennedy Jr. a été mise sur la touche pour être trop « antivax », on pourrait se demander pourquoi on n’arrive toujours pas, avec des supercalculateurs, à envoyer des gens sur la Lune comme à l’époque où il fallait quasiment un pâté, par définition non halal, de maisons pour héberger la puissance de calcul d’une Casio collège.
 
D’un autre côté, il est indéniable qu’il est déjà arrivé que des technologies se perdent, comme pour les pyramides électriques du Wakanda ou les polaroïds de Brigitte Macron enceinte. Contrairement au « bon chasseur » Boualem Sansal, emprisonné en Algérie au grand dam de la quasi-totalité de notre classe politique laquelle brandit avec emphase l’étendard de la liberté d’expression en soulignant que tout ce qu’il a fait est d’avoir publié des livres et commis des vidéos, le « mauvais chasseur » Vincent Reynouard qui lui va être une nouvelle fois emprisonné (en France qui plus est) et au grand satisfecit des mêmes pour avoir fait… la même chose, semble contester, honte à lui, la possibilité même d’une telle amnésie scientifique collective. 
 
Si j’ai bien compris, il nie sans la moindre vergogne le fait que nous avons pu bénéficier, un temps, d’une technologie identique à la cabine téléphonique du docteur « WHO », nom que le Général Delawarde traduirait par « QUI », plus grande à l’intérieur qu’à l’extérieur, permettant de tasser potentiellement des millions de personnes derrière une porte en bois avec vitrage certes simple, mais ultrarésistant, dont Saint-Gobain serait bien avisé de chercher à percer le mystère par rétro-ingénierie, et qu’il était même possible de les incinérer à l’aide de super cheminées à turbo compression quantique, malheureusement disparues des décombres et de la reconstruction approximative qui en a été faite par la suite par des gens de bonne volonté. Rira bien qui rira le dernier et ce n’est qu’une question de temps avant que la science ne ridiculise ses thèses d’autant plus que, comme avec Musk pour la Nasa, Israël travaille avec acharnement (et avec, pour l’instant, quelques avancées encourageantes à Gaza) à retrouver cette technologie perdue afin que l’humanité tout entière puisse en bénéficier.
 
Il est clair que tout le monde n’a pas l’ouverture d’esprit, voire plus si affinité, nécessaire pour apprécier une telle démonstration d’altruisme démocratique et que l’opération a pu provoquer une résurgence, non de l’antisémitisme (terme qui ne veut strictement rien dire si l’on considère qu’une majorité des Sémites de la planète n’est pas juive et qu’une bonne partie des Juifs n’est pas sémite – au point de se demander pourquoi on a délibérément choisi un terme aussi peu approprié), mais bien un rejet d’un particularisme qui rend les personnes visées imperméables à toute forme d’assimilation (sauf quand il s’agit d’assimiler la gestuelle d’un tiers aux heures les moins claires, que ce soit, jadis, le salut inversé hélicoïdal de Dieudonné ou la soudaine crampe d’Elon Musk cette semaine). 
 
Cela n’aura échappé à personne que les Gaulois n’existent plus en tant que tels, car ils se sont assimilés, idem pour les Gallo-romains et hormis quelque reliquat de saligoths, même chose pour les Wisigoths et autres Ostrogoths ; pareil pour les Francs et, d’une manière générale, toutes les peuplades européennes qui se sont succédé sur notre territoire. Pourtant ceux qui revendiquent plus de 2000 ans de présence dans l’hexagone en sont réduits à nous vendre l’oxymore de la civilisation « judéo-chrétienne » pour tenter de masquer le fait que, contrairement à tous les autres, ils constituent toujours une entité distincte comme au premier jour. 
 
S’il ne fait aucun doute que leur intégration ne pose pas de problème particulier, il semblerait donc, en revanche, qu’ils soient, effectivement, factuellement inassimilables. Cela pourrait donc expliquer qu’à chaque fois qu’un nationalisme quelconque se pose la question fondamentale de l’identité, cette particularité qui en fait, au demeurant, des boucs émissaires pratiques, leur donne la visibilité d’un petit bouton sur le nez (ou sur les fesses pour onlyfans) avant une séance de photo avec, pour conséquence, les gens pouvant être mesquins, qu’ils ont fini par être chassés, à un moment ou un autre, d’à peu près partout sur la planète. Dans un véritable cercle vicieux, la chose a encore renforcé leur sentiment identitaire et favorisé une répulsion pour toute forme de nationalisme (hors Israël, s’entend). Il en résulte, dans les cas extrêmes, une élite fortunée, souvent dans des délires messianiques amplifiés par la consommation de poudres racistement monochromes et prétendant parler au nom d’une communauté qui ne lui a rien demandé. 
 
Une élite qui investit fiévreusement, façon SOROS, dans tout ce qui pousse à favoriser l’immigration de masse, afin justement de s’assurer que le nationalisme (qui n’a de sens qu’avec l’identité) soit tué à la racine par le remplacement des peuples. La conséquence est que, lorsque, inévitablement, les peuples de remplacement s’avèrent les aimer encore moins que le peuple d’origine et atteignent le seuil critique qui les met en danger, dans un virage à 180° il faut alors raviver en catastrophe un peu de la flamme nationale, mais en circonscrivant la problématique à de l’anti-islam pour éviter tout risque d’une prise de conscience ethnique. Un véritable grand écart sur un fil de funambule par grand vent un jour de pluie acide qui n’est possible qu’en faisant en sorte que les têtes des mouvements « nationalistes » appartiennent à la petite frange de la communauté qui adhère au concept ou, à défaut, lui soient totalement inféodés.

