Bonjour !
Je ne sais pas s’il faut y voir un
caractère prémonitoire mais notre « bénallo-gérontophile » centripète
hélicoïdal a, encore une fois, tenu des propos aux intonations d’eunuque
décapité (façon capillotractée de dire « sans queue ni tête »).
Comme
à son habitude, il a gagné du temps, prolongeant le con, finement, le
confinement jusqu’au 11 mai en attendant, pourquoi pas, comme suggéré par la
petite chatte (trop longtemps confinée pour passer olfactivement inaperçue) de
Marlène Schiappa, de pousser jusqu’à la mi-août laquelle, comme le savent bien
ceux qui connaissent leurs classiques, est beaucoup plus romantique.
Sachant qu’on
n’en est qu’au covid-19 et qu’il n’y a aucune raison que ça s’arrête, on va se
faire enculer au moins jusqu’au covid-1984 (seul le covid-69 pouvant nous
laisser espérer une chance de réciprocité). Ils ont toujours trouvé (et
trouveront toujours) un épouvantail à agiter pour mieux nous dominer et, quand
je dis épouvantail, je ne parle pas de Belloubet, la remetteuse en liberté d’égorgeurs
en puissance, d’autant plus sereine que la probabilité qu’elle se fasse violer avoisine
celle d’un croisement entre un opossum et un ornithorynque (sauf, peut-être, si
le chaos qui s’annonce provoque, la nuit, un black-out électrique général et qu’aucune
chèvre, ou bouc, ou lampadaire, ne se trouve dans un rayon de 10 kilomètres).
Il
faut bien comprendre que la mort, rendue taboue pour les masses par l’éradication
des religions et l’anesthésie du consumérisme, est une maladie congénitale incurable
qu’on refile à nos gosses en espérant lâchement y avoir succombé avant qu’ils
ne déballent le cadeau et que, contrairement à l’expression absurde qu’on
utilise pour nous manipuler, une vie ne se sauve pas, au mieux, elle se
prolonge. Donc, tant qu’au lieu de se cloitrer dans la peur, on ne sera pas mentalement
capables de mener les nôtres de vies en enjambant les cadavres médiatiques qu’on
nous jette, on se fera mettre.
Je vous encourage à visionner ma
précédente vidéo pour comprendre l’étendue du foutage de gueule concernant cette
mise en cage de la contestation qui a désormais autant à voir avec le coronavirus
que l’accueil des migrants avec le paiement des retraites.
Il est clair que la
décapitation est d’une radicale efficacité pour soigner le mal de tête, mais j’ai
du mal à saisir que des gens qui, d’ordinaire, gouvernent avec un tableau Excel
en main pour justifier des licenciements massifs, au nom des mathématiques et
au mépris de l’humain, privilégient, d’un coup, cet humain dont ils n’ont d’ordinaire
pas plus à cirer que Sibeth Ndiayé de son pèse-personne, au détriment desdites
mathématiques. On est supposé croire que, alors que de tout temps, pour sauver
le pays, on n’a jamais hésité à sacrifier des millions de jeunes hommes, plus
ou moins poilus, sur les champs de bataille, comme on en sacrifie encore aujourd’hui
pour sauver l’Afrique (sans que la chose ait à voir avec son uranium ou ses
matières premières) d’un seul coup, pour prolonger, essentiellement, les quelques
milliers de vieillards cacochymes qu’on n’arrive pas à euthanasier et Tatiana
Ventôse, on n’hésite pas à sacrifier le pays tout entier.
En réalité ce que le
gouvernement essaie de sauver c’est ses fesses. Il convient de rappeler que si on se retrouve dans
la situation, pourtant facilement évitable, de devoir choisir entre sacrifier quelques-uns
pour sauver le pays ou tuer le pays pour sauver quelques-uns c’est uniquement à
cause de son incurie, trop constante pour être mise sur le compte de sa seule
nullité cognitive, d’autant qu’il disposait depuis des mois de toutes les
informations nécessaires. Un gouvernement qui, depuis le départ de Benjamin
Griveaux, a du sang sur les « deux » mains avec, à ce jour, par
comparaison avec l’Allemagne, 11 000 morts qui lui sont directement
imputables ; sang d’autant moins excusable qu’il recouvre à peine celui,
pas encore sec, des gilets jaunes. Un gouvernement qui dresse plus de
procès-verbaux qu’il ne réalise de tests et qui s’avère mille fois plus toxique
que tout ce qu’un pangolin peut produire, même en sodomisant sauvagement et sans
préservatif une chauve-souris atteinte d’Ébola dans un laboratoire.
