Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/kG_2438GglU
Bonjour !
Je serais moins surpris par la découverte d’ovaires encore intacts datés au carbone 14 dans la chambre nuptiale de l’Élysée que par la moindre réprobation occidentale du vidage constant de vessie, sans guidage préputial, de la bande à Netanyahou sur la plaisanterie qu’on appelle le droit international et qui ne sert qu’à nous faire fermer notre clapet si on a le malheur de vouloir renvoyer dans son pays un enrichisseur culturel multirécidiviste.
Je serais moins surpris par la découverte d’ovaires encore intacts datés au carbone 14 dans la chambre nuptiale de l’Élysée que par la moindre réprobation occidentale du vidage constant de vessie, sans guidage préputial, de la bande à Netanyahou sur la plaisanterie qu’on appelle le droit international et qui ne sert qu’à nous faire fermer notre clapet si on a le malheur de vouloir renvoyer dans son pays un enrichisseur culturel multirécidiviste.
Après avoir bombardé à peu près tous les pays autour, transformé gaza en terrain de pétanque et arraisonné dans les eaux internationales la flottille de Greta Thunberg qui, comme certaines pendules arrêtées, de temps en temps donne l’heure juste, Israël se sentant menacé par la monotonie, s’est finalement attaqué à l’Iran avec la complicité du très « pacifiste » Donald Trump qui a reconnu, dans un de ses tweets, qu’il avait sciemment endormi les Iraniens pour faciliter l’opération et au sujet duquel on entend moins ceux qui prétendaient qu’au-delà des apparences il jouait au billard à 3 bandes quadridimensionnel quantique contre Netanyahou, même si, le laisser aller jusqu’au bout de sa folie belliciste est une méthode comme une autre pour l’éliminer …au risque d’une 3e guerre mondiale.
Après une opération d’infiltration en tous points similaire à celle menée en Russie par l’Ukraine (je dis ça, je dis rien), Israël a donc perpétré une attaque tous azimuts contre l’Iran, lequel comme son nom l’indique, quand il prend des coups « iran » et ce, dans un premier temps, sous forme d’un festival pyrotechnique de fin de match en finale du PSG faisant les dégâts minimums syndicaux, afin de calmer son opinion publique sans déclencher une troisième guerre mondiale que lui ne souhaite pas.
Ça aurait pu en rester là, mais désireux de tirer profit de la sidération provoquée par son attaque-surprise et de la réalisation du degré phénoménal d’infiltration de traîtres à tous les niveaux de l’état et du renseignement au point que certains hauts responsables iraniens ont pu être éliminés par des missiles visant précisément leur chambre à coucher, Israël bien qu’ayant déclaré avoir atteint son objectif officiel de détruire pour longtemps les capacités du pays à se doter de l’arme nucléaire, a continué à frapper dans le but d’éliminer également les capacités de défense de l’Iran et, tant qu’à y être, confondant mollah et mollard d’essayer de faire en sorte que le régime se « crashe ». À ce moment-là seulement, l’Iran a envoyé 2 missiles hypersoniques qui ont pénétré le dôme de fer comme dans du beurre et ont commencé à provoquer des dégâts significatifs.
Cela ressemble à du quitte ou double des deux côtés, car si le régime tient et que ses capacités de riposte n’ont pas été détruites, si le conflit se prolonge, face à la perspective de la fermeture du détroit d’Ormuz qui pourrait mettre à mal l’économie mondiale, les soutiens, au moins logistiques, vont affluer vers l’Iran, tandis que les USA déjà au bord de la guerre civile et dont les stocks militaires sont au plus bas ne pourront pas approvisionner Israël très longtemps.
Depuis le début, la faction au pouvoir dans l’état hébreu a le comportement d’un anus surnuméraire greffé à la colle néoprène sur un corps moyen-oriental déjà amplement pourvu, lui aussi, d’un fort indice Cambronne. Pour retarder le rejet inévitable lié à son identification, par des anticorps forcément antisémites et autres globules pourtant pas si blancs, comme étant une protubérance verruqueuse étrangère, chose en partie liée à son attitude méprisante, elle doit augmenter sans cesse les doses d’immunosuppresseurs balistiques fournis par le complexe militaro-industriel américain aux frais des électeurs du palmipède orange.
Pour mémoire, ce confetti territorial de 9 millions d’individus (comparé au 99 de l’Iran), mais à métastases mondiales, disposerait, illégalement, d’au moins 100 ogives nucléaires dont il nous aurait piqué la technologie dans les années 60 grâce à la bienveillance de son tissu de binationaux plus français que vouzémoi, arsenal dont une partie serait pointée carrément sur nous dans l’esprit : « si Israël devait disparaître, le reste du monde devra le suivre ».
Cet aspect éminemment sympathique ne l’empêche pas, avec l’aplomb d’une préface du Code Rousseau par Pierre Palmade, de s’arroger, sans sourciller, le rôle de victime dès que quiconque répond à ses attaques et de se considérer légitime à empêcher l’Iran (par ses propres recherches, lui) d’obtenir la même chose, allant jusqu’à bombarder des installations nucléaires civiles au mépris des conséquences (tout le monde n’ayant pas des montagnes magiques qui protègent des nuages radioactifs) soutenu dans sa croisade par son caniche états-unien à ectopie testiculaire, seul pays au monde ayant démontré qu’il était assez timbré pour utiliser la bombinette, qui plus est sur des populations 100% civiles. Si c’est ça le camp du bien, j’aurais un candidat moustachu à soumettre pour le futur prix Nobel de la paix à titre posthume.