C’est là qu’intervient Sarah « point trop » Knafo dont, bien qu’elle ne représente électoralement pas grand-chose, on mange matin, midi et soir les analyses sur tout sujet dès qu’on allume la télé, poussant la plaisanterie hanounesque jusqu’à nous faire croire récemment, à grands coups de selfies, qu’elle était VIP au sacre de Donald Trump. À son actif, force est de reconnaître qu’elle est intelligente, a un bon sens de la répartie et que ses raisonnements sont incontestablement le fruit d’une réflexion de longue date qui me pousse à croire qu’elle est sincère concernant l’essentiel de son discours lequel me semble plus authentique que son 95, bonnet F. 
 
Sauf à considérer qu’il faudrait être une baleine pour militer à S.O.S baleine (et elle a encore un peu de marge si elle se surveille), il serait contre-productif d’exiger de quiconque de descendre en droite ligne de Vercingétorix pour prétendre aimer et défendre la France et les Français. Ce qui m’interpelle n’est donc pas du tout qu’elle soit juive, mais que, chutzpah incluse, elle se comporte comme l’image que d’aucuns s’en font, jusqu’à la caricature avec, entre autres, liste non exhaustive : soutien inconditionnel à Israël dont les intérêts géopolitiques sont pourtant de plus en plus éloignés des nôtres, assimilation systématique des Palestiniens à la racaille déculturée française, soutien de l’abattage rituel et absence totale de critique de sa communauté, chose dont Zemmour, il faut le lui reconnaître, avait eu l’honnêteté d’amorcer un début de commencement de velléité de tentative avant de perdre tout crédit (post ce fameux 7 octobre qui a obligé chacun à choisir son camp) en allant pleurnicher devant la façade de cette ancienne caserne romaine que les Israéliens prennent pour le mur des Lamentations, et ce, alors même qu’il existe en Israël des gens qui ont un positionnement beaucoup plus nuancé voire radicalement opposé. 
 
Il est clair que Marion Maréchal qui n’appartient qu’à moitié (et pas la bonne qui plus est) à la même communauté, ne pouvait espérer faire sa place à Reconquête qu’elle a donc quitté pour faire… encore pire en prétendant même, cette semaine, faire alliance avec Édouard Phillipe dont, il est vrai, signe divin, les cheveux ont miraculeusement repoussé. Quant à Marine Le Pen, qui n’a même pas l’excuse de l’appartenance communautaire, à ce stade, si on lui proposait de remplacer provisoirement le paillasson du mémorial de Yad Vashem à Jérusalem, le temps du nettoyage, je ne suis pas certain qu’elle refuserait. CQFD.

La justification même de l’État d’Israël, à moins que j’aie loupé un épisode, est de fournir un point de chute pour tous ses ressortissants putatifs qui sont donc désormais cultuellement de sa responsabilité dès lors qu’ils ne seraient pas satisfaits de leur situation dans d’autres pays, dont la France. Une France dont le rôle, depuis la disparition de fait du « Juif errant », se limite désormais à les protéger en tant que Français au même titre que tout citoyen, ni moins, ni plus, et donc, aucunement à assurer leur confort cultuel dans la sphère publique qui ne nous concerne pas plus que celui des musulmans, en payant, par exemple, au frais de la collectivité, la surveillance armée des synagogues, dont à minima, la facture devrait être envoyée à Netanyahu, et ce d’autant plus que nos églises, livrées à elles-mêmes au nom de la laïcité, sont pillées et brûlées sans vergogne et que des hommes y pénètrent désormais en brandissant des couteaux pendant les offices, le dernier en date ayant dû être abattu par la police.

Tant que, dans le pays des lumières, mais visiblement pas à tous les étages, cette position de bon sens, valable également pour toutes les autres communautés, mais médiatiquement taboue et électoralement peu payante compte tenu de décennies de conditionnement, ne sera pas clairement affirmée, il sera impossible de lutter efficacement contre l’immigration et tout mouvement, qu’il se revendique nationaliste, souverainiste ou patriote, tombera dans le deux poids, deux mesures, la perte de crédibilité et l’impuissance politique avec, à l’issue, faute d’avoir traité l’abcès à temps, une résolution par la violence que, pour ma part, je préférerais éviter.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


 

dimanche 19 janvier 2025

830 000€ à un faux Brad PITT, MAIS CE N'EST PAS TOUT…(19/01/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/TQMqU66Td2k

Bonjour !
Quand j’ai vu que Sandrine Rousseau montait dans les tendances, je n’ai pas tout de suite compris que c’était en raison de sa tentative de faire de l’ombre à Donald Trump en abandonnant officiellement non point (gare à la confusion) « au X, ses plates formes », mais bien « la plateforme X », et ce, le jour de la prise de fonction de ce dernier, provoquant un séisme mondial qui a eu pour résultat que la cérémonie supposée se dérouler dehors aura désormais lieu à l’intérieur… à moins que ce ne soit à cause de la météo, mais le doute reste raisonnablement permis. En fait, noyé par la tourmente médiatique et la sachant plutôt sensible au charme des hommes déconstruits, j’ai brièvement cru que c’était elle qui avait été ciblée par des brouteurs nigérians se faisant passer pour un Brad Pitt reconstruit avec Photoshop, voire peut-être pour Lénine dans son cas, et que, selon le dicton « femme à lunette, femme à quête » (ou quelque chose comme ça), elle ouvrait une cagnotte Leetchi (écoresponsable) histoire de se refaire. 
 
