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dimanche 15 juin 2025

Nosferatanyahu a encore soif, Macron ridicule, PPE3, Trump secoué… (15/06/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/kG_2438GglU

Bonjour !
Je serais moins surpris par la découverte d’ovaires encore intacts datés au carbone 14 dans la chambre nuptiale de l’Élysée que par la moindre réprobation occidentale du vidage constant de vessie, sans guidage préputial, de la bande à Netanyahou sur la plaisanterie qu’on appelle le droit international et qui ne sert qu’à nous faire fermer notre clapet si on a le malheur de vouloir renvoyer dans son pays un enrichisseur culturel multirécidiviste. 
 
Après avoir bombardé à peu près tous les pays autour, transformé gaza en terrain de pétanque et arraisonné dans les eaux internationales la flottille de Greta Thunberg qui, comme certaines pendules arrêtées, de temps en temps donne l’heure juste, Israël se sentant menacé par la monotonie, s’est finalement attaqué à l’Iran avec la complicité du très « pacifiste » Donald Trump qui a reconnu, dans un de ses tweets, qu’il avait sciemment endormi les Iraniens pour faciliter l’opération et au sujet duquel on entend moins ceux qui prétendaient qu’au-delà des apparences il jouait au billard à 3 bandes quadridimensionnel quantique contre Netanyahou, même si, le laisser aller jusqu’au bout de sa folie belliciste est une méthode comme une autre pour l’éliminer …au risque d’une 3e guerre mondiale. 
 
Après une opération d’infiltration en tous points similaire à celle menée en Russie par l’Ukraine (je dis ça, je dis rien), Israël a donc perpétré une attaque tous azimuts contre l’Iran, lequel comme son nom l’indique, quand il prend des coups « iran » et ce, dans un premier temps, sous forme d’un festival pyrotechnique de fin de match en finale du PSG faisant les dégâts minimums syndicaux, afin de calmer son opinion publique sans déclencher une troisième guerre mondiale que lui ne souhaite pas. 
 
Ça aurait pu en rester là, mais désireux de tirer profit de la sidération provoquée par son attaque-surprise et de la réalisation du degré phénoménal d’infiltration de traîtres à tous les niveaux de l’état et du renseignement au point que certains hauts responsables iraniens ont pu être éliminés par des missiles visant précisément leur chambre à coucher, Israël bien qu’ayant déclaré avoir atteint son objectif officiel de détruire pour longtemps les capacités du pays à se doter de l’arme nucléaire, a continué à frapper dans le but d’éliminer également les capacités de défense de l’Iran et, tant qu’à y être, confondant mollah et mollard d’essayer de faire en sorte que le régime se « crashe ». À ce moment-là seulement, l’Iran a envoyé 2 missiles hypersoniques qui ont pénétré le dôme de fer comme dans du beurre et ont commencé à provoquer des dégâts significatifs. 
 
Cela ressemble à du quitte ou double des deux côtés, car si le régime tient et que ses capacités de riposte n’ont pas été détruites, si le conflit se prolonge, face à la perspective de la fermeture du détroit d’Ormuz qui pourrait mettre à mal l’économie mondiale, les soutiens, au moins logistiques, vont affluer vers l’Iran, tandis que les USA déjà au bord de la guerre civile et dont les stocks militaires sont au plus bas ne pourront pas approvisionner Israël très longtemps.

Depuis le début, la faction au pouvoir dans l’état hébreu a le comportement d’un anus surnuméraire greffé à la colle néoprène sur un corps moyen-oriental déjà amplement pourvu, lui aussi, d’un fort indice Cambronne. Pour retarder le rejet inévitable lié à son identification, par des anticorps forcément antisémites et autres globules pourtant pas si blancs, comme étant une protubérance verruqueuse étrangère, chose en partie liée à son attitude méprisante, elle doit augmenter sans cesse les doses d’immunosuppresseurs balistiques fournis par le complexe militaro-industriel américain aux frais des électeurs du palmipède orange. 
 
