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samedi 22 février 2020

Griveaux, attentat, FN et coronavirus... (22 fév. 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube:




Bonjour!
Il paraît que chez les Griveaux on prend les courants d’air très au sérieux, une porte qui claque à l’improviste pouvant avoir de lourdes conséquences. D’un autre côté, ce genre d’accident aurait pu éviter au pauvre Benjamin de faire une monumentale connerie et faire de lui le prochain Maire de Paris… option trans si ladite porte s’était refermée un peu trop violemment. 
C’est quand même impressionnant : à chaque fois on croit avoir touché le fond de la connerie humaine, mais visiblement, à La République En Marche, on fait les 3 huit autour d’excavatrices avec des mèches en diamant qui tournent à plein régime (pas forcément démocratique). À ce rythme, s’ils ne trouvent pas bientôt du pétrole, la prochaine vague de migrants ce sera des kangourous et des aborigènes. 
C’est vrai que, même si elle a créé le cerveau de Castaner, la nature a, en général, horreur du vide, et que depuis les indépassables « Branquignols » de Robert Dhéry et ensuite, dans une moindre mesure, le groupe du Splendid, on n’avait plus connu en France de troupe comique digne de ce nom, mais le fait que ces clowns prétendent diriger le pays alors même que, faute de contrôle sur les freins et le volant, ils n’ont plus accès qu’à l’accélérateur et ce tandis qu’on file droit vers un précipice, empêche de profiter sereinement du spectacle, d’autant qu’on paie nos places au prix fort par taxes interposées pour entretenir ce petit monde et que, dès que l’on s’assied, on a un peu l’impression d’être sur les genoux de Rocco Siffredi. On a donc le droit (et même le devoir) de se moquer, histoire de mettre fin à cette mascarade, quitte à tirer sur l’ambulance ; en revanche on ne tire pas sur le pianiste. 
Fort heureusement, Benjamin Griveaux, devenu grivois, comme en attestent les textes bucoliques accompagnant les vidéos masturbatoires qui circulent, n’est certainement pas pianiste, même pas sur piano à queue, ne serait-ce que parce que pour jouer de cet instrument-là il faut utiliser ses 2 mains et, que même dans ce cas, c’est dur de faire des glissandos avec les doigts qui collent. Il n’en demeure pas moins que celui qui s’ébranle tous les matins (comme dirait mon voisin portugais), et qui, pour une raison qu’on comprend mieux aujourd’hui, voulait renommer le musée du quai Branly, aurait pourtant fait un bon maire, un qui n’aurait pas eu peur de prendre les choses en main et de faire tous les va-et-vient nécessaires avec, pour conséquence, que, au bout du compte, on aurait eu la crème de la crème et qu’il nous en aurait mis plein la vue. Hélas, quelque conglomérat subversif de personnes voulant sa peau s’est mis en branle et il a giclé, se retirant, une fois n’est pas coutume, la queue entre les jambes, contraint de rentrer chez lui à toute vitesse pour planquer tous les ciseaux et objets tranchants avant le retour de son épouse, laquelle ne se voit envoyer, la pauvre, que des vidéos du plat principal à la cantine, les jours où il y a cassoulet ou choucroute. 
Franchement, entre ça et les selfies des instagrameuses, la lutte à mort à coups de pixels entre Samsung et Apple a vraiment fait avancer l’humanité. 
J’attends impatiemment la suite qui nous est promise par Juan Branco, tout ce petit monde ayant des dossiers les uns sur les autres et se tenant par quelque endroit velu qui ne se résume pas toujours à la barbichette. Une fois la boîte de pandore ouverte tout peut arriver : peut-être Marlène Schiappa faisant des recherches pour ses livres, une protection trop rapprochée de Benalla sur notre président, Brigitte Macron qui teste sa nouvelle moquette, les livraisons de croissants de François Hollande sans les mains, une barmitsva chez DSK, voire des images d’archives de Cohn-Bendit ou de Jack Lang sans ses costumes gratuits. 
En tout cas, bravo la technologie, ça valait le coup de ne pas investir tout ce pognon en recherche et développement dans la lutte contre le cancer : quelle richesse dans les détails, sans parler de la brillance des couleurs et tout ça en mode vibreur. En zoomant, on pourrait certainement superposer en incrustation d’image (ce que l’on appelle PIP) un morpion excité faisant la même chose tout en brandissant avec une de ses pattes libres une petite pancarte : « avant j’étais chez Macron ». 
Un Macron que la chose arrange bien, pouvant ainsi substituer à l’érotomane qui voulait transformer Paris en forêt « vierge » (on comprend mieux pourquoi), une spécialiste en suppositoires, plus à même de participer au concours de rombières plus ou moins liftées qu’est devenue l’élection municipale parisienne : un Miss France à l’envers en quelque sorte. A ce stade tout ce qu’on peut demander c’est que nous soit épargné le défilé en maillot de bain. 