La question subsiste, de savoir comment on
a pu en arriver, sans sourciller, à accepter collectivement cette forme de
suicide consistant à sacrifier la majorité pour sauver une minorité. Outre l’effet
de sidération médiatique, à coup de statistiques foireuses et anxiogènes, une
explication, parmi d’autres, est que le dernier qui a ouvertement préféré
sacrifier certains pour sauver le Pays était trop Pétain et que, du coup, ça a
fait un four, paradoxalement trop allumé. D’autant que ceux qui ont, de facto, gagné
la guerre (vu qu’Hitler l’a perdue) soucieux, pour certains, et c’est
compréhensible, d’éviter un remake (surtout à l’ère des micro-ondes), nous
inculquent depuis bientôt 80 ans, à coup de repentance, que l’auto-préservation
c’est rance, que la vie « des autres » c’est sacré, que l’immigration
c’est génial et que le nationalisme c’est pas bien… sauf en Israël, histoire d’avoir
quand-même une petite exception pour confirmer la règle.
Dans tous les cas, notre
système d’auto-défense est au niveau d’un troupeau de lemmings après visionnage
des 10 heures du film Shoah de Lanzman et il est clair que le Macronavirus (lequel
a conclu son allocution par une variante de « pensez printemps » en
mode foutage de gueule) en profite pour achever sa mission de liquider la France
et (une fois coulés les petits commerces au profit d’Amazon et consorts) pour,
sadiquement, serrer encore davantage le nœud des gueux analphabètes des campagnes,
en limitant les achats, auprès dudit Amazon, de tout ce qui (livres avec plein
d’images compris) pourrait alléger leurs semaines de confinement supplémentaires.
Semaines supplémentaires totalement
inutiles si l’on considère que l’épidémie est pratiquement maîtrisée à
Marseille où sévit l’infâme docteur Raoult qui fait bouillir, les nuits de pleine
lune, de l’hydroxy-chloroquine et des yeux de crapauds dans des chaudrons, alors
que Macron nous force à attendre un vaccin de lumière plein d’aluminium et de nanotechnologies
sympas qui, selon lui, est la seule solution : BigPharma 1 : France 0.
C’est sûr que ça énerve du monde et j’entends
beaucoup parler du « jour d’après », date à laquelle selon les
fantasmes des uns et des autres on lui fera faire Paris-Roubaix sur un vélo
sans selle avant de lui faire prendre un bain avec des piranhas, de le rincer à
l’acide et de pendre ce qui reste, enrobé de miel, au-dessus d’un nid de fourmi
rouges. Jour d’après d’autant plus relayé complaisamment par la presse qu’il
sert à canaliser les mécontentements, repoussés, de facto, à une date laissée au
bon vouloir de l’objet même desdits mécontentements, lequel parle déjà de
plateau au lieu de pic de l’épidémie et de 2eme vague (voire plus si affinités),
honorant pieusement, comme à son habitude, Saint Glin-Glin, patron des livraisons
de masques.
Il y a longtemps que je n’ai pas relu l’art de la guerre de Sun Tzu,
mais quelque chose me dit que le gars, en observant tout ça, se roulerait par
terre en chialant de rire jusqu’à réinventer le rouleau de printemps.
Le problème c’est que les emmerdes
arrivent généralement en escadrille et que si on attend trop et le laisse
décider du calendrier, il n’y aura pas plus de jour d’après que de
menstruations de première dame non datables au carbone 14. Ça ressemble quand
même pas mal à la fin du Monde : personne n’en parle mais ça brûle depuis
2 semaines autour de Tchernobyl, créant un nuage toxique chargé de radionucléides
qui, ce coup-ci, alors qu’on n’a toujours pas de masques, ne s’arrêtera pas à la
frontière, sauf si c’est Sibeth qui gère la com., les centrales d’achat qui
livrent les supermarchés n’ont que très peu de visibilité et la situation est
encore bien pire en Afrique, largement dépendante de la Chine, y compris pour
la chloroquine qu’ils prennent contre le paludisme et qui explique que le covid
n’ait pas encore explosé là-bas, laissant présager un tsunami migratoire sans
précédent (on parle de millions de personnes) qui se masse déjà derrière les
portes, laissées grandes ouvertes, par la Turquie bien décidée à l’utiliser
pour éradiquer la Grèce, dixit Erdogan.