Pour mémoire, ce confetti territorial de 9 millions d’individus (comparé au 99 de l’Iran), mais à métastases mondiales, disposerait, illégalement, d’au moins 100 ogives nucléaires dont il nous aurait piqué la technologie dans les années 60 grâce à la bienveillance de son tissu de binationaux plus français que vouzémoi, arsenal dont une partie serait pointée carrément sur nous dans l’esprit : « si Israël devait disparaître, le reste du monde devra le suivre ». 
 
Cet aspect éminemment sympathique ne l’empêche pas, avec l’aplomb d’une préface du Code Rousseau par Pierre Palmade, de s’arroger, sans sourciller, le rôle de victime dès que quiconque répond à ses attaques et de se considérer légitime à empêcher l’Iran (par ses propres recherches, lui) d’obtenir la même chose, allant jusqu’à bombarder des installations nucléaires civiles au mépris des conséquences (tout le monde n’ayant pas des montagnes magiques qui protègent des nuages radioactifs) soutenu dans sa croisade par son caniche états-unien à ectopie testiculaire, seul pays au monde ayant démontré qu’il était assez timbré pour utiliser la bombinette, qui plus est sur des populations 100% civiles. Si c’est ça le camp du bien, j’aurais un candidat moustachu à soumettre pour le futur prix Nobel de la paix à titre posthume.
 
Bien que n’ayant aucune sympathie (ni d’ailleurs antipathie) particulière vis-à-vis de l’Iran chiite (un poil de barbe pas rasé plus modéré que l’islam sunnite qu’on importe chez nous en masse), au vu de la paix royale qu’on fiche à la Corée du Nord, on peut comprendre ses motivations et, si l’opération échoue, auquel cas le monde apprendra, probablement dans pas longtemps, car la manœuvre a détruit toute chance d’un accord par voie diplomatique et ne peut que renforcer sa détermination, la réussite d’un essai nucléaire sur son sol, actant la fin du délire expansionniste de fanatiques religieux sionistes qui croient, au plus haut niveau de l’état, qu’une guerre mondiale est nécessaire à l’arrivée de leur Messie (mais si, mais si !) le pays de fous furieux dont, dans ce cas de figure, la réaction consécutive potentielle me fait le plus peur, n’est certainement pas la Perse. 
 
Inutile de dire que Macron dont la dernière prestation télévisée ce mardi 10 juin a oscillé entre le bide et le bidet, pulvérisée par Koh-Lanta, est à fond derrière le droit inaliénable… de l’agresseur à se défendre, toute forme de logique cartésienne étant devenue depuis longtemps transphilosophique et genderfluide, en gros : « je suis (mes maîtres), mais je ne pense pas ».

Ou alors, quand il pense, c’est pour dire que plutôt que d’apprécier, sous le vocable « PPE3 », les 300 milliards de dépenses pour l’éolien qu’il nous concocte et qui se traduiront par un nouveau doublement des prix de l’électricité d’ici à 2035, ceux qui commencent à se sentir passablement concernés par les faits divers qui explosent de façon exponentielle sont juste des lavés du cerveau et ce, le jour où une surveillante de collège a été poignardée devant les gendarmes par un QUENTIN dont on attend toujours les autres prénoms et le patronyme, comme JUSTIN pas vraiment BRIDOU, l’assassin de Lorène à Nantes. 
 
C’est d’ailleurs le seul cas de figure dans lequel les médias insistent sur les prénoms que d’ordinaire ils sont prompts à changer soi-disant pour protéger les mineurs, se gardant de pousser plus loin leurs investigations faisant qu’au lieu de voir la source des problèmes (indépendamment des cas individuels) dans l’incompatibilité DE GROUPE de l’immigration non européenne avec notre consensus social et dans l’influence du multiculturalisme sur des jeunes, y compris de souche, qui privés de repères dans une société de plus en plus vaginocratique, s’identifient à la culture en apparence la plus virile, dans une impunité quasi totale, on a un Bayrou qui propose d’interdire la vente de couteaux aux mineurs comme d’autres voulaient élargir les trottoirs pour lutter contre les viols, plus personne n’osant encore proposer un numéro vert. 
 
Face à ce refus de regarder en face les problèmes et de remonter jusqu’aux causes, certains commencent à se faire justice eux-mêmes, phénomène qui ne peut que s’intensifier en un combat horizontal, sinon inutile, au moins prématuré, sans décapitation verticale préalable, de certaines têtes (au figuré s’entend), la fermeture du robinet et la mise hors d’état de nuire de tous ceux qui prennent un malin plaisir à l’ouvrir devant précéder l’écopage, l’épongeage et la finition à la serpillière.

