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dimanche 19 octobre 2025

ÇA VA FAIRE TRÈS MAL ! + crash cryptos expliqué et autres news (19/10/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/dlUz1uA9onI

Bonjour !

Certains jours, je me sens comme les suspensions d’une voiture électrique à pédales conduite par Ersilia Soudais, transportant Mathilde Panot, la liste intégrale des genres LGBTQIA2S+ en 40 volumes reliés, plus Gérard Larcher pris en autostop après son petit-déjeuner, comme quoi, les éléphants ce n’est pas qu’au parti socialiste. Le futur est, en effet, tellement évident qu’on pourrait le lire dans une boule de Première dame et il n’est pas réjouissant.

Un total de 6 800 défaillances d’entreprises a été enregistré en France en septembre, ce qui constitue la pire période de rentrée depuis 2009 (en concurrence avec le record de Bonnie Blue si on met un s à « rentrée »), tandis qu’après Moody’s et Fitch c’est, cette fois, Standard & Poors qui dégrade notre note. Nos taux d’emprunt vont donc s’envoler avec un degré de certitude équivalent à la probabilité d’enrichissement culturel de toute personne de sexe féminin avec un record personnel supérieur à 9 secondes au 100m départ arrêté en escarpins, passant nuitamment sous un réverbère éteint pour des motifs écologiques. 
 
Une note qui baisse d’une octave en mode mineur, très difficile à jouer au pipeau, même avec l’orifice de prédilection de Bruno Le Maire transmis à ses successeurs, passant de AA- à A+, comme dans « à la revoyure… pour la prochaine salve ». Personne n’est dupe du fait que les prévisions de Bercy et les attentes relatives au budget 2026 sont aussi réalistes que l’espoir de vendre une voiture électrique d’occasion plus cher qu’un vibromasseur à piles.

Car oui, projet de budget il y a, puisque, bien sûr, tels des excréments de mouches coprophages atteintes de gastro-entérite dans une fosse septique, les députés PS et LR ont atteint, eux aussi, la quintessence de leur nature profonde et n’ont pas censuré Lecornu. Le biprotubérant s’est immédiatement mué en « taxator », ce qui sonne mieux qu’ « impôtstor », allant, pour rester dans le thème, en sus de 19 milliards d’impôts nouveaux, jusqu’à taxer discrètement nos poubelles sous forme d’augmentation de la TGAP (taxe générale sur les activités polluantes) intégrée dans la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (et non, hélas, politiques) qui va augmenter de 62% en 5 ans. 
 
L’illusoire gel aqueux à propriétés lubrifiantes de la réforme des retraites ne parvient pas à faire oublier que tandis qu’on gèle le barème de l’impôt sur le revenu et qu’on supprime l’abattement fiscal de 10 % pour les retraités, qu’on essaie d’économiser quelques millions d’euros en rognant sur les allocations familiales et les aides aux apprentis, qu’on sucre les avantages fiscaux des biocarburants (comme quoi, l’écologie…) et que Braun Poivrot veut faire un sort à ce « truc pas sain » qu’est l’héritage (pour ne citer que le sommet d’un iceberg de 390 pages), en dehors de quelques niches fiscales symboliques, toujours rien en vue sur les centaines de milliards dilapidés en tous sens pour faire vivre un système maffieux devenu pachydermique et qui peut sans sourciller blanchir Anne Hidalgo, en dépit de son bronzage, sur ses notes de frais hors climatisation, par le biais du Conseil d’État. 

Outre le fait que chaque centime raboté ira dans le pot commun et continuera à financer l’Ukraine, l’Union européenne, l’usine à navets du cinéma français, les associations politisées et pro-migrants, l’immigration de masse, la pléthore de comités Théodule et d’officines inutiles et les cadeaux à la finance internationale, sans compter Léa Salamé profond qui, comme son collègue du 13h, lit connement le même prompteur qui confond Dominique Bernard et Samuel Paty trop tôt, le taux de taxation est tel que le point d’inflexion de la fameuse courbe de Laffer est depuis longtemps dépassé. 
 
La théorie étant que, passé ce seuil, paradoxalement, toute hausse d’impôt se traduit par une baisse des recettes, les gens réduisant leurs dépenses (donc baisse des rentrées TVA), ou trouvant des expédients comme le travail au noir, le troc, l’échange ou des biais fiscaux en affinant leurs connaissances. En d’autres termes : « trop d’impôt tue l’impôt ! ». Ceux qui le peuvent profitent même des opportunités de s’exiler à l’étranger qui foisonnent : après Poutine qui offre des terres à tout Français anti-LGBT qui souhaite s’installer en Russie, c’est au tour de Trump d’opter pour une immigration de nouveau totalement européenne, c’est-à-dire blanche, avec priorité donnée à ceux qui sont persécutés pour leur opposition à l’immigration.

Comme il n’est pas question de toucher à l’énorme voie d’eau dans la coque du Titanic semblant issue de la rencontre fortuite entre Gabriel Attal ramassant des fraises et un mammouth homosexuel, les pantins qui nous gouvernent n’ont d’autre choix que de continuer à nous faire écoper la soute à la petite cuillère. Le projet inique de taxer les petits colis hors UE, jusqu’à 50€ pièce, enlevant aux plus modestes la possibilité de s’habiller en rapport à leur budget sur Temu ou Shein, et de compenser sur divers autres produits leur perte de pouvoir d’achat, en est un bon exemple et ne fera pas rentrer un centime supplémentaire, les fournisseurs chinois implantant désormais des entrepôts en France pour contourner la réglementation.

Petite consolation, la pourriture du système dépasse les frontières comme l’a démontré le gigantesque crack sur les cryptos cette semaine, Trump ayant volontairement annoncé des frais de douane gigantesques contre la Chine, un vendredi, à la fermeture des marchés, ne laissant que les cryptos aux investisseurs inquiets pour retirer leurs fonds à risque avant la tempête, dans l’idée de les placer en or ou autre. Le problème est que certains traders n’achètent pas vraiment les bitcoins et équivalents en temps réel et, dans l’intervalle, paient ceux qui croient en vendre avec les sommes de ceux qui croient en acheter. 
 
Ces plateformes n'ont pas tenu le choc face à une demande aussi subite, accroissant la panique en spirale et faisant baisser les cours de façon drastique. Par ailleurs, des millions d’investisseurs qui avaient succombé aux sirènes des effets de levier, consistant à acheter à crédit différé de la crypto pour plusieurs fois la somme réellement investie en tablant sur des hausses, une fois que leur perte a atteint le montant de leur apport personnel de garantie, ont vu leur position liquidée automatiquement, c’est-à-dire qu’ils ont tout perdu, même s’il y a eu un rebond juste après. 19 milliards de dollars se sont ainsi évaporés, tandis que certains initiés, on se demande bien par qui, se sont fait des attributs de Première dame en or et se sont engraissés.

On aimerait pouvoir en dire autant des habitants de Gaza, l’aide humanitaire arrivant à la vitesse d’exécution d’une OQTF en Seine Saint-Denis, en dépit d’un cessez-le-feu qui n’a pas empêché quelques assassinats nerveux et qui sera probablement piétiné par Netanyahu à la seconde où il aura récupéré les derniers bouts d’otages râclés sur les gravats, seul frein au soutien quasi unanime de sa population à ses velléités de faire de la zone une aire de stationnement géante. On verra bien si je me trompe et j’espère me tromper.


dimanche 12 octobre 2025

Tout se déroule comme prévu ! (12/10/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/BpDb-0tWejk

Bonjour!
 
Je connaissais la position du missionnaire, je découvre celle du démissionnaire, variante sodomite avec un va-et-vient accéléré… au poste de Premier ministre du même individu qui n’exclut pas, par ailleurs, de redémissionner. À sec, sans prévenir, même chez Gabriel Attal, ça passe mal. Il est vrai que le simple fait qu’on en était à envisager pour le poste Jean-Louis Borloo (Bor pour ses intimes, car il tient « loo » à distance) atteste d’un raclage intensif de fonds de tiroirs au tampon à récurer Scotch-Brite, les seuls qu’aurait, dit-on, jamais utilisés la Première dame. Lecornu n'est guère mieux, car, franchement, avec un nom pareil, si on « l’écorne » qu’est-ce qui reste ? Toujours est-il que je guette la passation de pouvoir entre lui et lui-même sur le perron de l’hôtel Matignon, cérémonie qui promet d’être un casse-tête protocolaire, ponctuée par la traditionnelle poignée de main que je ne voudrais louper sous aucun prétexte. Bref, un monumental floutage d’Hegel, comme dirait un philosophe à vision déficiente.

Tel un fusil, Macron a, dans sa chambre, quelque chose qu’il n’a jamais tiré… Je veux parler de sa dernière cartouche, qu’il vient d’ôter et de remettre, ce qui n’est pas aussi neutre qu’on pourrait le croire et me permet d’affiner mon analyse de la semaine dernière, laquelle reste parfaitement valable.

On sait désormais que, contrairement à ce qu’envisageait son éminence « petit gris » plutôt que grise, cornes obligent, Macron, qui après avoir mis le feu se carapate ce lundi en Égypte pour faire semblant d’avoir joué un rôle dans le plan de paix (de lapin) de Trump au Moyen-Orient, est trop orgueilleux pour lâcher la bride et refiler la patate chaude du budget au seul parlement en lui laissant totale liberté de discussion, d’amendement, de proposition et de vote. Par cette position, pour une fois « au-dessus » des partis (sans e), il aurait pourtant pu attendre tranquillement la fin de son mandat en inaugurant les chrysanthèmes transpistilaires, tout en distribuant notre pognon au monde entier. L’élément nouveau, passé presque inaperçu, est que les consultations ont fait apparaître que, contrairement à l’Alka Seltzer, une nette majorité des députés ne souhaite pas une dissolution, la soupe étant trop bonne. Il lui reste, dès lors, de la marge de manœuvre en jouant de cette menace.

Chaque jour de gagné diminue la fenêtre de tir des « opposants », un budget devant être voté d’ici à la fin de l’année, ce qui met la pression sur les députés, personne ne souhaitant porter la responsabilité de l’échec. Un échec, dont, cette fois-ci, les conséquences pourraient être cataclysmiques et faire s’envoler notre dette jusqu’à chatouiller les hémorroïdes de quelque martyr de l’islam déshydraté occupé à essayer de satisfaire sa 72e houri consécutive, la semaine des 35 houris n’étant probablement pas la règle au paradis. Tout ce qui leur reste, c’est le pouvoir, durant cette fenêtre de tir réduite, de censurer le gouvernement. Cela demeure, en effet, possible, hors 49-3, par une motion dite « spontanée » laquelle requiert la majorité absolue des membres « électiles » composant l’Assemblée nationale et non seulement des présents, soit exactement, si j’ai bien compté : la totalité des députés RN, LFI, écologistes et socialistes si pas d’épidémie de gastro-entérite et autres allergies aux dissolvants parlementaires. Il n’y a plus eu de censure de ce type depuis 1962.