Bien que n’ayant aucune sympathie (ni d’ailleurs antipathie) particulière vis-à-vis de l’Iran chiite (un poil de barbe pas rasé plus modéré que l’islam sunnite qu’on importe chez nous en masse), au vu de la paix royale qu’on fiche à la Corée du Nord, on peut comprendre ses motivations et, si l’opération échoue, auquel cas le monde apprendra, probablement dans pas longtemps, car la manœuvre a détruit toute chance d’un accord par voie diplomatique et ne peut que renforcer sa détermination, la réussite d’un essai nucléaire sur son sol, actant la fin du délire expansionniste de fanatiques religieux sionistes qui croient, au plus haut niveau de l’état, qu’une guerre mondiale est nécessaire à l’arrivée de leur Messie (mais si, mais si !) le pays de fous furieux dont, dans ce cas de figure, la réaction consécutive potentielle me fait le plus peur, n’est certainement pas la Perse.
Inutile de dire que Macron dont la dernière prestation télévisée ce mardi 10 juin a oscillé entre le bide et le bidet, pulvérisée par Koh-Lanta, est à fond derrière le droit inaliénable… de l’agresseur à se défendre, toute forme de logique cartésienne étant devenue depuis longtemps transphilosophique et genderfluide, en gros : « je suis (mes maîtres), mais je ne pense pas ».
Ou alors, quand il pense, c’est pour dire que plutôt que d’apprécier, sous le vocable « PPE3 », les 300 milliards de dépenses pour l’éolien qu’il nous concocte et qui se traduiront par un nouveau doublement des prix de l’électricité d’ici à 2035, ceux qui commencent à se sentir passablement concernés par les faits divers qui explosent de façon exponentielle sont juste des lavés du cerveau et ce, le jour où une surveillante de collège a été poignardée devant les gendarmes par un QUENTIN dont on attend toujours les autres prénoms et le patronyme, comme JUSTIN pas vraiment BRIDOU, l’assassin de Lorène à Nantes.
C’est d’ailleurs le seul cas de figure dans lequel les médias insistent sur les prénoms que d’ordinaire ils sont prompts à changer soi-disant pour protéger les mineurs, se gardant de pousser plus loin leurs investigations faisant qu’au lieu de voir la source des problèmes (indépendamment des cas individuels) dans l’incompatibilité DE GROUPE de l’immigration non européenne avec notre consensus social et dans l’influence du multiculturalisme sur des jeunes, y compris de souche, qui privés de repères dans une société de plus en plus vaginocratique, s’identifient à la culture en apparence la plus virile, dans une impunité quasi totale, on a un Bayrou qui propose d’interdire la vente de couteaux aux mineurs comme d’autres voulaient élargir les trottoirs pour lutter contre les viols, plus personne n’osant encore proposer un numéro vert.
Face à ce refus de regarder en face les problèmes et de remonter jusqu’aux causes, certains commencent à se faire justice eux-mêmes, phénomène qui ne peut que s’intensifier en un combat horizontal, sinon inutile, au moins prématuré, sans décapitation verticale préalable, de certaines têtes (au figuré s’entend), la fermeture du robinet et la mise hors d’état de nuire de tous ceux qui prennent un malin plaisir à l’ouvrir devant précéder l’écopage, l’épongeage et la finition à la serpillière.
Quand, comme en Irlande, il subsiste encore, dans les banlieues, des communautés a majorité blanche laissées pour compte par la désindustrialisation, le viol de jeunes filles par 2 Tziganes est encore capable, comme ces derniers jours, de provoquer des réactions collectives épidermiques qui changent des petits nounours et des bougies tricolores d’un peuple français individualisé, mais qui sont lourdement réprimées par les élites en place lesquelles ne se cachent même plus d’être là pour détruire le substrat humain d’origine pour le compte de quelque mystérieux pronom interrogatif et justement pour éviter ce genre de résistance collective.
Des manifestants qui, eux, au moins, n’ont pas besoin d’être payés 50 dollars par jour comme en Californie, les démocrates, sentant la baudruche Trump se dégonfler, essayant par tous les moyens d’enfoncer le clou en mettant le feu partout au prétexte d’arrestations homéopathiques, pour la galerie, d’illégaux mexicains alors que ledit Trump lui-même vante la nécessité de faire des exceptions pour les travailleurs agricoles et de l’hôtellerie qu’il vient d’amnistier en masse, business is business. Ceci dit, lesdits démocrates jouent avec le feu, inconscients du fait que certains états étant déjà à majorité mexicaine, il suffirait d’un référendum pour que le Mexique retrouve ses frontières de 1821 sans envoyer un seul soldat, actant le début d’une dislocation complète des États-Unis qui ne survivraient pas longtemps à la fin du rêve américain.