Quand, comme en Irlande, il subsiste encore, dans les banlieues, des communautés a majorité blanche laissées pour compte par la désindustrialisation, le viol de jeunes filles par 2 Tziganes est encore capable, comme ces derniers jours, de provoquer des réactions collectives épidermiques qui changent des petits nounours et des bougies tricolores d’un peuple français individualisé, mais qui sont lourdement réprimées par les élites en place lesquelles ne se cachent même plus d’être là pour détruire le substrat humain d’origine pour le compte de quelque mystérieux pronom interrogatif et justement pour éviter ce genre de résistance collective. 
 
Des manifestants qui, eux, au moins, n’ont pas besoin d’être payés 50 dollars par jour comme en Californie, les démocrates, sentant la baudruche Trump se dégonfler, essayant par tous les moyens d’enfoncer le clou en mettant le feu partout au prétexte d’arrestations homéopathiques, pour la galerie, d’illégaux mexicains alors que ledit Trump lui-même vante la nécessité de faire des exceptions pour les travailleurs agricoles et de l’hôtellerie qu’il vient d’amnistier en masse, business is business. Ceci dit, lesdits démocrates jouent avec le feu, inconscients du fait que certains états étant déjà à majorité mexicaine, il suffirait d’un référendum pour que le Mexique retrouve ses frontières de 1821 sans envoyer un seul soldat, actant le début d’une dislocation complète des États-Unis qui ne survivraient pas longtemps à la fin du rêve américain.

dimanche 8 juin 2025

Porno bloqué en France, Radars de l’enfer, Adieu fringues à petit prix, Musk énervé… (08/06/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/myaVStPtiA4

Bonjour !

Par je ne sais quelle gymnastique ou classe de Zumba intellectuelle, les crétins à rames qui nous gouvernent, pour ne pas dire « bêtes à rames » s’agissant de Bayrou, ont trouvé pertinent, en plein Aïd ovinophobe, de se réunir en brochette halal autour de lui, ce vendredi 6 juin dans le cadre d’une nouvelle usine à gaz mécaniquement antisémite, même si climatiquement neutre, répondant au doux nom de « Comité Interministériel des villes », pour annoncer encore plus d’argent versé dans le tonneau des danaïdes des quartiers ethniques (dit « populaires » en novlangue). Il convient en effet de consolider les résultats d’années d’aides sociales et de construction d’infrastructures aussi inflammables qu’éphémères qui ont culminé la semaine dernière en une apothéose footballistique bon enfant (si l’on en croit des médias français peu prolixes sur les détails) selon le concept du vivre ensemble et du mourir séparé avec un bilan provisoire de 2 morts, un policier dans un état critique, 200 blessés dont des sapeurs-pompiers, 700 incendies dont 264 véhicules, un nombre encore indéterminé de magasins et de domiciles pillés et une hypertrophie linguale de Bruno Retailleau. 

Certains, aussi tendus sur le sujet qu’un string de Brigitte Macron pendant une gay Pride, préfèrent oublier ces menus incidents pour focaliser sur le véritable danger qui menace la république : l’assassinat, pour des raisons restant à élucider, mais forcément racistes, d’un coiffeur tunisien, par un individu exceptionnellement « non déséquilibré » dont, pour une fois, la presse dévoile : le prénom, le patronyme, le numéro de sécurité sociale, les activités sportives, la couleur du slip, l’arbre généalogique sur 10 générations et la teinte colorimétrique, arguant que « l’extrême droite tue ». Par pudeur, elle oublie de terminer la phrase par, au cas particulier : « des musulmans » devenus synonymes « d’Arabes » terme impropre (au sens figuré) désignant en fait les Maghrébins (toujours en novlangue). Une omission qui, même si c’était vrai (alors que le pourcentage est, statistiquement, anecdotique comparé à la réciproque) est d’autant plus grave par les temps qui courent qu’elle est de nature à influer substantiellement sur le nombre de cacahuètes que certains sont susceptibles d’ingurgiter en écoutant les infos et donc sur le PIB.
 