Des brouteurs, visiblement pas assez blanchement privilégiés pour que les féministes osent crier au patriarcat toxique sur ce coup-là, et qui, outre la quinquagénaire, désormais mondialement connue pour leur avoir quinquagénéré 830 000€ de revenus, extirpés à la véritable victime, à savoir le mari qu’une fois harponnée, elle a, sans hésiter, plumé dans une procédure de divorce (ce qui m’économise quand même quelques kleenex) auraient par ailleurs « bradpitté » au moins 34 autres femmes tout aussi fortes et indépendantes. Bien évidemment, loin d’être tentés de prendre leur retraite avec ces sommes confortables, converties en cryptomonnaies (et éventuellement à l’islam), comme quoi, contrairement aux idées nauséabondes véhiculées par d’ignobles médisants, les gens travailleurs ça existe même en Afrique, voyant leur martingale quelque peu éventée et après quelques tentatives, inexplicablement infructueuses, avec des photomontages dilatés de Bruno Le Maire de dos, les mêmes se feraient à présent, et c’est véridique, passer pour Keanu Reeves. 
 
Une bonne idée de départ pour le futur John Wick 5 qui, profitant de la mort annoncée et subite du wokisme, pourrait enfin passer 2 heures en cinémascope à trucider du brouteur nigérian au Wakanda faisant que, pour le coup, poussé par mes plus bas instincts, toujours dormants hélas, en dépit d’une cure intensive de « padamalgam » en suppositoires, je pourrais être tenté de remettre les pieds dans une salle obscure.

Il est clair que le premier réflexe est de se moquer, mais ce serait négliger le fait que la nature même de l’humain le pousse à croire en une forme ou une autre de père-Noël, ce qui fait de la plupart d’entre nous des proies potentielles à des degrés divers. 
  • Il y a ceux qui se jettent sur la « super affaire » sur Ali Express ou qu’Ali exprès (sans oublier Kevin et Matéo) met sur le bon coin, 
  • ceux qui investissent dans ce miraculeux placement confidentiel avec garantie de décupler la mise,
  •  l’individu bedonnant avec aérodrome capillaire grisonnant pour mouches à vision dégradée qui, pur hasard, travaille dans le secteur de la défense et « avale » que la jeune Chinoise (qui lui fait pareil) et qu’il a rencontrée « par pure coïncidence » est irrésistiblement attirée par son intelligence, 
  • le simp qui fait gonfler, proportionnellement à la quantité de sang qui quitte son cerveau pour aller ailleurs, le PayPal d’une influenceuse qui n’est peut-être que le gars précédent derrière un filtre IA, lequel essaie de bouffer après avoir été viré pour s’être fait soutirer des secrets d’État, 
  • tous ceux à qui on a vendu, parfois à deux reprises, un « Mozart de la Finance » qui, lui, nous a entubés de milliers de milliards, 
  • ceux qui pensent que Marine Le Pen ou Mélenchon sont la réponse, 
  • ceux qui croient que les ZFE vont sauver la planète 
  • ou que Brigitte Macron est juste une femme sans fesses, sans poitrine, sans hanches, aux épaules carrées et aux longs pieds, qui a égaré et son frère et toutes ses photos de famille, 
  • ceux pour qui il était crédible que la position debout ou assise dans les trains selon des horaires déterminés (ou encore, mettre un masque pour se balader tout seul sur une plage après s’être signé soi-même une autorisation) allait aider à lutter contre un virus, 
  • sans parler des millions de personnes qui sont mortes au fil des siècles au nom d’une idéologie ou d’un dieu quelconque, version souvent ultime du père Noël. 
Au cas particulier, par exemple, la dame, d’évidence émotionnellement vulnérable, a été travaillée au corps pendant des mois par toute une équipe se faisant passer pour la mère de Brad Pitt, Brad Pitt lui-même, sa fille, sa doublure officielle, le Docteur de Brad Pitt et même le FBI. Une fois bien entortillé par des gens experts en manipulation, capables d’identifier les failles personnelles et collectives, selon des méthodes éprouvées qui en disent long sur la nature humaine, quasiment tout le monde peut se faire manipuler… jusqu’à un certain point, sachant qu’il y a quand même des degrés dans la naïveté, certains portant carrément, hélas, la mention « victime » gravée sur leur front. 
 
Ces derniers seront généralement exploités sans vergogne par des prédateurs voyant simplement la chose comme de la sélection naturelle en se disant, quand ils se disent quelque chose : « si ce n’est pas moi, de toute façon, ce sera quelqu’un d’autre ». Toute ressemblance avec un élu existant ou ayant existé est bien entendu purement fortuite. Toujours est-il qu’à l’instar d’une vieille dame à qui on téléphone au milieu de la nuit pour lui annoncer que son fils est à l’hôpital, selon le contexte et les circonstances, si on appuie sur le bon bouton au bon moment, personne n’est totalement à l’abri. 
 
J’ai même connu un cadre supérieur, dont si je vous disais où il travaillait et dans quoi, sa mésaventure vous semblerait équivaloir à Éric Zemmour laissant tranquillement toute la nuit une Maserati fluorescente dans une cité du 93 avec les clés sur le contact et Sarah Knafo en nuisette sur le siège passager. Le gars, que je salue s’il se reconnaît, était tellement passionné de vélo qu’il a suffi d’un mail lui annonçant qu’il avait gagné un dérailleur Shimano pour qu’il passe en mode tunnel et balance carrément le code de sa carte bancaire.

