Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

mercredi 4 mars 2020

Humour caustique : Pandémie de connerie (04 mars 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/tD-J750Wt_8
 


Bonjour!
Je me sens un peu comme Castaner qui regarde passer des vaches qui regardent passer des trains : je n’arrive plus à suivre. Le gouvernement nous pond une réunion de crise, qui plus est un samedi (histoire de montrer qu’il bosse), réunion censée porter sur le coronavirus et, à la fin, il nous parle de la réforme des retraites, du coup, j’ai tout mélangé et j’avais compris que notre premier sinistre avait attrapé le virus et que 49-3 c’était sa température. Fausse joie. Mais je suis forcé d’admettre que je suis moins doué que Macron pour le « en même temps », et à ma décharge, si j’ose dire, je revisionnais concomitamment la vidéo de Griveaux pour vérifier une théorie qui me travaillait depuis un moment et je confirme : c’est bien le même pattern rythmique dans le mouvement de poignet que dans « ah, ça ira, ça ira, ça ira… ». Cet homme est un visionnaire. 
Dans tous les cas, à cause de cet enfoiré de virus, les manifestations à partir de 5000 personnes sont désormais interdites… sauf dans les stades de foot ???, probablement parce que ça se joue avec les pieds, sachant que la mesure phare pour nous protéger… c’est de ne plus se serrer la main, chose compliquée en période électorale. On est mal barrés. Du coup pour protester contre le hold-up des retraites je suppose qu’il va falloir faire des groupes de 4999 manifestants, séparés par un espace de sécurité, avec le risque que certains voient, dans ce refus du compte rond, des relents d’antisémitisme larvaire. Mais, même si la tactique a encore fonctionné contre les gilets jaunes, l’hypersensibilité olfactive aux idées nauséabondes ne soulève plus beaucoup de compassion et le diner du CRIF a dû être reporté, pas tant à cause du virus que parce que, en pleine pandémie, vendre la lutte contre ledit antisémitisme comme devant être la priorité absolue du pays, si ça passait encore face à la pauvreté ou au chômage, là ça aurait quand-même fait tiquer du monde, sachant que, quand on a une double pneumonie, l’antisémitisme on s’en tamponne autant qu’une féministe de la parité quand il s’agit de monter sur les canots de sauvetage du Titanic. 
Moi, franchement, j’étais tranquille, j’avais mis un panneau sur la porte d’entrée « interdit au coronavirus » et je prenais la chose à la rigolade, genre « pandémie et pendez-moi sont sur un bateau… ». Il faut dire que je me rappelle Tchernobyl. De ce fait, comment aurais-je pu imaginer qu’un pays capable, en pleine cohabitation, d’arrêter un nuage radioactif allait, avec cette fois un gouvernement de winners 2.0, laisser passer un virus, qui plus est avec une couronne rouge bien visible, d’autant que la devise des rouges c’est justement « no pasaran ». Leur problème c’est juste qu’ils sont plus focalisés sur les fachos que sur les virus. Mais bon, soyons sérieux 2 minutes : pas la peine d’être virologue pour comprendre que dans le monde du libre-échange heureux, où même la théorie du genre parvient à se répandre, quand une maladie contagieuse peut être asymptomatique pendant plusieurs semaines, il est impossible qu’une grande partie de la population ne soit pas infectée à moyen terme. Quand on la détecte, même si on croit la propagande de l’OMS selon laquelle seulement 1% des personnes sont asymptomatiques (alors que les chiffres en environnement contrôlé relevés sur le Diamond Princess au Japon sont éminemment supérieurs), il y a déjà des centaines de personnes atteintes qui se sont baladées un peu partout contaminant exponentiellement d’autres personnes (dont certaines tout aussi asymptomatiques) lesquelles, à leur tour, vaquent tranquillement à leurs occupations, tout ça sans qu’aucun pays ne dispose de tests rapides et en nombre suffisant pour pouvoir envisager des mises en quarantaine crédibles. Sans compter qu’outre les personnes, la bébête peut survivre quelques jours sur différentes surfaces. On peut certes essayer de nettoyer, mais Griveau a beau s’être astiqué vigoureusement ça n’a pas empêché, dans son cas, la chose de devenir virale. Autre aspect inquiétant dont on ne mesure pas encore les effets, certaines personnes guéries ont été recontaminées ce qui est pour le moins bizarre et laisse présager que ce virus, qui semble plus vraisemblablement sorti d’une éprouvette que d’un bouillon au chihuahua aromatisé à la chauve-souris, nous réserve encore quelques surprises. Heureusement pour nous, à ce stade, question mortalité on est loin de la grippe abusivement qualifiée d’espagnole alors qu’elle venait, elle-aussi, de Chine.
Sur tout ça, pour être honnête, nos politiques n’ont, cocaïne exceptée, que peu de prise. Là où, en revanche, leur responsabilité est entière, c’est qu’avec leurs économies à la con sur les choses importantes pour compenser leurs gaspillages idéologiques (entre beaucoup d’autres choses, sur l’immigration, laquelle continue allègrement pendant la pandémie), notre système de santé, ouvert au monde entier avec de moins en moins de moyens, est au bord de l’implosion. Or, à ce jour, pour les cas graves, on ne peut que traiter les symptômes, permettant ainsi à l’organisme de faire son boulot et de guérir, mais si nos hôpitaux ne sont pas calibrés pour pouvoir traiter tous lesdits cas graves qui vont se présenter, de plus en plus nombreux, conjointement à un flot d’hypocondriaques plus ou moins paniqués, non seulement le nombre de décès va grimper en flèche, mais il s’étendra à de nombreux malades ordinaires qui ne pourront pas, non plus, être soignés ou pris en charge pour d’autres affections. 