Sauf à être un gros bourrin, ce que l’on ne peut jamais exclure, la thèse de l’assassinat d’un « rayon de soleil » (dixit la presse, « ange » étant déjà une marque déposée) a priori sans problème, qui, de surcroît, travaillait, et ce, purement par racisme viscéral, semble tirée par les cheveux, encore plus si la victime était un coiffeur… célibataire à chat, ce qui, sans vouloir tomber dans les clichés, ouvre d’autres perspectives.
 
Toujours est-il que, pour financer ceux qui, contrairement à ladite malheureuse victime, attendent, eux, passivement, sans précipitation excessive, d’être sollicités pour payer nos retraites, du fait que les leviers traditionnels contre l’immigration non européenne de masse ont été introduits ailleurs sans lubrifiant et qu’une lecture raciale globale des problèmes est taboue y compris pour la pseudo-droite, l’état, en faillite, grappille où il le peut, les choix restants relevant du cornélien, un peu comme un hindou dont les options de réincarnation se limiteraient à pédophile, cuvette de WC ou conducteur de voiture radar, saloperie infâme dont le nombre va tripler d’ici à la fin de l’année allant de pair avec, grâce à l’IA, la détection de nouvelles infractions comme le non-respect des distances de sécurité, des zones de covoiturage, le franchissement de lignes blanches non poudreuses, et bien sûr, le téléphone ou le non-port de la ceinture, avec, à chaque fois, 3 points en moins et 135€ d’amendes cumulables. 
 
Les fellations au volant ou les retouches maquillage ne sont pas mentionnées, le concept échappant encore à ChatGPT qui est une véritable intelligence artificielle, pas comme Builder.AI, la start-up valorisée à plus d’un milliard de dollars, volatilisée cette semaine après avoir escroqué le marché et Microsoft avec son IA révolutionnaire de programmation consistant en fait en 700 codeurs indiens en mode turban plutôt que turbo, payés avec une fronde, dans un hangar, du fait d’une option de réincarnation à peine meilleure que les trois précédemment citées.

Autre façon de taxer les pauvres, qui ne peuvent déjà plus rouler avec les ZFE que Macron, comme je l’avais annoncé, veut réintroduire en faisant casser le vote par le Conseil constitutionnel, qui ne peuvent plus se loger grâce au DPE dont la Cour des comptes vient de dénoncer les effets désastreux : ils ne pourront désormais plus s’habiller, le Sénat votant ce 10 juin sur la loi anti « fast fashion », c’est-à-dire les vêtements encore abordables (si on a pu acheter ses nouilles en promotion) envoyés directement de Chine par Shein et consorts et qui font une concurrence déloyale aux enseignes françaises… qui se fournissent certes au même endroit, mais en faisant jusqu’à 10 fois la culbute entre le prix d’achat « bridé » (s’agissant de la Chine) et le prix débridé proposé au consommateur final, sur lequel l’état touche sa part juteuse de TVA.

C’est aussi la fin du porno, ce qui ne serait pas, en soi, une mauvaise chose si les sites, plutôt que d’ouvrir la boîte de pandore d’une vérification techniquement débile et supposément anonyme, par un tiers, de l’identité des mineurs avant connexion, rendue obligatoire le 6 juin, n’avaient pas préféré renoncer carrément au marché français, provoquant une explosion prévisible de la vente de VPN, véritable cible des politiques et outil de réinformation de nombreux dissidents qu’ils auront beau jeu d’interdire, dans une deuxième phase, une fois le consentement populaire acquis, au prétexte de la défense desdits mineurs qu’en même temps ils gavent de propagande LGBT dès la maternelle, preuve que ce n’est pas du tout leur motivation, pas plus que les restrictions de liberté diverses, vendues au nom de la lutte contre une pédophilie, qui, bizarrement, n’a jamais été aussi florissante.