Toutes ces personnes influençables ayant le droit de vote, se pose alors la question de la pertinence du système dit démocratique (a fortiori « représentatif »), qui plus est quand une information biaisée, en premier lieu par les médias officiels, nous empêche de prendre des décisions éclairées et que la voix de ceux qui portent un masque alors même qu’ils sont tout seuls dans leur véhicule crit’air compatible, souvent quintuples vaccinés, analement ouverts à l’autre (mais pas dans leur quartier si possible) et qui prétendent tuer les vaches pour lutter contre le réchauffement climatique anthropique (et pique et pique et colegram) a le même poids que celle de tout un chacun, avec les résultats que l’on peut désormais commencer à apprécier. Bayrou, dernier étage de la fusée en perdition, qui contrairement au dernier vol de SpaceX ne s’est pas encore crashée (mais cela ne saurait tarder) ayant évité la censure en achetant les socialistes avec la promesse de dizaines de milliards de dépenses supplémentaires, tandis que le RN avait piscine.

Sans vouloir répéter les erreurs du passé, je commence à me dire qu’on a peut-être été un peu prompts à jeter toute forme de nationalisme autoritaire avec l’eau du bain du nazisme nous privant de l’option consistant à mettre l’économie au service du peuple sans pour autant l’entraver par des normes à la con tant qu’elle respecte le contrat. Il est vrai que cela supposerait, en préalable (point en contradiction totale avec les « valeurs » de la république) de définir précisément ce qu’est le peuple et, par extension, tout ce qui ne l’est pas. Une méthode qui a pourtant, incontestablement, permis le redressement spectaculaire en 4 ans d’une Allemagne exsangue et dont on pourrait peut-être, avec la circonspection qui s’impose, tirer deux ou trois enseignements. 
 
Sinon, l’offre, en attendant que l’IA ouvre d’autres perspectives plus ou moins réjouissantes, se limite au capitalisme qui, lui, met le peuple au service non de l’économie, mais de la finance et au « communisme » qui le met au service de l’état, nos pseudos démocraties étant, sur le long terme, la pire des synthèses, à savoir : le peuple au service de l’état lui-même au service de la finance ; ladite finance elle-même, déjà délétère par nature, étant, cela semble de plus en plus évident, au service d’autre chose...
 
Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


dimanche 12 janvier 2025

L.A. cramée, MACRON aussi, fêter la mort de Le Pen c’est con, TRUMPeries et MUSKarades (12/01/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/jeD1UutKqiM

Bonjour !

L’expertise des lesbiennes en matière de « pompiers » étant (théoriquement tout du moins) à des années-lumière de celle d’une Marlène Schiappa ou d’une Rachida Dati, était-il vraiment judicieux, quand bien même leur gabarit s’approcherait de celui d’un camion éponyme, d’en nommer non pas une, ni deux, mais trois, es qualité qui plus est, à la tête du service hautement inclusif de lutte contre les incendies de Los Angeles ? Certes, contrairement aux camions, tout n’est pas « si terne » puisque le pire a été évité, Maurice Benguigui, alias Patrick Bruel, par un tweet que tout le monde attendait avec angoisse, nous ayant informés qu’il était sauf, mais la ville, toujours en flammes, a quand même pratiquement été rayée de la carte. 
 
À leur décharge (sans mauvais jeu de mots), certaines mauvaises langues (toujours aucun rapport), pointent du doigt (là non plus rien à voir) la Maire de la ville, complètement cramée, non par l’incendie (même si, à l’œil nu, on ne saurait être affirmatif), mais politiquement, du fait que, pendant que les flammes transformaient la ville en bande de Gaza honoraire, elle renouait avec ses racines africaines aux frais de la collectivité, dilapidant les économies substantielles réalisées en coupant drastiquement dans le budget des soldats du feu, tout en ayant favorisé le recrutement de pompiers multicolores pas forcément ascendant « verseau » et bien que, pour certains, suffisamment « gender », visiblement pas encore assez « fluides » pour atteindre une efficacité optimale en cas de pénurie d’eau, ce qui, au bord de la mer, relève de l’exploit. 
 
Une pénurie imputable, en partie, au gouverneur démocrate de l’état qui, probablement déconstruit par une Sandrine Rousseau du « cru » (et, à présent, probablement « cuite »), a refusé, juste avant le désastre, le délestage depuis l’état voisin, de millions de m3 au prétexte de protéger l’habitat d’un petit poisson local, chacun pouvant apprécier à sa juste valeur le bilan carbone de l’opération, et ce, pas de chance, juste au moment où l’interdiction faite aux gueux de circuler aux abords des agglomérations françaises était sur le point de sauver la planète.

Le fond du problème reste que les États-Unis, à l’image de leurs bâtiments constitués (derrière une couche de stuc tape-à-l’œil) de bois creux isolé au polystyrène (ce qui peut expliquer en partie le désastre), à l’instar de l’intestin grêle de Gérard Larcher (lequel vient de se commander, à nos frais, un fauteuil à plus de 40 000 € pour en supporter le poids) ne sont rien d’autre qu’une gigantesque baudruche. Derrière le paravent de quelques bulles technologiques reposant sur une valorisation boursière à la Ponzi, faisant que Musk (qui vend principalement de l’illusion) pourrait se retrouver du jour au lendemain à la soupe populaire, d’une armée technologiquement distancée constituée d’obèses et d’hommes en jupe surnommés les « brigittes » par des médisants, et de montagnes de fausse monnaie que de moins en moins de monde accepte, ils sont structurellement un pays du tiers-monde, déjà irrémédiablement « grand-remplacé », qui tient avec du sparadrap (made in China qui plus est) tout, des ponts au réseau électrique, en passant par le système de santé et l’éducation, étant au bord de l’effondrement. Toute ressemblance sur ces points avec une France existant ou ayant existé étant, bien entendu, purement fortuite.