Encore faudrait-il qu’il y ait un gouvernement à censurer d’où, à chaque fois (c’est toujours ça de gagné), la lenteur du gastéropode cornu à en désigner un, sachant que si les textes prévoient bien la démission dudit gouvernement en cas de censure, ils ne prévoient pas, en revanche, un délai pour la constitution d'un nouveau. Le gouvernement démissionnaire, et donc non censurable, lui, pourrait alors, théoriquement, continuer ad vitam aeternam à expédier les affaires courantes. De plus, en cas d’urgence, et cela y ressemble de plus en plus, il reste l’article 16, permettant à Macron de s’octroyer les pleins pouvoirs. Le seul recours des députés serait alors le Conseil constitutionnel, ConCon pour les intimes (avec Ferrand à sa tête… grâce au RN) qui seul, si consulté, peut siffler la fin de la récréation. Autant faire la danse de la pluie, avec une plume calée en tout endroit approprié.

Comme, en outre, personne n’est prêt pour les présidentielles, entre les procès des uns et les luttes d’ego des autres, aucune procédure de destitution qui, pourtant, s’imposerait ne point à l’horizon. Chacun fait semblant de s’opposer en demandant qui une démission, irréaliste s’agissant d’une bernique (la France) psychopathe accrochée à son rocher, qui une dissolution, dépendant elle aussi du bon vouloir de Macron. Bref, le problème est moins Macron que ces enfoirés de députés de tout bord qui ne font pas leur job et, plutôt que de manifester, il faudrait faire le siège de leurs permanences et de tout endroit public où ils se produisent pour qu’ils sentent un peu monter la pression populaire.
On pourrait, dans un premier temps, symboliquement leur offrir des fleurs, pourquoi pas des chrysanthèmes, justement. Ce n’est pas interdit par la loi, ce me semble.

À leur décharge, comme eût dit Benjamin Griveau que j’aurais bien vu occuper le poste, le système est totalement vicié et ne peut porter au pouvoir que la même engeance visqueuse. Si Macron est, incontestablement, le pire à ce jour, c’est simplement un record à battre pour le futur et quand je vois le pilodéficient Philippe, le dilaté Attal, Monsieur Léa Salamé, un Mélenchon la bave aux lèvres ou encore la femme à chats (dont un passablement flétri) qui a trahi tous ses fondamentaux, entre autres prétendants à la gamelle, je me dis qu’en poussant fort sur notre gros intestin collectif, il leur reste encore quelques centimètres de marge.

Outre un faux choix parmi des candidats présélectionnés compatibles et un système inique de signatures pour les présidentielles, entre les cons, les mal informés par les médias, les égoïstes qui ne voient que leur intérêt à court terme, ceux qui veulent sciemment détruire le pays, les désillusionnés qui ne votent plus, ceux qui sont trop occupés à tenter de boucler les fins de mois et ceux qui s’en foutent, comment cette soi-disant « démocratie », a fortiori représentative, ce qui diminue commodément le nombre de personnes à corrompre, pourrait-elle produire autre chose ?

Certes, il reste le bon sens populaire, supposé transcender tout ça et percevoir, par une mesure approximative de sa dilatation anale sur l’échelle de Bruno Le Maire, ce qui est bon ou mauvais pour les Français dont une majorité a compris que l’immigration, par exemple, était un problème, si l’on en croit les sondages. Mais qu’est-ce qu’on entend par « Français » au juste ? Faute de critères spécifiques, forcément ethniques et culturels, rendus tabous au nom d’un antiracisme suicidaire, si le monde entier peut être français, au nom de quoi déclarer illégitimes les milliards cramés dans l’immigration de masse de potentiels compatriotes ou offerts en cadeau à la finance que je qualifierai d’apatride pour ne pas être taxé d’antisémitisme dès lors qu’elle a collé le mot « France » quelque part sur son organigramme ? Finance dont, dans un cercle vicieux, les membres éminents poussent à toujours plus d’immigration et à la disparition de la sécurité que constituent les identités nationales à la lueur desquelles ils apparaîtraient pour ce qu’ils ne sont pas, à savoir des Français.

La république universaliste qui se fait passer pour la France n’autorise que des oppositions en carton qui divisent et s’autocontredisent, que ce soit la gauche « anticapitaliste », mais tout aussi pro-immigration que le grand capital qui finance en douce les antifas, la droite « catholique » (donc tout aussi universaliste) qui dénonce l’immigration comme un phénomène théorique désincarné et a une demi-molle à chaque fois qu’elle voit une personne de couleur agiter un drapeau tricolore, les enrhumés du gland divers, de droite et de gauche, qui débattent souvent devant un journaliste aussi sensible aux courants d’airs qu’eux pour expliquer aux Français pourquoi l’antisémitisme c’est mal et cela inclut jusqu’aux souverainistes, fondamentalement antiracistes et républicains, ce que je pense qu’est sincèrement Asselineau (ce qui n’est pas un compliment dans ma bouche) et que fait probablement semblant d’être Philippot qui a été trop longtemps au RN pour ne pas avoir pris la mesure du problème (au-delà des 20 premiers centimètres), mais a vraisemblablement réalisé que ce n’était pas compatible avec la logique électorale, en plus d’être illégal.

Bref, tout le monde, en tout cas la majorité, a bien compris qu’il n’y a aucun sauveur à l’horizon, ce qui explique, en partie, avec les frigos encore médiocrement achalandés, pourquoi il n’y a pas, encore, de révolution.

dimanche 5 octobre 2025

Macron est plus malin que nous, il vient de nous b… (05/10/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/t1ydkaroSC0

Bonjour !
 
J’ai écouté le pervers solitaire (faute d’avoir nommé un gouvernement) qui nous tient lieu de Premier ministre. Un ténia politique, roublard, à diplôme virtuel qui veut nous la mettre par là même d’où il est sorti. Tel que je le comprends, entre les lignes (qu’on espère pas de coke) le renoncement au 49-3 et la volonté de « rendre le pouvoir aux assemblées » signifient surtout : pas besoin d’engager la responsabilité du gouvernement, donc pas de motion de censure. Ce faisant, l’homme qui habite (plus une) à l’Élysée, faute d’autre fusible à sa disposition si « Lecornu » devait se « rhabiller », tire sa dernière cartouche dans l’idée de finir tranquillement son mandat au prix de lâcher le gouvernail. 
 
Hormis quelques propositions comme remplacer l’absurde taxe Zucman par une taxe sur le patrimoine financier non professionnel, centrée sur les holdings, qui ne fera lever aucun bouclier (même fiscal), mais n’est pas à la mesure du problème, Lecornu qui, par précaution, est célibataire, se défausse élégamment de la patate chaude du budget, laissée à l’appréciation sans restrictions d’une assemblée ingouvernable, sachant que, compte tenu de la trajectoire du Titanic (la France), l’objectif premier de la couler sera atteint de toute façon, personne n’ayant envie de toucher aux centaines de milliards dilapidés en subventions diverses, officines inutiles, mirage climatique, fraude sociale, immigration, train de vie de l’état et autres participations européennes sans le clientélisme et les bakchichs desquels cette république mafieuse s’effondrerait comme la poitrine de Roselyne Bachelot sans soutien-gorge. 
 
Ce que l’on appelle aux échecs un « pat » (tu me tiens, je te tiens par la barbichette - ou par ailleurs si affinités) dont la seule résolution serait de renverser l’échiquier par une procédure de destitution. Destitution à laquelle le RN est opposé pour des calculs de boutique, Marine Le Pen, bien que ménopausée s’étant rendue à la convocation avec un petit chat toujours vivant… transporté dans un panier, peut être avec un espoir que Lecornu y mette la main. Bref, à ce stade, Macron semble bien avoir gagné.
D’autant que, sauf parenthèse hautement saponifiable à bulles potentielles de la reconnaissance tardive du tas de ruines gazaoui qui ne mange pas de pain (ni quoi que ce soit d’autre, blocus oblige), sa capacité de nuisance à l’international reste intacte. 
 
L’arraisonnement d’un navire pétrolier russe, dans le but de se faire, là aussi, mousser lors de son voyage au Danemark, revient à tester le (jusque-là) très patient Poutine en espérant qu’à force de le titiller en quelque endroit dépourvu de fourrure, l’ours finira par réagir et entamer une guerre qu’il n’a aucun intérêt géostratégique à mener, et ce, dans une course contre la montre (d’où le discours lunaire du 3 octobre en Allemagne sur la nocivité des réseaux sociaux) avant que, confrontée à son bilan, toute cette clique de gouvernants européens doive rendre des comptes à la justice… populaire si l’autre ne fonctionne pas.

Tandis que l’Australie vient de nous classer en haut de la liste mondiale en matière d’insécurité dans ses conseils aux touristes et que ça canarde en pleine rue aux quatre coins de l’hexagone (ce qui n’est ni mathématiquement ni éthiquement correct), ladite justice semble avoir décidé de rediriger ses faibles ressources vers le haut. Je ne sais pas si le mot « tal » a un sens en dehors de l’univers numismatique, mais après Sarkozy dont la paire qu’il possède est la seule part honnête et dont tout ce qui dépasse des chaussures, même si ce n’est pas beaucoup, est foncièrement pourri (je vous renvoie à ma petite chanson récapitulative de la semaine dernière) on apprend que Gérard, Miller de rien, vient enfin d’être placé en garde à vue tandis que, de toute part, tels des égouts bouchés par un excès de tampons de féministes écologistes, telle Marine Tondelier qui a fait arrêter une lesbienne racisée et visiblement malvoyante pour harcèlement amoureux à son encontre, les scandales remontent, que ce soient les frais de de déplacement, de restauration et de représentation d’Anne Hidalgo où les abus de Delphine Ernotte à France Télévision.
 
 C’est au point que l’arrachage oléophobe d’un second olivier en hommage à Gérard Halimi est rétrogradé (sans même intervention du RAID et de la police scientifique) à la rubrique des chiens casher écrasés rejoignant hiérarchiquement la flopée de meurtres, agressions et viols de Français ordinaires dont personne n’a, visiblement, rien à cirer dans un pays ou des sandwiches jambon beurre à 3€ provoquent des émeutes... pardon, j’ai mal lu, où des Tacos à 3€ provoquent des émeutes. Pour un peu, on en oublierait presque de parler, non du sexe des anges, mais de celui de Brigitte, un peu comme Candace Owens focalisée actuellement sur un Charlie Kirk assassiné à point, bien que saignant.