Donc soit la logique est respectée et les cercueils vont rapidement s’empiler, comme une chenille improvisée dans une Gay-Pride, mais verticalement, soit on nous aura pris, une fois de plus, pour des cons, avec des informations tronquées, fausses ou déformées pour nous faire regarder ailleurs pendant qu’on nous faisait dans le dos non pas un enfant, mais un chatouillage d’hémorroïdes internes.
Pour ne rien arranger, Macron vient de réquisitionner tous les masques, car Agnès Buzyn, grande visionnaire, a eu l’idée géniale d’envoyer généreusement nos stocks de FFP2 comme celui que je porte, réservé aux professionnels, devinez à qui ? Aux Chinois, qui plus est le jour même où le premier cas était signalé en Italie. À ce niveau de connerie, je commence à me dire que si elle était élue à Paris elle pourrait accomplir l’exploit de faire regretter Hidalgo, et pas seulement aux rats lesquels, si l’économie continue à se ralentir, pourraient devenir une source de protéines appréciable. Du coup, les personnels soignants se retrouvent moins protégés que des antifas en tenue de combats ou que les porteuses de hijab déjà passées elles au niveau 2, le Niqab, avant d’envisager certainement le 3, à savoir carrément la burka. Certes, de mauvaises langues diront qu’en Iran ça n’a pas été particulièrement efficace mais, à mon avis, c’est juste qu’ils ont oublié d’étendre ladite burka aux hommes ce qui, ironiquement, en ferait le premier pays musulman LGBT compatible. À moins que, chez eux, la souche ne soit différente et que, comme le dit le très dyslexique Pierre Cassen, on soit plus proche, dans ce cas, du coranovirus. 
Autre facteur aggravant dont personne ne parle, un enfoiré de moustique a essayé de me piquer il y a déjà 3 semaines. Depuis quand a-t-on des moustiques en février ? Ça c’est la faute à Greta Thunberg dont quelqu’un, au passage, a osé tirer les tresses, si l’on en croit un photo montage qui circule. Si c’est un paralytique, j’espère qu’il remarche. Si c’est Polanski, c’est un peu dommage cette rechute, juste au moment où, grâce aux Césars, il commençait à remonter la pente. De toutes façons Paul en skis ne peut que remonter la pente, à vélo aussi. Toujours est-il que, le moustique n’ayant pas de couettes, je l’ai chopé par les ailes et je lui ai mis le marché en main : « soit je te colle avec un scotch sur la chaise de Sibeth Ndiaye, soit tu sors d’ici, tu fonces dans un restaurant chinois et dès que tu as le virus tu voles jusqu’à l’Élysée et tu piques tout ce qui bouge. Si ça ne bouge pas, ne t’inquiètes pas, c’est Brigitte, il fallait bien que ça arrive un jour ou l’autre ». Entre temps, il y a eu des rafales de vent à 90 km à l’heure et il a été flashé par un radar tourelle aux alentours de Limoges donc je ne vous cacherai pas que les chances sont faibles, mais ça valait le coup d’essayer. 
En tout cas, la panique s’installe et le commerce mondial est presque arrêté, heureusement que j’avais commandé cet accessoire très utile [une brosse à toilettes à l'effigie de Macron est montrée à l'image] avant la pandémie, accessoire que je garde précieusement en attendant la prochaine épidémie de gastro. Pour autant, même si le chaos boursier s’annonce pile poil au moment où on va nous piquer nos retraites (voire nos comptes en banque), et que les usines chinoises sont à l’arrêt, cette pandémie en tranches avec du beurre pour que ça glisse mieux, semble, comme je l’ai dit, ne pas affecter l’importation de migrants, laquelle, continue, elle, à plein régime, d’autant qu’Erdogan vient d’ouvrir en grand le robinet, au point que dans les îles grecques, on envoie les forces anti-émeutes pour taper… sur les habitants qui, pas contents, repoussent les bateaux à la mer et mettent le feu aux centres d’hébergement, tout ça parce que l’on voulait les exproprier pour construire des centres encore plus grands considérant que lesdits migrants ne représentant que 40 % de la population il restait encore un peu de marge. Chez nous, on a eu à peu près le contraire puisque des congolais, mais alors vraiment très laids, ont brûlé la gare du Nord sans que la police intervienne. Question culturelle sans doute, d’autant que dans les îles grecques, même si pour Chios ça sent, entre autres, la prédestination, quand on habite Lesbos on n’a pas, par définition, vocation à se faire enculer, quant aux habitants de Samos, question migrants, il y en a peu « Kiri » au-delà de 99 (pour ceux qui ont la référence).
Il est clair que non seulement, partout, les gens sont trahis par les élites, mais qu’ils se trahissent tout seuls puisque même les Suisses ont voté récemment, par référendum, une loi contre la critique de la propagande LGBT requalifiée de lutte contre l’homophobie. La lutte contre le coronavirus étant en soi, elle aussi, une forme de discrimination, j’espère, pour eux, qu’ils ne feront jamais de referendum sur le sujet. Du coup, la démocratie représentative étant à la démocratie réelle ce que la liberté conditionnelle est à la liberté tout court, même les partisans, comme moi, d’une démocratie directe, doivent reconnaître que le compte n’y est pas pour que ça puisse fonctionner. 
C’est comme du pain cétogène sans farine ou un bouquet de fleurs de Griveaux à sa femme pour la Saint-Valentin : il manque l’essentiel, à savoir, par ordre d’importance : 