Il est juste dommage qu’Agnès Buzyn doive, pour ce faire, laisser tomber le dossier du Coronavirus qu’elle connaissait d’autant mieux que son époux et coreligionnaire Yves Lévy était partie prenante dans le laboratoire P4 vendu à la Chine par la France, laboratoire qui travaillait sur ledit coronavirus et est situé, devinez où ? à Wuhan ! On dirait le scénario d’un James Bond, il ne manque plus qu’Aurore Bergé et Brune Poirson en minijupes sur l’affiche pour parfaire le casting. Le côté positif étant que l’hécatombe annoncée au plus fort des manifestations contre la réforme des retraites (d’autant que comme l’a subodoré en son temps l’inénarrable Sybeth, ce virus, éminemment raciste, aurait pu être attiré par les gilets « jaunes » en cas de rassemblement trop conséquent), que cette hécatombe donc, comme toutes les hécatombes virales annoncées ces dernières décennies, commence à se faire attendre, même si, cette fois, ça ne nous a pas « encore » coûté 400 millions d’euros en vaccins bidons comme pour la déjà oubliée grippe aviaire (qui a surtout affecté les pigeons contribuables) et que le risque n’est pas nul que ce soit, au contraire, le coronavirus qui demande à se faire vacciner contre Agnès Buzyn. 
Pourquoi donc une telle couverture médiatique pour un virus qui tue beaucoup moins que la grippe ordinaire, alors qu’on pourrait parler de tant d’autres choses comme les 120 agressions à l’arme blanche qu’on recense en France, par jour ? D’autant qu’à force de propagande alarmiste, des  résidus de liquide amniotique à QI de moule cuite taguent des restaurants par ailleurs même pas Chinois mais Japonais tandis que d’autres gaspillages de gamètes les traitent de racistes, oubliant que, dans l’équation, le problème n’est pas le racisme (qui n’est qu’un mécanisme naturel de défense) mais la connerie qui lui est parfois concomitante, connerie qui, en revanche, est TOUJOURS inhérente à l’antiracisme dont ils se réclament lequel, non seulement nie la réalité de la nature humaine, mais exacerbe et alimente, par ses conséquences, le problème qu’il prétend combattre et dont, par définition, il se nourrit. 
C’est ainsi que les parasites au pouvoir en Allemagne, que la masse ovoïde de gélatine vibrante en fin de vie qui leur tient lieu de chancelière n’arrive plus à fédérer, s’inquiètent de la montée inexorable de l’AfD à chaque nouvelle élection et que tombe, juste à pic, un attentat perpétré par un type qualifié « d’extrême droite » par BFM TV (ce doit donc être vrai). Dans sa vidéo (que j’ai vue) le bonhomme semble passablement allumé, façon notre premier ministre quand il nous annonce, sans rire, que le chômage baisse, non pas tant parce qu’il parle de bases secrètes américaines et de pédo-satanisme que parce qu’il en parle comme d’une vérité révélée sans qu’aucune démarche logique ne soit discernable derrière un discours dont la finalité elle-même n’est pas claire. Quoi qu’il en soit, il se retrouve mort et, après une enquête bouclée en quelques heures, accusé, d’avoir, par étourderie sans doute, fumé des Kurdes au lieu de la chicha dans deux bars dédiés à cet enrichissement culturel, sans que, par ailleurs, la chose n’ait le moindre rapport avec sa vidéo. Mais l’extrême droite (terme dilatable, façon sphincter macronien, jusqu’à englober potentiellement tout ce qui n’est pas d’extrême gauche) n’ayant pas droit, elle, à la notion de « loup solitaire déséquilibré », le massacre sera forcément mis sur l’ardoise de l’AfD dont les membres sont méchants, méchants, méchants. Désormais, comme on nous a fait le coup pendant des années à l’époque du défunt FN, nos amis (de moins en moins) teutons devront donc choisir entre les méchants et les migrants : dur d’être un Allemand. Et tant qu’on parle du FN, devenu Rassemblement National sans qu’on ne sache plus vraiment rassemblement de quoi, force est de constater que sous la houlette de son insigne présidente (laquelle, au lieu de se retirer après sa débâcle et d’ouvrir un bar qu’elle aurait pu appeler « la cage aux fioles », continue à sévir et, comme Macron, à s’entourer de gens qui ne lui font pas d’ombre), il est incontestablement devenu un parti prêt à gouverner dans la plus pure tradition républicaine si l’on considère que, alors qu’il est de plus en plus endetté (on parle de 25 millionsd’euros), au point de risquer le dépôt de bilan sous deux mois, ses cadres et ses dirigeants, dont Marine le Pen, vivent eux, de mieux en mieux, avec des émoluments plus que confortables EN SUS de leurs diverses indemnités électives et parlementaires, pour un service rendu plus que discutable (j’allais dire « débattable » mais inutile de charger la mule). Donc, pour ceux qui en auraient encore peur, ne vous inquiétez pas, même si la machine à fabriquer des crétins médiatique ne parvenait plus à fournir suffisamment de votants à la macronie et qu’ils arrivaient au pouvoir, on ne verra pas la différence. En revanche il sera intéressant de voir si Macron va bouger en sous-main pour sauver la seule candidate face à laquelle il aurait une chance de l’emporter ou s’il va juste la laisser s’enfoncer comme un doigt mouillé dans une gay Pride.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
 

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