En attendant, pour tuer le temps qui lui n’est pas suicidaire, Macron, après Simone Veil, Joséphine Baker et Manouchian va poursuivre la colonisation du Panthéon avec le sinistre Badinter. À ce propos, l’excellent Thomas Séraphin a commis une rubrique savoureuse sur le sujet que je vous mets en description, rappelant que c’est à ce prépuçophobe que l’on doit : d’être sans solution face aux criminels récidivistes, la politique de l’excuse dans les tribunaux et la suppression de la rétention de sécurité, la censure de la loi Pasqua sur l’immigration, les collectes de sang dans les prisons avec pour conséquence le sang contaminé de sinistre mémoire et autres joyeusetés comme le premier changement de sexe officiel d’un trans à l’état civil, au point de se demander s’il a jamais existé un « Goodinter ». Par ailleurs, il s’agit d’un cénotaphe, cercueil qui ne contiendra ni le Badinter, ni le haut, puisqu’il sera vide, tout ceci n’étant que du vent, pour ne pas dire flatulence.

Dans cette monotonie hypnotique de spirale descendante de fond de cuvette qui finit par nous rendre amorphes, il faut se tourner vers les États-Unis pour avoir un peu de dynamisme. Au moins, les choses y bougent. Certes dans tous les sens et parfois opposés, mais au moins elles bougent. Que ce soit avec Trump qui, entre deux taxes utilisées comme un marteau, à tort (et non de Thor) et pour qui tout problème est un clou, trouve le temps de déclarer les antifas mouvement terroriste ou avec Elon Musk parti en croisade contre ce repaire purulent de désaxés qu’est devenu Netflix qui fait en douce la promotion du transgenrisme dans ses dessins animés pour enfants, comptant sur le fait que les parents ne les regardent pas. 
 
La chute continue du cours depuis quelques jours et l’avalanche de désabonnements fait partie des petits plaisirs à ne pas bouder, même si le LGBTQIA+√2³ est juste un caillou qu’on a mis dans notre chaussure pour qu’on se sente mieux quand on l’enlève, alors que rien n’a fondamentalement changé, sinon en pire, par rapport à avant qu’on nous le mette, mais sur le moment, on a l’impression d’avoir gagné quelque chose. Même méthode que promettre de supprimer 2 jours de congés pour ensuite y renoncer après nous avoir bien….


samedi 27 septembre 2025

SARKOZY Habillé pour l’hiver (EN CHANSON), ça lui tiendra chaud en prison (28/09/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/MOS_FXSD1vc

Paroles :

Haute trahison (Zut! Abolie)
5 ans de prison (Pas très joli).
Et même pas en prime dans son fion
Un Kärcher avec son carton.
C’est un peu comme
Si un bonhomme
Fonçait dans la foule en camion 
Défaut de ceinture : contravention.
Que de méfaits
Sarkozy
Voici les faits
Sarkozy
Et en chanson
Sarkozy
En rond, dansons
Sarkozy

C’est, c’est, c’est Sarkozy
Référendum annihilé.
C’est, c’est, c’est Sarkozy
Notre or aux Ricains refilé
C’est, c’est, c’est Sarkozy
Coût : 40 milliards envolés
C’est, c’est, c’est Sarkozy.

Il a fait tuer Kadhafi
Qui contenait l’hémorragie
Et si l’Europe est envahie
C’est lui, avec Henri-Lévy

C’est, c’est, c’est Sarkozy
À l’école, le genre introduit.
C’est, c’est, c’est Sarkozy
L’OTAN réintégrée c’est lui.
C’est, c’est, c’est Sarkozy
Les aides aux mosquées des mairies
C’est, c’est, c’est Sarkozy.

La réforme dite : RGPP
Permet à l’état de piller
L’argent des postes excédentaires
Pour boucher les déficitaires
On peut piquer sur les retraites
Pour financer l’immigration
Et dire après :« Ah, que c’est bête, 
Partez plus tard, y a plus de pognon ! »

C’est, c’est, c’est Sarkozy
Policiers aux chiffres soumis.
C’est, c’est, c’est Sarkozy
L’électricité à haut prix
C’est, c’est, c’est Sarkozy
Avec sa loi NOME, ce bandit
C’est, c’est, c’est Sarkozy.


HPST
Sa loi votée
Qui a saccagé l’hôpital
Ce gars est un génie du mal.
Sa femme maudit
Notre « sang pourri »
Quant à lui c’est : « casse-toi pauv’ con »
Et bien ma foi réciproquons.
C’est tout cela
Sarkozy.
Et pas que ça
Sarkozy.
La liste est longue
Sarkozy.
Que sonne le gong
Sarkozy.

C’est, c’est, c’est Sarkozy
Les millions à Bernard Tapie.
C’est, c’est, c’est Sarkozy
Le foot vendu aux Qataris.
C’est, c’est, c’est Sarkozy
Son divorce manquait de biscuits
C’est, c’est, c’est Sarkozy.

Et nos troupes en Afghanistan
Qu’ont coûté 1 milliard par an
Et tué 100 de nos soldats
Pour faire plaisir aux USA.

C’est, c’est, c’est Sarkozy
Mayotte, département Français
C’est, c’est Sarkozy
Avec l’explosion des déplacés
C’est, c’est Sarkozy
Car la CAF y a beaucoup de succès 
C’est, c’est Sarkozy

Et il a aussi étouffé,
Car voulant être réélu,
Tous les milliards qu’ont détournés,
Tous les syndicats corrompus.
Et c’est lui l’ouverture à gauche
Cet « extrême centre » de Macron,
Mélange propre à la débauche
Et à toutes les corruptions.

C’est, c’est, c’est Sarkozy
Cette idée qu’on doit se métisser.
C’est, c’est Sarkozy
Notre diplomatie sous corset.
C’est, c’est Sarkozy
Et d’Israël soutenir les excès
C’est, c’est Sarkozy.

 

dimanche 21 septembre 2025

Point sur la situation et ses causes (pour Andrew Tate, c’est la faute des femmes…) (21/09/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/KgvLIrvuBwE

Bonjour !

Je ne sais pas ce qui est arrivé à l’homme de Cro-Magnon, peut-être déconstruit en homo (pas assez) erectus par une Sandrine Rousseau préhistorique, mais si l’homo sapiens a survécu c’est parce que nous sommes des moutons intelligents. C’est cet instinct grégaire qui permet l’avènement d’une société hiérarchique qui, à son tour, permet une organisation collective évoluant de quelques individus rassemblés dans une grotte autour d’un feu vers une mécanique complexe de millions d’individus… seuls devant un écran : vive le progrès ! 

Quand cette mécanique que l’on appelle « le peuple » est cohérente et voit ses rouages bien huilés par une économie à SON service, elle n’a besoin que d’un cap à suivre, de garde-fous pour s’assurer qu’elle le maintient et de protection contre les attaques extérieures et intérieures, ce que l’on appelle le régalien, dévolu à l’état. Le reste se gère alors quasiment tout seul sur la base de règles de vie en bonne intelligence qui n’ont pas besoin d’être écrites, et ce, à chaque niveau (individu, entreprise, commune, département, région…) le niveau supérieur ne s’occupant que de ce qui ne peut être géré par celui de dessous, ce que l’on appelle « le principe de subsidiarité ».

En revanche, faute d’un vrai chef avec une vision, remplacée par les « compromis » (en un ou deux mots - pour cause de pseudo-démocratie) il peut arriver que le peuple perde sa cohérence et commence à tirer sur la corde dans des directions multiples et opposées au fur et à mesure que c’est lui qui est mis au service de l’économie par la corruption des politiques, action renforcée par certaines logiques communautaires que je ne nommerai pas pour ne pas être taxé d’antisémitisme et qui ont intérêt à casser l’homogénéité des peuples dans une visée suprémaciste religieuse. Conséquence : on fait venir beaucoup plus d’immigration que nécessaire, l’économie triant les 10 à 20% dont elle a besoin à bas prix, le reste étant à la charge de la collectivité et devenant autant de consommateurs supplémentaires subventionnés, les deux phénomènes, corruption et immigration, se nourrissant l’un l’autre. 
 
L’entité purement administrative et hautement corruptible que l’on appelle l’état, incapable par nature de se remettre en question, plutôt que de restaurer un minimum de cohérence, ce qui ne peut se faire qu’en admettant le fait sinon racial (pour éviter les gros mots) au moins ethnique et culturel, tente alors mécaniquement de maintenir l’édifice chancelant avec du sparadrap législatif en s’immisçant, avec le succès que l’on connaît, dans toutes les strates de la société, jusque dans les chambres à coucher. Le souci, c’est que même avec beaucoup de sparadrap, gouverner un peuple non cohérent c’est un peu comme nager contre le courant : il faut de plus en plus d’efforts et ça ne peut durer qu’un temps. Un temps malheureusement suffisamment long à l’échelle de l’individu pour que ceux qui ne rament pas puissent dire : « après-moi le déluge », raison pour laquelle, en l’état, le système démocratique dit « représentatif » ne peut rien produire de bon.

Même Macron a conscience du problème ethnique et quand il a fait, il y a presque 2 ans, un grand discours sur le « réarmement démographique » que tout le monde a oublié y compris lui si l’on en croit, depuis, les plus bas niveaux de natalité jamais enregistrés, il parlait sans le dire (s’agissant de la France) de la natalité héréditairement caucasienne, car sinon, où serait le problème lorsqu’on a un réservoir quasi inépuisable d’immigration pour compenser le déficit des naissances ?

Bien que depuis longtemps convaincu des pouvoirs magiques des cartes de séjour et d’identité plastifiées pour transformer n’importe qui en vrai français qui ne poignardera plus qu’avec des couteaux made in France, si je me fais violence et que j’examine froidement les choses d’un point de vue purement logique, comme l’informaticien que je suis à la base, techniquement, il serait tout à fait possible de rendre progressivement à la France un minimum de cohérence ethnique, au risque de provoquer chez Mélenchon une crise d’apoplexie mortelle. 
 
En revanche, comme pour une gangrène trop avancée, si je laisse la tronçonneuse à Milei, il faudrait au moins sortir la scie égoïne, encourant les mêmes risques de revers électoraux que lui, du fait que d’autres proposent encore une pommade parfumée totalement inefficace qui, certes, masque l’odeur de pourriture, mais conduira à la mort inéluctable du patient toujours preneur d’une solution miraculeuse électoralement moins effrayante et moins pénible sur le moment. Quand je dis « mort » cela ne veut pas dire qu’il ne subsistera pas un territoire qu’on appellera « la France » avec des gens dessus, mais ce serait un infâme trou à rats avec probablement quelques sites préservés pour les quelques touristes osant encore s’y aventurer et peut-être, profitant du chaos ambiant, quelques poches de résistance qui auront su s’affranchir de l’interdiction, faite aux seuls autochtones, de se regrouper en communautés. 
 