  • une cohérence de population dont les intérêts globaux doivent être communs, 
  • un but collectif, sinon ladite population se retrouve « en marche » sans savoir vers où, 
  • la volonté collective de travailler à devenir le plus intelligente possible afin d’avoir la capacité de se projeter à long terme, chose qui ne peut se faire qu’en repérant et en investissant prioritairement sur les locomotives au lieu des wagons en milieu scolaire et en évitant d’importer massivement des populations à QI moyen inférieur, 
  • cultiver le bon sens pour que cette intelligence reste ancrée (notamment par la cellule familiale) dans la réalité et ne se perde pas dans l’idéologie.
  • Sachant que tout cela ne sert à rien, bien sûr, sans une information pertinente et honnête permettant de prendre les bonnes décisions lesquelles n’aboutiront malheureusement à rien 
  • sans le pouvoir d’agir en contrôlant totalement son territoire et donc sa monnaie, 
  • territoire qu’on doit, par ailleurs, être en mesure de protéger contre les forces extérieures. 

Quasiment aucune des cases n’étant cochées (à commencer par les premières), à part d’en passer par un coronavirus extrêmement sélectif ou une dictature bienveillante (concept par ailleurs aussi hasardeux qu’improbable) disposant, en outre, d’une trentaine d’années pour faire le ménage et produire une nouvelle génération fonctionnelle (et encore sous réserve d’éviter un nouveau Fukushima dans l’intervalle), l’avenir qui se prépare est beaucoup moins rose que les ballets dans certains milieux mondains. Mais bon, si on devient une république islamique, outre que notre paysage audiovisuel est susceptible de changer drastiquement et que le report du diner du CRIF risque d’être un chouia prolongé, au moins on n’aura plus aucune raison de se faire facturer des frais de porc en commandant sur Allahmazon.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire