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jeudi 9 avril 2020

Humour Caustique : Macroneries virales (09 avr. 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/U57U2vXF648




Bonjour!
Cette nuit j’ai fait un rêve bizarre. Je faisais mes courses et, alors que passant devant le rayon poissonnerie s’infiltrait dans mes pensées une vision fugitive de Marlène Schiappa après trois semaines de confinement, je me retrouvais face à un masque de plongée intégral façon Dark « reste dedans », « Vador » étant peu approprié en période de confinement.
Sur le moment, je crus que c’était un truc publicitaire pour les poissons panés, mais non! celui qui l’arborait avait tranquillement continué vers le rayon fruits et légumes, tandis qu’à la vue des bananes, j’avais une pensée émue pour Benjamin Griveaux, pensée qui me poursuivit jusqu’au rayon crème fraîche. Après un laborieux passage en caisse, perturbé par la crise de nerf d’un malfrat qui hurlait, sans que personne ne fasse attention à lui : « ceci est un hold-up », je ramenais mon chariot, évitant soigneusement une dame, en pleurs et les mains en sang, en train d’astiquer furieusement la barre du sien avec une lingette ; scène me faisant repenser … à Benjamin Griveaux.
Sur le retour je dépassais une mamie qui avait carrément mis un masque à son chien lequel reniflait le derrière d’un autre à 1 mètre de distance. Tandis que fondaient sur elle deux drones et un hélicoptère de la gendarmerie nationale pour vérifier si elle avait son attestation (vous aurez compris que je n’habite pas dans le 93) je me réfugiais piteusement chez-moi. Je saluais quelqu’un que, faute d’avoir vu son visage depuis plusieurs semaines, je supposais être ma femme, et je guettais des signes de vie dans la chambre de ma fille, être nocturne, que pendant tout ce temps je n’avais pas vue du tout. Rien qui évoquât les maths qu’elle était supposée faire, mais quelque chose était indubitablement en vie dans la pièce.
Après avoir glissé une ou deux tranches de jambon sous la porte (la donzelle ayant tendance à prendre la mouche), je décidais, pour ma part, de tuer le taon, histoire de rester dans les diptères, en visionnant la vidéo d’un collectif de youtubeurs qui chantaient en cœur « restez-chez vous » avec cet air inspiré si caractéristique qu’on ne retrouve que dans les gros plans visage de ceux qui luttent passivement contre la constipation, dans les films pornos gays multiculturels, avec des clones de Yann Barthes et d’Omar Sy. C’est à ce moment que je me suis réveillé, avec « azerty » inscrit sur mon front, pas vraiment sûr qu’il s’agissait d’un rêve.
Dans la même veine, tel le cerveau lent de Castaner emporté par le vent, je me suis alors imposé, avec une fascination masochiste, l’introspection transcendantale de plus de 30 minutes (façon Antastesia) en mode pétage de plomb d’une youtubeuse aux cheveux de feu que je ne nommerai pas et que j’avais d’abord crue victime des courant d’airs qu’évoquent son nom et de sa tendance à enfoncer des portes ouvertes, avant qu’elle ne raconte, en mode panique, qu’elle avait, presque sûrement sans doute, ce truc que nul n’ose plus nommer. Ce qui ne l’a pas dissuadée, dans un dernier râle, de continuer à relayer la propagande gouvernementale pour ce confinement inepte qui, même s’il avait été démarré à temps et bien fait, ce qui n’est absolument pas le cas, n’aurait pu, au mieux, que retarder l’inévitable et ne l’a pas empêchée d’attraper la bestiole. « Prompt rétablissement ! » quand-même.
Du coup, j’ai subitement réalisé que, moi aussi, j’avais plein de symptômes. Depuis 2017, j’étais plutôt constipé, façon Schiappa, et depuis peu, j’ai choppé la Ndiayé. C’est comme la Ndiaré mais sans les flatulences, vu que ça manque « d’r ». En plus, j’ai un gros abcès sur les fesses en forme de ministre de la santé au point, qu’étant de nature opiniâtre, j’envisage de percer Véran. Je ne parle même pas des nausées qui apparaissent dès que je vois Macron à la télé, comme si j’avais ingéré un Brune Poirson violent, à moins, peut-être, qu’à force de me faire mener en bateau je n’aie attrapé le mal de Lemaire.