Dès lors, sauf à cloner en masse du Léon Marchand plutôt que du Bruno Retailleau (question de goût), il faudrait trouver un moyen de détourner suffisamment les jeunes femmes de souche ou compatibles d’Instagram (la collision entre le smartphone et la gent féminine ayant été la plus grande catastrophe naturelle depuis la météorite qui a percuté la terre et éteint les dinosaures) pour, sinon les contraindre (ce que même la Corée du Nord a échoué à faire) au minimum fortement les inciter à avoir au moins 3 enfants non culturellement enrichis. Par exemple en augmentant considérablement les allocations familiales, lesquelles leur seraient alors strictement réservées, par une infâme discrimination, pour que la chose soit finançable, tout en valorisant le rôle de mère et la colorimétrie traditionnelle dans les médias, les publicités et le cinéma, entre autres. 
 
La question épineuse des critères d’éligibilité se posera immanquablement et il conviendra d’éviter de se balader avec un nuancier Dulux Valentine et de répéter certaines exagérations du passé, le but étant avant tout de valoriser la tendance et de laisser faire le conformisme féminin, un peu comme la mode navrante du tatouage qui s’estompe au profit d’un nouveau « clean look » très tendance et très onéreux pour celles qui avaient suivi la mode précédente et qui se précipitent pour se faire détatouer à prix d’or. 

Il va sans dire qu’il faudrait également limiter l’immigration à une immigration d’essence européenne ou occidentale et s’asseoir sur le droit d’asile, lequel prévoit, par ailleurs, que les réfugiés sont supposés s’installer dans le premier pays proche non en guerre, ce qui exclut déjà, en l’état, ceux qui en traversent 10 pour venir spécifiquement chez nous. Tant qu’à faire hurler la CEDH autant y aller franchement et procéder à la déchéance immédiate de la nationalité de tous les binationaux, suivie de l’expulsion, voire plus si affinités et refus d’obtempérer, de tous les illégaux en commençant par les criminels. 

Les enfants devant être éduqués dans de bonnes conditions, autre frein à la natalité, il faudrait également réformer complètement le système scolaire et paradoxalement le rendre payant, même symboliquement, avec remboursement pour ceux qui ont la moyenne sur le trimestre et même obtention de crédits pour les meilleurs élèves pouvant, une fois cumulés, être convertis en bourses en fin de scolarité pour les études longues. Une école qui ne serait plus obligatoire, de sorte à pouvoir en exclure les éléments perturbateurs, chacun étant libre de la faire à la maison s’il le souhaite. 
 
Si cela vous choque, ce que je peux comprendre, étant moi-même à deux doigts de me dénoncer, sachez que j’ai gardé les plus radicales de mes idées pour moi ne souhaitant pas avoir sur la conscience une hécatombe à la France Insoumise et faire s’étrangler jusqu’à Marine Le Pen. Autant vous dire qu’on n’est pas près de voir un homme politique proposer ce genre de programme qui par ailleurs n’a aucun sens en démocratie sauf à viser des scores asseliniens qui, lui aussi, s’étranglerait. Vous commencez, je l’espère, à voir où se situe le problème.

La logique (de même que les IA non bridées qui s’en nourrissent) étant une immonde raciste, je dois lutter au quotidien contre mon alter ego démoniaque informaticien qui, à sa décharge, aurait le même discours au Cameroun, en Chine ou au Japon pays, comme la plupart des nations du monde non occidental, pour lesquels la préférence ethnique est une évidence, et il me semble logique qu’ils appliquent la réciproque s’ils l’estiment nécessaire. 
 
Par ailleurs, pour que les choses soient bien claires si le « sentiment » de race, qui vaut bien celui d’insécurité, peut être un facteur de cohérence et de cohésion, l’instinct nous poussant à aller vers ce qui nous ressemble, il n’est certainement pas suffisant en soi. Si tout européen s’intégrera, sans souci, en France en tant qu’individu, paradoxalement, les barrières culturelles produites par des millénaires de guerres et surtout les langues qui modifient considérablement la façon de penser, font qu'en tant que bloc, l'Allemand, par exemple, sera plus compatible avec le Japon dont la langue place aussi le verbe en fin de phrase qu'avec la France et je connais une entreprise japonaise qui a essayé d'implanter une usine en France et a dû renoncer en raison du fossé culturel avant de se tourner vers l'Allemagne où tout s'est parfaitement bien passé. 
 
Dès lors, l’utopie d’une nation européenne « organique » de Brest à Vladivostok que j’ai entendu évoquer sur un blog dissident célèbre et qui serait effectivement idéale pour affronter la Chine et les USA, n’a malheureusement aucune chance de voir le jour, sur cette seule base en tout cas, et l’échec incontestable d’une UE chancelante, même si diamétralement opposée à cette idée dans ses fondations, a été un révélateur des limites de l’exercice.
Nous sommes donc probablement condamnés à régler les problèmes à l’échelle de la nation en négociant des alliances incertaines dans un monde de géants économiques, ce qui n’est pas idéal. 
 
Pour en revenir à nos moutons, une fois le problème principal de la natalité identifié, il est donc évident que les femmes sont centrales dans le processus. Cela m’attriste de risquer un lynchage juste en rappelant que leur fonction biologique première est d’avoir des enfants et que (sauf peut-être chez certaines premières dames) leur corps, de la poitrine au vagin, aux hanches et aux réserves de graisse sur les fesses est entièrement déterminé par ladite fonction, jusqu’à leur cerveau qui est câblé pour le multitâche et davantage de compassion avec un zeste de masochisme qui les prépare à l’enfantement. Cela ne veut pas dire qu’elles sont forcément réduites à ça et rien n’empêche d’enfoncer un clou avec une clé à molette de sorte que, contrairement à ce que leur a inculqué la mode du féminisme, ce n’est pas soit la maternité, soit la carrière. Sinon qu’on m’explique les 7 enfants de l’infâme von der Leyen pour ne citer qu’elle. 

Cette conception erronée est une des causes du gouffre qui s’élargit de jour en jour, notamment chez les jeunes, mais pas que, entre des femmes d’un côté, laissées en roue libre par un état qui a prétendu remplacer le rôle protecteur de l’homme et qui se dérobe sous leurs pieds en faisant des proies idéales pour des prédateurs allogènes, femmes à l’origine de 75% des divorces et en concurrence acharnée sur Tinder pour le faible pourcentage d’hommes qui coche toutes les cases de leur hypergamie exponentielle et, de l’autre côté, des hommes castrés de naissance par le discours ambiant, la diabolisation de leur masculinité et l’exposition aux perturbateurs endocriniens qui ont pris la mesure du ratio bénéfices-risques à récupérer les restes, à l’approche de la date de péremption, et préfèrent jouer aux jeux vidéo. Inutile de préciser que la reprise de la natalité n’est pas pour demain. 
 
Il n'en faut pas davantage à certains masculinistes, à la Andrew Tate (j’espère, pas encore sa mère), pour rejeter sur les femmes la responsabilité de la situation en remarquant, ce qui est vrai, que, tout en en étant les principales victimes, elles votent majoritairement pour davantage d’immigration et sont plus réceptives aux utopies gauchistes qui nient la réalité. Sa solution serait qu’on leur retire le droit de vote et toute fonction représentative et hiérarchique. Outre le fait que le système démocratique est suffisamment biaisé en l’état pour que la chose ne fasse aucune différence, les femmes n’ayant pas eu le droit de vote pour se voter le droit de vote, ceux qui le leur ont accordé sont forcément les hommes et si c’était une telle connerie et qu’ils l’ont commise, en quoi sont-ils plus capables qu’elles ? 
 
Si tous les hommes étaient des Andrew Tate d’un mètre 90, 100kg, moins de 10% de matière grasse, dégoulinant de testostérone et roulant en Maserati, nul doute que nombre de femmes n’aurait pas d’objection à bénéficier d’une carte Gold tout en s’occupant des enfants dans une somptueuse résidence, la plupart des caissières de grandes surfaces et autres femmes de ménage que je connais ne travaillant généralement pas par choix. Même Sandrine Rousseau, face à cette option, regarderait peut-être son homme déconstruit en se demandant si, en enlevant le scotch, il rentrerait dans la poubelle jaune, recyclage oblige. 
 
Force est de reconnaître que la majorité des hommes n’est pas Andrews Tate, lequel, par ailleurs, surjoue un peu le personnage pour justifier sa calvitie, comme la majorité des femmes n’est pas Sydney Sweeney, et si effectivement, les femmes votent davantage avec leurs émotions en faveur de ce qui nous détruit, un nombre considérable d’hommes soja vote dans le même sens et c'est encore pire dans la sphère politique où j'ai du mal à percevoir des différences morphologiques significatives entre Gabriel Attal et Élisabeth Borne. Inutile de dire que, dans ces conditions, si on votait demain pour supprimer le droit de vote aux femmes, la majorité des hommes, résolument et paradoxalement féministe, voterait contre. C’est donc à mon sens un faux débat qui évite de remettre en cause le système lui-même.

Si toutefois, on s’entête dans l’illusion démocratique, on pourrait effectivement, au moins reconsidérer le droit de vote en général qui, pour être réorienté dans l’intérêt du collectif, serait alors réservé aux seuls hommes réputés colorimétriquement « privilégiés » non binationaux, exerçant une activité depuis un certain temps et ayant effectué le rite de passage du service militaire qu’on devrait réinstaurer et qui donnerait le droit au port d’arme, ainsi qu’aux seules femmes monochromes en RGB 255 ayant eu trois enfants (leur rite de passage à elles) qui leur ouvrirait, en outre, de nombreux droits supplémentaires, comme l’accès à un compte bancaire indépendant (plus incitatif que le droit de vote) et avantages spécifiques pour réussir, si elles le souhaitent, une vie professionnelle à l’issue. Ce serait certes une perte partielle de droits, mais mieux qu’une perte complète à moyen (voire à court terme) quand des populations qui vont beaucoup plus loin qu’Andrew Tate et sont en passe de gagner la guerre démographique finiront par les recouvrir d’un sac de patates avec hublot.

Il faut également comprendre que si les femmes ont été sorties de la cuisine, cela n’a rien à voir avec une quelconque émancipation égalitaire, mais répond à une logique purement économique. Les évolutions technologiques, amplifiées par le développement du tertiaire, ont fait que la complémentarité originelle, à une époque où le travail était plus distinctement réparti en fonction de la force physique, s’est muée en concurrence directe, les femmes étant aussi qualifiées que les hommes pour remplir des tableaux Excel, appuyer sur des boutons ou blablater dans des réunions. Cela a donné à une économie, qui n’attendait que ça, l’opportunité de baisser le coût du travail en encourageant le travail féminin par un discours dévalorisant la famille au profit de la consommation heureuse et de la sexualité débridée en oubliant de préciser la date de péremption et, au bout du chemin, le vide affectif comblé avec des chats. Il en est résulté qu’une majorité d’hommes ne pouvait plus subvenir aux besoins d’une famille avec leur seul salaire, mettant encore davantage de femmes, y compris celles qui préféreraient rester à la maison, sur le marché du travail, faisant encore baisser son coût dans un cercle vicieux, aggravé par une immigration massive.

Renverser la vapeur reviendrait donc automatiquement à augmenter ledit coût du travail en raréfiant l’offre, et ce, dans un marché mondialisé de tendance opposée. Pour autant cela compenserait à peine l’hécatombe d’emplois due à l’intelligence artificielle qui risque de mettre tout le monde d’accord et qu’il convient d’anticiper, l’économie ayant alors un nouvel intérêt à promouvoir la femme au foyer plus susceptible de commander en ligne et les gouvernements à artificiellement faire baisser les chiffres d'un chômage qui risque d'exploser. En outre, une fois conceptualisé le fait que la dette mondiale (qu’on ne pourrait pas imprimer en rasant toute la forêt équatoriale) convertie en billets de 10€ empilés permettrait déjà d’atteindre Mars en orbite basse, organiser la société autour d’une économie basée sur de l’argent qui n’a que la valeur qu’on veut bien lui donner au détriment de la sécurité et de la cohérence des populations ne me semble pas la meilleure option pour le futur, car un peuple cohérent peut toujours rebondir, un cadavre moins. Je préférerais donc que l’on mise sur l’organique et l’ethnique ainsi que sur le fait qu’après quelques périodes d’adaptation difficiles, le génie français (s’il est préservé des coups de couteau, des balles perdues, de la théorie du genre et de la créolisation mélenchonienne) pourvoira comme il l’a toujours fait par le passé.


dimanche 14 septembre 2025

Les USA au bord de la guerre civile et, accessoirement, nous avons un nouveau Premier ministre… (14/09/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube :  https://youtu.be/VPsxdouP04M

Bonjour !

Au moins avec Lecornu comme Premier ministre, on sait à quoi on « Satan ». C’était, paraît-il, le chouchou dans la course de la moitié à perruque du président, moitié qu’on aimerait plus connue pour son entregent que pour son entrejambe, le seul fait d’évoquer « Lecornu de Brigitte » ayant un effet négatif instantané sur ma libido. La seule chose à retenir est que le RN aurait, dans quelque sombre alcôve, signé un pacte de circonstance avec Le(dit)cornu, par l’entremise d’un Sarkozy pareillement équipé par sa première épouse. Il laissera donc, probablement, Macron en place dans l’attente d’une loi d’amnistie qui permettrait à l’amateur de talonnettes de ne pas compléter sa collection de bracelets électroniques et à Marine de se présenter aux futures présidentielles, scellant sur notre dos ledit pacte en donnant un coup de main ou plutôt de « Menton » (mairie servie sur un plateau d’argent) au fiston tatoué du « Nicolas qui touche ». 
 
Alors qu’à Londres près d’un million d’Anglais ont manifesté contre l’immigration, je ne vais pas m’étendre non plus sur le flop prévisible d’un 10 septembre transformé en gâchis parmentier par les patates de gauche qui ont bravé le réchauffement climatique pour manifester pour la Palestine, plus de migrants et moins de nazis, le tout sous les couleurs LGBT, encapsulant exactement l’essence (à 1,80€ le litre) de ce que réclamaient les gueux et « Nicolas qui paye » pourtant inexplicablement absents des cortèges, alors même qu’on leur avait fait de la place en tabassant et chassant tout ce qui arborait un drapeau bleu-blanc-rouge nauséabond. Les quelques bus et poubelles cramés n’ont même pas réussi à réchauffer le cœur glacé de l’agence de notation Fitch qui a encore dégradé la note française, reléguée au niveau de l’Estonie ou de Malte, mettant et les points sur les i et des « i » sur les poings… levés, transformant la dette en véritable diète inévitable. 
 
Dans cette odeur de pourriture fermentée qui accompagne la décomposition de la France, c’est à peine si on remarque olfactivement un Patrick Cohen, pris en flagrant délit de manipulation électorale, mais gracié par ses pairs. De même, l’énergie nous manque pour se demander si le violeur récemment appréhendé, de la victime (Agathe Hilairet) 2 pour le coup, mais 3 dans la réalité (s’agissant, comme de bien entendu, d’un multirécidiviste) l’a violée pré ou post-mortem. Il est vrai que pendant que les forces de l’ordre sont occupées à traquer l’origine de têtes de cochons qu’on subodore avoir été posées par Poutine en personne devant des mosquées, le flot d’horreurs charrié, depuis, par un torrent d’enrichissement culturel relègue désormais le sordide au rang de simple fait divers d’une affligeante banalité.

Il faut donc se tourner vers les États-Unis pour retrouver un peu de fraîcheur et de dynamisme dans le mortifère et si vous ne saviez pas qui était Charlie Kirk, assassiné en plein meeting dans un jet de sang spectaculaire (pour ceux qui ont vu la vidéo) nul doute que, sauf à avoir passé les derniers jours dans un coma éthylique profond au milieu des poules de Yaël Braun Pivet, cette lacune aura été, depuis, médiatiquement corrigée.

L’idéologie de feu Charlie Kirk relève de la contradiction typique de cette droite américaine chrétienne, donc universaliste, qui ne réalise pas qu’elle est un oxymore, sans réelle différence avec la gauche, tout aussi universaliste, qu’elle combat, si ce n’est sa religion, issue comme l’Islam, d’un « fork » de la version originale judaïque conçue pour des amateurs de chèvres nymphomanes et péniblement adaptée aux peuples européens, contre leur nature profonde, en phagocytant les fêtes païennes préexistantes. Une religion dont d’ailleurs la gauche, bien que l’ayant rejetée, reste complètement imprégnée dans ses fondamentaux. Tendre l’autre joue a participé à la chute de Rome autant que les orgies décadentes et l’histoire bégaie selon le même schéma avec notre civilisation, elle aussi passivement envahie par des barbares tandis que les élites s’enculent. 
 
Sans rentrer dans les détails, le bien dont chacun se réclame et le mal dont on affuble l’autre sont des termes mal choisis. Le bon sens suffit à discerner ce qui construit de ce qui délite, mais seulement en fonction d’un but qui lui donne un sens. Viendra alors, toujours un moment où il faudra choisir entre la promesse quasi électorale du paradis dans le ciel et la nécessité de se défendre et d’annihiler sans pitié ses ennemis, seule façon d’avoir un semblant de tranquillité et accessoirement de bonheur sur terre, finalité contradictoire, voire blasphématoire. Ceux qui prétendent concilier les deux, souvent à coup de dollars, qui sont un dieu qui en vaut un autre, ne m’inspirent jamais une grande confiance.

Charlie Kirk, multimillionnaire, largement financé par le lobby sioniste, vivait très bien de ce qu’il dénonçait, comme de nombreux influenceurs qui « dénoncent apostoliques » et vous demandent des sous pour acheter une meilleure caméra, ce qui est supposé rendre la lutte plus efficace, l’argent, c’est bien connu, étant le nerf de la guerre. Certains mauvais esprits diront que si on vit bien de ce que l’on dénonce on n’a pas forcément intérêt à ce que cela s’arrête, un peu comme France Travail et le chômage ou les députés et la république. 
 
Toujours est-il qu’il avait trouvé sa martingale de ChatGPT humain, consistant, après des mois d’entraînement au débat et l’ingurgitation de tonnes de statistiques (ce qui, il faut le lui reconnaître, demande du travail, de la discipline et aussi du talent) à aller sur les campus américains pour débattre en public et sans filet des étudiants gauchistes en théorie du genre, à neurones aléatoires, à peu près aussi illettrés que les nôtres, mais avec des tonnes de dettes en plus, faisant le buzz sur internet avec ses victoires faciles. Un peu comme si un pro du MMA allait combattre un Emmanuel Macron non photoshopé. Étrangement, quand un autre spécialiste sur le même segment de marché, et tout aussi plein de contradictions et de dollars, mais antisioniste et plus doué, comme Nick Fuentes, lui a demandé un débat, là, il a eu piscine. Nul n’est parfait. 
 
D’aucuns disent qu’il était en train de tourner casaque sur Israël, face à un génocide pas très « catholique » dont le soutien commençait à trop lui étirer les adducteurs par manque de cartouches argumentaires et devant la bronca d’une partie de ses suiveurs. Il aurait même refusé une invitation directe par Netanyahou, lequel a été le premier à prendre la parole après sa mort, puis a annoncé ensuite qu’il n’y était pour rien. Chacun en tirera ses conclusions, Ben Shapiro, sioniste rabique, ayant annoncé qu’il allait reprendre le flambeau.

Du point de vue du jeu de dupes de la politique politicienne, Charlie Kirk a quand même réussi à ramener des dizaines de milliers de jeunes dans l’escarcelle de Trump et lui a probablement fait gagner l’élection. Il avait d’ailleurs ses entrées à la maison blanche et certains le voyaient déjà comme un futur présidentiable. 
 
Inutile de dire que, depuis son assassinat par un individu au profil improbable, vivant avec un trans et qu’on voit mal organiser seul la logistique de l’opération, plus personne ne parle de la liste d’Epstein. Trump va donc faire durer au maximum, à coup de cérémonies diverses, profitant du torrent de chaudes larmes de crocodiles allergiques au pollen, déversées par moult influenceurs, n’oubliant jamais de ramener la chose à leur sujet de prédilection (à savoir eux-mêmes) tout en en faisant des tonnes sur la veuve éplorée (mais combative et pas abattue, elle) et les 2 enfants en bas âge que laisse Charlie Kirk. Un aspect qui, je l’avoue, comme tout humain normalement constitué, à momentanément embué mes globes oculaires, Candace Owens, par exemple, qui elle était une amie proche, ayant été particulièrement émouvante et sobre dans son hommage.

Comme nous vivons dans la réalité alternative montrée par les écrans, quand un influenceur est tué dans la vraie vie, cassant l’illusion de sécurité derrière son smartphone, la réalisation soudaine que le courage verbal (facile dans un pays protégé, comme les USA, par une quasi totale liberté d’expression) doit se muer en courage physique pour pouvoir continuer à ouvrir son clapet, est un réveil qui peut être douloureux dans les deux camps. C’est peu de dire que l’Amérique, incurablement malade de sa diversité, ce que la fracture artificielle républicains – démocrates, en passe de se transformer en guerre, tente de masquer, est en état de choc. 
 
D’ores et déjà, la droite américaine applique les méthodes de la gauche, parle de censure, et plusieurs centaines, parmi les milliers de crétins qui s’étaient réjouis de la mort de Charlie Kirk sur les réseaux, ont déjà perdu leur emploi face à une déferlante de dénonciations et certains, dont l’adresse a été publiée, doivent même déménager. Tout le monde sent que la cocotte-minute occidentale est sur le point d’exploser, et la seule question qui se pose est de savoir dans quel pays ça va péter en premier et dans quelle direction : verticale comme au Népal avec des ministres déshabillés et battus et le feu mis aux bâtiments institutionnels, ou horizontale, style émeutes raciales ou guerre civile entre blancs devenue un préalable à toute opération de remigration sérieuse ? Est-ce que le catalyseur Charlie Kirk sera suffisant pour que la réaction en chaîne commence aux États-Unis ? Réponse dans pas trop longtemps.


samedi 6 septembre 2025

Une vraie chanteuse n’aurait pas osé. Merci l’IA (07/09/2025)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube :  https://youtu.be/SXg-do6ex6g

Paroles :

On a raccourci bien vite, Louis XVI plutôt un bon gars
Sa femme n’avait point de bite et lui n’était point gaga
On fête ça en république, l’école dit que là ça va
Quelqu’un de trop monarchique, on le tranche sous les vivats
Pourtant pour Macron, Brigitte, qui infligent tant de dégâts
Le bon peuple qui décapite, a piscine ou bien Yoga

On s’est ramollis mes frères, peut -être qu’on est trop gentils
Trop dilatés par l’arrière, ils croient que c’est consenti
Pas sûr que si on défile et qu’on demande gentiment
De bébé à pédophile, de faire preuve de sentiments
Ces menteurs pathologiques qui sont au gouvernement
Généreux en coups de triques en cas de débordement
Renoncent à leurs commissions, touchées pour brader la France
Usant de leur position, pour servir qui les finance

C’est vrai Marie-Antoinette a merdé sur les brioches
De là à couper sa tête et à maltraiter ses mioches
C’était peut-être un peu trop, mais c’est ça la république
Compassion, va de retro, pas de place pour les suppliques.
Donc ses valeurs respectons, après dû procès s’entend
De bon cœur décapitons, on est cuits si on attend

On pourrait faire une charrette, y mettre Hollande, Sarkozy
Et pour qu’elle soit bien complète, certains complices bien choisis
Dans les médias y a du monde, dans le politique aussi
Plus les lobbies à la ronde, des milliers seraient occis
De quoi freiner l’enthousiasme, chez ceux du même acabit
Agglutinés tels des miasmes, prêts à enfiler l’habit.

C’est une chanson satirique qui m’est venue en dormant
Moi je suis un pacifique et je condamne fermement
Surtout ne partagez pas ces paroles si malfaisantes
Tous ces appels au trépas, ces suggestions malaisantes
Enfouissez plutôt la tête, dans le sable, les fesses à l’air
C’est plus sûr, je le répète, que d’être révolutionnaire


 

dimanche 31 août 2025

BAYROU crache sur les BOOMERS. Est-ce qu’il a raison ? (Je vais encore fâcher du monde) (31/08/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/oczq1K6PUTw

Bonjour !

Quand on tape avec un marteau sur une boomeuse (qui l’était tout autant pour accueillir régulièrement chez elle des migrants vendeurs de cigarettes de contrebande) on arrive au bout de la connerie humaine et inévitablement, le « bout meurt » du fait qu’à l’inverse, le heurt ne fait pas boom, même sur un crâne pourtant ostensiblement creux, mais plutôt « crack » comme l’a sans doute découvert un migrant Marocain (qui en fumait peut-être) lorsqu’il a tenté l’expérience sonore, apportant sa modeste contribution à l’éradication de cette plaie semi-incontinente qui, selon le juvénile François Bayrou, est la cause de tous nos maux, à savoir le boomer. Si, au cas particulier, mon compassionomètre pour cette victime (tardive à 71 ans) de la sélection naturelle, même en changeant les piles, reste obstinément sur zéro, blâmer lesdits « boomers », concept particulièrement ambigu (supposé regrouper ceux, issus du baby-boom, qui ont bénéficié des 30 glorieuses) plutôt que les gouvernements successifs que, certes, ils ont élus, me semble, au cas particulier, « auricularotracté » plutôt que tiré par les cheveux, compte tenu de la surface utile de notre futur ex-Premier ministre.

Cela sous-entend, surtout avec ce type d’oreilles, que la démocratie « représentative » fonctionne et que ce seraient les seuls boomers, dont la proportion qui a profité et profite encore du système reste à déterminer, qui bien que disposant d’une offre politique proposant des choix meilleurs et étant loyalement informés, auraient sciemment, les salauds, fait les mauvais choix à long terme et qui encore aujourd’hui, en votant avec l’espoir que ça tienne jusqu’à la tombe, paralyseraient toute évolution démocratique.

Juste avant les boomers, il s’est quand même passé deux ou trois trucs, donc, si on veut vraiment remonter aux causes, il me semble que c’est Soral qui, un jour, a posé la question : « Si Hitler, qui combattait une certaine communauté, a perdu la guerre, qui au juste l’a gagnée ? ». Honnêtement, je ne vois pas, mais comme certains sites de mauvais aloi donnent quelques indices, évoquant de mystérieuses créatures ornées d’une coiffe bizarre qui se caractérisent par leur goût pour la couleur bleue, leur petite queue raccourcie qui frétille et leur tendance à écouter ce qu’un vénérable vieillard à barbe leur dit après avoir consulté un vieux grimoire, étant, moi-même, un amateur de bandes dessinées, je vais dire, au hasard : les Schtroumpfs.

En dehors de leur village où c’est la règle, les Schtroumpfs, par essence inassimilables et qui seront toujours des Schtroumpfs dans 2000 ans, sont farouchement opposés à toute forme de nationalisme sérieux… chez les autres. Un nationalisme dont le principe de base serait, à minima, d’exclure tout risque de double allégeance et de définir sa singularité en tant que peuple. Dans cet environnement, un Schtroumpf est un peu comme un morpion fluorescent sur les testicules gargaméliens d’une Première dame et ça ne finit généralement pas très bien pour lui.

Le général de Gaulle étant revenu de Londres en se grattant suffisamment le scrotum pour ne pas nécessiter de loupiote lors d’expéditions nocturnes aux toilettes, il va sans dire que (même si, tout système visant à sa propre préservation, nul n’a jamais attendu après quiconque pour éliminer la concurrence) toute option nationaliste sérieuse et, au-delà, toute offre politique non républicaine, a été bannie. Seule une candidature royaliste qui plus est non absolutiste, universaliste et antiraciste avec un discours pouvant faire tomber Asselineau pour plagiat (je vous mets le lien en description) a été tolérée sous la 5e république en 74 et 81 et ne serait même plus possible aujourd’hui avec les parrainages.

Dès lors, quoi qu’aient voté les boomers, sur la base de promesses jamais tenues de toute façon, ils avaient, au mieux, tout comme nous, le choix du parfum du lubrifiant « aqueux » dilatant, que ce soit avec la gauche mitterrandienne, parfum « SOS racisme » ou avec Giscard et autres Chirac, parfum « regroupement familial ». 

Ce choix cornélien entre le pareil et le même a toujours été cornaqué par une presse aux ordres, les médias actuels qui (comme on a pu le voir avec la fabrication anale d’huile d’olive première pression à froid quand Le Pen père a atteint le second tour) déjà, en 2002, fonctionnaient parfaitement à l’unisson, n’étant que le prolongement des différentes variantes de feu le ministère de l’information. Faute d’Internet (lequel, de par son avalanche de clous remplaçant l’autre, nous a transformés en poissons rouges) lesdits boomers, de surcroît conditionnés, dès l’enfance, par Fernand Nathan à avoir une confiance aveugle dans un système qui semblait fonctionner, d’où, encore aujourd’hui, un vote pavlovien majoritaire pour ce dernier qui, c’est vrai, bloquerait toute possibilité d’évolution démocratique si la chose était réellement une option, n’étaient informés de rien d’important. Un conditionnement à l’universalisme qui fait que, face à l’immigration de masse, certains sont, comme des dodos, à attendre de devenir éternels, à coup de marteau, avec le sourire, un panneau « welcome » dans les mains, tandis que leurs hémorroïdes, plus réalistes, prient fiévreusement pour que le manche soit dépourvu d’échardes. 

Il n’empêche que, quand on voit un Cohn-Bendit avec plus de retraites qu’un chien LGBT a de puces genderfluides qui, à 80 balais, vient d’obtenir un rond de serviette rémunéré à BFM, on peut comprendre un certain ressentiment. Il est même certain que, parmi ceux qui abusent, d’aucuns, parfaitement conscients de la situation, en jouissent au sens érotique et pervers du terme. Des enfoirés qui s’abritent derrière un bloc générationnel artificiel pour sortir l’argument, au demeurant exact, que beaucoup de retraités se débattent avec moins de 1000€ par mois et que donc eux, par capillarité, avec leurs retraites mirobolantes, gagnées à la sueur de notre front après des décennies de parasitisme délétère, ne seraient pas des privilégiés, un peu comme certains se cachent derrière l’antisémitisme pour justifier leurs exactions. 

Mais, outre le fait que les vrais riches ne sont jamais à la retraite et se débrouillent d’une autre façon, qu’entre les 30 milliards du fond Jospin, les fonds de réserve des mutuelles et les 24 milliards de la CADES on disposait, avant pillage gouvernemental, de plus de 175 milliards pour tenir jusqu’à ce que la vague boomer passe, que lesdites retraites pèsent moins que les 212 milliards versés sans contrepartie aux grandes entreprises ou les 107 milliards dilapidés en agences gouvernementales inutiles, si on veut vraiment se disputer sur la répartition des miettes, il faudrait être particulièrement naïf pour ne pas comprendre que, sauf peut-être, en Australie, le pognon que le « boomer rend » ne revient pas et que ce qu’ils ne toucheraient plus serait quand même capté par un système parasitaire dans la bourse de Nicolas, mais irait simplement ailleurs. 
 