Un tsunami qui, profitant de notre
faiblesse, va ensuite s’abattre comme autant de sauterelles sur ce qui reste de
notre système de santé et nos ressources alimentaires et ce, en pleine pandémie
de connerie paralysante. Un tsunami, pas plus anticipé que le coronavirus et que
je ne vois pas, hélas, comment on pourra l’arrêter sans, comme face à n’importe
quelle invasion, tirer à balles réelles sur tout ce qui entre chez nous sans y
avoir été invité. Il est clair que Macron (simplement gêné que le phénomène
arrive plus vite que prévu) ne le fera, bien sûr jamais, au nom des « droits
de l’homme », tentant, au contraire, piteusement, de résoudre le problème
avec du fric, lequel ne se mange pas, même pas pour un Africain affamé, surtout
quand il n’y a plus de marchandises à acheter avec.
C’est de cette inquiétude
que vient ce soudain élan (suivi d’un triple saut) de générosité que certains n’ont
pas compris, d’annuler la dette… de l’Afrique. En ce qui nous concerne, si on
survit à tout ça, vu qu’en bon banquier Rothschild, il s’est bien gardé d’évoquer,
en jetant du sel par-dessus son épaule, une scission entre les banques de dépôt
et d’investissement, tant qu’il restera de l’épargne à piquer sur les comptes, nos
droits de l’homme à nous consisteront à bosser 60 heures par semaine pour payer
la nôtre de dette, en perdant au passage tous nos acquis sociaux et bijoux de
famille, jusqu’à rejoindre la Grèce, il est vrai prédestinée, par son nom, au
régime. Une Grèce qui, en dépit d’une réputation de dilatation culturelle rectale
multimillénaire, ne s’est toujours pas remise du gang bang de la troïka et qui,
merci de ne pas rire, faute « d’aide militaire européenne », pour
rejeter l’invasion migratoire à la mer, sera balayée, comme une promesse
électorale dès « l’épouillage » des urnes.
Si le coronavirus nous a appris quelque
chose (en plus de serrer les fesses) c’est qu’une situation peut évoluer très
vite et ce d’autant plus que chaque perturbation en entraine d’autres à un rythme
croissant et que, donc, il vaut mieux prévenir que guérir. Si on ne comprend pas rapidement
que désormais (et jusqu’à ce que tout soit remis en ordre) c’est chacun pour
soi et que les droits de l’homme et l’accueil de la misère du Monde c’est
terminé, notre civilisation pourrait bien l’être aussi. Et c’est quand même un
peu triste de finir, dans le noir, le cul sur nos canapés, à trembler devant un
virus pourtant inoffensif pour l’immense majorité de la population.
Avant même son élection, j’ai toujours
dit 2 choses :
1) que si Macron allait jusqu’au bout de son mandat, la France
était cuite et
2) qu’il aurait un destin de Marie-Antoinette sachant qu’il a
été placé là pour être sacrifié et qu’il est trop imbu de sa personne pour s’en
rendre compte. Il est dangereux en effet, surtout quand il y a le feu au lac, de
se retrouver trop longtemps dans une situation où la constitution ne permet pas,
dans les faits, de se débarrasser légalement d’un individu qui ne fait pas le
job et dont chacun sait qu’il ne démissionnera jamais en dépit du fait d’être
largement haï et minoritaire dans l’opinion. La colère, exacerbée par un
confinement absurde, qui n’est que le faux nez de la dictature qui s’installe, devient
alors telle qu’il est plus que probable que certains vont fantasmer, de manière
plus ou moins concrète, sur une façon non asselinienne de remédier à la
problématique, plus proche du calibre 7,65 que de l’article 68.
D’une façon ou
d’une autre, la situation ne se résoudra pas avec des vidéos YouTube ou par les
urnes. À la limite, tout ce qu’on peut faire en ligne (et, comme dans toute
bonne dictature, la fenêtre est étroite car ça va bientôt être bloqué) c’est faire
monter la pression dans la cocotte-minute de façon à ce que la perspective d’une
explosion et d’un dé-confinement sauvage fasse changer la peur de camp et décuple
l’agitation stérile habituelle de notre grand timo-niais avec, pour conséquence,
que tant ceux qui ont peur de la révolution que ceux qui l’ont mis en place l’identifieront
comme la source du problème, ces derniers trouvant alors, peut-être, plus
productif de s’en débarrasser d’une manière ou d’une autre (on est ouverts à
tout) plutôt que de risquer un chaos incontrôlé qui pourrait se retourner
contre eux avant qu’ils n’aient fini de piquer la caisse.
Dans tous les cas, le bon côté de cette
crise c’est que beaucoup d’entre-nous ont été amenés à réfléchir sur la mort et
le sens de la vie. C’est le moment de vérité, tant individuel que collectif, qui
va nous dire très vite si la France est morte ou s’il reste encore des gens prêts,
en leur âme et conscience, à l’ultime sacrifice pour que les choses changent
vraiment.
Comme d’habitude, je n’ai pas la
prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter
la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure.
Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas
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