Le virus étant raciste et tuant essentiellement des noirs aux États-Unis (lesquels, contrairement à leurs frères africains, ne sont pas gavés de chloroquine en raison du paludisme), j’appréhende une baisse de mes globules blancs qu’on appelle leucopénie à ne pas confondre avec le Pénicaud, qui est la maladie du travail, en tout cas de son ministère.
Bien sûr, j’ai pris mes précautions : j’ai imprimé les 350 pages du premier volume de la série « comment mettre un masque », préfacée par Sibeth Ndiayé, je n’écoute le premier ministre que quand il est debout (le Phillipe debout étant préférable à l’assis Phillipe qui est presque une maladie vénérienne) et, dans le même esprit, j’ai toujours une photo de Belloubet dans ma poche pour faire fuir les germes et calmer toute tentation coupable que mon épouse n’approuverait pas. Pourtant mon état empire, dépasse les Élisabeth Borne et je me sens crevé comme un Salomon qui remonte la rivière.
J’ai même envisagé de trouver réconfort dans la religion. Mais c’est compliqué. Avec les conneries que dit le pape, tant qu’on n’instaura pas un sous-pape de sécurité, je me vois mal renouer avec le catholicisme. Intrigué par les appels à la prière qui égayent, depuis peu, nos rues désertes, j’ai un temps envisagé l’Islam, mais j’ai juste un opinel et, avec le confinement, impossible de le faire aiguiser. Pour le judaïsme c’est compliqué car j’ai la phobie des chiffres ronds. De plus, je ne suis pas allé voter aux municipales et, du coup, être élu dans ces conditions me semblerait peu équitable, sans compter que, cerise sur la kippa, je pourrais me faire agresser par des gilets jaunes antisémites. En dernier ressort, j’ai considéré le Bouddhisme, avant de comprendre que ça n’avait rien à voir avec le fait de faire la gueule, et que ma compréhension de ce qu’ils appellent le Dharma était particulièrement étriquée. Un Dharma nain en quelque sorte.
J’ai essayé de mieux dormir la nuit, j’ai même acheté un hamac cylindrique, ayant entendu dire que l’hamac rond ça endort le peuple, certains diront que c’est plutôt LE Macron, mais au cas particulier, le genre reste largement débattable (je dis ça pour ceux qui me prendraient pour un anti LGBT primaire). Mais bon, je vais arrêter là les macroneries ; pas que ça manque de ministres, mais comme personne ne les connait on ne comprendrait pas les vannes, et puis, en toute matière, l’abus rend fou, un abus zinzin en quelque sorte et après, on se retrouve tout seul, à errer sans but, heureux que les écoles soient fermées parce que, dans certaines, être le seul « blanc qu’erre » peut parfois s’avérer problématique.
Sérieusement, la situation est grave et même Boris Johnson, dont certains anti-brexit ont dû tartiner la poignée de porte, est entre la vie et la mort, si j’en crois la semi-remorque de cierges qui vient d’être livrée chez François Asselineau. Pourtant ce coronavirus a aussi du bon, dont le petit plaisir de voir Lallement produire deux litres d’huile vierge première pression à froid, même s’il a chaud aux fesses, avec juste une olive dans son auguste fondement. Pour un peu on se consolerait du grand nettoyage de printemps dans les EHPAD.
Ça peut arriver à n’importe qui de devoir manger sa casquette et de s’excuser, mais lorsque le couvre-préfet en question est, de toute évidence, une piste auxiliaire tactique de décollage pour drones en cas d’émeute urbaine, servant accessoirement de parasol, c’est plus dur que pour le commun des mortels. Mais bon, c’est fait et il s’est excusé d’avoir méprisé les malades du covid-19 comme de vulgaires gilets Jaunes. Certes Lallement, mais Macron aussi.
Il était évident, depuis le départ, que le covid-19 n’était pas Ébola ou la grippe espagnole.
Même en ne faisant strictement rien (tâche pour laquelle un énarque est parfaitement qualifié), les pires scénarios (et depuis, ceux qui les ont produits, les ont largement revus à la baisse) faisaient état de chiffres bien inférieurs aux 650.000 morts annuels, toutes causes confondues (y compris mettre un Gilet-Jaune) que connait déjà notre pays.