Loin de s’arrêter sur sa lancée, avec le sens des priorités qu’on lui connaît, notre docte assemblée nationale vient également de voter à l’unanimité (sauf abstention du Modem) la promotion d’Alfred Dreyfus (avant lequel la France ne s’était jamais excusée de rien et début symbolique de notre soumission anale collective) au rang de général de brigade (« de division » aurait été plus parlant) à titre posthume, probablement dans l’idée qu’il conduise une brigade de walking dead circoncis contre les troupes russes dans le cadre du conflit ukrainien lequel semble escalader rapidement après l’exploit technique de Zelensky qui a détruit, le premier juin, avec des drones planqués sous le toit de chalets en bois montés sur des camions, une quarantaine d’avions russes dans quatre aérodromes militaires stratégiques répartis aux quatre coins de la Russie, sans, cela va de soi, aucune aide du MI6 et de la CIA, conduisant à une riposte vexée poutinienne, chars en tête, sur l’ensemble du territoire ukrainien et renvoyant tout processus de paix aux calendes sodomites, ce qui arrange pas mal de monde. 
 
Outre Dreyfus que, tant qu’une nouvelle loi (qui ne saurait tarder) ne m’y obligera pas, pour un certain nombre de raisons qui justifieraient une vidéo entière, je considère toujours comme potentiellement coupable, il faudra probablement, à terme, si une débâcle n’intervient pas entre-temps, envoyer des troupes vivantes tricolores, non plus bleu, blanc, rouge, mais black, blanc, beur, nouvelles couleurs de la France, sachant qu’une annonce de mobilisation générale aurait potentiellement l’avantage de rendre plus calmes les futures victoires du PSG, de nombreux supporters, bien que faisant allégeance patriotique à la CAF, étant susceptibles, si l’on en croit les micros-trottoirs visibles sur les réseaux, de soudain éprouver une irrépressible nostalgie pour leur pays d’origine. À leur décharge, qui a envie de mourir pour Macron et ses commanditaires.

Prudent, Trump, lui, semble se retirer du merdier, occupé à vendre sur le bon coin sa Tesla, en représailles aux tweets assassins de Musk pas d’accord avec un budget qui a tout d’un pillage en règle et qui, comme je l’avais dit depuis le début, déclare que la raison de la non-diffusion complète des dossiers Epstein est que Trump est dedans ce que, certes, on savait déjà, mais par forcément jusqu’à quelle profondeur. Vu la taille de ses mains, je dirais, pas plus de 12cm. Je pense qu’on pourra également attendre longtemps l’audit de fort Knox. Sauf à y voir une manœuvre concertée pour essayer de sauver Tesla en retour d’ascenseur, devant l’escalade des noms d’oiseaux, la rupture semble consommée entre les deux hommes et certains sites « complotistes » américains qui portaient Trump au pinacle sont en train de retourner progressivement leur veste tandis que d’autres, au contraire, vouent Musk aux gémonies et que, d’une manière générale, le prix des œufs se cumulant à une hausse de 25% de celui des véhicules, conséquence du bluff manqué face à la Chine, sans évolution miraculeuse, à ce stade, les mid-terms risquent de ressembler aux toilettes de Gérard Larcher après une gastroentérite. Au temps (là encore, je me répète et je le déplore) pour ceux qui croient qu’un changement vertueux non violent est encore possible, que ce soit ici ou là-bas, et a fortiori par les urnes.


dimanche 1 juin 2025

Émeutes footbalistiques, Des gnons pour Macron, l’entourloupe ZFE, Lapix euthanasiée… (01/06/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/MjWeEzppqzE

Bonjour !

Le point commun entre la boxe et le foot c’est que ça se termine souvent en « chaos », enrichissement culturel oblige, Macron ayant salué la victoire du PSG en adressant à la population un brin « emeutive » qui cramait tout sur son passage un enthousiaste « Champion, mon frère ! » gardant probablement le « wesh ! » en réserve pour un prochain tweet. À ce « stade », et je ne parle plus de foot, se moquer de Macron c’est comme essayer de mouiller de l’eau ou déposer une chiure de mouche sur une bouse de vache dans une fosse septique, la simple narration des faits dépassant déjà toutes les limites du ridicule.
 