Depuis l’émergence et la montée en puissance militaire et économique des BRICS, les USA ne sont plus en mesure de maintenir leur modèle économique de pillage systémique dans une sphère d’influence qui se rétrécit comme des organes de Première dame dans de l’eau froide. Un pillage qui ne profite, par ailleurs, jamais au citoyen lambda qui n’a toujours pas compris, alors que c’est écrit dessus, que le rêve américain est… un rêve. À l’instar de tous les empires en phase terminale qui les ont précédés, ils en sont donc réduits à allègrement phagocyter leurs propres vassaux, d’où les délires trumpiens visant à s’approprier le Groenland, le canal de Panama, à renommer le golfe du Mexique et à annexer le Canada.
 
Il faut situer dans la même veine les attaques tous azimuts de Musk contre les dirigeants de la mafia européiste et son soutien aux mouvements « antisystème ». Un soutien toutefois conditionné, comme cela est clairement apparu lors de l’interview accordée sur X au clone de Lucie Castets, présentement à la tête de l’AfD (et pas davantage qualifiée, contrairement à certains cadres masculins du RN, pour diriger un service d’incendie selon les critères précédemment évoqués) de laquelle il a exigé en direct : « la reconnaissance inéquivoque du droit inaliénable d’Israël à exister ». Autant dire qu’il faudra attendre encore un peu avant que la sainte croisade désintéressée de Musk en faveur d’une « absolue et totale liberté d’expression », à défaut de délivrer la Terre sainte, retrouve le bouton permettant de réactiver le compte X de « Democratie Participative ». 
 
Tout cela a donc, certes, pour but d’envoyer l’U.E. dans les « choux » (de « Bruxelles » pour le coup) et de la faire imploser, ce qui est, au premier abord, une bonne chose, mais pour mieux la dépecer ensuite, ce qui, en revanche, est un chouia moins réjouissant. L’écroulement du feu de paille woke qui permet de donner l’illusion d’un changement sans remettre en cause les mécanismes de prédation internationaux, pour aussi jouissif qu’ait pu être, cette semaine, le spectacle d’un Mark Zuckerberg annonçant, avec un air grave de circonstance, le bannissement des distributeurs de tampons hygiéniques des toilettes pour hommes au sein de ses entreprises, ne doit pas nous faire oublier les fondamentaux. 

Macron est, bien entendu, dans la ligne… de mire (plus difficile à sniffer), Candace Owens ayant rendu publique, ce samedi, une lettre d’intimidation de l’Élysée, motivée selon elle (tout comme, selon moi, les récentes gardes à vue massives de brigittologues dans l’hexagone) par les nouvelles révélations explosives qu’elle s’apprête à rendre publiques dans moins de deux semaines sur Jean-Michel Trogneux. Qui sait si Donald Trump, qu’elle connaît bien, n’aurait pas incidemment, en prime, laissé fuiter quelques pages du fameux dossier qu’il détient sur notre mal-aimé président, dont après Trudeau, on peut donc s’attendre, façon dominos, à la démission prochaine, voire à la décapitation s’il lambine trop.
 
L’offensive médiatique pitoyable sur TF1, puis sur RTL, les 8 et 10 janvier, de notre Première dame (ou, qui sait, ne soyons pas transphobes, notre Premier monsieur) pour le défendre, en nous expliquant à quel point le pauvre était meurtri et gardait courageusement cela pour lui, atteste de la volatilité de la situation face à un record historique d’insatisfaits depuis que les sondages existent, sachant toutefois que, la popularité de Marc Dutroux n’ayant jamais été évaluée, il reste peut-être un peu de marge.

Pendant ce temps, les morts se multiplient aux urgences avec, encore cette semaine, après de longues heures d’attente imputables, selon certains, à une carence en mélanine et un manque d’agressivité invisibilisants, le décès de 2 malheureuses jeunes femmes de respectivement 20 et 26 ans, nouvelle preuve que la France se tiers-mondise à la vitesse d’un retournement de veste de Laurent Wauquiez.
 
Il faut dire que Retailleau est trop occupé à envoyer des blindés contre les paysans pour empêcher le reste du pays, en proie aux règlements de comptes entre dealers parfois prépubères, de se muer en Far West voire en « Far Sud », les perpétrateurs, sous réserve d’analyses génétiques complémentaires, ne se réclamant pas particulièrement de Vercingétorix. En dépit des coups de menton de notre brillant ministre, les coups de tampons, pas vraiment « hygiéniques » (pour le pays), continuent à pleuvoir avec bienveillance sur les titres de séjour de l’immigration légale et il n’a visiblement aucune prise sur l’illégale, au point de ne même pas être foutu de parvenir à extrader un vlogueur prêchant le jihad, l’Algérie, laquelle a visiblement sous le coude quelque dossier compromettant lui permettant de traiter impunément Macron comme une carpette, refusant de le reprendre. 
 
Sur le pont supérieur du Titanic, les rares bobos encore épargnés par l’eau, laquelle monte déjà jusqu’à un niveau rimant avec « grenouilles » pour les autres, ont fêté la mort de Jean-Marie Le Pen à propos de laquelle je vous mets, en description, le lien de mon analyse à chaud. Je n’ai, pour ma part, jamais compris ni la propension à sanctifier quelqu’un au prétexte que son cœur a arrêté de battre, ni l’inverse consistant à le salir par de nouvelles allégations lorsqu’il ne peut plus se défendre comme pour l’abbé Pierre, et je garde, moi aussi, au frais, quelques bouteilles de mousseux (inflation oblige) que je dégusterai dans l’intimité dans certaines éventualités, ce n’est pas donc cela qui me choque. 
 