Certes ces chiffres, très exagérés (et, encore une fois, dans l’hypothèse où l’on ne ferait strictement rien) avaient de quoi faire peur. C’était d’ailleurs bien le but recherché par certains, utilisant une OMS rongée par la corruption mais, et c’est là que réside la subtilité, il ne s’agit essentiellement pas de morts SUPPLEMENTAIRES, beaucoup de gens mourant AVEC le coronavirus, mais pas DE lui, un peu comme quand on a des morpions. Et quand on meurt DE lui, c’est souvent qu’il a juste remporté la course contre d’autres pathologies existantes. Bref, le DIFFERENCIEL (encore une fois en ne faisant strictement rien), se situerait quelque part entre 0,1 et 0,01% de la population TOTALE.
Un pays sain se doit d’avoir, non des valeurs à la con, mais un BUT à long terme, ainsi qu’un souci de préservation et d’héritage vis-à-vis des générations futures. On peut, dès lors, s’appuyer dessus pour prendre sans sourciller des décisions humainement difficiles et impopulaires, sachant qu’il est absurde que ledit pays se saborde, même pour sauver 50% de sa population et, à fortiori, pour en sauver moins de 0,1%.
Bien sûr, une fois que cette évidence (qui n’en est pas une pour tout le monde ce qui est une des causes de la situation) est posée, il est clair que tout ce qui ne remet pas en cause la pérennité du collectif et ne sacrifie pas la majorité au profit de quelques-uns doit être tenté pour sauver le plus de vies possible. Mais ce n’est pas ce qui a été fait.
Avec une constance qui permet de se demander si ce n’est pas volontaire, on n’a utilisé aucun des outils qui ne conduisaient pas au suicide collectif : don de nos masques à l’étranger, refus de la proposition des industriels de fabriquer des respirateurs en masse, refus des propositions des laboratoires vétérinaires de procéder à des centaines de milliers de tests préventifs, et on a complètement ignoré la sommité mondiale qu’est le docteur Raoult faisant (et ça continue aujourd’hui) tout ce qui est possible pour court-circuiter la chloroquine dont le succès prouverait que tout ce fiasco aurait pu être évité et ferait de la bande à Macron des criminels.
Au contraire, dans une course en avant pour retarder les tribunaux populaires et la remise en service de la guillotine, conduisant à une spirale de mensonges devenus impossibles à cacher, on essaie de prolonger le plus possible un confinement halal à géométrie variable qui ne sert à rien, sauf à faire porter la responsabilité de la catastrophe sur le manque de civisme des Français au lieu de la gestion calamiteuse du gouvernement. Un peu comme si, dans un bateau, celui qui a fait un trou dans la coque attribuait le fait que ledit bateau coule aux gens qui, dans la soute, n’écopent pas assez vite (avec des cuillères à café qui plus est) parce que le même individu a oublié de commander des seaux, même si ce n’est pas ce qui manque à LREM.
Tout en en profitant, au passage, pour limiter les libertés individuelles (en nous pistant sur nos téléphones, en attendant un traceur en suppositoire) et pour effacer, d’un trait de plume, tous les acquis sociaux, l’exécutif compte sur le fait que, face au chaos et aux pénuries alimentaires qui vont suivre, aggravés par les conflits ethniques volontairement importés sur notre territoire, les gens seront trop occupés à se battre entre eux pour un bout de pain pour s’occuper des traitres qui les gouvernent dont la priorité actuelle est d’éviter que ne se produise, avant ledit chaos, un déconfinement d’un seul bloc, qui se traduirait, dès le lendemain, par une révolution avec leur têtes sur des piques.
Certains pays vont se retrouver dans une mouise noire. Bien dirigée et, sous réserve de déterminer de façon cohérente ce que signifie être Français et donc QUI peut bénéficier de ses largesses, il n’y a pas de raison que la France, laquelle a des atouts uniques au Monde et qui, contrairement à beaucoup d’autres, a les capacités de retrouver, à terme, le seul truc qui compte en période de crise, à savoir une autosuffisance alimentaire, fasse durablement partie de ceux-là. Mais, encore une fois, « bien dirigée ».
Comme disait Coluche, si on confie le Sahara à des énarques, dans 5 ans on importe du sable. Encore pire quand lesdits énarques sont également des traitres et des corrompus, élus (il faut aussi être capable de l’admettre) par des veaux.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