Après l’épisode du mouchoir qui a fait le tour du monde, on a eu droit au tirage de doigt prolongé par Erdogan qui attendait probablement qu’il fasse « prout ! », Tirana, lieu de la rencontre, n’étant pas une Zone à Faible Emission, les fameuses ZFE que les députés des fausses oppositions, se donnant le beau rôle à peu de frais, ont fait semblant de supprimer cette semaine, profitant du vote d’un texte qui n’a rien à voir, tout en sachant que ce procédé que l’on appelle « cavalier législatif » dans le Kamasutra politique, condamne leur amendement (qui par ailleurs va à l’encontre des diktats de l’Union européenne et expose la France à de lourdes amendes) à être traité par le Conseil constitutionnel comme un étron de Gérard Larcher après une soirée cassoulet aux truffes. 
 
Comme jamais deux sans trois, le clown grâce auquel (après que le PIB par habitant italien a dépassé le nôtre) nous sommes relégués officiellement au rang de 10e puissance mondiale, s’est pris un pain en mondovision au Vietnam, évènement derrière lequel l’Élysée a d’abord vu l’IA puis la main de Moscou, alors que c’était clairement celle de Brigitte. Une Brigitte qui selon la presse anglo-saxonne, laquelle a fait appel à des spécialistes de la lecture labiale, lui a alors lâché, en refusant son bras à la sortie de l’avion : « Dégage, espèce de loser ! ». Fin du voyage donc, ou du « travel » pour rester dans les anglicismes, d’autant qu’en avion c’est un « travel » haut. 
 
Pendant ce temps, l’autre ahuri est resté figé comme une Lapix dans la lumière des phares, laquelle furieuse de se faire virer du 20h en chute libre d’Antenne 2, a complètement pété les plombs et a tout commenté en chansons, ce que, personnellement, je vois comme une allusion pernicieuse à Delphine « airs » « notes », la pourfendeuse d’hommes blancs de plus de 50 ans dans le service audiovisuel public, qui vient apparemment d’étendre le concept aux femmes en omettant, errare humanum est, de s’inclure dans la charrette.

En tous les cas, Macron est visiblement un homme battu que sa souffrance rend éligible aux avantages de la nouvelle loi sur l’euthanasie, votée en première lecture ce 27 mai, laquelle me devient, d’un coup, beaucoup plus sympathique étant moi-même un partisan de l’euthanasie ciblée, par guillotine. J’ai toutefois des réserves, principalement liées à ce que, factuellement, tout comme l’avortement, promu par la doublement élue Simone Veil qui, à elle seule, avec la force de succion d’une Aurore Bergé en errance politique, a créé exponentiellement le trou rectal démographique dans lequel s’est engouffrée l’immigration de masse, elle vise mathématiquement les autochtones que ce soit les vieux, majoritairement carencés en mélanine ou les déprimés tout aussi décolorés. Un état auquel prédispose, en effet, l’absence de spiritualité, conséquence de la laïcité en suppositoire à laquelle l’islam, le judaïsme et le catholicisme importé sont imperméables et sans bénéficier de surcroît de cette incapacité des simples d’esprit (qui vivent dans le brouillard du présent dans lequel les conséquences de leurs actes n’existent pas encore) à se projeter dans l’avenir, au demeurant toujours plus sombre.
 
Une angoisse existentielle qui est peut-être ce qui a conduit Joachim Son-Forget, ex-député renaissance, à changer de sexe, puis à pénétrer indûment à l’assemblée le 25 mai, pour voler les robes d’une députée de son ancien parti. Peu de dépressifs en revanche dans les rangs des criminels qui poussent comme des champignons dans un vagin d’instagrammeuse tatouée, tel le meurtrier afghan du jeune Matisse (que tout le monde a déjà oublié) condamné cette semaine à 8 ans de prison dont il fera, au mieux, la moitié et que, grâce à un Badinter à prépuce incidemment évanescent, il n’est plus possible d’éliminer. Il est vrai que sans peuple autochtone gênant, qualifié de « fin de race » par un Mathieu Kassovitz dont je me demande s’il n’aurait pas un léger point commun coïncident qui m’échappe avec les deux panthéonisés sus-cités ainsi qu’avec le créateur de la pilule abortive, le professeur Etienne-Emile Baulieu (né Blum) décédé ce 31 mai, plus de nationalisme et donc moins de peur phobique paranoïaque d’un hypothétique sursaut à fort indice carbone de l’organisme collectif en réaction à des corps étrangers toujours inassimilés après 2000 ans de présence revendiquée. Mais je « digresse », à l’instar de nos racines civilisationnelles qui sont antérieures à la laïcité, au catholicisme et à l’Ancien Testament.