En revanche, sachant qu’on fête généralement les victoires, au moins idéologiques, il est absolument pathétique de considérer que c’en est une d’avoir simplement survécu à un vieillard de 96 ans, mort tranquillement dans son lit en leur faisant un doigt d’honneur alors même que, nonobstant ses défauts, sa clairvoyance apparaît désormais à de plus en plus de monde et que la seule chose qui aurait pu les rendre encore plus ridicules aurait été qu’un type, profitant du rassemblement, leur rentre dedans à 100 km à l’heure, avec un camion poubelle inclusif, en hurlant « Allah Akbar ! ». Un manque heureux de clairvoyance tactique, caractéristique de l’islamisme à 70 de QI, qui m’a fait économiser une bouteille de mousseux… pour noyer mon chagrin, cela va sans dire.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


mercredi 8 janvier 2025

RIP Jean-Marie Le Pen. Analyse équitable (08/01/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/x36d-zpKc_s


Bonjour!

Une petite réaction à chaud rapide suite au décès de Jean-Marie Le Pen, car je ne suis pas d’accord avec la plupart des discours que j’entends. Certes, il a eu raison avant beaucoup sur l’immigration de masse, mais à l’époque même le parti communiste était contre comme l’atteste le fameux discours que tout le monde connaît de Georges Marchais, ce n’était donc pas un « visionnaire » au sens stricto sensu, il n’a juste pas varié contrairement aux autres. Par ailleurs, à l’opposé des phrases toutes faites que répètent les psittacistes conditionnés à leur insu, il n’a jamais été raciste et pas seulement en raison des harkis. Or, sans vision ethnique, il n’y a pas de définition possible du peuple et donc aucune solution au phénomène migratoire. 

S’il a échoué, par ailleurs, ce n’est pas sur cette question, mais parce que toute doctrine nationaliste crédible ayant été jetée avec l’eau du bain du nazisme pour que, justement, plus jamais une nation ne puisse se relever afin que s’ouvre la voie vers la mondialisation heureuse, il a toujours été contraint de marcher sur une jambe, sans ancrage politique sérieux, sautant du poujadisme, au reaganisme en passant par toutes les modes du moment, le rendant, hors son invariant migratoire, totalement imprévisible et illisible sur le reste, ce qui, en revanche, valide parfaitement la comparaison que l’on fait de lui avec TRUMP.

Comme c’était quelqu’un d’à la fois érudit et intelligent, les deux n’allant pas forcément ensemble, il a fini par comprendre qu’il était dans une impasse et s’il faisait des saillies provocantes (et souvent provoquées) pour occuper l’espace, elles étaient toujours suivies de semi-reculades bancales, pas du tout par lâcheté, mais parce qu’il savait que c’était la condition sine qua non pour durer et, tant qu’à faire, en retirer un bénéfice en transformant son parti en PME familiale.

Certains lui reprochent qu’en agissant ainsi il aurait empêché autre chose de plus performant d’éclore. C’est vrai en théorie, mais comme je l’ai dit, dans la pratique, tout est bétonné pour que jamais ne soit accepté dans le paysage politique français quiconque qui ne serait pas républicain, droit-de-l’hommiste, antiraciste et ne reconnaîtrait pas le statut de victimes éternelles non seulement à ceux qui ont subi l’holocauste, mais à tous leurs descendants qui n’ont jamais vu la couleur d’un uniforme allemand, cases que coche avec enthousiasme le Rassemblement National, dont il n’y a donc rien à attendre d’autre, qu’au mieux, d’atteindre le fond du gouffre par l’escalier plutôt que par l’ascenseur.

J’ai donc toujours été un peu critique à son encontre tout en gardant la modération qui s’impose à ceux qui sont tranquillement assis sur leur canapé à l’égard de ceux qui prennent les coups et tout en comprenant tout à fait que, sauf peut-être en ce qui concerne un népotisme qu’il a payé au prix fort, il ne pouvait pas vraiment agir différemment. J’ai donc voté pour lui, par principe, à plusieurs reprises, notamment au deuxième tour des élections de 2002, la vue de ce troupeau de couillons qui s’étendait aussi loin que le regard pouvait porter, allant voter comme un seul homme pour celui qu’une semaine avant ils qualifiaient de « super menteur », en arborant une véritable pince à linge sur le nez, étant une des choses les plus effrayantes qu’il m’ait été donné de voir jusqu’à l’épisode du covid.

Ceux qui me suivent savent à quel point j’aime jongler avec les mots et apprécie les calembours. Sur ce point, je suis humblement forcé de reconnaître qu’avec son « Durafour crématoire » il a placé la barre de l’impertinence tellement haut qu’elle n’a plus jamais été dépassée, même par un Dieudonné. Je pense, en conclusion, que c’est quelqu’un qui a fait ce qu’il a pu dans une situation impossible et qu’au moins, il portait ses cojones, contrairement à la totalité des clampins qui l’ont combattu (de façon plus ou moins sincère d’ailleurs) ou se sont succédé à la tête de l’état, une certaine Brigitte exceptée, me souffle-t-on dans l’oreillette.

Paix à son âme.
 

dimanche 5 janvier 2025

L’homme blanc OBSOLETE ? + ZFE, attentats et autres news (05/01/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/XjzQm9ZO54o

Bonjour !
Macron a assurément un handicap pour prévoir le futur, car contrairement aux boules de cristal qu’utilisent les personnes extralucides, celles qu’il a le plus souvent sous les yeux seraient plutôt de type trans…lucide selon quelques ragots mesquins peu amènes envers une Première dame à volumétrie mammaire modulable. Compte tenu du prix des huîtres, j’ai quand même fait l’effort d’écouter ses vœux, ce qui m’a fait gratuitement l’effet de 2 douzaines pas fraîches. Autant dire qu’à part l’évocation (au doux parfum de guillotine) du fait que les Français seraient amenés à « trancher » en 2025, ce n’était que le vent habituel qui aurait aussi bien pu sortir par l’orifice antagoniste, l’odeur télévisuelle étant sensiblement la même. Dans tous les cas, à l’instar d’un spermatozoïde désorienté durant la nuit de noces de Gabriel Attal, je doute que ce qu’il voit vraiment, pour nous, au bout du tunnel, soit particulièrement lumineux.