Le système cherche juste une excuse pour, désormais, s’attaquer aux retraités, en commençant par les plus modestes, car sinon, comme l’état obèse et la finance sont hors-jeu, ne resterait que l’immigration. Le choix est donc vite fait pour qui connaît l’ordre des priorités étatiques et réalise que, tandis que l’on pille impunément les églises, on a fait venir la police scientifique pour l’arbre en mémoire de Ian Halimi scié et que c’est un segment d’ADN qui a permis d’identifier les coupables, deux jumeaux tunisiens, jugées, eux, en comparution immédiate, un peu comme cette squatteuse qui avait eu la mauvaise idée de s’installer chez un magistrat, expulsée et jugée en un temps record. Bref, les boomers, relégués en milieu de classement, a fortiori si quintuples vaccinés et avec en perspective la loi « fin de vie » (même si retardée en cas de bouleversement ministériel), sont juste une diversion provisoire.

On ne peut pas, par ailleurs, leur reprocher un égoïsme, parfois réel, si c’est simplement pour le remplacer par un autre. « Donne-moi, parce que c’est mon tour ! » ne marche que par la force. Sinon, en l’absence de préceptes moraux ou religieux supérieurs, on ne peut être légitime à réclamer que si c’est pour un intérêt supérieur réel, comme la continuité d’un peuple clairement défini qui donne un sens à la transmission. Comme cette identité a été détruite, il n’y a plus de solidarité, a fortiori avec un substrat d’enrichisseurs culturels, ni même d’intérêt pour le pays de sorte qu’en dépit des velléités guerrières de Macron, si demain le Lichtenstein décidait de nous envahir, il arriverait jusqu’à Paris sans rencontrer la moindre résistance.
 
Par ailleurs, les mêmes qui protestent, souvent éduqués dans le mythe de l’enfant roi, vivent dans l’illusion que quelque chose leur est dû, alors qu’il n’est qu’à voir comment les enfants sont traités, exploités et vendus, souvent par leurs propres parents, dans certaines parties du monde pour relativiser l’amour parental au-delà du lien purement animal qui, même dans la nature, disparaît une fois le jeune autonome et libère ses géniteurs de toute obligation contractuelle. Une nature qui n’a prévu ni le concept d’adolescent, ni celui d’adulescent, de joueur compulsif agoraphobe et encore moins celui de programmeur quadragénaire au chômage à cause de l’Intelligence Artificielle auxquels les boomers sont la première génération à avoir été confrontée, chose qui peut les condamner à la parentalité à perpète et à baigner dans un sentiment d’échec, jusqu’au moment où ils seront inévitablement placés en EHPAD. 
 
En l’absence d’une perspective pérenne de transmission de quelque chose, la tentation est alors grande de tomber dans le calcul avantages - inconvénients. Il ne faut pas oublier que, même dans le monde occidental, la propension aux familles nombreuses coïncidait avec la nécessité d’avoir davantage de bras pour les champs ou un espoir statistique d’assurance vieillesse, puis pour les parents desdits boomers eux-mêmes, avec le fait que les allocs permettaient enfin l’accès à certains biens de consommation, comme parfaitement illustré par le roman bien connu « les petits enfants du siècle ». Une fois ces besoins devenus obsolètes, la natalité a fortement chuté et c’est l’enfant lui-même qui est devenu un objet de marketing et de réponse conditionnée à une envie, comme le dernier iPhone devant l’écran duquel les fils et petits-fils desdits boomers l’élèvent.

Bref, les boomers ne sont ni meilleurs ni pires que les autres. Le fond du problème, la nature humaine étant ce qu’elle est, reste que sans le ciment de l’identité de groupe, la solidarité générationnelle a vocation à disparaître dans les deux sens et se battre pour autre chose que la retrouver revient à placer la charrue avant les bœufs.


dimanche 24 août 2025

Sandrine à la rescousse, tortures en direct et effondrement généralisé… (24/08/2025)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/8kaODqW7gNU

Bonjour !
 
Prenons la phrase : « Brigitte déchira malencontreusement sa robe, dévoilant deux énormes testicules et un ticket de banco qu’elle avait déjà grattés ». Dans ce cas, c’est la règle de l’accord du participe passé du verbe avoir avec le COD antéposé, c’est-à-dire la présence ou non d’un S à « grattés », qui seule permettra de déterminer si l’action de gratter concerne simplement le ticket, ou également les testicules, conséquence d’une présence éventuelle de morpions. Un mystère de plus, lui aussi en « suspens » comme lesdits testicules et susceptible de se retrouver, d’ici une semaine, dans la saison 2 de « devenir Brigitte » par Candace Owens si on laisse faire le Conseil Scientifique de l’Éducation Nationale. En effet, ce dernier, alarmé par la dégringolade de la France dans tous les classements internationaux, propose de supprimer ladite règle au prétexte que moins de 20% des élèves semblent en avoir vaguement entendu parler et qu’elle est responsable de la majorité des fautes en dictée. 

On peut certes blâmer, à raison, l’éducation nationale et l’apprentissage de l’alphabet dans le désordre en commençant par « LGBT », pour, après le CO2, traiter le COD comme de la merde a potentiel indice Cambronne élevé, mais quand je vois l’affaire Pormanove, torturé à mort sur « Blink » pour faire des vues et olfactivement tout aussi condamnable, je me dis qu’il y a quand même un retour aux jeux du cirque et une dégénérescence globale de la population, aggravée (et seulement aggravée) par ladite éducation et l’importation massive de QI fortement gravitationnels. 
 
Dans ces moments d’immense solitude, non suicidaire (j’insiste), une entité maléfique, tapie, telle une velléité de régime dans les tréfonds de l’inconscient de Gérard Larcher, en profite pour, sournoisement, me souffler, à mon corps défendant, que, de même qu’un antisémitisme raisonné aurait pu éviter un génocide à Gaza, qu’un racisme raisonné aurait pu éviter la submersion de nos contrées, une dose raisonnable d’eugénisme, basée sur l’accord du participe passé, aurait éliminé à la fois la victime, les coupables et surtout les spectateurs, dont des footballeurs connus, qui ont en masse financé ces streams immondes. Généralement, quand cela m’arrive, je regarde 3 fois « Shoah » de Claude Lanzmann tout en me flagellant avec un chat à neuf queues qui « divergent » (ce qui en fait une de plus) et que j’ai surnommé Brigitte (l’absence d’un E à « surnommé » indiquant que je parle du chat et non de la verge supplémentaire qui reste supputée à ce stade, d’où, une nouvelle fois, l’importance de l’accord avec le COD antéposé). 
 
Un nazisme, fût-il (à l’instar de notre agriculture éponyme moribonde) raisonné (de par l’avènement du micro-ondes) reste quand même du nazisme et youtubesquement censurable, donc : « No pasaran ! » et « siamo tutti antifascisti »… même si on aurait probablement de meilleures autoroutes et un système ferroviaire performant, avec, de temps en temps, à la télé, BHL, pour le fun, lequel se ferait entarter en direct à chaque fois qu’il dirait une connerie, parce que oui, la nature humaine a de mauvais instincts qui la poussent à se moquer des gens qui sont un peu différents, mais sauf à être diabétique, au moins, on ne meurt pas d’une tarte à la crème. 

Si vous avez regardé CNEWS, occupée à dénoncer H24, je ne sais quel sciage d’olivier, l’information a pu vous échapper, mais il paraît que l’ARCOM, une des 854 agences consultatives inutiles qui nous coûtent 107 milliards par an (en sus de McKinsey) était au courant des tortures et avait été destinataire de plusieurs signalements, mais que, déjà occupée à censurer des chaînes de télévision pour n’être pas d’extrême gauche, jonglant avec un budget propre de 47 misérables millions pour seulement 355 employés de rien du tout, avec la meilleure volonté du monde, elle n’a pas été en mesure de traiter à temps le dossier. Forte de cette logique énarchique imparable qui fait que nous sommes passés du rang de 4e à 11e puissance mondiale, elle en a profité pour réclamer plus de moyens.

Une qui n’est jamais censurée, en revanche, sauf par les paysans quand elle tente, en douce, d’acquérir une habitation dans le Finistère profond (qui, en son honneur, a failli se muer en anagramme tout aussi profonde du même mot) et ce, dans une zone dépourvue d’immigrés et seulement atteignable en véhicule non décarboné, c’est Sandrine Rousseau qui, comme avant elle, Mathilde Panot ou encore Louis Boyard, rejoint le mouvement de révolte général du 10 septembre… pour plus de migrants et d’éoliennes.

Il y a donc urgence à rebaptiser les gueux les « gueuxlois réfractaires » et à trouver un symbole qui agisse comme l’ail sur les vampires ; celui du gilet jaune, pour génial qu’il ait été en utilisant un objet rendu obligatoire, manquait, en effet, d’une signification profonde empêchant sa récupération.
Les Anglais semblent avoir appris la leçon et font flotter partout, ces derniers jours, des croix de Saint-Georges et des Union Jacks qu’il est impossible d’interdire, mais qui symbolisent à la fois leur identité et leur ras-le-bol face à une immigration de masse, conséquence du fait que, comme chez nous et en dépit d’un Brexit en forme de soufflé post flatulence, on les a dépossédés de leur pays, de leur droit de décider comment il est géré et de qui on autorise à y entrer.

Chez nous, le drapeau « bleu blanc rouge » n’étant pas celui de la France, mais de la république dont, selon ses propres dires, Mélenchon est l’incarnation suprême, ce ne serait pas forcément suffisant ; quant à la croix, avec seulement 2% de pratiquants réguliers du catholicisme, elle n’a plus vocation à mobiliser les foules, d’autant que, même si tout n’est pas à jeter, après avoir détourné à son profit notre énergie civilisationnelle pour bâtir des cathédrales ; comme elle l’a fait dans l’Empire romain avant nous, elle a contribué à notre castration collective, préparant, face à la simple application des lois de la nature, le terrain pour l’invasion par des peuplades dites « barbares » non contaminées par son universalisme et son désir d’autodestruction masochiste ; autodestruction nécessaire, pure coïncidence congruente, à l’arrivée du messie de sa religion mère.

À ce stade, je ne vois rien de mieux, comme symbole, difficilement reniable, que le fameux coq gaulois, trop national pour l’extrême gauche, trop viril pour les féministes, trop carné pour les végans, trop matinal pour les zadistes et trop odorant pour les écolos.
Un peu comme ceci : 
Je vous mets le lien dans la description, sachant que, même si, de temps à autre, je peux faire 400 000 vues (comme avec ma petite chanson sur le couple présidentiel dont je vous mets également le lien et que je vous encourage à partager pour vraiment en faire le tube de l’été), globalement, je n’ai pas assez d’audience régulière pour faire remonter ce genre de concept et que c’est donc à vous qu’il incombe de faire de ce logo une réalité ou d’en trouver un meilleur, sans quoi tout mouvement sérieux qui vise les causes et non les conséquences, sera immanquablement récupéré par les mêmes et dirigé dans une impasse.