Si je laisse mon humanité au vestiaire, je peux rationnellement comprendre la motivation économique sous-jacente à supprimer en masse des retraités grabataires surnuméraires coûteux pour assurer l’avenir de la jeunesse qui devrait être la préoccupation première de toute société saine, à commencer par le Conseil constitutionnel. Pour autant, si l’argent économisé est simplement jeté dans le puits sans fond de la dette et les poches de la finance internationale afin de pouvoir continuer à emprunter pour verser des aides sociales au flot continu qui se déverse principalement du continent africain, mais pas que, à subventionner les multinationales, à mener grand train et à arroser les copains façon vespasienne à la fête de la bière c’est un peu comme donner volontairement un rein pour en faire de l’engrais organique pour rhododendron. 
 
Par ailleurs, il est à craindre, une fois le nez dans la porte, que la logique économique ne s’arrête pas aux grabataires et aux agonisants incurables, mais s’étende à l’ensemble des « improductifs » réfractaires, suivant la même pente savonneuse, surtout lorsque la savonnette choit, que la dépénalisation de l’homosexualité, projet soutenu incidemment encore par le même Badinter et tout aussi incidemment présenté par Gisèle Halimi à l’époque et qui, craché juré, ne valait pas reconnaissance sociale. Il a pourtant été suivi par le PACS qui, craché, juré, ne serait pas suivi du mariage entre personnes du même sexe, qui craché juré, ne permettrait pas l’adoption, ni la PMA, ni la GPA, la théorie du genre, l’interdiction de décourager la pratique, le LGBT et finalement la pénétration de l’idéologie et plus si affinités, en milieu scolaire… et on peut multiplier les exemples. 
 
Pour autant, se draper derrière la dignité humaine pour s’opposer, par principe, à l’aide à mourir sans avoir assisté de manière répétée au spectacle de ces rangées de légumes baveux contorsionnés, au regard éteint, alignés comme des plantes vertes dans les maisons de retraite et oubliés, sauf par les mouches, devant un téléviseur symbolique inaudible et ne pas avoir eu à subir la vision d’un être cher retrouvé nu au milieu de ses excréments dont il avait consommé une partie et qui, dans un furtif éclair de lucidité, vous supplie de le tuer, me semble un peu léger, pour ne pas dire hypocrite, tout en occultant l’essentiel. Un essentiel qui se résume avant tout à savoir si on peut faire confiance, alors qu’on vient de fêter les 20 ans de la trahison référendaire de 2005, à la « république » et son assemblée de branquignols pour décider qui doit mourir ou non et je pense que sur ce point-là au moins, nous serons nombreux à tomber d’accord.

Il y a assez de disputes comme cela en ce bas monde, car outre le tandem Macron / Brigitte, Trump s’est fâché avec Poutine en réalisant que, comme pourtant clairement annoncé depuis le début des hostilités, celui-ci, légèrement indisposé après 2 tentatives d’assassinat qui expliquent les représailles massives de ces derniers jours, ne fera pas la paix tant que tout risque futur d’une réactivation de l’Ukraine par l’OTAN ne sera pas écarté, ce qui suppose ce que cela suppose pour qui comprend le russe même traduit en français.

Comme si cela ne suffisait pas, voilà que, comme dans l’album éponyme d’Astérix, la « zizanie » s’installe quand le Barde est là au RN et que, passant de Dalida à Tino Rossi, Marinella aussi, laquelle préfère risquer un an et demi d’incertitude judiciaire capable d’impacter les chances de son parti plutôt que de laisser la place. Une querelle sur fond de compétence géographique sur les territoires ultra-marins qui semblent les passionner davantage que le péquin moyen de France métropolitaine à qui l’état, à défaut de gérer le « sentiment » d’insécurité, va désormais interdire de fumer sur les plages « bordant des eaux de baignade ». Il faudra donc fumer dans les eaux de baignade bordant les plages bordant des eaux de baignade ou en pédalo pour éviter les 135€ d’amende.