Aucun rapport (ou alors vaguement colorimétrique), mais j’ai incidemment visionné quelques photos des premiers bébés de l’année 2025 et je dois dire que la chose m’a totalement rassuré quant à l’avenir… de notre équipe nationale de foot. Loin de moi l’idée de juger qui que ce soit, car contrairement à d’autres voies, celles du cœur sont éminemment pénétrables, n’en déplaise aux ignobles racistes toujours prompts, face à l’avalanche de blondinettes s’adonnant à l’enrichissement culturel, à évoquer le patronyme de Peter PAN en insinuant fielleusement, au détour de quelque fait divers sordide subit par leurs « jointes » (je me refuse à être insultant), que la non-maîtrise de la technologie GPS ne suffirait pas à expliquer la proclivité statistique de certains à se perdre dans la nature une fois leurs papiers en poche.
Autant dire, dès lors, que le seul fait de relever que c’est la collectivité, c’est-à-dire nous, qui supportera ensuite financièrement les familles monoparentales des futurs ingénieurs particulièrement équilibrés, résultat de ces choix avisés, ne serait que chipotage mesquin face à la magie du moment, renforcée par des prénoms chantants et colorés à rendre chronique, chez un Éric Zemmour, sa tendance congénitale à l’apoplexie télévisuelle.

Se mélanger (à grande échelle s’entend) au nom de la diversité est à peu près aussi intelligent que d’expliquer la sodomie et la fellation aux enfants de maternelle pour lutter contre la pédophilie, priorité, selon Crépuscule Bergé, de l’éducation nationale, ce mammouth plein de « défenses » que feu Claude Allègre, décédé ces jours-ci, n’aura pas réussi à dégraisser. Dans le premier cas, cependant, même un enfant de 4 ans est capable de comprendre qu’une fois mélangées les couleurs de base de sa boîte de peinture, les chances déjà minces de peindre la Joconde rejoindront dans les limbes nos espoirs de croissance et que tout ce qu’il pourra produire sera un conglomérat monochrome de grosses taches, un peu comme le gouvernement. 
 
C’est d’autant plus idiot si l’on considère que désormais moins de 8% de la population mondiale s’identifie à la race dite « blanche », dont ¼ a, par ailleurs, plus de 65 ans, et que seule une proportion encore plus congrue de ces 8% présente des caractères génétiques relativement préservés qu’il faudrait, au contraire (Sandrine Rousseau exceptée) précieusement conserver et valoriser au titre du patrimoine avec, par exemple, des allocations familiales spécifiques très élevées et fortement discriminatoires. Parler de diversité en stigmatisant un des groupes humains les plus menacés de la planète relève du criminel, d’autant que, dans les faits, contrairement à tous les autres groupes, les blancs n’ont même pas le droit, dans l’hexagone, de se regrouper strictement entre eux. 

Il fut un temps où, en dehors de ces considérations patrimoniales et du constat que, sans un minimum d’homogénéité et en dessous d’un certain QI moyen, le chaos et l’insécurité sont aussi inévitables qu’une flatulence digestive chez Gérard Larcher, la préservation de la race blanche était, par ailleurs, indispensable si l’on voulait pouvoir espérer relever les défis auxquels l’humanité est confrontée et dont, il est vrai, elle est en grande partie responsable de par l’exportation, entre autres, de la technologie, de la médecine et des « droits de l’homme ». Une indispensabilité, non seulement en raison de sa matière grise dont elle n’a certes pas le monopole, mais de son inventivité exceptionnelle.
 
Rien qu’au crédit de la seule France on a, entre beaucoup d’autres : l’ordinateur, la carte à puce, le journal imprimé, la transfusion sanguine, l’automobile, l’imperméable, le parachute, le crayon, la photographie, le cinéma, la machine à coudre, les allumettes, le réveille-matin, le béton armé, la pasteurisation, l’extincteur, la moto, l’hélicoptère, le sèche-cheveux, le soutien-gorge, le tube au néon, le radar… et la TVA, personne n’est parfait. Une inventivité fruit d’une pensée cartésienne tempérée d’humanité catholique et d’héritage gallo-romain sur un subtil et fragile substrat humain à fort QI, fait de couches sédimentaires jusqu’ici miraculeusement complémentaires et COMPATIBLES. 
 
Un substrat unique aussi malmené que le pèse-personne de Mathilde Panot par quelques décennies d’enrichissement et d’ouverture dilatée à l’autre sans discernement, qui plus est à sens unique puisque, sans même parler du Maghreb qui reste le gros morceau, après le Mali, le Burkina Faso, le Niger, le Tchad et le Sénégal, nouvel exploit de Macron, c’est la Côte d’Ivoire qui vient à son tour d’annoncer qu’elle aussi va se passer de la présence française sur son territoire, tout en continuant, et en ce sens, elle est plus intelligente que nous, à envoyer ses ressortissants prier la sainte CAF sur le nôtre. 