1 commentaire:

  1. C'est la première fois que je vous lis, lien envoyé par un ami.
    Dans ce long essai, auquel j'adhère à 98%, je retiens l'essentiel pour moi, car JAMAIS vu ailleurs:

    Il était évident, depuis le départ, que le covid-19 n’était pas Ébola ou la grippe espagnole.
    Même en ne faisant strictement rien (tâche pour laquelle un énarque est parfaitement qualifié), les pires scénarios (et depuis, ceux qui les ont produits, les ont largement revus à la baisse) faisaient état de chiffres bien inférieurs aux 650.000 morts annuels, toutes causes confondues (y compris mettre un Gilet-Jaune) que connait déjà notre pays.
    Certes ces chiffres, très exagérés (et, encore une fois, dans l’hypothèse où l’on ne ferait strictement rien) avaient de quoi faire peur. C’était d’ailleurs bien le but recherché par certains, utilisant une OMS rongée par la corruption mais, et c’est là que réside la subtilité, il ne s’agit essentiellement pas de morts SUPPLEMENTAIRES, beaucoup de gens mourant AVEC le coronavirus, mais pas DE lui, un peu comme quand on a des morpions. Et quand on meurt DE lui, c’est souvent qu’il a juste remporté la course contre d’autres pathologies existantes. Bref, le DIFFERENCIEL (encore une fois en ne faisant strictement rien), se situerait quelque part entre 0,1 et 0,01% de la population TOTALE.
    Un pays sain se doit d’avoir, non des valeurs à la con, mais un BUT à long terme, ainsi qu’un souci de préservation et d’héritage vis-à-vis des générations futures. On peut, dès lors, s’appuyer dessus pour prendre sans sourciller des décisions humainement difficiles et impopulaires, sachant qu’il est absurde que ledit pays se saborde, même pour sauver 50% de sa population et, à fortiori, pour en sauver moins de 0,1%.

    VOICI ce que je dis et écris depuis quelque temps, et tous les éléments nouveaux entendus ci et là, vont dans le même sens:

    Il semble vrai que l'épidémie de COVID-19 ne prendra fin que lorsque 50 à 80% (le chiffre exact dépend du génie de chaque agent infectieux; c'est vrai pour toutes les maladies infectieuses épidémiques et on ne connait ce chiffre qu'à la fin de l'épidémie) de la population aura été en contact avec le virus. Ce qui veut dire simplement que les mesures de confinement et autres "distanciation sociale" ont un seul effet (ou but si c'est voulu et organisé) : étaler dans le temps le nombre de malades, donc de morts, nombre qui, au final, sera le même avec ou sans confinement. Deux différences avec ou sans confinement:
    AVEC: on évite un afflux massif dans les hôpitaux
    SANS: On évite le suicide économique du pays, qui mettra des années ou décennies à s'en remettre.
    Je dois dire, à la décharge du gouvernement actuel (et ce n'est pas mon but!!) , que les pays occidentaux n'ont pas choisi cette tactique mais se sont contentés de reproduire ce qui a été fait en Chine, au titre de l'expérience (enjolivée par la propagande) du premier pays frappé. En fait, il faut se souvenir que certains pays (Brésil, GB, USA, SUEDE,...) ont fait le choix initial du non confinement et de laisser l'immunité acquise croître jusqu'à l'arrêt de l'épidémie. Mais tous ces pays (sauf la Suède) ont été obligés de faire marche arrière sous la pression médiatique (cela montre bien, et c'est un autre débat, que le pouvoir Médiatique est le plus grand pouvoir actuel, puisque capable de faire céder Trump et les USA) .

    Dr Alain BOURDON Cardiologue

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