Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/MjWeEzppqzE
Bonjour !Le point commun entre la boxe et le foot c’est que ça se termine souvent en « chaos », enrichissement culturel oblige, Macron ayant salué la victoire du PSG en adressant à la population un brin « emeutive » qui cramait tout sur son passage un enthousiaste « Champion, mon frère ! » gardant probablement le « wesh ! » en réserve pour un prochain tweet. À ce « stade », et je ne parle plus de foot, se moquer de Macron c’est comme essayer de mouiller de l’eau ou déposer une chiure de mouche sur une bouse de vache dans une fosse septique, la simple narration des faits dépassant déjà toutes les limites du ridicule.
Après l’épisode du mouchoir qui a fait le tour du monde, on a eu droit au tirage de doigt prolongé par Erdogan qui attendait probablement qu’il fasse « prout ! », Tirana, lieu de la rencontre, n’étant pas une Zone à Faible Emission, les fameuses ZFE que les députés des fausses oppositions, se donnant le beau rôle à peu de frais, ont fait semblant de supprimer cette semaine, profitant du vote d’un texte qui n’a rien à voir, tout en sachant que ce procédé que l’on appelle « cavalier législatif » dans le Kamasutra politique, condamne leur amendement (qui par ailleurs va à l’encontre des diktats de l’Union européenne et expose la France à de lourdes amendes) à être traité par le Conseil constitutionnel comme un étron de Gérard Larcher après une soirée cassoulet aux truffes.
Comme jamais deux sans trois, le clown grâce auquel (après que le PIB par habitant italien a dépassé le nôtre) nous sommes relégués officiellement au rang de 10e puissance mondiale, s’est pris un pain en mondovision au Vietnam, évènement derrière lequel l’Élysée a d’abord vu l’IA puis la main de Moscou, alors que c’était clairement celle de Brigitte. Une Brigitte qui selon la presse anglo-saxonne, laquelle a fait appel à des spécialistes de la lecture labiale, lui a alors lâché, en refusant son bras à la sortie de l’avion : « Dégage, espèce de loser ! ». Fin du voyage donc, ou du « travel » pour rester dans les anglicismes, d’autant qu’en avion c’est un « travel » haut.
Pendant ce temps, l’autre ahuri est resté figé comme une Lapix dans la lumière des phares, laquelle furieuse de se faire virer du 20h en chute libre d’Antenne 2, a complètement pété les plombs et a tout commenté en chansons, ce que, personnellement, je vois comme une allusion pernicieuse à Delphine « airs » « notes », la pourfendeuse d’hommes blancs de plus de 50 ans dans le service audiovisuel public, qui vient apparemment d’étendre le concept aux femmes en omettant, errare humanum est, de s’inclure dans la charrette.
En tous les cas, Macron est visiblement un homme battu que sa souffrance rend éligible aux avantages de la nouvelle loi sur l’euthanasie, votée en première lecture ce 27 mai, laquelle me devient, d’un coup, beaucoup plus sympathique étant moi-même un partisan de l’euthanasie ciblée, par guillotine. J’ai toutefois des réserves, principalement liées à ce que, factuellement, tout comme l’avortement, promu par la doublement élue Simone Veil qui, à elle seule, avec la force de succion d’une Aurore Bergé en errance politique, a créé exponentiellement le trou rectal démographique dans lequel s’est engouffrée l’immigration de masse, elle vise mathématiquement les autochtones que ce soit les vieux, majoritairement carencés en mélanine ou les déprimés tout aussi décolorés. Un état auquel prédispose, en effet, l’absence de spiritualité, conséquence de la laïcité en suppositoire à laquelle l’islam, le judaïsme et le catholicisme importé sont imperméables et sans bénéficier de surcroît de cette incapacité des simples d’esprit (qui vivent dans le brouillard du présent dans lequel les conséquences de leurs actes n’existent pas encore) à se projeter dans l’avenir, au demeurant toujours plus sombre.
Une angoisse existentielle qui est peut-être ce qui a conduit Joachim Son-Forget, ex-député renaissance, à changer de sexe, puis à pénétrer indûment à l’assemblée le 25 mai, pour voler les robes d’une députée de son ancien parti. Peu de dépressifs en revanche dans les rangs des criminels qui poussent comme des champignons dans un vagin d’instagrammeuse tatouée, tel le meurtrier afghan du jeune Matisse (que tout le monde a déjà oublié) condamné cette semaine à 8 ans de prison dont il fera, au mieux, la moitié et que, grâce à un Badinter à prépuce incidemment évanescent, il n’est plus possible d’éliminer. Il est vrai que sans peuple autochtone gênant, qualifié de « fin de race » par un Mathieu Kassovitz dont je me demande s’il n’aurait pas un léger point commun coïncident qui m’échappe avec les deux panthéonisés sus-cités ainsi qu’avec le créateur de la pilule abortive, le professeur Etienne-Emile Baulieu (né Blum) décédé ce 31 mai, plus de nationalisme et donc moins de peur phobique paranoïaque d’un hypothétique sursaut à fort indice carbone de l’organisme collectif en réaction à des corps étrangers toujours inassimilés après 2000 ans de présence revendiquée. Mais je « digresse », à l’instar de nos racines civilisationnelles qui sont antérieures à la laïcité, au catholicisme et à l’Ancien Testament.
Si je laisse mon humanité au vestiaire, je peux rationnellement comprendre la motivation économique sous-jacente à supprimer en masse des retraités grabataires surnuméraires coûteux pour assurer l’avenir de la jeunesse qui devrait être la préoccupation première de toute société saine, à commencer par le Conseil constitutionnel. Pour autant, si l’argent économisé est simplement jeté dans le puits sans fond de la dette et les poches de la finance internationale afin de pouvoir continuer à emprunter pour verser des aides sociales au flot continu qui se déverse principalement du continent africain, mais pas que, à subventionner les multinationales, à mener grand train et à arroser les copains façon vespasienne à la fête de la bière c’est un peu comme donner volontairement un rein pour en faire de l’engrais organique pour rhododendron.
Par ailleurs, il est à craindre, une fois le nez dans la porte, que la logique économique ne s’arrête pas aux grabataires et aux agonisants incurables, mais s’étende à l’ensemble des « improductifs » réfractaires, suivant la même pente savonneuse, surtout lorsque la savonnette choit, que la dépénalisation de l’homosexualité, projet soutenu incidemment encore par le même Badinter et tout aussi incidemment présenté par Gisèle Halimi à l’époque et qui, craché juré, ne valait pas reconnaissance sociale. Il a pourtant été suivi par le PACS qui, craché, juré, ne serait pas suivi du mariage entre personnes du même sexe, qui craché juré, ne permettrait pas l’adoption, ni la PMA, ni la GPA, la théorie du genre, l’interdiction de décourager la pratique, le LGBT et finalement la pénétration de l’idéologie et plus si affinités, en milieu scolaire… et on peut multiplier les exemples.
Pour autant, se draper derrière la dignité humaine pour s’opposer, par principe, à l’aide à mourir sans avoir assisté de manière répétée au spectacle de ces rangées de légumes baveux contorsionnés, au regard éteint, alignés comme des plantes vertes dans les maisons de retraite et oubliés, sauf par les mouches, devant un téléviseur symbolique inaudible et ne pas avoir eu à subir la vision d’un être cher retrouvé nu au milieu de ses excréments dont il avait consommé une partie et qui, dans un furtif éclair de lucidité, vous supplie de le tuer, me semble un peu léger, pour ne pas dire hypocrite, tout en occultant l’essentiel. Un essentiel qui se résume avant tout à savoir si on peut faire confiance, alors qu’on vient de fêter les 20 ans de la trahison référendaire de 2005, à la « république » et son assemblée de branquignols pour décider qui doit mourir ou non et je pense que sur ce point-là au moins, nous serons nombreux à tomber d’accord.
Il y a assez de disputes comme cela en ce bas monde, car outre le tandem Macron / Brigitte, Trump s’est fâché avec Poutine en réalisant que, comme pourtant clairement annoncé depuis le début des hostilités, celui-ci, légèrement indisposé après 2 tentatives d’assassinat qui expliquent les représailles massives de ces derniers jours, ne fera pas la paix tant que tout risque futur d’une réactivation de l’Ukraine par l’OTAN ne sera pas écarté, ce qui suppose ce que cela suppose pour qui comprend le russe même traduit en français.
Comme si cela ne suffisait pas, voilà que, comme dans l’album éponyme d’Astérix, la « zizanie » s’installe quand le Barde est là au RN et que, passant de Dalida à Tino Rossi, Marinella aussi, laquelle préfère risquer un an et demi d’incertitude judiciaire capable d’impacter les chances de son parti plutôt que de laisser la place. Une querelle sur fond de compétence géographique sur les territoires ultra-marins qui semblent les passionner davantage que le péquin moyen de France métropolitaine à qui l’état, à défaut de gérer le « sentiment » d’insécurité, va désormais interdire de fumer sur les plages « bordant des eaux de baignade ». Il faudra donc fumer dans les eaux de baignade bordant les plages bordant des eaux de baignade ou en pédalo pour éviter les 135€ d’amende.
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