Pour couronner le tout, l’intelligence artificielle qui, en 2025, va crever le plafond de l’intelligence humaine à la vitesse d’un missile démocratique à Gaza, dépose désormais davantage de brevets que les ingénieurs en chair et en os, gagnant haut la main le concours de « bits » avec l’humanité et réduisant, au bout du compte, à néant (si l’on exclut son sens déclinant de ce qui est beau) la valeur ajoutée spécifique à l’homme blanc, dernière étape avant son éradication visiblement programmée. Si l’on considère les pedigrees des principaux acteurs du secteur de l’IA, il s’avère que, par un incroyable hasard fortuit, ils appartiennent quasiment tous à l’élite illuminée d’une certaine orthopraxie, heureusement non représentative, mais qu’on retrouve à la tête (ou derrière le financement) de la plupart des associations immigra...tionnistes, la folie imputable à trop de richesse se cumulant avec les délires messianiques. Une élite obsédée par la destruction de « Rome » (comprendre l’Occident) afin qu’arrive son « mashiah » et qui, si elle crie « sauve kippa ! » lorsqu’elle est confrontée, jusque dans ses beaux quartiers, à l’antisémitisme d’importation auquel elle a largement contribué, une fois l’alerte passée, continue pourtant inlassablement, au nom de l’antiracisme, à promouvoir l’immigration non blanche… sauf en Israël, faut pas pousser non plus. 
 
Toujours est-il que le tsunami de licenciements induits qui a déjà frappé le secteur de l’informatique en 2024 va s’étendre, cette année et les suivantes, à quasiment tout ce qui demande de la matière grise en voie d’obsolescence dans une marche forcée vers l’idiocratie. Les pays asiatiques ne seront pas épargnés non plus si l’on ajoute une dégringolade démographique catastrophique, y compris en Chine (dont la population pourrait n’être que la moitié de celle officiellement admise), au Japon et en Corée où le chaos politique semble perdurer.

Il n’est qu’à observer la Syrie pour comprendre que ce n’est pas Poutine qui va nous sauver. Quant à Trump, ses déclarations récentes et le fait que son comparse Musk fasse pression, sans qu’il ne moufte, pour laisser envahir les USA par une nuée d’Indiens bon marché sous visas H1-B afin de remplacer, dans ses usines, des employés qualifiés américains, dévoile que le capitalisme international a juste changé de cheval, même si en parallèle ledit Musk dénonce, à juste titre, le scandale des gangs pakistanais (même ethnie, version musulmane) qui ont violé près d’un million de jeunes Anglaises en Grande-Bretagne dans un silence assourdissant piètrement justifié par un antiracisme débile, silence brisé par le seul Tommy Robinson qui a été arrêté pour cela. Le fait d’ajouter au mix un petit haro, qui ne mange pas de pain, sur la baudruche du wokisme, même si ça fait du bien, ne remplira pas les assiettes, et remplacer l’immigration illégale par de l’immigration légale non plus, toute augmentation, à ce stade, relevant du suicide collectif. 

Pendant ce temps, on nous amuse avec des attentats illogiques et incompréhensibles calibrés pour titiller la fibre complotiste et détourner l’attention avec des choses aussi grosses qu’une voiture de Musk qui explose devant un immeuble de Trump, détonée par un militaire, pourtant spécialiste des explosifs, pas foutu de faire mieux que d’attacher ensemble des pétards de feu d’artifice et une bouteille de gaz, la balle qu’il s’était, au préalable, tirée dans la tête pouvant cependant expliquer pourquoi il n’était pas au mieux de son acuité intellectuelle, ce qui est souvent le cas quand on est mort. Une voiture au demeurant louée à la même société que celle ayant servi à foncer dans la foule du quartier français de La Nouvelle-Orléans, conduite par un autre ex-militaire ayant été déployé dans le même régiment, les plots et protections automatiques respectifs existant aux deux endroits pour prévenir ce genre de chose n’ayant, mystérieusement, pas fonctionné.

Tandis que l’on regarde ailleurs, depuis ce premier janvier, entrent en vigueur progressivement les ZFE « Zones à Faibles Émissions » pour les uns (qui devront quand même payer 3,81 euros pour leur joli autocollant, il n’y a pas de petit profit) et « Zones à Fortes Enculades » pour les autres dont les 20 millions d’automobilistes (en gros les blancs de périphérie) n’ayant ni accès aux transports en commun ni les moyens d’acquérir un véhicule crit’air 2 ou moins et qui, si leur moyen de transport a survécu aux incendies festifs du Nouvel An, se verront sanctionner par une rafale d’amendes à 68€ par des radars spécialement calibrés s’ils font mine de s’approcher de la quarantaine de zones urbaines qui font partie de la première vague d’une attaque coordonnée visant à éliminer les véhicules individuels, mais pour la plèbe seulement, sachant qu’une Ferrari qui fait du 25l au 100 en ville, c’est crit’air 1, donc c’est bon. 
 
Il faut comprendre que, sans véhicules, et c’est le but derrière, il faudra également faire une croix sur les maisons individuelles déjà invendables en raison de normes récentes ubuesques concernant, dès cette année, plusieurs millions de logements classés G dont 565.000 pour le seul marché locatif, de sorte que, sous réserve de distribution de masse de produits dits stupéfiants (un synonyme d’abrutissant) dont Delogu de LFI propose de confier la vente aux dealers, pourra enfin se réaliser la fameuse prophétie :« Vous n’aurez rien et vous serez heureux ».

Nous avons survécu à 2024 ce qui n’est déjà pas si mal compte tenu des risques d’incendie présentés par tous ces mystérieux chandeliers géants à 9 branches qui fleurissent dans la plupart des fameuses ZFE et qui, contrairement aux vilains sapins et autres crèches, ne semblent pas gêner les ardents défenseurs de la laïcité républicaine. Faute d’adjectif crédible, je vous souhaite donc, modestement, à tous, une… année 2025.

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