 

dimanche 17 août 2025

10 septembre, les poules de Yaël, ChatGPT 5 etc. (17/08/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/u7dXnkWIAUk

Bonjour !

Celle que de mauvaises langues, à la buvette de l’Assemblée, surnomment « Yaël Braun Poivrot », bien que dotée d’une bonne descente, apprécie également les côtes, du Rhône, notamment, moins pentues que le Calvados avec ses 40° qu’elle a pourtant décidé de parcourir à vélo… à assistance électrique. Des ascensions motorisées qui, si sabbatines, contrairement à l’éradication d’infâmes nourrissons terroristes, auraient de quoi rendre perplexes certains traumatisés des boutons d’ascenseur de la même obédience.
 
Durant son absence, si l’on en croit un canard enchaîné à la solidarité aviaire « volatile », du haut de son perchoir, elle aurait confié ses poules à des poulets, lesquels, outre sa protection, se sont vus chargés de veiller également à ce que, contrairement à elle, il ne manque aucun grain à ses volailles. Si, en tant qu’ami des animaux, cela me fait chaud au cœur de savoir que des gallinacées qu’on imagine capables de pondre des œufs casher (ce qui, après celles aux œufs d’or, les place probablement en second sur l’échelle de l’évolution volaillère) sont surveillées à nos frais par les agents d’élite de la CRS1, sa réputation, suite à ce coup de bec du canard, prend un coup dans l’aile et elle pourrait y laisser des plumes. D’autant qu’en période pré insurrectionnelle, c’est le genre de petite étincelle qui, même « éméchée », pourrait mettre le feu aux fameuses poudres (si pas déjà sniffées par d’autres).

Une insurrection dont on a déjà décidé de la date pour nous, avec, en tête de cortège, la gauche antiraciste écolo syndicaliste qui, à l’instar des milliardaires qui la financent à parts égales avec nos impôts, réclame, en notre nom, plus d’immigration et d’éoliennes et moins de nazis, faisant semblant d’exiger, vestige de feu la lutte des classes, que ce soient lesdits milliardaires qui payent. Preuve de sa sincérité, elle le demande gentiment en défilant d’un point A à un point G, car, tant qu’à y être, autant se faire plaisir.
 
Une balade apéritive entrecoupée de pauses merguez, le temps que des antifas chargés d’expurger des manifestations tout drapeau tricolore, toute revendication identitaire et tout risque de convergence organique des luttes qui comptent, heurtent, par leur comportement abribusophobe, la sensibilité télévisuelle de Madame Michu, donnant un prétexte au gouvernement pour sonner la fin de la récréation. Un scénario rodé comme l’extrémité du circuit digestif de Gabriel Attal sur un vélo sans selle pendant Paris-Roubaix.

L’état ne produisant rien sinon des contraintes, une fois déduits ses frais de dysfonctionnement, et après qu’il a déshabillé Pierre pour habiller Crésus (pour ne point sembler antisémite) et Boubakar (pour ne pas paraître maghrebophobe) sous prétexte, respectivement, de remboursement de la dette et d’achat de la paix sociale, revendiquer la répartition équitable des restes de cet énorme morpion purulent relève de la coprophagie diarrhéique. Et même cela nous est refusé, le gouvernement étant constitué d’acteurs fantoches (qui n’ont d’autre pouvoir que celui de nous museler et de nous conseiller de rester hydratés) et autres représentants putatifs (telle Rachida Dati, loin d’être chauve) choisis pour leur indifférence totale au sort de leurs concitoyens et auxquels il a été permis d’usurper des postes lucratifs pour lesquels ils n’ont aucune qualification tant qu’ils acceptent de déconstiper la population tout en rognant sur les dépenses en vaseline. 
 
Tout autre objectif que de les chasser du pouvoir, chose impossible par les urnes (sauf à voir, au microscope électronique, une différence de consistance étroniforme entre un Macron et un Retailleau) et qui ne serait qu’un premier pas vers une totale remise en cause d’un système à bout de souffle, relève de la plaisanterie. Malheureusement, cela demanderait une abnégation jusqu’au-boutiste qui fait défaut au consommateur isolé, centré sur son nombril et coupé de ses racines qu’est devenu le Français moyen. Si nous sommes capables de bouffées colériques (hors grandes vacances et ponts, durant les horaires de bureau) difficile de tenir la distance alors que ces parasites (pour lesquels la crise n’existe pas), même en cas de grève générale (sauf, peut-être Gérard Larcher) ont de quoi voir venir, le temps que les gueux après avoir mangé les toiles d’araignées dans leur frigo, lâchent l’affaire en échange de quelques miettes.
 
Le point de référence du niveau de tolérance humaine à l’exploitation, atteignable par le principe de la grenouille, se situant au niveau du Burundi, il reste donc encore de la marge, à condition de surveiller le thermostat. Bloquer l’économie, qu’ils s’ingénient déjà à détruire, pour autant que ce soit faisable par la désobéissance civile des gens qui n’ont pas Netflix, tant que cela ne désorganise pas le cordon sécuritaire qui les protège, ne les dérange pas non plus outre mesure, pour les mêmes raisons. De surcroît, dans un système moribond, les sponsors de Macron n’ayant pas d’article suffisamment incubé dans leur boîte à clones qui leur serait moins défavorable (sinon il ne serait déjà plus en place), ils sont prêts, eux aussi, à essuyer, au tampon hygiénique, quelques pertes momentanées, a fortiori des « pertes blanches ».

Certains attendent qu’un changement de paradigme international d’essence divine à faible indice d’octane vienne changer la donne : telle la dislocation de l’UE en corrélation ou non avec l’effondrement du front ukrainien qui explique, au passage, l’absence prévisible d’accord entre Poutine et Trump cette semaine. Un changement qui nous serait servi sur un plateau, sans avoir à se remettre en question et sur lequel nous n’aurions aucun contrôle… Cela ne pourrait que bien se passer.

Quant à l’IA, comme le laissent subodorer, ces derniers jours, les secousses autour du lancement de la nouvelle mouture du chat pétomane, les investisseurs vont finir par réaliser qu’un modèle économique qui demande toujours plus d’énergie et de puissance de calcul, non seulement pour progresser, mais simplement pour fonctionner n’est pas rentable à un prix acceptable par une population qui n’en a pas vraiment besoin et dispose déjà de modèles open source gratuits performants. Avec, en outre, une concurrence tirant les prix vers le bas, en dépit de dépenses en hausse, afin d’augmenter le nombre d’utilisateurs (ce qui creuse encore le déficit) dans l’espoir d’attirer des investisseurs, ils ne reverront jamais la couleur des milliers de milliards qu’ils ont cramés dedans. La pyramide de Ponzi risque alors de s’écrouler avant que l’AGI ne soit mûre pour gérer le cheptel humain de façon pragmatique et écoresponsable, plongeant dans le désarroi toutes les entreprises dépendantes de services fournis par des sociétés privées qui, du jour au lendemain, pourraient ne plus exister ou ne plus les proposer, décuplant encore le séisme boursier.

Donc, sauf à attendre que le système s’effondre tout seul et nous avec, il n’y a que deux options dont la seule perspective met le gouvernement en panique.

La première est, historiquement, le putsch militaire, hautement improbable et pas souhaitable compte tenu du vide idéologique sidéral teinté de maçonnerie universaliste et de nostalgie gaulliste d’une grande muette qui, si elle parlait, aurait une voix suspicieusement aiguë, les chefs d’état-major des armées se succédant allègrement dès qu’un nouvel exemplaire plus servile que le précédent est détecté ce qui, pour Thierry Burkhard, après son flot d’inepties sur la menace russe, relevait pourtant de l’exploit.

La seconde est le tsunami humain (on parle de millions de personnes) qui, en dépit de contingences logistiques défavorables, arrive jusqu’à l’Élysée et repart, comme dans les corridas, avec les oreilles et la queue, au moins celles d’Emmanuel (pour Brigitte le débat reste ouvert). La cohérence organique des autochtones auxquels on a dérobé leur pays et qui seuls pourraient avoir la force de frappe pour se le réapproprier ayant été brisée par des divisions sur des aspects secondaires, à savoir l’antiracisme et la peur des heures sombres, et leur détermination à coup d’éborgnages et d’amputations, en l’état, sauf explosion spontanée généralisée d’une extrême violence, on ne peut espérer qu’une vaguelette qui ne recouvrirait pas totalement un Rocco Siffredi allongé sur le dos, voire un Darmanin devant une Sydney Sweeney en jeans antisémites.

En théorie, et je dis ça uniquement pour être exhaustif dans l’analyse, il serait possible d’augmenter la volatilité ambiante en accélérant la chute, à ce stade inéluctable, du pays, par des sabotages individuels de basse intensité, non coordonnés et non revendiqués. L’idée étant de rendre la situation intenable (éventuellement exacerbée par une instrumentalisation intelligente du conflit larvé entre les deux principales minorités ethnoreligieuses inassimilables de l’hexagone, intouchables par le gouvernement sous peine d’implosion) de sorte que, faute d’autre coupable visible à condamner (« c’est les Russes » commençant à être éventé) la colère populaire n’ait plus qu’une direction vers laquelle se tourner : la verticale. 
 
Je n’ai rien inventé et il existe un petit bouquin édité par l’OSS, l’ancêtre de la CIA, rempli d’astuces de sabotages individuels au quotidien visant l’Allemagne nazie à l’époque. Je ne rentre pas dans les détails, car ce n’est pas une option que je préconise et que j’aimerais, autant que faire se peut, ne pas être réveillé à 6 heures du matin. En outre, si, intellectuellement, je peux concevoir le principe du « un mal, pour un bien », je me vois mal en train d’encore aggraver la situation de gens qui déjà se débattent pour nourrir leur famille et je n’ai pas pour habitude de pisser dans la piscine dans laquelle je nage.
 
 La chose serait d’autant plus hasardeuse qu’aucune relève idéologique ne semble poindre à l’horizon pour servir de support à une reconstruction pérenne. Même si c’était le cas, l’escroquerie du PIB, de la croissance et de la dette, qui, nourrie à l’universalisme, ne disparaîtra pas du jour au lendemain, tant qu’elle ne sera pas remise en cause, tel un kyste pilonidal dans la vie sexuelle du couple élyséen, perturbera immanquablement la mise en place de toute alternative. C’est donc, peut-être, par s’interroger là-dessus qu’il faudrait commencer, et on retombe alors, immanquablement, sur la question de l’identité des peuples dont la préservation et l’héritage sont le seul argument prioritaire recevable qu’on puisse opposer au culte du pouvoir d’achat.